Rugby : Graulhet - Gaillac, "LE" derby tarnais...

17/11/2012


		
PUBLIÉ LE 18/11/2012 09:39  | La Dépêche du Midi |  G.D. et F.B.
 
Fédérale 2 : Graulhet-Gaillac avec un parfum d'antan
 
LE DERBY TARNAIS S'ANNONCE ATTRAYANT ET IL DEVRAIT ATTIRER LA FOULE À NOËL-PÉLISSOU
 

 
Battus à Mazamet, les Graulhétois veulent se relever face à Gaillac./Photo DDM Jean-Marie Lamboley
 
Six ans que Graulhet et Gaillac n'ont pas réglé leur différend de voisinage sur un pré de rugby. Depuis, l'eau et le vin primeur ont bien coulé. Gaillac, monté haut dans le ciel s'est brûlé les ailes aux rayons puissants du professionnalisme. Graulhet n'a presque connu que le ciel gris des saisons sans soleil, avec descente et maintien en division inférieure. Certains se souviendront qu'en 2007, les deux clubs avaient tenté un projet de fusion vite abandonné.
 
Depuis, toujours séparés par le seuil des Barthes qui marque le passage entre la plaine viticole du Tarn et les coteaux alluvionnaires du Dadou, ils ont regagné leurs cantonnements, en continuant à se regarder de travers. Depuis un demi-siècle, on ne compte plus les aller-retours de talent sur cette Départementale 964, qui ont tenté l'aventure dans la maison d'en face.
 
C'est dire si les liens existent et perdurent, mais un derby reste un derby, et au constat des récents résultats des rouges et noirs des deux chapelles, chacune a obligation de le remporter.
 
Des Graulhétois diminués par les blessures
Graulhet pour ne pas connaître une deuxième fois la vexation d'un Quillan vainqueur à Noël- Pélissou et pour effacer la fessée mazamétaine, Gaillac pour se mettre au niveau du voisin de territoire et rattraper la défaite face à l'Etoile à Bernard-Laporte.
 
Pour les Graulhétois, la tâche s'annonce très compliquée. Une dizaine de joueurs et non des moindres ne seront pas au rendez-vous. Pauthe, Moulin, Regnier, Valette, Albouy, Mandagaran, A. Montbroussous, Dumont, blessés ne se sont pas entraînés vendredi soir. Da Costa, victime d'un accident professionnel, est aussi forfait. Barthélémy n'est pas encore à 100 %. «C'est une hécatombe. Dans ma carrière d'entraîneur, je n'ai jamais connu pareille situation. Nous sommes incapables de dire quelle équipe nous allons présenter. Elle sera établie dimanche matin. C'est perturbant pour tout le monde, mais tout le monde a compris qu'il va falloir jouer à fond.»
 
Renaud Gély compte donc, dans l'adversité, sur une réaction de son groupe. Inutile de préciser que ce dernier compte sur le soutien du public, comme jamais.
 
Les équipes :
 
GRAULHET (le groupe) : Kasdorf, Goulignac, Gouveia, Albert E., Vidal, Buéno, Balayé, Anglade, Montels, Albert L., Teyssier, Poujade, Barthélémy (ou De Castro), Sarcia, Marcel, Khattou, Codjia, Boutié, Montbroussous J., Bille, Beaur.
 
GAILLAC : Orsi; Calmont,Fougedoire (ou Lalliard), Guille, Rouffiac; (o) Poplawski, (m) Vaissière; Diarra, N.Clergue, Régnier (cap); Grégoire, Roques; F.Gisquet, St Cyr, O.Gisquet. Remplaçants : Abrial, Miquel, Généré, Cransac, Vaissière, J.ph Delmas et Négrier.
 
Le derby vu de l'UAGR.
 
Le Gaillac primeur à Pélissou ?
 

 
Les Gaillacois espèrent gagner en régularité./Photo DDM D.D.
 
«Nous sommes dans le dur, c'est le moment de savoir si Gaillac a les capacités de réagir, lâche Jérôme Arru. Seul le terrain nous donnera la réponse», ajoute l' ex deuxième ligne de l'UAG, quelque peu irrité par des commentaires acidulés. «Certains ont la mémoire courte et oublient que le rugby n'est pas une science exacte et que les joueurs sont des amateurs, obligés parfois de prendre sur leurs jours de congés.»
 
Il est vrai que l'étrange «absence» des Gaillacois en première mi-temps face à Argelès laissa pantois supporters et ... adversaires, trop heureux de l'aubaine et profitant de la manne à travers tous ces ballons rendus. «Même nous avons eu du mal à comprendre ce qui nous arrivait...», souffle Arru.
 
Le vrai Gaillac ?
 
Et si on retrouvait l'UAGR du troisième quart-temps (17 points de la 40e à la 58e) , celle des phases finales, décomplexée, portée vers l'offensive et ne se focalisant nullement sur l'adversaire? Normal après tout que la découverte du niveau supérieur se traduise par des hauts (succès à Pézenas et Quillan qui l'a emporté à ... Grauhet ) et des bas (défaites face à Argelès et Céret à domicile). «Le déclic n'est pas loin et un calendrier favorable pourrait accélérer une belle réaction», s'emballe Cassou.
 
Les rentrées de l' ex-Graulhétois Alexandre Calmont, très rassurant par sa botte et son flegme, de l'ouvreur Dawid Poplawski et du plaqueur numéro 1, l'éternel optimiste Djibril Diarra sont de bon augure.
 
Les supporters de Gaillac aspiraient depuis six ans à retrouver le parfum de ces derbys . Les bémols affichés par coachs et joueurs, «pour nous c'est un match comme les autres, à 4 points», sont de peu de poids face à l 'engouement ressenti place de la Libération (la bien-nommée cet après-midi ?). Impossible pour les joueurs de ne pas ressentir cette attente, ces espoirs et cette impatience.
 
Il ne nous étonnerait pas qu'une immense clameur s'élève des tribunes populaires de Pélissou , à la première cavalcade d'un Romain Lalliard ou Thomas Rouffiac. A moins que Graulhet ne cadenasse ce derby.
 
 
Face à Villefranche de Lauragais, Gaillac a enchanté son nombreux public avec quatre essais à son compteur./Photo DDM Jean-Marie Lamboley
 
Rencontre : Julien Grégoire, taulier de l'UAGR
 
Il fait l'unanimité. Normal, taiseux comme tout joueur de devoir, il met la tête là où d'autres ne mettraient pas les pieds et apporte sa puissance et sa technique. Abnégation et solidarité ne sont pas vains chez l'ex-Graulhétois Julien Grégoire, cet ex-pilier monté en 2e ligne sans sourciller, toujours au service du club. «Sans des joueurs comme Julien, on perd beaucoup de notre efficacité», admire le grand échassier Romain Roques.
 
Ce match revêt une certaine saveur pour vous…
 
C'est sûr, j'ai de bons souvenirs avec les Reichel de Graulhet, où il y a toujours eu d'excellents éducateurs, comme Bernard Pagès, mais je suis de Soual et ai débuté à Sor-Agoût…
 
L'engouement du derby est-il palpable ?
 
Pas aux entraînements, car l'accent a toujours été mis sur le jeu et les coachs ne tiennent pas à ce que nous perdions de l'influx inutilement.
 
Un stade plein, une ambiance de derby, tout pour vous plaire ?
 
Sûr que c'est excitant, qu'il y aura énormément d'engagement sur le terrain et de passion dans les tribunes, à nous de faire en sorte que ce soit la fête du rugby… et que Gaillac gagne !
 


		
PUBLIÉ LE 16/11/2012 09:22   | La Dépêche du Midi |  Recueilli par G. D.
 
Julien et Olivier Regnier, frères ennemis
 
RUGBY - FÉDÉRALE 2 : VOILÀ SIX ANS QUE GRAULHET ET GAILLAC N'AVAIENT PLUS VÉCU DE DERBY. LES FRÈRES REGNIER PEUVENT EN TÉMOIGNER.
 
 
Julien et Olivier premier et deuxième à gauche, avec Romain Balayé, encore en juniors. /Photo DDM Archives
 
Julien Regnier a été formé au Sporting mais joue aujourd'hui à Gaillac, tandis qu'Olivier son frère, n'a jamais quitté son club de cœur. Retrouvailles dimanche.
 
Ils auraient tous les deux pu faire d'honnêtes liberos ou défenseurs de Promotion Ligue. Julien et Olivier Regnier ont débuté presque ensemble au football, à Briatexte. Très vite, les parents Sylvie et Jacques, se sont rendus compte que leur progéniture ne correspondait en rien aux critères spécifiques de ce sport. Direction le rugby et la section cadets du Sporting, à quelques kilomètres de la maison de Puybegon.
 
Des mensurations intéressantes, 1,96 m pour l'aîné, 4 cm de moins à peine pour l'autre. Quelques coupes, un bouclier des Pyrénées plus loin, les voilà ensemble en 2008 titulaires en championnat en équipe première face à l'Etoile Catalane. Petit match, perdu, mais grand souvenir.
 
De bons clients pour les kinés
 
Celui que les deux tiennent en référence dans leur début de carrière respectif. Car, quelques mois plus tard, Julien a quitté Graulhet pour Gaillac. Une nouvelle vie et des galères en Fédérale 3. Des soucis physiques aussi car les frangins, outre le fait qu'ils jouent aux mêmes postes de deuxième ou troisième ligne et d'une vie professionnelle dans les espaces verts, ont tous les deux connu deux fois la rupture des ligaments du genou. Au même pour Julien , aux deux pour Olivier. De bons clients pour le strapping.
 
A l'approche du derby, Olivier comme Julien ont la même réaction. «C'est un match qu'on ne voudrait surtout pas manquer !» Dimanche à 15 h 30, pas de cadeau. «Olivier, c'est du solide dans le petit périmètre. Si je peux lui mettre un gros tube je le lui mettrais!» annonce Julien. «Mon frère, c'est un meneur d'hommes, un gros défenseur. On va le tester!», réplique Olivier. «Pour nous, l'essentiel sera d'être à la hauteur de l'événement et de l'adversaire. Sous la pression, l'équipe est encore jeune et nous avons tendance à craquer», avoue l'aîné. «Même si beaucoup de joueurs des deux côtés ses connaissent, ce match reste celui qui compte et qui va compter. Et il faut le gagner», conclut son cadet. Même si aucun des deux ne veut avouer de pression particulière, à l'abordage de ce derby, le fait de voir un match dans le match, entre frères cette fois ennemis, met un peu plus d'intérêt encore, que le seul enjeu sportif.
 
Repères  «On a du mal à imaginer qu'on va jouer l'un contre l'autre, mais c'est la vie sportive qui veut cela.» Philippe Garrigues, entraîneur de Gaillac.
 
Le chiffre : 5 victoires consécutives > Pour Gaillac. Les Gaillacois restent sur cinq succès consécutifs, série en cours.
 
3 questions à Renaud Gély, co-entraîneur de Graulhet
 
 
«Maîtriser un maximum de matchs» / Photo DDM
 
Troisième de poule, le classement vous convient ?
 
Je regarde en priorité le classement britannique et nous sommes à + 4. L'important est d'y rester jusqu'au bout de la saison.
 
Le contenu des premières rencontres vous a-t-il satisfait ?
 
La défaite contre Quillan nous a poussés à réagir à Argelès. Nous savions que chez les Catalans, il ne fallait pas trop jouer et les gars se sont impliqués en défense. Contre St Sulpice, l'équipe a fait montre de liant entre avants et trois-quarts.
 
Des enchaînements gagnants ou non conclus qu'on n'avait pas vus depuis un moment, avec de la capacité à déséquilibrer les défenses mais sans finir les actions. Nous ne sommes pas des tueurs. Contre Mazamet, la prestation nous a déçus, devant en particulier. Nous avons semblé timorés, avec les mêmes lacunes, les mêmes fautes que l'an dernier. À la sortie nous prenons 20 pénalités alors qu'en temps normal la moyenne est à 10.
 
Ce derby face à Gaillac vous fait peur ?
 
Il nous faut réagir après la défaite à Mazamet comme nous avons su le faire après Quillan, mais Gaillac doit réagir aussi après son faux pas de dimanche. J'envisage un match assez compliqué dans la gestion.
 
Il va falloir que nous arrivions à maîtriser un maximum du match en sachant gérer nos temps faibles. Mais nous manquons surtout de sérénité en raison des nombreux blessés qui nous obligent à revoir une fois encore notre composition.
 
PUBLIÉ LE 16/11/2012 09:23 | La Dépêche du Midi |   J.A.L.
 
Graulhet-Gaillac : Sam Revallier, des amis dans les deux camps
 
 
Sam Revallier est intarissable sur Graulhet et Gaillac./Photo DDM
 
Il a joué d'abord à Gaillac (1969-1978) puis à Graulhet où il est devenu international (1979-1988) avant de retourner comme Jason, une fois la Toison conquise (14 capes) à Gaillac le reste de son âge (1991-1994). Sam Revallier a pris ses distances avec l'active, mais les souvenirs abondent et nourrissent une synthèse édifiante. «Les deux clubs n'ont pas une culture différente. Simplement, Graulhet avait plus de moyens, donc un fond de jeu plus élaboré. Gaillac jouait surtout sur la hargne».
 
Il admet que les relations entre les deux rouge-et-noir furent longtemps marquées par le désamour, comme ces voisins de hameaux qui ne se parlent plus depuis des générations sans trop savoir pourquoi. «Quand j'ai signé à Gaillac, en 1969, un mois après, je maudissais les Graulhétois. C'était comme ça. Les deux clubs se ressemblaient, avec une cellule de supporters farouches qui entretenaient la Guerre Froide». Ceux-là mêmes qui ont empêché la fusion il y a six ans, que Jacques Dary appelait tant de ses vœux.
 
La guerre froide puis la détente
 
Le temps a lissé les aspérités, l'antagonisme ne tourne plus au vinaigre. Sam renvoie les deux clubs dos à dos : il a des amis partout, et des bons souvenirs au bord du Tarn et du Dadou. À sa table de la mémoire, il convierait des vivants et des trop tôt disparus : les deux présidents graulhétois, Roger Bousquet et André Roumégoux «deux dirigeants de cœur et d'envergure», Emile Casals, un homme ordinaire que le maillot graulhétois rendait extraordinaire («il était prêt à mourir»). Côté Gaillac, Dédé Mailhé, avec «son aura et son charisme», aurait la place d'honneur, entouré de la phalange des Boutou, Dona, Grandet, Colla.
 
Des frères de sueur, de sang et de larmes. «Ils m'ont fixé à Gaillac, je n'avais pas envie d'en partir». Pour Sam, le match sera engagé, mais correct. Histoire de générations. Même pas une petite marmite, juste une petite générale, monsieur l'arbitre, à l'amitié et aux souvenirs ? «Peut-être bien : il en faut bien une de temps en temps pour ensoleiller les dimanches».
 
 
PUBLIÉ LE 14/11/2012 09:12 | La Dépêche du Midi | 
 
Graulhet-Gaillac : les supporters mobilisés
 
 
L'amicale des supporters bénévoles du Sporting prépare une grosse journée.
 
Le derby Graulhet-Gaillac, c'est dimanche à 15h 30 au stade Noël Pélissou. C'est le rendez-vous de la saison que préparent ensemble le club et l'amicale des supporters. Pauline Perlin chargée des relations partenaires au Sporting a déjà enregistré 400 réservations pour le repas d'avant-match au forum, avec navettes gratuites aller-retour au stade.
 
Le repas auquel sont annoncées les personnalités du canton et du département, sera animé par un groupe de banda. On pourra y rencontrer la récente Miss Albigeois, Audrey Ranson qui donnera le coup d'envoi du match. Côté club, le comité directeur est aussi engagé dans l'organisation aux côtés des supporters et de l'école de rugby. Outre le service, toutes les tâches de contrôles d'entrée, de buvette et d'accueil seront assurées par les sympathisants. On attend entre 1500 et 2500 personnes au stade qui retrouvera pour l'occasion ses gradins dans les petites tribunes.
 
PUBLIÉ LE 16/11/2012 09:23 | La Dépêche du Midi |  Gérard Durand
 
Graulhet-Gaillac : Six ans sans derby
 
 
Les derniers derbys entre riverains du Tarn et du Dadou datent de la saison 2005-2006 et des phases finales du trophée Jean-Prat. Gaillac avait d'ailleurs remporté les deux rencontres, à Gaillac, 25 à 19 puis à Graulhet plus largement, 46 à 23. Grâce à Claude Gilli, archiviste du Sporting, on retrouve les deux équipes dans lesquelles figuraient les Graulhétois Pauthe, Khattou, Boutié et Bellot aujourd'hui entraîneur. Pas grand monde du côté de Gaillac. En championnat, les deux clubs tarnais se sont rencontrés 12 fois. Le score est de parité, 6 victoires à 6. En fait, Graulhet n'a pas battu Gaillac en championnat depuis le 26 octobre 2003 à Graulhet en 1re Division Fédérale. A noter que les cinq dernières confrontations ont été à l'avantage de Gaillac. C'est dire l'importance au minimum symbolique d'une victoire des Graulhétois ce dimanche.
 
Cette saison : à ce jour les deux clubs ont joué sept rencontres de championnat. Graulhet en a gagné quatre, perdu deux et fait un match nul et récupéré deux points de bonus.
 
Gaillac en a gagné trois, perdu quatre et récupéré trois points de bonus. Les graulhétois ont marqué 12 essais, en ont encaissé 9, marqué un total de 155 points et encaissé 115. Les gaillacois ont marqué 14 essais, en ont encaissé 10, marqué 123 points pour 118 encaissés. Des chiffres qui se ressemblent.
 
PUBLIÉ LE 17/11/2012 03:49 | La Dépêche du Midi | 
 
L'autre derby Graulhet-Gaillac
 
 
Match aussi capital pour les juniors Belascain./Photo DDM.
 
Si le derby des seniors intéresse tout un territoire, il en est un autre qui -réseaux sociaux autorisent- en a dépassé les limites. C'est le Graulhet-Gaillac des juniors Beslacain qui se jouera ce samedi à 15 heures à la Jonquière. «Un classique, puisque depuis quatre saisons, les deux équipes partagent la même poule. L'an dernier, nous avons gagné ici et chez eux», se souvient Olivier Planès qui entraîne les Graulhétois aux côtés de Christian Delfaut. Les Graulhétois pointent à une mauvaise 6e place sur 7 équipes et traînent comme un boulet leur défaite à domicile face à Oloron après avoir été gagné à Ger puis perdu d'un petit point à Marmande. Les Gaillacois entraînés par l'ancien graulhétois Fabrice Garrejat et Xavier Dupuy sont premiers de poule, malgré deux défaites et deux victoires, mais avec 4 points bonus. C'est dire que pour les locaux, ce derby est le match à ne pas perdre.
 
«Malheureusement, nous comptons quelques blessés cette semaine, mais sommes confiants sur leurs capacités à honorer ce match particulier». Une rencontre que nombre de supporters des deux camps ne voudront pas rater. En guise d'apéritif avant le plat de résistance du lendemain.
 
PUBLIÉ LE 17/11/2012 03:46 | La Dépêche du Midi | 
 
Graulhet : Avant-match, 450 personnes à table au Forum
 
 
À événement exceptionnel, table exceptionnelle. Près de 450 personnes l'ont réservée pour le repas d'avant-match de rugby Graulhet-Gaillac au Forum. «On travaille sur cet événement depuis 1 mois, sur les invitations, les réservations, le menu, le choix des prestataires et les plans de tables.
 
C'est intéressant de travailler sur ce genre de manifestation, car cela développe notre sens de l'organisation, et de plus cela nous permet également de rencontrer du monde», reconnaît Pauline Perlin, chargée des relations partenaires au Sporting. Ce derby a un énorme engouement».
 

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