Graulhet : Rétro Janvier 2018 -2-

26/11/2018

   GRAULHET : Du Bruc à Ricardens   

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   Graulhet : Rétro Janvier 2018 -2-   

Publié le 16/01/2018 à 08:40  | La Dépêche du Midi |  J-C. C.

Une belle année se dessine pour la dynamique OLA


Les responsables des 25 ateliers sur la scène du Forum./ Photo DDM, J-C C

Avec 725 adhérents au compteur, contre 700 l'an dernier à la même époque, l'association OLA (Organisation Loisirs Animation) démarre très bien l'année avec de nouveaux projets et des adhérents résidents dans plus de 50 communes différentes.

C'est au Forum, dont les tables avaient été décorées par les adhérentes du club d'art floral, que se sont retrouvés les adhérents de l'association pour la traditionnelle cérémonie des vœux de début d'année.

À cette occasion, André Jammes, président de l'association, a fait monter sur scène les responsables des 24 clubs d'activité que compte aujourd'hui la OLA. «Le succès est aussi celui de tous les responsables d'activités qui, au quotidien, adoptent une même attitude pour que chacun, lorsqu'il pousse la porte de l'association, y trouve l'ambiance chaleureuse qui doit constituer le lien de tout cela. Ils sont tous bénévoles, il faut les remercier», a souligné André Jammes.

Aujourd'hui le rythme de croisière est atteint avec même des difficultés pour gérer les nombreuses activités dans un nombre de salles restreint. Mais au-delà des activités hebdomadaires ou mensuelles, la OLA propose aussi des sorties.

«En juin nous irons à Sète au festival nautique où se trouvera une réplique de l'Hermione, en mai nous irons au Portugal et en septembre au Puy-en-Velay pour la fête du Roi de l'oiseau», explique André Jammes. Le nombre de places étant limité, il faut s'inscrire au plus tôt. Face au succès rencontré, notamment pour les séjours à Marseille ou au Puy-du-Fou, l'association organise deux voyages. «Quand on sent que ça va plaire, on anticipe auprès de l'hôtellerie pour savoir s'ils peuvent suivre», confie André Jammes.

Ce samedi 20 janvier, à 20 h 30, l'association proposera, en partenariat avec Naturévasion Rando, un spectacle de deux heures. L'atelier «génération chanson» de la OLA se produira au Forum. «Suivant le résultat, on va peut-être développer ce genre de partenariat», confie André Jammes. Le spectacle sera ouvert à tous avec une entrée libre.


Publié le 17/01/2018 à 07:40  | La Dépêche du Midi |  G. D.

Le concierge du cimetière part à la retraite après 6000 obsèques


Jean-Marc Bellières, derniers instants dans son cadre de travail./ Photo DDM G.D.

En ce début d'année, Jean-Marc Bellières fait valoir ses droits à la retraite d'employé de mairie. Entré dans la collectivité au service des Pompes Funèbres il y a 40 ans, il aura assuré durant 37 ans la conciergerie du cimetière principal de la ville, Saint-Roch, et aura veillé sur la bonne tenue des allées et concessions. «Quand je suis arrivé, avec mon épouse, nous avons occupé le logement de fonction à l'entrée et nous avons établi un plan qui n'existait pas. Depuis, j'ai appris à situer la plupart des sépultures. Je pense pouvoir arriver à indiquer 90 % des emplacements des 6 000 tombes de Saint-Roch. Beaucoup de gens viennent, surtout pendant les vacances, à la recherche d'ancêtres qu'ils ont laissés ici». 

Au rayon des curiosités, il a vu des chevreuils, des lièvres, des perdreaux tranquillement gambader dans les allées. Mais aussi dû aider un homme à descendre du mur de clôture où il restait hagardement assis, relever un autre, aviné et endormi entre des caveaux. Il a aussi assisté aux agissements d'un fleuriste indélicat qui venait récupérer les vases achetés par les familles des défunts pour les remettre à la vente. «Une fois, je vidais de l'eau dans une tombe vide à la tombée de la nuit. J'étais jeune et j'ai sauté vers l'extérieur. Une dame arrivait. Elle a eu la peur de sa vie !». 

Ouverture, fermeture des portails, entretien, organisation des cérémonies au monument aux morts font partie du quotidien du concierge qu'il partage avec les enterrements. «J'ai compté, j'ai passé les 6 000. Des célèbres comme des anonymes, mais je peux dire que je n'ai jamais regardé les heures, que je me suis toujours mis à la disposition des familles. Au point que souvent les parents et alliés qui ne me connaissaient pas m'ont pris pour l'un des leurs et serré dans leurs bras». Une carrière désormais derrière pour Jean-Marc Bellières dont on ne connaît pas encore le successeur. «Il devra assurer les mêmes tâches, mais sans la conciergerie qui devrait fermer». Il paraît que celui qui l'occupait depuis 37 ans ne s'est jamais plaint des voisins.


Publié le 18/01/2018 à 08:59  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

De la mécanique auto à l'épicerie de quartier


Teldja Hamdaoui vous attend toujours avec le sourire à l'épicerie./ Photo DDM, J-C  C

C'est une épicerie qui est aujourd'hui dans l'ancienne pharmacie de Crins, tenue par Teldja Hamdaoui, une jeune femme dynamique au parcours pour le moins atypique.

Ce n'est pas le commerce, mais la mécanique automobile que Teldja Hamdaoui a étudié. «J'ai toujours été intéressée par les métiers d'hommes. Mon père tient une casse-auto, j'avais baigné là-dedans depuis toujours et il m'a transmis sa passion», explique-t-elle. C'est dans les concessions d'une marque automobile française en région parisienne qu'elle a débuté son activité professionnelle. «C'est un univers qui reste très macho. J'ai choisi de me reconvertir dans la mécanique industrielle». Cette nouvelle carrière dans l'imprimerie ne l'a pas non plus comblée par manque de «contact avec les gens».

Aussi, pendant deux ans avec son père, elle a étudié un projet d'ouverture de commerce alimentaire avec un retour aux sources graulhétoises. C'est finalement dans l'ancienne pharmacie du quartier de Crins que le projet vient de voir le jour avec 144 m2 dédiés à la vente de produits alimentaires et 100 m2 de réserve. Teldja Hamdaoui ne craint pas la concurrence des grandes surfaces : «Pour avoir des prix attractifs, il faut négocier avec les grossistes, avoir de tchatche et ça marche, se félicite-t-elle, avant de souligner : C'est une épicerie de quartier. Il y a beaucoup de personnes âgées qui ont des difficultés pour se déplacer ou qui n'ont pas de véhicules. Et puis il y a aussi mes petits lycéens juste à côté. Je les chouchoute».

Dans la création de ce projet, le plus difficile aura été toutes les formalités administratives à remplir. Il y a aussi eu des coups de main, comme celui des propriétaires qui lui ont laissé les rayonnages. L'économie lui aura permis d'acheter des frigos neufs et de proposer du frais et du surgelé au pied des immeubles. Malgré les horaires contraignants qu'elle s'est imposée qui ne lui laissent que le dimanche après-midi de libre, Teldja Hamdaoui est aujourd'hui épanouie et son statut lui permet de passer plus de temps auprès de sa famille.


Publié le 18/01/2018 à 08:59  | La Dépêche du Midi |

Faites appel au transport à la demande


La ville dispose de nombreux pour de TAD./ Photo DDM, J-C C.

Si vous n'avez pas de permis de conduire ou pas de voiture, le TAD (transport à la demande) peut sur réservation et selon une grille horaire venir vous chercher à l'arrêt le plus proche de votre domicile et vous conduire vers les villes d'Albi, Gaillac, Lavaur et Lisle-sur-Tarn.

La ville dispose de points d'arrêt à Saint-Mémy, Combalières, Roquesables, Les Pauziès, La Ventenayé, Gachou, Le Salvage, La Forêt-Basse, La Lizernié, la route du Moulin-Neuf, Parachie, la route de Lavaur, chemin de l'Aujoulet, La Trucarié, le Pommier Sauvage, le Haut Chemin de la Vayssière et à Canguilan.
A noter que les personnes intéressées sont invitées à effectuer leurs réservations en prenant contact avec le 08.05.60.81.00.


Publié le 19/01/2018 à 07:49  | La Dépêche du Midi |  J-C. C.

Les Petits frères des pauvres cherchent de nouveaux bénévoles


Les locaux accueillants sont situés avenue Victor-Hugo./ Photo DDM, J-C C

Les Petits Frères des Pauvres sont à la recherche de bénévoles pour leurs actions d'accompagnement des personnes isolées et des personnes gravement malades ou en fin de vie.

Les deux actions complémentaires sont différentes avec pour la seconde un cahier des charges très précis dans le cadre d'un partenariat avec les hôpitaux. Dans les deux cas, les bénévoles bénéficient de formations assurées par des professionnels. Un accompagnement spécifique régulier, notamment avec des groupes de paroles est mis en place pour l'équipe accompagnement fin de vie.

L'accompagnement des personnes isolées peut se faire à domicile ou dans les maisons de retraite, en partenariat avec l'établissementTous les résidents ne souhaitent pas participer aux animations. Il y a aussi des personnes quisoléesui n'ont plus de famille ou bien dont la famille se trouve très loin. Chaque cas est différent et évalué», explique Sylvie Douzac,lsalariée de l'association, qui souligne : «Ces visites permettent de se sentir exister dans le regard des autres, tout simplement».

Henri, lui, fait partie de l'équipe des bénévoles qui suit les personnes gravement malades so en fin de vie. «On se retrouve à trois sur Graulhet et bientôt seulement à deux car une de nous va developper un partenariat avec l'hôpital de illac», confie-e-il. L'accompagnement se fait en binôme, chacun donnant une demi-h-heuree son temps c aque semaine, permettant des visites hebdomadaires. Or, besoin est bien plus important que cela à Graulhet. «On donne un peu de son temps. Ma is lorsqu'on voit un sourire, parfois, on peut se dire qu'on reçoit beaucoup plus que l'on ne donne», assure Henri.

S'il y a beaucoup de personnes retraitées parmi les bénévoles, on peut aussi trouver des actifs et des étudiants. Il faut aimer écouter, être présent et attentif aux autres et donner un peu de temps.
Pour de plus amples informations sur ces accompagnements, il est possible de joindre Magdalena Armand au 05 61 62 05 05 ou au 06 70 05 79 51.


Publié le 19/01/2018 à 08:54  | La Dépêche du Midi |

Sophia Aram en escale au Forum de Graulhet


Sophia Aram  / DDM

Le Forum de la ville accueillera, le vendredi 9 février, à 20 h 30, Sophia Aram. Depuis plusieurs années, l'artiste croque l'actualité au sein de la matinale de France Inter. Elle a aussi reçu de nombreuses récompenses : Talent humour Fnac, prix du Festival Juste pour rire de Nantes en 2006, prix du jury et prix du public au festival Saint-Gervais en 2007, prix du jury et des techniciens au Festival d'humour de Vienne en 2009.

Avec «Le fond de l'air effraie», son «Seule en scène», Sophia Aram dépeint avec tendresse des personnages se débattant dans l'air du temps et s'interroge sur l'état d'un débat public traversé par des idéologies et une actualité parfois dramatique.


Publié le 20/01/2018 à 08:10  | La Dépêche du Midi |  G. D.

Les interventions des pompiers ont augmenté de près de 7% en 2017


Le feu du château de Lézignac qui avait mobilisé plusieurs centres l'été dernier../ DDM, G.D.

L'année 2017 aura vu, au centre de secours de Graulhet, une hausse conséquente des interventions. Le lieutenant Jean-François Alibert, qui le dirige depuis juin 2015, a comptabilisé 1 562 sorties, soit une augmentation globale de 6,71 % par rapport aux chiffres de 2016. Dans le détail, 1 070 interventions pour secours à personnes, 192 pour accident de la circulation, 165 pour incendies, 107 interventions diverses, 28 interventions pour risques technologiques. 

Les interventions marquantes pour l'année dernière concernent un gros chiffre de 30 interventions liées aux intempéries mais aussi le 29 mars un feu d'habitation à Cadalen, le 3 août, l'effondrement d'un mur dans un commerce route de Lavaur, le 7 août, le feu du château de Lézignac, le 9 août, un feu de bâtiment agricole, aux pommiers de Montdragon, le 29 octobre, un feu d'habitation boulevard de Genève et le 5 novembre un feu d'habitation rue du Centaure. «Il faut ajouter la participation d'agents du centre de secours à des colonnes de renfort feux de forêts pendant l'été au profit de la Corse et de l'arc méditerranéen». 

Côté effectif, le centre de secours compte 14 sapeurs-pompiers professionnels et 52 sapeurs-pompiers volontaires dont quelques figures du centre qui ont pris la retraite cet automne et ont été remplacées ou sont en cours de remplacement. Les pompiers totalisant 25 200 heures de garde et 19 500 heures d'astreintes. «Le centre de secours de Graulhet recrute des sapeurs-pompiers volontaires. Parce qu'on a l'occasion de vivre des expériences hors du commun, de connaître la satisfaction d'aider autrui et de participer à la sécurité de la population de son secteur avec une technicité spécifique et on assure également la sécurité de ses proches», tient à préciser le lieutenant Alibert qui devrait accueillir au printemps un nouvel adjoint. 


Publié le 21/01/2018 à 03:53  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Vœux municipaux : les voyants sont au vert


Une année de projets énumérés par Claude Fita. /  DDM G.D.

«Un moment de retrouvailles et de partage» c'est ainsi qu'a introduit son discours Claude Fita le maire, qui avait invité les forces vives de la ville à la cérémonie des vœux, vendredi soir. Et l'édile n'a pas boudé son plaisir en annonçant d'entrée sa satisfaction de compter 6,2 % d'habitants de plus qu'il y a cinq ans, alors que les chiffres moyens dans le Tarn annoncent un lointain 0,6 %. «C'était notre vœu à notre arrivée il y a dix ans; stopper l'hémorragie démographique. S'adapter ce n'est pas subir. La ville est redevenue forte, dotée d'une gestion assainie» et ce malgré la baisse des dotations de l'État. 

Une démographie florissante saluée par Claire Fita représentant la Région, Bernard Bacabe et Florence Belou conseillers départementaux. Cette dernière envisageant un «Toulouse qui s'avance vers nous et une population que nous allons devoir bien accueillir». Claude Fita a ensuite énuméré les réalisations en 2017, de la construction de Gaillac-Graulhet agglomération, aux travaux sur l'axe reliant les deux villes, en passant par la gare routière et la venue de nouveaux commerces, montrant le dynamisme du commerce local. 

«2018, s'annonce aussi dense et plein de projets. Réhabilitation de Crins, du Gouch, et réflexion sur le devenir de la Place du Jourdain et du Château, en y impulsant une dynamique conviviale, réalisation de la maison de santé pour renforcer l'accès aux soins, renforcement du dispositif de vidéo-protection, feront de 2018 une année d'actions». Une parenthèse pour féliciter les forces de gendarmerie et le centre de secours, pour leurs capacités à maintenir l'ordre et leur rapidité d'intervention. Et de conclure en invitant les Graulhétois à lutter contre tous les individualismes puis en citant Jean d'Ormesson; «Ce qui éclaire l'existence, c'est l'espérance».


Publié le 23/01/2018 à 07:45  | La Dépêche du Midi |

Urbanisme, rénovation et réflexions


Une centaine de personnes a assisté à la présentation des vœux salle de la République./ Photo DDM, J-C

La cérémonie des vœux à la population qui s'est déroulée vendredi dernier dans la salle de la République a été l'occasion pour la municipalité de présenter à la centaine de personnes présentes ses projets pour l'année qui s'ouvre.

«Avec notre partenaire Tarn Habitat, nous allons, à l'image du quartier d'En Gach, réhabiliter le quartier de Crins. C'est aussi la requalification de l'îlot du Gouch avec Tarn Habitat et l'agglomération que nous allons porter. Ce projet nous permet de redonner vie à ce bâti médiéval et je me réjouis de cette réhabilitation», s'est félicité Claude Fita, maire de la ville. Si ces deux projets sont aujourd'hui avancés, 2018 sera pour la place du Jourdain et la place du Château une année de réflexions. «Aujourd'hui, la gare routière a quitté la place du Jourdain et nous pouvons réfléchir à un projet pour lui redonner du sens et la faire vivre afin d'impulser la dynamique commerciale sur ses abords», a déclaré le maire de la ville. 

Deux autres chantiers sont aujourd'hui en cours dont celui de l'aménagement de l'auditorium. Aujourd'hui, les manifestations culturelles se déroulent toutes au Forum. «Dans un souci de proximité, nous réfléchissons au devenir de l'auditorium en centre-ville pour en faire un vrai lieu de spectacle dans une ambiance intimiste avec un espace dédié à l'accueil et à la convivialité», a expliqué le premier magistrat de la ville, évoquant aussi le pôle social à venir sur la place du Languedoc : «L'objectif est de regrouper les services sociaux.

Ainsi, le centre social s'est installé dans les murs du foyer Léo-Lagrange. Je profite de l'occasion pour saluer le travail des agents des services techniques pour assurer au mieux ces travaux et ce déménagement».

Si une extension du dispositif de vidéoprotection doit avoir lieu cette année, le projet de maison de santé est toujours en cours pour renforcer l'accès aux soins.

Croissance exceptionnelle de la population
Graulhet a gagné près de 750 habitants en cinq ans et plus de 400 habitants en un an. «C'est pour un maire le plus beau des cadeaux. Cela représente une augmentation de 6,2 % en 5 ans, soit 1,2 % par an en moyenne, alors que sur le Tarn la croissance annuelle est de 0,6 %» s'est félicité Claude Fita, soulignant que les gens viennent s'installer à Graulhet parce qu'ils peuvent trouver du travail, de l'immobilier à prix attractif, un large panel d'associations, une programmation culturelle riche, des équipements sportifs et culturels et un cadre de vie correspondant à leurs attentes» et de se féliciter : «C''est pour moi une victoire car dès mon arrivée il y a maintenant dix ans, je voulais stopper l'hémorragie démographique et changer l'image de notre ville pour la rendre plus attractive.»


Publié le 24/01/2018 à 07:44  | La Dépêche du Midi |  G.D.

En un an, les cafés citoyens ont pris le rythme de croisière


Thomas Brun (à droite), initiateur et animateur de plusieurs cafés citoyens.  / Photo DDM


Ce soir, à 20h, le centre social accueillera un nouveau café citoyen -ouvert au public- sur le thème «La place du malade mental dans la société». Voilà un an que ces rendez-vous qui réunissent entre 15 et 25 participants existent et pour Chantal Peyrin, directrice du centre social, comme pour l'Albigeois Thomas Brun, un des cofondateurs des cafés citoyens en France et qui les anime, c'est un succès populaire. «Ils constituent des espaces conviviaux d'apprentissage de l'essence de la démocratie : écouter et tolérer d'autres opinions, argumenter ses idées, construire une réflexion en commun ; prendre conscience par l'écoute respectueuse des uns et des autres, en tant qu'êtres différents et semblables à la fois, de la nécessité de leur présence pour s'enrichir soi-même. Ils sont en ce sens de véritables incubateurs permettant la construction de la fraternité», assure Thomas Brun.

Les débats, dont les thématiques sont choisies par l'ensemble des participants, sont régis par la charte du débat de la Nouvelle Arcadie ou Fédération des cafés citoyens. «Toute opinion concourant au débat peut être exprimée librement après la demande de prise de parole. Toutefois, les interventions se bornant à des polémiques purement partisanes ou dogmatiques sont contraires à l'esprit de la charte. La Nouvelle Arcadie et les ateliers d'expression citoyenne ne doivent servir aucune idéologie ou action politique. Ils veulent rester un espace libre de réflexion et de discussion. Cette dernière empêche le prosélytisme et favorise l'expression de chacun. Débattre des problèmes de société, proposer des solutions pour les résoudre et oser rêver la société de demain : voilà ce qu'elle nous garantit». Depuis un an, les thèmes suivants ont été abordés.

«Ils ont toujours été débattus constructivement», assure Miloud Hamaddache qui a participé à tous : «Comment aller vers l'autre», «Comment et pourquoi la violence est-elle devenue un bien de consommation», «Quel espace éducatif, culturel et artistique pour la construction des citoyens», «Une société de partage équitable est-elle possible», «informer ou déformer» et «La question des Droits de l'Homme et du Citoyen aujourd'hui», tant de thèmes d'actualité débattus avec passion.


 
Publié le 24/01/2018 à 08:44  | La Dépêche du Midi |

Le 1er trail Ambusquade finalise son organisation


Dernières reconnaissances il y a quelques jours. / Photo DDM

Organisé par les Piedsbegon, le premier trail Ambusquade va se courir le dimanche 4 février au matin au départ du centre aéré de la Courbe. Il passera par les villages de Busque et Puybegon sur des chemins vallonnés, sous-bois et terrains variés. «Maintenant, nous rentrons dans l'organisation pure et dure, le matériel nécessaire, la sécurité à préciser, le rôle de chacun de nos bénévoles, les réunions s'enchaînent à un rythme soutenu.

En ce qui concerne les inscriptions, tout est allé très très vite. Les deux trails sont complets : 125 personnes pour le 26 km et 177 pour le 12 km», se félicitent Laurence Papaïx et Stéphane Bousquet au nom des organisateurs. «Certaines personnes nous appellent encore pour pouvoir le faire et insistent. Malgré tout, nous ne pouvons pas les satisfaire. Pour la randonnée, il ne reste que très peu de places. Pour le repas après course, nous serons aussi complets. Nous sommes très heureux de l'engouement qu'a créé cet événement et les habitants des deux communes sont enthousiastes eux aussi.

Nous avons eu un très grand nombre de bénévoles présents à notre réunion d'information ; il a fallu en refuser, tous voulaient vraiment nous aider. Voilà très heureux, impatients que le jour J arrive. Pour un coup d'essai, c'est vraiment encourageant. Depuis quelques semaines, l'équipe procède au balisage et met la main aux derniers préparatifs. Au programme : à 9h, départ du trail de 26 km ; à 9h30, départ de la randonnée de 12 km ; à 10h, départ du trail de 12 km.    


Publié le 25/01/2018 à 07:46  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

De nouveaux moyens humains pour l'hôpital


Les personnalités ont adressé leurs vœux traditionnels à l'EHPAD du Pré de Millet./ Photo DDM

C'est à l'EHPAD (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) du Pré de Millet que Serge Foursans, directeur de l'hôpital, Claude Fita, président du conseil de surveillance, et le docteur Dominique Momente, président de la commission médicale de l'établissement, ont présenté leurs vœux aux personnels du centre hospitalier, aux résidents du Pré de Millet ainsi qu'aux bénévoles des associations.

Ce moment a été l'occasion de dresser un bilan de l'année écoulée et d'évoquer les perspectives. L'année 2017 a été marquée par le rapprochement entre les hôpitaux d'Albi, de Gaillac et de Graulhet dont Serge Foursans assure la direction. Les «difficultés récurrentes» de 2017 ont été évoquées sans détour comme l'absentéisme important qui a été constaté et la complexité à gérer la période des vacances. Serge Foursans a aussi souligné la démarche qualité qui a permis au centre hospitalier graulhétois d'obtenir sa certification par la haute autorité de santé. L'hôpital graulhétois se caractérise aussi par une forte implication du tissu associatif qui a été partie prenante de ces vœux.

Pour 2018, pour consolider l'équipe médicale, un nouveau médecin va être recruté à court terme pour le secteur de médecine et des soins de suite et de réadaptation. Dans l'année, un nouveau médecin coordonnateur sera aussi recruté. Serge Foursans a aussi évoqué le projet de consultation avancée pour favoriser l'accès aux avis des spécialistes hospitaliers sur le bassin Carmaux-Albi-Gaillac-Graulhet. Pour Graulhet, il s'articulera avec la future maison de santé. Un autre projet concerne l'activité pharmaceutique qui sera pensée à l'échelle des différents établissements.

«Avec la communauté d'agglomération Gaillac-Graulhet nous voulons dynamiser cette offre médicale et nous avons mis les moyens», a assuré Claude Fita, maire de la ville. Cette cérémonie des vœux s'est terminée avec une collation qui a permis un échange entre les différents acteurs qui œuvrent au quotidien pour l'amélioration de cette structure.


Publié le 26/01/2018 à 09:20  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Paso doble, foxtrot ou tango endiablés aux thés dansants


Près de 300 danseurs se retrouvent en moyenne au Forum /Photo DDM, J-C C

Paso doble, valse, foxtrot, tango, cha cha cha ou polka illuminent régulièrement le Forum de Graulhet grâce à l'Association des Amis de la danse. Depuis vingt-deux ans, le succès de ces thés dansants du mardi après-midi ne se dément pas, bien au contraire.

«Les danseurs se sentent ici chez eux. Ils ont leurs habitudes, leurs tables. Parfois, cela peut poser un souci quand il y a de nouveaux danseurs», souligne avec humour José Paz. Musicien dans l'orchestre Pastourel, directeur musical des Amis de l'Accordéon, quelques mois après sa retraite de la fonction publique, il a mis en place ces incontournables rendez-vous du mardi après-midi.

En moyenne, ils sont 287 (parfois jusqu'à 400) à venir au rendez-vous depuis tout le Tarn, mais aussi de Toulouse, de l'Aveyron ou du Tarn-et-Garonne. La clef du succès ? Même José Paz ne la connaît pas vraiment. «Il y a la convivialité, une très belle salle, le parking est excellent et il a même été amélioré avec les ombrières. On tient aussi à la pause gourmande de 16 h 30 et les musiciens sont toujours au moins quatre». Ceci fait sans doute partie de la formule du succès.

Les bénévoles sont aussi attentifs aux retours des danseurs pour le choix des orchestres. Chaque année, 18 se produisent dans la cité du cuir au cours des 32 dates. Là aussi, on retrouve des musiciens tarnais mais aussi de toute la région. «Il faut toujours avoir du sang neuf et que cela se renouvelle», confie José Paz.

La quinzaine de bénévoles qui constitue l'équipe des Amis de la danse vient préparer la salle, les tables, la buvette et les paniers de gâteaux qui ravissent les gourmands. Une bourriche permet à un heureux gagnant ou une heureuse gagnante de repartir avec quelques bouteilles après un tirage au sort d'un numéro de ticket d'entrée.

Le temps où la salle du forum était coupée en deux par le rideau car trop grande ou bien celui où les thés dansants avaient lieu au foyer Léo-Lagrange semble bien loin à la lumière du succès rencontré par les Amis de la danse.


Publié le 26/01/2018 à 03:54  | La Dépêche du Midi |

Un quatuor de Graulhétois en pleine lumière


Les trois récipiendaires entourant Gabriel Rouyre / Photo DDM, J-C C

La cérémonie des vœux de la municipalité a été l'occasion de mettre à l'honneur quatre Graulhétois et de décerner trois médailles de la ville.

Florian Maurel, le couteau suisse de l'OBF : Le jeune mélomane est arrivé à Graulhet en 2004. Aîné d'une famille de trois enfants, il est entré à l'école de musique de l'Orchestre Batterie-fanfare en septembre 2004 pour y apprendre la batterie et les claviers. Il a intégré les rangs de l'orchestre en septembre 2006 avant de devenir en 2013 chef du pupitre de percussions et professeur de batterie au sein de l'école.

Bernard Rivière, le pilier de l'amicale des supporters : En juin 2000, il rejoint l'Amicale des supporters qu'il préside aujourd'hui. La quarantaine de bénévoles assure les repas d'avant-match, les réceptions et offre le meilleur accueil aux supporters et partenaires des «rouge et noir».

Chantal Peyrissou, une dame au cœur de gélatine : C'est en 1974 qu'elle a rejoint l'entreprise Weishardt où elle ne de vait pas rester très longtemps. Depuis avril 2010, elle est administrative au Crédit Mutuel à Graulhet, qu'elle préside depuis mai 2015.

Gabriel Rouyre, l'arc-en-ciel graulhétois. Il n'a pas été possible de lui décerner la médaille de la ville vu qu'il l'a déjà depuis 1984. Maire adjoint de 1977 à 1983, il a aussi été à l'origine du comité culturel interassociatif en 1983. Avec la revue Arc-en-Ciel (150 parutions), il fait revivre, grâce à ce magazine, l'histoire récente ou plus ancienne de la cité.

 
Publié le 27/01/2018 à 09:47  | La Dépêche du Midi |  G.D.

La palme de l'élucidation revient à la gendarmerie


Brigade et élus sur le perron de la salle communale de Cabanès. / DDM G.D.

Après Busque, c'était au tour de Cabanès et son maire Denis Combet de recevoir la brigade de gendarmerie de Graulhet dont dépend le village, à l'occasion de l'inspection annuelle. Les élus alentours étaient aussi présents. Peu de chiffres officiellement révélés, mais des tendances. La première, confirmée par le chef d'escadron Garrigue, attribue à la brigade de Graulhet le meilleur taux d'élucidation des affaires des 9 unités du secteur qu'il commande. 

Un succès loin d'enflammer les militaires et pour le capitaine Arnaud Pochon, une seule devise, «faire encore mieux en 2018». Dans son discours le capitaine a résumé une année 2017 qui aura connu une quinzaine d'arrivées et de départs dans son effectif, avec beaucoup de jeunes et un devoir pour l'encadrement de faire passer un certain savoir, à l'exemple du major Rossignol qui est arrivé en 1991 et est toujours là après une affectation intermédiaire. «L'année a été riche en termes de police judiciaire et présente un bilan positif. Nous avons comptabilisé 1 500 interventions de jour comme de nuit. Dans le dossier cambriolages, nous pouvons annoncer que nous avons identifié, avec l'aide d'autres brigades, et interpellé la plupart des auteurs. Ceci par un gros travail d'investigation et une réactivité. Nous avons endigué, mais malheureusement pas annulé, les faits». 

Et de citer l'affaire du château de Lézignac dont les apprentis incendiaires ont rapidement été identifiés. Côté routier, aucun mort n'a été à déplorer sur le secteur. Pour le capitaine Pochon, l'année qui débute sera particulièrement active sur le contrôle de l'économie souterraine et la recherche de stupéfiants. «À ce titre, nous voudrions impliquer davantage la population. Nous avons parfois du mal à recueillir des témoignages. Les enquêtes de voisinage donnent de bons résultats mais limités. Un simple appel, un petit renseignement, peut nous permettre de rebondir». Avant de conclure, le capitaine a pu dire toute sa satisfaction des résultats attribués aux systèmes de vidéoprotection dont Graulhet s'est doté et va étoffer son parc, et que Briatexte devrait bientôt installer.


Publié le 28/01/2018 à 03:50  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Du nouveau pour le spectacle historique


Les couturières sont déjà au travail pour enrichir le stock actuel de plus de 6 000 costumes./  DDM G.D.

Pour 2018, seul le nombre de représentations du spectacle historique reste inchangé. Il sera joué les 6, 7 et 8 juillet. Pour le reste, l'association culturelle du pays graulhétois doit assurer le plus grand bouleversement de ces trois décennies passées d'existence. Jusqu'à présent costumes, matériels et ateliers étaient situés à la Ventenayé et le spectacle était donné sur le site de la Bousquétarié. «Soit 20 minutes et 50 allers-retours avant et autant après», explique le président Alain Huc qui a mobilisé son équipe pour déménager l'intendance avenue Marcel Pagnol, dans les locaux de l'ancienne usine Sudre que l'Acpg a récemment achetée. C'est là que les trois représentations estivales auront lieu. 

«Nous allons passer de 1 000 places à la moitié, mais avec l'avantage de rassembler nos activités et de monter définitivement les gradins et autres matériels techniques. Le seul souci sera le parking. La Bousquétarié était le lieu idéal, mais nous avons constaté que nombre de spectacles historiques se font dans les villes et sans stationnement approprié. Regardez par exemple Gaillac et le festival des lanternes !». Les travaux d'aménagement pour accueillir le public ont débuté en même temps qu'Alain Huc et Bernard Livoye, les deux scénaristes de l'Acpg, ont dévoilé ce que sera le spectacle 2 018. «Il sera recentré sur les années de 1900 à 1920. À travers le récit du serveur de l'hôtel Durand, racontera vingt années d'une famille graulhétoise, entre grève, guerres, mariage et rebondissements. Nous allons reconstituer des scènes de vie de cette période au plus juste. L'histoire débutera le 31 décembre 1899». 

Les couturières sont déjà au travail, en particulier pour confectionner les uniformes militaires bleu horizon de l'époque au bouton et galon près. Le 11 novembre, l'Acpg présentera un spectacle inédit dédié au centenaire de la fin de la Première Guerre sur cette même nouvelle aire scénique en bordure du Dadou. «L'objectif sera d'animer au maximum ce site avec des concerts, des journées à thème ou pourquoi pas des expositions». Il y a donc tout à parier que toutes ces nouveautés devraient assurer le plein des gradins en juillet prochain


Publié le 29/01/2018 à 09:15  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Bilan annuel de L'ADDAH


La tribune des intervenants./ DDM G.D.

C'est le 20 janvier qu'a eu lieu l'assemblée générale de l'ADDAH section de Graulhet à la salle de l'Odéon La présidente d'honneur Madame Capin a ouvert la séance en donnant le rapport moral et en insistant sur le fait qu'en 2017 l'action sociale a été portée vers l'école primaire de l'Albertarié ou tous les enfants ont pu assister au cinéma le Vertigo, à un film et à une représentation de l'association «Les pieds nus». L'association a offert un chèque de 200 euros a donné également 200 euros à l'association «Vivre ensemble chez nous», qui anime la maison de retraite du pré Millet.

a présidente départementale et locale, Maryse Escribe, a pris la parole en donnant des informations sur les aidants et notamment le contact auprès des coordonnateurs de l'INFOCLIC de Graulhet (05 63 3 4 01 26), la définition d'un aidant qui assure une présence ou une aide au soutien à domicile d'un bénéficiaire de l'APA. Elle donna de l'information sur l'hébergement temporaire et le séjour de répit ainsi que sur les démarches pour demander l'Aide personnalisée de l'autonomie. Le conseiller juridique Thierry Joly rappela que l'association était toujours en progression au sein du département 3 312 adhérents.

Puis, il donna des informations juridiques en expliquant que l'ADDAH traitait beaucoup de situations, notamment l'amiante qui depuis le 1er juillet 1997 est interdite mais il faut savoir que les pathologies peuvent intervenir plus de 30 ans après. Pour conclure cette assemblée les conseillers départementaux Florence Belou et Bernard Bacabe, Roger Biau Maire Adjoint ont relaté la bonne information incontournable pour leur ville, de l'association, «et surtout ne laisser personne sur le bord du chemin et de répondre à toutes les situations difficiles et surtout l'aide du département dans le secteur social». Une assemblée générale à laquelle ont assisté une belle majorité d'adhérents.


Publié le 29/01/2018 à 08:31  | La Dépêche du Midi |

Graulhet n'a pas tenu à Trélissac


Le Sporting s'est effondré en seconde période./ DDM arch. MPV

C'est avec l'esprit revanchard et un moral regonflé par deux courtes défaites 9-12 à Rodez et 3-6 face à Bagnere que le Sporting Club Graulhétois se déplaçait à Trélissac. Chez le troisième de la poule l'équipe du capitaine Regnier allait avoir un gros challenge à relever. Malgré une bonne première période les Graulhétois n'auront pas réussi à maintenir le cap en seconde période.

Graulhet se fait peur dès la cinquième minute, Terme dégage son camp et Cazeau l'arrière Trélissacois en profite pour mettre le feu dans une défense du SCG pris de vitesse. Avertissement sans frais car les locaux commettent un en avant au moment de cadrer le dernier défenseur. Durant le premier quart d'heure les deux équipes essayent de produire du jeu mais trop de ballons sont échappés. Les Trélissacois tentent de faire sauter le verrou Graulhétois en s'appuyant sur du jeu au ras. La défense du SCG est à la faute et Tallet le buteur adverse en profite pour inscrire sa première pénalité du match. Trélissac accélère encore mais la défense tient bon. Graulhet est réduit à quatorze après le carton Blanc distribué à Harmatiuk et une minute après c'est le seconde ligne Trélissacois Borie qui sort sur carton Jaune. On jouera donc quasiment dix minutes à quatorze contre quatorze. 

Peu après la demi-heure de jeu Graulhet va céder sur un ballon au large et encaisser un essai (0-10 31e). Juste avant la mi-temps Dumont passe les trois premiers points pour son équipe et Trélissac écope d'un second carton jaune. A la pause les Tarnais peuvent garder espoir avec seulement un essai de retard mais la reprise de la seconde période sonne le glas pour les tarnais qui encaissent un second essai. De plus Harmatiuk rejoint une deuxième fois le banc pour dix minutes pour un placage haut. Puis c'est au tour du pilier Martinet Graulhet joue désormais à treize et encaisse un essai de pénalité. Le SCG encaisse donc quatorze points en moins de dix minutes. 

Difficile de jouer dans ces conditions et Graulhet encaisse un quatrième essai avant que Regnier ne sauve l'honneur pour un essai qui restera anecdotique. Désormais Graulhet subit et Trélissac passe la majeure partie du temps dans les 22 mètres du SCG et inscrira même un cinquième essai. Dans une rencontre ou l'arbitre aura sorti pas moins de sept cartons le SCG aura coulé en seconde période en encaissant quatre essais.
Jean-Marc Aué manager de Graulhet.«On est déçu du résultat. On fait une bonne première mi-temps mais on s'est accroché que quarante minutes. Trélissac a montré aujourd'hui qu'il était meilleur que nous maintenant on doit continuer notre opération rachat et ne pas baisser la tête.»


Publié le 30/01/2018 à 09:01  | La Dépêche du Midi |

Le sport auto en assemblée générale


L'assemblée générale a eu lieu dans la salle de la République. / Photo DDM

C'est à Graulhet, salle de la République que l'ASA du Vignoble Tarnais a tenu son assemblée générale en présence de Claire Fita, conseillère régionale, et de Maryse Escribe, adjointe, qui représentait le maire de Graulhet Claude Fita. L''association Auto Sport Passion (ASP) Graulhet est affiliée à l'ASA du Vignoble Tarnais Marilou, cheville ouvrière de l'ASP est membre du comité directeur de l''ASA. A ce titre, cette dernière a accepté d'organiser cette assemblée générale. L'association gtaulhétoise est affiliée à l'ASA du Vignoble Tarnais pour l'organisation de ses compétitions automobiles, tout comme l'Écurie du Val d'Agout, l'Écurie du Sidobre, l'Auto Cross Salvagnacois et l'Écurie des deux rives. 

Les participants ont eu une pensée pour Christian Geromin, président de l'association ASP et ont tenu à lui souhaiter un prompt rétablissement. L'association ASP prépare déjà son rallye Val Dadou 2018 qui est prévu les 19 et 20 mai 2018. Elle tiendra son assemblée générale dans ses locaux le 10 février. L'association compte près de 60 adhérents. Il a été rappelé que les demandeurs d'une première licence doivent passer un examen complet de la vue auprès d'un ophtalmologiste qualifié, examen qui devra obligatoirement comporter la mesure de l'acuité visuelle, l'étude de la vision des couleurs, la détermination du champ de vision, l'étude de la vision binoculaire, une recherche des troubles auditifs et vestibulaires (test de Fukuda conseillé).Les participants ont rendu un hommage appuyé à Marilou et l'ensemble des bénévoles de du club qui chaque année permettent d'offrir un merveilleux spectacle automobile pour le plus grand bonheur des passionnés de rallyes.


Publié le 31/01/2018 à 07:51  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Le Vélo-Club référence départementale durant 20 ans


Une partie de l'école de Vtt devant le local de Nabeillou. / Photo DDM

Cette saison, la présidente Béatrice Bellière va pouvoir fêter ses 20 ans à la tête du Vélo-Club de Graulhet dont l'association initiale a été créée il y a 92 ans. Toujours discrète, préférant agir sur le terrain, elle pourra déjà se féliciter d'avoir maintenu sinon fait reconnaître son club comme l'un des plus actifs du département. Et pour cause, puisque 40 % seulement des effectifs sont des Graulhétois et 60 % viennent de l'agglomération du Rabastinois / Tarn et Dadou / Vère-Grésigne-Pays salvagnacois et d'autres communes comme Albine, Lavaur, Massac-Séran, Prades, Brousse, Viterbe, Lautrec, Labastide-Dénat, Verfeil (31), Lavaur, Saint-Sulpice, Vielmur-sur-Agout, Puycalvel, Lombers, Cabanès, Réalmont, Saint-Juéry, Albi, Montredon-Labessonnié, Villemade (82).

 «Il y en a qui ont plus de 30 km pour venir sur Graulhet», assure-t-elle. Et en ce début 2018, les chiffres annoncent déjà un printemps précoce pour tous les pratiquants du VTT. En 2017, le club a compté 72 licenciés grâce à de l'effectif de l'école de VTT, un chiffre un peu en dessous des 77 licenciées de 2016. En 2018, la nouvelle secrétaire Céline Saintès a compté 82 licenciés club dont 63 jeunes, 61 garçons et 2 filles. La section descente qui a été créée en janvier 2014 sera composée pour la saison 2018 de 4 pilotes. Les objectifs 2017 ont été atteints dans cette discipline qui fait de plus en plus d'adeptes. Depuis septembre 2016, une section randonnée avec pour objectif une sortie tous les dimanches matin connaît un succès grandissant. 

C'est donc en toute sérénité que le Vélo-Club aborde cette saison et va organiser le dimanche 18 mars le cross-country de Nabeillou, coupe régionale de XC et championnat du Tarn avec la participation de poussins (7-8 ans) à masters (50 ans et plus), puis les 16 et 17 juin, les rencontres régionales des jeunes vététistes de Nabeillou, participation pour les poussins (7-8 ans), les pupilles (9-10 ans), les benjamins (11-12 ans), les minimes (13-14 ans) et des cadets (15-16 ans) filles et garçons. «Des rendez-vous de masse qui ne seraient pas possibles sans l'aide de la ville de Graulhet, du conseil départemental du Tarn, de la Région Midi-Pyrénées et des partenaires et sponsors privés que nous remercions». 

En projets à court terme, l'aménagement de zone de trial et maniabilité sur le site de Nabeillou, l'organisation de stages d'initiation et perfectionnement de trial, le travail sur le terrain pour des nouveaux chemins sur les communes de Busque, Puybegon, Saint-Gauzens et communes vers Gaillac, la continuité dans le projet développement durable pour l'aménagement du site de Nabeillou pour la pratique du VTT et les formations fédérales des éducateurs et aux premiers secours.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

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