Tourisme Midi-Pyrénées - Guide de l'été 2014 : Tarn & Garonne

19/7/2014

Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014
 

Saint-Antonin cultive son patrimoine médiéval et son profil chevaleresque


Saint-Antonin / Photo DDM

La bourgade de Saint-Antonin-Nob le-Val est une des destinations de tourisme vert les plus courues de la région.Son patrimoine naturel est exceptionnel...
Née autour d'une abbaye bénédictine au VIIIeme siècle, la ville a conservé son aspect médiéval.

Les luttes contre les cathares albigeois, menées par Simon de Montfort, sont à l'origine de la destruction de son Abbaye. Au Moyen Age, la ville fut un important centre artisanal et commercial (production de cuir et de draps de laine).
Pendant la guerre de cent ans, St Antonin changea cinq fois d'allégeance. Lors des guerres de religion, s'étant proclamée République protestante, Louis XIII en fit le siège en 1622.
Dominée par le Roc d'Anglars dont les hautes murailles se dressent majestueuses, St Antonin est blottie au creux d'une vallée entre l'Aveyron et la Bonnette.

 


Saint-Antonin, ruelles et canaux / Photo DDM

Les vieilles demeures enchevêtrées le long des ruelles sinueuses, emplies d'ombres et de mystère, avec leurs fenêtres géminées ou à meneaux, leurs arcs gothiques ou romans élégants et gracieux, ses vieux portails, sa halle couverte, invitent à la flânerie et à la promenade.
Venez découvrir la Maison de l'Amour, la Maison de l'Ave Maria, la Maison Bromet, l'Ancien Couvent des Génovéfains, les anciens thermes, la halle, La Maison du Roy….

La Maison Romane a été construite dans les années 1150 . Devenue maison consulaire en 1313, elle est restée le siège de la municipalité jusqu'à la Révolution. Classé Monument Historique, l'édifice a été restauré par l'architecte Eugène Viollet le Duc de 1842 à 1851. L'imposant beffroi qui surmonte la tour est une création du XIXeme siècle, inspiré par les tours médiévales des villes de Toscane.
Adam et Eve et l'Empereur Justinien sont sculptés sur sa façade, dominant la Place de la halle.

VISITE DE LA VILLE
Tours et détours ...découverte de la ville en une 1h30 : son histoire, son patrimoine remarquable : l'ancien Couvent des Génovéfains, les tanneries, le moulin à huile de noix, la place des Moines, la Place de la halle, la maison de l'amour… 


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Caylus, forteresse médiévale

Caylus / Photo Wikimedia

Caylus de Bonnette en Quercy selon la vieille appellation, est une forteresse médiévale de la frontière Quercy-Rouergue, bâtie en escarpement. Elle se niche au centre d'un vaste cirque creusé dans les falaises calcaires du plateau du Quercy. De l'époque gallo-romaine à nos jours, l'histoire du village est riche d'événements tragiques : son incendie par Simon de Monfort pendant la Croisade des Albigeois, l'invasion anglaise, Duras et les Calvinistes, les guerres de religion puis la Révolution… Caylus n'a pas été épargnée. Cependant la cité a conservé de belles bâtisses de pierre et l'on y découvre avec étonnement l'église St Jean-Baptiste (XIVe), la Maison aux Loups (XIVe), la Halle et ses mesures à grain (XVIe) – toutes trois classées «Monument Historique» - et bien d'autres surprises attendent les visiteurs qui prennent le temps de s'arrêter. Les amateurs de chefs-d'œuvre anciens et de «vieilles pierres» seront comblés par les nombreuses maisons anciennes et boutiques «moyenâgeuses» de la rue Droite, le château neuf, les ruines de l'ancien château royal et le pavillon Gauléjac.

Caylus est aussi une Station Verte de Vacances, idéale pour les amoureux de la nature et les vacanciers. Au pied du village, le lac est le lieu privilégié pour les promeneurs, les pêcheurs et les familles. Les randonneurs sauront satisfaire leur passion avec ses chemins de petite randonnée et les amateurs de bonnes choses raviront leurs papilles chez ses restaurateurs ou avec les produits de ses conserveries artisanales dont les Conserves d'Autrefois (visite et dégustation gratuites)…

Aux alentours d'étonnantes découvertes vous attendent : le rocher tremblant, la cascade pétrifiante, les moulins le long de la Bonnette et du Livron, les pigeonniers, gariottes ou autre four à pain, le Sanctuaire de Notre-Dame de Livron ; les villages de Parisot - village natale de Jean de la Valette (château et église du XVIe siècle, lac) ; Castanet (forêts de châtaigniers et une des plus belles randonnées de la région) ; Lacapelle-Livron avec son ancienne commanderie des Templiers, l'église templière, la halle miniature et la superbe chapelle Notre-Dame des Grâces, Loze et son clocher fortifié, le Moulin de la Vignasse (élevage de chèvres), le Mas de Monille (ferme auberge, élevage de porcs noirs gascons), Saint-Projet et son château de la Reine Margot… la liste pourrait continuer tant notre territoire est riche d'un patrimoine architectural et naturel exceptionnel.


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La belle histoire de La-Ville-Dieu...


PAYSAGE  DE  VIGNES  - DDM SEBASTIEN LAPEYRERE

Cette cité dont la réputation a franchi les frontières du département grâce à ses vins raconte aussi des histoires d'éléphants. Du temps des grands cirques...

De par sa situation privilégiée au centre du Département, le touriste accueilli dans notre Commune peut rayonner dans tout le Département, notamment vers l'Abbaye Cistercienne de Belleperche, le Cloître de Moissac, Montauban et ses musées, les gorges de l'Aveyron, les plans d'eaux environnants, la forêt domaniale et la pente d'eau de Montech.

Essentiellement viticole dans le passé. La configuration du paysage a conservé son environnement riche, verdoyant et boisé où subsistent encore des haies qui permettent à une faune diversifiée d'y trouver son développement.

Une cave voûtée subsiste, vestige d'un passé riche en histoire et du passage de l'Ordre du Temple dans notre commune et ses environs.Un musée récemment créé permet à des historiens amateurs locaux de travailler sur les traces de la fondation de notre cité.Ce musée s'enrichit régulièrement de pièces nouvelles qui sont offertes aux visiteurs


La Ville Dieu de par sa position géographique même, est bien le symbole qui caractérise le nom du Département. Les hommes du néolithique, 4 000 ans avant notre ère, en ont constitué le premier peuplement, en exploitant les ressources de l'immense forêt d'Agre qui recouvrait la région, du confluent du Tarn jusqu'aux portes de Toulouse.

Reste à identifier la fondation du village, édifié en 1154 par les Templiers dans un domaine Gallo-romain au retour de la 1ère Croisade à Jérusalem . Agrandi de nombreuses donations, le territoire de Villa Dei va s'étendre considérablement, englobant Labastide du Temple, Saint-Maurice sur la rive droite du Tarn, pénétrant jusque dans la ville de Castelsarrasin. Avec la disparition de l'Ordre du Temple en 1313, tous ces biens sont dévolus aux Chevaliers de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
La bataille de Laville Dieu a eu lieu le 8 août 1366. Ce fut la seule exaction anglaise sur le sol toulousain.

Quartiers d'hiver de Pinder
Conséquence des guerres de religion en 1566, 1573 et 1628, le village sera détruit de fond en comble. Son histoire aura connu avec de nombreuses invasions, les guerres de religion, l'arrestation des Templiers, la guerre de Cent Ans et la Révolution. Ce sont les Romains qui y ont introduit la vigne sur ses terres peu fertiles mais, sur ce terroir la viticulture prit un grand essor et devint une des principales ressources de la commune.

Durant une longue période, le cirque Pinder y installa ses quartiers d'hiver, et l'on vit pendant la guerre de 1914 les éléphants de l'écurie dans les champs pour remplacer les chevaux réquisitionnés pour l'année.Le château, ancienne Commanderie du Temple, fut détruit. A sa place, s'élève une école ; seule subsiste une très belle cave voûtée vestige d'une autre époque.


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Castelsarrasin regorge de surprises

Castelsarrasin. Un regard sur le canal latéral à la Garonne / Photo DDM

La ville sous-préfecture propose une ambiance de détente au bord ducanal. Il fait bon s'y promener et découvrir au gré des rues son Histoire et son patrimoine...

Une promenade au cœur de Castelsarrasin regorge de surprises permet de découvrir le patrimoine local. L'Eglise Saint-Sauveur est inscrite sur la liste supplémentaire de l'inventaire général des Monuments Historiques. Bâtie en briques, type même d'architecture du premier gothique avec nef et transept voûtés d'ogives et collatéraux couverts d'un berceau brisé roman.Le mobilier des XVIIè et XVIIIè siècles classé Monument Historique, se compose de boiseries provenant de l'abbaye de Belleperche, acquises en janvier 1799 et d'autels et anges de marbre.L'église abrite les reliques du patron de la ville, Saint-Alpinien. A voir également l'Eglise Saint-Jean, fondée par les Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, elle est mentionnée pour la première fois en 1216 et Notre Dame d'Alem.

L'hôtel de ville, de 1824, mérite aussi le coup d'œil. A noter les statues de Minerve et Cérès (sculptées par le toulousain Palat), encadrant l'horloge éclairante (fabriquée par le grand horloger parisien Lepaute en 1847).

 


A Castelsarrasin / Photo DDM

Au chapitre des curiosités, on remarque également la passerelle métallique sur le canal, face à la gare; une maison Renaissance donnant sur la place de la Liberté (classée Monument Historique, construite fin XVIè siècle); L'Hôtel Lamothe-Cadillac (Place Lamothe-Cadillac) qui fut le fondateur de Détroit (USA), où il vécut de 1723 à 1730. La bâtisse est réputée pour sa façade XVIIIè siècle, et sa cour intérieure XVIIè siècle. Ne pas rater la maison de l'abbé de Prades, rue du Commandant Châtinières (XVIIIè siècle) ainsi que la maison à colombages située rue de la Révolution, coinstruite au XVIè siècle, avec de magnifiques pans de bois. Enfin, un tour rue de la Discrétion s'impose, dans l'ambiance du Moyen-Age. Elle propose au regard de superbes fenêtres à meneaux du début du XVIè siècle. On retrouve l'atmosphère de cette époque du côté de la rue de la Solitude. Pour être complet, n'hésitez pas à aller voir le monument aux morts, au square Aristide Briand, œuvre du sculpteur toulousain Ducoing 1920. 


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Nègrepelisse à découvrir


Dépaysement sur l’île de Nègrepelisse / Photo DDM

Il existe au pied du château de Nègrepelisse à découvrirun espace naturel sensible dédié à la reproduction piscicole et faunistique, mais également idéal pour la promenade, pique-niquer, rencontrer des artistes, apprendre la flore ou encore se dépensser physiquement... une île, sur la rivière Aveyron !

Sa richesse végétale suffit à motiver une visite. En plus des essences classiques des berges, on y trouve des ailantes, des cognassiersdu Japon, des aubépines monogynes, des cornouillers sanguins, des érables, des ormes, des chênes pédonculés, des noyers, des marronniers, des fusains, des noisetiers, des baguenaudiers, des saules marsault, des peupliers d'Italie, des érables negundo, un arbre à perruque, des saules blanc, des peupliers noirs ou encore un un copalme d'Amérique.

Un saut à La cuisine...
A l'heure du déjeuner, le programme artistique de La cuisine, centre de création d'art et de design appliqués à l'alimentation, réinvente l'art de piqueniquer. Une nappe autour d'un arbre, une autre sur le bord d'un ruisseau, un tronc, des souches, des rochers, ont été créés ou habillés sur la base de l'emblématique motif Vichy à carreaux rouges et blancs, élément indispensable et fédérateur d'un pique-nique réussi. «Chérie, j'ai oublié la nappe…» constitue l'un des deux volets du programme Manger dehors, du centre d'art et de design La cuisine. Pour le mener à bien, et outre le cabinet 5.5 designers, il a été fait appel à l'entreprise italienne de mosaïque contemporaine Bisazza (leader mondial de la fabrication, vente et pose de mosaïque en pâte de verre), qui a utilisé son matériau de façon inattendue, et loin de son usage traditionnel (piscine, salle de bain, décoration intérieure).

Ainsi, grâce à cette nouvelle façon de manger en plein air, les visiteurs peuvent d'autant plusapprécier ces lieux d'ordinaire dédiés à la promenade et à la flânerie. Un circuit botanique permet de découvrir en 25 étapes les ressources naturelles et culturelles de l'île de Nègrepelisse. Il faut 20 à 30 minutes à pied pour faire le tour et passer un bon moment. 


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Les beaux lavoirs de Valence-d'Agen


Les lavoirs de Valence / Photo DDM

Terre traditionnelle d'accueil en raison d'une légendaire convivialité, Valence d'Agen sait aussi joindre l'utile à l'agréable.

Outre sa compétence économique, elle a su développer une politique très active en terme d'équipements sociaux, culturels et sportifs.
Sur un plan touristique, sa découverte est possible au fil des lavoirs qui constituaient des lieux de vie, d'échanges, où circulaient les infos de la cité. ...

Le lavoir Saint-Bernard
En 1807, on décida de combler les mares du Plaça (actuelle Place Jean-Baptise Chaumeil) qui étaient trop boueuses. En compensation, on construisit le lavoir Saint-Bernard qui permit d'abreuver le bétail et les chevaux des gendarmes impériaux.
La toiture semi-circulaire fut rajoutée à la demande des lavandières afin de les préserver «de la froidure de l'hiver et des intempéries».

 

Valence d’Agen : Au fil de l’eau, une histoire / Photo DDM

Le Lavoir Del Théron
C'est le plus ancien des trois lavoirs de la ville. Dès 1661, la fontaine fit l'objet de réparations de la part des consuls et une pierre gravée de leurs noms et des armoiries du seigneur maquis de Valence fut érigée au-dessus de la fontaine (pierre aujourd'hui disparue). En 1880, le mauvais état du lavoir nécessita des réparations, le conseil municipal de l'époque décida notamment qu'il devait être carrelé plutôt que cimenté à cause de la gelée. En 1906, la toiture fut refaite. Enfin la dernière restauration date de juillet 2003.

Le Lavoir du Pé de Gleyze
Datant du 19ème siècle, c'est le seul des trois lavoirs ne figurant pas à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.
Il est bâti dans un format plus traditionnel que les autres. Son emplacement n'en fait pas moins un site très agréable. 


Publié le 01/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Au carrefour du Tarn et de la Garonne

Saint-Nicolas-de-le-Grave / Photo DDM

La base de loisirs de Saint-Nicolas de la Grave, propriété du conseil général de Tarn-et-Garonne, constitue la destination idéale pour se divertir. Seul ou en famille...

Située au confluent du Tarn et de la Garonne à Saint-Nicolasde-la-Grave, la Base de loisirs du Tarn et de la Garonne est une destination de tourisme 100% nature proposant de nombreuses activités de plein air sportives et ludiques, à pratiquer en famille ou entre amis : disciplines nautiques, randonnée, cyclisme, pêche, piscine...
Elle reçoit également des écoles, des centres de loisirs et des associations sportives, à la journée ou en séjour. La Base de loisirs est ouverte toute l'année, en accès libre et gratuit.
Elle propose de nombreuses activités dont voici les principales, a vivre seul ou en famille :

 

/ Photo DDM

Activités sur l'eau
Le plan d'eau étendu sur 400 hectares, l'un des plus grands de Midi-Pyrénées, est aussi exceptionnel qu'incontournable pour s'initier ou se perfectionner à diverses disciplines nautiques, canoë, voile, pédalo, nautisme ou planche.Vous pouvez pratiquer les activités avec votre matériel ou le louer sur place.
Situé au bord du plan d'eau, le local de locations est ouvert tous les après-midis en saison.

Activités terrestres
La base propose de nombreuses activités terrestres : promenadesen VTT, tir à l'arc, boulodrome, aire de pique-nique, arboretum, chemins de randonnée pédestre et bien sûr la découverte de l'observatoire ornithologique.
Le plan d'eau de Saint-Nicolas de la Grave est également une réserve ornithologique, reconnue pour la diversité des espèces d'oiseaux qui la fréquentent. 

Publié le 15/07/2014 à 08:06  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014
 

Montricoux : Exposition permanente à la Villa des peintres

Lors du vernissage /  Photo DDM

C'est dans son musée créé au printemps 2011, au 3, rue de la Mission à Montricoux, que Diego Lara a rassemblé une collection personnelle hors pair. Des œuvres de grands maîtres de l'art composent cet ensemble exceptionnel et cohérent qui couvre tous les champs de l'art visuel, plastique et graphique. Un siècle environ s'échelonne dans ce panorama où un hommage particulier s'adresse à tous les artistes issus de ce terroir et qui ont marqué la vie locale, nationale et au-delà. Ainsi, la Villa des peintres permet de mieux connaître le talent de tous ces créateurs par une approche directe et une description rationnelle de chaque style. La peinture à l'huile reste la dominante de ce musée où les plus grands noms figurent au bas des tableaux. «Trente-cinq ans de collection m'ont conduit à cette réalisation, c'est à la fois ma passion pour l'art et la reconnaissance envers ces personnages illustres dont certains avaient choisi Montricoux pour y vivre», déclare Diego Lara, fier de sa réalisation.

Les artistes portés à l'honneur dans ce musée sont : A. Abbal, L. Andrieu, G. Artemoff, A. Bourdelle, Y. Brayer, F. Desnoyer, L.-P. Cadène, C. d'Espic, R. Espinase, J.-G. Goulinat, R. Limoux, V. Prax, H. Ramey, O.Zadkine, Louis Cazottes, enfant du pays, apôtre de l'art sacré (réalisation de l'école d'art sacré à Montricoux), Marcel Lenoir dont l'œuvre est rayonnante, chef de file de l'école de Montauban, l'une des figures de l'école de Paris, du Montparnasse de l'époque qui eut ses heures de gloire.


Publié le 04/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Pavillon bleu à Monclar de Quercy

Entre lac et piscines, la base de loisirs fait le plein de visiteurs venus se divertir... / Photo DDM.

Cette cité verte du Quercy bénéficie d'un environnement attractif. Idéal pour des vacances en falille... Une gigantesque palette de peintre ! Voilà ce que semble refléter le proche environnement de Monclar de Quercy : petite cité rurale, timide et calme en hiver et pleine d'effervescence lorsque les premiers rayons de soleil font fuir des villes les estivants. Vieille de près de 1000 ans d'histoire, cette bourgade juchée sur les dernières collines du Bas Quercy, donnant l'impression de s'agripper afin de ne pas glisser vers l'immense plaine toulousaine, ouvre grand ses bras à tous les touristes désirant conjuguer à la fois le calme et la distraction.

Monclar ne possède que très peu de vestiges tant son histoire fut tumultueuse jadis. Les constructions modernes et les lacs formant un arc de cercle autour du vieux village à l'architecture plus vétuste, font penser aux jeunes pousses qui renaissent au pied d'un vieil olivier au tronc creux.
Centre d'intérêt touristique majeur, la base de loisirs de Monclar de Quercyabrite le seul «Pavillon Bleu» de Tarn et Garonne.

 


Sur la base de loisirs de Monclar, du sable et de l'eau claire. / Photo DDM,J.-M.M

Elle a été aménagée sur un domaine communal de près de 50 ha. C'est une des plus vastes et des mieux équipées de Midi-Pyrénées, avec 3 lacs spécialisés :
- un ensemble balnéaire doté de 3 piscines dont une couverte qui fonctionne du printemps à l'automne;
- un lac de baignade composé avec plages et solariums, toboggan aquatique, cascade décorative, pédalos, pontons;
- un lac de pêche avec la possibilité tout au long de l'année de pouvoir pêcher en s'acquittant d'une carte vendue à l'office de tourisme.

La base de loisirs est aménagé pour vous permettre de déjeuner sur place avec des aires de pique-nique, une buvette.On peut faire un voyage rétro à toute vapeur avec le petit train touristique qui fait découvrir le site.


Publié le 04/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Du côté du village de Bioule, c'est aussi la belle vie de château


Château de  Bioule / Photo DDM

L'ensemble du château de Bioule est reconstruit à partir de 1329. Le donjon disparaît et une enceinte cantonnée de tours circulaires délimite un espace partagé entre bassecour et logis seigneurial. Au bord de l'Aveyron, les soubassements sont en pierre afin de résister à l'eau. L'église est intégrée au logis, son abside et une travée deviennent la chapelle funéraire des Cardaillac. Elle était jadis reliée aux bâtiments, qui comportent une salle de garde sur la cour et des logements

contre les flancs sud et ouest. Souvent remanié, le château a perdu couronnements, galeries et nombre d'aménagements.Menacé de destruction, la municipalité le sauve en l'achetant au XIXe siècle. Son importance pour l'histoire de l'architecture militaire se double de l'intérêt des peintures de la chapelle -cycle de la vie du Christ, fin XIVe - et de la salle des Preux (début XVIe).

Cet édifice a d'abord été construit en pierres, puis incendié, en partie démoli et reconstruit en briques.


Publié le 04/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Evasion aux jardins à Verfeil-sur-Seye


Verfeil-sur-Seye  / Photo DDM

Au fin fond du Quercy, qu'il est bon de faire une halte dans cet espace de verdure et de fraîcheur...
Les jardins de Quercy se trouvent au lieu-dit Cambou, près de Verfeil sur Seye et de Varen sur une superficie d'un hectare.

Ils forment une ensemble de jardins traités dans un esprit différent mais dans le cadre d'une conception influencée par les jardins britanniques. Plusieurs bancs invitent au repos dans un cadre bucolique : dans une campagne toujours présente, la quasiabsence de traitements chimiques a encouragé la présence continuelle d'oiseaux, d'insectes et de papillons. L'organisation des floraisons est faite de telle sorte que l'œil trouve toujours un point coloré où se poser.
Le spectacle commence vers le 15 mai et se termine fin septembre.

De nombreux cyprès structurent l'espace et apportent une note italianisante ; les espèces végétales répondent à des critères de résistance à un climat très chaud l'été et à un sol ingrat, amendé chaque année par des apports de fumier.De très nombreuses plantes vivaces, plantées en grandes masses, cohabitent avec des arbustes à fleurs et des potées de plantes annuelles.

Les jardins sont séparés par des haies de façon à toujours créer des effets de surprise et de découverte.A différents endroits des urnes, pots, statues ajoutent un décor à ce jardin fait pour rêver, prendre son temps et humer les senteurs : chèvrefeuille, jasmin, roses, sauges, etc…
Quelques points d'eau et bassins apportent une note rafraîchissante, utile le jours de canicule.


Publié le 04/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Revivre les fenaisons à Espinas

Espinas : Les attelages de bœufs seront de sortie pour les fenaisons à l'ancienne./ DDM

Le village est traversé par la Bonnette sur 9 km qui délimite le Rouergue et le Quercy. On y pratique l'élevage ovin et bovin.
Le syndicat d'initiatives et le comité des fêtes d'Espinas ont concocter cette année encore un sacré programme, à l'occasion des 20 ans des fameuses Fenaisons à l'ancienne...

Un concert spécial «20 ans des Fenaisons à l'Ancienne» au ra lieu avec le groupe Nadau le samedi 16 août sur le parking de la salle des fêtes (16€. Réservations au 06.43.47.75.87 ou par mail sur comitedesfetesdespinas@orange.fr
Le dimanche 17 août, il est prévu : une messe en occitan; des expositions de matériels authentiques ; démonstrations de fenaisons et autres métiers anciens, apéritifs dansants, un marché campagnard; un grand repas campagnard à 20h.

 

Château de Cas à Espinas / Photo DDM

Toute la semaine du 10 au 17 août sont aussi calées des animation avec des scènes et mannequins de vieux métiers.
Pour profiter de l'aubaine touristique d'Espinas et de ses environs, on peut se rendre au Château de Cas, aller voir la halle à grains, la fontaine et le lavoir, repérer gariottes et pigeonniers, aller explorer la grotte voisine et ne pas oublier de profiter des points de vues.

On trouve également dans l'église d'Espinas des fresques peintes au début du XXe siècle par Gaillard Lala.
Enfin,des randonnées sont organisées sur la commune ; pour tout renseignement s'adresser au syndicat d'initiative (juillet et août : randonnées accompagnées, tous les mercredis). Avec en prime des animations naturalistes dans le cadre des randonnées en juillet et août. 


Publié le 04/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Molières, station verte de vacances en vert et bleu


Base de Loisirs de Malivert  / Photo DDM, Jean-Marie Malby.

Situé à 20 km au nord de Montauban, aux portes du pays Midi-Quercy, Molières possède un environnement naturel particulièrement préservé. La base de loisirs du Malivert agencée autour d'un lac de 9 ha bénéficie d'un cadre exceptionnel de calme et de verdure de plus de 30 ha.

La qualité de l'eau, les prestations proposées aux estivants et l'attachement de la commune à la problématique de la préservation de l'environnement sont autant de critères qui ont contribué à l'obtention du label «Station Verte de Vacances». La plage du Malivert à Molières c'est…
- Un accueil de 10 h à 19 h dans un cadre naturel exceptionnel
- Une eau de baignade d'excellente qualité
- Plus de 3500 m² de plage de sable blanc
- Une baignade surveillée tous les jours de 13 h à 18 h (jusqu'à 19 h le dimanche)
- Des parasols gratuits
- Une aire de jeux enfants
- Des activités nautiques (pédalos, canoës, barques) et sportives (beach volley, tennis, VTT…).


Publié le 02/07/2014 à 13:48 | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

La balade des dolmens à Septfonds


Septfonds : néolithique à Peyrelevade  / Photo DDM

Situation : Septfonds, à 7 km au nord-est de Caussade par la D926. / Facile. 3 h 20. 10 km.
Parking : boulodrome. / Dénivelé : altitude mini et maxi : 145 m ; 200 m. /Balisage : jaune.
A découvrir…En chemin : dolmens, pigeonniers en pied de mulet, clocheton ou sur piliers ; puits, lavoirs ; flore (chênaie et orchidées).
Dans la région : Caussade, cité du Chapeau ; tour d'Arles XIVe, architecture XVIIe-XVIIIe ; Caylus, cité médiévale ; église Saint-Jean-Baptiste XIVe-XVIIe (Christ de Zadkine) ; halle XVIe ; Montpezat-de-Quercy : maisons gothiques et Renaissance ; collégiale Saint-Martin.

1. Au départ du boulodrome (chapelle Notre-Dame et son lavoir, pigeonnier-tour et clocheton), laisser le terrain de pétanque à gauche pour prendre à gauche la rue Marcel-Bellonte. Tourner à droite puis à gauche pour rejoindre la D926 direction Caussade. La suivre sur 250 m.
2. Après la discothèque, emprunter à gauche un chemin bordé de murets en pierre sèche. A la patte-d'oie, prendre à droite ainsi qu'à la suivante pour déboucher sur une route. Tourner à gauche (à 50 m, puits sur la gauche) puis, à la fourche, poursuivre tout droit sur un chemin. A la patte-d'oie, tourner à droite puis poursuivre sur une petite route pour passer Vaisse.

 


Septfonds, chapelle Notre-Dame / Photo DDM

3. Prendre le chemin de gauche. Au carrefour en T, s'engager à droite. Le sentier devient une route qui traverse le Causse de Lugan (maisons de caractère, granges, pigeonnier, puits ; accès à gauche vers Couaillou : pigeonnier sur piliers). Prendre à droite à la patte d'oie.
4. Suivre la D926 à droite, puis tourner à gauche après l'abribus. A la route succède un sentier à couvert étroit débouchant dans une prairie (propriété privée). La longer par la gauche pour déboucher sur une petite route ; la prendre à droite sur 800 m.

5. Descendre à gauche le chemin de terre bien tracé. Au croisement, tourner à droite. Après la montée, bifurquer à droite puis virer à gauche à la patte-d'oie.
6. Traverser le hameau de Finelle (maisons de caractère). Passer la base ULM (dolmen à droite : sépulture collective de 2500 à 1700 avant J.-C.) puis, au croisement, continuer tout droit (accès à droite vers un dolmen). Arrivé au bout du sentier bordé d'une murette et d'arbres (jonction avec le GRP Midi-Quercy pendant 500 m), continuer tout droit jusqu'à Septfonds. Après le cimetière, tourner à droite pour revenir au point de départ.
Circuit extrait du topo guide FFRandonnée « Le Pays Midi-Quercy… à pied »


Publié le 02/07/2014 à 13:43  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Le pari du safran à Caussade


Le safran  / Photo DDM

Quelques filaments longuement infusés suffisent à apporter tout l'arôme du safran à votre plat favori... C'est le pari caussadais...

A partir du Moyen Age, le safran, appelé «safran de l'Albigeois» était cultivé dans la région de Caussade et faisait l'objet d'un commerce international. En cuisine, il était considéré, par les populations nordiques, comme le meilleur safran de l'Europe de l'ouest. Des quantités considérables étaient acheminées vers Lyon pour la teinture de la soie. Après une disparition brutale dans notre région au XVIIIe siècle, il est réimplanté en Quercy et en Albigeois depuis une dizaine d'années.Les producteurs de safran en Quercy Caussadais :

- A Caussade : Denise Soulier - visites d'une safranière à l'occasion de Tractomania et sur rendez-vous - vente, exposition et documentation sur le marché gras/truffe/safran de Caussade tous les lundis matin à l'Espace Bonnaïs (novembre à mars).
- A Lavaurette : La Ferme du Gendre, Françoise Zamboni - visites de safranières sur rendez-vous - accueil à la ferme (label Accueil Paysan) et table paysanne, casse-croûte au safran, vente de produits safranés sur place.
- A Saint Georges : La Ferme du Safran, Régine et Bertrand Hoël - visites de safranières au moment de la récolte, sur réservation - vente de produits à la ferme (label Accueil Paysan) - repas au safran.


Publié le 04/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

L'imposante Notre-Dame de Lapeyrouse

Notre-Dame de Lapeyrouse  / Photo DDM

La légende s'est emparée des origines de Notre Dame de Lapeyrouse, et il est bien difficile de les préciser. Petra alta («rocher haut»), est l'étymologie la plus vraisemblable. Elle désigne un quartier forestier où s'élevait un autel druidique.

La première mention écrite de la chapelle remonte au XIe siècle. En 1240, elle fut donnée à l'abbaye de Moissac, et figure parmi les possessions du monastère.
Jusqu'à la Révolution, elle reste une annexe de la cure de Lafrançaise. Lapeyrouse fut le théâtre de batailles de toutes natures. La grande voie de Cahors à Moissac passait tout près de Lapeyrouse. Cette position stratégique ne laissait personne indifférent.

Dans un large périmètre, les travaux agricoles ont mis à jour des restes de squelettes, des débris d'ossements en grande quantité qui témoignent des massacres et des luttes acharnées autour de Lapeyrouse. Les chapelles connues sous le nom de «memoriae» n'avaient pas de cimetière.
L'édifice, rebâti au XVIIe siècle, avait sa façade et son clocher triangulaire. La reconstruction de l'église actuelle a été entreprise le 5 novembre 1877 par l'abbé Defargues, curé de Lafrançaise, et terminée en 1879.

Les plans sont de l'architecte toulousain Brefeil. La nouvelle église, de plan ramassé, sans doute unique en Tarn et Garonne, est de style romano byzantin. En effet, tout est regroupé sur une petite surface.
Elle est constituée d'une nef carrée de 7m70, surmontée d'une coupole qui se dresse sur un tambour. Les trois pylônes mesurent 1m50 de côté. Le quatrième, près de l'abside, a la forme d'un minaret quadrangulaire. C'est en haut de cette mince tour carrée d'une hauteur de 20m que se trouve le clocher.

En 1881, un violent orage a atteint cette partie de l'édifice détruisant la coupole qui couronnait cette tour. L'abside et le cœur ont été peints par Cazotte en 1891. Il s'agit d'une représentation de l'Assomption.
La Chapelle de Notre Dame de Lapeyrouse est inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques de France.


Publié le 04/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

La mémoire de la pierre à Piquecos

Piquecos  / Photo DDM

Il faut se promener sans montre dans le Quercy et se laisser guider vers Piquecos et son panorama. On n'en repart jamais déçu... Erigé sur un promontoire rocheux à 10 km de Montauban et blotti dans son écrin de verdure, le Château de Piquecos domine de ses imposantes murailles de brique rouge la riche plaine alluviale irriguée par l'Aveyron et le Tarn. La vue sans limite s'étend jusqu'aux lointaines Pyrénées…notamment les matinées des mois chauds, par temps trés clair.

De puissantes familles
Inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques depuis 1945, cet ancien château féodal, remanié aux 16ème et 17ème siècles, fut le fief pendant presque 400 ans d'une des plus puissantes familles du Quercy. Célèbre tant pour ses hommes d'église que pour ses hommes de guerre… Les des Prez de Montpezat eurent l'honneur de recevoir au château de nombreux personnages illustres ainsi que quatre rois de France.

Durant la saison estivale, le château ouvre ses portes en plusieurs occasions : Dans le cadre des Escapades en Pays Montalbanais, des visites guidées du château par la propriétaire sont proposées une fois par mois de juin à septembre.
Le deuxième vendredi du mois d'août, le marché gourmand de Piquecos se déplace au château.


Publié le 04/07/2014  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Grisolles, l'étape paisible

Escale à Grisolles ./Photo DDM, Michel Vaysiières

Etape paisible sur les berges du canal, Grisolles constitue une parfaite base arrière pour visiter la région.

Petite ville de briques sise dans la vallée de la Garonne, au bord du canal des deux mers, Grisolles garde son charme provincial. Elle était connue autrefois pour ses grandes foires et ses fabriques de balais. Cette industrie a presque totalement disparue mais l'économie s'est largement diversifiée.
Traditionnellement agricole, la région produit des céréales, des fruits, des volailles, des bovins et des vins d'appellation «Côtes du Frontonnais». Les commerces et services ainsi que les marchés du mercredi drainent vers Grisolles la population des environs.

La ville est également fréquentée par les vacanciers et les promeneurs du dimanche. Ils aiment les rives fraîches du canal, les promenades dans la campagne, les berges de la Garonne, les monuments, Musée et maisons d'autrefois, les tables gourmandes des restaurants.
Pour une simple halte ou pour quelques jours de détente à la campagne, la région propose ses gîtes ruraux, ses hôtels et restaurants, ses campings. Les possibilités de loisirs sont nombreuses : plaisance et aviron sur le canal, tennis, cyclotourisme et randonnée, pêche, pétanque, bibliothèque multi-médias... 


Publié le 02/07/2014 à 12:02  | La Dépêche du Midi | Guide de l'été 2014

 

Une belle vie au bord du canal


Canal des Deux Mers  / Photo DDM

Le département du Tarn-et-Garonne est traversé d'est en ouest par le canal latéral à la Garonne, dit des Deux mers Le suivre permet de découvrir de belles cités à l'ambiance portuaire et à l'hospitalité toujours appréciable.
La vélo voie verte du canal des Deux Mers, qui longe les chemins de halage du canal de la Garonne, offre un parcours magnifique sous ses grands platanes. Empruntez seul, à deux ou en famille, cette vélo-route sécurisée et accessible à tous.
Voici quelques villages à ne pas rater le long de son périple :

GRISOLLES
Grisolles, halte conviviale du Canal des Deux Mers, étape verte à deux pas de Toulouse et Montauban est à la jonction aujourd'hui de deux axes routiers que sont la RD 820 et la RD 813. À ne pas manquer, le Musée Calbet avec ses collections allant de la préhistoire au début du XXe siècle (attention fermé cet été). Bustes gallo-romain et objets originaux vous transportent pour un voyage dans le temps.

 

Montech : La vélo voie verte s'allonge de 5,7 km /  Photo DDM D.Bolhy

MONTECH
Située à 40 km au nord de Toulouse et à 10 km au sud-Ouest de Montauban, au bord du Canal des Deux Mers, Montech et sa halte nautique proposent aux plaisanciers un cadre de verdure accueillant. On peut y embarquer pour des croisières à la journée. La pente d'eau, ouvrage unique en Europe permettait de franchir une série de cinq écluses entre Montech et Montauban.

CASTELSARRASIN
La ville de Castelsarrasin possède un port important, le port Jacques-Yves Cousteau, abritant une très belle sculpture d'un navire en acier, arrosée en permanence par des jets d'eau, véritable fontaine du port. Castelsarrasin est également réputée pour son fl eurissement. Elle a obtenu le classement de 3 fleurs par le label «Villes et villages fleuris».

Découvrir à Proximité : Abbaye
de Belleperche (à 10km de Castelsarrasin) Fondée vers 1130, l'abbaye cistercienne de Belleperche fut considérée comme l'une des plus puissantes du Sud-Ouest. Sa position stratégique au bord de la Garonne lui a permis de bénéficier d'un site exceptionnel pour son développement culturel et économique. Propriété du Conseil Général de Tarn-et-Garonne depuis 1983, elle accueille aujourd'hui le Centre des Arts de la Table et propose des expositions, des concerts, des spectacles et des journées médiévales.

 


Moissac, le cloître./Photo DDM M.W.

MOISSAC
Moissac est l'un des Grands sites touristiques de Midi-Pyrénées. Dans le Tarn-et-Garonne, cette ville s'inscrit dans un paysage épicurien où dominent les vergers et les vignes du raisin AOC Chasselas. Moissac, est également une étape sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, classée au patrimoine mondial par l'UNESCO, haut lieu de l'art roman en France, connue pour son cloître et son abbatiale.

À proximité, à 8,5 km de Moissac : Base de Loisirs du Tarn et de la Garonne : Saint-Nicolas-de-la-Grave au confluent d'une rivière, le Tarn et d'un fl euve, la Garonne. La base départementale de plein air et de loisirs située sur ce site exceptionnel vous propose diverses activités nautiques. La réserve ornithologique quant à elle vous fera découvrir la diversité de la faune du Val de Garonne. Le château de Richard Cœur de Lion et le musée du fondateur de la ville de Détroit aux Etats-Unis, Lamothe Cadillac, qui a également donné son nom à une célèbre voiture, vous attendent à St-Nicolas-de-la-Grave

 

Moissac, le cloitre / Photo DDM

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