Graulhet : Rétro Janvier 2018 -1-

21/11/2018

   GRAULHET : Du Bruc à Ricardens   



   Graulhet : Rétro Janvier 2018 -1-   

Publié le 01/01/2018 à 08:33  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Revue Arc-en-Ciel : le dernier numéro ?


Un des derniers numéros de la revue culturelle qui porte le N° 150. / Photo DDM

Combien va-t-il rester de parutions de la revue trimestrielle et culturelle Arc en Ciel, après le numéro 150 qui est déjà disponible dans les points de distribution habituels ? Cette arche irisée qui éclaire depuis bientôt quarante ans le paysage local de ses belles pages, va disparaître au grand regret de son rédacteur en chef Gabriel Rouyre qui dans son éditorial semble accepter l'inéluctable, les supports de communication, comme les habitudes ayant changé, sans parler du lectorat. Toutefois, la rédaction, qui n'a toujours pas – et semble s'être fait une raison- trouvé de succession, espère en préservant le nom, pouvoir éditer des cahiers spéciaux dédiés à des thèmes liés à l'histoire locale. 
Pour ce qu'il en est de ce numéro anniversaire, avec une photo du pont de la Bressolle en couverture, le lecteur pourra retrouver ses chroniques habituelles et leurs emblématiques auteurs.

Comme Jean Chabbal qui a entamé il y a quelque temps, la présentation d'un dossier sur les ponts de la ville et de ses proches alentours en racontant les constructions, les propriétaires, les élargissements, les anecdotes dont leur histoire est emmaillée. Christiane Denaux, Maurice Iché, Michel Larrue et Guy Viala apportent aussi leurs contributions à ce numéro, qui parle de Noël d'Antan, du Nadalet, qui rend à son tour hommage à Johnny national et qui se rappelle de Monal la première supérette de l'époque, départ d'un sujet sur la pléthore actuelle d'enseignes de grande distribution ou discounteurs sur Graulhet. Les temps changent, les modes passent, les écrivains s'essoufflent, Arc en Ciel reste, et restera une référence à titre culturel pour les générations futures. Avec le constat «Rien de nouveau» en préambule, Arc en Ciel vit ses derniers trimestres, et les lecteurs s'en trouvent navrés.


Publié le 02/01/2018 à 07:42  | La Dépêche du Midi |  J-C.C

L'offre d'accueil pour la «petite enfance» évolue


Le multi-accueil «Les Petits Dadou's» a déménagé place Henri-Dunant./ Photo DDM, J-C  C

Depuis hier, l'ensemble des familles domiciliées sur la communauté d'agglomération Gaillac-Graulhet a la possibilité d'accéder de manière indifférenciée aux quinze crèches collectives et familiales. La création de la nouvelle communauté d'agglomération Gaillac-Graulhet il y a juste un an a conduit à une réflexion sur l'exercice de la compétence «petite enfance» et plus particulièrement sur l'accompagnement des parents dans leurs recherches d'un mode d'accueil pour leurs jeunes enfants.

Avec une dynamique démographique forte, l'offre d'accueil petite enfance se devait d'être à la hauteur des besoins des familles qui cherchent à associer vie familiale et professionnelle et qui souhaitent également des solutions éducatives pour leurs enfants.

Deux multi-accueils à Graulhet
Afin de garantir un accès équitable pour tous, des nouveaux critères d'attribution de places en crèches seront appliqués et un suivi centralisé des demandes d'accueil sera mis en place progressivement. Pour inscrire son enfant en crèche la procédure est cependant différente suivant le lieu d'habitation.

Pour les résidents graulhétois il suffit de s'adresser directement à une des structures du territoire. À Graulhet le multi-accueil «Les Moussaillons» est situé 14 bis rue Cardinal Roques. Située à proximité de l'école l'Albertarié, la crèche est installée dans une maison d'habitation réaménagée pour l'accueil de jeunes enfants et dispose d'un grand jardin. Le multi-accueil «Les Petits Dadou's» est quant à lui situé place Henri-Dunant. Depuis janvier 2011, cette structure est un établissement à gestion intercommunale, en accord avec le conseil d'administration de la Caisse d'allocations familiales du Tarn. Pour obtenir de la liste des assistantes maternelles agréées et des informations relatives à la contractualisation avec une assistante maternelle, il suffit de contacter le RAM (relais assistant maternel) communautaire au 05 81 99 68 15 du lundi au vendredi de 13 h 30 à 17 heures.


Publié le 03/01/2018 à 03:50  | La Dépêche du Midi |

Le Père Noël à l'Aéro-Club


Bain de foule en descendant de l'aéronef. /  Photo DDM

L'Aéro-Club a réussi à convaincre le Père Noël de fouler de ses bottes le tarmac de l'aérodrome de Graulhet. «Son agenda étant particulièrement rempli, nous avions convenu de lui mettre un de nos avions à disposition le dimanche 17 décembre», se félicite Jean-Christophe Bernard de l'Aéro-Club. Très motivé malgré la pluie qui était au rendez-vous, il a pointé le bout de sa barbe blanche à 14 h 10, du bout de la piste 28, accompagné d'un de ses fidèles lutins. 

Une ribambelle de petits bambins, alignés sagement devant le hangar, couvés par leurs parents, n'avait d'yeux que pour ce personnage mystérieux, annonciateur d'instant de bonheur et d'émotion. «Sa descente de l'avion a suscité une salve d'applaudissements, encourageant le vieux bonhomme à s'approcher de chacun, qui pour se faire remettre une lettre, qui pour lui chanter une chanson, qui pour demander de venir dans la cheminée de sa maison».

Chacun a eu la possibilité de se faire prendre en photo dans le club house où une distribution de bonbons, gâteaux et chocolat chaud était proposée. Avant de partir, chaque petite tête blonde était conviée à s'installer aux commandes du DR400, décoré pour l'occasion, le Père Noël à droite, et ainsi garder un souvenir de cette belle rencontre grâce à la photo de circonstance.


Publié le 03/01/2018 à 07:42  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Un spectacle festival qui s'annonce haut en couleur


Une grande première pour les 18 voix de Génération Chansons. / Photo DDM

Il y a 2 ans, les chanteurs de l'atelier de l'association Ola n'imaginaient pas encore qu'ils allaient monter sur les planches ! Ce prochain samedi 20 janvier, dès 20 h 30, au Forum de Graulhet, la troupe Génération Chansons sera en piste pour distraire et enflammer la salle et les spectateurs.

Avec costumes, chorégraphies et mises en scène répétés et ajustés depuis plusieurs mois pour présenter de façon dynamique, si possible avec le public, un répertoire de plus de 50 chansons connues de tous qui débutera par l'incontournable et emblématique «Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?».
«Organisée en partenariat avec la ville de Graulhet, cette animation, où l'entrée est libre, est portée par deux associations locales qui ont en commun le désir de présenter des animations grand public et aussi la pratique de la randonnée pédestre», assure Alain Hicter, le président de Graulhet Naturévasion Rando et membre du pupitre de la troupe de variétés.

Ils sont 18 chanteurs, chanteuses et musiciens à répéter pour ce grand rendez-vous, une à trois fois par semaine, selon opportunités du calendrier et disponibilité des interprètes. «Il n'y a pas de chef de chœur, pas de dirigeant «formel», la direction est de forme «collégiale» comme le choix du répertoire». 
Pour ce 20 janvier, une riche liste de chansons est inscrite au programme avec des costumes différents suivant la quinzaine de thèmes abordés. «Inutile de préciser que tout le monde est amateur et bénévole», conclut Alain Hicter, déjà plongé dans les textes de Bambino, de Gondolier et du Chasseur. Un grand moment de variétés haut en couleur, un brin vintage, avec Génération Chansons, une nouvelle émanation des talents locaux.


Publié le 04/01/2018 à 07:42  | La Dépêche du Midi |

Voitures brûlées : la gendarmerie poursuit son enquête


Les deux véhicules détruits étaient stationnés sur la place du Château./ Photo DDM

Après l'incendie de deux voitures (voir notre édition du 2 janvier) les riverains de la place du château s'interrogent, déplorant des problèmes d'incivilité : nuisances sonores et déchets. «Que faire contre ces personnes qui ne semblent plus avoir peur de l'uniforme ?» se demande l'un d'eux qui ajoute «Aujourd'hui je baisse les bras, le pessimisme l'emporte, la santé aussi. Je suis las de voir tout le travail accompli ces dernières années avec le soutien de notre municipalité partir chaque jour. en fumée».

«C'est un acte isolé, à priori rien à voir avec les incivilités des jeunes sur ce site, aucun n'a été vu cette nuit-là. Il s'agit d'ailleurs de la seule intervention entre 23h et 6h, période durant laquelle nous étions en service de prévention. L'exploitation des enregistrements de vidéo protection et l'enquête de voisinage permettront probablement de recueillir des renseignements utiles aux investigations. Un constat qui conduit à s'interroger sur la motivation réelle du ou des incendiaires», précise le capitaine Arnaud Pochon, commandant la brigade territoriale autonome.

Le maire déplore cet acte et assure : «La nuit de la Saint-Sylvestre est toujours calme à Graulhet et je ne veux pas que l'on tire des conclusions hâtives. Nous avons effectivement des problèmes d'incivilités sur le Château. Ne faisons pas d'amalgame entre ces incivilités et l'incendie du véhicule. Les agents de la ville pâtissent chaque jour de ces incivilités : ils nettoient sans cesse les déchets volontairement abandonnés par certains malgré la présence de corbeilles et de cuves enterrées. Nous allons œuvrer ensemble pour que cet espace retrouve sa tranquillité».

Une partie des habitants attend une réunion en mairie, avec la Gendarmerie pour faire le point , idée à laquelle la maire de la ville se dit tout à fait favorable.


Publié le 05/01/2018 à 07:46  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

Une convention signée avec le Foyer Léo-Lagrange


Le centre social est désormais situé place du  Languedoc./ Photo DDM, J-C  C

Lors de leur dernière réunion en séance publique les conseillers municipaux ont évoqué le déménagement du centre social de Graulhet au Foyer Léo-Lagrange et validé une convention entre les parties définissant leurs relations.

Depuis septembre dernier le centre social de Graulhet occupe certaines salles du foyer Léo-Lagrange. Cependant, cette occupation ne donnait pas satisfaction à deux titres : il n'était plus possible de mettre en œuvre l'atelier de «cuisine pédagogique» dans des locaux adaptés et des conflits d'usage s'étaient fait jour au sein de la grande salle du rez-de-chaussée accueillant différentes activités (voir notre édition du 10 octobre).

Aussi, un groupe de travail, composée de représentants du Foyer Léo-Lagrange, du Centre communal d'action sociale (CCAS), d'usagers, de bénévoles et de personnels du centre social, a été constitué et placé sous la coordination de la commune. Il a étudié les différentes hypothèses permettant d'une part de formaliser l'occupation des locaux du Foyer telle qu'elle existe depuis le 1er septembre et d'autre part de résoudre les insatisfactions.

Le groupe de travail a permis de proposer une convention pour permettre d'entériner l'installation du centre social au sein du Foyer Léo-Lagrange et de lui donner la base légale nécessaire par le biais d'une convention de mise à disposition de locaux à titre onéreux. Cette mise à disposition constitue une charge pour le CCAS, qui porte le centre social. La commune de Graulhet y participe au titre de sa politique sociale, sur la part résiduelle restant à couvrir une fois déduite la prestation de service versée par la Caisse d'allocations familiales. Quant aux adaptations futures concernant les occupations des locaux, «elles feront l'objet d'avenants qui seront également soumis au vote de l'assemblée délibérante», souligne la délibération approuvée. «C'est la première étape du pôle social que nous voudrions réaliser à Graulhet sur la place du Languedoc», a souligné Claude Fita, maire de la commune, durant les débats.


Publié le 06/01/2018 à 03:55  | La Dépêche du Midi |  G. D.

Une année en fanfare pour l'OBF


La formation phare graulhétoise va jouer gros en 2018. / Photo DDM

L'année 2017 aura été un bon millésime pour l'orchestre de batterie-fanfare, qui, en réussissant son passage au concours de Dunières, a accédé à la Division Grand Prix. Elle joue désormais dans la cour des grands et entend bien y rester. «Nous avions axé tout le travail de plusieurs mois, voire plusieurs années sur cet objectif», assure Robert Lacourt, le directeur d'une formation qui a aussi brillé sur d'autres scènes en solidifiant encore les liens avec les batteries-fanfares de Roumagnat, Macaye ou Bidart. Mais déjà, les 55 musiciens sont engagés vers d'autres projets. À commencer par le concert du 7 avril prochain au forum.

Une première depuis 2 ans
«Nous ne nous y sommes pas produits depuis deux ans. Pour l'occasion, nous inviterons une formation qui n'est jamais venue à Graulhet». Mais c'est trois semaines plus tard que l'OBF va «jouer gros». Elle a été pour la première fois sélectionnée pour participer au Festival international des cuivres de Limoux. «Depuis trois ans, nous cherchions le bon réseau pour nous donner accès à cette manifestation. Notre devoir sera d'y donner un concert parfait et dans ce monde de musiciens de toute l'Europe et du monde entier, trouver des ouvertures, des contacts et pourquoi pas de contrats», espère Robert Lacourt. L'année qui débute sera aussi consacrée à la poursuite d'un gros projet.

«En 2021, l'OBF fêtera ses 100 ans d'existence. Nous avons donc posé notre candidature pour organiser à Graulhet, le concours de Grand Prix. Le programme partagé entre musique et spectacle devra réunir une vingtaine des meilleures formations nationales et mobiliser les énergies locales». Le dossier est pratiquement bouclé. Les Graulhétois feront aussi une petite tournée en juin au bord de la Méditerranée. «N'oublions pas la formation. Notre école de musique refuse du monde. C'est du travail de fond que nous effectuons pour assurer l'avenir de la formation et pérenniser l'association.»
Les enfants sont accueillis dès trois ans pour un éveil musical, avant de se diriger plus tard vers un instrument. La plupart des musiciens actuels sont passés par là.


Publié le 07/01/2018 à 09:46  | La Dépêche du Midi |

Basket : les seniors battus, satisfactions chez les jeunes


Tout dernièrement, le traditionnel goûter de Noël avec une séance de cinéma au Vertigo a réuni une grande partie de l ‘école de basket./ Photo DDM

Le SCG Basket en entente avec Briatexte pour certaines catégories d'âge, ce qui permet de présenter une équipe dans toutes les catégories de jeunes, fait un bilan mitigé de cette première partie de saison.

Les seniors garçons sont en pré-région, le bilan à mi-parcours est décevant avec une seule victoire, il faudra faire mieux pour se maintenir, mais c'est jouable avec l'apport de nouveaux joueurs. Les seniors filles, également en pré-région, ont le potentiel pour se battre pour la montée. Le début de saison est mitigé avec deux défaites face à des équipes pourtant largement à leur portée.

Le bilan reste néanmoins excédentaire (quatre victoires et trois défaites) mais il faudra faire un quasi sans faute maintenant pour espérer accrocher la seconde place de la poule. Après avoir passé brillamment la phase de brassage, Les U17 filles sont qualifiées pour le haut niveau Pyrénéen. Pour l'instant avec un bilan équilibré (trois victoires et trois défaites), la progression est régulière et encourageante, des progrès supplémentaires sont attendus afin de participer aux phases finales, c'est jouable ! L'équipe 2 en U17 Filles est en entente avec Briatexte et évolue au niveau départemental (deux victoires et trois défaites). Elle progresse régulièrement, un lien existe avec l'équipe 1 qui permet aux meilleures d'aller se frotter au niveau régional. L'intérêt d'avoir deux équipes c'est de permettre de donner du temps de jeu à tout le monde et de préparer l'avenir des seniors filles.

Les U20 garçons progressent dans le jeu
L'équipe U20 Garçons est également en entente avec Briatexte. Peu de victoires (une victoire et cinq défaites) mais une vraie progression dans le jeu, dans un championnat de qualité où l'impact physique et la culture basket sont réels. Les U15 Filles sont un groupe de copines au niveau inégal (deux victoires et deux défaites) , mais elles possèdent quelques éléments à potentiel , la volonté est d'avoir une vraie continuité avec les U17. Les U13 Filles (entente avec Briatexte) sont un groupe jeune, les victoires sont arrivées en ce mois de décembre (deux victoires et une défaite). Très volontaires, la progression est réelle à confirmer en 2018.

En U13 Garçons, deux équipes en entente avec Braitexte : C'est un groupe constitué de dix-sept joueurs , le niveau est très hétérogène mais des joueurs sérieux et appliqués permettent à ce groupe de progresser rapidement.. Les deux équipes évoluent en championnat départemental, les victoires sont rares mais tout laisse à penser que l'année 2018 sera plus prolifique. En U11, là aussi deux équipes dont une en entente avec Briatexte. L'équipe 1 est constituée de joueurs déjà performants et qui fait un quasi sans faute dans son championnat.

La 2ème partie de championnat va être palpitante, avec un objectif de jouer le titre départemental ! L'équipe 2 mixte est constituée de débutants, mais la progression du groupe est certaine. L'équipe U9 mixte est un peu juste en effectif, mais sera complétée avec des joueurs de St Paul/Damiatte pour la seconde partie de la saison.


Publié le 10/01/2018 à 08:47  | La Dépêche du Midi |  G.D.

2017 : année référence pour le cinéma Vertigo


Jakye, la gérante du Vertigo, et son projectionniste Abdel peuvent avoir le sourire./ DDM G.D.

Ouvert en octobre 2013, le cinéma Vertigo suit et dépasse même la tendance nationale en affichant des bilans de fréquentation référence. En 2017, il a comptabilisé plus de 40 000 entrées, soit près de 2 000 entrées de plus par rapport à 2016.

Une situation qui satisfait pleinement Jakye Néri, la gérante, qui avance trois explications pour ce succès. «La programmation de qualité, jamais loin des sorties nationales, le confort des deux salles et les tarifs attractifs. Nous serions parmi les moins chers du département !». Parmi les grosses affluences : «Star Wars», «Sac de billes», «Les Mignons», «Cars», «Raide Dingue», «Au revoir là-haut» ou «Le sens de la fête», le préféré de la gérante. Pour l'année qui débute, Le Vertigo va prolonger ses partenariats avec la médiathèque pour le Ciné-Club, avec la mairie pour Ciné Mômes Ciné Seniors et les conférences sur l'art contemporain, le centre social, la Scène nationale d'Albi, la MJC, le centre Le Lait, l'Afiac ou le Hamac Rouge pour la promotion des films-documentaires et le festival L'Autre Part. 

Côté programmation, des poids lourds sont annoncés : «Les Tuche 3», «La Cht'ite famille», «Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu», «Voyez comme on danse», «Le Grand Bain» ou encore le dernier «Astérix». Tout en gardant les fréquences pour l'ouverture de ses deux salles. «Nous projetons neuf à douze films par semaine, avec un pic à 50 séances pour les vacances de Noël. Vertigo est ouvert toute l'année car désormais il y a aussi des sorties importantes en été», assure Jakye Néri qui peut s'appuyer sur les deux projectionnistes pour faire «tourner la boutique».
 

Publié le 11/01/2018 à 03:52  | La Dépêche du Midi |  J-C. C.

Scrabble : du plaisir et du partage autour des mots


Les passionnés du club de scrabble seront ravis d'accueillir de nouveaux joueurs en 2018./  Photo DDM

S'amuser, se préparer aux compétitions, passer un après-midi, progresser… Les raisons ne manquent pas aux membres du club de scrabble pour se retrouver. Même s'il compte dans ses rangs Pascal Séguier, seul Tarnais qui évolue en série 1A, c'est avant tout le plaisir, celui des mots et du partage, qui domine au club.

Le scrabble, c'est un jeu, un art et presque une science. «Il faut connaître beaucoup de mots, mais aussi savoir anticiper leur placement sur la grille pour obtenir un maximum de points» explique Martine Séguier, présidente du club. Le lundi et le vendredi après-midi, ses membres se retrouvent à la maison des associations pour jouer.

Il y a aussi des commentaires sur les meilleures solutions (car en duplicate, rien n'est laissé au hasard. Tout le monde a le même tirage !) et des conseils pour progresser. Pour ce faire, les membres peuvent compter sur les conseils de Pascal Séguier qui a connu six fois le podium du champion régional, une fois celui du championnat de France individuel et a participé à de nombreuses finales du championnat de France. «J'avais 16 ans quand j'ai vu une annonce dans la Dépêche. Je suis allé au club pour jouer sans savoir comment se déroulait une partie… Et depuis, je suis accro», explique l'audioprothésiste.

Pour progresser au classement, il faut participer à des tournois homologués par la fédération française. Il est aussi possible, grâce à un tirage unique, de jouer simultanément les mêmes parties dans une multitude de lieux en France, voire dans toute la francophonie. En compétition, le temps pour trouver le bon mot est limité.

D'autres formules existent aussi pour jouer en équipe. Une façon de varier les plaisirs autour des mots et des stratégies à adopter.

Le plaisir est d'ailleurs le maître mot. Les licenciés compétition côtoient ici d'autres membres qui sont avant tout là pour s'amuser et, dès que l'occasion se présente, partager un goûter. Car s'il est aujourd'hui facile de jouer seul devant son ordinateur, rien ne vaut un véritable moment d'échanges, chose à laquelle s'emploie le club depuis de longues années.


Publié le 11/01/2018 à 09:08  | La Dépêche du Midi |

Sécurisation du déversoir du lac de Nabeillou


Sécurisation du déversoir du lac de Nabeillou / Photo DDM

Dans le cadre de l'aménagement du site de Nabeillou, des barrières bois ont été posées par les employés municipaux afin de sécuriser le déversoir du lac.
Le déversoir (ou évacuateur de crue) est cette partie enrochée qui permet de dériver ou d'évacuer l'eau retenue par le barrage lorsqu'elle dépasse son seuil limite.

Le site de Nabeillou accueille aujourd'hui de nombreuses manifestations, dont Naturabeillou au mois de mai, le grand feu d'artifice du 14 juillet ou encore des rencontres scolaires.
Tout au long de l'année, cet écrin de verdure est aussi utilisé par de nombreuses associations graulhétoises, offrant de nombreuses activités de loisir, de la pêche à l'escalade en passant par la VTT ou le tir à l'arc.


Publié le 12/01/2018 à 03:50  | La Dépêche du Midi |

La reprise pour tout le monde


Les Balandrades prêts pour la reprise. /  Archives G.D.

Décès. C'est un fidèle supporter, David Sayssac, qui est décédé trop jeune en début de semaine et qui a été inhumé ce jeudi.
Cadets. Ils reprennent ce samedi à 14 h 30 à La Jonquière en recevant Villefranche-de-Lauragais. Les Graulhétois sont en fin de classement.

Balandrades. Ils reçoivent Lévézou-Ségala à 16h à la Jonquière. «Le groupe est bon en qualité mais trop faible en quantité, nous avions un groupe qui tenait la route sur le premier match (victoire contre Lavaur) puis nous avons eu beaucoup de blessés. Les lacunes viennent essentiellement du fait que les joueurs ne peuvent participer qu'à un seul entraînement par semaine et pour bosser ensemble, c'est très difficile. La satisfaction est qu'une bande de copains s'est créée et que ce groupe est motivé et de qualité. Nous sommes 6es sur 8, c'est satisfaisant au vu des équipes que l'on a rencontrées qui sont d'un autre niveau. L'objectif de cette seconde partie de saison sera de rester à cette 6e place et d'aller accrocher la 5e place en remportant nos matchs à domicile», espère le co-entraîneur Audric Pauthe.

Espoirs. Pas une rencontre gagnée en première phase qui se termine ce samedi avec la réception d'Agde à 15h à la Jonquière. Première victoire ?

Équipe 1. Elle a effectué un stage tout samedi et dimanche matin à St-Amans-Soult par l'intervention de Renaud Martinet. «Le but axé seulement sur le rugby étant de retrouver le groupe ensemble durant un jour et demi et prendre le temps de mettre en place des choses nouvelles sur notre jeu. Également de se reconcentrer sur la reprise du championnat après une trêve de 4 semaines et quelques jours de vacances», conçoit Jean-Marc Aué. Pour recevoir Bagnères dimanche l'effectif sera presque au complet, mise à part R. Bille toujours blessé après une opération d'une pubalgie et 2 ou 3 incertitudes à surveiller cette semaine.


Publié le 12/01/2018 à 07:44  | La Dépêche du Midi |

Recensement : 415 habitants gagnés en un an


La ville compte aujourd'hui plus de 1100 écoliers./ Photo DDM

Les chiffres de l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) viennent d'être publiés. Par rapport à l'an passé, la ville a gagné 415 habitants et 742 habitants en cinq ans. Aujourd'hui la ville affiche une population totale de 12 765 habitants, une très bonne nouvelle pour débuter cette année 2018. «En effet, dès notre arrivée à la mairie en 2008 nous nous étions donnés comme objectif premier d'endiguer l'hémorragie démographique : la ville perdait alors 100 habitants par an… C'est donc aujourd'hui chose faite et même mieux, nous gagnons des habitants !», confie le maire de Graulhet Claude Fita, ravi de cette ronde des chiffres. 

Et d'ajouter : «cela représente une augmentation de 6,2 % en 5 ans, 1,2 % par an en moyenne, alors que sur le Tarn la croissance annuelle est de 0,6 %. En tant que maire, c'est une grande satisfaction doublée par le ressenti de l'activité économique : l'industrie se porte bien à Graulhet, l'industrie investit et embauche ! Et les gens viennent donc s'installer à Graulhet parce qu'ils peuvent trouver du travail, de l'immobilier à prix attractif, un large panel d'associations, une programmation culturelle, des équipements sportifs et culturels et un cadre de vie correspondant à leurs attentes».

Cette tendance à la hausse, Claude Fita déclare l'avoir soupçonnée grâce aux ventes immobilières : «fin novembre 2016 nous étions à 180 ventes immobilières et à la même date en 2017 nous enregistrions déjà 240 transactions immobilières».

En comparaison à d'autres villes, sur cette même période, Albi gagne 215 habitants, soit une hausse de 0,4 %, Castres perd 861 habitants, soit une baisse de 2 %, et Lavaur gagne 525 habitants, soit une hausse de 4,9 %. Comme Graulhet, Gaillac bénéficie pleinement de l'attractivité de l'ouest du Tarn et voit sa population croître de 13,3 %.

Jamais depuis près de vingt ans (avec 12 663 habitants en 1999), la ville de Graulhet ne s'était autant rapprochée de la barre symbolique des 13 000 habitants.


Publié le 13/01/2018 à 03:50  | La Dépêche du Midi |

Du Temps Libre à foison


Graulhet Temps Libre lors d'une sortie automnale dans le Gers./  Photo DDM

Entre le goûter animé par l'orchestre de Pascal Fragiacomo que partageront les adhérents au forum ce 16 janvier et la sortie qu'ils feront en juin vers la Tourraine, la Sologne et le Berry, l'association Graulhet Temps Libre a édité pour ses 300 membres un programme riche en sorties et rendez-vous. Le 25 janvier, Nathalie Dumontier présentera ses carnets de voyage en Chine. Le 8 février, GTL fera sa crêpe-party à la Courbe et le 15 ira visiter le planétarium de Montredon-Labessonnié. Le 22, ce grand voyageur graulhétois qu'est Raymond Fau donnera une conférence sur ce lointain Myanmar qu'il connaît si bien. Le 8 mars, les Poètes sans Frontières déclameront leurs meilleures rimes, le 15 une sortie déplacera l'association jusqu'à la Cité de l'Espace. 

Le 22, elle ira visiter le musée du chocolat et la vieille ville de Lisle- sur-Tarn, et le 29 mars, Guy Arnaud animera une conférence sur Guernica. Une diversité que les deux présidentes Anne-Marie Arruffat, Jackie Roques et leur bureau ont voulue nécessaire, en contrepartie du fonctionnement quotidien et hebdomadaire de Graulhet Temps Libre, partagé entre les ateliers de peinture, d'art floral, d'histoire de l'art, d'œnologie ou d'heures en piscine. Sans oublier la photo, le scrabble, les marches, la gym, l'aquagym, la danse et la couture. De quoi satisfaire de plus en plus d'inconditionnels des animations de l'association qui centralise la plupart de ses animations dans la salle municipale de la place Bosquet.


Publié le 13/01/2018 à 12:20  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Le club de généalogie est sur la pente ascendante


Le mercredi après-midi, ils sont nombreux à fréquenter la salle d'Agenda./ DDM.G.D.

Incommensurable ! C'est la perception qui domine quand le non-initié aborde avec les passionnés du club Agenda les prémices de la généalogie. Une science exacte qui demande en premier lieu patience, perspicacité, persévérance et rigueur. Ils sont des dizaines à fréquenter régulièrement les locaux de la rue Saint- Jean pour y consulter les archives papier ou les milliers de données du club et y faire partager les expériences et les savoirs. C'est Jean Chabbal qui préside depuis 18 ans ce qui est désormais le club le plus important du département et qui, par son savoir, gère et croise les recherches de ses 175 adhérents dont beaucoup «descendent» d'Albi ou la spécialité n'a pas pignon sur rue. 

«Nous venons de rentrer 12000 actes sur la base du club. Ce qui met 1700000 actes de disponibles pour recherches. Nous arrivons à répertorier toutes les communes du département au sud du Tarn et travaillons à récupérer celles du côté de Lacaune que nous n'avons pas encore». Autour de lui, les généalogistes plus ou moins confirmés s'affairent. «Nous en accueillons de nouveaux qui, souvent, espèrent découvrir des ascendances chez les nobles. Ils ont 5 % de chance d'en trouver, autant en pourcentage que d'ancêtres qui ont été bagnards». Christiane Denaux, 38 ans de généalogie, a retrouvé sinon un forçat, une tante partie aux Amériques. «À la faveur d'un coup de chance, sur une liste d'embarquement, j'ai trouvé le passeport et la photo». À ses côtés, Sylvette, 30 ans de recherches, voit dans la généalogie plus que la trouvaille. 

«C'est l'intérêt de situer sa famille dans l'histoire, dans les lieux, dans le quotidien». Pour Gisèle, les après-midi sont régulièrement consacrés à la saisie des relevés papiers. «Elle use les claviers», assurent ses partenaires de recherches qui sont aussi spécialistes de paléographie, ou étude et lecture d'écritures anciennes. Seule Alyne se démarque un peu. Originaire de Vendée, elle recherche en solitaire ses ascendances dans les actes de cette région. «Notre conseiller c'est Jean, c'est un puits de science généalogiste», assurent-elles en chœur.


Publié le 13/01/2018 à 12:21  | La Dépêche du Midi |

Premier bilan à mi-saison et paella à la trêve


Tennis de table / Photo DDM

La première phase du championnat est terminée. A l'heure du bilan, en Régionale 4 poule C, l'équipe 1 du Graulhet tennis de table termine à une honorable troisième place et entend bien faire mieux dès la deuxième phase. En Départementale 2, l'équipe 2 arrache le maintien dans la douleur et aspire à une deuxième partie de championnat plus tranquille. Elle sera d'ailleurs rejointe au même niveau par l'équipe 3 qui termine deuxième de la Départementale 3 et accède donc au niveau supérieur. 

A saluer les performances des jeunes Simon Bru et Quentin Gerardo qui sont depuis de nombreuses années au club. Janvier, verra la création d'une équipe 4 pour encadrer les plus jeunes qui vont découvrir le championnat par équipes en départementale 3. Le club du Graulhet Tennis progresse encore et attaque 2018 avec toujours de nouvelles ambitions, tant dans les compétitions par équipes qu'individuelles, mais toujours dans un esprit très famille.


Publié le 13/01/2018 à 12:25  | La Dépêche du Midi |  Recueilli par G.D.

Julien Pauthe : «Il faut que le groupe ne fasse qu'un»


Les Graulhétois sont revanchards par rapport au match aller./ Photo E.C.

A 24 heures de la reprise, entretien avec le coach des avants Julien Pauthe.

Vous avez profité de la trêve ?
Nous avons fait un gros travail physique, ce qui nous a fait défaut en début de championnat. Puis nous avons intégré du rugby avec des modifications. Nous avons mis tout ça en place lors du stage à Saint-Amans où nous avons pu observer que les mecs se sont approprié ce projet.

L'équipe est loin de ses objectifs au moment de la reprise ?
Oui, car le premier objectif était de rester invaincu à la maison et de sortir de la zone rouge. Pour le moment, nous sommes en plein dedans, ce qui s'explique en partie par le nombre de blessures, le fait que nous ayons changé beaucoup de choses. Nous nous sommes aussi un peu trompés sur notre recrutement car certains joueurs ne sont pas à la hauteur.

De gros packs à venir (Bagnères, Blagnac, Lavaur…) celui de Graulhet est-il capable de soutenir la comparaison ?
Oui, car nous avons pu voir nos progrès sur les deux derniers matchs, à Valence d'Agen surtout contre Rodez. Ils ont montré des valeurs propres au club. Les joueurs n'ont rien lâché même avec ces résultats.

Graulhet va pouvoir profiter de tout son effectif (sauf Bille et Gouveia) ?
Nous allons pouvoir faire enfin des rotations, mettre un peu de concurrence surtout en première ligne et puis ça fait du bien au moral quand tu vois tout le monde à l'entraînement.

À Bagnères, les Bigourdans vous avaient fait quelles impressions ?
Très bonne en conquête, surtout en mêlée et sur ballons portés. Ils jouent assez simple mais efficace avec un gros défi physique autour des rucks avec un 5 de devant puissant et un centre assez perforant. Ce match est très important. Le plus, si nous gagnons, cela nous permettra de nous détacher de Lombez et de pouvoir regarder la 9e place et de gagner en confiance.

Qui détient la clef du match au Sporting ?
C'est le groupe, mais surtout les avants qui ont une revanche à prendre par apport au match aller où nous avions été humiliés. Deux essais sur mêlée et un sur maul de 20 mètres. Au vu du temps qu'il va faire, la conquête sera la clef du match. Mais je suis assez confiant. Il faudra que le groupe ne fasse qu'un.


Publié le 14/01/2018 à 10:29  | La Dépêche du Midi |

Les graulhétois ont tutoyé l'exploit


Pétanque - Boules lyonnaises / Photo DDM

Le lub bouliste graulhetois a tutoyé l'exploit en cédant dans les derniers instants face au leader Balaruc les Bains. Les matches se suivent et se ressemblent , avec un dénouement habituel qui a vu les locaux s'incliner encore une fois dans la dernière mène du jeu traditionnel .
Malgré une belle opposition dans les courses ils n'ont pu prendre que 2 points sur 12 possibles. Lors du premier relais Aussenac et Larroque réalisaient leur meilleure performance de la saison avec un bon 39 sur 47 tirées face aux jeunes héraultais qui faisaient 41 sur 53 .

Le 2° tour relançait les locaux avec 3 succès obtenus par J. Venzal , Boumedienne et D.Venzal . Miquel prenait un défensif pour porter le score à 11 à 13. Dans le 3° tour Boumedienne perdait de peu son tir progressif 25 à 27, et les relayeurs étaient en échec face aux Languedociens. LE score passait de 12 à 19. Le sans-faute était interdit pour le 4° tour, et les Graulhétois s'y sont employés si tant est qu'à 5 minutes du coup de sifflet final la tendance pouvait s'inverser. La doublette Boumesla-Larroque gagnait son épreuve, l'autre équipe J M Larroque-Miquel cédait 7 à 8.

Après avoir eu 2 boules de gagne Cestari dans son tête à tête n'obtenait qu'un nul 11 à 11. En perdant 8 à 10 La triplette J Venzal-D. Venzal-Boumedienne ramenait un point défensif.
Force est de constater que cette équipe de Balaruc les Bains n'est pas première par hasard , car elle était mieux armée surtout pour les épreuves de courses .


Publié le 14/01/2018 à 10:30  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Une nuit de la lecture pour conter et déguster


Karine, l'une des animatrices de la nuit de la lecture a organisé une expo sur ce thème./ DDM G.D.

Le samedi 20 janvier l'équipe de la médiathèque Marguerite Yourcenar sera mobilisée pour faire vivre la seconde édition de la Nuit de la lecture. Cette manifestation nationale, initiée par le ministère de la Culture, a pour objectif de faire découvrir de façon festive et ludique bibliothèques et librairies. Fort du succès de la première édition, plus de 250 000 visiteurs en 2016, nombreuses sont les bibliothèques et libraires qui resteront ouvertes à la nuit tombée. «Pour la médiathèque d'agglomération il était donc important de participer à cette action et de marquer une fois encore sa volonté de s'ouvrir au plus grand nombre» assure Karine De Fenoyl la directrice de ma médiathèque de Graulhet. 

De14 à 23 heures les bibliothécaires Graulhétois se mobiliseront donc pour partager une expérience inédite dédiée aux contes et à la lecture. Il se dit même que certains seront costumés ! Au programme, jeu de piste numérique à travers la ville, création de masques sur le thème du Chat Botté, contes sensoriels et contes en pyjama pour les plus jeunes, lectures dans le noir, pour les plus grands. «Pour l'occasion, le prêt de documents et les inscriptions seront possibles jusqu'à 21 heures».

À 21heures, la Classe d'ensemble du Conservatoire du Tarn- Antenne de Graulhet, prendra place pour la représentation en avant-première du conte musical «Le Chat Botté» . Pour parfaire l'ambiance festive soupe et boissons chaudes seront offertes pour réchauffer les visiteurs d'un soir. «Et sur le principe de l'auberge espagnole chacun est invité à apporter un plat, une spécialité culinaire, qui seront partagés autour de la soupe, cuisinée de main de maître, par l'Association les Amis du jardin». À partir de 19h, Christophe Adell, herboristerie à Damiatte, offrira une dégustation d'infusion bio. Toutes ces animations sont gratuites, sur inscriptions pour certaines. Renseignements et détail du programme sur le site de la Médiathèque, media.ted.fr.

«À noter, la Librairie Attitude délocalisera sa boutique et proposera au sein de la médiathèque une vente d'ouvrages en lien avec les contes et lectures proposées tout au long de la soirée». Une belle idée de sortie pour un samedi soir. A ne pas manquer.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

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