Graulhet : Rétro Juillet 2018 -1-

6/1/2019

   GRAULHET : Du Bruc à Ricardens   



   Graulhet : Rétro Juillet 2018 -1-   



Publié le 01/07/2018 à 08:21  | La Dépêche du Midi |

La vie de château pour les voyageurs du GTL


Le GTL bien encadré pour une photo de famille dans les jardins du château de Cheverny./ Photo DDM

Pour son dernier voyage de la saison, l'association Graulhet Temps Libre (GTL) a choisi de séjourner quelques jours à Valencay dans l'Indre. La première halte a permis à tous
de découvrir en petit train la ville de Limoges et de visiter la manufacture de porcelaine Bernardaut, une des dernières entreprises familiales de fabrication en France.
De leur hébergement situé au carrefour des trois provinces Berry, Touraine et Sologne, ils sont allés à la découverte de ces régions ou sites et châteaux offrent la possibilité d'entrer et de pénétrer au cœur de notre histoire.

Velencay, résidence de Charles Maurice de Talleyrand Périgord, diplomate et ministre de Napoléon ; Chambord, chef-d'œuvre de la Renaissance, l'un des joyaux de l'humanité, Cheverny, renommé pour son mobilier, ses plafonds, son parc, son chenil ; Bourges réplique du petit Trianon de Versailles et son musée de voitures hippomobiles et enfin Montrésor, puissante forteresse entièrement meublée.

Pour diversifier l'aventure, des sites insolites ont jalonné leur séjour, la reproduction d'un village entièrement sculpté dans la pierre d'une ancienne carrière de tuffeau et sa champignonnière, une des dernières exploitées en France, une maison troglodytique aménagée en éco -musée et sa magnanerie.

Reprise des activités en septembre
Sans oublier, les dégustations des produits du terroir, vins et fromages locaux. Sur le chemin du retour, Bourges et sa Cathédrale Saint-Étienne, édifice remarquable par ses proportions, sa conception, ses sculptures et ses vitraux, mais aussi la vielle ville avec ses maisons à pan de bois, ainsi que la demeure de Jacques Cœur, ont séduit le groupe GTL.

«Un voyage très apprécié par tous les participants pour l'attrait culturel et la diversité des visites avec guide. Pour la qualité de l'hébergement, de la restauration, du transport et surtout pour la cohésion et l'ambiance amicale du groupe» se félicitent les deux présidentes Jackie Roques et Anne-Marie Arrufat, qui vont pouvoir souffler un peu avant al reprise des activités de Graulhet Temps Libres à la rentrée.


Publié le 02/07/2018 à 07:38  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Les archers en finale nationale


En route pour la compétition nationale. / Photo DDM

On connaît les belles réussites des archers graulhétois sur les parcours régionaux, nationaux… et même internationaux ! Si on sait également qu'ils participent à quelques compétitions en salle l'hiver, peu nombreux sont ceux qui ont appris qu'il existe une équipe «tir olympique- arc à poulies» à Graulhet. Et pour cause : née à la fin de l'hiver, l'équipe, composée d'un adulte, Dimitri Duarte, et de 2 juniors, Mathieu Ferrao et Antonin Gardeur, a surtout participé aux compétitions de la division régionale. Il s'agit d d‘un tir sur terrain plat (un stade en général), avec des cibles en ligne, situées pour les arcs à poulies à une distance de 50 mètres, les zones marquantes ayant un diamètre total de 48 cm, le «10-poulies» mesurant 4 cm ! 

Et malgré leur jeune âge, coachés par Kristina Mosievskaia-Bauer, championne de France junior en tir nature, quelle réussite pour cette première année ! classés 1ers d'abord à Auch, puis à Saint-Gilles, et enfin à Castelsarrasin, les Archers du Dadou deviennent naturellement Champions d'Occitanie et se qualifient pour la finale nationale qui aura lieu du 20 au 22 juillet. Un niveau jamais atteint dans cette catégorie. Espoir de monter en division nationale ? Non, sans doute pas, car le club se situe 14e et seuls les trois clubs montant sur le podium passeront en DN. Mais avec une différence d'une soixantaine de points sur la moyenne par rapport au 1er -2005 contre 2063 de moyenne pour Mérignac-, une bonne place n'est pas du domaine de l'impossible. Une belle réussite pour une association qui aligne bien discrètement et c'est dommage, les belles performances.


Publié le 03/07/2018 à 08:19  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

Aéroclub : 85 bougies et toujours en pleine forme


Le bureau de l'association devant le fameux Pipper J3./ Photo DDM, J-C C

Le week-end dernier, l'Aéroclub de Graulhet a fêté ses 85 ans. À cette occasion, pilotes et anciens pilotes se sont retrouvés pour échanger sur l'histoire et l'avenir du club. Une quarantaine d'anciens pilotes du club a participé à l'évènement. «Le matin a été l'occasion de discuter, de voir comment cela se passait avant, à une époque où il y avait des stages d'été qui ressemblaient un peu à des colonies de vacances», explique Anne-Laure Galloux, présidente du club. La structure permet non seulement de passer son brevet de pilote mais aussi à ces derniers d'accomplir les heures de vol nécessaires à son maintien. La centaine d'adhérents que compte le club, comme ses anciens membres, ont tous en commun la passion du vol.

Ce moment aussi a été l'occasion de partir à la découverte de l'histoire du club. «Nous avons tenu à honorer Mme Bonleux. Elle a été pilote dans les années 60 et 70, y compris en voltige, et nous a transmis beaucoup de souvenirs, des photos, et nous a aidés à contacter d'anciens pilotes», confie Anne-Laure Galloux.

Une des particularités du club est qu'il est aussi gestionnaire de l'aérodrome et à ce titre garant que ce dernier reste en conformité réglementaire. Il doit aussi pouvoir faire le plein des appareils de passage en permanence. De ce côté-là, la mise en place d'une station automatique, avec une carte présente dans les avions, est à l'étude. Elle permettrait de limiter l'astreinte des bénévoles et le travail de l'association.

L'an dernier, la tour de contrôle a été balisée, conformément à la demande de la DGAC, autorité de tutelle. Prochainement, le «panneautage» sera mis en conformité avec les nouveaux standards ainsi que le marquage de piste. «Les numéros de piste vont changer. Ils sont fonction du nord magnétique qui nous guide et qui bouge», explique Anne-Laure Galloux.

Pour finir la journée, les pilotes se sont retrouvés pour former un «85» pour une photo prise à l'aide d'un drone depuis les airs… Bien entendu !


Publié le 04/07/2018 à 07:49  | La Dépêche du Midi |  Recueilli par G.D.

Alain Huc : «L'Acpg ne connaît pas la routine»


Tout sera fin prêt pour cette fin de semaine. / Photo DDM

A quelques heures des trois jours de fête médiévale, rencontre avec le président Alain Huc.

Quels gros changements dans le spectacle 2018 ?
Ils sont nombreux cette année. Tout d'abord, les dates qui se rapprochent plus de la fin de l'année scolaire. Habituellement notre spectacle était donné le troisième week-end de juillet. Nous l'avons donc avancé et cette année, il aura lieu les 6,7 et 8 juillet. De nombreux Graulhétois nous disaient «on viendrait bien vous voir mais entre le 15 juillet et le 15 août, nous sommes en vacances». Deuxième changement de taille, c'est le nouveau lieu qui va accueillir notre spectacle. Nous sommes propriétaires depuis le mois de mai d'une ancienne mégisserie, la mégisserie Sudre au pont des Voûtes que les Graulhétois connaissent bien. 
C'est là que notre association a installé son siège social et a aménagé une nouvelle aire scénique. Troisième changement de taille lui aussi. Jusqu'à présent nous avions l'habitude de présenter un spectacle se déroulant sur plusieurs époques de l'histoire de France (ou de l'humanité) et de l'histoire graulhétoise. Cette année marque le centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale et nous avons choisi d'évoquer la vie d'un jeune Graulhétois depuis le 31 décembre 1899 à l'automne 1920 et à son mariage. A noter que nous avons présenté un dossier auprès de la Mission Centenaire et que le label centenaire 14-18 nous a été accordé.

Le fait de changer de site : quels avantages ?
Ce n'est pas sans une certaine nostalgie que nous avons donné l'an passé nos derniers spectacles à La Bousquétarié. Il faut se rappeler qu'en 2002, lorsque nous avons demandé à la mairie l'autorisation d'utiliser le site, celui-ci n'était que ronces et arbustes en tous sens. Une véritable friche que nous avons nettoyée et débroussaillée. Nous l'avons équipée tant et si bien que plusieurs manifestations s'y déroulent, de la foire Biocybèle à la Fête du Cheval en passant par la fête de la mobylette. Nous avons donc déménagé dans de nouveaux locaux et un nouveau site. Nous allons enfin pouvoir petit à petit l'aménager selon nos envies.

L'ACPG ne craint pas la lassitude, ni la routine. Quel est le moteur du succès ?
Oui, à l'ACPG point de lassitude et point de routine. Tous les ans et plus encore cette année, nous nous efforçons de présenter un spectacle différent de celui des années précédentes. Nous tentons d'innover dans les fils rouges, nous changeons la mise en scène, nous modifions les musiques, mais bien sûr, nous ne pouvons changer l'Histoire. Les couturières tous les ans font montre de leur fougue dans la confection de nouveaux costumes. Le moteur du succès c'est de toujours nous remettre en cause, de ne jamais faire la même chose, d'améliorer, de changer.


Publié le 04/07/2018 à 09:21  | La Dépêche du Midi |

L'album «Les Vipers 2» est dans les bacs


Ce nouvel opus est disponible auprès de la librairie Attitude à Graulhet, dédicacé auprès de l'auteur (Paco Salamander sur Facebook)

Les Wipers sont de petites boules de poils de toutes les couleurs. Ils sont rigolos, sournois et caractériels. Ils ne pensent qu'à manger et sont à la recherche des humains. Nous sommes deux mille ans après l'extinction de l'espèce humaine. Un cataclysme dévastateur provoqué par l'homme a fait totalement disparaître notre espèce de la surface de Gaïa. En cause : l'ignorance, les inégalités sociales, la haine et la folie de nos apprentis sorciers ici bas. Emporté par le réchauffement climatique, la pollution, la déforestation, les nouvelles maladies, les guerres au nom d'un principe qu'ils nommaient l'argent roi !

La cupidité des lobbyistes comme Monsanto alliée à la sournoiserie des dirigeants de la planète a généré des monstres (les Monstrantos) contre lesquels doivent encore lutter les Wipers pour achever la renaissance de la Terre, notre mère nourricière. «Sur cette trame de fond destinée à alerter les jeunes générations sur ces problématiques urgentes et dramatiques, ce nouvel opus n'est en réalité qu'une succession de gags plus légers sous la forme de strips et d'histoires courtes» assure Paco Salamander, le dessinateur graulhétois, qui sort ce deuxième album «Gagophobie Primaire».


Publié le 04/07/2018 à 09:21  | La Dépêche du Midi |

Son et lumière pour le spectacle historique


Le spectacle 2018 est labellisé Centenaire 14-18 / DDM

Depuis le lundi 18 juin, les répétitions du spectacle historique son & lumière de l'Association Culturelle du Pays Graulhétois ont débuté dans ce qu'il convient aujourd'hui d'appeler le théâtre de verdure de l'usine Sudre, pour son spectacle les 21, 22 et 23 juillet. Après le montage des tribunes et de la tour de régie il y a quelques jours, le site est maintenant, deux soirs par semaine, occupé par les membres figurants de l'association pour enchaîner les répétitions. En effet, le site est nouveau, mais également le scénario, les musiques, la bande sonore, les effets spéciaux…

Il est temps de dévoiler un peu du scénario du spectacle 2018. Labellisé Centenaire 14-18 par la Mission Centenaire, on sait qu'il porte, comme son titre l'indique, sur la période de la Belle Époque aux Années Folles et que, forcément, il évoquera la grande guerre et le souvenir des poilus… Les scénaristes, Alain Huc, également président de l'ACPG, Bernard Livoye et Francis Auriol, ont décidé de mêler la grande histoire de France à la petite histoire graulhétoise. De l'aube du XXe siècle, avec une soirée de réveillon à l'hôtel-restaurant Durand, place du Jourdain, aux Années Folles, nous suivrons la vie de deux jeunes Graulhétois, Léo et Marie, emportés par le tourbillon de la Grande Guerre.

Entre amours contrariées, champs de bataille, vendanges, fiançailles, grèves, nous suivrons les deux amoureux sur une vingtaine d'années. Nous découvrirons aussi le destin peu connu de la ferme de Nabeillou pendant la 1re Guerre mondiale… D'autres lieux encore présents ou disparus de Graulhet seront également évoqués durant le 1 h 45 de spectacle.


Publié le 05/07/2018 à 07:53  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

Des vacances «vitaminées» programmées à la MJC


Des vacances «vitaminées» à la MJC./ Photo DDM

Durant les vacances, la Maison des jeunes et de la culture de Graulhet accueil les jeunes de 11 à 17 ans. Pour la saison estivale, l'accent a été mis cette année sur les sorties.
Les vacances commenceront sur les chapeaux de roues avec, dès ce samedi 7 juillet, une sortie à l'Aqualand d'Agen qui donnera le ton des semaines à venir.
«Il y a des sorties presque tous les jours. À part celles à la mer, on a essayé d'être très local avec des sorties au zoo des Trois Vallées ou à l'escape room de Castres. On a épuisé les jeux de celui d‘Albi, les jeunes en sont très friands», confie avec humour Nadia Saïf-Gualtieri, directrice de la structure en juillet.

Cet été verra aussi une nouvelle rencontre entre MJC le 11 juillet à Gaillac. Une autre sortie sera un peu particulière, le samedi 21 juillet, avec pour objectif la visite du Fablab Artilec à Toulouse. La MJC graulhétoise sera en effet dotée à son tour d'une telle structure.
Lors des nombreuses sorties un accueil est toujours réalisé sur place. Ce sont ainsi une trentaine d'adolescents qui sont présents chaque jour pour participer aux animations encadrées par des professionnels.

Si participation demandée aux familles - en plus de la carte astuce - est fonction des revenus, elle varie entre 10 et 22 euros… À l'année !
L'accueil de loisirs a lieu du lundi au vendredi de 9 heures à 12 heures et de 13 heures 30 à 18 h 30.
La navette qui permet de s'y rendre et de revenir chaque matin et chaque soir demeure quant à elle gratuite.
Cette année la structure sera fermée du samedi 4 août au dimanche 19 août inclus.


 
Publié le 06/07/2018 à 07:54  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Art Graulhet vous ouvre ses portes demain


Les bénévoles sans qui rien ne serait possible./Photo DDM, J-C C

C'est demain à 19h, au Forum de la ville, qu'aura lieu le coup d‘envoi de la seconde édition d'Art Graulhet. La manifestation, portée par l'Éveil artistique, proposera jusqu'au 22 juillet de découvrir des centaines d'œuvres dans une dizaine de sites de la ville.
C'est avec un concert de Benoît Mardon et une performance de la plasticienne Priscille Déborah que s'ouvrira l'exposition d'art contemporain. Outre les différents supports proposés, de la toile à la sculpture, il sera aussi question de diversité dans les sites qui recevront cette année la manifestation.

Si le Forum accueille de nombreux artistes (avec un atelier à destination des enfants avec Priscille Déborah le 11 juillet de 15h à 17h), cette année, l'exposition prendra à nouveau place à la Maison des métiers du cuir. Le site proposera, le 13 juillet et le 20 juillet, le court-métrage «Ressemblance» en présence de l'auteur, et durant tout le salon une installation de Mathilde Vialade. Le 14 juillet, elle proposera un apéritif concert avec le duo à cordes Julien et Marion à 18 h 30 puis à 20 heures le spectacle «De l'or dans les mains» en partenariat avec Rues d'été.

La MJC proposera, quant à elle, le 10 juillet, de 15h à 17h, un atelier de modelage tout public avant le vernissage à 18 h 30 de l'exposition «Salle noire», puis, le mardi 17 juillet, de 15h à 17h, un atelier de «peinture odorantes» avec Agnès Novak.
Le cinéma Vertigo proposera, quant à lui, un apéritif animé par «les harpes de Taranis» le 8 juillet à 18h alors que la salle de l'Odéon proposera un apéritif concert avec Jean-Noël Sarrail le 21 juillet à 19h.
La place Jean-Moulin et la rue Jean-Jaurès accueilleront le Debal'art, un petit marché de l'art organisé par Volubilo, le dimanche 22 juillet, de 9h à 17h. Il sera l'occasion pour les visiteurs d'acheter des œuvres originales dont le prix variera entre un et 150 euros.
Les animations sont gratuites et ouvertes à tous.


Publié le 07/07/2018 à 03:52  | La Dépêche du Midi |

Arc-En-Ciel d'été est sorti


La construction du pont de St-Peyret./  Photo DDM

S'il ne reste que deux éditions à sortir autant vaut-il savourer ce n° 152, dit «De l'été», riche en pages et en articles.
Une extinction regrettée par Gabriel Rouyre, un brin fataliste dans son éditorial.
Des «pépites» dans cette parution, comme ces pages consacrées à la médecine par le docteur Jean Rouzet, et à l'enseignement à Graulhet. Henri Manavit, Christiane Denaux, Maurice Iché, exceptionnellement Miloud Hammadache et Sylvette Moussière avec un article sur Lasgraïsses, prêtent aussi leur concours.
Enfin, Jean Chabal continue sa revue des ponts sur le Dadou avec l'histoire du pont de St-Gauzens-La Baillé, riche de détails et de photos d'époque.


Publié le 07/07/2018 à 08:50  | La Dépêche du Midi |

La Courbe : vingt hectares de nature ouverts lundi


Piscine et pataugeoire favoriseront baignades et jeux aquatiques./ Photo DDM

Dès lundi, au cœur de l'Agglo, la rotation des bus depuis la vallée du Dadou ou celle du Tarn va conduire sur les hauteurs de Busque les nombreux enfants qui auront choisi le centre intercommunal de La Courbe comme lieu estival de vacances. Géré depuis 1955 par l'Amicale Laïque de Graulhet, il proposera aux 3-15 ans, sur le site même et durant tout l'été, des bassins de baignade, des espaces aménagés, des plaines de jeux, des terrains de sport, des parcours dans les arbres, des prairies et des bois, des locaux techniques.

Disposant de plus de 20 hectares de nature, il permet d'accueillir un grand nombre de colons qui bénéficieront de leurs propres espaces et lieux de vie spécifiques sur lesquels ils prendront également leur repas. Autour du bâtiment principal, les 3-6 ans, placés sous la responsabilité de Caroline Py, effectueront un grand voyage dans le temps en suivant le professeur Zébulon et son super-bolide ! Le rythme de vie et les activités sont adaptés aux différents groupes d'âges et agrémentés de découvertes originales.

Les 7-11 ans évolueront autour des grandes tentes élémentaires et des tables en plein air. Outre les activités traditionnelles, des sorties variées seront organisées et des veillées avec nuits sous tentes prolongeront des journées très diversifiées. Jérôme Farjounel dirigera ce premier séjour. Jérôme Passebosc et son équipe accompagneront les pré-ados pour aménager leur lieu de vie indépendant à la Ferme et construire ensemble leur planning quotidien, avec en point d'orgue un mini-camp kayak et plage dans l'Hérault

Le jeudi 12 juillet, La Courbe accueillera élus et responsables d'institutions ou d'organismes afin de découvrir le cadre de vacances des jeunes du territoire ; la fête du premier séjour rassemblera les parents le vendredi 27 juillet en soirée.
Ce lundi également, débuteront les premiers camps d'Arcachon et de Saint-Antonin qui offriront aux participants une semaine intense au cœur des plages océanes ou des gorges de l'Aveyron…


Publié le 08/07/2018 à 07:52  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Démissions en cascade au Sporting


Qui pour remplacer David Gau et Jean Luc Cathalau ?/ DDM archives G.D.

Le coup était-il prémédité? Toujours est-il que les démissions en cette fin de semaine de David Gau, le président, J. Luc Cathalau le secrétaire-trésorier, Daniel Sannou le responsable sportif, et d'une demi-douzaine de dirigeants, plongent le club dans une crise sans précédent. Et surtout, au moment ou les contrats des nouveaux joueurs doivent être validés et d'importantes décisions prises. C'est J. Luc Cathalau qui a «ouvert le ban», à mi-semaine, en envoyant un courrier aux membres du comité directeur. Il y précise, que sa décision fait suite à celle de février sur laquelle il était revenue pour le bien du club. «Je ne reviendrais pas en profondeur sur les raisons de ce départ, je regrette simplement que les attaques. soient portées, par des personnes dont les langues et les plumes ont été trempées dans un encrier de fiel avec des desseins hypocrites (sic)». 

Le lendemain, c'est David Gau -injoignable en cette fin de semaine- qui en faisait de même, par le même canal. «Je ne souhaite pas rentrer dans des querelles qui n'apportent rien de constructif. De nombreuses personnes pensent que les directives que je donne ne sont plus les bonnes. Je laisse donc ces personnes diriger comme ils le désirent (sic)». Qui est visé? Toujours-est-il qu'il y a urgence à l'heure où les seniors reprennent l'entraînement ce lundi avec une bonne douzaine de joueurs qui sont partis sous d'autres cieux. Pour Guy Laporte, qui s'est largement impliqué dans le recrutement, et qui envisage toujours la haute responsabilité au Sporting, mais dans le seul volet sportif, «la situation est sérieuse mais pas irrécupérable». 

L'ancien ouvreur internationnal avoue avoir, durant ses deux mois de présence quasi-journalière au club, identifié les problèmes récurrents. «J'ai appris ces décisions par la bande... Je ne pense pas que les concernés en aient pris plein la gueule. Ce n'est certes pas le meilleur moment pour démissionner. Je suis revenu pour donner un coup de mains et je m'applique à stabiliser, structurer ce club dont le fonctionnement reposait trop sur deux-trois personnes seulement. J'espère trouver les bonnes volontés en soutien pour sauver la Sporting». Si, inéluctablement, le club -ou ce qu'il en reste- va vers une assemblée générale extraordinaire, cette crise, si elle n'est pas résolue rapidement risque de devenir le feuilleton de l'été. Avec quel scénario? Et surtout quel épilogue?


Publié le 09/07/2018 à 07:40  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Le vol à voile au maximum


Mi juin, l'Atvv a accueilli les élèves et les encadrants du CSES Jean Lagarde pour l'opération handifly./ DDM

Seul club départemental, l'association tarnaise de vol à voile, basé à Graulhet, arrive au maximum de ses possibilités d'accueil et de formation. «Après un début d'année calamiteux au niveau de la météo, nous sommes en pleine activité. Le temps est clément pour notre sport. Nous redoutons maintenant le vent d'Autan» reconnait Patrice Corbille, président et chef pilote. Ce mois de juillet, ce sont plusieurs stages de découverte, de perfectionnement voire de brevetage qui regoupent en permanence une dizaine d'apprentis-pilotes encadrés par trois instructeurs. 

«Une demande conséquente, pour un sport en pleine évolution, par l'intérêt de beaucoup pour ses parallèles avec le développement durable et les activités liées à la nature, qui nous a obligé pour la première fois d'engager deux salariés sur juillet-août. Et nous ne comptons pas les encadrants d'autres clubs qui viennent à Graulhet former leurs futurs pilotes. Ce qui fait entre cinquante et soixante personnes tous les jours, à accueillir, nourir et héberger. Huit bénévoles se relaient pour assurer toutes ces tâches». En mettant en priorité la sécurité dans tous les vols, l'association tarnaise de vol à voile, compte désormais 130 licenciés, et si l'on ajoute les Brevets d'Initiation Aéronautique, le chiffre passe à 175. 

«Nous sommes largement au-dessus de la plupart des clubs de l'hexagone en terme d'adhérents. Seuls les clubs des Alpes et de la région parisienne font mieux» reconnait humblement Patrice Corbille. Avec de telles capacités, l'Atvv a investi en faisant l'achat de deux nouvelles machines performantes. Une qualité d'évolution qui permet la réussite dans diverses compétitions. La famille Corbille montre l'exemple, en envoyant Hugo aux championnats d'Europe et le binôme père-fils, prende une belle place aux championnats de France. La vocation formatrice et performatrice du club se retrouve aussi dans l'intérêt des jeunes pilotes pour le secteur professionnel. «Plus de 80% d'entre-eux trouvent du travail dans l'aéronautique» assure-t-il cette fois avec une certaine fierté. Du 24 au 29 juillet le club tarnais de vol à voile organisera dans le ciel graulhétois le championnat régional Occitanie juniors.


Publié le 10/07/2018 à 08:04  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

La Maison des métiers du cuir totalement repensée


La Maison des métiers du cuir repensée./ Photo DDM

Trois mille visiteurs franchissent chaque année le seuil de la Maison des métiers du cuir (MMC), que ce soit pour des visites libres ou guidées. Ce soir, sera inauguré un nouveau parcours dans un site qui a été repensé pour permettre l'accès au plus grand nombre.

«On a repensé le circuit pour que le site puisse être visité librement. On a souhaité offrir la possibilité d'une visite complète, sans guide», explique Marion Pelegry, chargée du patrimoine auprès du service culturel de la ville. Si le site est en perpétuel mouvement - l'an dernier un étage entier a été remodelé - cette fois c'est l'ensemble de la structure qui a été repensé. Désormais, chaque machine est numérotée et une «feuille de route» est proposée en début de parcours avec tous les termes techniques. «On s'est rendu compte que beaucoup de visiteurs aiment prendre leur temps et s'approprier la visite», souligne Marion Pelegry. Les visites libres seront désormais plus longues avec la réalisation de deux vidéos de 18 minutes avec de nombreux témoignages et des supports visuels permettant de découvrir l'intégralité des machines à son rythme.

Les grands visuels ont été réalisés dans des mégisseries actuellement en service pour mêler le patrimoine et l'actualité de la mégisserie graulhétoise. «On veut montrer que tout Graulhet était, et est encore, une usine, montrer ce qui se faisait avant mais aussi ce qui se fait aujourd'hui. Il y a des liens à travers le temps dans la technique et l'excellence», rappelle Marion Pelegry.

S'adresser à tous
Si les visiteurs peuvent visiter librement le site dans de meilleures conditions, les visites guidées se poursuivent sur demande. Les enfants n'ont pas été oubliés avec une sécurisation du parcours. Près de 10 000 euros ont été investis dans cette opération pour laquelle les services municipaux de la culture, des espaces verts et autres services techniques ont été mis à contribution. Cette accessibilité a aussi pour objectif d'agrandir le spectre des visiteurs. Si les scolaires, les seniors et les familles visitent le site, il reste un déficit dans la catégorie des jeunes adultes qui ont une pratique différente quant aux lieux de patrimoine. Cette accessibilité, enfin, concerne aussi le public étranger. Au français et à l'anglais vient désormais s'ajouter l'espagnol dans les vidéos et les feuilles de route qui n'attendent plus que les visiteurs.


Publié le 11/07/2018 à 07:45  | La Dépêche du Midi |  G.D.

La saison reprend sans président


Romain Balayé et Olivier Planès, entraîneurs des Espoirs, J. Marc Aué et J.-Christophe Bacca, entraîneurs de l'équipe 1, lundi soir à la Jonquière. / PhotoDDM, G.D.

Lundi soir, une trentaine de joueurs ont repris le chemin de l'entraînement sur les terrains de la Jonquière et dans la chaleur de ce début juillet. Alors que le club n'a pas de président - voir édition de dimanche - on notait la présence derrière la main courante de quelques dirigeants de la saison dernière de Guy Laporte, déjà très impliqué dans le volet sportif du SC Graulhet et de sa garde rapprochée. Aucune allusion à la situation actuelle en coulisses de la part de Jean-Marc Aué et de Jean Christophe Bacca, au moment de présenter aux joueurs ce que sera la reprise avec trois rendez-vous par semaine. Juste quelques mots de bienvenue aux nouveaux et le duo a laissé Kevin Velasco, le préparateur physique, œuvrer en ce sens.

Côté effectif, il manque encore quelques renforts et l'ancien ouvreur avoue concentrer ses recherches sur des solides du cinq de devant, dont il sait la grande importance toutes générations confondues. «Nous devrions faire signer rapidement un pilier d'origine sud-africaine», avoue-t-il, en ajoutant que d'autres contacts avec des joueurs étrangers - ou leurs agents - sont en cours. Ce cinq de devant qui a perdu Gouveia, Botha, Bueno, Dupuy, Garcia et Caronne. Pour les remplacer, Noui, un pilier Espoirs du CO ; Lapassouse, talonneur Espoirs de Tarbes ; Berail, talonneur du FCTT ; Abed, un solide 2e ligne d'Albi, et Revallier, dont c'est le retour.

Barthe, qui part à l'étranger, sera présent jusqu'à fin octobre. Pour le moment on notera un autre grand retour, celui d'Icart, parti une saison à Vannes prendre de l'expérience au poste d'ouvreur. Ceux de Fremont, ailier revenu de Blagnac, et de Llach, qui n'a pratiquement pas joué la saison dernière, sont actés. Masima, un trois-quarts centre de l'Hémisphère Sud en provenance d'Annonay, et Davis, 3e ligne sud-africain arrivant de Decazeville, sont aussi là.

Départs :
Nasso (Orléans), Dupuy (Fleurance), Gouveia (Valence-d'Agen), Garcia-Harmatiuck (Espagne), Roques (Nouvelle-Zélande), Gély (Castanet), Caronne (Leucate), Weersma (non précisé), Tachat (Rodez), Paul et Barthélémy (Sor Agout), Botha (Beaune).

 

Publié le 12/07/2018 à 07:46  | La Dépêche du Midi |  J-C C

Coup d'envoi de «Rues d'été»


Les Rugissantes vont rythmer le festival avec des chansons surprises./ Photo DDM

C'est aujourd'hui à 18 h 30 que sera donné le coup d'envoi de la dixième édition du festival «Rues d'été». Au total, 24 compagnies et artistes donneront 28 représentations gratuites sur la place du Jourdain mais aussi dans les écoles de Crins et Victor-Hugo et sur la place du Val-d'Amour.

Pour cette dixième édition, la collégiale a choisi de proposer, aux côtés de nouveaux artistes, le retour de compagnies qui ont marqué l'histoire du festival des arts de la rue. L'édition 2018 est aussi placée sous le signe de la chanson, pour faire raisonner en ville les chants polyphoniques tout au long du festival, sous forme d'interruptions surprises et de concerts de la chorale des Rugissantes.

Cette année, le «grand spectacle» offert par la municipalité aura lieu le samedi à 22 h 30 à l'école de Crins, avec «Le film du dimanche soir» d'Annibal et ses éléphants. Outre l'achat de ce spectacle, la municipalité prend une part active au festival avec la mise à disposition des espaces et la mobilisation des services qui œuvrent depuis le début de la semaine à mettre en place les plateaux techniques.

En plus des spectacles qui s'enchaîneront durant ces deux jours, de nombreuses animations auront lieu sur la place du Jourdain avec le carrousel «La plaque tournante», des sculptures de ballon avec Arc-En-Ciel et Cie, les déambulations de la batucada Da Tookba, du cinéma ambulant avec Studio Bzz… Le festival accueillera aussi un «espace citoyen», lieu de visibilité pour les actions et les initiatives locales qui «valorisent le territoire tout en respectant l'environnement». Le site proposera sur la place du Jourdain des animations de toutes formes, accessibles à tous (tes), qui proposent des solutions, des alternatives, de l'échange et placent l'humain et la nature avant le profit.

Le coup d'envoi du dixième «Rues d'été» sera donné à 18 h 30 sur la place du Jourdain avec un apéritif concert avec Lolo Robas et Feràmia. C'est à ce moment que les bénévoles pourront s'inscrire. Des places sont encore disponibles pour donner «un coup de main» et faire vivre le festival.


Publié le 13/07/2018 à 07:52  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

Le spectacle est dans la rue


La place du Jourdain, une scène à ciel ouvert pendant deux jours. / Photo DDM, J-C C

Le festival Rues d'été est lancé à Graulhet. Vingt-huit représentations gratuites sont proposées au public jusqu'à dimanche soir.
Pour la dixième fois cette année la ville de Graulhet accueille le festival des arts de la rue. Concerts, danse, cirque, théâtre, chants, jeux et performances vont animer la cité du cuir jusqu'à dimanche soir.
Cette édition étant placée sous le signe du chant, c'est avec les groupes Lolo Robas et Feràmia que s'est ouvert à 18 h 30 le festival sur la place du Jourdain.

Organisé par l'association du même nom, Rues d'Eté s'inscrit comme un événement culturel incontournable de l'été dans le Tarn. Cette année, entre les parties «in «et «out «ce sont vingt-huit représentations gratuites qui témoigneront de la richesse et de la diversité des «arts de la rue».
Cette année encore la place du Jourdain, située en cœur de ville, sera le centre du festival accueillant sept représentations vendredi de 15 h 15 à deux heures du matin et dix samedi de 14 h 45 à deux heures du matin. Elle accueille aussi un espace citoyen et de nombreuses animations de la sculpture sur ballon au théâtre d'ombres en passant par des déambulations musicales et cinématographiques.

Cependant d'autres lieux de la ville accueilleront des spectacles tels que la place du Val d'amour, la Maison des métiers du cuir ou les écoles de Crins et de Victor-Hugo. C'est d'ailleurs là que sera donné «La film du dimanche soir» samedi à 22 h 30 par Annibal et ses éléphants.
Situé au cœur de la ville et éco-responsable Rue d'été se veut aussi un festival durable en limitant son impact sur l'environnement. Ainsi l'espace restauration qui fait la part belle au bio et à l'artisanat local veille à un objectif «zéro déchets «et cette année au bar, les jetons remplaceront la monnaie.


Publié le 14/07/2018 à 08:16  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Pétanqueurs : concours et podiums s'enchaînent


L'esplanade du forum, exposée au soleil comme à la pluie. Mais les pétanqueurs sont habitués. / Photo DDM. Archives G.D.

C'est un authentique exploit qu'ont réalisé les compétiteurs de la Pétanque graulhétoise. En début de saison, ils ont été promus en Ligue. Un niveau jamais atteint qui leur donnera l'occasion en octobre prochain de se mesurer au boulodrome avec ce qui se fait de mieux dans la région Midi-Pyrénées-Occitanie. Une situation pour laquelle le président Kader Zitouni ne veut pas s'enflammer en sachant qu'outre la vitrine du club, c'est dans la bonne marche de celui-ci qu'il s'implique quotidiennement. Et les organisations s'enchaînent. Après avoir réussi les deux qualificatifs pour les championnats du Tarn et les phases finales départementales de jeu provençal, la Pétanque graulhétoise organise, ce samedi 14 juillet, un concours en doublettes en partenariat avec le conseil départemental au boulodrome et derrière le forum.

Un exploit
«L'an passé avait été une réussite puisque nous avions plus de 50 équipes qui sont venues. Nous espérons cette année que les joueurs soient au rendez-vous!». Une seule ombre à l'enthousiasme, les conditions de jeu sur l'esplanade du forum. «Les cadres sont en plein soleil. Les joueurs le savent. Nous avons essayé de faire un concours sous les ombrières du forum. Mais il nous est difficile de transporter toute la logistique sur cet espace qui est avant tout un parking», assure Kader Zitouni qui reconnaît évoluer en bonne entente avec les deux autres clubs utilisant le boulodrome. La société qu'il préside réunit 66 adhérents.

Côté résultats, c'est aussi l'embellie. Christophe Riou a été finaliste du championnat du Tarn en tête-à-tête puis a perdu en Ligue. La triplette Alain Phalippot – José Bauer – Marcel Prudhomme, demi-finaliste du championnat du Tarn, s'est qualifiée pour les finales du championnat de France, début septembre, à Strasbourg. La Pétanque graulhétoise se porte bien.


Publié le 15/07/2018 à 08:42  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Sentiments mitigés après le spectacle


Les adhérents ont joué les figurants et s'en sont donné à cœur joie / Photo DDM

Comme le spectacle, l'édition était historique. L'association culturelle du pays graulhétois qui a transféré durant l'hiver ses activités de la Ventenayé et ses équipements de la Bousquétarié sur le nouveau site de l'avenue Marcel Pagnol, a fait le pari de plus d'intimité, de proximité et de confort pour les spectateurs. Au terme des trois représentations du soir doublées des animations de l'après-midi, les impressions sont mitigées. 

L'association annonce une fréquentation quasi identique à celle de l'année dernière avec sur l'ensemble des trois jours, 1 200 tickets émis. «Les spectateurs étaient de manière générale très satisfaits du spectacle 2018, même si certains n'ont pas compris la démarche en cette année du centenaire de l'Armistice 14-18. Les adhérents/figurants étaient satisfaits également car la plupart ont pu revêtir leurs costumes dans des bâtiments en «dur» et non plus sous des tentes» assurent le président Alain Huc et son assistant Francis Auriol.

Les deux responsables ont déjà trouvé un gros motif de satisfaction. «Cett année il y a encore beaucoup de fatigue pour l'équipe technique qui a dû à la fois réaliser les aménagements du site pour accueillir le public ainsi que tous ce qui tourne autour du spectacle en lui-même, notamment les décors, et accessoires. Mais le gain de temps a été appréciable car le rangement a été terminé en un jour et demi, là où il fallait plus d'une semaine à La Bousquétarié». En reconnaissant que l'énergie dépensée durant douze mois pour pouvoir assurer déménagements, montage du spectacle et production des costumes aura été considérable, l' ACPG assure, avec cette première expérience, faire mieux la saison prochaine dans ce même cadre qu'elle veut idéal. Rendez-vous donc en 2019.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

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