Grand Sud : Midi-Pyrénées, c'est ici qu'on vit le mieux ?
Publié le 22/08/2014 à 09:55 | La Dépêche du Midi | Ph. R.
Grand Sud : les chiffres du vivre mieux
Le pont Neuf à Toulouse - /Photo DDM DR
L'indicateur du vivre mieux, inventé par l'Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE) place le Grand Sud, et particulièrement Midi-Pyrénées, dans une bonne situation en Europe, avec en points forts, notamment, la santé et l'éducation.
Cela fait bien longtemps que les habitants de Midi-Pyrénées, d'Aquitaine ou du Languedoc-Roussillon savent qu'il fait bon vivre dans le grand sud. Naître, vivre, travailler, prendre sa retraite dans les trois régions du sud ouest est aussi le souhait de nombreux Français «extérieurs» qui décident de quitter leur région d'origine pour venir s'établir chez nous. Et ils sont de plus en plus à faire cette démarche, ne serait-ce qu'à Toulouse, par exemple, qui gagne quelque 15 000 à 20 000 nouveaux habitants chaque année.
Des produits du terroir très recherchés (melonnière à Montlauzun -46) / Photo DDM
Mais pour conforter l'idée populaire – et parfois chauvine avouons-le – que le bonheur de vivre se trouve au Sud, il fallait une démarche plus scientifique que le bon sens partagé équitablement par le citadin ou le rural. L'indicateur du vivre mieux qu'a imaginé l'Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE) à l'échelle de l'Europe apporte donc, chiffres à l'appui, les statistiques qui manquaient pour établir que la douceur de vivre entre Bordeaux, Toulouse et Montpellier est une réalité bien tangible.
L'indicateur du vivre mieux, c'était avant tout l'idée de dépasser le cadre trop rigide et trop économique de l'analyse du produit intérieur brut (PIB) ou d'autres indices économiques. «Depuis quelque temps, on parle beaucoup de la mesure du bien-être des sociétés (la richesse est-elle le seul critère qui compte ou doit-on étudier d'autres éléments, tels que l'équilibre entre travail et vie privée par exemple ?). L'indicateur du vivre mieux a pour but de faire participer les citoyens à ce débat et de leur donner les moyens d'être mieux informés et plus engagés dans les décisions qui influent sur nos vies à tous», explique l'OCDE qui, depuis sa création en 1961, aide les pouvoirs publics à imaginer «des politiques meilleures pour une vie meilleure.»
Fêtes, foires et festivals animent le territoire (Saint-Pierre-de-Trivisy - 81) / Photo DDM
11 critères pour 34 pays
L'indicateur du vivre mieux est construit à partir de onze critères notés sur dix. Ils constituent «des éléments essentiels au bien-être, en termes de conditions de vie matérielle (emploi, logement, revenu) et de qualité de vie (liens sociaux, enseignement, environnement, équilibre entre travail-vie privée, gouvernance, santé, satisfaction et sécurité)», explique l'OCDE. Chaque critère repose ensuite sur un à quatre indicateurs spécifiques. Les données proviennent de grandes institutions mais aussi de sondages d'opinion. Pondérées, elles offrent une image fidèle du ressenti des populations.
Concernant aujourd'hui 34 pays en Europe, l'indicateur du vivre mieux se décline par régions avec huit critères, ce qui permet d'instructives comparaisons au sein d'un même pays. Ainsi, on peut voir que Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon et Aquitaine sont excellentes dans les domaines de la santé, de la sécurité, de l'engagement citoyen, de l'éducation, mais restent encore faibles sur les critères de l'emploi, des revenus. L'OCDE met en lumière aussi des faits étonnants : le Grand Sud est ainsi l'un des plus connectés à internet de France !
La démarche de l'OCDE a également donné lieu à un site internet interactif et passionnant. En fonction de ses priorités, on peut déterminer quelle est la région d'Europe où l'on serait le plus heureux de vivre. L'occasion de vérifier que le bonheur est bien dans le Grand Sud…
http://www.oecdbetterlifeindex.org/fr
Le nouvel hôpital de Langlade, l'Institut universitaire du cancer de Toulouse Oncopole, a ouvert en mai 2014 / Photo DDM
La santé
Avec une note de 9,9 sur 10 pour le critère de la santé, c'est peu dire que Midi-Pyrénées fait preuve de son excellence avec notamment un taux de mortalité de 6,5 pour 1000 habitants et une espérance de vie de 83 ans.
Certes, la plupart des régions françaises sont – à l'image du pays – très bonnes dans ce domaine. Mais Midi-Pyrénées se classe 3e sur 22 régions et, surtout, fait partie des 4 % des meilleures régions européennes des 34 pays analysés.
Le centre hospitalier universitaire (CHU) de Toulouse apparaît comme une véritable locomotive régionale, épicentre d'un maillage serré qui recouvre l'ensemble des huit départements de Midi-Pyrénées. Les collaborations entre le CHU et les hôpitaux généraux se sont construites au fil des ans et apparaissent aujourd'hui clairement comme un atout pour une vertueuse politique sanitaire. D'ailleurs, hier, l'hebdomadaire Le Point a classé à la première place le CHU de Toulouse dans son traditionnel palmarès des meilleurs hôpitaux et cliniques de France, qui a également distingué les CHU de Bordeaux (3e) et de Montpellier (6e). Une place que le CHU – second l'an passé derrière Lille – occupe pour la 8e année dans ce palmarès qui existe depuis 17 ans. À noter aussi la belle performance de l'hôpital spécialisé Gérard-Marchant qui se classe en 3e position, dans la catégorie de la psychiatrie, nouveauté créée cette année.
Midi-Pyrénées peut aussi s'enorgueillir d'avoir été pionnière dans la télémédecine avec l'engagement du Pr Lareng ; de disposer aujourd'hui avec l'Oncopole d'un outil unique de lutte contre le cancer ; et d'avoir des laboratoires performants comme ceux de Pierre Fabre ou de Sanofi.
Ateliers informatiques, à Bagnères de Bigorre./Photo M. Vaquié
La connectivité aux services
L'indicateur du mieux vivre réserve aussi quelques surprises. Par exemple le taux de connexion des foyers à internet est de 75,7 %, ce qui en fait l'un des plus forts taux de l'Hexagone. Certes il s'agit d'une moyenne et il faut garder à l'esprit que derrière ce pourcentage flatteur se trouvent tous ceux qui galèrent en zones blanches ou grises pour obtenir une connexion à internet à haut débit.
Mais le critère de l'OCDE sur l'accessibilité aux services ne concerne pas qu'internet mais d'autres services basiques ou avancés. Il s'agit ainsi de mesurer aussi l'accès aux transports, à l'eau potable et à l'assainissement, à l'éducation, à la santé. L'OCDE constate d'importantes disparités.
Montastruc-la-Conseillère (31) : Un nouveau lycée est devenu indispensable pour faire face à la démographie galopante. /Photo DDM
L'éducation
Comme pour la santé, Midi-Pyrénées brille dans le domaine de l'éducation. Avec une note de 8,4 sur 10, la région se classe ainsi seconde sur 22 régions. Elle fait de fait naturellement partie des 40 % des meilleures régions du panel de l'OCDE. L'indicateur du vivre mieux indique les salariés de la région ont au moins un niveau d'études secondaires validé. Autant d'éléments qui attestent de l'excellence du système éducatif en France mais aussi en région. En dépit des difficultés qui sont présentes ici ou là avec des fermetures de classes, des surcharges d'effectifs ou un manque de moyens du primaire au supérieur – et que l'OCDE ne nie pas – à l'échelle du continent, le système éducatif français et celui en place en Midi-Pyrénées est l'un des meilleurs.
La collaboration au sein du PRES des trois universités toulousaines – dont la scientifique Paul-Sabatier, 201e au niveau mondial et 9e au plan national dans le dernier classement de Shanghai – ; la vitalité de la recherche avec une délégation du CNRS dynamique ; un écosystème numérique qui va décrocher le label French tech : des atouts de bon augure pour l'avenir.
Labruguière (81) : Près de 10 000 armoires, pupitres de commandes et coffrets entièrement câblés, sortent chaque année des ateliers de Syselec /Photo DDM
L'emploi
Priorité des priorités des Français selon toutes les enquêtes d'opinion, l'emploi apparaît hélas comme l'un des points faibles des trois régions du Grand Sud. Dans une conjoncture nationale difficile, Midi-Pyrénées obtient toutefois une note plus qu'honorable de 6,2 sur 10, ce qui la classe à la 5e place sur 22 régions. Au niveau du panel de l'OCDE, notre région est dans les 40 % parmi les plus faibles, mais juste sous la moyenne des 34 pays. Le taux de chômage est ainsi évalué à 8,6 % de la population. L'OCDE précise toutefois que sur la longue période allant de 1999 à 2012, en moyenne, 40 % de toutes les embauches réalisées par les pays membres de l'OCDE l'ont été par seulement 10 % de leurs régions et que dans certains pays, on pourrait retrouver le niveau d'emploi de 2007 (donc avant la crise) si une seule de leur région retrouvait son niveau de 2007.
Toulouse, élections municipales 2014 / Photo DDM, X.de Fenoyl
La citoyenneté
L'engagement des citoyens et la confiance qu'ils accordent à leurs gouvernants, au plan national comme local, sont aussi un critère de bien-être. Loin des clichés de la défiance envers la chose politique, l'indicateur du mieux vivre montre qu'en Midi-Pyrénées, la vie citoyenne est bel et bien vivace. Ainsi 84,4 % des électeurs se déplacent lors des élections.
L'importance de l'engagement civique dans notre région place celle-ci à la seconde place sur les 22 régions françaises avec une note de 8,9 sur 10. Midi-Pyrénées intègre ainsi les 15 % des meilleures régions dans ce domaine parmi les 34 pays analysés par l'OCDE. Très loin de la moyenne qui dépasse à peine 5.
Tarn : Vigilance renforcée pour le week-end du 15 août /Photo DDM Marion Lot
La sécurité
Alors que le débat sur l'insécurité et son fameux «sentiment», la délinquance et son traitement occupent souvent les débats pré-électoraux en France, l'indicateur du mieux vivre montre une autre réalité. Ainsi Midi-Pyrénées, avec une note de 9,4 sur 10 est perçue comme une région sûre au sein de laquelle les habitants se sentent en sécurité. Midi-Pyrénées fait partie des 31 % meilleures régions d'Europe sur ce critère.
L'indicateur montre aussi que le taux de meurtres est d'un pour 100 000 personnes. L'OCDE fait enfin le lien entre criminalité et éducation, accès à l'emploi, etc.
Le bonheur est dans le pré et plus largement, en Midi-Pyrénées./DDM, Sébastien Lapeyrère.
Publié le 22/08/2014 à 08:30 | La Dépêche du Midi | Propos recueillis par B. D.
Jean Viard : «Il y a ici un art de vivre qui séduit énormément»
Jean Viard, chercheur en sociologie, auteur de «Nouveau portrait de la France», édition de l'Aube /Photo DDM
Pourquoi, à votre avis, le Sud-Ouest a un tel pouvoir d'attraction ?
C'est le pouvoir d'achat qui intéresse les gens et les loyers sont un peu plus bas dans le Sud-Ouest. Il y a aussi la question de la citoyenneté. Il y a de l'espace pour tout le monde, la bourgeoisie historique aussi bien que les Motivé-e-s, les anarchistes…
Et puis il y a un art de vivre. On nous parle toute la journée de production, mais on peut avoir un petit salaire et vivre très bien.
Toulouse et Bordeaux sont en tête des villes où les gens ont envie de travailler, qu'est-ce que ça vous inspire ?
Chez les cadres c'est Lyon qui est en tête. Mais le Sud-Ouest a de sérieux atouts. On oublie toujours que Toulouse était la capitale seconde de la France jusqu'à la Révolution française. C'est pour ça qu'il y avait un Parlement et que des routes royales en partaient dans toutes les directions. Cette bourgeoisie multiséculaire a laissé des traces dans le patrimoine, y compris dans les bastides de la région.
L'hôpital La Grave, l'un des établissements du CHU de Toulouse en tête du palmarès des hôpitaux français 2014 / Photo DDM DR
La ville s'est endormie et a redémarré de manière extraordinaire avec la première guerre mondiale. Tout ça donne un terreau urbain et historique considérable.
Ajoutez à ça le projet régional autour de l'aéronautique, les écoles, les crèches… C'est tout ça qui fait la qualité de vie. Et aussi le fait que, à Toulouse, on n'a pas l'impression d'être loin de tout comme lorsque l'on vit à Limoges ou Amiens. On est à une heure de Paris en avion, près de la montagne, de la mer…
Comment voyez-vous l'avenir ?
La société glisse de plus en plus vers le Sud. Les jeunes avec de bons diplômes, mais aussi les retraités avec de bons niveaux de vie. Ceux qui ont compris que la société de demain allait s'appuyer sur la retraite en misant sur la santé, comme Toulouse ou Montpellier vont attirer encore plus de monde. Montpellier va souffrir du rapprochement avec Toulouse je pense, mais pour le Roussillon, le rapprochement avec Midi-Pyrénées est une affaire en or. Montagne plus mémoire plus mer, ça participe au développement.
Airbus dépassera les 1 000 avions en 2014 /Photo DDM
Pour moi, Toulouse et Lyon sont d'ailleurs en train de devenir les deux pôles de développement français, avec quand même une avance de Lyon sur Toulouse. Bordeaaux reste plus petit, à l'instar de Montpellier.
Publié le 22/08/2014 à 08:30 | La Dépêche du Midi | Alain-Marc Delbouys
«On a trouvé à Albi le Graal du retraité»
Albi (81) - Marc Boudier, retraité à Albi /Photo DDM
«Qu'un classement place le Sud-Ouest parmi les endroits où on vit le mieux, ce n'est que justice.» L'homme qui l'affirme ne saurait être taxé de chauvinisme. Né d'une mère allemande — son grand-père était un des rares députés allemands qui ont dit non à Hitler et a fini déporté — et d'un père grenoblois, Marc Boudier n'est pas d'ici. Successivement directeur général adjoint d'Air Inter puis directeur général d'Air France Cargo, il a bourlingué toute sa vie en France et dans le monde, ce qui lui a donné des éléments de comparaison.
Mais quand il s'est agi de choisir un havre pour sa retraite, le grand patron de l'aviation et son épouse Sylvie ont préféré Albi. Une décision à la fois «rationnelle et résultant d'un coup de cœur» que Marc Boudier, 64 ans «n'a pas regretté un seul instant». Ne serait-ce que pour la maison «magique avec caves voûtées, briques albigeoises et jardin, acquise en 1986 pour le prix de 50m2 à Paris. On a trouvé à la Madeleine sur la rive droite d'Albi le Graal recherché par tout retraité, à savoir avoir à la fois la ville et la campagne. Le tout dans une ville moyenne où on peut tout faire à pied, fournissant un excellent niveau de services (commerces, établissements de santé), critère auquel un retraité pense forcément. Et avec cela une gastronomie variée...»
Albi, la cité épiscopale /Photo DDM
Publié le 22/08/2014 à 08:31 | La Dépêche du Midi | Enzo Diaz
«Dans le Gers, la liberté n'a pas de prix»
Fleurance (32) - Michel Glosek, fabricant de desserts en conserve à Fleurance /Photo DDM
Michel Glosek est un homme comblé. Avec une vie faite de déplacements incessants et de nombreux voyages, l'entrepreneur de 56 ans se pose quand il le peut dans le Gers, «sa terre d'adoption».
Né à Paris, il s'est installé à Fleurance dans le courant des années quatre-vingt-dix après avoir suivi les cours de Paul Bocuse à l'école d'arts culinaires de Lyon.
«Le charme a tout de suite opéré, je me suis retrouvé par hasard à Fleurance mais le hasard fait bien les choses» se réjouit Michel Glosek. «J'aurais pu naître ici, j'aurais aimé du moins».
C'est que le Gers, est selon lui «un territoire propice à élever l'âme. Ici, on valorise vraiment le savoir-faire».
«La région est extraordinaire de par sa qualité de vie, sa chaleur que l'on retrouve chez ses habitants. C'est un bonheur» s'enthousiasme Michel qui a fait du Gers son havre de paix.
«Ce n'est pas seulement un coup de cœur professionnel, c'est aussi un coup de cœur humain». Alors, certes, concède-t-il, le Gers n'a que des routes de traverse «mais il faut s'y arrêter». Ce n'est pas la grande ville comme Toulouse qui selon lui «a perdu un peu de son âme» mais il y a dans le Gers une liberté qui n'a pas de prix» s'exclame l'homme tombé en amour pour ce bout de terre gasconne.
Fleurance, comme il y a 50 ans dans nos campagnes. / Photo DDM Florent Carly.
Publié le 21/08/2014 à 09:35 | La Dépêche du Midi |
Toulouse en tête des villes de France où il fait bon travailler
Le Capitole / Photo DDM
Les travailleurs du Sud-Ouest sont bien lotis ! D'après l'Institut Great place to work, Bordeaux, Toulouse et Montpellier seraient les trois villes où il est le plus agréable de travailler en France. Les critères pris en compte pour ce classement sont la météo, la distance domicile-travail, la politique en matière de ressources humaines, les loisirs...
Bordeaux et Toulouse trustent ex-aequo la première place du palmarès avec 39% d'avis positifs de la part des sondés. Montpellier est troisième avec 38% d'opinions positives, suivie d'Aix-en-Provence (36%), Lyon (36%), Nantes (34%) et Rennes (29%). Strasbourg, Nice et Paris occupent les trois dernières places du top 10 avec 28% et 27% des suffrages.
Toulouse-Plages est le rendez-vous estival des Toulousains /Photo DDM
Publié le 23/08/2014 à 07:52 | La Dépêche du Midi | Emmanuelle Rey
L'hôpital et les cliniques de Toulouse au top
Le CHU de Toulouse retrouve sa première place au palmarès des hôpitaux. /Photo DDM
Pour la huitième fois en 17 ans, le CHU de Toulouse est classé au premier rang des hôpitaux français par le magazine «Le Point ». Les cliniques de l'agglomération y figurent aussi en bonne place.
C'est toujours la bonne nouvelle de l'été. Depuis 17 ans que le palmarès des hôpitaux du magazine «Le Point » existe, le centre hospitalier universitaire (CHU) de Toulouse s'y taille une place de choix, sur la première ou deuxième marche. Pour 2014, comme en 2012, le voilà donc numéro un parmi cinquante hôpitaux de France, devant les CHU de Lille et Bordeaux. Plus en détail, dans 63 des 64 spécialités de l'enquête, le CHU de Toulouse termine quatre fois premier, huit fois second et six fois troisième. Pour la chirurgie ambulatoire, le CHU de Toulouse apparaît en revanche dans les 50 hôpitaux qui en réalisent le moins (20 % contre 28 % en moyenne nationale).
Le numéro d'urgence «15» au Samu du CHU Purpan respire grâce au 39.66 / Photo DDM Thierry Bordas
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