Graulhet : Rétro Août 2017 -2-
GRAULHET : Du Bruc à Ricardens
Graulhet : Rétro Août 2017 -2-
Publié le 16/08/2017 à 07:40 | La Dépêche du Midi | Recueilli par G.D.
Coutoufly au sommet de son art dans tous les ciels d'Europe
J.-Luc Coutouly et son association arrivent à tout faire voler. ou presque. / Photo DDM
Entretien avec Jean Luc Coutouly, cervoliste confirmé de retour des festivals italiens.
Vous avez commencé vos activités de cervoliste quand ?
Depuis plus de 10 ans je fabrique, je couds, je colle, je rêve et fait rêver les autres. J'ai rencontré les cerfs-volants en faisant de l'animation dans un centre de vacances, Un cervoliste fabriquait des cerfs-volants avec des gens. Moi musicien, peintre, technicien, électro… un peu fou. J'ai trouvé ma voie, faire avec le vent une autre forme de poésie et communication positive. J'ai appris, j'ai pesté, j'ai inventé. Ainsi sont nés des jardins du vent et cerfs-volants. Je continue toujours de fabriquer et fais des actions dans le milieu scolaire pour donner envie aux marmots de rêver un peu. Ce losange multicolore qui file en toute liberté dans le ciel constitue un parfait trait d'union entre l'univers des adultes et celui des enfants, qui retrouvent ainsi la joie et l'envie de jouer de la même manière, en criant ensemble leur allégresse.
Retraité ou en activité ? Age ?
J'ai 58 ans et savoure ma retraite en donnant du temps pour des comités de fêtes, des claés, des écoles et bien sûr des festivals de cerfs-volants en France et à l'étranger.
Quels sont les grands moments depuis le début ?
Les meilleurs moments sont souvent le partage avec les enfants, avec les écoles du département, Cadalen, Labessiere Candeil, Montclar du Quercy, Lacaune. Bien sûr j'ai monté mes jardins aux vergers de Montdragon, aux jardins des Martels, ou sur la place de Briatexte.
Vos plus beaux souvenirs ?
Je rentre de 2 festivals internationaux en Italie, ou les jardins sont spectaculaires et très apprécié, un grand succès
Une anecdote ?
Lors du festival de Blond Limoges Près d'Oradour-sur-Glane, petole (pas un souffle de vent) tous les cerfs-volants par terre, je suis devenu le roi. Environ 5 000 personnes se sont rabattues sur mes jardins et mon stand de découpe bouteilles plastique avec qui je fabrique des éoliennes. J'ai sauvé le festival et gardé la bonne humeur pour tous et heureusement le vent est revenu.
Des projets pour la suite ?
À Agen en septembre, à Longuegineste et Alban en octobre.
Publié le 17/08/2017 à 08:50 | La Dépêche du Midi |
La seconde randonnée du Mesturet se prépare
Souvenir des récompenses de la première édition./ Photo DDM
À pied ou à vélo, sur route ou par les chemins… Chacun pourra participer comme il le veut à la seconde édition de la randonnée du Mesturet organisée par Dadou Cyclotourisme le 3 septembre prochain à Graulhet.
Le mesturet est un gâteau de courge et de farine parfumé à l'orange qui fait le plaisir des cyclistes graulhétois après ou pendant l'effort. Pour les mériter, les cyclistes auront trois circuits sur route à parcourir à l'ouest de Graulhet. Un casse-croûte aura lieu à Puybegon sous le préau de la salle des fêtes mis à disposition par la municipalité. Le verre de l'amitié sera partagé vers midi. Les inscriptions auront lieu de 7 h 30 à 9 h 15 à la maison des jeunes et de la culture.
Pour celles et ceux qui voudraient sortir des sentiers battus deux circuits rando VTT sécurisés et balisés seront aussi proposés. La collation offerte sur les circuits aura lieu à En Galinie sur la commune de Briatexte. Le verre de l'amitié sera aussi partagé à midi.
Les marcheurs ne seront pas en reste avec une randonnée pédestre. Ils partiront en covoiturage jusqu'au village de Puybegon où ils emprunteront un circuit balisé, accompagnés par Anne et Line. Le départ sera donné à 9 heures et le retour aura lieu vers midi. Le casse-croûte aura lieu sur la commune de Puybegon.
Un circuit de découverte
Un dernier circuit de découverte sera aussi proposé, convenant aux adultes et aux enfants. C'est Bruno qui amènera les participants jusqu'au village de Puybegon par le petit col des Calmettes pour une promenade découverte de 28 km. Elle sera l'occasion d'admirer les paysages de collines que les paysans savent si bien agencer. Le départ aura lieu à 9 heures pour un retour aux alentours de midi pour les récompenses et l'apéritif.
Publié le 17/08/2017 à 08:50 | La Dépêche du Midi |
Le premier match amical est vendredi
Le quatuor d'entraîneurs est prêt pour la grande reprise. / DDM G.D.
Stage. Le stage de cohésion à Saint-Enimie a permis de tisser les liens dans l'effort – la rando a été jugée très usante-. Seule ombre au tableau, la grave blessure au dos du jeune nouveau joueur Aubin Bascoul, hors terrain, qui a chuté lourdement d'un parapet.
Amical. Le Sporting entame sa saison par un match amical ce vendredi 18 août à 20h au stade Noël-Pélissou face à Villefranche-de-Lauragais. Première revue d'effectifs et premières impressions sur les nouveaux joueurs.
Arrêt. Les examens ont révélé deux hermies discales au niveau des cervicales et du canal rachidien. Interdiction de jouer a donc été formulée par le corps médical à Audric Pauthe, qui va désormais se consacrer à l'éducation des jeunes du Sporting.
Horaire. Initialement prévue le dimanche 8 octobre, la rencontre Bergerac-Graulhet a été avancée au samedi 7 à 19h30.
Espoirs. Ce sera au tour des espoirs de participer au stade de début de saison, les 26 et 27 août à Luz-Saint-Sauveur, avant une première rencontre amicale le 2 septembre à Castanet.
Publié le 18/08/2017 à 08:05 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
À la découverte de l'immeuble d'Albert Melissent
L'imposant édifice trône fièrement au cœur de la ville./ Photo DDM, J-C C
Il est immanquable lorsqu'on traverse la ville. Le magnifique immeuble du XIXe siècle situé à l'angle des avenues Léon-Gambetta et Victor-Hugo, avec son clocher et son horloge, attire forcément les regards. Cette construction est l'œuvre d'Albert Melissent, architecte et professeur de dessin géométrique dans les écoles de la ville de Paris.
Comme beaucoup des édifices de ce type, l'immeuble très éclectique multiplie les détails attirant l'œil. Un escalier évasé mène à l'entrée située au centre, sous un balcon en pierre. Le rez-de-chaussée est lui aussi en pierre alors que l'étage est en brique avec un parement de pierre blanche. Chaque centimètre carré de la façade est exploité avec des frontons triangulaires qui surmontent les fenêtres. Ceux des façades latérales pour leur part dépassent la corniche. Au-dessus de la corniche à modillons, un oculus (ouverture pratiquée sur un comble de voûte) très ouvragé soutient un parallélépipède qui porte une horloge cubique.
Cette horloge qui donne l'heure aux passants de la place Elie-Théophile, est couverte par un clocher à flèche de charpente et ardoise. La petite note douce réside dans le joli sourire des visages sur les clés du rez-de-chaussée. Le sourire énigmatique du visage sculpté sur la clef de voûte évoque même une «Joconde graulhétoise». Si l'immeuble Melissent fait partie de la vie des Graulhétois, il attire et suscite la curiosité chez celles et ceux qui découvrent la ville. Ils peuvent y trouver là une certaine grâce mise en évidence avant d'aller peut-être explorer d'autres richesses du patrimoine graulhétois qui savent se montrer plus discrets.
Publié le 18/08/2017 à 08:05 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
C'est l'heure des travaux dans les écoles
Quelques semaines avant la rentrée des classes, les ouvriers s'affairent dans les écoles de la ville./ Photo DDM, archives
Tout devra être fin prêt dans quelques jours. En cette période estivale, les travaux vont bon train dans les écoles de la ville où peuvent s'opérer les tâches importantes, impossibles à réaliser en période scolaire.
«On s'est concentré sur la peinture au niveau de l'école de Crins, notamment du hall qui en avait grand besoin, et au niveau de Victor-Hugo, suite aux travaux dans le self-service», explique Thierry Cayla, chef de service. Dans l'école Victor-Hugo, le self a été démonté pour agrandir la cantine. Cela permet d'augmenter le nombre de places et qu'il n'y ait plus qu'un seul service pour que tous les enfants puisse manger ensemble. Cet aménagement permettra aussi que le mercredi les enfants du centre de loisirs d'En Gach y prennent leurs repas. Les travaux se sont achevés avec une réfection au niveau du sol.
Outre les travaux de peinture, les écoles ont toutes vu cet été des câbles tirés par les électriciens à l'exception d'En Gach où cela avait déjà été réalisé. «À la rentrée toutes les salles de classe de la ville auront un accès à Internet», explique Thierry Cayla.
Planification des travaux
Électriciens, menuisiers, plombiers, maçons… Autant de corps de métiers qui œuvrent toute l'année pour réaliser les travaux dans les bâtiments publics. Durant l'été, un roulement est à organiser pour que les travaux puissent avoir lieu dans les délais impartis. Car si certains travaux peuvent être réalisés en cours d'année dans les écoles, d'autres nécessitent l'absence des élèves. «Les enseignants font part dès le printemps des travaux à réaliser dans les écoles. Nous avons ensuite à établir les priorités en fonction des besoins et des disponibilités» confie Thierry Cayla. Certains menus travaux peuvent être effectués presque immédiatement. D'autres sont d'ores et déjà planifiés pour les «petites vacances» à venir, notamment ceux qui ont cours dans les salles de classe. Cette organisation permet que la «grande» rentrée, celle de septembre, se déroule dans les meilleures conditions possibles.
Publié le 19/08/2017 à 07:47 | La Dépêche du Midi | Propos recueillis par G.D.
La fréquentation du spectacle historique a ravi les organisateurs
L'Acpg a déjà envisagé la formule du spectacle 2018. / Photo DDM
Un mois après le spectacle «Les Historiales de Graulhet», un premier bilan de la saison 2017 peut être tiré par Alain Huc, président de l'Acpg, et Francis Auriol, son adjoint. Interview.
Quelle fréquentation pour cette saison ?
Une fréquentation en hausse qui rejoint l'étiage des années précédentes. On se souvient qu'en 2016 la représentation du vendredi soir avait du être annulée en raison d'un fort orage et que celle du samedi avait été compromise en raison d'une alerte météo. Nous sommes satisfaits d'autant plus que les après-midi montent également en puissance avec de plus en plus de spectateurs. En contact, grâce à la Fédération française des fêtes et spectacles historiques à laquelle appartient l'Association culturelle du Pays graulhétois, avec d'autres organisateurs de spectacles du même type, il semblerait que la tendance générale soit à la
baisse cette année… Certains spectacles ont aussi disparu de l'offre comme le spectacle de Valence-d'Agen qui, cette année, a abandonné les évocations historiques pour des soirées à thème.»
Il a beaucoup été question de certains anciens qui ont fait défection…
Justement, le nombre de membres de l'association et de figurants -malgré ce que l'on peut entendre ici ou là- est en augmentation. C'est l'autre point de satisfaction. Certes, un certain nombre d'anciens ont fait défection cette année, mais de nouveaux sont arrivés et surtout des jeunes ! Avec un solde positif de plus 14 par rapport à 2016.
Qui sont les spectateurs ?
Une tendance qui se confirme d'année en année : la représentation du dimanche soir accueille de plus en plus de touristes venus de département éloignés. Les représentations des vendredis et samedi s sont plus fréquentées par les locaux ou départements limitrophes en notant une forte augmentation des habitants de Castres et malgré les difficultés de circulation originaires du Gaillacois.
Vous repartez pour 2018 ?
Il est encore un peu trop tôt pour parler de la prochaine saison mais le staff de l'ACPG réfléchit à plusieurs pistes. Tout d'abord, mettre en place un système de fidélisation qui permettra de récompenser» les adhérents et figurants les plus fidèles. Ensuite continuer à travailler sur l'offre des après-midi avec une meilleure structuration et une offre plus étoffée afin que ceux qui ne peuvent se déplacer le soir puissent aussi accéder à des évocations et spectacles historiques. Il y a dans l'air aussi de nouveaux projets, mais il est encore trop tôt pour les évoquer. En tout cas, 2018 sera l'année du changement pour l'ACPG et à tous les niveaux… et peut-être même avant la fin de cette année.
Publié le 21/08/2017 à 08:05 | La Dépêche du Midi | G.D.
Campagne d'abonnement sans précédent au Sporting
Le président David Gau avec Jacques Bessières, graulhétois qui réside à Grazac, abonné depuis 50 ans. / Photo DDM
«La Fédération l'avait promis et elle a bien fait les choses» assure David Gau, le président du Sporting, depuis qu'il a pris connaissance de la composition des poules de fédérale 1. «Tous les déplacements sont réalisables dans la journée. C'est reposant pour les joueurs et encourageant pour les supporters» rajoute Daniel Sannou, qui porte la double casquette d'animateur de la commission sportive et propriétaire du tabac presse de la place du Mercadial, qui propose depuis quelques jours les cartes d'abonnement au Sporting (elles sont aussi disponibles au siège du club square Foch).
Et de mémoire d'inconditionnel comme Jacques Bessières qui soutient le club depuis 50 ans, on n'avait pas vu un parcours du supporter aussi accessible. Sur onze clubs qui composent la poule, sept sont en Midi Pyrénées, les quatre autres en toute proximité. «Ce sont donc vingt rencontres que les abonnés graulhétois vont pouvoir suivre, le plus lointain déplacement nécéssitant trois heures seulement de voiture». On est donc loin des expéditions à Strasbourg, Mâcon ou Grasse de la saison dernière». Pour l'exercice qui va débuter ce 10 septembre à Bagnères de Bigorre, le Sporting a donc lancé une campagne d'abonnements qui se veut sans précédent.
Un courrier a été envoyé à tous les anciens abonnés, même à ceux qui ont «oublié» de renouveler l'adhésion la saison dernière et la section communication a écourté ses vacances. «Outre le fait d'une rentrée d'argent nécessaire et immédiate, l'abonnement permet d'assurer sa fidélité au club». L'amicale des supporters, pour confirmer la tendance à la stabilité des prix, va proposer une formule repas d'avant match et match à tarif préférentiel pour les abonnés. Enfin, comme depuis une petite dizaine d'années, l'entente avec Lavaur pour accueillir les abonnés des deux clubs a été renouvelée.
Publié le 22/08/2017 à 07:40 | La Dépêche du Midi | Propos recueillis par J.-C. Clerc
Christian Delfaut, «tête chercheuse» du CO
Christian Delfaut déniche des «perles rares» pour le CO./ Photo DDM, J-C C
Christian Delfaut, directeur du centre éducatif multisport, arrivé à Graulhet en 1982, occupe aujourd'hui une fonction essentielle au sein du Castres Olympique.
Comment avez-vous intégré ce poste ?
Je suis un très vieil ami de Christophe Urios. En septembre 2015 j'ai décidé d'arrêter toute activité pour prendre recul et repos. En septembre il m'a sollicité pour savoir si j'avais un peu de disponibilité pour un projet.
Qu'est-ce qui vous a décidé à dire «oui» ?
Je dois avouer que cela me manquait. J'ai besoin d'être dans le rugby en permanence. La motivation est ce qu'il m'a proposé me semblait intéressant. J'ai passé l'âge de faire du terrain.
En quoi consiste votre fonction ?
Il faut aller voir jouer des équipes, des joueurs, créer une base de données pour voir qui pourrait intégrer le CO. Je suis un anonyme dans les stades. J'ai fait toute la pro D2 l'an dernier et quelques matches de fédérale 1 élite. J'ai eu la chance de découvrir plein de choses qu'on ne voit pas quand on est sur le terrain comme entraîneur. J'ai rencontré des gens formidables, c'est un travail qui me plaît énormément même s'il y a beaucoup de route à faire. Il faut deviner les cultures de jeu, dénicher une perle rare…
Que deviennent ces informations ?
Je les donne à Christophe et lui travaille sur le recrutement qu'il veut faire avec tout son staff et son président. Un autre responsable du club a plus pour mission de travailler sur les jeunes alors que je suis plus sur les joueurs pros. Un club aujourd'hui a besoin d'une quarantaine de joueurs mais quand on va chercher un joueur On n'a pas le droit de se tromper. Outre les qualités techniques et d'intelligence de jeu il faut aussi que la personne s'intègre au tempérament et aux exigences du staff.
Publié le 23/08/2017 à 08:07 | La Dépêche du Midi | G.D.
Derniers jours des vacances à la Courbe
Ce vendredi, la Courbe accueillera les parents pour la fête qui précède la fin des séjours et la rentrée. / Photo DDM
Depuis le 7 août, les nouvelles équipes d'animateurs «fraîches et reposées» ont pris le relais pour débuter les nouveaux programmes avec des activités diverses et variées pour remplir au mieux les journées des enfants qui fréquentent depuis début juillet le centre de loisirs de l'amicale laïque à la Courbe. Pour les maternelles, les enfants ont vu débarquer un bateau pirate avec ses occupants «le capitaine Frizé et le capitaine Izzy». Ils ont pu également partir à la recherche du «capitaine Crochet» qui avait dérobé la carte au trésor. Pour cela il a fini dans la prison du bateau.
Durant la seconde semaine, ils feront la connaissance d'autres personnages qui viendront leur donner des indices pour continuer l'aventure et trouver le trésor. Les 5/6 ans sont partis au lac de Nabeillou pour faire diverses activités (escalade, trottinettes, et balades…) Ils sont aussi allés voir les animaux exotiques au zoo Exoticamis vers Réalmont. Les ans ont pu découvrir les fleurs et les animaux du Jardin des Martels de Giroussens. Voilà les temps forts de ce début de séjour, mais les journées des enfants sont rythmées avec de nombreuses activités manuelles et sportives et aussi la baignade quand le temps le permet.
Les 7/11 ans, après une semaine riche en activités : aventures Kho La Courbe, accrobranche, escalade, cabanes, veillées et sorties à Angolaine pour les 7/8 ans, à l'archipel pour les 9/11 ans et à Trampoline Park pour 12/15 ans, le dénouement de la quinzaine aventure se fera avec l'association «Terre mère» : épreuve de lancer, armes de jets, allumage du feu…
La troisième semaine, Courb'land ouvre ses portes avec des attractions et des activités diverses. Mercredi : karting à pédales, hoverboard, skate électrique, pour les 7/11 ans mais aussi combats de sumo, attrape mouche, rodéo… de mardi à vendredi. Initiation au beat box de lundi à mercredi pour les 12/15 ans. Au fil des jours, les enfants vont préparer de nombreux numéros pour la soirée du vendredi 25 août où tout le monde est convié à venir les applaudir. Cette soirée sera sous le signe de la fête avec des danses, des défis avec la participation de tous et une parade en présence de la mascotte de Courb'land et de tous les personnages venus rendre visite aux enfants de la Courbe. A partir de 18 h 30, possibilité de se restaurer avec son pique-nique ou des sandwichs et frites vendu sur place.
Publié le 24/08/2017 à 08:08 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
L'usine Tignol laisse place aux Résilianes
La démolition de l'usine est achevée./ Photo DDM, J-C C
L'usine Tignol, friche industrielle qui jouxtait la médiathèque Marguerite-Yourcenar, n'est plus. Elle va laisser place à un projet de résidence pour personnes âgées, Les Résilianes.
Les Résilianes sont des résidences avec services pour personnes âgées autonomes. La résidence Les Résilianes de Graulhet est un premier ensemble de 15 pavillons (huit T2 et sept T3).
«On cherchait la possibilité de réaliser des résidences pour personnes âgées non dépendantes et qui pourrait bénéficier de services pour prolonger le plus longtemps possible leur autonomie», explique Charles Moreau, président des Résilianes Pastel, qui précise : «Tout ce qui concerne l'entretien intérieur ou extérieur des maisons individuelles ou encore le linge de maison peut être pris en charge ainsi que, suivant les besoins, un accompagnement administratif, des animations ou la surveillance».
Une structure ouverte
Si les repas peuvent être concoctés à la maison, ils peuvent aussi être livrés par la cuisine située à deux pas. C'est d'ailleurs cette situation géographique, la proximité immédiate de la médiathèque, du ciné et du parc de Millet qui a favorisé la création de la résidence. Loin d'être fermée sur elle-même (il n'y a pas de salle de réunion), le point fort du projet est son ouverture avec de nombreux partenariats, notamment avec les associations de la ville. «Cela fait longtemps qu'on est sur ce projet. C'est la première résidence qu'on réalise. Avec une dizaine de personnes nous avons constitué l'association des Résilianes. Cependant, pour pouvoir finaliser les constructions, nous avons dû créer une société» , explique Charles Moreau.
La structure associative gérera la coordination des services, les gestions et les conventions avec les partenaires.
D'ores et déjà, plusieurs autres résidences de ce type sont à l'étude à Cadalen et Lasgraïsses. Il est possible de contacter l'association en téléphonant au 06 78 09 23 12 ou au 05 63 33 05 21.
Un traitement par pôles sur les friches industrielles
Jouxtant la médiathèque, l'usine Tignol, devenue une friche industrielle, détonnait dans la plaine de Millet où se trouvent maison de retraite du Parc, médiathèque, cinéma et passerelle flambant neufs.
Avec le partenariat de privé, la ville poursuit son traitement des friches industrielles et l'aménagement de son territoire. Le site accueillera à l'issue des travaux habitations pour les seniors .
Ainsi la logique d'aménagement de pôles se poursuit. Ces résidences seront à proximité immédiate de la maison de retraite. La médiathèque et le cinéma assoient quant à eux le pôle culturel. En plus du pôle sportif stade-piscine , la rocade devrait voir dans les années à venir la Maison de santé qui, avec le laboratoire d'analyse, concrétisera le pôle médical.
Publié le 25/08/2017 à 07:28 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
De la bière locale à «la bière de terroir»
Stéphane Dumeynieu et Léa Aussel./ Photo DDM, J-C C
C'est un projet que Stéphane Dumeynieu nourrissait depuis longtemps. En 2009, le brasseur était allé chercher des rhizomes de houblon dans le nord de la France. Finalement c'est une houblonnière qui vient de voir le jour à côté de la brasserie des Vignes. «Je savais qu'avec le développement des brasseries on aurait un problème au niveau du houblon, notamment en bio. Le projet est resté embryonnaire jusqu'à l'arrivée de Léa Aussel, stagiaire à la brasserie dans le cadre d'une convention avec le CFP de Brens sur la thématique du bio», explique le brasseur. Cet hiver, ils sont allés chercher des rhizomes sauvages de la ville.
Difficile pour l'heure de savoir quelle sera la production, mais les trente pieds plantés ne couvriront pas les besoins. Après une récolte aux alentours de la mi-septembre (en fonction de la maturité), elle devrait permettre d'assurer un ou deux brassins début novembre avec le refroidissoir. Ce système permet d'avoir ses propres levures. «Si le houblon graulhétois a lui aussi des caractéristiques particulières, on passera alors de l'appellation «bière locale» à celle de «bière de terroir», espère Stéphane Dumeynieu. Du houblon local va être envoyé à la coopérative de houblon français qui va analyser les caractéristiques aromatiques et amérisantes pour homologuer cette variété spécifique à la ville.
«Avec le manque de houblon, quelle que soit la variété, en bio ou en conventionnel, il faut parfois commander en Nouvelle-Zélande, ce qui pose un problème pour le côté «bio et pour le portefeuille» , souligne le brasseur. Installé depuis treize ans, il peut maintenant travailler sur la production de houblon secteur pour lequel les investisseurs se montrent très frileux.
On devrait pouvoir goûter - toujours avec modération - le fruit du premier brassin aux alentours de Noël. Et ensuite ? Le projet prévoit la création d'un conservatoire et peut-être l'implantation d'autres plans en ville de cette plante qui est aussi ornementale.
Publié le 26/08/2017 à 03:52 | La Dépêche du Midi | G.D.
L'objectif est de finir dans les quatre premiers
Les deux duos d'encadrement aux côtés du président Thierry Ménager et du manager Michel Cuxac. / DDM G.D.
Si le Football-Club graulhétois était un homme, il serait Michel Cuxac, aujourd'hui manager et passé par tous les postes de l'encadrement du club. S'il était un jardin, ce serait le stade de l'Estarié, dédié à ce sport, sur lequel les Graulhétois ont perdu une seule fois la saison dernière contre Gaillac. S'il était une couleur, outre le traditionnel bleu et blanc, il serait multicolore, tellement il se fait un devoir de promouvoir la mixité sociale dans ses équipes. Mais le président Thierry Ménager redevient plus pragmatique quand sonne l'heure de la reprise. «J'ai repris la présidence il y a un an. J'ai pris la température et mis plus de rigueur dans le fonctionnement. Côté sportif, je m'attache à plus développer le secteur éducatif, en mettant les résultats immédiats en marge.
L'objectif est le respect des autres. Après, tout n'est que littérature... Côté financier, le budget n'est pas extensible. Nous pourrons être plus ambitieux si les résultats suivent et nous facilitent les contacts avec les partenaires». Comptant sur une cinquantaine de seniors, les FCG a repris ses entraînements depuis le 31 juillet, sous les ordres de Patrice Insa qui avait pris le relais en fin de saison dernière de Cédric Massol, malade. Celui qui a déjà entraîné cinq saisons entre 2008 et 2013 peut compter sur un staff dévoué à sa philosophie.
Associé à Zoubir Amdouni pour l'équipe 1 et à Mhamed Amghar et Grégory Odiot pour la réserve, il peut donc s'appuyer sur la connaissance du groupe. «Et insister sur le travail tactique, ce secteur qui fait le plus défaut aux deux équipes. Notre objectif sera de finir le championnat dans les quatre premiers de la poule qui seront montés en PH. Car la PL dans laquelle nous évoluons étant supprimée la saison prochaine, les clubs suivant au classement descendront en District». L'entame du championnat qui débute le 3 septembre contre Naucelle pourrait donc s'avérer essentielle. Trois départs dans l'effectif ont été compensés par cinq arrivées et autant d'intégration de jeunes joueurs ou de retours à la compétition. L'Estarié devrait encore être dur à prendre.
Publié le 27/08/2017 à 10:15 | La Dépêche du Midi | G.D
Les féminines auront leur cours de self défense
Se défendre, les filles ont plébiscité le club pour apprendre. Ou pour combattre sur un ring. / Photo DDM
De simple initiation jusqu'à présent, la Self-Défense va devenir un vrai cours dès la rentrée au club Boxing Savate, section historique de l'Omnisports. Dispensé le lundi soir dans la salle Mourad El Bahri, il sera dans un premier temps réservé aux seules féminines à condition qu'elles aient plus de 15 ans.
«Cette création répond à une demande de plus en plus forte. On sent de plus en plus d'intérêt pour apprendre les gestes de base de l'autodéfense qui peuvent sauver de certaines situations, avec des méthodes simples et adaptées à toutes» assure El Hiamine Mansouri le président du club, mais aussi animateur de la séance aux côtés de Pierre Dorso. Une extension des activités qui risque d'étoffer le nombre d'adhérents -130 l'an dernier-, d'autant plus que le Boxing Savate ouvre aussi un cours de boxe anglaise -poings seuls- adultes qui va se partager entre initiation, éducation et compétition.
«Cette discipline abordée la saison dernière durant les séances de pieds-poings du mercredi, doublée d'un circuit training, permet de conjuguer le cardio, la musculation et la gestuelle sur un unique atelier». Le club passera donc de trois jours d'ouverture par semaine de la salle qui est mise à sa disposition au complexe Robert Primault, à cinq en gardant les sections qui ont fait son succès. Il en va ainsi de l'école de boxe qui a compté jusqu'à soixante enfants les mercredis et samedis.
«L'objectif premier du club restant dédié à la formation et à l'éducation. Dans un autre registre, nous arrivons à former des compétiteurs et la saison dernière nous sommes fiers d'avoir amené trois filles à décrocher deux médailles de bronze et une d'argent sur des finales nationales, malgré les coûts de ces déplacements souvent lointains qui nous obligent à de gros efforts financiers. Mais nous devons aussi encourager celles qui veulent combattre et se mesurer». Des disciplines qui plaisent aussi aux gars du rugby, régulièrement intégrés dans les cours du Boxing Savate pour l'intensité des efforts et le mental à acquérir. Une mixité sportive qui a assis le club depuis des années.
Publié le 28/08/2017 à 08:59 | La Dépêche du Midi | G.D.
Vol à voile : il plane sur les podiums européens
Hugo Corbillé, garde la tête froide malgré la chaleur sous les cockpits. / Photo DDM
Bon sang ne saurait mentir. Hugo Corbillé a fait ses premiers pas de pilote, à 13 ans, lors d'un stage découverte alors que son père Patrice était déjà chef-pilote à l'association tarnaise de vol à voile, basée sur l'aérodrome de Graulhet. «J'ai été d'emblée, séduit par le fait de voler en planeur, d'utiliser les éléments, de savoir s'approprier la météo, les ascendances, de répondre au défi permanent de rester en l'air». A 22ans ou presque il est déjà aujourd'hui au sommet de son art et plane depuis quatre mois au-dessus des podiums nationaux et européens.
Elève à l'école d'ingénieurs et Sup Aéro à Toulouse, en envisageant déjà une carrière dans l'aéronautique, il profite d'une année de césure pour se mesurer avec les meilleurs pilotes du vieux continent. En intégrant le Pôle Espoirs National basé dans les Alpes, in ne cesse, selon sa volonté, de progresser dans le registre de la compétition. En mai dernier, il a remporté le titre européen, à Fontenay Le Conte, en duo avec Killian Walbrou, champion de Monde. «Une chance unique de voler avec un tel pilote chevronné. J'ai beaucoup appris et si nous avons fini premier, le titre lui revient, car je me considère en apprentissage».
En juin, lors du National Air à Romorantin, en solo, il a fini 4e et premier de sa catégorie. En juillet, en République Tchèque, il a terminé 5e en duo avec Walbrou. «J'ai découvert le haut niveau et les perspectives de futures compétitions». Enfin, mi-août, à Chalon en Champagne, en solo, il a pris la 3e place des championnats de France Juniors. «J'étais 2 jusqu'à la dernière épreuve, durant laquelle j'ai fait une erreur, en ne sachant pas anticiper la météo». Dans quelques jours, il va aller en Nouvelle-Zélande, pour encore apprendre. «C'est un pays qui m'a toujours attiré. Pour ses conditions de vol, et ses paysages. Je vais profiter de mon diplôme d'instructeur pour former à mon tour de jeunes pilotes».
Un parcours de haute volée qui s'inscrit dans la dynamique du club grauhétois dont il est l'actuel unique représentant au haut-niveau, remerciant au passage le Conseil Départemental, qui le soutient et La Rue des Artisans qui est son principal partenaire.
«C'est le couronnement de toute une politique de formation des jeunes du début jusqu'à la compétition. Pour rappel, le club a été classé à la deuxième place nationale dans la catégorie moins de 25 ans, en 2016 et les juniors représentent 50% de nos membres» précise Patrice Corbillé, père comblé et attentif au devenir d'un fils qui voit le ciel s'ouvrir devant lui.
Publié le 29/08/2017 à 07:41 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
Une première entreprise de profilage dans le département
La production est lancée chez Barde profils. L'entreprise est bien placée sur le marché régional./ Photo DDM, J- C C
S'il est question de profilage, il n'est pas ici question de crime mais seulement de tôle chez Barde profils. La structure qui vient d‘ouvrir ses portes offre un service unique dans le département et Alain Barde croit dur comme fer dans son succès.
Grâce à de puissantes machines, les rouleaux de tôle sont façonnés, profilés, laminés, pour devenir des tôles de bardage et de couverture, un élément essentiel dans le bâtiment. Aujourd'hui les transporteurs doivent parcourir de nombreux kilomètres sur les routes avant que les produits n'arrivent sur les chantiers tarnais. «Nous sommes les seuls dans le Tarn et dans la région, il faut aller dans le Lot pour trouver une société qui va proposer le même produit que nous , explique le chef d'entreprise qui souligne les trois semaines d'attente constatées dans le département avant de pouvoir être livré.
De la pose à la production
Avant de se lancer dans la production, il y a eu une expérience de vingt ans dans la pose de ces produits. Si le façonnage de la matière est un autre métier, la connaissance du produit et de l'attente des clients a été un atout. L'entreprise propose la réalisation au millimètre près de couvertures et de bardages ainsi que d'accessoires d'étanchéité.
Une fois le projet lancé, il a fallu trouver un bâtiment adéquat. Malheureusement, les Graulhétois n'ont pas dû trouver en ville le site permettant d'accueillir un pont roulant. Pour manipuler les bobines qui pèsent entre 5 et 20 tonnes. Aussi ils ont dû s'exiler à quelques kilomètres, à Laboutarié, pour donner vie au projet.
L'entreprise est sûre d'avoir fait le bon choix dans un site central au niveau du département, donnant sur l'axe Graulhet-Albi, près de l'axe Castres-Albi et de l'autoroute A68. Après un retard dans la livraison des machines, l'entreprise est à présent opérationnelle et prête à livrer des enseignes spécialisées qui souhaitaient déjà passer commande lors de la création de la société en décembre dernier.
Publié le 30/08/2017 à 08:18 | La Dépêche du Midi | G.D.
Le plein de float-tubes sur les deux lacs
Maurice Tissandié et son groupe d'organisation du 2e concours de float-tubes./ DDM G.D.
«Ces concours en float-tubes dépoussièrent, rajeunissent l'image de la pêche» reconnaît d'emblée Maurice Tissandié qui avoue préférer le plancher des vaches des bords de rives pour taquiner le goujon, aux milieux de lacs, palmes aux pieds et accoudé à sa bouée gonflable à traquer les gros poissons. Ce lundi, aux côtés de ses collaborateurs, le président de l'Aappma locale mettait l'ultime touche de détails à l'organisation du deuxième concours de float-tubes qui aura pour cadre les deux lacs de Miquélou et de Nabeillou, ce dimanche 3 septembre, toute la journée.
«Par rapport à l'an dernier, nous avons abandonné le Dadou. Sur la rivière, le premier qui passe prend du poisson. Les suivants ne prennent rien», assure David Vicente, largement investi dans la propagande de cette forme de pêche et dans un concours déjà promis au succès. «Nous avons déjà inscrit 23 pêcheurs. C'est le maximum que nous puissions caser sur les deux lacs. Ils seront répartis après tirage au sort du matin.» L'an dernier, pour la première, c'est l'Albigeois Sébastien Grenon qui l'avait emporté devant un Graulhétois, Romain Vicente.
Sang froid conseillé
«La pêche au leurre sera la seule technique autorisée. Pour ce dimanche, les écho-sondeurs seront aussi autorisés. Les poissons seront mesurés à chaque prise puis relâchés. Sur les lacs il y a des sandres, des black-bass, des broches, des perches et des silures» dont quelques-uns seraient de taille respectable, assure Olivier Graniczni qui partage avec David Vicente la même passion pour cette forme de pêche. «Car elle permet d'accéder, surtout en rivière, à des sites de pêche qui ne sont pas accessibles par les rives, parfois en milieu urbain.» Une discipline assez récente qui fait de plus en plus d'adeptes. «Le float-tube, outre le matériel adapté, nécessite pas mal de sang-froid dans le cas de grosses prises, avec montée d'adrénaline assurée et une petite condition physique pour pouvoir palmer à remonter le courant», reconnaît David Vicente qui envisage un jour de créer un club dédié au float-tube.
Publié le 30/08/2017 à 08:18 | La Dépêche du Midi |
Bonne participation à l'assemblée des chasseurs
Bonne participation à l'assemblée des chasseurs / Photo DDM
L'Association des chasseurs a tenu son assemblée générale le vendredi 25 août à la salle de la démocratie de la mairie de Graulhet où quelque 35 % des chasseurs sur 80 cartes étaient présents. Le président Alain Nari donna le rapport moral et le trésorier le rapport financier, le vice-président Patrick Delbosc fit un état des piégeages de l'année 2016-2017.
Maryse Escribe, maire adjoint, en conclusion, déclina que l'association est à l'écoute des citoyens pour des problèmes particuliers et elle remercia le président, le bureau, les piégeurs pour leur implication en notant que la chasse doit avant tout rester un sport de loisir. Ouverture le 10 septembre.
Publié le 31/08/2017 à 08:52 | La Dépêche du Midi |
Des cours de yoga à la OLA
Les cours ont lieu à la maison des associations./ Photo DDM
Depuis de nombreuses années, Marion Chauquet propose des cours de yoga au sein de l'association graulhétoise. La fin de l'été et le retour au stress de la vie quotidienne peut être un moment propice pour franchir le cap.
Les mouvements simples sont accessibles aux débutants et il n'est pas nécessaire d'être souples pour pratiquer le yoga, discipline qui participe au renforcement musculaire, assoupli les articulations et améliore la qualité du sommeil.
Publié le 31/08/2017 à 07:59 | La Dépêche du Midi | J-C. C.
Des travaux et des projets au collège Louis-Pasteur
Valérie Charpin, principale du collège Louis-Pasteur. / Photo DDM, J-C C
Cette année le collège Louis-Pasteur devrait accueillir 790 élèves contre 775 en juin dernier. Cette augmentation est liée au plus grand nombre d'élèves de sixième mais aussi à une augmentation des effectifs de la SEGPA.
«Les effectifs des classes seront autour de 26 ou 27 élèves «rassure Valérie Charpin, principale du collège graulhétois.
Durant la pause estivale d'importants travaux ont été réalisés dont la réfection des sols sur plusieurs niveaux et dans des salles d'enseignements de SEGPA ou encore le changement des canalisations d'eau extérieures.
Pendant les vacances d'octobre d'importants travaux vont être réalisé avec l'implantation d'un nouveau système qui modernisera la sonnerie et améliorera l'alerte des PPMS (plan particulier de mise en sûreté). «Avant la fin de l'année civile une réfection des portails d'accès aura lieu avec une automatisation des portails» confie Valérie Charpin.
Cette année est aussi marquée par la consolidation des EPI (Enseignements Pratiques Interdisciplinaires) introduits l'an dernier. Grâce des assouplissements un nouveau va être proposé en troisième. Ayant pour thème les droits des femmes, il concernera le français et l'histoire-géographie. Celui sur le charbon et les énergies renouvelables qui concernent les élèves de quatrième sera enrichi de la contribution des professeurs de français.
De projets sont en cours dans l'établissement. «Le premier concerne le développement des apprentissages par le numérique pédagogique. De nombreux enseignants, notamment en langues ou mathématiques travaillent avec l'outil numérique» souligne la principale. Deux ateliers feront leur apparition durant la pause méridienne. L'autre axe fort est celui de l'amélioration du climat scolaire et du «vivre ensemble» et de la responsabilisation de l'élève. l'an dernier un conseil de vie du collégien a été créé ainsi que des ateliers citoyens avec les personnes effectuant au collège leur service civique. L'établissement va poursuivre cette année son travail dans cette voie.
Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
Partagez sur les réseaux sociaux
Catégories
Autres publications pouvant vous intéresser :
Commentaires :
Laisser un commentaire
Aucun commentaire n'a été laissé pour le moment... Soyez le premier !