Graulhet : Rétro Décembre 2018 -2-
GRAULHET : Du Bruc à Ricardens
Graulhet : Rétro Décembre 2018 -2-
Publié le 16/12/2018 à 09:47 | La Dépêche du Midi | G.D.
Le Petit Train du Père Noël est lancé
La maison du Père Noël en cours de montage par l'amicale laïque dans le hall du Leclerc./ Photo DDM G.D.
Daniel Sannou, le co-président de Parta'g, a voulu faire plaisir à la fois à l'association Parta'gdes commerçants et artisans graulhétois et aux anciens de la ville nostalgiques du petit train de jadis. «Nous allons tenter durant quatre jours l'aventure ferroviaire, sans les rails, mais avec la gare et les wagons de voyageurs» assure le tenancier de la Maison de la Presse, qui a validé l'idée de l'association. Du vendredi 21 au lundi 22, Graulhet sera à visiter derrière la puissante micheline, avec départ de la place Jean Moulin, détours par la place du Jourdain, arrêt en bord de rocade avec des animations sur jeux gonflables proposées par Joué Club et l'Acpg façon stand gourmand, au Leclerc avec la maison du Père Noël animée par l'amicale laïque, et retour au point départ ou le comité des fêtes de la Trucarié assurera le buffet-gare.
Le billet, 2 €, est à récupérer chez les commerçants participants ou à la gare. Pour tester le parcours, Parta'g a invité les résidents des maisons de retraite de Millet, de St-François et du Foyer Logement, à faire le tour de ville, façon touriste embarqué aux côtés du Père Noël. Six ou sept rotations sont prévues chaque jour, avec 80 places disponibles. Depuis quelques semaines, les tickets s'arrachent.
2 500 billets déjà vendus
«Nous en avons vendu 2 500 à des associations, à des entreprises. Il y a même des commerçants non-adhérents qui en ont pris pour faire cadeau à leurs clients» se félicite Daniel Sannou. Art Graulhet sera aussi de la fête avec une expo rappelant que la ville, a défaut de ferroviaire, a réussi sa reconversion artistique.
Sur le stand de la Trucarié, ou ils seront proposés, les billets d'entrée pour le spectacle Nadau 2019 au forum, sont en vente, chez Sannou, place Mercadial et galerie Leclerc, Terrassié avenue Gambetta ou au magasin Intermarché.
Publié le 17/12/2018 à 07:39 | La Dépêche du Midi | G.D.
Lasidoré, 20 ans et des chansons pour Noël
Lasidoré a vingt ans et l'enthousiasme intact des troupes de jeunes. / DDM
LaSiDoRé a 20 ans ! Déjà ? Eh oui, le temps passe vite ! C'était en octobre 1998 que la troupe LaSiDoRé (la scie dorée) a été créée par deux amoureux de la scène : André Escribano et Mayca Sanz. L'objectif était clair : aller à la rencontre du public pour passer avec lui un agréable moment, partageant musique, théâtre et ars de la scène !
20 ans se sont écoulés, la petite troupe a bien changé, André et Mayca reconnaissent qu'aussi.» Il y a eu des hauts et des bas, mais on a gardé le meilleur de chaque année ! Et lors de chaque spectacle, le but reste toujours le même : vous faire oublier, cher public, vos soucis pendant presque deux heures !» assurent les deux animateurs. Ce 23 décembre à 15 h, au Forum, LaSiDoré revient à la charge avec son tout nouveau spectacle de Noël ! Mais ! nouveau, nouveau ? «Oui ! Un conte musical de Noël vous attend, parsemé des personnages hauts en couleurs, où vous allez vous régaler avec des instruments connus comme trompette, violon, guitare, et moins connus comme la scie musicale, le thérémine. Un conte qui mélange théâtre, chansons, acrobaties, musique en live. Un conte où vous allez apprendre pourquoi le Père Noël est rouge (non, non, ce n'est pas pour une marque de soda) et pourquoi il est tout seul à distribuer les cadeaux ! Un conte avec plus de 20 intervenants sur scène !»
Théâtre, chants et danses
Les ingrédients du spectacle : un zeste de théâtre, un brin de chansons, une pincée de danses, quelques touches de musiques et beaucoup, beaucoup de dynamisme et d'illusion par une troupe sans cesse renouvelée avec toujours autant de spontanéité et de fraîcheur dans les reprises. Le spectacle de Noël de LaSiDoRé, depuis 20 ans, c'est le rendez-vous incontournable pour bien commencer les fêtes de Noël ! Et l'occasion de venir ovationner, Mayca et André, superbes initiateurs et conducteurs d'une joie de vivre et de chanter.
Publié le 17/12/2018 à 07:44 | La Dépêche du Midi |
Graulhet n'a résisté qu'une mi-temps
Aubenas 38 – Graulhet 6
Graulhet a craqué en deuxième période./ Photo DDM Archives M.P.V.
Aubenas-Vals a mis une mi-temps pour se défaire de valeureux Tarnais, qui n'ont eu ensuite que leur courage pour contenir les assauts ardéchois en deuxième période. C'est Graulhet qui débute pied au plancher la rencontre et domine le début. Icart ouvre logiquement le score (3e), mais Pecheux lui réplique dans la foulée (6e). Les Ardéchois tentent alors d'investir le camp tarnais et obtiennent une pénalité qui permet à Pecheux de rajouter 3 points, mais vite annulés par Icart qui répond du tac au tac (15e). Aubenas tarde à imposer son jeu, de nombreuses fautes sanctionnent les initiatives, mais il faut dire aussi qu'il manque de la détermination dans les enchaînements.
Les Ardéchois profitent guère de l'infériorité tarnaise (carton pour Massima (20e), et seul Pecheux rajoute 3 points (24e). Erasmus a beau relancer comme un beau diable, ses coéquipiers ne sont pas à ce moment-là au diapason. Icart lui non plus n'est pas dans un grand jour, en témoigne ses deux échecs consécutifs (26e, 28e), et finalement, Graulhet pourrait mener… Alors que les supporters commencent sérieusement à s'ennuyer, une pénal'touche est trouvée dans le camp tarnais (35e) : le maul s'organise et s'approche de la ligne adverse. Promptement, Helmer sert Pecheux qui marque entre les poteaux. Un mini break est réalisé à la pause, mais pour ce qui est du contenu, il y a à redire. Sans doute sermonnés à la pause, les coéquipiers de Cyrille Andreu vont offrir un tout autre visage ensuite. Les entrées de Gontard et Naikadawa ne sont peut-être pas étrangères à cela.
Immédiatement en action, les Ardéchois vont inscrire un essai, encore par Pecheux, à la suite d'une belle attaque consécutive à une touche (42e). Insensiblement, on sent que Graulhet lâche prise et surtout, Aubenas donne enfin du rythme. Les Tarnais se distinguent sur des mauls portés, mais sans grand avantage. Andreu creuse l'écart grâce à un sprint en bout de ligne (54e) pour offrir à ce moment-là, le bonus à son équipe. À vrai dire, on ne voit pas comment Graulhet pourrait revenir au score. Les actions s'enchaînent côté ardéchois et après un pilonnage de la ligne adverse, Gontard s'extrait et aplatit (60e). La fin de match est à sens unique et les Tarnais sont au bord de la rupture. Rageur, Blanc y va de son essai en bout de ligne pour faire gonfler le score (71e).
Plus rien ne va être marqué. Aubenas a «sauvé» son match grâce à une deuxième mi-temps enfin digne de ce nom. Le succès bonifié permet aux Ardéchois de monter sur le podium à la trêve. Quant à Graulhet, en dépit d'une belle habileté sur les mauls, il va falloir souquer ferme pour rattraper Fleurance dans la course au maintien.
Publié le 18/12/2018 à 07:39 | La Dépêche du Midi |
Le centre-bourg intégré dans un projet de revalorisation
La rénovation de Crins est en cours./ Photo DDM, J-C C
Jeudi dernier, les conseillers municipaux devaient se prononcer sur le projet de contrat bourg centre de Graulhet 2018-2019-2021 liant la région occitane, le conseil départemental du Tarn et la communauté d'agglomération Gaillac-Graulhet.
La région a choisi d'accompagner les bourgs centres dans l‘élaboration et la mise en œuvre d‘un projet de valorisation et de développement. Il revenait jeudi aux élus graulhétois d'inclure la ville dans ce dispositif.
«Ce contrat nous permettra de rentrer dans des dispositifs de financement qu'offrent la région et le département concernant l'amélioration de bourgs centres pour les villes de plus de 3 500 habitants», a expliqué Claude Fita, maire de la ville, précisant «cela permettra de mettre en avant de financer nos opérations comme la rénovation de Crins, de l'îlot du Gouch, de l'Auditorium ou le jardin de la Rivière».
La signature de ce contrat permet à la ville d'obtenir le maximum de subventions pour la réalisation de certains de ses projets.
«La commune a déjà bénéficié d'une aide dans le cadre de cette inscription au contrat bourg centre pour Crins. Graulhet est la première commune du Tarn qui signe le contrat bourg centre avec la région», s'est félicitée Claire Fita, conseillère municipale et conseillère régionale.
Le quartier de Crins mis en valeur
Si pour l'heure, seule la réhabilitation de Crins bénéficie des avantages liés à ce contrat, il bénéficiera à l'ensemble des opérations du projet de réhabilitation du bassin graulhétois (ou PRBG), opération commencée en 2008.
Il s'agit de «continuer la requalification urbaine, favoriser la réappropriation du cœur de ville, promouvoir les savoir-faire locaux et renforcer la cohésion sociale et territoriale».
Cette proposition n'a donné lieu à aucune question et aucun débat au sein de l'assemblée municipale. Elle a été adoptée à la majorité les conseillers municipaux du groupe Graulhet Bleu marine ayant choisi de s'abstenir.
Publié le 19/12/2018 à 07:45 | La Dépêche du Midi |
La mairie salue les efforts des employés de la commune
Les médaillés pour 35 ans de service. / Photo DDM, G.D.
Si en raison du transfert de services entiers vers l'Agglo, les effectifs des employés communaux se réduisent d'année en année, la soirée du comité social reste la «grand-messe» de ces municipaux que les Chevaliers du Fiel considèrent avec un certain humour comme des «héros».
L'occasion pour le président Romain Balayé de faire le bilan des actions de l'association, à commencer, pour cette année, par le travail de fond sur les conventions d'achats groupés avec les commerçants graulhétois.
Pour ses dix années à la tête de la collectivité, le maire Claude Fita a salué les économies réalisées par le travail conduit grâce à la motivation générale des troupes et des services.
«Tout comme vous, je ne conçois pas que même les petites choses soient faites petitement». Après avoir révélé qu'en 2008 la collectivité qu'il dirige pouvait présenter des comptes assainis avec un solde de fonctionnement largement positif, il a fait le bilan des réalisations d'une année et avancé les projets pour celle à venir avec la maison de santé pluridisciplinaire, la réhabilitation de Crins 2, l'auditorium et autres îlot du Gouch. Et de conclure : «Tel le Phénix, Graulhet renaît toujours de ses cendres».
La parole a été donnée au directeur général John Enot qui va poursuivre la réorganisation des services qu'il dirige «afin de donner un sens au travail. La collectivité est un condensé de notre société. Elle vit ensemble les mauvais et bons moments». La soirée faisait partie des bons moments avec un prolongement très tard dans la nuit pour un comité social toujours aussi actif.
Les médaillés
Un vibrant hommage a été rendu à Pierre Scié, dont l'assemblée devait fêter le départ à la retraite et qui est décédé la semaine dernière.
Médaille des 20 ans : Thierry Bisio et Patricia Janselme.
30 ans : Christophe Assalit, Farid Ghilaci et Jérôme Maury.
35 ans : Corinne Delmas, Antoine Mielko et Daniel Deshons (détaché à la Régie des Eaux). Retraités : Jean-Marc Bellières, Gerard Durand, Jean-Claude Fournès, Anne-Marie Jardry et Chantal Peyrin.
Un bouquet a été remis après passage à l'Agglo à Pascale Pons (20 ans), Françoise Papaïx (30 ans), Gisèle Moulis, Frédérique Massol, Catherine Denat et Patrick Pradelles (35 ans).
Publié le 20/12/2018 à 08:12 | La Dépêche du Midi |
La déchèterie Trifyl mise sur la sécurité
La déchèterie Trifyl./ Photo DDM
Certains usagers l'ont remarqué, quelque chose a changé dans leur déchèterie. Le dispositif antichute devant les bennes a été rehaussé. Une mesure qui, si elle fait parler, ne se discute pas puisqu'elle garantit la sécurité.
C'est la réglementation européenne qui impose une hauteur minimale pour les garde-corps. Les déchèteries gérées par Trifyl, Syndicat mixte départemental de valorisation des déchets, ont été modifiées ou le seront bientôt. Ces espaces aménagés, gardés et clôturés permettent d'accueillir les déchets encombrants ou dangereux dont les particuliers ne peuvent se défaire dans le cadre de la collecte des déchets ménagers.
Les déchêts verts redistribués en compost
Du côté des usagers habitués du site qui viennent déposer leurs déchets verts, la nouvelle hauteur est une contrainte, surtout lorsqu'on a beaucoup à décharger. Pour d'autres elle revêt un caractère rassurant, évitant que quelqu'un ne tombe par mégarde dans la benne.
Les déchets verts ainsi collectés seront disponibles gratuitement sous forme de compost après avoir été traités.
Le service public se doit d'assurer la sécurité de tous en respectant les normes imposées par la législation européenne. D'autant que la responsabilité de Trifyl est engagée en cas d'accident. Sur le site, un gardien est toujours présent. Outre son rôle primordial pour bien orienter les déchets, ils aident les personnes en difficulté sur simple sollicitation.
Trifyl reçoit environ un million de visites par an sur ses trente-cinq déchèteries. Et jusqu'à présent aucun accident grave n'est à déplorer. Les modifications sont réalisées pour continuer dans ce sens, au bénéfice de tous les usagers.
La déchèterie de Graulhet, située boulevard Docteur-Pontier, est ouverte au public du lundi au samedi de 8 heures à 12 heures et de 14 heures à 17 h 50.
Elle accepte bois, verre, électroménager, déchets verts, huile de vidange, déchets spéciaux, métaux, huile de friture, écrans, gravats inertes, batterie, petits appareils électriques, tout-venant, textiles, lampes, carton et mobilier.
Publié le 21/12/2018 à 07:44 | La Dépêche du Midi | J-C C
Le foyer Léo Lagrange accompagne les mineurs isolés
La rencontre a permis un échange avec le personnel du foyer./ Photo DDM, J-C C
Hier matin, Christophe Ramond, président du conseil départemental du Tarn, a visité le Foyer Léo Lagrange. La structure assure l'accompagnement de mineurs isolés étrangers depuis trois ans.
Après une évaluation quant à leur âge et une décision de justice, les mineurs non accompagnés sont pris en charge par les départements suivant la convention des droits de l'enfant et le code de l'action sociale et des familles. La clé de répartition demande au Tarn d'assurer chaque année la prise en charge de 0,56 % des 16 219 enfants, soit 89 jeunes qui bénéficient d'un accompagnant dans une des structures agréées dans le département.
«L'immigration n'est pas une compétence du département. Nous l'étions dans l'aide sociale à l'enfance. On a 227 jeunes sous notre responsabilité avec deux dispositifs distincts : la mise à l'abri et l'évaluation et, après, lorsque le critère de minorité a été retenu, dans nos services avec des problématiques différentes», explique Christophe Ramond.
Selon la situation, notamment la maturité de l'enfant, la prise en charge quotidienne se fait à travers de l'hébergement en internat ou la colocation.
40 places à Graulhet
À Graulhet, cela représente respectivement quarante places et 18 places réparties dans l'ensemble du département. «L'accompagnement comprend un volet d'insertion qui passe par une aide administrative, l'intégration des valeurs de la République française et l'insertion via une scolarisation, des formations qualifiantes ou des contrats d'apprentissage. Dans ce cas, il est plus judicieux que la personne soit hébergée au plus près de son employeur», poursuit Frédéric Pallier, directeur du Foyer Léo-Lagrange.
Pour conclure, le dispositifvise surtout à les accompagner vers l'obtention d‘un titre de séjour mais aussi vers l'autonomie.
Publié le 22/12/2018 à 10:56 | La Dépêche du Midi |
Une école construite à Graulhet sera livrée à Castelnau-de-Brassac
Arnaud Escaffre devant l'école qui sera démontée une fois finie et transportée en 22 voyages jusqu'à Castelnau-de-Brassac. / Photo G.D.
C'est le chantier de cet hiver. Malié Constructions bâtit sur son site du boulevard Georges-Ravari vingt-deux modules qui, une fois transportés et assemblés, constitueront la nouvelle école primaire de Castelnau-de-Brassac. Une surface totale de 580 m2 avec salles de classe, bureaux, salle à manger, sanitaires et autre cuisine satellite qui devront être livrés en une semaine, en février prochain, soit juste six mois après le début de leur fabrication. «C'est notre grand avantage ! Celui de pouvoir répondre dans des délais courts aux projets publics. C'est aussi un engagement que nous devons tenir. Mais c'est aussi la simplicité et la tranquillité d'esprit pour le commanditaire», assure Arnaud Escaffre, le président dirigeant de Malié Constructions.
Ce chef d'entreprise dynamique, issu d'une famille déjà dans la construction de maisons individuelles – ossature bois – a repris la direction de l'enseigne grauhétoise il y a juste trois ans. «Avec un carnet de commandes qui était vide», précise-t-il. En améliorant légèrement la chaîne de production, en reprenant le cœur d'activité qui reste la construction et la livraison de modules pour maisons individuelles, il a réussi le pari de relancer cette chaîne de production qui emploie aujourd'hui 24 personnes dans tous les corps de métier du bâtiment. Et pour Arnaud Escaffre, 2019 restera comme une «année à volume». «La meilleure, forcément, depuis la reprise. Avec l'obligation de se diversifier pour pouvoir répondre à un maximum de demandes».
De nombreuses commandes pour 2019
En 2018, Malié Constructions a aussi réalisé et livré un centre d'accueil pour les familles de détenus à Lannemezan. «Avec des obligations et un cahier des charges particulier». Un salon d'esthéticienne complet a aussi été livré, ainsi que plusieurs extensions d'habitations partout dans la Tarn et en Occitanie. Pour 2019, trois maisons partagées – salles communes, chambres indépendantes – sont en commande, dont une pour Brens. «L'année débute bien», reconnaît le chef d'une entreprise qui a gardé le nom historique des créateurs de son concept, Louis et Richard Malié.
Publié le 23/12/2018 à 08:41 | La Dépêche du Midi | G.D.
Cette saison, le Boxing savate baisse un peu sa garde
El Hiamine Mansouri avec les plus jeunes du club, mercredi après-midi./ DDM G.D.
En cette fin d'année, la section Boxing Savate du S C Graulhet, ne compte pas tout à fait 100 licenciés. Une première après de nombreuses années durant lesquelles et en particulier la précédente, le club a compté entre 120 et 130 voire plus adhérents. «Il y a beaucoup d'offres sportives sur Graulhet, argumente le président et éducateur El Hiamine Mansouri.
Notre principale concurrence vient des sports collectifs qui proposent plusieurs compétitions dans l'année alors que nous en sommes loin». Justement, ce dimanche, un interclub réunira une centaine d'enfants d'une dizaine de clubs du Tarn et de la région dans la salle qui porte le nom du regretté Mourad El Bahri, pour des oppositions de savate.
Chez les plus grands, quelques compétiteurs viennent de se qualifier pour les championnats de France, que ce soit en kick boxing, en K1 ou en boxe française. De ce côté-là, le club dispose d'une belle vitrine avec quatre boxeurs – trois garçons et une fille- en niveau national. C'est le cas de Asma Hahrour, championne de France de savate, vice-championne de France de kick boxing, catégorie senior, et qui a décidé de se consacrer au plus haut niveau amateur de la compétition, la classe A. Hamza Haenach promet autant, avec une qualification au niveau national en savate comme en kick boxing alors qu'il est encore junior.
Des leaders qui restent des modèles et qui parfois, comme Hamza, s'impliquent aux côtés de El Hiamine Mansouri, Wilfried Marty et Fabrice Bouloc, dans l'éducation des plus jeunes les mercredis et samedis. «Au boxing savate, nous accueillons les enfants à partir de 7 ans, mais les compétitions ne débutent pas avant 10 ans». L'objectif pour 2019 et pour un club à la belle réputation, sera donc, de revenir à des chiffres de pratiquants au-dessus de la centaine.
Publié le 24/12/2018 à 07:58 | La Dépêche du Midi |
Pas loin des podiums aux Interclubs 2018
Le groupe des nageurs graulhétois. / DDM
Dernièrement, le SCG natation a participé à Albi aux Interclubs Toutes Catégories 2018. Par équipe de 10, les nageurs représentent leur club afin d'obtenir le meilleur classement national possible. «L'esprit d'équipe est aussi important que les performances lors de ce rendez-vous et nous tenons à remercier chacun pour sa présence et sa bonne humeur, nageurs, officiels et parents venus encourager» se félicitent les dirigeants locaux. Le club présentait une équipe fille avec Chloé Cosandey, Charline Carayon, Celine Roques, Camille martorel, Cindy Dos santos, laura Vicente, Marie Thorel, Laura Pau, Gabrielle Masanelli, et Lilou Criquet et une équipe Garçon avec Olivier Alorend, Bastien Blanc, Adrien Causse, Florian Cousin, Jordan Goncalves, Hugo Menard, Thibaut Segur, Ismael Taboouche, Mattéo Thorel, et Edgar Vaslet.
Chaque nageur a participé à un ou plusieurs relais et à une épreuve individuelle. Les relais 10x50m NL ont permis de bien commencer la journée et de renforcer encore l'esprit d'équipe et la cohésion. Les épreuves individuelles ont montré l'état de forme de chacun sur des distances ou des nages qui ne sont pas leur spécialité mais les individualités sont au service de l'équipe lors de cet événement. Au final, les filles se classent 5 ème du département sur 10 équipes et les garçons 6 ème sur 12 équipes.
Publié le 25/12/2018 à 17:57 | La Dépêche du Midi | R.B.
17 Gilets jaunes fêtent Noël sur le rond-point
17 Gilets jaunes de Graulhet ont réveillonné sur le rond-point dans la nuit du 24 au 25 décembre./ Photos DDM, R. B.
17 Gilets jaunes ont réveillonné sur le rond-point de Graulhet dans la nuit du 24 au 25 décembre. Ambiance autour de la gardiane et du rôti de bœuf.
Le sapin est bien présent, mais on fouille en vain : pas de cadeau. « Le Père Noël est trop radin », souffle Didier, avec le sourire. Sur le rond-point de Peugeot, à l’entrée de Graulhet, route de Lavaur, les Gilets Jaunes ont passé la nuit de Noël, sur ce lieu emblématique de leur révolte.
Pas de chapon pour les 17 convives, dont 4 enfants, attablés dans le réfectoire de fortune qu’ils ont construit avec des palettes quelques heures auparavant. Karine et Maria ont passé une grande partie de l’après-midi aux fourneaux, sur la cuisinière à bois, dans le « logement » principal. Une gardiane et un rôti de bœuf en plats principaux pour cette nuit de réveillon un peu particulière. Comme partout en France, ils se sont réunis, pour attendre le passage du Père Noël. Ce qui est certain, c’est qu’ils ont vu passer des voitures. Beaucoup d’automobilistes klaxonnent, des motards font vrombir leur bécane, certains s’arrêtent, baissent la vitre et souhaitent de joyeuses fêtes ou prononcent quelques mots de soutien.
Ambiance au beau fixe
« Tout le monde ne peut pas manifester comme nous. Entre les contraintes de boulot, de famille, d’argent, je les comprends. Mais leurs encouragements, nous réchauffent et nous motivent », explique un trentenaire.
À minuit, l’ambiance est au beau fixe. De la musique, une Macarena endiablée autour du giratoire, quelques chansons reprises en chœur, dans la nuit graulhétoise, loin de leurs foyers... les GJ participent aussi, à leur façon, à cette fête ô combien familiale.
Au fil des jours, c’est en effet une famille qui s’est créée autour des braseros. Ancien militaire, chômeurs, femmes au foyer, travailleur pauvre, cadre commercial, agriculteurs : tous différents mais unis dans un combat multiforme.
Publié le 26/12/2018 à 07:52 | La Dépêche du Midi | G.D.
Philippe Pelizzon quitte son poste de directeur
Le départ de Philippe Pelizzon a été fêté comme il se doit la semaine dernière à la Courbe. / Photo : DDM
«En 1970 j'ai fréquenté, comme tout Graulhétois, le Centre Aéré de La Courbe durant l'été. À l'époque, toute ma génération s'en rappelle, nous montions au centre avec notre pain pour le repas de midi et je prenais le bus sur la place du Jourdain avec les Cars Roques. Quelques noms me reviennent en tête, Solomiac, Puech, Cayuela, Roques, Battut, Martin. Les équipes n'étaient pas encore mixtes. Je n'imaginais pas vingt ans après y retourner en tant que directeur», c'est avec ces mots que débute la longue histoire de Philippe Pelizzon, avec l'Amicale Laïque qu'il vient de quitter, prenant ainsi sa pré-retraite en cette fin d'année.
En juin 1989, à l'âge de 27 ans, il pose sa candidature à l'Amicale Laïque et après les deux mois d'été à l'essai au Centre Aéré, il signe un CDI et démarre comme directeur de la Maison de l'Enfance de Crins avec une belle équipe d'animateurs. Il est aussi animateur en même temps de la base de loisirs de Nabeillou les samedis. Puis, après un passage par En Gach, il devient directeur de Victor Hugo en remplacement de son épouse Sandra -rencontrée par ailleurs à l'Amicale- partie en congé parental.
Parallèlement à son poste de directeur de Maison de l'Enfance il a amené des jeunes en Espagne pour passer leurs vacances : Arcachon, Paris,Canyon en Sierra de Guara, Val Louron, Saint-Béat, au ski à Piau Engaly, dans les Gorges du Tarn à St Enimie, avec le Sporting Club Graulhétois pendant vingt ans à Nasbinals dans le Cantal.
Discours de remerciements
«Je dois toute ma carrière professionnelle aux administrateurs et bénévoles de l'Amicale qui m'ont permis de me former au fil du temps et surtout de m'épanouir dans ce métier. Pour moi l'Amicale fait partie d'une de mes familles et je ne remercierai jamais assez l'équipe de Michel Noguera, Christian Pradelles, Simon Rodier, Katia et Jean Nespoulous et je n'oublie pas les personnes malheureusement disparues, Jeanine Abribat, Michel Pauthe et surtout celui que j'appelai «Chef» et un plus qui était un ami Bernard Ladet. J'ai connu aussi deux autres présidents, Daniel Albouy avec son équipe et pour finir, Karine Renaud».
Les valeurs de l'Amicale
«Pépé» jette un regard plein de nostalgie sur sa carrière. «J'ai toujours adhéré et transmis les valeurs de l'Amicale qui sont profondément fondées sur le respect, le vivre ensemble, le partage. Un mot résume toutes ces valeurs c'est la laïcité. Trente ans de souvenirs se bousculent dans ma tête et resteront gravés à jamais, des souvenirs d'enfants, d'équipe d'animateurs, de situations vécus et j'avoue que ma dernière semaine passée à l'Amicale en tant que salarié a été particulièrement chargée en émotions avec plein de surprises du mardi au vendredi organisée par mes collègues, par les Administrateurs, par la municipalité de Graulhet ainsi que par mon équipe de Victor Hugo, les enseignants et les enfants».
Et de conclure «Je garde quand même un pied à l'Amicale car j'ai réussi le test d'entrée à l'école des ouvriers bénévoles de l'Amicale laïque (qui regroupe l'ensemble des retraités de l'association) du samedi matin à La courbe. Ce n'est donc qu'un au revoir !».
Publié le 27/12/2018 à 07:52 | La Dépêche du Midi |
Anne Sylvestre se produira au Forum samedi 12 janvier
Anne Sylvestre se produira au Forum samedi 12 janvier / DDM
Anne Sylvestre sera sur la scène du Forum, le samedi 12 janvier, à 20 h 30. De la génération des Brel, Brassens et Barbara, elle demeure la dernière des grands de cette époque même si elle n'a pas reçu la même reconnaissance médiatique. Sa voix unique n'a pas changé d'un iota.
Ses “Fabulettes” poétiques ont marqué des générations d'enfants mais Anne Sylvestre est surtout une auteure visionnaire, profondément humaine, dont les textes pour adultes, injustement méconnus, sont parmi les plus beaux du répertoire français. «60 ans à ne vivre que par, pour, avec et à travers les chansons. Si j'avais pu imaginer ça, le jour où j'ai débarqué avec ma guitare, mes trois accords, quelques couplets pas trop mal fichus et un trac d'enfer, peut-être que j'y aurais regardé à deux fois mais j'ai plongé et me voilà», dit-elle. Avant d'ajouter : «Les chansons de ce spectacle (60 ans déjà ! Non sans blague ?), je les ai choisies un peu pour moi, beaucoup pour vous, ou l'inverse : des anciennes, des récentes, des connues et des méconnues ... Vous verrez bien !»
Publié le 29/12/2018 à 07:10 | La Dépêche du Midi | G.D.
Le Football-Club est premier en Régionale 3 à la trêve
Les petits, premiers supporters des grands du club. / Photo : DDM
Ce n'est pour Patrice Insa, l'entraîneur des seniors 1 du Football-Club graulhétois, ni une surprise ni la confirmation de l'assiduité générale du groupe, mais les deux à la fois, si son équipe est première de sa poule de régionale 3 à la trêve.
«L'objectif de départ de saison était le maintien. Maintenant qu'il est pratiquement acquis, le but sera de rester en haut le plus longtemps possible», assure le technicien.
Au final, seul le premier pourra monter en Régionale 2, un niveau jamais atteint par le Football-Club.
Un rêve lointain qui ne perturbe pas les relations entraîneurs-joueurs. «Même si je passe mon temps à tempérer les ardeurs, car je ne veux pas que les gars pensent qu'ils peuvent monter sans souffrir».
Le match de reprise à Beauzelle
Et de souffrance il devrait en être question dès le match de reprise face à Beauzelle, le 6 janvier, à l'Estarié, pour un match en retard.
«C'est le premier qui reçoit le deuxième. Nous aurons ce jour-là un élément de réponse sur notre vraie valeur. Si nous perdons, nous nous mettons à égalité avec les Haut-Garonnais. Si nous gagnons nous nous offrons deux jokers».
Paradoxalement, c'est sur une défaite, la seule de ce début de saison contre Espalion, que l'équipe s'est construite.
«Un revers, 4 à 3, à l'Estarié, au terme d'un match qui a vu les leaders de l'équipe passer à côté. Nous avons su tirer les enseignements de cette déconvenue». Patrice Insa assure que c'est l'état d'esprit adopté par les nouveaux et renouvelé par les anciens qui a fait la différence.
«La qualité de ce groupe, c'est la combativité et le respect sur le terrain et ses facultés à régler ses petits problèmes en interne, en dehors. Il est souvent sur le fil du rasoir, nécessite une attention permanente, mais sait aussi se ressaisir dans la difficulté, dans l'adversité».
Il reste encore 14 rencontres à jouer et le coach ne veut surtout pas s'enflammer. Mais en cette période de vœux, il se permet de formuler le sien. «Ce serait de terminer ma carrière sur une montée en Régionale 2. Cette saison ou la suivante».
Pour sa deuxième au FCG depuis son retour, Patrice Insa a déjà été gâté pour Noël.
Publié le 31/12/2018 à 08:42 | La Dépêche du Midi | G. D.
Rugby : les juniors attaquent la reprise par un grand derby
Une équipe formée de jeunes du coin exclusivement. / DDM
En ne perdant qu'un seul match, les U19 du Sporting ont terminé meilleur deuxième toutes poules confondues, de la phase de brassage du championnat d'Occitanie. Un bon comportement qui satisfait Remi Poujade, co-entraîneur aux côtés de Nicolas Vaton. «Nous avons la chance de disposer d'un groupe assidu aux entraînements et qui ne compte que peu de blessés. Pourtant nous ne disposons que de 25 joueurs dans l'effectif et 80 % sont des premières années». Un groupe construit à coups de camaraderie, de ténacité et d'enthousiasme. «Parfois trop même. Nous devons souvent freiner les ardeurs», reconnaît l'ancien demi-de-mêlée.
Une équipe qui a aussi des lacunes. «Elle a du mal à interpréter les consignes mais nous la savons capable de le faire. Elle manque de poids et de physique et parfois de concentration. Mais elle y sera pour la reprise, le 13 janvier à Gaillac, avec le derby que beaucoup attendent. Les joueurs des deux côtés se connaissent. Les Graulhétois sont au lycée à Gaillac. Nous allons aborder ce match avec humilité, en n'ayant rien à perdre à l'extérieur».
Dans l'effectif du Sporting, pour lequel Julien Héral, Jean Gasc, Jerome Biau et Julie Papaïx sont aux petits soins, une majorité de Graulhétois, quelques-uns de Briatexte, de Busque et de Laboutarié, pas plus loin. «Avec une demi-douzaine de jeunes qui tirent le groupe vers le haut et peuvent franchir le pas vers l'équipe 1 dans les saisons à venir» espère Remi Poujade. Dans la nouvelle poule, outre les Gaillacois, trois équipes lotoises inconnues, annoncées très solides avec des effectifs conséquents, et des retrouvailles avec l'Aviron Castrais contre lequel les U19 ont perdu leur unique rencontre. «Mais nous étions allés gagner chez eux à l'aller en montrant des qualités sportives et des hormones». Autant d'atouts qui ne devraient pas être de trop au moment de confirmer cet excellent début de saison.
Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
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