Du Bruc à Ricardens : Actualités janvier 2014 -2-

3/3/2014

Publié le 08/01/2014 à 03:53 | 
 
Un nouveau centre de secours
 

 
Cette année le travaux du futur centre de secours graulhétois vont débuter dans l’ancien bâtiment de l’ASSEDIC. D’une superficie de 900 m2; il sera conservé. Pour arriver à la surface nécessaire il sera agrandi pour arriver à une superficie de près de 2000 m2. La première partie du centre comprendra bureaux, salle de formation, salle de musculation et foyer avec une terrasse extérieure. La seconde zone, en partie centrale, comprendra un puits de jour autour duquel seront situées les chambres des personnels de garde. Enfin les vestiaires avec un accès direct à la remise où seront situés les véhicules constitua le troisième pôle du centre de secours. Des aires spécifiques sont prévues pour pouvoir réaliser les exercices ainsi qu’une tour d’entraînement attenante à l’édifice. La commune a fourni le terrain et le bâtiment, les travaux - qui devraient durer de 2014 à 2015- seront pris en charge par le SDIS.


Publié le 09/01/2014 à 03:48   M.L

 
Graulhet : quatre postulants


 
Claude Fita, maire (PS) de Graulhet depuis 2008, s’est déclaré candidat à sa succession pour un second mandat. Face à lui, Jean-Claude Amalric (UDI), conseiller municipal d’opposition, après avoir hésité, a déclaré sa candidature début décembre comme tête «d’une liste hors de toute chapelle» réunissant UMP, sympathisants socio-démocrates et quelques commerçants. Bruno de Boissezon, conseiller municipal sortant, est également candidat, en tête d’une liste qu’il définit comme «divers droite sans étiquette». Enfin le Frontiste Jean-Pierre Rousseau, ex-directeur de banque en région parisienne, confirme sa candidature, fort de la déclaration de son mouvement pour qui «Graulhet est la seule ville du Tarn qui peut être gagnée». Soit quatre postulants à moins d’une fusion surprise entre les listes Boissezon et Rousseau.


Publié le 09/01/2014 à 09:27 | 

 
Une nouvelle vie pour Gilles Gosselet


Gilles Gosselet a laissé le monde de la télé et Paris pour démarrer une nouvelle vie à Graulhet. /Photo DDM, J-C C .

CAP d’ébéniste, éducateur spécialisé, directeur de club de prévention, technicien du spectacle, directeur photo, réalisateur à la télévision.

Gilles Gosselet a déjà eu plusieurs vies. Cet homme au parcours atypique a choisi de quitter sa situation, la région parisienne et sa dernière vie pour venir à Graulhet réhabiliter une ancienne friche industrielle. «J’ai beaucoup d’amis dans le milieu du cirque et du spectacle vivant. C’est grâce à eux que j’ai découvert la région», explique Gilles Gosselet. Séduit par cette ancienne mégisserie à deux pas du nouveau cinéma et de la passerelle, il a choisi de prendre son temps pour réhabiliter ce lieu où les peaux étaient traitées et vendues et qui ne manque pas de cachet.

Pour ce faire l’ancien Parisien a laissé en stand-by ses projets professionnels. En créant Macgeek, il se lance dans une nouvelle aventure. «Toute ma vie j’ai travaillé sur des macs. Je me suis aperçu qu’ici il fallait aller très loin pour trouver un spécialiste Apple. Il était logique que je me propose de dépanner, réparer ou forer au domicile des gens pour les aider. En revanche, je ne peux rien pour les PC», souligne-t-il avec humour. Il est aussi vrai que de ce côté-là la cité du cuir est déjà fort bien pourvue.

Publié le 10/01/2014 à 08:04 | 

 
Une nouvelle eau pour la ville

La RMEA et son directeur Charles Landry viennent de finir une opération de rénovation d'une partie des canalisations du réseau. / Photo DDM

Mise en service en 1965, l’usine de traitement de la Fabrié, située sur la rive droite du Dadou, n’est plus aujourd’hui à la pointe.
Ce constat a conduit Charles Landry, directeur de la RMEA (régie municipale le directeur de la régie de l’eau et de l’assainissement) et son président à envisager une solution d’avenir.

Deux possibilités étaient envisageables : soit cette usine devait faire l’objet de lourds travaux, soit une solution alternative devait être trouvée. C’est cette seconde option qui a été retenue et en 2012. La régie des eaux a mené une réflexion pour envisager divers scenarii. C’est celui d’une alimentation mutualisée à partir du réseau de l’IEMN (Institution des eaux de la Montagne Noire) qui a été retenue.

Ce projet offre plusieurs avatanges. Non seulement il répond à la problématique de la régie des eaux, mais il offre aussi une gestion de l’eau plus simple et moins onéreuse. Enfin, ce scénario intègre les besoins des SIAEP (Syndicat intercommunal d’eau potable) du Sant, de Vielmur-Saint-Paul et de la commune de Sémalens.

Ainsi, c’est une canalisation de plusieurs dizaines de kilomètres qui va traverser le sud du département, des Cammazes à Graulhet, en desservant au passage les villages situés à proximité de l’ouvrage.
C’est donc une eau produite par une institution publique - et dont la qualité est reconnue dans toute la région - qui devrait couler des robinets graulhétois car les travaux de ce chantier d’envergure vont s’amorcer dès cette année.


Publié le 11/01/2014 à 09:12 | G.D.

 
25 ans à noter précipitations et phénomènes

Alain Berthomieu ne rangera pas son pluviomètre pour autant. Trop habitué à le contrôler depuis plus de 25 ans. / Photo DDM.G.D.

Après 25 années de relevés quotidiens pour Météo France dont il aura été l’observateur attitré sur la ville, Alain Berthomieu vient de cesser ses fonctions avec le passage à 2014. L’ancien de la DDE qui a pris sa retraite voilà quelques années, a donc noté un quart de siècle de précipitations et de phénomènes divers. Sept d’entre-eux ont retenu son attention au moment des bilans. A commencer par les 35 cm de neige -en plaine c’est un fait rare- de janvier 81. Suivent la tempête avec le vent d’Autan à plus de 120 km/h du 6 novembre 82, la grand froid et un -20° en janvier 85, les 96 mm d’eau en 20 minutes lors des trombes du 24 août 90, la tempête avec le vent à plus de 120 km/h de fin décembre 99, la canicule et un record à 40,9° le 13 août 2003 et enfin, la tempête du 24 janvier 2009, avec du vent d’Ouest à plus de 100 km/h. «Des sautes d’humeur de la météo, vécues au plus près par le fait de mon métier qui m’a envoyé sur le terrain presque à chaque fois, pour réparer les dégâts».

2013, année paradoxale
Pour ce qui est de l’année 2013, Alain Berthomieu la classe deuxième depuis 1973, en terme de précipitations. «Il est tombé sur Graulhet, 999,6 mm d’eau en douze mois. C’est juste derrière la mémorable année 92 pour laquelle j’en avais comptabilisé 1214. Lors du premier semestre il en est tombé 650 mm. Il a fait très frais en juin et 36,5° comme record de chaleur le 25 juillet. Au titre de paradoxe, j’ai noté le première gelée le 11 octobre et un 24° neuf jours plus tard». Pour clore le chapitre, il a aussi noté sept petites chutes de neige en février-mars.


Publié le 11/01/2014 à  09:12  Recueilli par G.D.

 
Rugby : «L'équipe doit être très ambitieuse»

Christain Delfaut et Renaud Gély, ont, avec Benoit Bellot disposé de six semaines de trêve pour disséquer les neuf premières rencontres et préparer le groupe pour les matchs retour.

La deuxième partie du championnat débute demain à Saverdun pour le Sporting premier de poule, loin devant et qui peut envisager la troisième partie de la compétition, la qualification.

Saverdun, ça sent pas le match piège ?
«Je ne dirai pas un match piège car aujourd’hui tous les matches seront compliqués à jouer ,mais il reste un match très difficile à négocier. Saverdun n’a pas perdu chez lui et en position de qualifiable et a une équipe rugueuse difficile à manœuvrer puissante et qui ne nous laissera pas la moindre chance de développer notre jeu».

Ou en est l’effectif ?
«L’équipe va très bien. Le groupe est sain, bosseur, riche en effectif malgré les quelques blessures de Mandagaran et Codjia, mais l’incertitude est sur Romain Bille avec une douleur des adducteurs et en soins pour le moment.
Heureusement, la profondeur de notre banc est de qualité avec de jeunes joueurs qui poussent très fort».

Graulhet 1er de poule. L’équipe a-t-elle les capacités d’honorer son rang ?
«Il est important que Graulhet revienne de Saverdun avec un résultat. Il faut finir la phase qualificative 1er de poule et avec un maximum de points pour envisager de recevoir sur les phases finales. Notre objectif est de monter en puissance toute les semaines, enrichir et élever notre niveau de jeu ,être plus constant, de s’aguerrir encore plus dans les phases de combat et d’être très très ambitieux sans manquer de respect à nos adversaires. Le staff a identifié les faiblesses du groupe seniors et travaille avec beaucoup de rigueur et de vigueur pour les gommer. L’objectif restant bien-sûr, la qualification».


Publié le 13/01/2014 à 08:42   Max Bousquié

 
Saverdun perd son invincibilité
 
Graulhet a refermé le piège sur des Saverdunois encore magnifiques d'abnégation./ Photo DDM,  Sébastien Batteux.

Il fallait bien que cette série d’invincibilité, à domicile, prenne fin et Graulhet fait un beau vainqueur. Il y aura évidemment beaucoup de frustration car l’UAS, par un final de qualité, pouvait renverser la situation mais il manquait, dans chaque entreprise, un petit quelque chose.
L’UAS entame la partie avec le vent favorable et la nécessité de scorer. C’est là, dans ce premier acte, que la partie se perdra. Bien sûr, la botte de Guichou n’a pas été au rendez vous (un secteur de jeu où, lorsque la réussite vous fuit, les conséquences sont souvent funestes). Drop dès la 2e minute (à côté), glissade sur la première pénalité (5e), raté à la 7e mais l’ouverture du score à la 9e (3-0). De l’autre côté, malgré le vent défavorable, l’ouvreur visiteur Dumont prend le poteau (12e). À la retombée du ballon, un saverdunois réceptionne mal en faisant un en-avant….repris devant par un partenaire (3-3, 13e).Une autre occasion est offerte aux Saverdunois (16e) qui passe de peu à côté. 

Dans les autres secteurs de jeu , Benjamin Guichou a plus de réussite: une belle touche trouvée et, derrière, une belle descente des Allabert «brothers» que Nicolas ne peut négocier au mieux malgré un judicieux petit coup de pied par-dessus le dernier défenseur. Saverdun joue pourtant bien. Sur une touche, le ballon est bien capté par le capitaine Vivian Pons et les avants ariègeois, comme un seul homme, font faire le chemin jusqu’à l’en-but pour ce qui devient une spécialité maison, le ballon porté (8-3, 20e). Graulhet, par Dumont, revient (8-6, 28e) après un raté à la 26e, cela ne marche pas à tous les coups. Fournes laisse les copains à quatorze (biscotte blanche, 33e). Dumont «enquille» et son équipe passe devant (8-9, 35e). L’UAS, même à quatorze, peut compter sur le pack qui trouve la force de marquer un essai par son talonneur Caunes (15-9 grâce à la transformation de Guichou; 36e). 

Dans les travées des tribunes, on entend aussi des vérités (pas toujours): «Ils sont peut être meilleurs mais ils ne sont pas plus vaillants.» Alors que l’UAS semble pouvoir conserver un petit matelas de points d’avance aux citrons, les visiteurs sont dans «les 22» côté gauche. Tout le monde a vu l’ailier droit Barthélémy oublié en embuscade... côté droit. Une transversale pour lui et Bonzom ayant «flairé» trop tard le coup l’arrête sans ballon. Carton jaune (40e). À 13 contre 15, l’UAS encaisse un l’essai par le seconde ligne capitaine Pauthe. Avec la transformation, les visiteurs ont repris la tête (15-16 au repos).

La reprise se fait à 13 contre 15 mais Hédreville, pour Graulhet, hérite d’un carton blanc (44e). Du sang frais est administré aux hommes d’Eric Mercadier et Christophe Dumas avec la rentrée d’une première ligne toute neuve même si Tchapnga est utilisé en deuxième ligne.
La «cuillère» sur Geoffrez Dejean

Alors que l’UAS retrouve des couleurs, c’est de derrière que viendra l’estocade. Le trois-quart centre J. Montbroussous s’enfile dans un trou de souris pour un bel essai (15-23, 54e). Pourtant, Saverdun ne renonce toujours pas. Après une belle percée de Mazières, Guichou rapproche les siens sur pénalité (18-23, 62e). Saverdun domine maintenant copieusement. Geoffrey Déjean entrevoit la ligne d’en-but, subit une «cuillère» qui le prive de l’essai, l’arrière visiteur Sarcia n’écope que d’un carton blanc (62e) ! Les esprits s’échauffent et, à la 69e minute, deux cartons jaunes sont distribués, l’un à Pages pour l’ensemble de son œuvre de «vieux» filou de demi de mêlée, l’autre pour le pilier saverdunois Hannoff pour un geste d’énervement (pas un coutumier des faits). La fin de la rencontre sera celle des occasions gâchées pour des Saverdunois qui camperont en terre graulhétoise en pure perte. L’essai ne viendra pas.

Les coachs saverdunois regrettaient ce résultat mais louaient leurs hommes pour leur vaillance et leur comportement d’ensemble. «Il ne faut rien lâcher maintenant et, dès dimanche prendre la route de l’Isle- Jourdain avec des intentions.» Tout le monde semblait sur la même longueur d’onde, le rendez-vous est donc pris.
Équipes réserve. Les réservistes saverdunois l’ont emporté 23-16 contre en adversaire de qualité.

Saverdun 18 - 23 Graulhet
(M-T: 16-15). Arbitrage de M. Maréchal (comité Côte Basque Landes)
Pour Saverdun: 2 essais, anonyme du pack sur ballon porté (20e) et Caunes (36e); 1 transformation et 2 pénalités (9e, 62e) de Guichou.
Pour Graulhet: 2 essais de Pauthe (40e) et J. Montbroussous (54e); 2 transformations et 3 pénalités (13e, 28e, 35e) de Dumont.
UA SAVERDUN. Hannoff, Caunes, Gagnidze; Grégory Diverd, Pons (cap.); Fournes, Déjean, Soler; Clément Allabert (m), Guichou (o); Bouffil, Mazières, Dreuil, Nicolas Allabert; Bonzom. Remplaçants: Tchapnga Tchenou, Frogier, Teriou, Galy, Sentenac, Février, Amiel. Cartons jaunes: Bonzom (40e), Hannoff (69e). Carton blanc: Fournes (33e).
SC GRAULHET. Bueno, Goulignac, Gouveia; Moulin, Pauthe (cap.); Teyssier, Maréchal, Hedreville; Pages (m), Dumont (o); De Chasteigner, A. Montbroussous, J. Montbroussous, Barthélémy; Sarcia. Remplaçants: Vaton, Kasdorf, Balaye, Valette, Montels, Poujade, Paul. Carton jaune: Pages (69e). Cartons blancs: Hédreville (44e) et Sarcia (62e).


Publié le 14/01/2014 à 08:06 | 

 
Bruno de Boisseson : «Se fédérer sur un projet commun»

Bruno de Boisseson conduira la liste divers droite lors des prochaines élections municipales. / Photo DDM, J-C C .

Quelles sont les raisons de vote engagement ?
J’ai eu envie de m’impliquer en politique depuis longtemps. En arrivant à la retraite j’ai eu ce temps disponible. J’étais sur une liste aux élections municipales de 2008 et suis conseiller depuis 2010. Je souhaitais confirmer cette implication et on m’a demandé d’être tête de liste, ce que j’ai accepté.

Quelles sont vos principales idées ?
Il faut absolument une nouvelle répartition des ressources publiques et revitaliser le centre-ville. Il faut pour cela arrêter la hausse des impôts. Nous allons aussi faire des propositions dans le domaine de la sécurité et du non-civisme. Il faut aussi limiter les dépenses. Pour cela nous commencerons par donner l’exemple en diminuant de 20 % nos indemnités. Mais le plus important est le développement économique de la ville.

Que pourriez-vous mettre en œuvre dans ce domaine ?
Il faut d’abord que la ville se dote d’une cellule propre consacrée au développement économique pour défendre les intérêts de la ville, ceux des entreprises qui sont déjà implantées pour qu’elles restent et faire venir de nouvelles. Pour cela il faut impérativement lever la pression fiscale. Nous pourrons aussi nous aider de notre carnet d’adresses.

Vous avez aussi réalisé un questionnaire…
Oui. Il est disponible sur notre site www.unispourgraulhet.fr. Il permettra d mieux connaître les attentes des Graulhétois et d’affiner nos propositions.
Le nom «Unis pour Graulhet» peut prêter à confusion avec la liste «Union pour Graulhet»…
Nous avons choisi ce nom en octobre, quand nous avons déposé le mandataire financier.

Votre liste est-elle aujourd’hui complète ?
Oui. Notre liste est «divers droite». Il y a des femmes et des hommes, Graulhétois depuis longtemps ou depuis peu, des personnes qui viennent de divers horizons, de droite, du centre et même de gauche. Cela n’est pas un problème du moment qu’on a un même objectif, on peut es fédérer sur un projet commun.

Quels seront les prochains rendez-vous ?
Nous allons organiser deux réunions publiques à l’Auditorium. La première aura lieu le lundi 3 février et la seconde le 10 mars. Nous donnerons à l’occasion de ces réunions de propositions concrètes.


Publié le 15/01/2014 à 08:17 | 
Un rush sans surprise des bénéficiaires


Danielle Bec et Edmond Sabatier avec quelques-unes bénévoles des restos graulhétois. / Photo DDM.G.D.

Ca n’a pas été une surprise. Les responsables des Restos du Cœur de Graulhet s’attendaient à une forte augmentation du nombre de bénéficiaires au terme de quelques semaines de distributions -elles ont débuté le 26 novembre- de la campagne d’hiver. La hausse a été évaluée à 17% de familles en plus, soit à ce jour, 374 personnes qui ont franchi la porte du local de la place des Tanneurs.

«C’est la première fois que nous avons à faire face à une augmentation aussi importante, reconnaît Danielle Bec qui a pris la responsabilité de l’antenne locale à l’automne, après avoir été bénévole depuis plusieurs années. «Le dilemme est conséquent car le centre départemental qui fournit les denrées, a réduit ses apports, et nous devons donc réduire la teneur des paniers des six repas complets et hebdomadaires, tout en continuant à apporter l’aide alimentaire. Les inscriptions ne sont d’ailleurs pas closes. Tous les lundi matins, entre 9 et 11 heures, nous en prenons de nouvelles». «En nous assurant que les paniers sont bien remplis».

Pour Edmond Sabatier l’ancien responsable local, l’heure est aussi à l’effort collectif face à la précarité. «Nous accueillons de plus en plus de personnes isolées, et d’autres, seules avec un ou plusieurs enfants». Pour terminer la campagne, les restos comptent sur la première collecte de denrées, à Netto, les 17 et 18 janvier, mais surtout sur la collecte nationale, les 7e t 8 mars qui se fera à l’entrée toutes les grandes surfaces de la ville. «Nous recherchons des bénévoles pour ces actions ponctuelles. Ils peuvent se présenter, les lundi, mardi et vendredi matin au local».


Publié le 15/01/2014 à 08:17  J- C C.

 
Première réunion publique pour Jean-Claude Amalric


Philippe Folliot a apporté son soutien à Jean-Claude Amalric. /Photo DDM, J-C C .

Une cinquantaine de personnes a assisté lundi soir à la réunion publique organisée à l’Auditorium par la liste «Union pour Graulhet» menée par Jean-Claude Amalric. A cette occasion le candidat a pu présenter deux de ses colistiers, de Jacques Mayer, sympathisant UMP, et Isabelle Ginet qui a été élue sur la liste de Claude Fita lors de la dernière élection municipale.

Dans une ambiance toujours bon enfant les critiques ont été franches quant à l’actuelle majorité municipale. «J’ai été très peu entendue. A la mairie les stratégies sont politiciennes, la méthode autoritaire, clanique et on m’a demandé de me taire. J’ai décidé de m’engager au côté d’une équipe qui me convenait mieux» a expliqué Isabelle Ginet. Mais le soutien de poids dont a bénéficié Jean-Claude Amalric était le député UDI Philippe Folliot.

«Il y a ici un terreau favorable pour les entreprises. Nombre d’enjeux vont se jouer au niveau de l’intercommunalité. Entre le conservatisme socialiste et les aventuriers et le populisme, il y a, à Graulhet, une autre voix. Tout le département du Tarn a les yeux braqués sur Grauhet. J’aimerais que l’heureuse surprise ce soit votre démarche, votre équipe qui la porte».

Aucune liste de candidats n’a été présentée mais plusieurs pistes. «La priorité est de réhabiliter la place jourdain. Le cœur de ville commence au point saint Jean. Rien n’est impossible quand on a la volonté» a déclaré Jean-Claude Amalric. Le candidat a aussi évoqué de nombreuses idées concernant le lycée, la dynamique associative et l’emploi de l’argent public sur des projets apportant immédiatement de l’emploi.

Mais dans la salle planait l’ombre de l’autre liste de droite, «Unis pour Graulhet». Au cours des échanges la salle a demandé pourquoi il n’avait pas été possible de ne former qu’une liste. «Je ne voulais pas être tête de liste. A deux reprises j’ai pris rendez-vous.. Et j’attends encore. Il fallait bien y aller pour que les choses avancent» a expliqué Jean-Claude Amalric qui a souligné «Contrairement à Sylvain Bonleux, qui pensait que cela allait dans le bon sens, je n’ai pas voté le premier budget présenté par Claude Fita».
 

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