Graulhet : Rétro Octobre 2017 -1-

30/1/2018

  GRAULHET : Du Bruc à Ricardens  



  Graulhet : Rétro Octobre 2017 -1-  


Publié le 01/10/2017 à 03:51  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Des nuages au dessus de la revue Arc en Ciel


Gabriel Rouyre, emblématique rédacteur et auteur de multiples parutions historiques sur la ville, lance un ultime appel aux bonnes volontés. /  DDM. Archives G.D.

«Nous savons tous que les Arc-en-Ciel sont éphémères, qu'ils réapparaissent après les orages». C'est par une parabole que Gabriel Rouyre, rédacteur en chef de la revue Arc en Ciel, dont le N° 149 sort ce week-end, lance un appel à d'éventuels repreneurs pour animer ce cahier trimestriel, tant attendu par les amateurs de belles lettres autant que ceux d'histoire locale.

«À plusieurs reprises depuis quelques années, nous avons lancé un appel à nos compatriotes Graulhétois, et particulièrement à ceux qui s'intéressent au culturel en général pour nous aider à diriger Arc-en-Ciel, organe du comité culturel. Certes, sporadiquement, quelque rédacteur bénévole nous transmet un article intéressant la vie graulhétoise, mais sa collaboration s'arrête là» regrette l'ancien enseignant qui n'hésite pas à lancer un appel empreint de solennité : «Si d'ici la fin de l'année 2017 aucune bonne volonté ne se manifeste, nous cesserons de paraître en 2018. Donc, à partir de janvier prochain, nous n'accepterons plus de nouvelle cotisation et demanderons à nos abonnés de suspendre leur participation». Pour Jean Chabbal, qui propose dans cette parution d'automne, un dossier très complet sur l'invention de la transmission par cable de la force motrice entre le moulin des Voûtes et l'usine Poullié, il y a plus d'un sièce, ce n'est pas d'aujourd'hui que la rédaction dans son ensemble, se préoccupe de sa succession.

«Voici cinq ans, nous avions invité toutes les associations culturelles de la ville pour leur ouvrir nos colonnes dans un premier temps, en vue de leur faire reprendre le journal complet par la suite. Ce fut un échec complet, seule, l'une d'entre elles nous a un jour, donnés une pub à passer pour un support média qu'elle avait à vendre, et il fallait que le lecteur découpe la page d'Arc en Ciel pour commander un CD! On n'a jamais rien eu d'autre! Toutes sont au tout numérique, personne n'édite plus de papier». Dans cette situation, il se verrait bien assurer un lien entre anciens et nouveaux. «Je veux bien envisager de faire la transition avec une nouvelle équipe rédactionnelle, en conservant quelque temps la partie technique. Mais je n'ai pas les moyens ni les connaissances, de remplacer et Henri Manavit, et Gabriel Rouyre, qui, à l'origine «fournissaient» les 3/4 des articles rédigés de la revue. Et puis, moi aussi, bien que loin derrière les aînés, j'arrive à 78 ans!»

À un trimestre de la sortie du numéro 150 qui consacrera plus de 35 ans de parution ininterrompue, l'avenir d'Arc en Ciel paraît plutôt sombre. À moins que…


Publié le 02/10/2017 à 09:18  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Le Dadou en fête d'une passerelle à l'autre


Mika et Sylvie sur fond de berges du Dadou. / Photo DDM G.D.

Du pas-de-porte du local de la place Henri Dunant, les animateurs de l'association Volubilo, en préparant le rendez-vous, voient couler le Dadou, rivière jamais impétueuse au nom si doux. À égale distance des deux passerelles, ils ont eu, il y a trois ans, l'idée faire découvrir ou redécouvrir les rives, chargées d'histoires, au fil d'un parcours déambulatoire, ludique et artistique. Ainsi était né Dadou en Fête.

Pour cette quatrième édition, le programme de la fête est passé de deux à trois pages, a doublé ses points d'intérêt. Car, l'animation aux multiples facettes est devenue une affiche et nombre de particuliers, d'associations, de compagnies et d'artistes, tiennent désormais à y inscrire leur nom. Durant cette semaine qui débute et jusqu'au week-end, une vingtaine de rendez-vous sont inscrits en commençant par l'ouverture de l'expo au Vertigo ce lundi.

«Les Graulhétois, curieux au départ, ont adhéré au fil des années. Dans l'esprit des lointaines Dadounades, nous envisageons de les voir reprendre possession des berges, en donnant au plus grand nombre les moyens d'expression, une vitrine pour leurs activités, une visibilité pour leurs ateliers» conçoit Mika de Volubilo, qui coordonne les animations et qui a reçu des retours positifs des précédentes éditions.

Gratuit pour tous
Vendredi vers 18 h 30, au départ du cinéma Vertigo, Mika de Volubilo et ses associés inviteront le public à les suivre au fil de l'eau, sur le chemin des rives, en les invitant à s'arrêter quelques instants sur les étapes de ce parcours artistique.

Durant le week-end, expos, spectacles, chansons, découvertes de la faune et de la flore, ateliers de fabrication de bateaux, d'initiation à la pêche, à la cuisine, au jardinage, seront ouverts à tous. «D'une passerelle à l'autre, venez fêter les habitants réels et imaginaires des berges du Dadou» invitent Mika et Sylvie.

Cette dernière animera un atelier syl-batik vendredi en fin d'après-midi. L'organisation de la fête est basée sur le bénévolat avec entière gratuité des animations. Elle bénéficie, dans le cadre de la politique de la ville, de l'aide de l'État, de la région, du département et de la mairie.


Publié le 03/10/2017 à  09:18  | La Dépêche du Midi |  J-C. C.

La ville accueille l'AG de l'Addah


Maryse Escribe, présidente départementale de l'association./ Photo DDM, J-C C

La 15 octobre prochain la ville accueillera le congrès départemental de l'Addah (Association de défense des droits des accidentés et des handicapés) à partir de 10 heures. L'évènement sera aussi l'occasion d'assister à une conférence-débat du docteur Guy Lapeyre sur le thème «Comment bien vieillir ?» «Un congrès constitue toujours un moment très fort dans la vie d'une association, en particulier l'examen des différents rapports, moral, financier et juridique, qui relève du conseiller juridique Thierry Joli. Il faudra aussi élire un nouveau conseil d'administration et un bureau pour la présidence», explique Maryse Escribe, présidente de l'Addah du Tarn. Aujourd'hui, le département comprend dix sections locales à Castres, Dourgne, Mazamet, Puylaurens, Réalmont, Albi, Lavaur, Carmaux et bien entendu Graulhet. 

«J'anime toutes ces assemblées générales avec l'actualité de l'année. Je m'attarde beaucoup sur la nouvelle loi d'adaptation au vieillissement pour apporter de l'information», explique Maryse Escribe qui est aussi vice-présidente de la Maison départementale du handicap. «J'ai l'impression que les gens connaissent tout cela, mais ce n'est pas le cas. Chaque année je rappelle toutes les fonctionnalités des institutions aux adhérents», confie la présidente. Au chapitre des nouveautés, il y a les jours de répit pour les aidants, un dispositif souvent méconnu. La journée des aidants aura lieu à Graulhet de 14 heures à 17 heures au SSIAD (Service de soin infirmiers à domicile) situé rue Saint-Jean avec de nombreux intervenants. Les journées de répit permettent aux aidants de bénéficier de journées de sorties. A Graulhet, dix places sont disponibles pour accueillir une journée une personne accompagnée permettant à l'aidant de «souffler». Ce dispositif peut être pris en charge. Près d'un demi-millier de personnes sont attendues cette année au Forum pour le congrès.


Publié le 04/10/2017 à 07:35  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Déterminés à sauver la fontaine du Jourdain


Rebecca, l'emblème de l'association Graulhet  Mémoire et Patrimoine. / Photo DDM

Ils ont choisi pour emblème la porteuse d'eau, Rebecca, la statue de bronze, retirée de sa fontaine du square Foch, après plusieurs actes de dégradation et aujourd'hui à l'abri dans un des fleurons du patrimoine local. Et pour devise, ils ont opté pour «sauver les joyaux de notre patrimoine». «L'association est née suite à une photo parue sur la page Graulhet c'était hier. Une photo montrant la dégradation de la fontaine place du Jourdain et les réactions que cette situation a engendrées», raconte Raymond Vergnes, le tout premier et récent président de l'association Graulhet Mémoire et Patrimoine dont l'existence a été officialisée en septembre dernier. 

«Après différents échanges sur cette page nous avons décidé de nous rencontrer. Suite à cette réunion d'une dizaine de personnes venant de tous horizons et se connaissant plus ou moins de vue, chez Pito, à Busque, il a été décidé de «monter «une association. Notre objectif commun est, avec le concours de tous, y compris la mairie ou autres organismes et collectivités, de préserver et si possible de réhabiliter notre patrimoine, qu'il soit public ou privé. Notre jeune association, qui pour le moment ne compte qu'une poignée de passionnés, a pour but avec tous les acteurs économiques régionaux de participer à la préservation, la restauration et la mise en valeur du patrimoine public et le cas échéant privé de la commune de Graulhet». 

Les pages du blog Graulhet c'était hier de la multiplicité des sites à entretenir ou à réhabiliter. «Notre premier objectif est de «nettoyer «le Pont Vieux en le débarrassant de toute la végétation «envahissante «et notre deuxième objectif, sûrement le plus important, est de participer à la remise en route de la fontaine place du Jourdain. Nous désirons avec l'aide de tous les Graulhétois ainsi que tous les acteurs économiques d'où qu'ils viennent, car nous sommes une association apolitique, de mettre en valeur tous les joyaux de notre ville». Louable dessein auquel Jean-Pierre Salvignol, en tant que vice-président, a adhéré en même temps que six autres Graulhétois qui forment le bureau d'une association qui se dit attentive au devenir du patrimoine local, historique, culturel, bâti ou naturel.


Publié le 05/10/2017 à 09:11  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Deux jours avant l'ouverture de la saison culturelle


La Cie graulhétoise 9.81 ouvrira la saison samedi à 19 heures sur les murs du Forum./ Photo DDM, arch

Travaux à l'Auditorium obligent, c'est au Forum que se déroulera la majeure partie de la saison culturelle 2017-2018, à l'image de son ouverture qui aura lieu ce samedi 7 octobre à partir de 18 h 30.

Avec une transformation de sa billetterie, de nouvelles peintures, un système d'alarme refait, c'est un investissement important qui a été réalisé par la municipalité au Forum. «L'espace bar est désormais tenu par des associations. Il permet au public d'échanger avant et après les représentations, souvent avec les artistes. On n'est plus sur de la consommation», souligne Vincent Portal, directeur du service culturel de la ville. Le bilan de la saison passé est jugé très positif : «On a multiplié le nombre de spectateurs par trois, on a été très content de cette saison», se félicite Claude Albouy, adjointe au maire en charge des affaires culturelles.

Si le partenariat avec la Scène nationale d'Albi permet au public graulhétois, via l'opération «Ce soir on bouge», d'assister à des séances à tarif préférentiel dans la préfecture tarnaise, il permet aussi à la ville d'accueillir des spectacles importants drainant à Graulhet un public venant de tout le département.

Une ouverture graulhétoise
Samedi, l'accueil aura lieu au Forum dès 18 h 30 avec un «accueil gourmand» réalisé par des traiteurs locaux. A 19 heures, l'ouverture de la saison n'aura pas lieu dans le Forum… Mais sur ses murs ! La compagnie 9.81, récemment installée à Graulhet, donnera «Suspend's». Le spectacle explore la gravité, explorant la relation des corps aux contraintes physiques. La compagnie s'est déjà produite à Graulhet dans le cadre de Rues d'été. La seconde partie de la soirée, à 21 heures, sera assurée par le duo burlesque américano-toulousain The Band From New York.

Ce moment sera l'occasion de découvrir une programmation toujours aussi éclectique, pensée pour un large public.


Publié le 05/10/2017 à 09:11  | La Dépêche du Midi |

Le retour des ateliers mémoire au CCAS


Un nouveau cycle est organisé cet automne / Photo DDM

L'an dernier, les «ateliers mémoires» réalisés par le CCAS (Centre communal d'action sociale) et la Carsat (Caisse d'assurance retraite et de la santé au travail) de Midi-Pyrénées avaient connu un franc succès. Un nouveau cycle est donc organisé cet automne. Il débutera le mercredi 8 novembre. Ces rendez-vous hebdomadaires auront lieu au Centre communal d'action sociale de 8 h 30 à 11 heures. Les ateliers seront animés par la psychologue Catherine Geindre. 


Publié le 06/10/2017 à 07:47  | La Dépêche du Midi |

Harkis : polémique autour de la mémoire


/ Photo DDM, archives.

Les déclarations de l'association de femmes, de fils, de filles de Harkis et leurs alliés ou AFFFHETA (voir notre édition du 26 septembre) concernant l'absence de cérémonie d'hommage à Graulhet pour la journée nationale d'hommage aux Harkis et autres membres des formations supplétives le 25 septembre dernier, a suscité une vive émotion, notamment auprès de l'Association des anciens combattants et des victimes de guerre de la ville. «Le 25 septembre est une date officielle nationale pour les cérémonies rendant hommage aux Harkis qui ont servi la France au péril de leur vie lors des opérations en Algérie. Pour le département du Tarn, toutes les associations d'anciens combattants et de Harkis se retrouvent chaque année le 25 septembre sur le site du mémorial d'Afrique du Nord de Montredon-Labessonnié», rappelle Robert Couzinié, président de l'association graulhétoise.

Cette année encore, cette cérémonie, présidée par le préfet du Tarn, représentant l'État français, s'est déroulée en présence de représentants venus de l'ensemble du département du Tarn.
«La cérémonie se déroule en présence des autorités civiles et militaires avec un détachement de l'armée et beaucoup de porte-drapeaux», témoigne le président de l'Association d'anciens combattants et victimes de guerre.
Cette dernière rappelle par ailleurs que le mémorial de Montredon-Labessonié est dédié à la mémoire de tous les Harkis et tous les militaires morts lors des conflits qui se sont déroulés en Algérie, au Maroc et en Tunisie.

Un lieu de souvenir à Graulhet
Si le rassemblement annuel se déroule à Montredon-Labessonnié, la ville de Graulhet n'est cependant pas dépourvue de lieu de mémoire concernant cette période. En effet, une plaque d'hommage aux Harkis et sellée sur le monument aux morts de la ville situé cimetière municipal Saint-Roch.
«Pour les différentes cérémonies, nous associons les morts de toutes les guerres», souligne le président de l'Association des anciens combattants.


Publié le 07/10/2017 à 03:53  | La Dépêche du Midi |

C'est parti pour Dadou en fête


Des stands et attractions tout au long du  kilomètre entre les deux passerelles sur le Dadou. /  DDM.

En famille ou entre amis, vous pourrez participer aux nombreuses activités proposées ce samedi 7 et ce dimanche 8 dans le cadre de l'animation Dadou en Fête ; ateliers artistiques et créatifs, jeux, balade botanique, activités sportives, troc plantes, animations musicales. Une balade artistique et conviviale au bord de l'eau au départ du cinéma Vertigo qui abrite l'exposition Sylbatik. Le long des berges, à voir les créations des écoles, l'installation Tricotage du centre social, les arbres masqués de Yannick, les Mobulles de Nadine, le «Veilleur» de Julien, l'œuvre d'Anzu Wicks, le cocon Mange tout d'Anna Mano, les fanions de Sylbatik, les mandalas de bois d'Alex. Et pour se désaltérer, la buvette de l'association Cybèle Tarn (vente de produits locaux) et la galet'enchantée de Florent au jardin de la rivière et dans le bar mobil de l'association de la Résistance côté Volubilo, le Bar à eau de Brigade Papilles le samedi au Vertigo.


Publié le 07/10/2017 à 03:54  | La Dépêche du Midi |  G.D.

De nouvelles idées à l'Avant-Garde gymnastique


Laurent Selva (à gauche), son bureau, ses animateurs, ses gymnastes. / Photo DDM

Après l'accueil d'un nouveau responsable technique, c'est maintenant l'heure du renouvellement du bureau. En effet, après 4 années à la tête du club, Patricia Saunal, Jacky O'Connor et Coralie Penard ont passé les clés du club le 16 septembre dernier à une nouvelle équipe. Laurent Selva, le nouveau président, s'est dit ravi et très honoré de représenter le club en ajoutant à ses responsabilités le partage de valeurs à défendre. «Nous aurons à cœur de conserver l'esprit de bienveillance, d'entraide et la bonne humeur caractérisant l'identité du club tout en conservant la persévérance et la rigueur nécessaire à cette discipline. De même, nous mettrons toute notre énergie au service du club pour conserver le dynamisme mis en place par l'ancien bureau et concrétiser de nouveaux projets de développement», assure le coach de cadres et dirigeants dans le civil, qui réside à Damiatte. Nila Costenaro et Nathalie Legendre sont élues secrétaire et vice-secrétaire et Claire Selva assurera la trésorerie. 

Patricia, ancienne présidente du club est revenue fièrement sur le bilan sportif de la saison 2016-2017 : «Les gymnastes ont porté les couleurs du club au niveau départemental, régional, zone et national !» Le secteur loisir reste une priorité du club avec des cours proposés le mercredi et le samedi. Les enfants sont répartis en groupes en fonction de leur âge. Et pour Laurent Selva, les priorités sont dans le comportement, le relationnel et l'accueil. «Avant ces dernières saisons, nous avons assisté à une érosion continue du chiffre des licenciés. Le challenge sera de repartir sur des bases supérieures à 100 gymnastes, toutes catégories confondues». Et le projet immédiat du club sera de mettre en place des compétitions de gymnastes loisirs. Des stages loisirs, ouverts à tous, seront organisés la première semaine des vacances scolaires. Mehdi et son équipe accueilleront petits et grands à l'occasion d'Halloween. N'hésitez pas à contacter le club et venir découvrir cette activité sportive.


Publié le 08/10/2017 à 10:54  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Deux pilotes de l'Aéro Club tutoient les cieux


Le trio a fait preuve d'unité pour survoler tous les paramètres du challenge. / Photo DDM

Le challenge Grass Cockpit Warter Tour, un rallye aérien destiné à l'aviation légère, a animéle ciel français et tarnais cet été. Un équipage composé de pilotes de l'aéroclub de Graulhet, Dorian Goncalvès et Sylvain Corveleyn, y ont participé accompagnés de leur instructeur Éric Helie . «Cette année, le rallye nous a conduits au-dessus des châteaux de la Loire, de Chambord à Amboise, en passant au-dessus de Chenonceau, puis vers l'Atlantique pour un survol de l'île de Ré et de l'île d'Oléron. Descendus par les Landes et ses plages puis le Gers, nous sommes arrivés à Gaillac avant de repartir par le Viaduc de Millau puis Les Cévennes pour enfin terminer notre périple de trois jours en passant par Avignon et les Alpilles à Salon-Eyguières. 

La météo, estivale, nous a fait profiter au maximum des paysages et du patrimoine culturel survolés» assurent les pilotes qui ont encore des images du pays vu d'en haut, plein les yeux. «La navigation à la carte, à l'aide de la boussole et la montre est très formatrice Chaque branche du vol se doit d'être minutieusement calculée avant le décollage. Cela permet de consacrer son attention sur le pilotage, de suivre parfaitement la route et d'être attentif à l'environnement avec des points à reconnaître, avions à proximité, et des paysages. Ces temps de préparations ont toujours été faits dans la bonne humeur et avec l'esprit de camaraderie typique des ambiances de terrains d'aviation».

Le temps d'un week-end, ils ont été 42 équipages à partager la même passion et les mêmes paysages et c'est bien là la volonté des organisateurs du Grass Cockpit Challenge. En tenant à remercier la ville de Graulhet et l'École des Mines d'Albi pour leur soutien, le trio espère un jour rééditer cette expérience singulière et enrichissante pour les deux jeunes pilotes.
 

Publié le 10/10/2017 à 09:19  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Le centre social a déménagé place du Languedoc


La grande salle du foyer est le lieu des activités du centre social. / Photo DDM, J-C C

Avec son déménagement de la place Henri-Dunant à la place du Languedoc, c'est une sorte de «changement dans la continuité» qui vient de s'opérer au centre social.

Accueil des assistantes sociales, bureau des permanences des techniciens CAF (Caisse d'allocations familiales), du CIDFF (Centre d'information et de documentation des droits de la famille et des femmes), de l'UDAF (Union départementale des associations familiales), borne extérieure de la CAF, accueil du Programme de Réussite Éducative le mercredi après-midi… Ce sont tous les services qui ont été déménagés. «Tout l'accueil du public se fait en rez-de-chaussée», souligne Chantal Peyrin, directrice du centre social ; nos bureaux et la salle informatique se trouvent à l'étage qui n'a pas d'accessibilité pour les personnes à mobilité réduite.

Les nouveaux locaux demandent un temps d'adaptation. Les usagers attendent avec impatience le retour de la cuisine. Un espace devrait être aménagé dans une salle avec un accès direct sur l'extérieur. Toujours du côté des locaux, la grande salle d'activités du rez-de-chaussée n'est pas cloisonnée et rend difficile la tenue d'activités simultanées. Des travaux sont là aussi envisagés. «Le premier objectif est d'arriver à maintenir ce que nous faisons. On est aussi sûr du travail en extérieur, sur le marché avec la cuisinette mobile par exemple, pour rendre plus visible le centre social, lieu ressource pour tout le monde», explique Chantal Peyrin. Nous poursuivons et souhaitons intensifier le travail en réseau avec de nombreux partenaires (écoles, collège, Amicale laïque, MJC, Amis des jardins, Centre Éducatif Multisports, Volubilo, les services de la ville…) ainsi que l'ouverture culturelle avec la multiplication des sorties de ce type.

Au chapitre des nouveautés il y a l'arrivée de Camille qui travaillera en partie sur les jardins partagés, autre point fort du centre social. Une ouverture du centre social un samedi par mois est en réflexion. «On faisait souvent déjà les petits déjeuners du réseau d'échanges réciproques de savoir le samedi matin. Cela permet à celles et ceux qui travaillent de nous rejoindre pour participer à des activités. Cette ouverture mensuelle pourrait voir le jour en janvier», confie Chantal Peyrin.


Publié le 11/10/2017 à 09:55  | La Dépêche du Midi |

Belles premières pour les cadets et Balandrades


Touche dominatrice pour la victoire des Balandrades sans faillir. / DDM G.D.

Équipe 1 : Elle a perdu à Bergerac 3 à 9, mais la prestation ne satisfait ni le manager Jean-Marc Aué ni son associé Julien Pauthe. «Nous allons retenir le point de bonus défensif et la bonne tenue de la défense. Pour le reste ça a été un peu compliqué avec trop de difficulté en conquête, donc trop peu de ballons à exploiter. Mais même avec peu de ballons nous aurions dû gagner», regrette l'ancien seconde ligne.

Espoirs : Défaite 3 à 33 à Rodez, la troisième en trois rencontres, mais la plus encourageante. «Nous encaissons 5 essais à 0 passe. Nous avons eu une défaillance en mêlée, mais les gars se sont accrochés, ont proposé du jeu, sans marquer. L'équipe est jeune et doit franchir un palier. Surtout ne pas se décourager», espère le co-entraîneur Olivier Planès.

Cadets : Engagés en championnat Teulière B, les cadets ont débuté leur championnat en fanfare en battant l'Entente Rabastens-Lavaur 81-0 ! «Match à l'extérieur intéressant, joueurs appliqués et concentrés pour leur premier match de championnat. Quelques réglages à faire encore, mais beaucoup de jeu produit, d'envie de notre part. Le temps était idéal aussi pour mettre en place notre jeu», se félicite le co-entraîneur Thomas Pégorer.

Balandrades : Ils débutaient le championnat en recevant Lavaur. Et en signant une belle victoire sans contestation, 16 à 5. Les jeunes Graulhétois ont rapidement mené 10 à 0 par la réussite au pied et un essai sur pénaltouche. Lavaur est revenu par un essai au large et à 5 points avant la pause. Forts d'une mêlée supérieure et d'une touche récupérant cinq lancers vauréens en seconde mi-temps, les Balandrades ont géré leur avance et 2 pénalités sont venues grossir. Du joli rugby par moments.


Publié le 11/10/2017 à 09:55 | La Dépêche du Midi |

Le Club bouliste s'incline chez le champion


L'équipe graulhétoise qui a ouvert le ban du championnat. / Photo DDM

Pour le compte de la 1re journée des clubs sportifs les Graulhétois se sont déplacés à 11 joueurs chez le champion de France sortant.
Au 1er tour les jeunes recrues étaient lancées pour leur baptême du feu à ce niveau.
Dans la course du tir rapide Marquez menait au score mais craquait dans le final par manque de compétition et ramenait un point de bonus défensif.

Durant l'autre course du tir en relais, G. Assemat, associé à Larroque, échouait de peu mais prenait un point défensif. Sur les 5 épreuves du second tour les Tarnais remportaient 3 exercices par l'intermédiaire de Boumesla au point de précision, D.Venzal et Boumedienne au combiné, donnant un score de 13 à 11 en faveur des Gardois.

Le coup restait jouable, mais les visiteurs rataient les 2 courses du 3e tour et voyaient le score enfler avec 6 points de plus pour les locaux. Le jeu traditionnel du 4e tour ne fit que confirmer la domination des champions en titre, seul D. Venzal se faisait rejoindre au final du tête-à-tête au terme du temps réglementaire pour concéder un match nul. La doublette Boumesla-Larroque, quant à elle, s'accrochait mais cédait en s'octroyant un bonus défensif. La 2e doublette et la triplette perdaient également. Score final : 14 à 30. «Le groupe est encore en rodage et n'a pas tenu la distance, il s'est incliné logiquement. La satisfaction, tout de même, viendra des nouveaux jeunes qui découvraient la compétition, deux joueurs au demeurant très réceptifs qui devraient progresser au fil de la saison», assure le coach José Venzal qui prépare déjà le prochain match le samedi 14 octobre avec la réception des voisins de l'Asptt d'Albi.


Publié le 11/10/2017 à 09:55  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Repas malien et fête des 18 ans avec Solidarité Migrants


Solidarité Migrants Graulhet lors de l'assemblée générale de septembre dernier. / Photo DDM

En décembre 2015, des familles graulhétoises ouvrent leur porte à des jeunes Maliens se retrouvant à la rue.

Six mois plus tard, autour d'un bureau d'une dizaine de personnes bénévoles, des citoyens s'organisaient autour de ces jeunes et créent l'association Solidarité Migrants Graulhet qui peut s'appuyer aujourd'hui sur un réseau d'environ 200 personnes. Le samedi 21 octobre, elle propose une soirée de soutien à ses actions sous le thème généraliste de «fête des 18 ans». «En France, la majorité est une promotion sociale, l'accès à une certaine forme de liberté, à l'autonomie, c'est une vraie célébration. Mais pour les jeunes migrants isolés vivant en France, c'est un âge qu'on redoute, c'est la fin de la protection de l'enfance, c'est l'âge auquel on peut être expulsé. 

Suivant les lois de protection des enfants, l'Aide Sociale à l'Enfance et le Conseil départemental les prennent en charge jusqu'à 18 ans. Ensuite, ces personnes se retrouvent à la rue, dans le désarroi. C'est là que Solidarité Migrants Graulhet intervient afin d'aider ces jeunes dans le marathon administratif qui les attend. Solidarité Migrants Graulhet se bat pour faire respecter les droits des personnes étrangères souhaitant continuer de vivre en France avec le soutien d'avocats et d'autres associations et accompagne des personnes migrantes dans tous les domaines de leur vie comme la recherche de logement, d'emploi, de formation et aide administrative. 

Pour cette soirée qui aura lieu sous le préau du stade Noël-Pélissou, Solidarité Migrants Graulhet vous propose de venir vous retrouver autour d'un repas malien préparé par ces jeunes majeurs, musique et convivialité au programme», explique le collectif de l'association. Au menu, l'apéritif à 19h, à 20h, repas Maffé servi par Mamadou, Aly, Seydou, Mobido, Salim et Mama, chefs d'un jour, à 21h30, chansons françaises et guitare avec Sider et Rwaba, à 22h45, concert Les Pieds Nus pour un voyage musical en Afrique. A minuit, DJ Ogm revisitera les musiques du monde.


Publié le 12/10/2017 à 15:53  | La Dépêche du Midi |  J-C C.

Deux jours avec le «Cuir dans la peau»


Usines et ateliers vont ouvrir leurs portes./ Photo DDM, D.R.

Mégissiers, tanneurs et maroquiniers vont ouvrir les portes au grand public à l'occasion du «Cuir dans la peau» les 25 et 26 octobre. Cette opération coordonnée par l'Office du tourisme Bastide et Vignoble de Gaillac permettra de découvrir techniques de fabrication et produits finis.

A l'heure où le made in France est sur toutes les bouches, les journées du «Cuir dans la peau» présenteront le made in Graulhet ! Exceptionnellement, les entreprises qui travaillent le cuir feront visiter leurs ateliers et dévoileront aux visiteurs leur savoir-faire reconnu dans le monde entier.
Ce moment sera aussi l'occasion de faire des emplettes tout en cuir de Graulhet et au tarif usine.

«L'événement est aussi bien destiné aux Graulhétois pour qu'ils puissent découvrir leur patrimoine qu'aux personnes extérieures», explique Marion, de l'Office de tourisme. Outre les mégissiers et les tanneurs (Cuir du futur, Mégisserie du Midi, Euréka et Didier Lieutard) et les maroquiniers (Ateliers Fourès, Maroquinerie Milhau, Maroquinerie Serres et La Fabrique), Rose-Marie Cuir (fabrique de vêtements de cuir), BFM (atelier emporte-pièces et découpe), Trumpler (fabrique de produits chimiques pour le cuir dans le respect de l'environnement) et Cuir en Stock (créations et décorations en cuir) prendront part à l'événement. A cette occasion, les Plasticiens volants ouvriront aussi leurs portes.

La Maison des métiers du cuir, pour sa part, accueillera la Cartablière (avec des animations pour enfants à cette occasion), Cuir Forever proposera des démonstrations et MRLF vendra charentaises et pantoufles en peaux lainées.
«C'est la première fois que les entreprises ouvriront leurs portes au grand public», souligne Marion. L'entrée des portes ouvertes des ateliers du cuir qui auront lieu pendant les vacances scolaires sera de 3 € (gratuit pour les moins de 12 ans) avec un porte-clefs offert.


Publié le 13/10/2017 à 09:21  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

Les champions du jardinage récompensés


Les membres du jury et les lauréats se sont retrouvés au jardin. /Photo DDM, J-C  C.

Le concours des jardiniers est réalisé sans hiérarchie avec dans l'idée d'encourager les jardiniers dans leurs pratiques, sans aucun produit dangereux, sur le site des jardins partagés de la ville. «Travailler sans produits dangereux oblige à renouveler ses pratiques à pailler, à penser aux plantes qu'on plante. On voit que les jardins évoluent au fil des années et on a envie d'encourager ça», explique Chantal Peyrin, directrice du centre social qui gère le site.

L'échange et le partage sont aussi au cœur du jardin, tant celui des graines que celui des pratiques. «Le jardin, c'est un savoir-vivre, du partage, de la solidarité, le retour à la nature… Tout ça, ça se cultive dans le sens de la terre, mais aussi dans les esprits», a déclaré Roger Biau, adjoint à la mairie en charge de la santé, la solidarité et le CCAS. Il a fait partie des membres du jury qui, cet été, ont eu la tâche de visiter les jardins pour établir ce palmarès. Aujourd'hui, une cinquantaine de parcelles sont cultivées à la Jonquière.

L'attribution des lots a été effectuée avec un tirage au sort. Là aussi, il n'était pas question de hiérarchie, mais de diversité. Une diversité dont les jardiniers connaissent toute l'importance.
La remise des récompenses a été l'occasion de se retrouver au jardin, un lieu qui est toujours propice aux rencontres, aux échanges et aux discussions.

Les prix des jardins : le plus diversifié Cathy Geai ; le plus fleuri Jacky Bibal ; le plus fou M.et Mme Fafin ; les plus gros légumes Ali Akkar (tomate) et la famille Arafassi (courges) ; le plus écologique Lucie Gence ; le coup de cœur Ahmed Aarabi ; encouragement (expérimentation de nouvelles pratiques) Christophe Delangle ; mention spéciale du jury Claudine Verdier.

Les cachuètes de Claudine
Le Jardin de Claudine a reçu une mention spéciale, tant il aurait pu concourir dans de nombreuses catégories. «Lorsque je suis arrivée à Graulhet m'inscrire au jardin a été une des premières choses que j'ai faites. Sans jardin, je ne vis pas», déclare-t-elle.

Fraises, blettes, groseilles, poivrons, cassis, chayottes, aubergines, poivrons ou patates douces… Claudine a un secret : «J'apporte de l'humus, je n'étais pas habitué à une terre comme ça. Après, je sème ou je plante et voilà. Je ne bêche pas, je laisse le jardin faire. Quand je vois une plante, je ne veux pas l'arracher, je la laisse vivre», explique-t-elle. C'est surtout son attention aux plantes, pour essayer de les comprendre, qui explique aussi sa réussite. A tel point qu'on retrouve dans son jardin des cacahuètes. «A Pamiers déjà, mon père en faisait mais il a arrêté à cause des mulots qui en sont très friands. Je les butte comme des patates. Il faut juste faire attention de les récolter au bon moment sinon elles germent», confie-t-elle avec un large sourire. Car, outre les fruits et légumes, le jardin semble aussi apporter à ceux qui le cultivent une petite part de bonheur.


Publié le 14/10/2017 à 03:56  | La Dépêche du Midi |

L'Addah remet 200 euros à Vivre ensemble chez nous


Remise du chèque entre les deux associations. / Photo DDM

La kermesse de la maison de retraite Saint-François a permis d'assister à un beau geste de solidarité, samedi dernier, à Graulhet. L'Addah (Association de Défense Des Droits des Accidentés et des Handicapés) a voulu faire un geste en faveur de l'association Vivre ensemble chez nous. En présence des bénévoles de l'association et notamment de la présidente départementale Maryse Escribe, mais aussi de Mmes Sudre et Fita, elle a offert un chèque de 200 €. Ce qui permettra à Vivre ensemble chez nous de participer à certaines actions pour le bien-être des patients atteint de la maladie d'Alzheimer. «Notre cause essentielle est la défense, le conseil, faire respecter les droits pour toutes les personnes dans tous les domaines confondus».


Publié le 14/10/2017 à 03:58  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Opération «J'apprends à nager»


Il reste quelques places pour la session des vacances de Toussaint. / Photo DDM

Sous l'impulsion de la Fédération française de natation, le plan ministériel «J'apprends à nager» continue de diversifier l'offre des pratiques pour les rendre accessibles au plus grand nombre tout en favorisant la transmission des valeurs citoyennes. Il permet aux enfants de 8 à 11 ans de savoir nager pour leur entrée en 6e. «Il est reconnu que 40 % sur notre territoire ne savent pas nager, par le fait que certaines écoles alentour n'ont pas accès à des créneaux de piscine faute d'un nombre adéquat de centres nautiques pour les accueillir. Mais ils n'ont pour la plupart pas peur de l'eau, ce qui est important», assure Katia Nespoulous, référente de l'action sur le club de Graulhet qui, inscrit dans cette démarche, reconduit l'opération pour la 5e fois. 

«En amont, nous avons rencontré les directeurs d'école et de centres de loisirs pour en informer les parents et finaliser les séances». Financée par la DDCSPP du Tarn, elle aura lieu, durant les vacances de Toussaint, du lundi 23 octobre au samedi 28 octobre, lundi 30 et mardi 31 octobre et jeudi 2 et vendredi 3 novembre, les actions de ce genre seront renouvelées durant les vacances de printemps et fin juin. Soutenus par la mairie de Graulhet et en partenariat avec le collège, les écoles et les accueils de loisirs, 15 enfants pourront profiter de ce dispositif. Dix séances gratuites, mais obligatoires, encadrées par les maîtres nageurs du SCG Natation, de 18h30 à 19h30, à la piscine municipale, sont au programme. Dossier d'inscription sur demande avec certificat médical obligatoire.


Publié le 15/10/2017 à 10:13  | La Dépêche du Midi |

D'abord le loto, puis le calendrier des pompiers


Deux actions phares de l'amicale en cette fin d'année.  /  Photo DDM

Ils l'avaient promis, ils l'ont fait. Les bénévoles de l'amicale des pompiers de Graulhet, ont mis le paquet sur le loto annuel qu'ils organisent le samedi 21 octobre au forum à 20h30. Un tirage en «super bingo» offrira au gagnant un séjour pour 4 personnes à Disney. En plus des parties habituelles, une tombola sera réservée aux enfants et dix lots surprises seront à gagner avec le tirage au sort des assiettes de crêpes à déguster à l'entracte. Mi-novembre, les pompiers graulhétois passeront chez les habitants du canton, présenter leur calendrier. Les bénéfices des deux actions iront aux œuvres sociales et au Noël du centre de secours.


Publié le 15/10/2017 à 10:13  | La Dépêche du Midi |

Début de saison difficile pour le tennis de table


En attendant des jours meilleurs pour les pongistes. / Photo DDM

La première journée du championnat n'a pas été bénéfique aux pongistes graulhétois. Les 3 équipes engagées s'inclinent sur le même score de 4-10. L'équipe 1 a eu fort à faire en Régionale 4, en se déplaçant chez le TT Frouzins 5. Une défaite logique, face à des adversaires plus forts sur le papier. On notera cependant le sans faute de Gauthier Morales qui a fait en plus de superbes perfs. En départementale 2, l'équipe 2 s'incline à domicile face au Ping St-Paulais 3. Un score sévère vu la physionomie du match, mais défaite logique tout de même. Belle performance de Guillaume Monsonis pour son retour à la compétition, il frôle le sans-faute. En départementale 3, l'équipe 3 se déplaçait pour aller affronter l'équipe 4 de Labruguière Fun Ping. Là aussi face à une équipe plus expérimentée, le résultat n'est pas au rendez-vous.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

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