Graulhet : Rétro Septembre 2017 -2-

24/1/2018

  GRAULHET : Du Bruc à Ricardens  



  Graulhet : Rétro Septembre 2017 -1-  


Publié le 16/09/2017 à 11:26  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Un blog d'actu né d'une réunion de classe


Simon Rodier et Jean Durand à l'origine du blog./ DDM.G.D.

Quand il a créé le blog Natifs 50, en 2010, Simon Rodier ne pouvait imaginer qu'il deviendrait une référence de l'actu locale et régionale et que 8 ans plus tard, il aurait intéressé largement plus d'un million de visiteurs. «Nous l'avions ouvert temporairement pour préparer les retrouvailles des Graulhétoises et Graulhétois nés en 1950, et pour permettre de collecter des photos de jeunesse. L'objectif était de faire revivre cette époque et partager nos souvenirs», assure l'ancien enseignant de l'école de Crins qui a voulu garder l'esprit «scolaire» sur les centaines de pages qu'il a édité depuis.

Au départ, aux côtés de l'emblématique président de la classe 50 Jean Durand, Jean-Paul Bosc s'était aussi investi dans l'aventure du blog qui privilégie deux axes : le terroir et la mémoire.

C'est ainsi que les pages faisant le parallèle entre les classes de neige et les colonies, d'hier et d'aujourd'hui, sont les plus lues. «Le site, pour le faire vivre, doit être alimenté régulièrement, presque tous les jours. Dans les sujets, je privilégie ceux qui ont un lien avec Graulhet. Le but étant d'ouvrir un échange entre les personnes qui les consultent. Il va sans dire que le blog doit figurer dans les favoris de beaucoup de Graulhétois vivant ailleurs ou à l'étranger», avance Simon Rodier, avec l'humilité de celui qui doit sans cesse remettre du braquet dans la bécane. Tout en faisant remarquer que nombre de journalistes, de réalisateurs de télévision ou d'historiens amateurs font appel à son savoir et son œil de photographe pour demander l'emprunt de documents ou la précision d'une information. «Il y a même une agence de voyages américaine qui m'a contacté pour me demander des photographies. Du moment que le sujet parle de la ville…». 

Curieusement, ce sont les clichés de Graulhet sous la neige en 2012 qui ont été les plus regardés. Il est vrai que le phénomène météo est devenu rare. Ainsi, Simon Rodier, en alimentant aussi le site internet de l'Amicale Laïque, promène son œil averti de photographe, d'observateur et de chroniqueur pour un public qui va des écoles -qui en ont fait un blog référence pour certaines- aux nostalgiques du passé local en passant par tous les amateurs de belles pages et de vues inédites.


Publié le 18/09/2017 à 09:42  | La Dépêche du Midi |

Team 81 repart en force


L'équipe de Team 81 venu présenter ses nouveaux maillots en mairie. / Photo DDM

Le club Team 81 vient de se réaffilier à la fédération française de Triathlon et à partir de ce mois-ci nous peut accueillir de nouveaux prétendant à la licence de cette discipline qui fait de plus en plus d'adeptes. Débuté à 6 , le club approche aujourd'hui la trentaine athlètes et a déjà inscrit quatre équipes sur l'Ekiden d'Albi qui se déroule le samedi 7 octobre. Ainsi, plus de 20 coureurs de la Team 81 seront présent pour représenter le club et la ville de Graulhet).

Fin octobre sous les nouvelles couleurs de leurs nouveaux maillots, 2 équipes participeront aux swimrun en Espagne et chaque week-end les licenciés participent à toutes les courses locales. «Il y a plus de courage que de talent dans la plupart des réussites.» la phrase de Félix Leclerc est devenue la devise des coureurs, nageurs et cyclistes de l'association.


Publié le 19/09/2017 à 03:51 |  La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Comme un air de guinguette sur la place Henri-Mérou


On a valsé à l'ombre des platanes pour ces derniers jours d'été./ Photo DDM, J-C C

L'an dernier, l'AAFP (Association d'aide familiale populaire) déménageait place Henri-Mérou. A cette occasion elle avait organisé une après-midi festive qui en raison de son succès a été reconduite cette année. Une occasion pour les aidants et les personnes aidées de se retrouver à l'ombre des platanes lors de l'été indien. Initialement prévu en juin, c'est en septembre que s'est finalement déroulé ce rendez-vous pour des raisons météorologiques. Cent vingt personnes se sont retrouvées sur la place Henri-Mérou pour partager un moment en musique et en danses. 

L'association aide un demi-millier de familles sur le secteur organisant des interventions pour les travaux ménagers courants (vaisselle, entretien des sols, vitres, entretien du linge, repassage, etc.), effectuer les courses, les repas, proposer une activité… En fonction du niveau d'autonomie de la personne, l'intervenante étend sa mission vers une aide directe à la personne : aide à l'habillage, aide à la prise de repas, accompagnement dans les déplacements, aide à la toilette… Aujourd'hui, la structure compte soixante-dix personnes qui réalisent ces interventions et six personnes qui s'occupent des tâches administratives, dont une qui assure un accueil téléphonique. 

L'AAFP est ouverte du lundi au vendredi de 8 heures 17 h 30 avec une astreinte le week-end, «si quelqu'un ne part pas le matin ou si quelque chose se passe dans la famille, on peut réagir». Car les interventions ont lieu 365 jours pas par. Au-delà de cette action, l'association, conventionnée avec le Conseil départemental, la Carsat, la MGEN, la MSA et le RSI, organise aussi des activités autour du thème du bien-vieillir. Elles s'étendent de la gym mémoire qui se déroule à la salle de boxe du stade Noël-Pélissou à la gym équilibre en passant par la marche nordique en fonction des désirs et des possibilités de chacun. L'AAFP propose aussi des sorties culturelles comme autant d'occasions de se retrouver comme sur la place Henri-Mérou où la bonne humeur était de mise pour les derniers jours d'été.


Publié le 20/09/2017 à 08:09  | La Dépêche du Midi |  G.D.

L'association Replic Air déploie ses ailes


Le président de Repic Air Jérémy Caussade devant le Broussard de l'un des membres de l'association. / DDM G.D.

Grosse animation dans le ciel graulhétois ce samedi. L'association Réplic Air, installée depuis l'année dernière sur la plate-forme de l'aérodrome, avait invité ses adhérents, sympathisants et leurs familles à un «flyin», une fête interne qui a rassemblé une grosse vingtaine d'aéronefs, récents pour certaines, anciennes pour la plupart, rares pour quelques-unes.

«C'est une manifestation privée pour laquelle nous ne voulions pas faire de publicité, ne pas convoquer du public. Nous n'avons pas souhaité passer le cap de la manifestation aérienne, du meeting», explique le président Jérémy Caussade qui a pu accueillir aux abords du bâtiment, érigé en bordure de la route de St-Mémy, une grande partie des 90 adhérents dont un tiers réside sur le Tarn. Les curieux étaient malgré tout assez nombreux aux abords de l'aérodrome, attirés par ces drôles de coucous.

Comme ce bruyant Broussard de l'armée des années 50 ou ce racé Bucker Jungman allemand, de 20 ans son aîné. «Les pilotes sont venus pour échanger, pour discuter, pour conseiller et surtout pour partager un moment convivial, comme le club sait en proposer régulièrement. Beaucoup de nos adhérents sont des professionnels de l'aéronautique. Les discussions sont donc averties et techniques».

L'association possède trois aéronefs servant aussi, en plus de leur caractère historique, à la formation des élèves pilotes : un Nord 3202, un Cap 20L et un Jodel 18. Mais le cœur d'activité de Réplic Air se situe dans la réfection à l'identique d'avions de légende. A son actif, un étonnant Morane Saulnier type G construit en 2013 et des projets en cours sur d'autres modèles. «Nous avons profité de l'opportunité de terrains proche de la piste pour nous installer à Graulhet avec le soutien de politiques qui ont manifesté leur intérêt pour nos activités.

En 2018, nous allons construire un hangar à proximité pour ranger et entretenir nos avions. Ensuite nous envisagerons des portes ouvertes et là le public sera convié», conclut Jérémy Caussade.


Publié le 21/09/2017 à 08:30  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Ouverture du festival «L'autre part» demain soir


Le festival de cinéma est aussi un lieu de rencontres et d'échanges. / Photo DDM

C'est demain soir à 19 h 30 que s'ouvrira le troisième festival «L'autre part» au cinéma de la ville avec au programme douze films sur le thème de la jeunesse et de nombreuses surprises. Du drame anglais, espagnol, mexicain ou burkinabé à la comédie romantique russe en passant par le film d'animation ou le documentaire, des films récents à ceux des années quatre-vingt, tous les cinémas seront représentés dans ce festival. Ils auront tous en commun de parler de la jeunesse, des jeunesses, sur des tons différents.

Réalisateur et distributeurs
Outre la grande diversité des films proposés, le festival de cinéma, qui se déroule à la rentrée au Vertigo, est aussi un lieu d'échanges. La projection du film russe «14 ans, premier amour» sera l'occasion de rencontrer Olivier Vidal, distributeur du film, et de bénéficier d'une intervention de Pascale Sanvert, passeuse de mots, qui interviendra aussi pour «Corniche Kennedy» samedi à 20 h 30 et «Ava» dimanche à 11 heures. Vincent Poupard, réalisateur de «Pas comme des loups», sera présent lors de la diffusion de son documentaire dimanche à 11 heures. Le jeune public n'est bien entendu pas oublié avec des goûters de l'association Pas à Pas proposés à l'issue des projections des films «Big foot junior» samedi à 14 heures et «Ma vie de courgette» le lendemain à la même heure.

Bien plus que des projections
Au-delà de la projection des films (au tarif unique de 4 euros) une restauration sera proposée sur place les deux soirs et le dimanche matin avec «Papilles en stock». L'ouverture vendredi à 19 h 30 sera assurée avec le groupe Talimania Exa (chant grec). Le samedi après-midi se déroulera lui aussi en musique avec le Cool Jazz Trio. Pour la clôture, dimanche en fin d'après-midi, une installation interactive, «Scopitone toi-même», sera proposée.

Bien entendu, les cinéphiles pourront trouver leur bonheur lors du festival. Mais ce dernier s'adresse aussi aux curieux, aux enfants, à tous et à chacun.


Publié le 22/09/2017 à 03:54  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Le plein de clubs d'activité pour la rentrée à la MJC


Les clubs d'activité se comptent par dizaines./ Photo DDM, J-C C

Qu'il s'agisse d'activités artistiques, de bien-être ou de loisirs sportifs, la Maison des jeunes et de la culture de Graulhet propose cette année des dizaines de clubs d'activité s'adressant aussi bien aux néophytes et aux curieux qu'aux amateurs aguerris.

Comme chaque année, la proposition de clubs s'enrichit. Certaines sont aussi de retour comme la danse africaine ou le fitness. «Il y avait un grand écart entre la gym Pilates et le circuit training où on se dépense beaucoup. Le fitness va permettre aux personnes qui n'ont pas envie d'une activité physique trop tranquille ou trop intense d'en pratiquer une», explique Farid, responsable des clubs d'activité au sein de la MJC.

D'autres activités font leur apparition cette année pour la première fois dans la structure, comme le club de couture. «On s'est rendu compte que souvent les gens avaient une machine à coudre chez eux dont il ne se servait pas beaucoup. Nathalie Vern ne va pas proposer que de réaliser des vêtements mais aussi des accessoires très tendance», souligne Farid.

Les danses orientales et tziganes font aussi leur apparition ainsi que la danse africaine et le kizomba, une danse qui avait été demandée, entre autres, par les pratiquants de la salsa. La MJC se veut en effet aussi à l'écoute des attentes des membres pour offrir de nouveau clubs d'activité. Au chapitre des nouveautés on trouve aussi un club d'éveil corporel pour les 3 à 6 ans. «On ne trouvera pas de club de gymnastique à la MJC. Notre politique, depuis le départ, c'est de ne pas créer des doublons avec les associations qui existent déjà sur la ville. Pour la guitare, par exemple, on travaille avec l'école de musique. Ici ce sont des cours collectifs, ce n'est pas la même pédagogie, et il n'y a pas des cours de solfège», explique Farid. Les amateurs de guitare pourront d'ailleurs cette année, s'ils ont déjà un peu de pratique, découvrir la guitare flamenca, toujours suite à la demande d'adhérents la saison dernière.


Publié le 23/09/2017 à 03:54  | La Dépêche du Midi |  G.D.

L' athlétisme court après les éducateurs et bénévoles


Ambiance Bolt à l'entraînement de mercredi entre Vanessa et Gerard. /  Photo DDM G.D.

En pile trente ans de carrière d'éducateur à l'école d'athlétisme du Sporting, Gérard Navalès aura connu les sommets et les contre-performances, côté stade comme côté club.

En cette rentrée, il ne peut que regretter l'abandon de la section cadets, faute d'encadrement. «Nous avions sorti le club d'une impasse il y a quelques saisons, et là nous y retombons. Peut-être aurions-nous dû insister pour l'embauche d'un éducateur salarié. Mais notre budget pouvait-il nous le permettre ?». L'ancien postier se pose la question en faisant le compte des bénévoles qui encadrent ce qui reste des autres sections. Vanessa Thémines, Claudie et Pietro Ferralis sont là régulièrement les mardis et vendredis soir, sur la piste et les aires de saut du stade Noël-Pélissou pour prendre en charge les élèves. Michel Viguier et Justine Cervasel donnent un coup de main, mais pour accueillir près de 90 enfants comme ce fut le cas la saison dernière, l'encadrement est trop juste.

Alors, l'athlétisme local n'accepte plus que les tout-petits à partir de 7 ans et les éduque jusqu'aux minimes. «Ensuite, nous proposons aux parents d'inscrire leurs enfants sur les clubs d'Albi, de Lavaur ou d'ailleurs». Une situation que va devoir prendre en mains et tâcher d'inverser la nouvelle présidente qui succédera à Véronique Garrigues, qui a annoncé sa démission. Pourtant, l'athlétisme graulhétois ne souffre pas de manque de visibilité. A l'image de Célia Perron, 4e performance nationale au pentathlon, et Emma Foulard, finaliste du 400 m seniors aux championnats de France, l'école d'athlétisme fournit régulièrement des podiums de haut niveau. Quatre jeunes formés au Sporting ont aussi brillé en championnats régionaux. «Pour nous, et pour l'instant, l'important est de maintenir le niveau de qualité d'éducation et de résultats». Jusqu'à quand ? Gérard Navalès, qui a vu passer quantité d'athlètes et de générations, aimerait voir arriver la relève. Mais en bout de piste, il y a peu de concurrents dans les starting-blocks.


Publié le 24/09/2017 à 10:47  | La Dépêche du Midi |  Recueilli par G.D.

Patrice Insa : «Pour gagner il faudrait un miracle»


Patrice Insa veut y croire. / Photo DDM

Rencontre avec le manager du FC Graulhet, Patrice Insa avant le 4e tour de la coupe de France ce dimanche à 14h30 au stade de l'Estarié.

Deux matchs de championnat, trois de Coupe et toujours invaincus. La situation était envisageable en tout début de saison ?
Quand je suis revenu à Graulhet, je connaissais assez bien l'effectif qui est de bonne qualité. Je suis aussi conscient que sur un match de Coupe de France, on est passé par un trou de souris. Il faut garder les joueurs en éveil en permanence et surtout la présence régulière aux entraînements depuis le début de saison est, je pense, la clef de nos 5 victoires. Ma plus grande satisfaction au départ, c'est l'état d'esprit de certains joueurs qui passait leur temps à jouer que les ballons offensifs. Et bien, on va dire qu'ils ont bien évoluer ils savent ce que le mot se replacer veut dire.

Évidemment, il y a aussi plein de choses à revoir. Cette équipe a une mauvaise habitude, c est de toujours jouer à fond, alors avec mon adjoint Zoubi,r on essaye de la canaliser et d'inculquer cette maîtrise émotionnelle qui nous fait encore défaut.

Balma, 4 divisions d'écart. Déséquilibré a priori ?
Balma est rentré au 3 tour sachant que l'on est au 4 tour. Si on regarde bien avec nos 4 divisions d écart, c'est un match complètement déséquilibré. Il faudrait un miracle, ce qui apparemment existe !!! Plus sérieusement Balma est une équipe habituée à évoluer en championnat de N3, avec des joueurs d'expérience , nous allons faire en sorte de répondre présent et de tenir le plus possible, faire honneur à ce maillot graulhétois et surtout comme je le disais essayer de maîtriser nos émotions. Après pour nous la priorité reste le championnat. Vivre ce beau moment de football contre une très belle équipe de Balma est déjà une très belle victoire pour mes joueurs .

Quel effectif au FCG pour ce 4e de Coupe ?
Pour ce week-end en comptant les 2 gardiens, j'ai un groupe de 18 joueurs à disposition sachant que l'on a droit à 16 noms sur la feuille de match. Je vais faire des déçus mais comme on sait, c est la vie quotidienne d'un coach.


 
 


Publié le 25/09/2017 à 08:45  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Auto sport passion : pas de record sur la course de côte


Les podiums, toutes catégories. / Photo DDM

C'était la 3ème course de Côte de La Courbe sur les hauteurs de Busque. Cela n'a pas empêché les aficionados de venir dans les zones public sécurisées admirer les prouesses des pilotes sur route rendue glissante par endroits avec de belles leçons de pilotage dans les virages serrés. Cinquante pilotes se sont inscrits dans diverses catégories de cylindrée. Ils n'ont pas battu les records de l'an dernier -établis en dessous de la minute- à cause de la bruine et de la pluie rendant difficile la visibilité. Mais certains ont bien tiré leur épingle du jeu! Ronald Garces avec sa Porsche 997 Cup a fait le meilleur temps en 1 :05.18, le deuxième Jérôme Bris sur Dallara F3 307 en 1 :05.78, et le troisième Julien Maurel sur Renault Tatuus FR2.0 en 1 :06.56.

On notera la performance du vice-président d'Auto Sport Passion, écurie organisatrice, Luc Bascugnana sur la Honda Civic de Joël Valette qui a terminé 1er de classe en 1 :19.41 et celle de David Pommarède, membre du Comité d'Organisation avec sa Peugeot 106 XSI qui fait 2ème de classe en 1 :22.85. A noter que trois féminines ont terminé. La 19ème place pour Virginie Sémat sur Renault Clio 2 Cup en 1 :16.48, la 43ème pour Marie De Païva et sa BMW M3 E36 en 1 :25.98 et la 44ème pour Christelle Rebours sur Peugeot 205 Rallye en 1 :34.26. Malgré le peu d'engagés, une belle empoignade et seulement six monoplaces qui ont abandonné. Une troisième édition, organisée de main de maître par Christian Géromin et son équipe.


Publié le 26/09/2017 à 08:58  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Le centre éducatif multisport a le vent en poupe


La réunion de rentrée s'est déroulée au stade Noël-Pélissou. / Photo DDM, J-C C.

Depuis 2011 le Centre éducatif multisport (CEM) a pour mission de développer la performance et la compétitivité de jeunes stagiaires, collégiens, dans le respect de leur objectif scolaire et voire professionnel.

«Il y a eu cette rentrée quelques modifications en raison des bilans et des analyses faites sur la saison précédente», explique Christian Delfaut, directeur de la structure. Cette année, l'effectif est de 27 stagiaires dont 7 nouveaux parmi lesquels trois dans le domaine de l'athlétisme. «Cela a permis de recruter des préparateurs physiques spécialistes de l'athlétisme», confie Christian Delfaut. Quatre nouveaux services civiques masteurs de l'optimisation de la performance ont aussi intégré la structure et le volet concernant la préparation mentale a augmenté. «L'objectif, c'est la santé du gamin. Il ne faut pas qu'il y ait de contre-indication médicale et aussi un bon dossier scolaire. L'idée n'est pas de faire du sport au lieu de travailler à l'école», rappelle Christian Delfaut.

La collaboration avec le collège Louis-Pasteur a permis un entraînement sur trois jours par semaine à partir de 16 heures contre 17 h 30 l'an dernier. Un accompagnement scolaire est aussi proposé le lundi si besoin. Cette année il y aura quatre séances d'atelier nutritionnel avec un pharmacien pour un suivi adapté à chaque discipline.

Les retours positifs avec de nombreux jeunes ayant intégré des structures de hauts niveaux. Le passage par le CEM leur a permis d'être prêts pour ce cap difficile. La structure est parrainée cette année par l'heptathlonienne Célia Perron et Céline Martin, volleyeuse internationale.


Publié le 27/09/2017 à 08:15  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Festival de chevaux de trait à la Bousquétarié


Des présentations de juments suitées qui valent le coup d'œil. / Photo DDM

Quinze jours après la fête du cheval, le site de la Bousquétarié va accueillir, ces samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre, un festival concours inédit de chevaux de trait. «Nous avons trouvé ici l'endroit idéal pour organiser cette manifestation, dont nous avons déjà eu la charge en 2011 à Cap'Découverte», assure Jacques Saysset, éleveur de race ardennoise à Lagrave et président du Syndicat Hippique des Chevaux de Trait du Tarn, qui depuis 1947 assure la promotion des quatre races principalement représentées dans la région, l'Ardennais, le Breton, le Contois et le Percheron et qui rassemble 90 éleveurs-adhérents. 

Le rassemblement graulhétois verra la participation d'une centaine de chevaux, juments et juments suitées venus de toute la région Occitanie, 3e région productrice de chevaux de trait avec 20 % de la production française. Les deux jours seront donc consacrés aux diverses présentations techniques et jugements. «Le plus intéressant pour le public devrait être le parcours d'éducation du dimanche matin, jugeant les chevaux sur des interventions soudaines, des obstacles à franchir ou à contourner, des attitudes face au bruit et autres, permettant d'envisager un avenir en attelage par exemple». Ces concours modèles et allures, d'éducation, loisir monté et juniors permettront aux meilleurs de se qualifier pour les finales nationales du Salon de l'agriculture, via les Interrégionaux de Cournon-d'Auvergne.

La Bousquétarié sera donc entièrement réservée aux amateurs, aux éleveurs et au public d'une manifestation inédite sur Graulhet. Divers stands feront la promotion du cheval de trait et de ses capacités à venir en aide à une certaine agriculture et en conséquence d'une certaine philosophie. Des promenades en calèche seront proposées. La restauration sur place sera assurée durant les deux jours et il reste des places pour le repas des éleveurs salle de Briatexte.


Publié le 28/09/2017 à 08:27  | La Dépêche du Midi |

Robin Gardeur champion du monde des longbow men


Robin, entouré de ses coéquipiers de l'équipe de France./ Photo DDM

Il a réussi ! Robin Gardeur, à tout juste 24 ans, est devenu champion du monde longbow (arc long), après plusieurs jours de tir dans les bois du Vaucluse et à l'issue d'une finale haletante sur le parvis du petit Palais des Papes à Avignon. Ses supporters étaient nombreux à l'encourager : membres de l'équipe de France, adversaires malheureux qu'il avait éliminés lors des qualifications, jeunes enfants qui avaient déjà fait du Graulhétois leur idole, mais aussi des Tarnais ayant fait le déplacement ! On notait aussi parmi eux la présence de Ghilaine Mialhe-Pradelles, plusieurs fois championne de France en tir nature dans le passé, de Gisèle Labatut-Curci, elle aussi ancienne championne de France mais dans la catégorie arc nu, et de Sylvie Delpech, championne Handisport en salle et en extérieur.

Une victoire historique
Un tir de finale, ce sont quatre flèches tirées chacune sur une cible différente et à une distance différente… Autant dire que la tension est grande, d'autant qu'une flèche ratée n'est pas rattrapable et qu'une flèche mal tirée met l'archer en grande difficulté. Robin Gardeur s'est montré impérial de bout en bout, marquant un total de trente-deux points, laissant derrière lui les vingt-huit points de son adversaire, le Russe Mikhail Poddevaline qui lui avait concédé un point ici, deux points là.

Cette victoire est aussi la première médaille d'or gagnée par la France dans cette discipline, mais cela n'allait pas s'arrêter là. Car deux autres archers allaient faire retentir la «Marseillaise» après le Graulhétois, cette fois en arc à poulies : Aude Ama et Joan Pauner. L'équipe de France hommes, composée de Robin, Joan et David Jackson, de L'Union, perdante de la petite finale, s'est classée quatrième et a remporté la médaille bronze avec 118 points.
Graulhet, les Archers du Dadou, club créé en mai 1981 labellisé argent par la FFTA pour la période 2017-2018, reçoit, sur la base de Nabeillou, les archers débutants, loisirs, compétiteurs, en salle, en extérieur ou sur parcours.


Publié le 29/09/2017 à 08:22   | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

L'AGSA s'inquiète de la disparition de chats


Les membres de l'association cherchent les chats disparus./ Photo DDM, J-C C

«Nous sommes conscients que parfois des chats peuvent disparaître, c'est normal, mais dans de telles proportions, il y a quelque chose qui ne va pas». Une poignée de Graulhétois s'est retrouvée avec l'AGSA (l'association graulhétoise de sauvegarde animale) pour faire ce constat.

Lorsque des chats errants sont capturés en ville, ils passent plusieurs jours à l'association des Temps orageux, située à Briatexte, avec laquelle la municipalité a passé une convention. Aussi le tatouage ou le «puçage» sont la première des préventions pour permettre l'identification de leur maître si leur animal s'égare.

Les propriétaires qui se regroupent aujourd'hui ont en commun de s'être occupé de leurs chats, auxquels ils étaient attachés, et pour lesquels d'importantes sommes sont parfois engagées. «Dali a disparu le 9 janvier, il était pucé. Le 21 avril nous avons perdu une seconde chatte blanche qui était elle aussi pucée et nous n'avons aucune nouvelle», peste une propriétaire qui souligne : «J'ai appelé à la mairie pour qu'il y ait une enquête. On voit aussi dans les commerces d'autres photographies de chats noirs et blancs qui disparaissent. Si ceux qui ont en charge le ramassage des chats sont équipés d'une machine, où sont passés les chats ?», déclare une autre propriétaire très en colère.

Du côté de l'association des Temps orageux on explique qu'il y a trois cas de figure lorsqu'un animal est prélevé. Si le propriétaire peut être retrouvé, l'animal lui est remis. S'il n'est pas pucé ou tatoué il est signalé sur le site petalert. S'il a un comportement sociable il est remis au refuge de la SPA situé au Garric en vue d'être adopté. Si son comportement n'est pas compatible avec l'adoption, il est stérélisé, tatoué au nom de la commune avant d'être remis à proximité du lieu où il a été prélevé. Cependant cette procédure ne permet pas de diminuer le nombre de chat qui «disparaissent» ni même d'apporterune réponse aux questions des propriétaires quant au devenir de leur animal.


Publié le 29/09/2017 à 09:26  | La Dépêche du Midi |

Le FCG éliminé


Adversaires et arbitres réunis avant la rencontre. / Photo DDM

Au quatrième tour de la Coupe de France, une valeureuse équipe du FC Graulhet s‘est inclinée dimanche aux tirs au but en fin de match arrivé à terme sur un score nul de 0 à 0 face à Balma, évoluant quatre divisions au-dessus. «Jusqu'à cette fatale épreuve, certains observateurs avertis n'ont pas vu les quatre niveaux qui séparaient les deux onze», assure le manager Michel Cuxac. «Nous allons maintenant nous consacrer au championnat avec notamment la réception de Millau le week-end prochain au stade de l'Estarié à 15h, venez nombreux !», lance-t-il à l'adresse des supporters venus en nombre dimanche dernier.


Publié le 30/09/2017 à 11:26  | La Dépêche du Midi |  G.D.

500 visiteurs aux portes ouvertes de l'Aéro-Club


Discussion en bout d'aile sur fond de camp américain parfaitement reconstitué./ DDM G.D.

Tout au long du week-end dernier, richement ensoleillé, plus de 500 visiteurs se sont succédé le long des pistes de l'aérodrome, qui pour monter dans un avion, qui pour se renseigner sur l'école de pilotage et le Brevet d'Initiation Aéronautique dispensé dans les locaux de l'ACG, qui pour faire un tour d'hélicoptère, qui enfin pour découvrir une activité aéronautique que soutiennent les collectivités locales. En point d'orgue de la journée de dimanche, la troupe de danse des Ultra's Chicas a présenté sa nouvelle chorégraphie des années «40'-50' pin-up», au milieu d'une assistance enthousiaste et charmée. Le Piper J3 de 1942 aux couleurs américaines, stationné près du camp, rappelant le survol des plages de Normandie qu'il effectua lors du débarquement du 6 juin 1944. 

«La reconstitution d'un camp américain était criante de vérité historique, le souci du détail se devine en découvrant des bouteilles de soda de l'époque, transporté sur une bicyclette d'époque, enfourché par un militaire US du plus bel effet. Les mélodies d'In The Mood, de Chatanooga Choo Choo ou de Moonlight Serenade ont fait revivre Glenn Miller et ont replongé les visiteurs dans cette ambiance insouciante d'une période agitée, celle de la Seconde? Guerre mondiale», assure le secrétaire de l'aéro-club Jean-Christophe Bernard, très sollicité durant ces deux jours, et qui a dû répondre à de nombreuses questions sur le pilotage et les accès aux diplômes. Et toujours le ballet de l'hélicoptère, des planeurs et des vols découverte de l'aéro-club. 

Lors de cette journée, l'Armée de l'air apporta son concours en offrant six baptêmes de l'air à de futurs jeunes pilotes. Ces deux journées, marquées par de nouveaux événements, ont été une réussite totale grâce à tous les acteurs de l'activité aéronautique de Graulhet, ce qui encourage l'aéro-club à envisager de nouvelles actions conduites sur la commune autour du Centenaire de la création de la Ligne de l'Aéropostale, permettant au Piper Archer PA 28 de l'Aéro-Club de Graulhet de s'envoler vers Dakar en septembre 2018, en suivant le parcours emprunté par d'illustres pilotes qu'étaient Mermoz, Guillaumet, Saint-Exupéry ou Vedel. «Rappelons pour conclure que cet avion, absent du plateau lors des journées portes ouvertes, effectue actuellement le Raid Latécoère version 2017. Il était à Dakar dimanche et remonte les côtes marocaines puis espagnoles pour retrouver son ciel tarnais samedi prochain», tient à préciser Jean-Christophe Bernard.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr

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