Graulhet : Rétro Avril 2019 -1-
GRAULHET : Du Bruc à Ricardens
Graulhet : Rétro Avril 2019 -1-
Publié le 01/04/2019 à 08:17 | La Dépêche du Midi | G.D.
Pauline Martin, poursuit sa carrière en Finlande
Au départ, Pauline Martin avait un peu peur de partir dans l'inconnu, mais au final elle a apprécié l'accueil de son club finlandais. / Photo DDM
Pauline Martin, une Graulhétoise de Briatexte a commencé le volley à l'âge de 7 ans à Cadalen. À 14 ans elle a intégré le pôle espoir féminin de Talence, puis le pôle France Junior à Toulouse.
«Un centre où les «meilleures» joueuses de la catégorie junior sont regroupées pour former l'équipe de France junior, j'ai alors participé aux compétitions internationales dans ma catégorie» Puis elle a signé un contrat jeune avec le club de Béziers, y a passé 5 saisons avec pour finir un titre de Championne de France de ligue A. Pour cette saison, elle a décidé de tenter l'expérience à l'étranger, à Hämeenlinna Lentopallokerho en Finlande, dans un championnat «Mestarusliiga», l'équivalent de la Pro A en France. «Il est difficile pour une jeune française de se faire un petit nom dans le championnat français, les clubs professionnels ont tendance à privilégier les étrangères et donc mettre les Françaises en second plan.
Elle joue en ligue des champions
Alors il arrive un moment donné, si l'on veut faire carrière dans le volley, il faut commencer à réfléchir sur ce qui est le mieux pour y arriver, pour moi, à 23 ans je me suis posé la question «pourquoi pas l'étranger ?», alors j'ai contacté un agent qui m'a permis d'y arriver et aujourd'hui je suis en Finlande, dans un club qui joue une ligue des champions, et qui surtout qui joue le titre de champion de Finlande. Je découvre aussi une autre manière de vivre dans un autre pays» assure-t-elle avec l'aplomb d'une sportive de haut niveau. «Je suis passeuse. Un poste clé dans le jeu, puisque le passeur est le joueur qui dessine le jeu, qui décide de qui aura le ballon pour marquer le point, il est un peu comme le leader de l'équipe».
Qualifiée pour les demi-finales, elle est loin de regretter son choix même si le volley n'est pas forcément le sport majeur en Finlande, loin derrière le hockey. Avec toujours l'envie de défendre les couleurs de son pays.
«Pour l'équipe nationale, oui je suis effectivement sélectionnable, comme un grand nombre de joueuses à mon poste. C'est un objectif, après c'est sûr que si j'y arrive, c'est vraiment top, je n'ai pas forcement de compétition particulière dans le viseur, pour l'instant l'objectif c'est d'être sélectionnée et y aller étape par étape, mais la plus grosse c'est bien sur les JO de 2024 à Paris». Et quand on demande à la Briatextoise si elle envisage de revenir jouer en France. «Honnêtement, ce n'est pas mon projet pour le moment. J'aimerais bien pouvoir continuer à évoluer à l'étranger, découvrir d'autres championnats. Après je ne suis pas contre si l'opportunité se présente mais la France n'est pas mon premier choix».
Mis à jour le 02/04/2019 à 08:32 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
L'art du bois pour tous avec la Menuiserie mobile
Jean-Louis Cucala intervient auprès d'enfant et d'adolescents pour leur apprendre l'art du bois comme support éducatif./ Photo DDM
L'association La Menuiserie mobile propose depuis longtemps des ateliers d'initiation au travail du bois. Elle accueille désormais les stagiaires entre ses murs.
«Au début, je me déplaçais avec l'équipement sécurisé dans des instituts tels que le centre social, la MJC, les jardins partagés, les écoles centres de loisirs, la médiathèque, les maisons de retraite», explique Jean-Louis Cucala, animateur et formateur.
Au fil des ans, la structure a évolué pour être aujourd'hui agréée «jeunesse éducation populaire» et «organisme de formation», lui permettant d'intervenir auprès d'agent du CCAS, de réaliser des évaluations en partenariat avec Pôle Emploi ou d'assurer des stages de découvertes des métiers du bois pour la MFR Bel-Aspect.
«Mon épouse assurant le rôle de famille d'accueil, c'est tout naturellement que je me suis orienté, pour le compte de la Menuiserie mobile, vers l'accompagnement pédagogique d'enfants et d'adolescents», souligne Jean-Louis Cucala, qui poursuit : «l'expression manuelle est un support éducatif autorisant le lâcher prise pour ces enfants ayant eu souvent un parcours chaotique».
L'expression manuelle comme support éducatif
Dans l'atelier, on retrouve Maurrine mais aussi Mélissa, élève de seconde générale au lycée Las-Cases de Lavaur, qui confie : «je fais ici mon stage avec le lycée. J'aimerais intégrer le lycée des métiers d'art du bois et de l'ameublement de Revel».
C'est un lieu que Jean-Louis Cucala connaît bien pour y avoir fait ses classes il y a quelques années.
L'atelier est résolument ouvert à tous. Adria, enfant de 9 ans malentendant, est accompagnée de sa «traductrice en langage signé».
Grâce à l'ASE de Haute-Garonne, il réalise des marionnettes et des figurines. Antoine, quant à lui, a réalisé une maquette dans le cadre d'un travail scolaire pour lequel il a obtenu la note de 20/20.
La structure favorise le recyclage dans ses fournitures grâce à un partenariat avec des entreprises locales. C'est ainsi qu'un jeu de quilles sur table trône au centre de la pièce avec pour base des barreaux de rampe.
Pour plus de renseignements, joindre l'association au 06 29 73 56 82.
Mis à jour le 03/04/2019 à 08:42 | La Dépêche du Midi | G.D.
Le Troc Plantes pour échanger des variétés rustiques
Le rendez-vous du Troc Plantes est fixé au samedi 13 avril, dans la salle de l'Odéon. / Photo, DDM
Le premier Troc Plantes a commencé en 2009, en collaboration avec Les Jardiniers de France (association nationale maintenant disparue) auxquels les Amis du Jardin Graulhétois, alors présidés par Jeanine Moro, étaient associés.
«Si la manifestation a permis d'amener de nouveaux adhérents comme Bernard Huet. Précieux, l'objectif principal est toujours resté l'échange de plantes, de graines, de boutures et de fournitures diverses du jardin», assure le président actuel Christophe Assalit, qui réunit dans l'association 122 adhérents – originaires principalement des environs de Graulhet et Gaillac mais aussi d'Albi et de tout le département – qui reconnaît aussi que la rencontre entre passionnés est l'un des moteurs de dix ans d'existence du Troc Plantes.
Un lieu d'échange de jardiniers amateurs
«L'autre objectif très important est de rapprocher les jardiniers amateurs afin qu'ils fassent connaissance, échangent leurs trucs et astuces», ajoute-t-il. Difficile de savoir combien de jardiniers débutants ou confirmés sont passés par cette manifestation.
«Nous avons eu parfois 200 à 300 personnes et plus de 30 exposants. Certains viennent avec un panier et restent peu de temps, d'autres prennent une table». Des plants plus connus à des variétés plus rares.
Des variétés anciennes plus résistantes
«Mais pour l'essentiel ce sont des plantes de jardin plus ou moins répandues. Pour certaines, elles ne se trouvent pas toujours en jardineries car d'aspect pas assez vendeur ou passé de mode mais ce sont souvent des plantes plus résistantes et rustiques. On ne trouve pas beaucoup de plantes en pleine floraison dans un troc plante, c'est complémentaire des producteurs professionnels», précise l'organisateur qui donne donc rendez-vous pour cette dixième édition, le samedi 13 avril, de 9 heures à 13 heures, à la salle de l'Odéon.
«Parfois, certains n'ont rien à échanger et laissent un petit don à l'association. D'autres proposent des confitures ou des gâteaux. Il y a toujours moyen de trouver quelque chose pour faire plaisir».
Christophe Assalit propose aussi une initiation à l'affûtage des outils durant la journée. «Amenez vos sécateurs, cisailles, couteaux, ciseaux. Prenez aussi votre pierre à fusil, ça nous permettra de travailler à plusieurs. Et si quelqu'un a une petite meule de pierre à pédales, il pourrait l'amener, ça nous permettrait d'expérimenter une autre technique.»
Publié le 03/04/2019 à 08:47 | La Dépêche du Midi |
Les échos du rugby : une belle soirée Rugb'images
Marc Métairon / DDM
Caméra. Durant le débat de Rugb'images au Vertigo, un cameraman a filmé toutes les interventions à des fins fédérales. Marc Métairon, le fameux œil du Magazine du Rugby de l'époque et de sa «guirlande d'essais», a rappelé des belles heures du rugby graulhétois aux nostalgiques.
Graulhétois. À la présentation des intervenants par Sylvain Fadat, du Midol, et celle de Fabien Pelous qu'il présentait comme ancien. Le seconde ligne international a coupé le journaliste pour lancer «Graulhétois». Preuve qu'après tant d'années, de saisons et de péripéties, Fabien n'a pas oublié le club qui l'a vu éclore.
Ballon rond. Parmi les spectateurs du débat, il en est un qui a été très attentif aux évolutions de ce rugby, sport collectif s'il en est. C'est Raphaël Carrus, le président du District du Tarn de football, qui a salué la volonté de faire évoluer les règles d'un rugby.
Absents. Romain Poite était excusé, en déplacement professionnel en Angleterre, tout comme Joel Dumé, le «patron des arbitres», convoqué au ministère des Sports. Mathias Rolland était, lui, à la cérémonie en l'honneur de Rory Cockott à Castres. Cédric Marchat, l'arbitre international venu de son Ariège d'adoption, a animé les débats et répondu avec Kevin Braley et Alain Rey aux nombreuses questions sur l'arbitrage.
Mis à jour le 04/04/2019 à 08:27 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
Un «parcours sécurité» des écoliers sur les bons gestes
La cour de récréation a été transformée en circuit pour vélos./ Photo DDM, J-C C
Sortir rapidement d'un bus, les bonnes pratiques lorsqu'on est passager, ne pas prendre de risque lorsqu'on marche en bord de route, alerter les secours : des gestes qui peuvent paraître annodins, mais pourtant pas si souvent mis en pratique qui ont été abordés à l'occasion du «parcours citoyen» destiné aux élèves de CM2 de l'école de Crins.
Ce dernier est désormais bien connu des écoliers de la ville et de leurs parents.
Une matinée banalisée a permis aux plus grands d'entre eux de participer à une opération de sensibilisation à la sécurité routière à travers des ateliers réalisés en lien avec la Federteep pour les bus, la Maif pour le bon comportement en tant que piéton, l'Amicale laïque pour le vélo, l'Adepec (Association pour la défense et la promotion de l'enseignement de la conduite)ou même avec les sapeurs-pompiers pour les gestes de premier secours.
«Prendre conscience des gestes de sécurité»
Si la plupart des informations ont déjà été abordées en classe (ou le seront), cette action vise avant tout à «faire prendre conscience de l'importance» des petits gestes relatifs à la sécurité, soulignent les organisateurs.
Peu avant midi les parents étaient invités à la remise des diplômes concluant cette matinée.
«À l'occasion de ce parcours sécurité, toutes les matinées, les partenaires interviennent dans les différentes écoles. On peut apprendre à porter secours même quand on est un enfant», souligne Karine Renaud, coordinatrice du réseau d'écoles.
Si cette action a concerné les élèves de cycle 3, les élèves de cycle 2 de la ville participeront à un parcours sur le patrimoine qui a été repensé.
Des ateliers leur permettront de faire connaissance avec l'architecture médiévale située au cœur de ville.
Publié le 05/04/2019 à 08:32 | La Dépêche du Midi |
L'aménagement du quartier de Crins 2 se poursuit
Les travaux d'aménagement se poursuivent dans le quartier de Crins. Un nouvel accès a été créé avenue de l'Europe et des allées piétonnières en béton balayées de couleurs ocre ont été tracées. Ce nouveau paysage urbain laisse déjà apercevoir des dalles alvéolaires enherbées qui vont accueillir des aires de stationnement.
Le nouveau visage du quartier laissera plus de place aux végétaux qui permettront de favoriser l'infiltration de l'eau de pluie dans les sols.
La prochaine phase de travaux devrait débuter en mai avec la création d'un parvis commercial.
Le dévoiement de l'avenue de Provence, quant à lui, aura lieu en même temps que l'aménagement du carrefour de l'avenue de l'Europe.
Mis à jour le 09/04/2019 à 09:07 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
Les œuvres en bois de Brignac au foyer Léo-Lagrange
L'artiste est venu présenter son travail./ Photo DDM, J-C C
Jusqu'au 26 avril, le foyer Léo-Lagrange, dans le cadre de son partenariat avec Art Graulhet et l'Eveil artistique, accueille une exposition d'œuvres de Brignac.
Le premier étage du foyer des jeunes travailleurs devient ainsi pour la troisième fois une galerie d'art ouverte à tous.
Depuis seize ans, le bois inspire Thierry de Villoutreys de Brignac. Depuis neuf ans, il y consacre désormais tout son temps.
«Au tout début, je venais de terminer un meuble de cuisine et j'allais à mon atelier pour trier le bois. Il y avait deux planches sur mon établi. Je les ai regardées et je me suis dit qu'il y avait là quelque chose», se souvient l'ancien psychologue et psychothérapeute qui a exercé pendant dix-huit ans.
Le recyclage au cœur de son travail
Si l'artiste autodidacte travaille à plat pour réaliser ses œuvres, ces dernières ne sont pas sans relief. Le recyclage est au cœur de son travail, qu'il s'agisse de chutes de menuiserie, de rebut de scierie ou de pièces trouvées. Il donne ainsi vie à une matière destinée au feu ou à l'oubli, transformant ces laissés pour compte en œuvre d'art. «J'ai commencé à faire des tableaux pendant trois ans, puis, un ami m'a proposé d'exposer alors que je n'y avais jamais pensé», confie l'artiste qui a participé à 150 expositions en quinze ans.
Pour opérer cette transmutation, l'alchimiste casse, brise, pulvérise patiemment le bois, sa matière de prédilection.
Il convient ensuite de polir, chanfreiner les pièces, les assembler pour leur donner sens. Il ne s'agit pas là de puzzles mais de véritables bas-reliefs réalisés dans une matière vivante associant les essences, nœuds et colorations.
Sa grande œuvre est, au final entre la figuration et l'abstraction et toujours reconnaissable au premier coup d‘œil.
Avec cette nouvelle exposition, le foyer de jeunes travailleurs Léo-Lagrange s'ouvre au grand public et devient plus que jamais un lieu de vie et de rencontres.
Mis à jour le 10/04/2019 à 08:37 | La Dépêche du Midi | G.D.
Un ancien médecin publie les perles de ses patients
Jean Rouanne dédicacera son recueil «Le Toubib enfile des perles» / DDM G.D.
Il les adore, ces jeux de mots, ceux qui échappent, ces doubles sens, ces confusions de situation, qui font souvent la richesse et parfois l'originalité de la langue d'ici, Jean Rouanne. Il aurait pu être enseignant, il a été docteur, généraliste, acupuncteur, homéopathe, connu comme le loup blanc dans cette sphère de blouses immaculées. De quoi écouter des patients plus de quarante ans durant, leurs maux et leurs mots à eux pour les dire. «Et les gens, chez un docteur, se livrent facilement. Parfois, l'anecdote ou l'affirmation, lourde de sens, n'était pas publiable.».
Mais ce qu'il a voulu retenir, c'est le savoureux, l'humoristique, le cocasse.
En notant sur son agenda, et depuis 1996, ce florilège de perles sans en signaler pour autant l'auteur au lecteur. «Il n'y a aucune modification, que de l'authentique, du pittoresque !» Quitte à prendre parfois ses aises avec la langue française. «Vous comprenez, il faut que je tache moyen de ménager les enseignants, parce que j'en ai une charretée au-dessus de moi, je crois six générations, et moi, je n'ai pas tourné comme il fallait !» Il a donc décidé, une fois à la retraite, d'éditer les centaines de perles qui auront émaillé deux décennies de consultations.
Parfois, la citation l'interpelle ou le fait sourire. «J'ai des douleurs. J'ai dû monter avec un va-nu-pieds !» Va comprendre ! Ou encore : «on a la belle-sœur qui s'est faite opérer d'une descente d'organes, alors on y va pour lui remonter le moral !». Des comme celles-là, il y en a des centaines au fil des soixante pages du recueil que Jean Rouanne a pris le temps d'illustrer de dessins et coloriages.
L'humour n'est pas exclu de ses prescriptions
En conclusion, l'ancien médecin reconnaît que ces citations sont à prendre à la légère et à remettre dans un contexte de confiance réciproque. «Je considère que la consultation est un échange entre un médecin et un patient qui n'a pu régler le problème de santé seul.
Certains acceptent mal cet «échec» d'où la nécessité de les accompagner en leur proposant d'être acteur de leur propre guérison». Et l'humour parfois n'est pas exclu des prescriptions.
Mis à jour le 11/04/2019 à 03:59 | La Dépêche du Midi | J-C. Clerc
Les Amis de la danse fêtent leurs 23 ans
Le mois dernier le bal costumé a connu un véritable succès./ Photo DDM
Les amateurs de danses de salon du département – et parfois d'ailleurs – connaissent le rendez-vous.
L'association des Amis de la danse va souffler, mardi prochain, ses vingt-trois ans après son lancement.
C'est en effet le mardi 16 avril 1996 qu'a eu lieu, déjà dans la magnifique salle du Forum, le premier thé dansant de celle qui était alors une tout nouvelle association.
Son nom allait rentrer dans l'histoire de la ville, les Amis de la danse proposant presque chaque semaine un rendez-vous musical et festif aux amateurs de tango, rumba, paso-doble et autres valses ou autres javas. Aujourd'hui c'est par centaines que se comptent les thés dansants organisés par les amateurs de danses de salon.
Le premier bal a été animé par un orchestre formé depuis peu au nom de Francis Bernard et dans lequel jouait comme trompettiste et chanteur José Paz, fondateur de cette nouvelle association et qui en est toujours actuellement le dynamique président. «J'ai une pensée toute particulière pour Francis Bernard qui vient de nous quitter juste avant l'arrivée du printemps», souligne le musicien et danseur.
Le hasard du calendrier fait que cette année l'anniversaire de l'association, ou plus exactement de son premier thé dansant, aura lieu le même jour, vingt-trois ans plus tard, ce mardi 7 avril. Comme toujours, les portes du Forum s'ouvriront à 14 h 30. C'est la superbe formation de l'orchestre Gilles Saby, avec ses cinq musiciens, qui animera cet après-midi dansant.
Le prix de l'entrée ne changera pas pour l'occasion, restant toujours à 5 euros, mais mousseux et jésuites seront offerts ce jour-là pour marquer cet anniversaire.
Les prochains rendez-vous des Amis de la danse auront lieu le mardi 7 mai avec l'orchestre Christian Luc, le mardi 14 mai avec l'orchestre Jean-Pierre Laurens, le mardi 21 mai avec l'orchestre Tonic Musette et le jeudi 30 mai avec l'orchestre Jean-Paul Hosselet.
Les derniers rendez-vous de la saison auront lieu les mardis 11 juin avec Daniel Rebel, 25 juin avec Marc Moreau et 2 juillet avec Jacky Laffont.
Mis à jour le 11/04/2019 à 08:37 | La Dépêche du Midi | J-C Clerc
Les Petits Frères des Pauvres auprès des plus vulnérables
L'équipe Tarn Ouest des Petits Frères des Pauvres dans son local graulhétois./ Photo DDM
L'équipe des bénévoles de l'association caritative des Petits Frères des Pauvres du Tarn Ouest s'est réunie au local de Graulhet pour une journée conviviale de rencontre.
Ce moment a permis aux bénévoles œuvrant au sein de l'association de faire plus amplement connaissance.
Cet évènement a aussi été l'occasion pour eux de réfléchir à leur mission et de travailler à un projet d'équipe pour répondre au mieux à l'accompagnement des personnes de plus de 50 ans souffrant d'isolement et aux personnes gravement malades et/ou en fin de vie.
Une équipe «de terrain»
«La journée a été très riche en échanges, en partage. Un moment qui a permis d'établir un projet collectif pour l'avenir autour d'un bon repas et de gourmandises préparées par les bénévoles», souligne une des participantes.
L'association s'est donnée pour mission d'offrir une présence à des personnes âgées, favoriser le lien social et agir contre la vulnérabilité.
L'équipe Tarn Ouest est l'une des 360 associations qui, partout en France, luttent contre l'isolement et la solitude des personnes âgées, prioritairement les plus démunies, et leur permettent de retrouver goût à la vie. Pour mener à bien cette tâche, les bénévoles sont organisés en équipes afin d'être au plus près des personnes qu'ils accompagnent et de favoriser l'engagement des bénévoles
La recherche de bénévoles
L'association recherche tout au long de l'année de nouveaux bénévoles pour garantir les actions qu'elle mène, mettre en œuvre et faire vivre le projet d'équipe.
Sur ce sujet, ceux qui y participent déjà soulignent que «l'engagement n'est pas chronophage et toutes les bonnes volontés sont les bienvenues». Cet engagement permet de se rendre utile, acquérir de nouvelles expériences et vivre une aventure collective selon ses disponibilités.
Pour joindre l'association les Petits Frères des Pauvres du secteur de Gaillac, Lavaur, Graulhet, il suffit de téléphoner au 06 30 99 33 09 pour tout renseignement complémentaire ou bien signaler des personnes de plus de 50 ans isolées et souffrant de solitude et de pauvretés multiples.
Une permanence est assurée au local de l'association, situé 32 avenue Victor-Hugo, le jeudi, de 10 heures à 12 h 30.
Mis à jour le 12/04/2019 à 08:17 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
L'office du tourisme a fait son gala
Sabine Brosse, directrice de l'office du tourisme. / Photo DDM, J-C C
C'est au Forum de Graulhet que s'est déroulée, hier, «l'assemblée originale» de l'office du tourisme «Bastides et Vignoble du Gaillac».
L'occasion de se retrouver pour les partenaires notamment pour évoquer l'organisation des premiers trophées du tourisme.
Le mauvais temps n'a pas pu permettre aux participants de bénéficier de la surprise qui leur avait été concoctée.
Pour remplacer les démonstrations de planeurs Jacques Galès, président de l'association Tarnaise de vol à voile, a accueillis les partenaires.
Avec pour thème « Le tourisme fait son gala», la cinquième édition a permis d'échanger entre professionnels.
Les participants ont pu bénéficier d'informations de MeFerrié, ancien avocat,en matière d'hébergement.
La ville en a profité pour faire découvrir ses atouts aux acteurs du tourisme avec une animation sur le thème du cuir réalisée par Marion Pelegry.
Il a surotut été l'occasion de dresser un bilan des actions passées et d'annoncer celles à venir.
Sabine Brosse, directrice de la structure, a notamment expliqué, au-delà des actions de marketing, l'importance de la relation clients, qui va être travaillée tout comme les actions «hors les murs» et le contenu numérique.
Les lauréats
Culture et valorisation du patrimoine : Les musicales de Montmirail ; Expérience culinaire : O gourmandises d'Alice (chocolaterie, Vertus) ; Hébergement : Le Moulin de Carré (gîte, Florentin) ; Vie nocturne : La Berlue (brasserie, Gaillac) ; Baccus : Le château Lacroux (sentier de découverte, Lincarque) ; Cuir et valorisation de savoir-faire : le château Tauziès (Gaillac) ; Loisirs : Le domaine de Candale (apiculteurs, Lisle-sur-Tarn) ; Prix spécial du jury : le festival des lanternes (Gaillac).
Publié le 12/04/2019 à 08:17 | La Dépêche du Midi |
Les élèves allemands reçus à l'hôtel de ville
Les élèves français et allemands devant l'hôtel de ville. / DDM
C'est un moment qui fait partie désormais de la tradition. Mardi, la salle de la République de l'hôtel de ville a accueilli la réception des élèves allemands dans le cadre des échanges entre les élèves du collège Louis-Pasteur et leurs homologues du collège de Prien. Stéphane Raymond, professeur d'allemand au collège, fait toujours preuve d'enthousiasme et de dynamisme.
Cette cérémonie a été présidée par Philippe Gonzalez, premier adjoint, et Blaise Aznar, adjoint en charge du sport et des associations. Vingt-trois correspondants sont accueillis cette année par les familles des collégiens français. Ils vont durant plusieurs jours découvrir la région.
Publié le 12/04/2019 à 08:17 | La Dépêche du Midi |
Réfection totale des trottoirs de la rue Bosquet
Les trottoirs de la rue Bosquet qui relie la place du même nom à la rue Beauséjour viennent d'être refaits.
Ces travaux ont été réalisés en régie par l'équipe du centre technique municipal de la ville en charge de l'aménagement de la voirie.
Jusqu'à cette intervention une partie seulement des trottoirs de la rue Bosquet était bétonnée alors que les autres parties étaient encore en gravier.
Cette opération permettra donc aux personnes évoluant en fauteuil roulant ainsi qu'aux jeunes parents dont les enfants sont en poussette de ne plus devoir circuler sur la chaussée.
Outre ce confort et l'aspect visuel amélioré, elle offre aussi un autre avantage de taille en simplifiant l'entretien pour les équipes chargées du désherbage des espaces publics.
Mis à jour le 13/04/2019 à 09:07 | La Dépêche du Midi | G.D.
Charcuterie : une médaille d'or pour un boudin tradition
Lionel Catala prépare 40 kg de boudin de viande par semaine./ DDM G.D.
De la tête de porc, du boyau naturel, quatre heures de cuisson au bouillon, et le boudin tradition de Lionel Catala peut passer en vitrine. Le boucher-charcutier vient de remporter à Mortagne-au-Perche, le fief des concours charcutiers et siège de la Confrérie du Goûte Boudin – qui a annoncé le palmarès le week-end dernier – la médaille d'or pour la région Aquitaine-Midi-Pyrénées.
Un titre qu'il partage avec les réputés Abadie à Pau et Massonde à Souraïde.
Sur la plus haute marche du podium
En répondant positivement à tous les critères de présentation et de dégustation, les boudins de viande graulhétois se sont hissés sur la plus haute marche du podium et ont reçu diplôme et médaille, exposés comme il se doit sur le comptoir de l'avenue Charles-de-Gaulle.
«Plus de 600 boudins de toute la France étaient en compétition. Nous avions participé au concours en 2015, mais avions été sanctionnés par un jury impitoyable, pour un léger manque d'assaisonnement mais quand même remporté une médaille de bronze. Cette fois nous avons su corriger l'erreur», reconnaît Lionel en surveillant la cuisson des 40 kg hebdomadaires, quelle que soit la saison, dans la cuisine attenante au laboratoire. Les porcs viennent de Sorèze et sont travaillés dans ces locaux.
«Notre recette est celle de notre famille. Déjà mon grand-père faisait le même du côté de Lasgraïsses. Il avait été conseillé par Marcel Pigot qui savait le préparer comme personne». Reprise en 1978 par son père rue Pasteur, la boucherie-charcuterie de Lionel est depuis huit ans installée sur une des grandes artères de la ville. Les amateurs de boudin et de tradition devraient dans les jours qui viennent trouver l'adresse facilement.
Publié le 12/04/2019 à 11:28| La Dépêche du Midi | JMG
Deux mineurs interpellés pour des feux de voitures à Graulhet
Les images de videosurveillance et l'ADN ont permis de les confondre. / DDM, JMG
Deux mineurs de Graulhet connus pour être en errance, ont été interpellés mercredi et présentés au juge jeudi pour avoir volontairement incendié trois voitures fin janvier.
Mis à jour le 13/04/2019 à 09:07 | La Dépêche du Midi | G.D.
Un festival à l'Uzine valorise les artistes locaux
Purple Plane est né en 2013 et a enregistré son premier EP deux ans plus tard. / Photo DDM, Purple Plane
Après avoir tenté un timide premier pas en 2018, l'association Les Marées Chaudes va en faire un grand, ce samedi 13 avril, en organisant un prometteur Festival de musique à l'Uzine. Une appellation qui rappelle le caractère industriel et mégissiers des locaux de la rue Jules-Ferry dans lequel il va tenter de mixer les genres.
«Nous n'avons fait appel qu'à des talents locaux. En voulant les faire profiter de l'espace pour s'exprimer et montrer au public les différentes activités artistiques qui sont nombreuses sur Graulhet», explique Xavier Maréchal, professeur de musique, qui tient son cours dans ces locaux.
Toutes les activités artistiques représentées
Les 300 mètres2 vont ainsi profiter aux photographes, musiciens, chanteurs et groupes, en parfaite harmonie avec un public invité à verser «une participation libre, responsable et nécessaire».
Et comme le regretté Jean Mazelier a laissé une œuvre photographique conséquente, il sera un peu la star de la soirée avec une rétrospective qui lui sera consacrée. En fait, à partir de 15 heures, la scène sera ouverte par la chorale La Petite Rugissante. Suivront le duo de blues Happy Deviles puis les élèves de Xavier Maréchal qui, au piano, à la basse, à la guitare ou à la batterie, introduiront en fin d'après-midi le début de soirée avec ouverture du bar et du point restauration.Le festival se poursuivra sur des airs de chansons françaises de Lady Blush puis la star du festival, Purple Plane et son rock qualifié d'hybride par les spécialistes.
Après un an de travail sur de nouvelles compositions, la formation de six musiciens sera de retour sur scène, en avant-première de la sortie de son deuxième EP, enregistré au Studio de la Vierge, Toulouse. «Un rock sous tension, riche d'escales vers le blues, le jazz, la world music. Un rock français hybride, énergique et onirique. Transes instrumentales, chansons à texte ou mélopées ont fait la part belle aux frissons et vibrations crescendo». C'est Dymusic et son électro qui fermera le ban de ce premier festival que l'organisation espère bien installer dans la durée.
Publié le 13/04/2019 à 08:57 | La Dépêche du Midi |
Assemblée générale des chasseurs :
«Les chasseurs sont des acteurs essentiels de la ruralité»
Jean-Claude Pradier, président de la Fédération des chasseurs du Tarn./ Photo DDM, DR
La Fédération des chasseurs du Tarn tient son assemblée générale ce matin, à Graulhet, en présence notamment de la présidente d'Occitanie Carole Delga et du président du conseil départemental du Tarn Christophe Ramond.
C'est ce matin à Graulhet que Jean-Claude Pradier, président de la Fédération des chasseurs du Tarn, qui compte 10 700 adhérents, va ouvrir l'assemblée générale.
Carole Delga, présidente d'Occitanie, et Christophe Ramond, le président du conseil départemental du Tarn, le sénateur Bonnecarrère et la députée Verdier-Jouclas doivent venir à la rencontre des chasseurs.
Comment se porte la chasse dans le Tarn ?
La chasse se porte bien dans le Tarn. Nous avons des choses très satisfaisantes même si je reste prudent.
Quid des sangliers ?
L'an dernier, on a craint que la population de sangliers explose. Le tableau est passé de 4000 à 5000 sangliers. Les chasseurs ont fait le boulot.
Qu'en a-t-il été des dégâts agricoles par le grand gibier ?
Le montant des dégâts agricoles s'est monté pour les chasseurs autour de 70 000 €. C'est resté stable. Nous finançons également des actions de prévention à hauteur de 60 000 à 70 000 € tous les ans. Nous sommes attentifs à l'évolution des dégâts agricoles mais aussi portés à nos amis sylviculteurs.
Les chasseurs s'affichent comme des acteurs de la biodiversité…
Dans le Tarn, nous avons une politique d'ouverture et de partenariat. Les relations sont apaisées. Nous nous intéressons beaucoup à la biodiversité et menons des actions d'éducation (lire ci-dessous) en lien avec nos partenaires avec le CPIE, les pêcheurs. Le parcours pédagogique autour du bâtiment de la fédération des chasseurs est également très sollicité.
Les chasseurs sont aussi des acteurs de la ruralité
Les chasseurs sont des acteurs essentiels de la ruralité. Dans le cadre du Grand débat, nous avons envoyé un questionnaire sur l'ensemble du territoire. Nous avons eu 6 800 réponses. Nous les avons versées au grand débat. Il ressort qu'il faudrait se pencher davantage sur la ruralité et ses besoins. Il faudrait réfléchir à redonner du pouvoir aux maires locaux. Tout le monde ne vit pas à la ville.
Au niveau de la chasse pure qu'en est-il ?
En termes de chasse pure, le bilan pour la palombe est satisfaisant. C'est un peu plus compliqué sur des espèces comme la bécasse. On suit le lièvre de près avec le plan de chasse. Il y a eu une baisse de la population. Nous savons être raisonnables.
Qu'en est-il du climat autour de la chasse ?
Le climat général est apaisé, nous sommes dans un département paisible. Pour la première fois, nous avons des actions du collectif AVA contre la chasse à courre, cela m'inquiète. Jusqu'alors, les chasseurs ont eu une attitude raisonnable. Je ne sais pas combien de temps cela peut durer ? Il faut que les pouvoirs publics prennent les choses vraiment en main. Nous sommes dans un état de droit, on ne peut pas ainsi interdire cette pratique. C'est un sujet extrêmement préoccupant.
Publié le 14/04/2019 à 09:42 | La Dépêche du Midi | GD
Le café des Créateurs s'installe en ville
La terrasse, avec musique et table espagnole vendredi soir. / DDM G.D.
Vendredi soir, l'animation place Jean Moulin, n'est pas passée inaperçue des piétons et des automobilistes. Terrasse bien garnie, musique et ambiance bon-enfant, La Ma Fado a installé ses activités en plein centre-ville. Après un timide essai pour Noël 2017, rue Jean Jaurès, puis un succès certain à Noël 2018, rue Verdaussou, cette boutique de créateurs est passée du stade éphémère à celui de définitif. C'est en tout cas l'objectif de Catherine Udino qui préside l'association animatrice des lieux. «La fréquentation exponentielle de la boutique de décembre, nous a encouragé à franchir le pas.
La boutique rassemble une quinzaine de créateurs de modèles uniques, artisanaux ou personnalisés. Les gens sont de plus en plus intéressés par ces objets-là. Nous sommes aussi soucieux de nous développer autour d'une éthique liée au développement durable ainsi qu'à l'économie circulaire, qui-plus-est, en ne rassemblant que des créateurs installés dans un rayon de 20km maximum. Nous visons ainsi un public de tous âges et toutes conditions» assure-t-elle en accueillant les visiteurs. C'est le cas par exemple, de Hozho Art et Craft installé à Serviès, des Boites d'Alice dont l'atelier est à Lavaur, de Bijoux et Talisman de Briatexte ou encore de Pachamara venu de St Paul.
«La boutique qui bénéficie avec sa nouvelle installation d'une visibilité plus importante, sera ouverte du mercredi au samedi, et le dimanche matin. A tour de rôle, nous y assurerons la permanence, et l'accueil des clients». Mais La Ma Fado veut aussi développer un volet social. «Nous sommes aussi café associatif. Nous avons obtenu l'autorisation d'installer notre terrasse sur la place. Nous ne servons que des boissons sans alcool et en mai, nous envisageons d'ouvrir un point de petite restauration le midi». A terme, l'association envisage de créer des ateliers de transmission de savoir-faire animés par les créateurs de la boutique. Maroquinerie, bijoux, objets déco ou autres création en liège ou en matériaux nobles, sont en vitrine et bien en vue dans cet ancien magasin d'optique.
Publié le 15/04/2019 à 09:07 | La Dépêche du Midi |
L'Amicale laïque attractive en 2018
Élus et administrateurs en tribune partagent de nombreuses valeurs communes./ Photo DDM
«Avec une nouvelle augmentation d'effectifs déjà importants, les accueils de loisirs de l'Amicale vont à contre-courant de la tendance nationale ; cela démontre le dynamisme de l'association toujours en quête d'améliorations, et le fort investissement de toutes ses composantes : salariés, bénévoles, administrateurs». Par ces mots, Claude Fita, vice-président de l'Agglo, synthétisait l'atmosphère de l'assemblée générale de l'Amicale Laïque. Auparavant, la mémoire de Janine Abribat, militante attachante, et d'Yves Vaïsse, pionnier infatigable, a été saluée.
Les divers responsables de secteurs ont ensuite dressé le riche bilan de l'année 2018, dont il est difficile d'extraire quelques éléments. Le chœur d'hommes Fiesta a enchanté les festivités du vignoble gaillacois aux marchés catalans. La gym d'entretien a évolué en parallèle avec des rencontres amicales de volley. La collaboration avec les écoles (USEP, parcours citoyens, classes de neige) a renforcé la cohésion éducative sur la localité.
Avec 41 980 journées enfants, les 4 maisons de l'enfance ont intéressé 85 % de la population scolaire élémentaire, poursuivant leurs multiples actions éducatives, intergénérationnelles, citoyennes, débouchant sur deux superbes manifestations – spectacle de Noël et carnaval- qui ont connu un franc succès.
Hausse de fréquentation de 12 % durant les vacances
Pendant les vacances scolaires, le centre de loisirs de La Courbe a connu une augmentation de fréquentation de plus de 12 %, ce qui renforce sa position et son attractivité sur le sud de l'Agglo, en complément avec les 11 camps ou séjours à l'extérieur.
Ce bon taux de présences joint aux efforts de gestion déployés par tous a permis au trésorier Christian Pradelles de présenter un bilan financier positif – 2 137 173 € de charges-, dont le léger excédent est déjà réinvesti dans les rénovations ou futurs équipements. Un nouveau conseil d'administration, composé à parité par 20 personnes, a été élu pour deux ans.
Dans son rapport moral, la présidente Karine Renaud a souligné la nécessité de la coéducation avec les familles, ainsi que les valeurs relatives à la citoyenneté, à la tolérance à la fraternité, au respect… Le futur projet «Grandir en citoyen par le jeu» vise à prévenir les incivilités et développer la créativité chez les jeunes.
Mme Furini, présidente de la CAF, a salué les nombreuses actions qui donnent du sens et permettent à l'enfant de se construire, remerciant les bénévoles pour leur conviction.
Pour conclure, Max Guipaud, conseiller départemental, a souligné le rayonnement de l'Amicale Laïque au-delà des limites du territoire et qui concourt à son enrichissement.
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