"Le sang de la vigne" dans le vignoble de Cahors

17/1/2015

 "Le sang de la vigne" dans le vignoble de Cahors 

«Chaos dans le vin noir» ce samedi 17 janvier 
à 20 h 45 sur France 3


Publié le 14/01/2015 à 08:12  | La Dépêche du Midi | 

Cahors : «Chaos dans le vin noir» samedi sur France 3


Pierre Arditi lors du dernier tournage, l'été dernier à Cahors./DDM, archives.

Un bon petit cahors et un téléfilm sur le vin noir. Si vous ne savez que faire, samedi soir, voilà une idée qui pourrait être intéressante. France 3 diffuse, samedi 17 janvier à 20 h 45, «Chaos dans le vin noir», titre du téléfilm tourné dans le vignoble de Cahors et tiré du polar «Le Sang de la Vigne», créé par l'auteur lotois Jean-Pierre Alaux.

Ce samedi, à 20 h 45, sur France 3, le vignoble de Cahors sera à l'honneur avec l'adaptation d'«On achève bien les tonneaux», titre du polar «Le Sang de la Vigne» se déroulant dans le vignoble de Cahors. Pierre Arditi se partage la distribution avec Didier Bezace, Atmen Kelif, Catherine Demaiffre et Marcel Amont. Tourné l'été dernier au cœur de l'appellation cadurcienne, le film sera présenté ce vendredi, à 19 heures, en avant-première au cinéma l'ABC de Cahors en présence du réalisateur Marc Rivière, de Jean-Pierre Alaux et d'une partie de l'équipe du film.

À noter : samedi dernier, l'audience de cette série télévisée a été de 3 131 000 téléspectateurs, réalisant ainsi la seconde audience (derrière The Voice) ; cet épisode se déroulait dans les Corbières.
Le cru 2015 du «Sang de la Vigne» s'annonce prometteur : au regard du succès de la série, France 3 vient de commander quatre nouveaux films qui seront tournés lors de l'été 2015 !

Rappelons que «Le Sang de la Vigne» est une série télévisée française policière produite depuis 2011. Une adaptation des livres dans la collection éponyme, tous publiés chez Fayard. Dans chaque région, les lieux de tournage ont été choisis pour leur côté remarquable, mettant en lumière les plus beaux lieux viticoles.
Parmi les décors sélectionnés pour ce tournage : Château Lagrezette et Château du Cayrou et le Cahors Malbec Lounge. À déguster.


Publié le 11/09/2014 à 08:21  | La Dépêche du Midi | 

Pierre Arditi a fait un tour à Lagrézette


Alain Dominique Perrin et Pierre Arditi : une amitié ancienne. / Photo DDM

Le Château Lagrézette était sous les projecteurs… et la circulation à Caillac fut légèrement perturbée la semaine dernière.
Il faut dire que, pendant une dizaine de jours, la propriété de Alain- Dominique Perrin servait de décor au tournage d'un nouvel épisode de la série télévisée «Le Sang de la Vigne», dont l'acteur principal n'est autre que son ami de toujours Pierre Arditi.

Intrigues policières, enquêtes goûteuses et corsées… les prochaines aventures du brillant œnologue et détective au flair aiguisé seront donc l'occasion de mettre en lumière sur les écrans cette belle région du Lot, dès le début de l'année 2015.

Dégustations aussi…
Le Château Lagrézette, mais aussi son chai impressionnant, son parc et ses vignes étaient investis par le réalisateur Marc Rivière et toute son équipe, en particulier les acteurs Julia Molkhou et Didier Bezace qui, aux côtés de Pierre Arditi, ont retrouvé Alain-Dominique Perrin pour quelques moments privilégiés, consacrés à goûter les spécialités locales et les fameux nectars de la propriété récemment plébiscités par Robert Parker !

Un joli moment après les scènes. Si l'on ajoute à cette sympathique ambiance, une météo particulièrement favorable et le dynamisme des Lotois, tous les ingrédients étaient réunis pour faire de ce tournage, un futur succès télévisuel. Rendez-vous au début de l'année 2015 sur les antennes pour découvrir le résultat de cet épisode, tourné autour de Cahors cet été.


Publié le 29/08/2014 à 08:18  | La Dépêche du Midi |   J.-M. L.S.

Le «Sang de la vigne» : un mois de tournage à Cahors et dans le Lot

Pierre Arditi entre deux prises, au collège Gambetta, à Cahors, transformé en commissariat./Photo DDM

Pierre Arditi tourne le 15e épisode du «Sang de la vigne» dans le Lot, sous la direction de Marc Rivière. Dans «On achève bien les tonneaux», il est à nouveau Benjamin Lebel, œnologue caustique enquêtant sur des morts violentes.

Un accessoiriste se balade avec un panneau Police sous le bras. Trois gardiennes de la paix sont allongées, prenant le soleil avant de tourner une scène. Des techniciens traversent la cour du collège Gambetta, au centre de Cahors. Ils sont tous très affairés, agissant en silence alors que les prises se succèdent à un rythme soutenu. L'ancien collège des jésuites, construit au XVIIe siècle, a été transformé en commissariat.

Le bureau du principal adjoint est pour l'occasion celui du capitaine Driss Medraoui, interprété par Atmen Kelif. L'officier de police judiciaire est chargé de l'enquête sur la mort mystérieuse d'un homme retrouvé dans la cuve d'un château viticole, près de Cahors. Ses vues sur l'affaire ne sont pas exactement celles de l'œnologue bordelais Benjamin Lebel, que joue avec une gourmandise évidente Pierre Arditi (lire interview ci-dessous).

Tous les vins qu'ils aiment
Le comédien sort du bureau en s'engueulant avec Atmen Kelif. On comprend vite que c'est juste pour rigoler un bon coup et relâcher la pression après une séquence tendue.
Sur le tournage, qui se termine dans une semaine après un mois passé dans le Lot, l'ambiance est au beau fixe.

Dans la journée, le vin ne coule pas dans les gosiers mais c'est le sujet préféré des principaux protagonistes. Coauteur de la série avec Noël Balen, Jean-Pierre Alaux (qui a fait ses études au lycée Gambetta et habite à Albas) met une dernière main à une grande dégustation de vieux cahors. Pierre Arditi y est bien sûr convié, lui qui profite de chaque «Sang de la vigne» pour découvrir de nouvelles appellations. Enfant du Sud-Ouest (il est né à Albi), Atmen Kelif ne cache pas son goût pour le gaillac perlé et, plus encore, pour les bourgognes, dont il apprécie ce «quelque chose de populaire et de théâtral».

Quant au réalisateur Marc Rivière, qui fut le premier à croire au potentiel de ces polars viticoles, il est amoureux des grands crus de bordeaux. Il en a monté «une collection qu'(il) bichonne», citant ces merveilles que sont Pichon Comtesse, Haut Brion ou Lynch-Bages.

Autant de bouteilles prestigieuses qu'il fera bon ouvrir lors de la diffusion de ce 15e épisode, dans quelques mois, sur France 3, vu le succès inaltérable de la série. La saison suivante est d'ailleurs déjà sur les rails avec pas moins de 4 tournages prévus en 2016, dont deux dans le Bordelais. Pierre Arditi, Marc Rivière et Jean-Pierre Alaux en salivent d'avance : prochain repérage programmé au château L'Angelus, à Saint-Emilion.

Les clés du succès
Créée en 2003 par le Lotois Jean-Pierre Alaux et son comparse Noël Balen, la série «Le Sang de la vigne» (23 romans publiés à ce jour chez Fayard) a été adaptée pour France 3 à partir de 2011. D'emblée, la nonchalance caustique de Pierre Arditi fait merveille. Réunissant entre 3 et 4 millions de téléspectateurs à chaque diffusion, la série est un très gros succès.

L'aspect patrimoine, avec la mise en valeur des paysages des régions, n'y est pas pour rien. Pour le Lot, le tournage est passé par le pont Valentré, Puy l'Evêque, le château Lagrézette, à Caillac, et Saint-Cirq-Lapopie.


Pierre Arditi, œnologue-enquêteur./Photo DDM DR

«Un acteur installé est un imbécile»
Elégant, charmeur, spirituel… Pierre Arditi est tout cela. Accueillant et chaleureux aussi, tissant avec naturel une discussion à épisodes entre deux prises.

Au 15e épisode du «Sang de la vigne», vous sentez-vous installé dans votre personnage ?
Le terme est impropre. Si j'étais «installé», cela ne vaudrait pas le coup de continuer. J'ai bien sûr intégré les données basiques de mon personnage. A partir de là interviennent la vie et l'histoire racontée, qui n'est jamais la même. Je ne suis pas sur des rails. Je m'évertue, je m'oblige, je prends mon plaisir à ne jamais faire des choses qui ressemblent aux précédentes. Un acteur installé est devenu un imbécile.

Quels sont les traits de votre personnage ?
Cet homme que rien ne prédestine à résoudre des mystères se retrouve à chaque fois au cœur d'affaires criminelles. Il est tout sauf un flic, il a sa sensibilité personnelle. Son intuition, son premier capteur, c'est son pif.

Profitez-vous de vos tournages pour compléter votre cave ?
Cela m'arrive, bien sûr. Je connaissais déjà pas mal de monde dans l'univers du vin ; des propriétaires, des vignerons. Grâce au «Sang de la vigne», d'autres portes se sont ouvertes, ce qui m'a permis d'approfondir mes connaissances. J'ai fait de très belles découvertes, participé à de grandes verticales réservées à des privilégiés.

Comme par exemple ?
Le 13e volet s'est tourné à Châteauneuf-du-Pape. Une dégustation du merveilleux Clos des Papes a réuni 17 millésimes en rouge et 6 en blanc. Cela a duré de 9h30 à 16 heures ! Le 14e épisode nous a menés, cet été, dans les Corbières. J'ai découvert La Clape et des vins à l'image de ce pays, variés, parfois très minéraux, un peu rocailleux. Parmi les belles choses, je citerais le Domaine de la Cendrillon et la Pompadour (de la cave de Castelmaure, NDLR). A Cahors, j'adore le Mas del Périé, d'un jeune mec (Fabien Jouves). Sa cuvée des Acacias est remarquable. Mais il faut la carafer pendant deux heures. Ensuite, c'est fin, élégant, soyeux.

Connaissez-vous le Château Lagrézette où vous tournez ces jours-ci avec votre ami Didier Bezace ?
Je suis d'abord ravi de retrouver ce compagnon de route, ce cousin germain. On a travaillé ensemble sur «L'école des femmes», «Les fausses confidences» et bien d'autres choses. Quant à Lagrézette, je connais bien son propriétaire Alain-Dominique Perrin. Ce domaine est l'un des très bons cahors. Perrin a beaucoup fait pour l'appellation mais on ne lui en a pas assez su gré.


Publié le 28/08/2014 à 07:39  | La Dépêche du Midi |   Propos recueillis par Jean-Luc Garcia

Pierre Arditi : «Le Lot, ma tartine de miel de l'été»


Pierre Arditi devant le collège Gambetta, à Cahors./Photo, J.-L.G.

Dévoré par la passion du théâtre et du cinéma, Pierre Arditi se laisse aussi entraîner par l'ivresse des livres surtout lorsque le vin sert de toile de fond au personnage qu'il incarne à la télévision : Benjamin Lebel. Un héros génial à Cahors.

Auteur de l'ouvrage «Les pensées gourmandes» et acteur vedette de la série «Le sang de la vigne», Pierre Arditi cultive à l'écrit comme à l'écran une vraie passion pour la bonne chère et le bon vin.
Hier, au collège Gambetta de Cahors, métamorphosé en commissariat pour le tournage, il s'est accordé une pause entre deux prises pour nous confier ses passions, ses plaisirs, ses envies…

Œnologue à l'écran, vous auriez pu l'être dans la vie. Comment est née votre passion pour le vin ?
C'est un plaisir que j'ai connu sur le tard. Dans ma famille, nous ne buvions pas de vin. J'ai eu, au fil des ans, l'occasion de m'y intéresser en rencontrant de vrais spécialistes et en apprenant à découvrir d'excellents vins des Côtes-du-Rhône pour commencer mes explorations viticoles. J'ai ensuite approfondi celles-ci avec d'autres excellents vins du Bordelais par exemple, pour ne citer qu'eux. Je me considère comme un autodidacte dans ce domaine. Je me suis fabriqué ma propre culture. Cette série m'aide à parfaire mes connaissances. Je me vautre avec délectation dans ce plaisir culturel.

L'épisode lotois est inspiré d'un fait réel. La découverte d'un cadavre dans une cuve. Cela a-t-il un impact sur votre préparation, votre jeu ?
Je suis avant tout un acteur de fiction, même s'il m'est arrivé de jouer également des personnages historiques. Alors, même si je sais que, d'une certaine manière, nous relatons un fait réel, je le traite avec le regard et l'expérience d'un acteur de fiction car j'incarne avant tout un héros inventé : Benjamin Lebel. Je considère toutefois que ce personnage me ressemble.
La part de réalité se situe là.

Vous tournez vos scènes en milieu naturel, les pieds dans le terroir. Le vignoble lotois est-il un bon partenaire de travail ?
La géographie de ce département est le décor idéal pour cet épisode.
Nous tournons dans des lieux magiques. Le Lot possède une grande richesse paysagère. Il a un caractère très rural dépourvu de grosses industries. C'est cela qui fait son charme. J'ai découvert ici une grande qualité humaine, une vraie simplicité et beaucoup de gentillesse. Les gens connaissent la série et n'hésitent pas à nous le dire. être acteur, c'est aussi se retrouver à travers le regard des autres.

Le théâtre, le ciné et la télé rythment votre carrière. Dans la peau de quel héros aimeriez-vous vous glisser ?
Je suis ce que l'on peut appeler un cumulard dans le domaine artistique. Mais je ne suis pas en quête d'un rôle particulier. Je veux être d'abord un bon comédien au théâtre, à la télévision et au cinéma. Un acteur capable d'incarner n'importe qui dès l'instant où l'on fait appel à moi. Même dans le cadre d'une simple lecture, je veux être le sang dans les veines de cette expression artistique afin d'incarner de la meilleure manière l'auteur ou le personnage que je joue devant un public.

Vous avez écrit quelques livres gourmands. Avez-vous d'autres projets d'écriture ?
Pas dans l'immédiat. Pour l'instant, la comédie m'occupe beaucoup. C'est aussi une sorte d'échappatoire pour ne pas trop songer à la mort. Ce qui me sauve, c'est la faculté de pouvoir m'évader en me mettant dans la peau des autres. J'ai une chronique dans la revue «Terre de vins» où j'évoque les plaisirs épicuriens. Jouer au théâtre, tourner pour le ciné ou la télé et écrire sont des exercices contradictoires. Pour bien écrire, il faut avoir l'esprit vagabond et être libre de toute autre mission. J'y viendrais doucement. Je le sens. Je le sais. Pour l'instant, je me consacre à ce tournage lotois. C'est ma tartine de miel de l'été.


Publié le 24/08/2014 à 10:08  | La Dépêche du Midi |   J.-L.G.

«Le Sang de la vigne» dans l'antre du malbec

L'auteur Jean-Pierre Alaux est venu assister au tournage d'une scène, hier à la Villa Malbec./ Photo DDM

L'équipe du tournage de l'épisode lotois de la série «Le sang de la vigne» a fait un retour remarqué à Cahors, hier, en tout début de matinée.
La série avait posé ses caméras sur le pont Valentré le 12 août dernier.
Hier, c'est la Villa malbec qui a servi de décor à cette création pour une très courte scène, en l'absence de Pierre Arditi. L'acteur vedette de la série sera de retour à Cahors mardi et mercredi, pour deux autres séquences dans le centre ancien puis au collège Gambetta.

Jean-Pierre Alaux, auteur de cette série coécrite avec son compère Noël Balen, était sur le site du tournage heureux «d'observer l'envers du décor et de constater également que le film reste fidèle au livre, tant dans son scénario que dans ses lieux», confie-t-il. «La Villa malbec sert parfaitement la cause du vin de Cahors. Il était logique qu'une scène de la série soit tournée ici. J'essaie, autant que possible, d'être présent sur les lieux des tournages, dans les autres régions également. Mais j'avoue que j'entretiens des liens très affectifs avec le Lot d'où, je le rappelle, le personnage principal de la série est originaire», poursuit l'auteur très attaché à son département. Puis au succès de l'épisode «sang pour sang» lotois.


Publié le 13/08/2014 à 07:59  | La Dépêche du Midi |   Jean-Luc Garcia

Pierre Arditi royal et jovial en terre médiévale

Pierre Arditi et Catherine Demaiffre, entre deux scènes et ici entre Mary Teillard et Jordan Marin, deux figurants cadurciens fiers d'avoir côtoyé ces comédiens de renom, hier après-midi, sur le pont Valentré./Photo J.-L.G.

La série «Le sang de la vigne» a posé ses caméras à Cahors sur le pont Valentré.Les regards des curieux se focalisaient sur l'excellent Pierre Arditi. Homme clé dans une série très originale. ça tourne...

Le pont Valentré, star de cinéma ? Affirmatif. Le célèbre monument Cadurcien n'a cependant pas volé la vedette à Pierre Arditi, alias Benjamin Lebel, rôle phare de la série «Le sang de la vigne», d'après l'œuvre co-écrite par Jean-Pierre Alaux et Noël Balen. Le 15e épisode, 100 % Lotois, 100 % viticole de cette nouvelle saison d'une série pleine de rebondissements met bien sûr en scène le vin du vignoble cadurcien et une cuve où une macabre découverte attend Benjamin Lebel. «Cet épisode s'inspire d'un fait divers qui s'est déroulé dans le Haut-Médoc», chuchote Jean-Pierre Alaux entre deux scènes. Silence. Moteur ! Une équipe composée d'une quarantaine de personnes est à la manœuvre auprès des figurants. Appliqué, Pierre Arditi, relit son texte et révise avec l'actrice belge Catherine Demaiffre la scène qu'ils doivent tourner ensemble.

Tout près, les Cadurciens Mary Teillard et Jordan Marin, s'apprêtent à tenir leur rôle de promeneurs qui flânent sur le pont Valentré.

Des journées intenses
Mary caresse l'espoir de jouer un vrai rôle devant les caméras. Actrice ? Pourquoi pas.
Elle est mannequin au sein de l'agence VIP Models. Jordan est passionné d'histoire.
Le pont Valentré était pour lui le cadre idéal. Les figurants ont été sollicités dès 7 h 30, pour tourner une première scène aux «Terrasses du Valentré» où «en guise de vin nous avons bu du jus de raisin», sourit Mary. Une pause-déjeuner aux Docks, puis cap sur le pont jusqu'à 19 heures. Les journées sont intenses.

Arditi est immense et facile dans son jeu. L'aisance c'est l'essence même du talent. Détendu, il plaisante. Puis soudain se concentre et se fond dans la peau de Benjamin Lebel. L'épisode intitulé «On achève bien les tonneaux», qui sera diffusé en 2015 sur France 3, l'amuse et le séduit. Amateur de vin et fin connaisseur, il aura l'occasion d'arpenter d'autres coins et écrins du Lot comme Saint-Cirq Lapopie et encore le beau décor de Cahors. Il adore !

Lissa : productrice et ambassadrice
Amoureuse du terroir, de la France profonde et de la profondeur des êtres qu'elle aime découvrir, Lissa Pillu, la productrice de la série, est une véritable épicurienne de la nature humaine et de la nature tout court. Elle aime les gens, les comédiens, les techniciens… et ça se voit. Complice avec Pierre Arditi, elle échange beaucoup avec lui entre les scènes et sait aussi se montrer discrète sans perdre une miette des faits et gestes de chacun. C'est une femme de l'ombre qui met du soleil dans ce métier. «Avec cette série, je me sens un peu ambassadrice de cette région. Nous avons, dans ce département, le privilège d'évoluer dans un décor magnifique chargé d'histoire. Le vin en fait partie. C'est un terroir unique», s'enthousiasme-t-elle dans un bel élan rendant hommage au Lot et aux Lotois.

Le chiffre : 21 jours > de tournage dans le Lot. C'est le temps qu'il faudra à l'équipe de la série «Le sang de la vigne» pour boucler l'épisode Lotois. D'autres séquences Lotoises sont programmées


Publié le 20/06/2014 à 09:25  | La Dépêche du Midi | 

Albas (46) : Pierre Arditi tournera dans les vignes


L'auteur à droite, et l'acteur, héros de ces intrigues vino-policières./ Photo DDM

Le village est en plein émoi. En effet, le 16 juin, un homme de télévision est venu en repérage pour le prochain film dans lequel Pierre Arditi se met en scène. Le téléfilm, dont le tournage est prévu sur quatre semaines, en août 2014, s'inscrit dans la série «Le sang de la vigne», tirée de l'œuvre de Jean-Pierre Alaux.

Ce dernier, scénariste, écrivain et bien connu des Albassiens, participait à cet événement. Le prochain épisode télévisuel est donc inspiré de l'un de ses livres, «On achève bien les tonneaux», et sera diffusé sur FR3. C'est maintenant un plaisir, partagé par de nombreux téléspectateurs, que de suivre les aventures et péripéties de l'acteur chéri de beaucoup de Français, au cours de ses différentes enquêtes. Le site d'Albas, pays du vignoble cadurcien, ne pouvait échapper à ces sagas «vino-killer», qui ont été déjà diffusées sur cette chaîne et tiennent en haleine les spectateurs jusqu'à la fin de chacune de ces histoires. D'après certaines sources, le village de Caillac ainsi que Cahors feront l'objet de la même attention pour la suite de cette intrigue. La venue de Pierre Arditi à Albas cet été ne devrait pas passer inaperçue et c'est avec impatience que nous attendons la suite de ces intrigues proposées par la suite sur le petit écran.

 Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr


Marc Rivière, Pierre Arditi et Jean-Pierre Alaux. / Photo DDM

 
 

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