Tourisme Midi-Pyrénées - Guide de l'été 2014 : Haute-Garonne

20/7/2014

Publié le 03/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014
 
La belle histoire des plantes au Muséum

Les jardins du Muséum / Photo DDM

Le Muséum d'histoire naturelle de Toulouse exploite quatre hectares de jardins et de potagers autour de l'étang de La Maourine, dans le quartier Borderouge.
Le Muséum d'histoire naturelle de Toulouse, c'est aussi quatre hectares de nature, sauvage ou maîtrisée, qui pousse autour de l'étang de la Maourine, dans le quartier de Borderouge.

Les Jardins du Muséum proposent des visites accompagnées. Elles partent de l'Ombrière, sous un treillage en bois qui recrée les conditions favorables à la végétation d'un sous-bois de la région toulousaine avec un bassin de plantes aquatiques des blocs de granite. Le visiteur flânera alors dans les «Potagers du Monde», un vaste jardin recensant les plantes alimentaires des cinq continents. Trois carrés à thème, aromatiques, sucreries et Bacchus, sont aussi cultivés dans ce potager planétaire aménagé autour d'une noria et de bassins alimentés par un circuit en eau fermé. Direction la Roselière (un plan d'eau couvert de roseaux) où différentes espèces d'oiseaux y ont aménagé leur nid. On peut y accéder accompagné d'un médiateur par un sentier de découverte. Plus loin, on se fraie un passage sur le sentier oublié, offert aux arbres et aux oiseaux. Les Jardins de la Maourine, ce sont aussi des expositions et des ateliers. Un incontournable de l'été !
Contact :  Tél. 05 67 73 84 84. http://www.museum-toulouse.fr


Publié le 03/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Toute la tribu à Pyrénées Hô !

Pyrénées Hô 
 / Photo DDM

En plein cœur du Comminges, à 1 h 15 de Toulouse et à deux pas de l'Espagne, découvrez Pyrénées Hô, un parc aventure 100 % nature, aménagé au beau milieu d'arbres et de rochers.
En famille ou entre amis, venez défier les cinq éléments, au sol ou en hauteur, des sensations pour tous !

Le parc propose une multitude d'activités ludiques (karting à pédales, souterrain, frisbee, golf…) et après un plein d'adrénaline dans le Free Jump, vous pourrez goûter un repos bien mérité dans des tipis sous les bois.
Goûtez au défi des cinq éléments à travers des parcours en hauteur sur arbres et rochers : franchissez les espaces sur des ponts de singes, escaladez des rochers et laissez-vous glisser sur la tyrolienne géante.

Vous pourrez aussi vous balader pieds nus sur un sentier de 600 mètres de sentiers.
L'aventure en toute sécurité : la ligne de vie continue, un système de sécurité, équipe les enfants de 3 à 11 ans. Une aire de pique-nique, un barbecue et un parking sont à disposition des visiteurs.
Contact : 05 61 94 08 36 http://www.pyrenees-ho.com


Publié le 01/07/2014 à 15:33   | La Dépêche du Midi |  Guide de l'été 2014

 
Où se baigner en milieu naturel ?


Lac de Saint-Ferréol, à Revel / Photo DDM

La baignade est autorisée et surveillée dans trois plans d'eau de Haute-Garonne : leslacs de Saint-Ferréol, de l'Orme Blanc à Caraman et celui de L'Isle en Dodon.

Se baigner gratuitement, en pleine nature, sur une page surveillée ? La Haute-Garonne vous ouvre ses plans d'eau. Dans le département, seuls trois plans d'eau sont autorisés à la baignade, avec des lieux aménagés et surveillés. Le Lac de Saint-Férréol, celui de l'Isle en Dodon et de l'Orme blanc à Caraman. Sur ces trois sites, des analyses d'eau sont effectuées régulièrement durant la saison estivale par les services de l'Etat.

La star des plans d'eau, c'est le lac de Saint-Ferréol, à Revel. La baignade, qui s'étire le long d'une plage de sable fin bordée de pins maritimes, est ouverte du 1er juillet au 31 août et surveillée tous les jours jusqu'à 18 h 30, jusqu'à 19 h 30 le week-end. La qualité de l'eau est bonne. Avec ses hôtels-restaurants, ses parcours cyclables, l'arboretum et les nombreuses animations proposées par des moniteurs diplômés, c'est l'endroit idéal pour passer l'été en famille.

Plus petit mais très accueillant, le lac de L'Isle-en-Dodon est ouvert entre le 5 juillet et le 31 août. C'est l'île aux enfants : les plus petits peuvent faire leurs premiers pas dans une eau de bonne qualité, s'éclater sur de grosses bouées ou faire du pédalo. La baignade est surveillée et l'entrée payante : 2,40€ et 1,70€ pour les enfants.

Le lac de l'Orme Blanc, à Caraman, est un site touristique d'un calme exceptionnel ouvert aux baigneurs en juillet et août. Une plage recouverte de sable fin est délimitée dans la partie supérieure du lac. Elle jouxte le site aqualudique dont l'accès est payant. Un chemin de promenade aménagé permet d'effectuer le tour du lac (1,5 km) et de profiter de zones ombragées. La pêche y est aussi autorisée.


Publié le 01/07/2014 à 15:31 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Plein soleil pour Toulouse plages


Toulouse Plages / Photo DDM

Toulouse Plages, qui a attiré 350 000 personnes l'année dernière en bord de Garonne, s'ouvre le 12 juillet, mais le 19 juillet Prairie des Filtres.

Organisé par la mairie de Toulouse entre le 12 juillet et le 24 août, Toulouse Plages s'étend sur plusieurs sites en bord de Garonne : la Prairie des Filtres ; le Quai de l'Exil Républicain Espagnol ; le Quai de La Daurade ; et l'espace EDF Bazacle et sa grande terrasse ensoleillée.
La Prairie des Filtres regroupe les activités sportives — base nautique, jeux de plage, terrains de beach (soccer, rugby, volley), fitness, danse, trampoline, pétanque —, les jeux sur herbe, l'espace détente et les animations. Ceux qui aspirent au calme pourront se détendre sur des chaises longues à l'ombre des grands arbres. Et bien sûr les espaces enfants avec jeux gonflables, toboggan, espace bébé, ludoplage…

Quai de l'Exil Espagnol, la grande roue propose un panorama unique de Toulouse de 11 heures à 23 heures. Elle restera jusqu'au 7 septembre.
Sur l'autre rive, le Quai de la Daurade accueillera à l'heure de l'apéro, des bals et des concerts dans le cadre du festival Toulouse d'été. La terrasse de l'espace EDF Bazacle est, elle, dédiée à la lecture. On peut ainsi bouquiner l'un des romans de l'été confortablement assis sur une chaise longue.


Publié le 01/07/2014 à 15:30 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Près de 200 km de pistes cyclables

La piste cyclable du quai Lombard ./Photo DDM, Thierry Bordas

La Haute-Garonne, c'est la promesse de longues et belles balades à vélo en toute sécurité. Près de 200 kilomètres de pistes cyclables ont été aménagés à destination de tous, enfants, familles, cyclistes amateurs comme sportifs confirmés.
Quatre itinéraires (une voie verte et trois parcours cyclables) ont été tracés dans le département, notamment au fil de l'eau, en bordure de Garonne ou du canal du Midi. Une voie verte le long du canal du Midi relie Toulouse à Avignonet-Lauragais sur une distance de 40 kilomètres à l'ombre des platanes séculaires.

Autre parcours cyclable_ : le canal de Garonne entre Toulouse et Saint-Rustice sur 20 kilomètres. Le parcours de la Rigole de la Plaine va de Revel à Saint-Félix-Lauragais sur 17 kilomètres, de Saint-Ferréol au lac de Lenclas. Enfin, le parcours cyclable de la Garonne s'étend sur 106 kilomètres entre Cierp-Gaud et Carbonne pour découvrir les bords de Garonne de village en village.


Publié le 01/07/2014 à 15:30 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Sur les chemins de Compostelle


 / Photo DDM

Les chemins de Saint Jacques de Compostelle, c'est l'autoroute estivale des randonneurs. En Haute-Garonne, on peut passer par Toulouse et Saint-Bertrand-de-Comminges.

C'est un chemin spirituel pour les uns, une exaltante randonnée pour les autres : dans le département, deux chemins mènent à Saint-Jacques-de-Compostelle. Le premier, c'est celui de la route d'Arles, qui passe par Toulouse, soit une centaine de kilomètres entre Revel, dans le Lauragais, et L'Isle-Jourdain, à la frontière du Gers et de la Haute-Garonne. Le pèlerinage se déroule entre la fin du mois de mars et la fin octobre : à cette période, ce sont près de quatre mille pèlerins qui traversent chaque année le département. Ils trouveront asile dans deux gîtes : à Revel et à Baziège.

Par ailleurs, les pèlerins de passage à Toulouse sont accueillis chaque jour entre 15 heures et 18 heures à la basilique Saint-Sernin, où ils peuvent se faire tamponner leur «créancial» ou «crédencial», le carnet du pèlerin, avec le tampon de la basilique en latin : «sancti saturnini tolosae». Autrefois, les pèlerins faisaient étape à Toulouse, à l'Hôtel-Dieu qui les accueillait et les soignait avant qu'ils ne poursuivent leur route. Aujourd'hui encore, une grande coquille Saint-Jacques, posée dans les jardins de l'Hôtel-Dieu, vient rappeler ce passé. L'autre chemin qui mène à Compostelle passe par le sud du département. C'est la voie du Piémont, qui longe les Pyrénées jusqu'au Somport via Saint-Bertrand-de-Comminges, site inscrit au patrimoine mondial de l'Humanité.

Attention cependant avant de vous lancer dans l'aventure : la quête de Saint-Jacques-de-Compostelle nécessite un minimum d'entraînement. Marchez régulièrement deux mois avant le départ. N'oubliez pas d'alléger votre sac (il ne doit pas dépasser 15 % de votre poids)… et munissez-vous d'un bon bâton !


Publié le 01/07/2014 à 15:28 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Martres-Tolosane : les maîtres du feu


 / Photo DDM

À Martres-Tolosane, neuf ateliers perpétuent la tradition de la faïence depuis plus de trois siècles.

Au pied des Pyrénées, dans le Comminges, le village de Martres-Tolosane perpétue la tradition de la faïence depuis plus de trois siècles. À l'origine, les premiers faïenciers se sont installés dans le village au début du XVIIIe siècle. Ils avaient trouvé là d'importants gisements d'argile, leur matière première. Ces artisans venaient de Luneville, Moulins et Nevers. La pièce la plus ancienne connue est un plat à barbe traité en camaïeu bleu, portant à son revers l'inscription «Joseph. Delondre 1739». Les faïenceries actuelles de Martres-Tolosane travaillent encore avec les mêmes techniques ancestrales. 
Les ateliers utilisent la technique de cuisson du «grand feu» : une première cuisson à 1030° puis la décoration à 980°. «Le décor ainsi intégré à l'émail fait de la pièce une faïence inaltérable» explique Stéphanie Joffre, artisan et présidente de l'association des faïenciers de Martres-Tolosane. Longtemps, l'ibis fut le motif le plus courant sur les faïences. S'il demeure encore très présent, les six artisans encore établis au cœur du village proposent leurs propres décors. L'art de la table constitue l'essentiel de la fabrication mais les ateliers proposent aussi des luminaires ou des bijoux. Les ateliers se visitent. Coulage, estampage (le travail de la pièce sur le moule) jusqu'à la cuisson : vous pourrez observer toutes les étapes de la fabrication, comme il y a trois cents ans !


Publié le 01/07/2014 à 15:27 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
La grande fête des vins de Fronton

 / Photo DDM
 
Pendant trois jours à Fronton, Saveurs et Senteurs du Frontonnais célèbre les vins de Fronton et les produits du terroir dans une ambiance festive et musicale.
Saveurs et senteurs la grande fête des vins de Fronton du Frontonnais, la grande fête des vins de Fronton, se déroulera du 22 au 24 août. Les vins AOC de Fronton et son cépage, la négrette, attirent chaque année pendant trois jours plus de 25 000 visiteurs. Vingt-huit viticulteurs feront déguster leurs vins. Les produits du terroir sont également présents: porc noir, canards gras, bœuf gascon, fruits et légumes du frontonnais, ail de Cadours etc. Le tout en musique !


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014
 
Le musée du pastel fait voir la vie en bleu

Des pigments de pastel. - MICHEL LABONNE - DDM

Le pastel a fait la richesse de la région toulousaine. On redécouvre ses vertus aujourd'hui dans un vaste complexe, Terre de pastel.

Son bleu est unique au monde. Et sa culture a fait la richesse de Toulouse et des plaines du Lauragais à l'époque de la Renaissance. Capable de colorer les étoffes en bleu, le pastel fut un produit très recherché qui a contribué à construire le patrimoine de notre région : certains hôtels particuliers de Toulouse sont issus de l'argent du pastel. C'est pourquoi on appelle le pastel «l'or bleu».

Depuis l'été 2013, un lieu lui est dédié aux portes de Toulouse : Terre de Pastel, qui regroupe spa, musée et restaurant à Labège Innopole. Ce complexe de 1 500 m2 exploite les vertus de la plante, par exemple dans le domaine de la cosmétologie. Saviez-vous que le pastel avait un pouvoir anti-âge ? Vous pourrez en faire l'expérience dans un centre de beauté de 700 m2 qui comprend hammam, sauna, sept cabines de soins, jacuzzi et salle de gym.

Imaginé et créé par Sandrine Banessy, cofondatrice de Terre de Pastel, présidente fondatrice de l'académie des arts et des sciences du Pastel et conférencière, le Muséum du Pastel est le premier à retracer sur 400 m2 l'histoire et l'industrie du pastel. Vous pourrez alors observer ses applications en peinture dans l'espace «Art et Pigment» et visiter l'atelier de teinture artisanale dans l'espace «Bleu Grand Teint». L'aspect botanique est également à découvrir dans l'espace «Secrets de Plante».

Et après avoir déjeuné dans un restaurant-épicerie de 80 couverts, vous pourrez faire votre shopping à la boutique.


Publié le 01/07/2014 à 15:19 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Fabriquez votre farine dans un moulin


Le moulin de Saint-Lys / Photo DDM

À Saint-Lys, on a restauré le vieux moulin à vent reconstitué son mécanisme. Il marche tellement bien qu'on peut encore fabriquer de la farine !

Façonné en briques toulousaines, le moulin à vent de Saint-Lys constitue le modèle type des moulins locaux à tour légèrement conique et à toiture pyramidale couverte de bardeaux de bois.

Laissé à l'abandon après la Seconde Guerre mondiale, ce bâtiment qui date du XVIIIe siècle a été reconstitué pierre par pierre par Michel et Denis Sicard, deux habitants de la commune. En 1994 ils ont créé avec quelques amis l'association pour la sauvegarde des moulins du canton de Saint-Lys. Avec le concours de l'AFPA (association pour la formation professionnelle des adultes), ils ont entrepris un long et méticuleux travail de restauration à l'identique des boiseries. Le chantier aura duré cinq ans.

Apprentis et compagnons travaillent pendant près de deux ans pour remonter la charpente et reconstituer le mécanisme du moulin : pales, toit coulissant, grand arbre et grande roue. Cependant ils ont été contraints d'installer un moteur électrique pour actionner le rouet les jours où le vent est trop fort ou trop faible. C'est le département de génie mécanique de l'IUT Paul-Sabatier à Toulouse qui en a assuré la conception.

L'aspect extérieur des murs a été soigneusement restauré par un maçon de Poucharramet : il a rénové les joints à la chaux et fait chanter les briques. C'est le seul moulin en briques apparentes de la région.

Depuis sa remise en service, le moulin tourne comme dans le temps. Les meuniers amateurs peuvent même y produire de la farine. On s'en sert pour cuisiner des pâtisseries… au bon goût d'autrefois !
Des cartes postales, des enveloppes pré-timbrées et des livrets sont disponibles sur place.


Publié le 01/07/2014 à 10:44 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Revel : son beffroi et les mille saveurs du marché de plein-vent


Revel (31) /Photo DR,  J.-L. Sarda

Le marché de Revel, qui rassemble 300 producteurs, est parmi les 100 plus beaux marchés de plein-vent de France.

À Revel, tout se compte en siècles. Ainsi, depuis plus de six cents ans, trois cents producteurs proposent tous les samedis matins, sur la place centrale et sous la halle, des produits du terroir, charcuterie, viandes des élevages du Lauragais, produits maraîchers etc. On classe même le marché parmi les 100 plus beaux marchés de plein-vent de France. La ville est une ancienne bastide construite au XIVe siècle, en 1342, par Philippe VI de Valois. Lors de sa fondation et c'est insolite, un article de la charte de fondation prévoit au centimètre près la dimension des maisons. Au XIXe siècle, la ville s'est spécialisée dans la fabrication des meubles d'art. De passage à Revel vous noterez au nombre de magasins de meubles que la tradition a perduré. Un musée des bois et de la marqueterie en atteste d'ailleurs aujourd'hui.

La halle en bois et sa charpente du XIVe siècle sont une splendeur. Particulièrement remarquable, la toiture de l'ouvrage, composée de milliers de tuiles roses que domine un beffroi, tour municipale offrant un panorama formidable à 360° sur toute la région. Revel abrite également la maison où résida Pierre-Paul Riquet (1609-1680), le concepteur du canal du Midi. Ville étape sur les chemins de Compostelle, Revel est aussi classée Station verte depuis 2009 et a obtenu le label «Ville et métier d'art» en 2005.

Sur les hauts de Revel, impossible de passer à côté du lac de Saint-Ferréol. Construit par Paul Riquet pour alimenter le canal du Midi fin XVIIe siècle, il est prisé pour sa forêt de pins et sa plage, base de loisirs où les Toulousains aiment à décompresser. Claude Chabrol y tourna une partie de son film «L'Enfer». En plus, la baignade y est autorisée et surveillée.


Publié le 01/07/2014 à 15:03 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Dans les coulisses du géant des airs


Chaînes d'assemblage de l'Airbus A380
 / Photo DDM

Spécialiste du tourisme industriel, Manatour propose de découvrir les usines du premier avionneur mondial, sur les chaînes d'assemblage de l'Airbus A380.
Partez à la découverte des chaînes d'assemblage d'Airbus, basé à Toulouse. Le groupe Manatour, spécialisé dans le tourisme industriel, propose à travers «Let's visit Airbus» des visites guidées d'1 h 30 chacune sur les sites de l'avionneur européen :

Le circuit A380 «Visite classique», sur le site d'assemblage et de préparation à la mise en vol de l'Airbus A380. Il s'étale sur 50 hectares. Au programme : Salle de télémesure : présentation du programme A380 et de sa campagne de certification (premiers vols & campagnes d'essais) ; Usine J.L. Lagardère : depuis un belvédère intégré à l'usine, vue sur les postes d'essais généraux intérieurs et extérieurs ainsi que sur l'ensemble du site. Présentation détaillée du process de production de l'A380. Maquette A380 : accès à bord d'un tronçon de fuselage de 16 m de long (maquette à l'échelle 1) et découverte de l'aménagement intérieur.

Le circuit A380 «Visite enfants» : c'est la visite classique mais adaptée aux enfants de 6 à 12 ans.
Le circuit «Visite panoramique». Il s'agit d'un circuit commenté en autocar sur les 700 hectares des sites Airbus de Toulouse : siège social, centre de formation, bureaux d'études, centres de développement, sites d'assemblage etc.

Le circuit «Visite verte». C'est une déclinaison de la visite panoramique sur la thématique du développement durable.
Prochainement : Manatour va proposer une visite de la chaîne d'assemblage final du tout nouvel Airbus A350. Et en 2015, ouverture du parc de découverte aéronautique Aéroscopia. Les avions de légende (Super Guppy, Concorde et Caravelle) y seront exposés.


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
La vie est douce entre Save et Garonne

Découverte de la Bastide Royale Photo DDM, A.M.

À 25 kilomètres au nord de Toulouse, venez découvrir les paysages colorés, bastides et pigeonniers de Save et Garonne.

Un patrimoine florissant entre bastides, halles et pigeonniers : c'est le pays de Save et Garonne, vers Grenade. Visite guidée.

Les bastides sont des villes fortifiées construites au Moyen-Age. Grenade, bastide royale du XIIIe siècle en est un parfait exemple avec un tracé des rues rectilignes et une des plus vastes halles couvertes de France. Aujourd'hui encore le cœur de la bastide reste très vivant et la halle accueille son marché gourmand du samedi matin.

Construits au cœur même des villages ou isolés dans les champs, les pigeonniers témoignent de la grande importance de l'élevage des pigeons autrefois. Ce petit patrimoine étonnant témoigne de la richesse et de la diversité de l'architecture locale. Vous pouvez d'ailleurs partir à la découverte des pigeonniers et vous amuser à reconnaître les différents types architecturaux. Muni de votre carte touristique où 24 pigeonniers ont été sélectionnés, ce circuit vous permettra d'effectuer une belle balade d'un village à l'autre. Au détour des petites routes, vous aurez le plaisir d'effectuer des pauses gourmandes dans des fermes aux produits du terroir diversifiés (foie gras, charcuterie bio, fromages…)

Des sorties nature à faire en famille. 155 kms de boucles et chemins balisés vous attendent, sillonnant des paysages bucoliques. Les chemins se téléchargent sur le site de l'office de tourisme, ainsi que sur votre GPS ou smartphone en flashant le QRcode affiché sur les panneaux de départ. Vous pouvez aussi demander le cartoguide à l'Office de Tourisme. La forêt de Bouconne vous propose des sentiers pédestres et pour VTT, ainsi qu'une base de loisirs sans oublier les deux parcs à thème incontournables : Animaparc et le Labyrinthe de Merville.


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Montmaurin : l'une des plus vastes villas gallo-romaine connues


La villa gallo romaine de Montmaurin. / Photo DDM H.G.

La villa gallo-romaine s'étendait sur 18 hectares. 500 personnes étaient employées sur le domaine.

Dans le sud du département, le Comminges recèle d'importants vestiges de l'époque gallo-romaine. Le village de Montmaurin abrite ainsi les ruines de la plus vaste villa gallo-romaine connue en France. Elle a été découverte en 1946 par Georges Fouet. Édifiée vers le milieu du Ier siècle, la Villa Urbana se serait développée jusqu'aux environs de 350 et aurait été modifiée au cours des IIIe et IVe siècles. Ce véritable palais gréco-romain a été entièrement détruit par un incendie vers 380. Les bâtiments de cette luxueuse demeure s'étendaient sur une superficie de 18 hectares. Elle comptait 200 salles dont l'entretien nécessitait 500 personnes.

Décorées de marbre ou de mosaïques, leurs fenêtres étaient vitrées et elles bénéficiaient d'un système de chauffage par le sol et de l'eau courante. Les fouilles ont permis de mettre au jour les vestiges du vestibule, du temple, du nymphée, de plusieurs cours et de nombreuses pièces d'habitation. Les archéologues ont aussi découvert une incroyable collection de 22 espèces différentes d'huîtres et de coquillages provenant de la Méditerranée et de l'Atlantique. Ils étaient immergés à l'époque dans six viviers contenant une eau de mer reconstituée.


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Grands sites, un patrimoine exceptionnel

Bagnères-de-Luchon. -
 / Photo DDM 
DR

Cinq Grands Sites de la Haute-Garonne font partie du réseau suscité par le conseil régional Midi-Pyrénées.
Le conseil régional Midi-Pyrénées a décidé, à travers les contrats Grands Sites, de valoriser 25 lieux emblématiques de la région, dont cinq en Haute-Garonne. Les villes, villages ou sites naturels qui bénéficient de cette appellation se sont engagés dans une démarche de qualité sur le long terme.

Le premier des Grands Sites du département, c'est la capitale de la région, Toulouse, surnommée la Ville rose pourla chaleur de sa brique.Une métropole européenne dont les influences latines inspirent son tempérament et son architecture.
À 110 km au sud de Toulouse, Saint-Bertrand-de-Comminges, chef d'œuvre d'architecture médiévale, est appelé «le Mont Saint-Michel des Pyrénées». Avec la cathédrale Sainte-Marie et la basilique Saint-Just de Valcabrère, c'est un site incontournable du patrimoine haut garonnais.

La ville de Bagnères-de-Luchon, aux portes de l'Espagne, est célèbre pour ses thermes. Au pied des plus hauts sommets des Pyrénées, la station thermale située à 630 mètres d'altitude bénéficie d'une situation géographique exceptionnelle. À cheval entre le Tarn et la Haute-Garonne,Sorrèze et Revel-Saint-Ferréol vous attendent pour admirer l'abbaye-école de Sorrèze ou flâner sur les plages du lac de Saint-Ferréol, où le canal du Midi prend sa source. Enfin, le canal des Deux-Mers ou canal du Midi, qui relie Toulouse à l'étang de Thau,est considéré comme le plus grand chantier du XVIIe siècle. A Revel, le Musée et Jardins du canal du Midi vous propose de découvrir de manière ludique et interactive la fabuleuse épopée de la construction du canal ainsi que la vie de son ingénieux créateur, Pierre-Paul Riquet.


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Canal du Midi : 240 km au fil de l'eau

Sur le Canal du Midi - Michel Labonne - DDM

Le canal du Midi relie la Garonne à la Méditerranée. Deux expositions lui rendent hommage, à Port-Lauragais et Saint-Ferréol.
Classé au patrimoine mondial de l'Humanité, le canal du Midi constitue l'un des grands sites de la Haute-Garonne. À Avignonet-Lauragais, sur l'aire de Port-Lauragais, la Maison de la Haute-Garonne lui consacre une grande exposition. 
Sur un espace de 200 m², les panneaux pédagogiques, maquettes interactives et lutrins exposés évoquent tout ce qu'il faut savoir sur cet ouvrage d'art majeur du XVIIe siècle : sa construction de 1666 à 1681, son architecture, sa géographie (240 km, de Toulouse à l'étang de Thau), ses paysages, son exploitation et la vie de son génial créateur, Pierre-Paul Riquet. L'entrée est gratuite et des visites commentées sont possibles à partir de 8 personnes. 

À Saint-Ferréol, un lieu est dédié à l'œuvre de Pierre-Paul Riquet : Musée et jardins du canal du Midi, ouvert depuis 2008. Le musée se situe sur le barrage de Saint-Ferréol qui fut, pendant plusieurs siècles, le plus grand barrage jamais construit en Europe. 
Ce sont d'ailleurs les eaux du lac qui alimentent le canal. 
Enfin, on peut visiter le château  et le parc de Pierre-Paul Riquet à Bonrepos, où il menait ses expériences grandeur nature au XVIIe siècle. Ainsi, dans la vallon qui jouxte la demeure, il avait aménagé sa «Machine hydraulique» : un bassin réservoir qui alimentait un canal de 250 mètres de long, l'ancêtre du canal du Midi.


Publié le 01/07/2014 à 14:04 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Le charme du petit train de Toulouse


 / Photo DDM

Increvable, le petit train sillonne tous les jours le centre-ville de Toulouse. Si son succès auprès des touristes est incontestable, les Toulousains connaissent bien la locomotive blanche qui avance au pas et son gyrophare orange dominant la cheminée reconstituée. Deux trains circulent de la place du Capitole à la cathédrale Saint-Étienne en passant par Saint-Sernin, La Daurade et la place de la Trinité. En un temps record, 35 minutes, le petit train livre les petits secrets des monuments et des lieux incontournables du centre-ville : Saint-Sernin, l'église du Taur, Saint-Georges, Saint-Etienne, l'hôtel d'Assezat, les Beaux-Arts, Saint-Pierre-des-Cuisines, place Wilson etc.


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Aurignac : les trésors de la Préhistoire


Les Aurignaciens suivis à la trace. - Jean-Marc Decompte - CG64

Fermé depuis 2005, le Musée de l'Aurignacien rouvre le 31 juillet et invite à un formidable voyage dans le temps sur les traces des premiers hommes modernes, les Aurignaciens.

Consacré à l'aurignacien, considéré comme le premier homme moderne (37 000 à 28 000 avant notre ère), le Musée-Forum de l'Aurignacien ouvre ses portes le 31 juillet. Des témoignages de la vie de ces peuples du passé (armes de chasse, objets de la vie quotidienne, éléments de parure, statuettes, etc.), provenant des fouilles du site d'Aurignac et également d'autres sites emblématiques de la Préhistoire sont le fil conducteur d'une présentation muséographique entièrement rénovée. Des supports multimédia, des expositions temporaires, des animations pour tous les publics, ainsi que des temps de rencontres et de débats, permettront de multiplier les approches de la préhistoire et d'interroger nos connaissances actuelles sur les origines de l'homme.

Niché au cœur d'un village rural, le bâtiment, fondu dans le paysage, invite les locaux et les visiteurs à plonger dans l'environnement de la Préhistoire. Il s'agit de rendre le visiteur, «cré-acteur » de sa visite, choisissant au fil des vitrines ou des écrans interactifs la façon dont il souhaite que lui soit raconté la Préhistoire. Le parcours muséographique prévoit, en plus de la présentation des collections existantes (dans l'ancien musée), une visite, enrichie par des partenariats étudiés avec d'autres grands sites de la Préhistoire en Europe mais aussi accompagnée d'espaces d'animations (avec une salle dédiée à la manipulation, aux ateliers pédagogiques, un parcours aménagé du sentier menant à l'abri préhistorique…). Le musée veut aussi être un espace de débat sur la place de l'homme dans l‘environnement depuis plus de 35 000 ans.


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
Lauragais : la douce vie du pays de Cocagne


Les gros engins ont retrouvé le site d'Avignonet-Lauragais ./Photo DDM,L.G

Le pays Lauragais est une plaine agricole balayée par le vent d'Autan qui a donné le nom à l'expression «pays de Cocagne». Ici poussait le pastel, une plante à l'origine de la fortune de nombreux Toulousains. De passage dans le Lauragais, la caractéristique des églises fortifiées ne vous échappera pas. Plus typiques encore, les clochers-murs e n façade. Celui de Villefranche-de-Lauragais, bien sûr, mais aussi celui de Villenouvelle, qui présente un original mâchicoulis, des arcades en mitre et des tourelles à encorbellement.

Ceux qui prennent l'autoroute pourront faire une halte à Port-Lauragais qui se signale par la présence d'un petit port construit sur une presqu'île au creux d'un bassin du canal du Midi. Le centre Pierre-Paul Riquet y est d'ailleurs ouvert (tél. 0561271463). On y apprend tout sur le concepteur du canal.

Plus loin, n'hésitez pas à découvrir le vieux village de Saint-Julia (aussi célèbre pour ses volailles dodues) avec ses vestiges de remparts, et la plus vieille cloche du département qui date de 1396. Saint-Félix est une bastide dont la place centrale est agrémentée d'une halle couverte. Situé sur un promontoire, le village offre un panorama grandiose. Le château construit au Moyen Âge fut témoin du premier concile cathare, en 1167. À voir : la Collégiale du XIVe siècle pour les orgues de Rabiny de 1782, le cimetière des Anglais (les troupes anglaises du Duc de Wellington en 1814), et la maison natale du compositeur Déodat de Séverac. Visite guidée du village possible.


Publié le 10/07/2014 à 08:27 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
L'irréductible village gaulois

 
/ Photo DDM


Le village gaulois de Rieux-Volvestre, situé à 50 km, de Toulouse offre une reconstitution fidèle du quotidien de nos ancêtres au deuxième âge du fer, entre 450 et 52 av. JC.

Au bord de la Garonne, un village d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. L'idée a germé dans l'esprit de Jean-Luc Blanchard, féru de spéléologie et d'histoire en 1993. Il lui aura fallu plus de dix ans pour réaliser son rêve : recréer de ses propres mains un village gaulois. Sur neuf hectares, petits et grands découvriront absolument tout sur la vie de ceux qu'on a souvent dépeints comme des barbares. Les démonstrations de frappe de monnaie ou d'orfèvrerie, très ludiques, passionnent l'assistance hilare. Le directeur n'est jamais avare de bons mots et transforme aisément une leçon d'histoire en véritable spectacle. À la fin du show, les visiteurs sont unanimes : «Si seulement on avait pu avoir un professeur d'histoire comme vous !» Il révèle notamment que, contrairement à Obélix, nos ancêtres ne mangeaient jamais de sangliers qui étaient considérés comme des animaux sacrés. Ce passionné s'est entouré d'une équipe d'artisans hors pair qui expérimentent continuellement les arts et techniques de l'époque. Johan, le forgeron est le dernier à avoir rejoint l'équipe. Nul besoin pour lui de potion magique pour reproduire une épée identique à celles que pouvaient fabriquer les Gaulois.

Tous les après-midi à 15 h 30, les enfants peuvent frapper eux-mêmes leur monnaie et repartir avec leur pièce. Pour les groupes scolaires, d'autres ateliers, comme la poterie, sont proposés. Tous les jours, du 1er juillet au 31 août, le village ouvre ses portes de 10 heures à 19 heures. Une expérience inoubliable.


Publié le 16/07/2014 à 08:12 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
L'été, le château se visite tous les jours

Le domaine du château de Pierre-Paul Riquet est un joyau du patrimoine local./Photo DDM, Emmanuel Vaksmann

Pendant l'été, le château de Bonrepos-Riquet est ouvert au public tous les jours, pour des visites guidées par les bénévoles du syndicat d'initiative. C'est sur ce domaine de 30 hectares que Pierre-Paul Riquet a élaboré la réalisation du Canal du Midi entre 1650 et 1680. Le site regorge d'éléments patrimoniaux de grande qualité. Les plus emblématiques demeurant les bassins construits dans le vallon de la Garenne en contrebas du château, souvent appelés «Machine hydraulique», qui ont servi aux essais d'alimentation en eau du futur Canal du Midi. La glacière monumentale, la grotte nymphée, l'Orangerie, les communs, le parc et les cuisines du château sont autant de trésors que les guides riquetois décrivent à la perfection.


Publié le 17/07/2014 à 08:25 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 
La Cité de l'espace : un peu plus près des étoiles

 / Photo DDM
 
Tous les jeudis jusqu'au 23 août, la Cité de l'espace est ouverte, sans interruption et sans supplément de 9 h 30 à 23 heures, pour des visites nocturnes.

Petits ou grands, simples curieux ou passionnés, le parc dédié à la conquête spatiale propose cet été des «soirées nocturnes». Les visiteurs observeront le ciel à la nuit tombée avec différents télescopes, et rencontreront des spécialistes en astronomie. Les jardins de la Cité de l'espace sont illuminés de façon spéciale, le tout en musique avec une animation laser sur le thème du «Petit Prince» pour fêter le 70e anniversaire d'Antoine de Saint Exupéry. Au travers d'objets, de messages et d'évocations de l'œuvre la plus traduite au monde, la Cité de l'espace rappellera que le ciel et les étoiles font aussi partie de l'imaginaire et des rêves des Hommes. Les visiteurs pourront explorer les autres expositions dont les spectacles du planétarium et de l'Imax 3D, embarquer dans des vaisseaux spatiaux authentiques ou tester des simulateurs pour marcher sur la lune et bien d'autres…

Un menu «spécial Nocturnes», pour se restaurer est proposé au restaurant Astronaut'Café. À 23 heures, un feu d'artifice clôturera la soirée. Les enfants ont eux aussi leur propre base, composée de trois îlots. Le premier «Petit Astronome» est une mystérieuse bibliothèque où les enfants apprennent au travers de nombreuses expériences, sous forme de jeux, à mieux connaître les objets célestes qui peuplent notre ciel et leur incidence sur notre vie Terrestre. Le second «Petit Ingénieur» est un laboratoire secret où ils auront pour mission d'organiser toutes les phases de lancement d'une fusée, les grands mécanismes de construction et de propulsion. Le «Petit Astronaute» est un vaisseau spatial où ils vont effectuer des opérations de recherche et d'exploration, prendre les commandes pour choisir leur destination.



 

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