Du Bruc à Ricardens : actualités janvier 2016 -1-

3/5/2016

Graulhet : Du Bruc à Ricardens

Actualités janvier 2016




Publié le 31/12/2015 à 08:14  | La Dépêche du Midi |

Restauration des panneaux d'exposition


L'un des panneaux d'exposition / Photo DDM

Dans l'inventaire des collections qu'elle détient, la Maison des métiers du cuir présente deux panneaux d'exposition de cuir classés Monuments historiques qui ont parcouru le monde lors des expositions universelles de la fin du XIXe et du début XXe siècle. Aujourd'hui en mauvais état de conservation, le conseil municipal a décidé lors de sa dernière réunion en séance publique que leur restauration était nécessaire «afin de permettre à ces témoins majeurs de l'histoire industrielle de notre ville de porter le flambeau d'un savoir-faire unique dans la région». La commune, qui en est propriétaire, souhaite procéder à leur restauration durant l'année 2016. Après consultation et accord de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) ainsi que des Archives départementales du Tarn, c'est la proposition de Céline Bonnot-Diconne, du Centre de conservation et de restauration du cuir, qui a été retenue. Les élus ont validé le plan de financement qui comprend une subvention de la DRAC de 40 %, une subvention du conseil régional de 30 % et un autofinancement de la ville de 30 %, soit 1988,85 euros.


Publié le 02/01/2016 à 07:48  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Gilles Sanders : un champion cycliste quitte la commune


Anne et Gilles Sanders devant l'enseigne de leur boutique de cycles qui fermera dans quelques jours. / Photo DDM

Impossible de ne pas voir les affiches «liquidation» sur la vitrine de Sanders Bikes depuis trois semaines. Gilles Sanders, champion cyliste, plusieurs Tours à son passif, quitte Graulhet pour s'installer du côté de Murcia avec en prime un emploi de responsable de la marque Ekoï équipements vélo, sur l'Espagne. «C'est une occasion que je saisis. La proposition m'a été formulée sur l'étape du Tour en juillet». Le seul coureur français à avoir participé à des championnats du monde dans trois disciplines différentes, sur route, en VTT et en cyclo-cross, ferme donc la boutique qu'il avait ouverte il y a plus de quatre ans et inauguré en 2012, entouré d'ex-professionnels et sportifs de haut niveau. Un choix qu'il assume en amont comme en aval. 

«J'avais fait réaliser une étude de marché, et elle avait été intéressante. Mon ami Richard Malié avec les modules de maisons transportables, m'avait aidé à concrétiser quelque chose de difficilement réalisable sur Toulouse. Je fais un bilan positif de ces quatre années après avoir tissé des liens très forts. Les conditions de vie sont excellentes ici» assure aussi l'ex directeur de l'usine de cycles Sunn. «Il faut dire que Graulhet ne me parait pas à sa place au niveau économique. La ville ne profite pas de sa situation géographique centrale dans le département, elle n'a pas su saisir certaines opportunités et ne sait pas attirer le monde. Il y a pourtant des choses à faire ici, ne serait-ce que pas les prix attractifs des terrains et de l'immobilier». 

Pourtant Gilles Sanders avoue adorer le Tarn ou il a passé une partie de sa jeunesse et ou son épouse Anne a sa famille. Il prend le parti de «la page qui se tourne». «Ce n'est pas une faillite, c'est un choix de départ avec une intention de rebondir, de faire mieux dans un milieu que j'ai toujours pratiqué». Après liquidation, le local en bord de rocade sera loué et une brasserie restaurant devrait ouvrir à la mi-avril.


Publié le 04/01/2016 à 07:56  | La Dépêche du Midi |

Tout savoir de la médiathèque


Tomase Venzal, responsable du secteur enfance, et Karine de Fenoyl, responsable de la médiathèque./Photo archives DDM.

Avec sa médiathèque bâtie dans une ancienne mégisserie, la ville de Graulhet dispose d'un outil culturel remarquable. La médiathèque Marguerite-Yourcenar, maillon des médiathèques de Tarn & Dadou, offre une multitude de services, gratuits pour la plupart.

Mais comment fait-on pour s'inscrire (ou se réinscrire) à la médiathèque ? Comment sont rangés les livres ? Comment fonctionne le catalogue en ligne ? Et pour réserver un livre depuis chez soi, c'est facile ? Toutes ces questions, vous vous les êtes peut-être déjà posées, que vous soyez ou pas encore adhérent. Afin de faire mieux connaître la structure aux lecteurs et aux non-lecteurs, les bibliothécaires de la médiathèque proposent désormais une démonstration de l'ensemble des services proposés pour en finir avec toutes ces interrogations.

Pour en bénéficier, il suffit de téléphoner à la médiathèque, au 05 63 33 25 25, et de prendre rendez-vous. Vous serez alors reçu par un bibliothécaire qui, démonstration à l'appui, vous expliquera tout ce que vous devez savoir pour bien utiliser votre médiathèque.

Il est aussi possible de visiter la médiathèque et de découvrir son fonctionnement et ainsi d'entrer dans les coulisses parfois insoupçonnées de la médiathèque.


Publié le 05/01/2016 à 08:03  | La Dépêche du Midi |

Le cinéma en pleine forme


Le Vertigo a eéussi son pari avec près de 36 000 entrées en 2015./ Photo DDM, J-C C.

En octobre 2013, le cinéma de la ville ouvrait ses portes dans la plaine de Millet. Face à la médiathèque, il est une des composantes de ce pôle culturel situé sur la rive sud de la passerelle. Avec près de 36.000 places vendues cette année — comme l'an passé mais avec cette fois un contexte national bien plus morose — le Vertigo a bel et bien réussi son pari.

Le complexe qui propose deux salles de projection n'est pas, contrairement à la majorité des salles qui ouvrent aujourd'hui, en périphérie de la ville. La structure a vu le jour grâce à un contrat de régie intéressée, signé en avril 2012.

La communauté de communes Tarn et Dadou, propriétaire du bâtiment, a délégué la gestion et l'exploitation du cinéma Vertigo à la Sarl Cinémas 21. La ville vient de poursuivre avec le cinéma la mise en œuvre d'actions déjà existantes. Il s'agit des séances de cinéma intégrées au Pass Culture qui s'adressent à des catégories de public ciblées.

La convention tripartite définit également les règles de partenariat, de collaboration et de concertation pour les actions à mettre en œuvre dans le cadre de la programmation de la saison culturelle ainsi que la politique tarifaire, la facturation et le règlement ou l'entretien des locaux.

«Nous proposons de plus en films en sorties nationales, comme «Star wars» ou «Snoopy» et trois à quatre séances par jour. Les bons chiffres s'expliquent aussi par la politique tarifaire avec des séances le matin à un tarif unique de 4 euros, explique Jackye Néri, exploitante de la salle. Car si l'outil est beau, avec une très bonne acoustique et des équipements neufs, ce qui fait la différence, c'est avant tout l'accueil qui est réservé aux spectateurs par l'équipe qui se compose de deux projectionnistes, de l'exploitante et d'un autre salarié en renfort pour les moments forts.

«Avec Star Wars en même temps que la séance spéciale Ciné Môme, nous avons dû gérer plus de 200 entrées à 15 heures», souligne Jackye Néri. Ce temple du cinéma est aussi ouvert vers l'extérieur avec l'accueil de manifestations comme un petit marché de Noël ou des expositions en ses murs. Une ouverture qui elle aussi peut expliquer le succès du cinéma de la ville.


Publié le 07/01/2016 à 08:06  | La Dépêche du Midi |  J-C C.

L'aide familiale populaire en ses murs


L'équipe de l'association d'aide familiale populaire / Photo DDM

Cela faisait longtemps que les bénévoles et les salariées de l'AAFP (l'Association d'aide familiale populaire) Graulhet attendaient de pouvoir bénéficier de locaux adaptés et fonctionnels. Grâce à la collaboration de la mairie, elle a pu déménager fin novembre dans l'ancienne maison du peuple devenue crèche. Leurs attentes aujourd'hui comblées, de nouveaux projets peuvent se profiler à l'horizon.

Le nouveau local permet désormais d'accueillir l'ensemble des personnes qui font appel à ses services. L'AAFP répond aux besoins d'aide à domicile — aide ménagère et accompagnement de la personne — des habitants de la ville et de ses environs. «Nous avons reçu de la part des élus de la ville une écoute particulièrement attentive à nos besoins et le personnel municipal qui a effectué les travaux rapidement a aussi été à notre écoute. Ce partenariat avec la ville est fondamental pour nous, c'est aussi une reconnaissance de notre action au service des habitants», se félicite Marion Duclot, présidente de l'association. 

Ses locaux sont désormais à l'image de l'action menée avec un accueil des usagers au cœur du dispositif. «Nous bénéficions d'un pôle usagers à l'accueil, d'un pôle pour les intervenantes à domicile qui leur permet de se retrouver se restaurer ou s'informer et d'un espace d'échanges et de convivialité dédié aux usagers», explique Evelyne Lefebvre, directrice de l'établissement. Le temps semble déjà loin où l'accueil était réalisé dans un couloir dans l'ancien local qui n'offrait pas de possibilité pour les usagers d'évoquer en toute discrétion leur situation.

Ce déménagement insuffle une nouvelle dynamique et de nouveaux projets. «Il y a un lieu d'échange qu'il nous reste à aménager avec du petit mobilier. Ce sera un lieu ouvert, sans rendez-vous, où il sera possible de prendre un café, de lire le journal, de se rencontrer, mais aussi d'organiser des animations», confie Evelyne Lefebvre. «Il nous faut trouver des moyens mais aussi de nouveaux bénévoles. Pour l'heure nous sommes six, c'est bien dans la configuration actuelle, mais pas si nous voulons créer de nouveaux services…», livre Marion Duclot à l'heure des bonnes résolutions.


Publié le 09/01/2016 à 07:17  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Jacques et Florent Schiavon équipent les mégisseries du monde entier


Jacques aux commandes, Florent à l'écoute, sur le chargeur fabrication spéciale pour évoluer dans les box à chevaux. Le seul sur le marché à ce jour /DDM.G.D.

«Je pense que nous avons nos machines présentes dans la plupart des pays de la planète». Le constat vient naturellement, sans fanfaronnerie, dans les propos de Jacques Schiavon, fort de trente ans de constructions de machines-outils électromécaniques qui équipent des mégisseries et tanneries en Afrique, en Asie, en Amérique, en Océanie, partout où la peau est travaillée. Un savoir-faire rodé dans l'industrie locale depuis 30 ans et désormais reconnu jusque dans le secteur de la tannerie exotique, nouveau créneau de la profession. Ces derniers mois, la société a pensé, étudié, conçu, fabriqué, va livrer et installer 27 machines pour une tannerie de Malaisie spécialisée dans le traitement des peaux de crocodile. Ce week-end, père et fils vont livrer à Genève une machine pour la fabrication de bracelets de montre en cuir, chez Richemont, filiale Cartier.

«Je voyage en avion dix fois par an. Et en voiture dans toute l'Europe. Nous travaillons à 60 % avec l'étranger. Notre carnet de commandes est plein pour 2016», se félicite cet ancien de la Socop qui a passé en octobre dernier le relais à son fils. «Créer des machines nouvelles, c'est passionnant. En s'adaptant à chaque fois sur la tension électrique différente pour chaque continent», avoue ce titulaire d'un bac pro électricité. «Nous travaillons dans la précision, mais ce n'est pas de l'horlogerie !». Le téléphone sonne des quatre coins de la planète. «Nos plus gros concurrents sont les Italiens, mais eux ne sont pas performants dans le service après-vente», assure un brin satisfait Jacques Schiavon qui veille aussi sur les dizaines de clients français de la Sarl. Et Graulhétois aussi. «Nous avons ainsi conçu et monté une pimenteuse de 27 mètres pour la mégisserie Cathala. À 1 km de nos ateliers !».


Publié le 09/01/2016 à 03:50  | La Dépêche du Midi |

Les classes de neige sur les pistes


Premières sensations sur les skis en début de semaine. / Photo DDM

Le premier séjour des classes de neige de Graulhet a débuté mardi 5 janvier avec les CM1 des écoles de l'Albertarié et En Gach. Dès mercredi matin la neige est arrivée pour recouvrir les pistes de Piau Engaly et les élèves ont pu profiter d'une première journée en haute montagne sur la station. Douze heures de ski et 4 montées en station sont prévues pour apprendre à descendre pistes vertes et bleues pour les plus dégourdis, se familiariser avec les planches pour les autres. Tous les élèves ont déjà pris le petit télésiège du bas et le moral avec les récentes chutes de neige, est au beau fixe.

Plusieurs visites pédagogiques sont aussi au programme : la maison du parc, l'aquascope, le musée de la mine, un grand jeu dans le village de Vielle Aure. Un programme chargé pour élèves qui reprendront la route de Graulhet mercredi prochain la tête remplie de souvenirs souvent pour la première fois loin de leur famille. Le deuxième séjour débutera mercredi prochain avec les écoles de Crins et de Victor Hugo. «Un grand merci à la mairie de Graulhet au service des affaires scolaires à la JPA aux Pep et à la caisse des écoles sans qui rien ne serait possible» tiennent à souligner les professeurs et accompagnateurs.


Publié le 10/01/2016 à 08:22  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Le tennis club Graulhetois à la pointe de la technologie


Valen Cuzel entouré de deux de ses partenaires. / Photo DDM

En partenariat avec le magasin Sport 2000 de Graulhet le tennis club vient de s'équiper de matériel dernier cri qui à pour capacité de connecter sa raquette à son smart phone ou sa tablette. Cette fonction permettant de vérifier le type de coups ,la vitesse de la balle ,la vitesse du geste,la rotation de la balle,le point d'impact, l'étude de son jeu en direct grâce aux données et aux vidéos sur son smart phone.»Il ne fait aucun doute que les licenciés du club, jeunes ou seniors férus de compétitions sauront apprécier» envisage le président Bernard Puech. A l'Ecole de tennis, le bilan du premier trimestre 2015 /2016 est très satisfaisant. «Très peu de «turn-over» cette année ,beaucoup d'enthousiasme chez nos jeunes, 25heures de cours sont toutefois nécessaire pour l'initiation ou le perfectionnement de nos jeunes pousses» se félicite Bernard Puech. 

L'école de tennis va également s'exporter, un partenariat étant a l'étude avec une école de tennis du Lot :les premier échanges devraient commencer aux beaux jours et ce sur tout un week-end !au programme, animation, compétition, et rencontre amicale entre parents. Un joueur de l'école de tennis s'est particulièrement mis en évidence en ce début de saison. Il s'agit de Valen Cuzel qui a perfé (comme l'on dit dans le jargon tennistique )plusieurs fois a 15/3 et 15/4 en compétition jeune et adulte confondues En ce début d'année quatre équipes vétérans et deux équipes seniors ont à nouveau participé au championnat des Pyrénnées et au challenge Cathare avec des fortunes diverses. Les plus performants restant les plus de 35 ans qui ont terminés premier ex-aéco de leur poule. A noter que les championnats du Tarn 45 ans et 50 ans ont lieu sur les terrains et installations du stade Noël Pélissou pour la treizième année consécutive.


Publié le 12/01/2016 à 03:50  | La Dépêche du Midi |

La Ola au sommet de la vague


Retrouvailles de début d'année pour la OLA au Forum / Photo DDM

L'an dernier, l'association avait terminé la saison avec 602 adhérents. Cette année, la Ola compte déjà 640 adhérents en décembre. La moitié d'entre eux ont pris part au repas de l'association qui s'est déroulé comme chaque année au Forum de la ville.

Cette année, c'est l'orchestre Domingo qui a animé l'après-midi durant lequel se sont succédé discours, repas, musiques, chants de la chorale et bien entendu quelques pas de danses. Ce traditionnel rendez-vous du début de l'année civile de la Ola (pour Organisation-loisirs-animation) est toujours l'occasion de faire un état des lieux de l'association en pleine croissance depuis sa création il y a maintenant six ans.

La structure semble avoir aujourd'hui atteint sa pleine maturité. «Nous proposons une vingtaine d'activités et d'ateliers. Pour celles qui se déroulent en plein air il n'y a pas de souci, mais pour les ateliers nous occupons les locaux qui sont mis à disposition par la mairie à plein-temps», souligne André Jammes.

Il préside l'association depuis sa création et est épaulé dans cette tâche par douze autres membre qui forment le conseil d'administration résolument dynamique.
Un détail ne trompe pas quant à l'engouement que suscite la Ola. Sa chorale est une des rares à ne pas chercher des hommes dans ses rangs. «La plupart des ateliers tournent à plein régime. Beaucoup sont au «taquet». Aussi il ne serait sans doute pas judicieux de continuer à nous développer», explique André Jammes. Qu'on se rassure, il reste encore quelques places dans certains.

Au-delà de ses activités très variées, l'association propose aussi l'organisation de moments, animations et sorties. Les prochaines auront lieu le 15 janvier à Toulouse «Sur les pas de Nougaro «, le 30 janvier avec un dîner-spectacle au Casino Barrière, le 5 février avec une conférence sur la succession et le patrimoine avec un notaire.
De la culture à la bonne chère en passant par les informations pratiques, le champ d'action de la Ola est aussi riche et varié que les adhérents qui aiment à se retrouver au cœur de l'association.


Publié le 13/01/2016 à 03:54  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Vincent Moscato a fait le plein au Forum


Presque tout le comité des fêtes de la Trucarié autour de Vincent Moscato et Pascal Escriout.  /Photo C.F.

C'est ce qu'on appelle une soirée réussie, et c'est la récompense pour neuf mois de travail en amont pour promouvoir le spectacle de Vincent Moscato au Forum samedi soir. Le comité des fêtes de la Trucarié envisageait un succès, mais là, il a été dépassé bien au-delà de ses espérances. La salle complète, l'association a dû refuser des dizaines de sollicitations de précieux billets.

La première partie a été une découverte et chacun s'est accordé à dire que Pascal Escriout pouvait être, par sa faculté à déclencher les rires, sa gestuelle et sa faconde, un des grands humoristes de demain. Le plus Graulhétois des New-Yorkais a proposé une «mise en bouche» fleurie de clins d'œil à sa ville d'origine dans un spectacle écrit spécialement pour l'occasion.

On ne présente plus Vincent Moscato qui a reçu une ovation à l'entrée sur scène et un rappel debout au final. Entre les deux, du «grand Moscato» en grande forme. Une revue de l'actualité parfois en finesse, souvent dans un vocabulaire choisi, fleuri, comme l'ancien Gaillaco-Graulhétois sait si bien le faire. Nombreux étaient les Gaillacois venus spécialement constater que la star avait pris de l'amplitude, plus nombreux encore étaient les Graulhétois, anciens joueurs, anciens dirigeants, anciens supporters ou simples amateurs de belles chutes, venus assister à la première de la Moscate sur les planches du Forum. Et là aussi, quelques incartades hors texte pour retrouver les personnages que Vincent a côtoyé et ce rugby de clocher d'avant la fadeur du professionnalisme. Ensuite, 750 personnes ont partagé la collation animée par Heidi et son orchestre. L'occasion de rencontrer les deux stars de la soirée, avec avantage à la seconde pour sa disponibilité pour les centaines de sollicitations à poser avec elle. Ensuite, des éloges pour l'association et l'organisation autant dans le timing que dans l'originalité, qui s'est avérée parfaite.


Publié le 14/01/2016 à 07:39  | La Dépêche du Midi |

La chaufferie bois à nouveau labellisée


La chaufferie de Graulhet au moment du chargement en combustible bois énergie. / Photo DDM

Pour la troisième année consécutive, le réseau de chaleur de Graulhet vient d'être labellisé «éco-réseau de chaleur». Celui d'Alban venant d'obtenir le même label, il s‘agit là d'une double satisfaction pour Trifyl. Cela signifie en effet que les deux équipements répondent à des critères très exigeants en matière environnementale, économique et sociale.

L'obtention de ce précieux label est soumise à une obligation précise : il faut que la chaleur distribuée soit issue pour plus de 50 % d'énergies renouvelables. Le réseau mis en place par Trifyl à Graulhet va bien au-delà de cette exigence, puisque 92 % de la chaleur est produite à partir d'une d'énergie renouvelable : le bois énergie. Concernant Alban, le taux d'énergie renouvelable utilisée s'élève à 94 %. Les deux chaufferies sont alimentées en combustible biomasse issu des déchetteries de Trifyl ou du massif forestier tarnais.

Le réseau de chaleur doit aussi «coûter» moins cher aux usagers raccordés. Ainsi la facture globale de chauffage pour l'usager est systématiquement inférieure à la «solution de référence» du territoire, c'est-à-dire le gaz-condensation pour Graulhet.

Concernant les exigences sociales un éco-réseau de chaleur doit rendre compte de son activité auprès des abonnés et des usagers du service public, à travers un lieu de concertation. Il s'agit ici d'un conseil d'exploitation trimestriel. Promue notamment par la loi de Transition Énergétique, cette filière reste souvent méconnue du grand public et souffre souvent d'un déficit d'image. C'est pour y remédier que «Amorce» a créé en 2013 ce label récompensant les réseaux de chaleur exemplaires. Trifyl, persuadé des atouts de cette filière, se met à la disposition des collectivités de son territoire ayant un projet de réseau de chaleur : études, financement, implantation, exploitation, tout est pris en charge. Il s'agit d'un service «clé en main» qui vise à encourager l'utilisation du bois énergie, mode de chauffage qui s'inscrit pleinement dans l'esprit du développement durable.


Publié le 15/01/2016 à 08:39  | La Dépêche du Midi |

Un parking à la Jonquière


/ Photo DDM

La plaine des sports de la Jonquière comprend quatre terrains de rugby à 15 (dont 2 éclairés), quatre terrains de football à 11 (dont 1 éclairé), deux terrains de football à 9, huit terrains de football à 7 et quatre terrains de football à 5 ainsi que divers terrains modulables pour le football à 7 et à 9, en fonction de la demande. Le site sportif accueille aussi le siège du district de football du Tarn. Aussi il avait été demandé un accès pour faire un parking sur La Jonquière afin de bénéficier d'un meilleur accueil, notamment à l'occasion des grands tournois, après la ferme en direction du Moulin Neuf. L'équipe des travaux publics de la ville a busé le fossé pour réaliser une entrée sur le terrain puis a creusé un fossé en bordure afin d'éviter que des véhicules ne puissent accéder aux terrains et autres parties du site.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

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