Graulhet - Du Bruc à Ricardens : Actualités février 2013 -2-

24/1/2014


Publié le 16/02/2013 à 03:48 
 
La Ronde des Primevères, c'est ce dimanche
 

La course des enfants débutera à 9 h 30 au départ de la Jonquière. À 10 heures, s'élanceront la course populaire sur 4,8 km et la course des As sur 10 km. Inscriptions sur place le matin ou au 06 32 39 86 69. Pour permettre le bon déroulement de la course pédestre La Ronde des Primevères, le dimanche 17 février, de 9h à 11h30, la circulation sera fermée à tous les véhicules dans le sens Busque-Graulhet sur la route départementale n° 10 du PR 26 + 480 au PR 27 + 671, au lieu-dit route de Busque sur le territoire de la commune de Graulhet. Pendant la durée de cette interdiction la circulation de tous les véhicules sera déviée ainsi : dans le sens Busque vers Graulhet par la RD10 du PR26 + 480 (au droit de la course) au Pr25 + 855 (carrefour de la VC29), par le VC29 du carrefour de la RD10 au carrefour de la RD964, par la RD964 du PR44 + 37 (carrefour de la VC29) au PR 45+630 (carrefour de la RD631A) et pas la RD-631A du PR2 + 836 (carrefour de la RD964) au PR 0+736. 


Publié le 16/02/2013 à 06:48  G.D.

 
L'association des habitants se remobilise

Une partie des habitants lors d'un repas de quartier annuel./Photo DDM 
 
Pendant que la municipalité nourrit un projet de développement de la base de Nabeillou, les riverains se mobilisent autour de l'association de quartier pour animer les lieux et aborder les problèmes rencontrés au quotidien. Construit à la fin des années 70, le lotissement de Nabeillou et ses environs comptent 250 familles répertoriées par l'association, à laquelle seulement 75 sont adhérentes. «Voulez-vous que l'association continue ?», demande le président Christian Alet dans sa convocation à l'assemblée générale prévue samedi 23 février (MJC à 14 h 30). «Nous avons besoin de la participation la plus large pour renouveler le bureau en particulier». L'union faisant la force, il rappelle les principes qui ont fondé l'association en 1987 et les évolutions des objectifs, tout en insistant sur les dossiers en cours.
Après cinq années d'attente, un abribus a enfin été posé à l'arrêt des bus du rond-point Rhin et Danube, en bas du quartier.

Des projets autour du lac
C'est une satisfaction pour les responsables autant que pour les riverains.
Mais les sujets de préoccupation énumérés dans la convocation sont nombreux. à commencer par la remise en état de la digue du lac et les projets autour de celui-ci qui ont fait l'objet d'une question précise au maire Claude Fita.
«Les adhérents, comme aux débuts, demeurent très attachés au cadre de vie en veillant à défendre leurs intérêts. La vocation de l'association est de regrouper tous les habitants soucieux de mieux vivre ensemble». Un lien social dans l'air du temps.


Publié le 16/02/2013 à 03:51 

 
Un déplacement très réussi


Une compétition qui restera en mémoire pour ces jeunes./Photo DDM 
 
En l'absence d'anneau d'athlétisme en Midi-Pyrénées, les athlètes graulhétoises continuent leurs périples. Ainsi, après Aubières en Auvergne, Bompas en Languedoc-Roussillon, c'est à Bordeaux qu'elles sont parties défendre leur chance aux championnats régionaux de courses longues, le 9 février.
Les filles ne se sont pas déplacées pour rien puisqu'elles en sont revenues toutes médaillées : Célia Perron, comme à son habitude maintenant, ouvrait le bal en remportant le 200 m toutes catégories en 26''51, confirmant ainsi son 23e rang au bilan national. Dès la série suivante, Victoria Mattutzu bouclait son tour de piste en 28''07 améliorant son record d'une demi-seconde. Enfin, Marie Buffet terminait en 31'' pour sa première course sur cette distance.

Sur 400 m, Méline Rodier, en juniors, a confirmé son goût pour les efforts longs, en améliorant son record de plus d'une seconde (71''02), quand sa cadette et copine d'entraînement, Anaïs Loison améliorait son chrono en 72''21.
Toutes les deux montaient sur le podium respectivement à la 2e et à la 3e place.

Deux relais en pointe
L'Ecla étant en capacité de se déplacer avec beaucoup de jeunes athlètes, ce sont deux relais 4x200 cadettes qui ont pu être alignés et qui ont su s'illustrer puisque Célia et Victoria, avec leurs copines albigeoises, et vauréennes, devenaient championnes régionales en 1'50''63 après un très beau dernier parcours de Victoria qui a déposé son adversaire en plein virage.
Par ailleurs, Marie et Anaïs contribuaient à amener l'équipe 2 sur la 3e marche du podium.


Publié le 17/02/2013 à 07:24 | P.G.

 
Un piéton de 76 ans fauché par une voiture


C'est à hauteur du passage piéton situé face à l'Intermarché sur la route de Briatexte que s'est produit cet accident mortel./Photo DDM E.C. 
 
Le soleil pourrait être à l'origine de l'accident mortel survenu samedi matin à Graulhet, à la sortie de la ville sur la route de Briatexte.
Une voiture a renversé une personne âgée qui traversait la route. Le piéton est décédé. Il s'agit de Guy Cathalo, âgé de 76 ans, domicilié chemin des alliés à Graulhet. L'accident s'est produit aux environs de 9h45 dans cette zone d'activité commerciale que longe la route départementale. La voiture a heurté Guy Cathalo à hauteur de l'Intermarché. C'est là que se trouve un passage piéton. Mais hier, les gendarmes qui débutent l'enquête n'ont pas confirmé si la victime l'avait ou non emprunté. Lorsque les secours sont arrivés sur place, ils n'ont pu que constater le décès du piéton.

Selon les premiers éléments recueillis, le conducteur du Kangoo, qui n'est pas de Graulhet, aurait indiqué avoir été ébloui par le soleil. Il arrivait en provenance de Briatexte et effectivement à cette heure matinale, la route est juste dans l'axe du soleil levant.
Il y a deux ans, un autre accident mortel s'est déroulé quelque 500 m plus loin, un peu dans les mêmes conditions ; mais il concernait un cycliste et s'était déroulé en sens opposé, au soleil couchant.
Claude Fita, le maire de Graulhet s'est rendu sur les lieux de l'accident où il a appris avec tristesse le décès de cet administré. L'épouse de Guy Cathalo, en compagnie de son fils, étaient avisés de l'accident quelques heures plus tard.


Publié le 19/02/2013 à 08:53 | Richard Bornia

 
Le FN est-il soluble dans l'UMP ?

La campagne municipale à Graulhet commence par une polémique./Photo DDM, JCC. 
 
De nombreuses réactions la semaine dernière suite à l'entretien avec Sylvain Bonleux, conseiller municipal d'opposition UMP qui souhaite, dès le premier tour, une liste d'union des centristes au Front National lors des prochaines élections municipales à Graulhet. Bernard Carayon, président de l'UMP du Tarn déclare qu'il s'est entretenu avec Sylvain Bonleux : «Il dément formellement toute alliance avec le FN.» Depuis 7 jours et encore hier matin par téléphone, Sylvain Bonleux n'a pas remis en cause les propos qu'il a tenus sur ce sujet et que nous avons retranscrits dans notre édition du mardi 12 février.

«Je pense avoir fait partager ma conviction qu'on ne gagne pas l'élection par l'addition d'idées partisanes mais par la conjugaison des talents, par l'amour de la ville et le service des gens». Pour Bernard Carayon, battre Claude Fita est au-delà d'un enjeu politique, un enjeu moral : «Graulhet apparaît soumis aux intérêts d'une famille et d'un clan. Je n'oublie pas qu'il a commis le déshonneur de recevoir l'intégriste musulman Tariq Ramadan». Si les parlementaires, députés et sénateurs tarnais n'ont fait aucune déclaration sur une possible liste unique UMP-FN à Graulhet, Samuel Cèbe, premier secrétaire fédéral du PS du Tarn est monté au créneau : «Je constate que la droite graulhétoise s'engage dans des relations dangereuses». Citant François Mitterrand - «Il ne faut pas franchir le fleuve de la honte»- il pointe les conséquences d'un tel accord : «L'isolement de Graulhet vis-à-vis de ses partenaires institutionnels, l'enclavement territorial de la commune, Graulhet serait placée au ban des collectivités sur le plan national». Quant au FN, Jean-Paul Piloz, secrétaire général de ce parti, nie catégoriquement tout accord ou toute discussion avec la droite graulhétoise : «Dans le Tarn, nous présenterons une liste Rassemblement Bleu Marine dans toutes les villes de plus de 10 000 habitants, à Graulhet y compris».


Publié le 20/02/2013 à 07:56 | 

 
Les pêcheurs graulhétois n'ont pas la pêche


Le lac de Nabeillou a été baissé voilà un an pour des raisons de sécurité. 
 
Cent cartes de perdues en un an, deux-cent durant les quatre dernières années, tel est le triste bilan qu'on fait les responsables de l'Aappma de Graulhet lors de l'assemblée générale à laquelle assistaient le maire Claude Fita et une cinquantaine de pêcheurs. Pour le président Maurice Tissandié, la raison en est simple. «Nous avons un gros problème. Sans rechercher la polémique, nous avions deux lacs de Miquélou et de Nabeillou magnifiques, et par sécurité, ils sont à moitié vidés. De plus, le Dadou, rivière redevenue poissonneuse, souffre des travaux de la passerelle au meilleur endroit de pêche et la future voie verte qui va le longer donne déjà un accès difficile aux berges pour les pêcheurs parfois âgés.» 

Les pêcheurs attendent avec impatience, la réponse officielle que devrait donne la Préfecture, quant à l'avenir du barrage de Miquélou, en juillet prochain. «L'ancrage serait la solution retenue, et nous espérons que les travaux permettront de remonter la côte à 187, 50 comme c'était le cas, il y a trois ans encore. Nous allons organiser le congrès départemental en 2014 à Graulhet et d'ici là, nous espérons des solutions.» Les pêcheurs ont interpelé les élus sur un réaménagement indispensable pour eux, des berges de Nabeillou et de travaux rendus nécessaires par la baisse du niveau des eaux, de l'emplacement handicapés. «Sinon, les cartes continueront à partir ailleurs. Ne perdons pas de vue que nous gardons le même volume d'alevinage et de lâchers. Si ça continue, ce ne sera plus possible.»


Publié le 20/02/2013 à 09:28 

 
Travaux : l'avant-dernier vestige du Petit train vient de disparaître


 Démolition de la ruine du club-house du Sporting / DDM

Avec la démolition de la ruine du club-house du Sporting incendié en mars dernier, c'est le dernier vestige du passé ferroviaire de Graulhet qui vient de disparaitre. Car il existait un train à voie étroite (60cm) qui reliait Laboutarié à Graulhet dès 1893, dont le prolongement a été effectué en 1899 d'abord vers St Sulpice, puis vers Lavaur, reliant ainsi les grandes lignes de chemin de fer. Si la ligne a été fermée en 1936, la gare est restée debout, transformée dans un premier temps, en Ceg, puis annexe du Ces de Crins, puis en club-house du rugby prenant le nom de Marcel Batigne. En 1970, un autre incendie avait détruit l'hôtel Terminus à l'actuel emplacement de la Poste.

Reste donc encore que le préau du stade, vestige de l'ancienne salle des machines, qui abritait les locomotives dont deux étaient nécessaires quand le train devait emporter marchandises et passagers. Ces derniers, vu l'étroitesse des wagons, étaient assis sur deux banquettes en long. Il fallait parfois descendre pour «alléger» et monter le côte Gambetta ou plus loin après la Ramière. Un temps révolu qui ne trouve que très peu de témoignages.


Publié le 20/02/2013 à 09:28 

 
Un Troyen remporte la Ronde des Primevères


Le podium de la course des As. 
 
Contre toute attente, c'est un coureur de l'Aube, licencié au club de Troyes, et actuellement en formation professionnelle à Toulouse, qui a remporté, dimanche matin, la course des As de la Ronde des Primevères organisée par la section athlétisme du Scg, autour du stade de la Jonquière. Alexande Bourgeois a terminé les dix kilomètres en 34' 07, soit 5 petites secondes devant le toulousain Sylvain Gobin.

«J'ai découvert cette épreuve. Il y a beaucoup de plat et c'est idéal pour faire une performance. J'ai pris un gros risque en prenant la tête de la course dès le départ. Je suis arrivé à maintenir mes poursuivants à distance, mais dans le dernier kilomètre, je me suis retourné, je les ai vu revenir sur moi et j'ai du serrer les dents, courir à fond pour aller au bout» reconnaît le troyen plutôt spécialiste du trail et du marathon.
C'est Jordan Brugalières qui prend la 3e place. Chez les féminines, Sarah Loussaief l'emporte devant Aurélie Alguacil et Laurence Pavy.

Au total, 137 coureurs ont terminé la course. L'épreuve populaire regroupant 43 athlètes sur 4, 8 km a été remportée par Marc Rodier devant Jerôme Vottero. Sandrine Amodeo première féminine a pris une belle 6e place au scratch, devant Edith Grillet. A signaler les bons résultats des coureurs graulhétois chez les jeunes et la belle santé de la doyenne Josette Chtorkh, qui sur 10 km a laissé une douzaine de coureurs derrière elle.


Publié le 21/02/2013 à 09:42 

 
La FNACA en balade
 
 
Durant quatre jours les adhérents de la FNACA ont pu profiter d'un voyage qu'ils ne sont pas prêts d'oublier.
Le premier jour, ils ont pris le train touristique des Pignes à Digne, direction Nice, avec un arrêt à Entrevaux pour découvrir ce village médiéval.
Le deuxième jour, ils ont assisté au carnaval de Nice avec bataille des fleurs et une vingtaine de chars. Le troisième jour, ils ont assisté à la fête des citrons à Menton avec des magnifiques chars d'agrumes. Le quatrième jour, ils ont visité le massif de Tonneron connu pour ses forêts de mimosa qui, pendant la période du carnaval, lui donnent une parure d'un jaune éclatant.


Publié le 21/02/2013 à 07:49 | J-C C

 
Les services de propreté réorganisés

L'équipe responsable de la propreté de la ville./Photo DDM. 
 
Changer l'image de la ville, leitmotiv des élus municipaux, passe aussi par des idées simples, dont l'amélioration de la propreté des rues. Aussi, les élus ont-il décidé d'investir dans cette action et de modifier l'organisation des services. Cette tâche est souvent oubliée mais primordiale pour les habitants et essentielle pour ce qu'une ville donne à penser d'elle à ceux qui la visitent.

Aujourd'hui, le service «cadre de vie» a découpé la ville en trois secteurs géographiques avec un responsable pour chacun d'eux et des agents qui assurent aussi bien des missions «espaces verts» que «propreté». Dans la droite ligne de la gestion différenciée des espaces verts le secteur du centre ville est prioritaire et désormais les effectifs peuvent être renforcés par des agents des autres secteurs ponctuellement si nécessaire. «Il s'agissait de faire que chacun se sente responsable de son secteur et de préciser les tâches de chacun. Cela n'a pas été une énorme restructuration», confie John Dodds, conseiller municipal en charge du dossier.

Deux balayeuses
Au-delà de la réorganisation des moyens humains, la municipalité a aussi décidé d'investir dans du matériel avec deux balayeuses. La première d'une capacité de 4m3 a coûté 19500€ à la collectivité et la seconde d'une capacité d'1m3, 64000€. Cette dernière plus compacte, permet de nettoyer les sinueuses et étroites rues du quartier médiéval. «Auparavant, il n'y avait qu'un seul engin qui ne pouvait pas intervenir sur les trottoirs ou dans certaines rues. La réorganisation du travail permet aussi de s'assurer que les balayeuses passent partout en ville, avec, bien entendu, des fréquences différentes», explique l'élu.

Ces actions viennent aussi en complément de l'enfouissement des poubelles publiques.
«Nous avons enfoui une quinzaine de conteneurs, ce qui évite les mauvaises odeurs. Grâce à la mutualisation des moyens, avec la communauté des communes, nous avons pu diminuer la taxe des ordures ménagères de 3 % en centre ville et de 2 % en zones périurbaines», se félicite John Dodds. Les habitants de ces zones moins denses verront aussi une petite révolution en juin avec une collecte en porte à porte qui couvrira l'ensemble du territoire.


Publié le 22/02/2013 à 08:07 | 

 
Régie municipale des eaux : une station à la pointe de la technologie

/ DDM
Charles Landry est le nouveau directeur de la Régie municipale des eaux qui collecte et traite les eaux usées et qui produit et distribue l'eau potable. 
 
Rencontre et entretien avec Charles Landry, le nouveau directeur de la Régie municipale des eaux.

Quel a été votre parcours professionnel ?
J'ai travaillé durant huit ans en région parisienne pour le compte d'une des premières entreprises françaises de l'eau et des déchets. J'ai été responsable de l'assainissement durant six ans puis directeur d'agence durant deux ans dans les domaines de la collecte et traitement des eaux usées et la distribution d'eau potable, toujours dans le cadre de contrats de délégation de services publics.

Qu'est-ce qui vous a conduit à venir à Graulhet ?
Il y a d'abord la volonté de découvrir, après une société privée, le fonctionnement d'un service en régie mais aussi le changement de cadre de vie et l'opportunité de rejoindre une région riche culturellement et bénéficiant d'un environnement très agréable.

Le travail de directeur à la Régie municipale graulhétoise est-il différent ?
Techniquement, c'est la même chose. En revanche, les objectifs sont différents. Une régie ne peut pas dégager de marge. Les excédents sont réinvestis dans le fonctionnement, l'innovation ou l'entretien des installations.

Quel regard portez-vous sur le site ?
J'ai été agréablement surpris par la capacité du site (300 000 équivalents habitants) et par les excellentes performances de la station qui recèle de véritables innovations technologiques. Sa particularité est de traiter les eaux usées des particuliers et des industriels. Elle a un potentiel qui permettrait d'accueillir sur le territoire de nouvelles entreprises aussi bien dans les domaines du cuir que l'alimentation ou la chimie.

Quels sont les axes de développement ?
Outre cette capacité de développement économique du territoire, la production et la distribution de l'eau potable aux usagers est un autre aspect du travail. De ce côté-là nous avons pour objectif d'améliorer la qualité de l'eau distribuée.

Qu'en est-il de l'approvisionnement ?
Aujourd'hui l'eau est pompée dans le Dadou puis traitée conformément à la réglementation en vigueur. Cependant, nous allons prochainement devoir faire un choix stratégique entre deux scénarios : la rénovation du site de production ou travailler avec un autre syndicat producteur. Des études ont déjà été menées, le choix devrait être réalisé cette année.


Publié le 23/02/2013 à 03:45   G.D.

 
Anna Mano : des œuvres de douceur soudées de métaux bruts


Anna Mano / DDM
 
Anna Mano est une artiste. Non pas du pinceau, du canevas ou du macramé, non, elle a choisi la sculpture pour s'exprimer et pas n'importe laquelle. Elle est soudeuse. Installée depuis 2006 dans les ateliers d'une ancienne mégisserie, elle vient d'acquérir la reconnaissance de ses pairs en réalisant «Cocon», une œuvre magistrale rassemblant sous des formes douces 9 600 rondelles d'inox lourd, récupérées de l'industrie métallurgique. Elle est depuis quelques semaines exposée dans le parc du Futuroscope, comme l'ont été deux de ses sculptures du même métal dans deux sites coréens. L'heure de la consécration. L'artiste l'espère, elle qui excelle dans la création de mobilier, réalisé toujours avec des métaux de récupération de toutes formes et grosseurs. «L'industrie se déleste de tonnes de déchets. Ils ne sont pas faciles à trouver, mais j'ai mes sites préférés…», assure cet artiste d'origine portugaise qui dit adorer le monumental et qui vient de lancer un singulier projet.

«Il s'agit de proposer à des dirigeants d'entreprises du secteur de la métallurgie une œuvre que je créerai et concevrai spécifiquement pour leur entreprise, élaborée sur place et dont toutes les étapes de fabrication seront accessibles soit directement, soit par le biais d'une trace filmée ou photographiée. Outre l'intérêt évident d'une création artistique mettant en valeur le produit de leur fabrication, la démarche permet de valoriser le travail des ouvriers». Pour l'heure, Anne Mano recherche toute forme d'aide permettant de finaliser le projet en vue de le présenter à des industriels susceptibles d'être intéressés.


Publié le 23/02/2013 à 10:19 | E.B.

 
Il va grimper en vélo les grands cols des Pyrénées


Le Lombersois Patrice Pont se prépare pour la Haute route des Pyrénées / Photo DDM, JM Lamboley 
 
C'est un sacré défi que s'est lancé Patrice Pont, un passionné de cyclisme. Cet habitant de Lombers projette de disputer du 1er au 7 septembre, la «Haute route des Pyrénées», une épreuve cyclosportive de haut niveau. Au menu des 550 participants : l'ascension des cols les plus réputés de la chaîne montagneuse. Aubisque, Hautacam, Peyresourde, Tourmalet, Superbagnères… des noms que les amateurs du Tour de France connaissent bien. Le circuit de la Haute Route qui se dispute en sept étapes, prévoit de franchir tous ces cols mythiques. Autant s'y préparer dès maintenant. 

Le Lombersois, ancien rugbyman de haut niveau (il a porté les maillots de Gaillac, Graulhet et Dijon), suit un entraînement spécifique pour être fin prêt le 1er septembre prochain, au moment de l'élancer sur cette épreuve à Barcelone. «La Haute route, c'est la cyclosportive la plus difficile au monde» explique Patrice qui n'en est pas à son coup d'essai. En quelques saisons, le coureur s'est déjà constitué un beau petit palmarès avec deux victoires sur l'Albigeoise (2 007 et 2 009), des podiums sur la Pyrénéenne et la Classic 11. «Aux beaux jours, je fais deux sorties par semaine. À chaque fois, je ne fais jamais en dessous de 5 heures de vélo auxquelles j'ajoute deux séances de travail musculaire dans la semaine» décrit le Tarnais qui travaille à la mairie de Graulhet.

Après l'ovalie, le cyclisme a toujours été une passion. «J'ai commencé à 32-33 ans après avoir joué au rugby. Les cols pyrénéens, je les connais bien car je les ai déjà tous gravis, mais jamais sur une épreuve de plusieurs jours.» Patrice ne part pas pour faire de la figuration. Il envisage sérieusement «de finir dans les cinq premiers». Reste une dernière étape à franchir : réunir le budget nécessaire. Il a déjà reçu le soutien d'un voisin de Lombers, Laurent Mousnier, responsable d'«Albi diffusion presse». mais le cycliste a encore besoin d'un petit coup de pouce. Si vous souhaitez le soutenir dans cette aventure, n'hésitez pas à contacter Laurent Mousnier qui est déjà son supporter n° 1.


Publié le 23/02/2013 à 03:48 | D.M.
 
Briatexte : La nouvelle Poste a été inaugurée


Le ruban est coupé par le maire de Briatexte.
 
 
Mercredi 20 février, a eu lieu l'inauguration de la nouvelle Poste de Briatexte. Élus, commerçants, représentants de la Poste s'étaient réunis dans les locaux flambant neufs pour procéder au fameux découpage de ruban. Le maire de Briatexte, très habile ciseaux en main, a donc officiellement inauguré la nouvelle Poste avant de se fendre d'un discours au cours duquel il mit l'accent sur «la Poste symbole du service public». Bernard Bacabe a ensuite tracé l'historique de cette rénovation, rappelant que la décision d'acheter ce bâtiment avait été très rapide car les élus briatextois souhaitaient vivement conserver la Poste dans le village. 

Aux travaux réalisés dans l'agence proprement dite, se sont ajoutés ceux nécessaires à la rénovation de l'ancien logement de fonction transformé pour sa part en appartement locatif. Le représentant du conseil général a, de son côté, rappelé que l'opération était blanche pour la municipalité briatextoise grâce au «fonds postal de péréquation territoriale». Cet argent provient essentiellement d'un abattement de fiscalité locale dont bénéficie la Poste et est utilisé pour conserver le maillage territorial en finançant des travaux de rénovation de bureaux de Poste en milieu rural ou prioritaire. Le représentant de la Poste a tenu à féliciter l'agent local et a souligné l'effort fait pour améliorer la qualité de l'accueil. Il a profité de l'occasion pour annoncer une future rénovation de l'agence de Graulhet. 

Le sous-préfet, quant à lui, a évoqué la Poste comme une «vieille maison» qui fut pendant de longues années le seul service public présent dans tous les foyers de France. Ce très bel emplacement commercial, ceux sont environ 7 000 véhicules par jour qui passent devant, avait vocation à continuer dans cet usage et comme le rappelle le maire de Briatexte, faisant par là un bel appel du pied : «L'idéal serait maintenant d'avoir un guichet bancaire…». Il est vrai que la proximité d'un tel appareil favoriserait le travail des commerçants qui sont eux aussi essentiels dans la vie du village.


Publié le 23/02/2013 à 03:51 

 
ACPG : Une présence remarquée au Salon du tourisme


L'association graulhétoise au Salon du tourisme en compagnie du ministre Sylvia Pinel. 
 
L'Association culturelle du Pays graulhétois a participé, mi-février dernier, au Salon du tourisme et des seniors au Parc des expositions de Toulouse. Présente sur le stand de la FFFSH (Fédération française des fêtes et spectacles historiques), l'ACPG estime avoir réalisé cette année un bon salon. De nombreux contacts ont été noués avec les visiteurs, mais aussi avec des représentants de clubs et d'associations dans l'optique éventuelle de venir voir le spectacle 2013 «Occitanie Terre d'histoires» qui sera donné les 19, 20 et 21 juillet prochain sur le site de la Bousquétarié. Visites nombreuses s'il en est, puisque le stock de flyers et de dépliants a été entièrement distribué (plus de 2 500). Des contacts ont également été pris avec des voyagistes et des offices de tourisme du Tarn et de la région Midi-Pyrénées.

Ce Salon du tourisme et des seniors a été inauguré par Sylvia Pinel, ministre du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme. Juste avant de prononcer son discours inaugural, la ministre a effectué un tour du salon et alors que tout le monde s'apprêtait à rejoindre l'espace de presse pour les discours officiels, celle-ci a brusquement fait demi-tour, suivie de l'ensemble des représentants (conseil régional, mairie de Toulouse, Grand Toulouse…) pour venir sur le stand de l'ACPG. Après avoir chaleureusement félicité les présents pour leur implication dans la présentation de fêtes ou de spectacles historiques qui valorisent un patrimoine humain ou architectural, et de ce fait participent à l'animation touristique du territoire, et sur la qualité des costumes présentés, elle a rejoint l'espace de presse.


Publié le 24/02/2013 à 03:46 

 
Embarquement pour les vacances d'hiver

Beaucoup d'activités ludiques sont au programme./Photo DDM
 
 
Le centre de loisirs de l'amicale laïque de la Courbe, accueillera durant les vacances, les enfants de 6 à 12 ans, en deux groupes d'âges sous la direction de Philippe Piccin. A partir de ce lundi 25 février, ils pourront participer à des activités axées autour du thème de la magie, avec un petit stage encadré par un magicien professionnel, Sylvio, pour leur apprendre les bases et un spectacle pour les mettre en pratique devant les copains. 

Pour les reste, le programme relève du classique d'hiver, avec des sorties à la piscine, au carnaval d'Albi, à Cinémômes, au foot en salle et autres balades en forêt si le temps le permet. Plus les jeux classiques à l'intérieur si la météo est mauvaise. Tout au long du séjour, des animations de cirque animeront les lieux. Les enfants sont accueillis à la journée ou à la demi-journée avec possibilité de restauration. Une rotation de bus est prévue sur les différents sites de la ville. A signaler que le séjour ski et surf organisé à la Mongie durant la deuxième semaine, affiche complet. 


Publié le 25/02/2013 à 09:25 

 
Un carnaval associatif

Les pensionnaires de Poney city seront de la fête samedi prochain, pour le défilé du carnaval./Photo DDM 
 
Avec pour partenaires le centre social Caf de Graulhet, Frog and Rock, Poney City et Pistil, le projet de carnaval associatif graulhétois soutenu par la mairie verra son aboutissement samedi 2 mars. Le rendez-vous est fixé à14h30 Place Jourdain, avec en ouverture le défilé de 15h à 16h dans le centre-villesuivi d'un goûter et d'animations de 16h à 17 h Place Jourdain. Au programme, des crêpes et du chocolat chaud avec la cuisinette mobile du centre social, des surprises avec les vélos «trafiqués» par l'association Frog and Rock, les démonstrations des élèves de l'école de cirque Pistil et du poney-club Poney City, sans oublier le brûlage du Bonhomme carnaval confectionné collectivement.

Batucada traditionnelle tarno-brésilienne
Côté musique, la Batucada, orchestre percussif, style maracatu, samba-reggae, sera emmené par Eder Paiva, musicien professionnel tarnais d'origine brésilienne. Il a mis à la disposition des musicien(ne)s amateur(e)s graulhetois(e)s des tambours et instruments traditionnels. Cinq répétitions ont déjà eu lieu à la salle de l'Odéon avec une douzaine de personnes investies dans ce nouvel orchestre festif. Vendredi 1er mars de 14h à 16h (gratuit), le centre social invite ceux et celles qui le souhaitent à participer à un atelier de confection de costumes pour une réalisation de pétassous occitans: tuniques décorées de grandes bandelettes de couleurs vives. Les 28 février et 1er mars après-midi, l'association Pistil propose deux demi-journées de stage de cirque (échasses, jongleries, trapèze...) et maquillage avec Claire de Arc en ciel et Compagnie pour les 8-13 ans 


Publié le 26/02/2013 à 07:59  J-C Clerc

 
Un mois dédié à la condition féminine


L'atelier des Caméléones se déroule à la régie de territoire. /Photo DDM, J-C C. 
 
Associations et institutions vont mettre la femme à l'honneur à Graulhet durant tout un mois à l'occasion de la troisième édition de l'événement «Femmes de mars» qui propose cette année spectacles, conférences, expositions, projection de film et rencontres en différents points de la ville, offrant au fil des ans une programmation de plus en plus riche.
Cette année le centre social, Volubilo, la régie de territoire, le foyer Léo-Lagrange, la CAF, Tarn et Dadou, l'ACSE, Mémoire sociale graulhétoise, le service culturel de la ville, ACZom et le CUCS participent à cette synergie qui s'est construite à partir de la symbolique date du 8 mars, journée internationale de la femme. «A la régie, nous travaillons beaucoup sur l'estime de soi et ses capacités. A l'occasion de Femme de mars, nous organisons des ateliers avec Mika Lopes pour les Camélones et Sylvie Groschatau pour les cartes du corps. Ce sont des moments parfois très forts», souligne Fatima Selam, directrice de la régie de territoire. 

Cette année les Caméléones ne s'exposeront plus sur les murs de la ville mais proposeront une exposition itinérante qui prendra place, entre autres, sur le marché. Son vernissage, ainsi que celui des «Cartes du corps» issues de d'ateliers artistiques de «1,2,3 les timides» aura lieu le 15 mars à la salle de l'Odéon en prélude d'un concert du groupe ACZom. «Nous y donnerons un répertoire de chansons réalistes, une histoire au second degré sur le fait d'être aveuglée par l'amour puis de revenir sur terre», explique Muriel Pecca, membre du groupe.
«Femmes de mars» est à la fois un temps d'expression mais aussi de réflexions et d'échanges sur la condition féminine ici et maintenant mais aussi ailleurs et autrefois. Un regard indispensable pour imaginer ce qu'elle pourrait être demain, après la prise de conscience qu'offre cette année encore l'événement.


Publié le 26/02/2013 à 08:50 

 
Un riche programme pour 2013


Sylvie Groschatau anime l'atelier «Cartes du corps»
 
Du 1er au 31 mars, la médiathèque Margerite-Yourcenar accueillera une exposition de l'association Mémoire sociale de Graulhet intitulée «Femmes de Panessac». Elle proposera aussi le vendredi 8 mars une lecture à haute voix «Mots de femme» à 10h30 et une causerie autour du vécu des femmes du quartier de Panessac à 17h30. Chloé Lacan se produira à l'auditorium le samedi 9 mars à 20h30. Le ciné ne sera pas en reste avec la projection du film «Les femmes du bus 678» en version originale le mardi 12 mars à 14 heures. L'Agora proposera une réunion «Plaisirs de femmes» le jeudi 14 mars de 14h30 à 16 heures et le foyer Léo-Lagrange un atelier de self-défense le vendredi 15 mars de 13h30 à 16h30. La salle de l'Odéon accueillera une exposition collective «Les cartes du corps» dont le vernissage aura lieu le vendredi 15 mars à 18 heures, suivi d'un concert du groupe ACZom. Un goûter-lecture sur le thème de la relation homme-femme sera proposé par les liseuses de Volubilo le mercredi 20 mars à 15h30. C'est enfin une rencontre-débat sur «La parentalité, une histoire de femme ?» qui clôturera le programme le mercredi 17 mars à 15h30.


Publié le 27/02/2013 à 09:12 

 
Belles performances chez les gymnastes

Les trois podiums de l'avant garde
 
Mi février, 3 équipes féminines se déplaçaient à Albi pour les sélections départementales. De très belles performances et des podiums.
L'équipe composée de Charline Laurent, Marie Beauprez, Mélanie Diaz, Emma Gaillca et Stacy Birabent se classe 1ère en catégorie Critérium Benjamine.
L'équipe préfédérale minime/cadette composée de Astrid Birabent, Meredith Hamer, Nissia Harhour Eva Martinez et Emilie Gatimel monte sur la 1ère marche du podium et l'équipe fédérale composée de Manon Cariven, Charline Blanc, Andréa Maio, Mélodie Libouroux et Amandine Spay se classe 4ème.

La division fédérale n'étant pas sous divisée en catégorie cadette, minime sénior ou junior, on peut féliciter ces gymnastes qui ont matché contre des équipes plus expérimentées et ont malgré tout obtenu de bonnes notes pour une 1ère compétition de ce niveau.
Mehdi, Laura et Elsa ont accompagné les gymnastes. Ophélie, Laura et Amandine ont représenté l'avant garde en tant que juges.


Publié le 27/02/2013 à 09:12   G.D.

 
Coup de jeune sur le plus vieux quartier


Robert Py, le président de l'association avec Lyne Mazens et Antonio Fernandes/Photo DDM. 
 
C'est le plus ancien quartier de Graulhet, Panessac, que l'association Mémoire Sociale graulhétoise va raconter à travers des témoignages et une exposition. Début mars, des photos anciennes seront exposées dans le hall de la médiathèque.

Le 8 mars à 17h 30, dans le cadre de «Femmes de Mars», un film de 25 minutes sera présenté en introduction d'une causerie à laquelle tout le monde est invité à participer. «Le but de ces deux manifestations est de garder un témoignage de gens qui ont habité ce quartier quand il était animé. C'était un quartier emblématique, aux ruelles étroites, héritage direct du Moyen Age, ouvrier, habité par une population hautement colorée», assurent Robert Py, le président de l'association, qui, avec Lyne Mazens et Antonio Fernandès, ont réalisé le film qui met en scène Annie, Anne-Marie, Laurette ou Georges qui ont habité Panessac. «On s'aperçoit que la plupart des anciennes familles graulhétoises ont des origines dans ce quartier. Nous avons pu retrouver, maison par maison, qui habitait où et quel était son surnom. Il y a même eu un maire, Henri Mérou, qui résidait en ces lieux».

Si Antonio ne les a pas connus, Lyne a passé sa jeunesse dans le quartier du Château», que la Grand-Rue séparait de Panessac.
«On était de l'un et pas de l'autre, même si on se connaissait et si nos grands-mères lavaient le linge au même bassin de la porte du Gouch». Au fil des rencontres, des dizaines d'anecdotes ont été consignées.


Publié le 27/02/2013 à 09:12 

 
Natation : médailles du TOAC et meeting
 
 
Les poussins et benjamins étaient samedi 16 à Toulouse à la grande piscine Léo-Lagrange pour la deuxième journée qualificative des médailles du TOAC. 9 nageurs ont disputé le 200 nl ou le 200 4 n le matin puis une douzaine de camarades les ont rejoints l'après-midi pour les 50 et 100m de spécialités. 34 MPP ont été réalisées sur la cinquantaine de courses.

Lors des 200m, les enfants progressent de dix à quinze secondes à l'image d'Ismael Tabouche 2'54''47 et de Juliette Sénégats 3'29''56 en 200 NL.
Sur 50 nage libre, Samy Chikhaoui et Nathan Mauriès ont démontré de belle manière qu'ils avaient franchi un palier. Charlie Ramboer et Justine Vaudé améliorent de plus de dix secondes leur 100 pap. Lors du 100 dos, Raphael Zougab gagne près de trente secondes, Julie belière tombe huit secondes au 50 brasse.

Le dimanche 17, c'était au tour des minimes et plus pour le meeting de qualification à Saint-Affrique. Malgré la fatigue due à la période de travail, il n'y a pas eu de contre-performance, les chronos sont encourageants : Ivana Maio et Camille Guiraud progressent de dix secondes sur 200 NL, Aurélie Vaudé gagne quatre secondes sur 200 brasse (3'38''48), Laure Thorel trois secondes lors du 100 dos et Margaux Mauriès une seconde sur 100 brasse. Hugo Michel améliore de trois secondes son temps du 50 pap (39'15) et Nicolas Papin une seconde au 50 NL (31'54). Adrien Causse, Bilel Chikhaoui, Samy et Yann Freslon réalisent à peu de choses près leur chrono.


Publié le 28/02/2013 à 08:50   G.D.

 
Alain Phalippot : de l'ovalie à la boule

Alain Phalipot ballon en main, à l'orée des années 1980./Photo Collection privée A.P. 
 
À l'époque, Alain Phalippot pointait en en-but comme aujourd'hui dans les cadres de pétanque. Sa reconversion sportive, il l'a parfaitement réussie en devenant une star de la boule, champion de France triplettes en 2007 à Dijon avec Lagrade et Delforges. Un trophée qu'il n'a jamais décroché au rugby car, avant de devenir la hantise des adversaires de nationaux, fort dans l'art de la déstabilisation, il l'a été ballon en main sur tous les terrains de l'Hexagone, sous les couleurs des deux Sporting. Ce pur produit de l'école graulhétoise a joué sous les deux maillots. «Sur un coup de tête, j'ai signé à Mazamet, juste après mes douze mois au Bataillon de Joinville. J'ai été sanctionné d'une licence rouge qui m'a interdit de jouer en 75-76. La saison suivante, nous avons joué et gagné le match de la montée à Millau avec Quénor, Arrambide, Cauquil, Fabre et Thiverier. Alain Blain était entraîneur. Juste après, je revenais à Graulhet où j'ai joué jusqu'en 85».

Et paradoxalement, durant ces dix années, le solide troisième ligne centre n'a jamais rencontré Mazamet, mis à part en Pavois du Tarn, version initiale. «Je crois me souvenir que les deux clubs ne jouaient pas dans la même division». En regardant les photos d'époque, face au Grand Béziers, au Stade toulousain, à Agen, ses départs derrière la mêlée avec son compère «Papi» Bellot, il retrouve cette nostalgie commune aux gens de sa génération. «Le rugby à cette époque représentait les villes, grandes et petites, dans une même compétition. On avait une équipe de copains à Graulhet comme à Mazamet.» Depuis qu'il a raccroché les crampons, il ne suit que de loin les parcours des deux Sporting, préférant l'actualité bouliste. Ce dimanche, sauf imprévu, il sera à Noël-Pélissou à rêver de jeunesse éternelle, à applaudir la belle gestuelle. Histoire de voir s'il reste encore un peu de cet esprit de clocher qui sied à merveille aux derbys.


Publié le 28/02/2013 à 08:51 

 
Trois concerts samedi soir au Frog and rock
 
 
La Gardienne et Perez se produiront ce samedi 2 mars à 20h30 au Frog and Rock. Le duo partagera la scène avec Maxime d'Artensac solo et du groupe By the way. Épaulés par trois autres musiciens, La Gardienne & Perez a sorti en 2011 un premier album, «Chair à Chers». Au fil de nombreux concerts, il a confirmé son importance dans le paysage musical régional. By the Way offre deux voix qui s'entremêlent pour tracer une route résolument folk, teintée de pop, aux harmonies délicates. Le groupe vient de sortir son premier album. Maxime d'Artensac, quant à lui, est un artiste dans la lignée des Singer-Songwriter. Son univers navigue entre folk, jazz, pop, l'anglais et le français.

 
«Anna Danse», nouvelle création de Thierry Balin, a été proposé le 23 février sur la scène de Frog and Rock

Page réalisée à partir du site ladepeche.fr


Le Théâtre du Phare a donné «Oh boy !» le 21 février au Forum.
 

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