Graulhet : Rétro Février 2019 -2-

23/11/2019

  GRAULHET : Du Bruc à Ricardens  



  Graulhet : Rétro Février 2019 -2-  


Mis à jour le 16/02/2019 à 08:42  | La Dépêche du Midi |   G.D.

Pascal Roussel reprend la présidence de Parta'G


Avant d'être élu président, Pascal Roussel a présenté sur écran les bilans de 2018/ DDM G.D.

Ils l'avaient annoncé depuis plusieurs semaines. Daniel Sannou et Florent Calas ont laissé leur place de présidents lors de l'assemblée générale de Parta'G, l'Association des commerçants et artisans graulhétois, à laquelle a participé Blaise Aznar, adjoint au maire.
En conclusion de ses multiples mandats, Daniel Sannou a regretté l'intérêt moindre porté au fonctionnement de l'association par ses membres : «nous avons envoyé 180 convocations. Nous sommes à peine vingt».

Une tendance confirmée par la baisse des adhérents qui sont passés de 70 en 2017 à 53 l'année dernière.
Dans les comptes rendus, deux jolis succès avec le défilé de mode et les animations de Noël et un excédent de 2 000 euros dans la caisse.

Un bulletin de santé du commerce local qui annonce aussi une quinzaine d'ouvertures pour quatre fermetures et un taux de vacance de locaux commerciaux (38 %) légèrement inférieur à celui de l'exercice précédent.
L'heure était venue d'élire un successeur au duo démissionnaire. Un seul candidat : Pascal Roussel, concessionnaire et garage automobile.

Élu à l'unanimité, il a assorti sa satisfaction d'une recherche de candidats pour les postes de secrétaire et de trésorier. Seule son épouse Nadège a manifesté son accord pour l'une des deux responsabilités. Le couple s'est donc donné dix jours pour arriver à composer le nouveau bureau, mais déjà, Pascal Roussel a pu annoncer plusieurs projets et objectifs.

Une révision des statuts
Avec en première attention, une révision des statuts. «Ils datent de l'époque de Cœur de Ville et ne sont plus adaptés aux contraintes et besoins du commerce local». Il a aussi envisagé de redynamiser l'association en resserrant les liens entre adhérents actuels et – il l'espère – futurs. «Je serai un président à l'écoute de tous. Pas celui qui décide de tout, tout seul».

L'urgence reste selon lui la création de commissions.
D'autant plus que le défilé de mode d'avril qui fait désormais partie des animations incontournables approche à grands pas.


Mis à jour le 19/02/2019 à 08:17  | La Dépêche du Midi |     Jean-Claude Clerc

Un ravitaillement «H24» à l'aérodrome


Il n'a jamais été aussi simple de «faire le plein»./ Photo DDM

C'est une petite révolution qui vient d'avoir lieu à l'aérodrome. Depuis quelques jours il est désormais possible d'y réaliser un ravitaillement 24 heures sur 24.
Cet aménagement, porté par la commune et l'agglomération, permet à la fois de diminuer l'astreinte des bénévoles qui gèrent le site et d'agrandir la potentialité de l'aéropôle graulhétois.

Jusque-là, il revenait aux bénévoles de l'aéro-club – à qui la municipalité a délégué la gestion de l'aérodrome – d'assurer l'avitaillement. Ils devaient ainsi non seulement assurer l'opération mais aussi la facturation du carburant ainsi que le suivi financier avec Total.
Avec ce système, lourd à gérer pour les bénévoles, une vingtaine d'avitaillements étaient réalisés pour les «extras», l'essentiel de l'activité étant réalisé pour les utilisateurs habituels du site (aéroclub, vol à voile, pro, etc.).

Désormais, tous les pilotes qui détiennent une carte Air Total, savent qu'ils peuvent s'arrêter à Graulhet pour «faire le plein» de façon autonome lors d'une escale programmée ou impromptue.
Une centaine d'aérodromes sont équipés d'un système équivalent en France.
Du côté des bénévoles, il reste désormais à réaliser les purges plusieurs fois par semaine pour vérifier la qualité du carburant ainsi que l'entretien périodique et la maintenance non planifiée afin de garantir en permanence aux pilotes la possibilité de se poser à Graulhet en trouvant du carburant.

Cette nouvelle possibilité permet aux avions de tourisme de profiter d'une escale d'agrément avec un restaurant situé en bord de piste, mais aussi offre une option supplémentaire lorsqu'un appareil est dérouté.
Cet avitaillement constitue ainsi une carte supplémentaire pour le site.
Ce dernier devrait par ailleurs voir son développement se poursuivre, offrant de nouvelles possibilités d'accueil pour le loisir comme pour le secteur professionnel.


Mis à jour le 18/02/2019 à 03:58  | La Dépêche du Midi |   G.D.

Le forum du bien-être a bouclé son programme


8e édition du forum du bien-être du 22 au 24 mars 2019

Le programme dans le détail de la 8e édition du forum du bien-être qui se déroulera du 22 au 24 mars prochain, est bouclé depuis des mois. C'est donc dans le détail que peut travailler Sylvie Mas la présidente organisatrice de l'association Protection de la Santé et du cadre de Vie. Le dimanche proposera un «bouquet final» consacré au chemin de vie propre à chacune et chacun. Il sera abordé par une éducation à un auto-accompagnements des émotions par Marie-Vaillant & Jean-François Rousseau, l'Emergence de l'Âme et Chemin de Vie par Thierry Vissac, l'ouverture à son chemin de vie de Bien-Être, d'amour et de connaissance par Patrick Le Berre, le chemin de vie ou projet de vie ?

Ce que peut apporter l'astrologie par Fanchon Pradalier-Roy entre-autres intervenants. Autre thème abordé au final : «Pour accompagner l'enfant dans ses stades de développement». «En éclairant son propos d'un peu d'histoire, de neurosciences, de psychopathologie et de sa propre histoire, Chloé Elkaïm décortique certaines logiques de l'éducation ordinaire, prises pour admises…

Pas de recette toute faite mais un questionnement ouvert sur une éducation qui cherche son équilibre instable au sein de chaque famille, unique et singulière. Sans omettre la gravité et le sérieux du propos c'est par le rire et la déculpabilisation que chaque idée sera retournée comme une crêpe, pour passer d'une éducation de domination à une éducation de respect et réaliser un humble pas vers une société de paix.» explique Sylvie Mas qui proposera dans la yourte, pour les enfants et gratuit une présentation sur la géobiologie et les ondes (pour les enfants de 10 à 16 ans), un test sur votre intuitif avec les percussions africaines pour trouver votre rythme interne par Yannick Thuaudet, puis une imagination de notre vie future, atelier de bricolage et enfant à partir de 4 ans par Valérie Rovol.

Soixante-six exposants seront présents, l'entrée du salon est gratuite, un coin restauration dans le Forum avec «Couleurs Papilles» et un restaurant partenaire «l'Aviation» à 50m. «Nous vous rappelons qu'il y a un challenge : Un mieux-être pour les résidents des maisons de retraite graulhétoises – grâce à vos dons des séances leur seront offertes & soutien à l'école la ferme des enfants «Université vivante Le Hameau des Buis Chaulet».


Publié le 19/02/2019 à 08:17  | La Dépêche du Midi |   

Graulhet Benfica se relance


L'ossature de Graulhet Benfica n'a pas beaucoup bougé par rapport à l'an dernier, mais l'arrivée de Thomas Auriol, Gaétan Marty et des jeunes Leny Rivayran et Mehdi Harhour a fait beaucoup de bien au club. / Photo archives

Pampelonne – Graulhet Benfica : 0-1
Les Grauhétois se relancent dans la course à la quatrième place après ce succès chez son principal concurrent. Auteur d'une bonne première mi-temps, le Benfica concrétise ce temps fort par l'ouverture du score d'Auriol. Pampelonne est privé de ballon mais surtout «inexistant» selon les propos du président Fouillade. Un peu plus fringant en seconde période, Pampelonne est trop rarement dangereux pour espérer égaliser tandis que le Benfica, incapable de faire le break, sera inquiété jusqu'au coup de sifflet final. Désormais maîtres de leur destin, les hommes de Paracuellos ont besoin d'un nul et d'une victoire pour s'assurer de la quatrième place.


Publié le 21/02/2019 à 08:37  | La Dépêche du Midi |   

Une signalétique plus claire à la déchèterie


Les usagers de la déchèterie bénéficient d'une signalétique plus claire./Photo DDM,  J-C C

Si lorsqu'on entre dans une déchèterie on a une idée précise de ce que l'on souhaite jeter, il n'est pas tout le temps évident de trouver où les déposer. La nouvelle signalétique de la déchèterie de Graulhet a été mise en place par Trifyl, le service public départemental de valorisation des déchets ménagers a pour but de guider au mieux les usagers.

Désormais, à la déchèterie de Graulhet, chaque benne est identifiée par un panneau vertical de 2 m de haut sur 60 cm de large. Ils peuvent être aperçus dès l'entrée dans l'aire de dépôt. Chacun indique la nature des produits acceptés avec des photos explicites de ces matériaux ainsi que leur liste. On trouve ainsi pour les déchets végétaux branchage, taille, tonte, feuillages…
Le panneau indique aussi quelle pourra être la seconde vie de ces matériaux, par exemple pour les végétaux le compostage ou la méthanisation. Enfin, cette signalétique comprend aussi des interdictions très claires, mentionnées par écrit et doublées de pictogrammes.

De tels panneaux ont été installés pour les métaux, le bois traité, le bois non traité, les gravats inertes, le tout-venant, les meubles et les cartons. De nombreuses autres déchèteries de Trifyl bénéficient ou vont bénéficier également de cette nouvelle signalétique dans le souci de toujours améliorer le service public dont l'accès est toujours gratuit pour tous les particuliers.
La plupart des déchèteries reprennent également les batteries, les piles, l'électroménager, les petits appareils électriques les écrans, les lampes, les huiles de vidange et huiles de friture, les déchets spéciaux, les textiles, le verre…

Pour davantage de renseignements sur les 35 déchèteries gérées par Trifyl, il est possible de consulter le site www.trifyl.fr et bien entendu de demander conseil aux gardiens présents à tout moment.
Enfin, pour être complet, la déchèterie, située à la zone industrielle du Rieutord, avenue Georges-Ravari, est ouverte au public du lundi au samedi de 8 heures à 12 heures et de 14 heures à 17 h 50.


Mis à jour le 20/02/2019 à 08:07 | La Dépêche du Midi |   G.D.

Le labo d'analyses médicales a pignon sur le boulevard


Philippe Escapat et quelques-unes de ses collaboratrices. / DDM G.D.

Depuis le début du mois, le laboratoire d'analyses médicales a déménagé entre le chemin des Litanies et le boulevard Général-Leclerc qui tient lieu de rocade, la salle de sports et le discounter, non loin de cette maison de santé pluridisciplinaire tant attendue par les Graulhétois. Membre d'un groupement de biologistes indépendants, filiale d'Inovi, le laboratoire acquiert ainsi une seconde jeunesse. C'est Philippe Escapat qui en est le propriétaire après avoir investi autour de 500 000 € pour assurer les travaux.

«En répondant obligatoirement aux exigences nominatives», s'empresse-t-il d'assurer. Il a repris le labo en 2000, alors dans la rue Carlac, à la suite de M. Malavialle. Une situation improbable, peu d'éclairage, de parking et de visibilité. Un état des lieux actuel qui annonce le contraire avec des locaux clairs, spacieux et bien agencés sur 250 m2, dédiés à l'accessibilité en particulier des personnes à mobilité réduite. «Les conditions d'accueil des clients et de travail pour la dizaine de mes collaborateurs sont ainsi bien améliorées. Nous sommes passés de 2 à 3 secrétaires et de 2 à 4 salles de prélèvement. Nous traitons en moyenne 180 dossiers d'analyses biologiques par jour».

Et pour compléter l'éventail des possibilités de laboratoire, Philippe Escapat porte une attention particulière à la partie préanalytique, en formant par exemple le personnel infirmier de l'hôpital local. «Le regroupement permet un accès nécessaire aux technologies les plus récentes en matière de biologie médicale, de recherche et de traitement des bactéries résistantes en milieu hospitalier». Un équipement apprécié par les Graulhétois qui ont rapidement trouvé la nouvelle adresse.


Publié le 23/02/2019 à 07:57  | La Dépêche du Midi |     

Les filles du basket font la course en tête


Les U18 féminines de la section basket du SC Graulhet / DDM

Les U18 féminines de la section basket du SC Graulhet qui sont en CTC (coopération territoriale de clubs) avec Briatexte sont en tête de leur championnat interdépartemental – Tarn-Lot – avec un bilan de 6 victoires pour 1 défaite seulement. Elles sont donc toujours en course pour une demi-finale régionale. Un groupe entraîné par Benoit Massoutier qui vit très bien malgré un effectif réduit. Les seniors filles de Graulhet évoluent en championnat Prérégional et sont entraînées par Joffrey Calvet depuis 4 saisons maintenant. 

À ce jour, le bilan après 12 rencontres est de 11 victoires pour 1 défaite. Le groupe est en tête de son championnat avec 2 victoires d'avance sur le second actuel Cunac Lescure. Il reste 6 rencontres à cette équipe qui commence à entrevoir une probable montée en Régionale 3, un niveau qu'elles n'ont plus atteint depuis 4 saisons. Le groupe, qui se renouvelle chaque saison, est aujourd'hui composé de 10 joueuses âgées de 15 à 46 ans. Deux belles formations exemplaires pour les jeunes sections du club présidé par Nassera Boudjadja.
 
 
Publié le 22/02/2019 à 08:32  | La Dépêche du Midi | 
   
Lycée : mobilisation contre la dotation horaire


Manifestation des personnels devant le lycée / Photo DDM

La DHG (dotation horaire globale) est une enveloppe d'heures octroyée par le rectorat (pour les lycées) en fonction des effectifs prévus, des options ou des spécialités proposées et des diverses voies d'orientation et les moyens humains en termes pédagogiques.

Les enseignants élus du conseil d'administration du lycée Clément-de-Pémille et les personnels de l'établissement dénoncent la baisse des moyens horaires en liaison avec la réforme du lycée professionnel, la suppression partielle ou complète des dédoublements de classes (soit des classes à 30 élèves à la rentrée 2019) ainsi que le regroupement des élèves de formation, d'option, de niveau différents et le risque de suppression du poste d'AED TICE.

«Nous ne pouvons accepter la gestion de la pénurie de moyens et refusons la proposition de cette DHG dont le volume global ne permet pas une répartition qui réponde aux besoins de l'établissement», expliquent les enseignants. Si la proposition a été adoptée à la majorité du conseil d'administration par 11 voix contre 8, la motion exprimée par les enseignants l'a aussi été par 13 voix contre 5.

Un courrier a été envoyé au DSDEN du Tarn pour relater cet état de fait, ainsi qu'une proposition reflétant les besoins réels des différentes disciplines.
«Nous constatons que ces mesures s'inscrivent dans un cadre de rigueur budgétaire où la rentabilité l'emporte sur l'offre à fournir aux citoyens», expliquent les enseignants, dénonçant «une suppression massive de postes à l'Éducation nationale portant atteinte à la qualité du service public d'éducation et de formation».


Publié le 22/02/2019 à 08:32  | La Dépêche du Midi |   

École Victor-Hugo : quand les enfants d'Ulis font l'Histoire


Les enfants. /Photo DDM

Jusqu'au 8 mars, l'Archéosite de Montans accueille «Les enfants font l'histoire saison 2», une exposition réalisée par l'Ulis de l'école Victor-Hugo. Depuis bientôt dix ans, les élèves de la classe Ulis de l'école Victor-Hugo se sont lancé un défi : reproduire sous forme de maquettes des scènes de la vie quotidienne de nos ancêtres. Pas à pas, dans la salle de classe transformée en atelier, avec des trésors d'ingéniosité, ils remontent le temps pour toucher l'Histoire… du bout des doigts.

Les objectifs sont de permettre d'aborder l'Histoire en faisant vivre certaines problématiques spécifiques des différentes périodes : le feu, la recherche de nourriture et d'abri, pendant la Préhistoire, la maîtrise des métaux, l'agriculture, l'écriture pour l'Antiquité, le système féodal pour le Moyen Âge.

Ces ateliers de bricolage et de fabrication, en développant la maîtrise motrice, la créativité et le sens pratique, permettent de saisir l'ensemble de la démarche de construction et de se situer par rapport à ce qui est fait, ce qu'il reste à faire parfois sous la contrainte relative d'échéances : expositions, interventions extérieures. En réalisant ces maquettes, les enfants ont parcouru différents corps de métiers, pris conscience de quelques règles de construction et acquis un vocabulaire spécifique. Enfin, la reconnaissance du travail effectué au travers du regard des autres élèves ou des adultes est un puissant élément de motivation pour l'ensemble des apprentissages.

Cette approche offre des situations d'apprentissage ancrées dans la réalité des élèves. Le projet de classe propose ainsi un équilibre entre des activités relativement balisées et structurées et des temps plus informels mais susceptibles d'engager les enfants dans une dynamique d'ouverture aux autres et de plus grande confiance en soi.


Publié le 23/02/2019 à 04:11  | La Dépêche du Midi |   G.D.

«Pêcheur» d'épaves d'avion en mémoire de son papy


Gérard Andrieu et l'un des moteurs Gnome et Rhône 480 CV repêché en mer dans les années 90. /  DDM G.D.

C'est en lisant Kessel que René Andrieu – décédé en 2008 – s'était pris de passion pour l'aviation et s'est donné un but, lui qui était cloué à vie sur son fauteuil roulant. Fondateur du club d'aéromodélisme, il avait trouvé son Graal en suivant les pas des pionniers de l'Aéropostale et en se lançant à la recherche des épaves qui ont jalonné leur histoire. Il avait recentré ses recherches sur un avion mythique, immatriculé F-ALAI, péri en mer, qu'il n'a jamais retrouvé. À force de persévérance et de volonté, mais aussi de connaissances, il s'est alors penché sur le crash d'un hydravion de l'Aéropostale, un bimoteur Cam 56 en bois, construit à quatre exemplaires et perdu entre Alger et Marseille, au large de Port-Vendres, en février 1930. Il a pu repérer l'épave et trouver les moyens et les autorisations de remonter les deux moteurs. 

Aujourd'hui, c'est son petit-fils Gérard qui les a dans son garage et qui veut tenter de faire le récit de la vie de son grand-père et de l'histoire de cet avion. «Cette découverte a été l'épreuve et le moteur de sa vie», reconnaît respectueusement le chef d'atelier mécanique de 29 ans. «Il a eu une vie marquée par son handicap qu'il a pu surmonter par la passion pour ses recherches et le monde de l'aviation qui lui a servi de thérapie. Il avait à l'époque reçu les encouragements de Jean Daby, le copilote de Mermoz, et de Gaston Vedel, lui aussi pionnier de l'Aéropostale».

Gérard Andrieu se lance donc dans la recherche de témoignages et d'éléments qui pourront étayer cette histoire commune de son grand-père et du parcours de cet avion. «C'est un hommage posthume que je lui dois», assure-t-il en sachant la difficulté de retrouver des témoins forcément d'un âge avancé. «Mais aussi des élèves du début du club d'aéromodélisme à qui il a sûrement transmis sa passion !»
En parallèle, il recherche un musée qui serait intéressé pour récupérer ces pièces de moteur. «Pour les 100 ans de l'Aéropostale, ce serait génial !».

      
Publié le 26/02/2019 à 08:17  | La Dépêche du Midi |     

Un nouveau chef de bassin au centre nautique


Fabien Lechevanton est le nouveau chef de bassin du centre nautique municipal. / Photo DDM, J-C C

Originaire de Lombers, Fabien Lechevanton, 27 ans, est le nouveau chef de bassin du centre nautique municipal depuis quelques semaines.

Quel est votre parcours ?
J'ai d'abord fait une licence d'histoire puis un master dans les métiers de l'enseignement pour faire conseiller principal d'éducation (CPE).
J'ai nagé en club de 6 à 21 ans, j'étais spécialisé en sauvetage sportif. Je suis reparti en STAPS à Montpellier où j'ai obtenu une licence etle titre de maître nageur avant de passer le concours d'éducateur territorial des activités physiques et sportives.
J'ai effectué des remplacements, travaillé à Albi, au stade nautique de Pessac ou à Toulouse avant de postuler ici comme chef de bassin.

Vos premières impressions ?
Je suis ravi. La structure est familiale, on crée très vite du lien avec le public, on reconnaît les gens. C'est d'ailleurs ce lien que vient chercher le public ici.

Quel est le rôle d'un chef de bassin ?
On est responsable du service, il faut gérer la partie administrative, mais aussi le personnel présent, composé de deux maîtres nageurs, deux agents d'accueil entretien et le machiniste.
Il faut aussi s'occuper du recrutement, en haute saison l'effectif est doublé. Je conserve tout de même une fonction de maître nageur, c'est une chose à laquelle je tiens avec de la surveillance, de l'encadrement, de la pédagogie.

Quel est le public du centre nautique ?
Nous accueillons chaque jour six établissements scolaires. L'ouverture au public doit se faire en dehors de ces heures-là.
Le samedi, on est ouvert le matin et l'après-midi au public avec, entre autres, des cours de «bébé plouf».

Comment se déroulent ces vacances au centre nautique ?
Cette semaine, le centre nautique est fermé pour cause de nettoyage des locaux et des plages. La seconde semaine nous accueillerons le public tous les après-midi de 14 heures à 19 heures.


Mis à jour le 24/02/2019 à 10:12  | La Dépêche du Midi |   G.D.

Vacances à la Courbe avec l'Amicale laïque


La Courbe ouvre ses portes avec le beau temps ce lundi. / Photo DDM

Après une période d'«hivernage» et de travaux d'entretien, le centre de vacances de la Courbe va reprendre du service. Du 25 février au 8 mars, les enfants de 3 à 12 ans seront accueillis chaque jour dans ce cadre champêtre, par les équipes d'animation de l'amicale laïque, sous la direction de Bernadette Da Cruz. Les maternelles sont invitées à vivre un «Voyage en Antarctique» avec des activités créatives, sportives, des promenades hivernales et la traditionnelle fête de fin de séjour. Sans oublier «pour les enfants de 3-4 ans, des activités de matinée adaptées et après le repas, un temps de sieste proposé avec un réveil échelonné». 

Pour les élémentaires, là aussi le programme a été pensé ludique, agrémenté de repas à thèmes, de «chasse au trésor», de «vente aux enchères», de parcours d'orientation et de petit accrobranche. «Cependant, les activités prévues sont susceptibles de changer en fonction de la météo» précise Frédéric Marty, le directeur administratif de l'amicale laïque.

Séjours à la neige
Plusieurs rotations de bus sont prévues avec départs et retours de Briatexte et devant les quatre écoles publiques de Graulhet. «Nous avons mis en place des réservations en ligne et un programme détaillé jour par jour sur notre site internet. Les parents peuvent également retrouver tous ces documents sur notre page Facebook».
Dans le même temps, l'amicale laïque organise un séjour neige pour les enfants de 7 à 9 ans et un séjour ski pour les enfants de 9 à 15 ans, à la Mongie, du lundi 25 février au samedi 2 mars. Deux séjours qui remportent chaque année un franc succès auprès des enfants.


Mis à jour le 25/02/2019 à 07:52  | La Dépêche du Midi |   G.D.  

Fête royale et marche turque pour l'ACPG


Une partie des bénévoles ont assisté à la rélection du bureau. / DDM, ACPG

Pas de grands bouleversements lors de la dernière assemblée générale de l'Association culturelle du Pays graulhétois (ACPG). Alain Huc garde la présidence, bien secondé par Françis Auriol, assisté de Marie-Claude Ramirez et Eric Marroule. Parmi les diverses responsabilités des sections costumes, déco ou matériel, figure le nom de Michel Rodier. «Il est le nouveau responsable espaces verts et développement durable. Il a en charge l'entretien de notre site, sans utilisation de pesticides, de préserver la bio diversité de la partie qui longe le Dadou et de veiller au respect des normes environnementales en matière de déchets», explique Françis Auriol.

Une façon de confirmer le virage pris par l'ACPG sur le site de l'avenue Marcel Pagnol, utilisé l'été dernier pour la première fois, et sur lequel l'association a déménagé son matériel autant que ses activités. C'est donc en toute sérénité que la troupe prépare son spectacle son et lumière à venir, joué les 19, 20 et 21 juillet prochains, intitulé Des siècles et des hommes.

«Il évoquera Graulhet au cœur de la Grande Histoire de France. De l'époque Gallo-romaine au XVIIe siècle, les acteurs et figurants de l'association, accompagnés de professionnels du spectacle, feront revivre les riches heures de ce coin d'Occitanie» annonce Alain Huc.

Marche turque et feux d'artifice
La première scène se déroulera en 61 après J.C, sur les hauteurs qui surplombent ce qui deviendra Graulhet, où Julius Pompeus Gracius, riche fermier gallo-romain, dans sa «pas urbana» (maison de maître), supervise ses esclaves et ses paysans.

Ceux-là travaillent la vendange et l'entreposent dans des amphores venues des poteries installées non loin de là, à Montans et à Giroussens.
Le spectacle se terminera avec le comte d'Amboise-Aubijoux, Lieutenant-général du royaume de France, Gouverneur du Languedoc, donnant une fête en son château de Crins.

Dans les merveilleux jardins de l'Ilote pour honorer Jean-Baptiste Poquelin dont il est le bienfaiteur, il donne une fête orientale.
Une scène qui mettra en œuvre tout le savoir-faire de l'ACPG avec entrée des artistes au milieu des invites, marche turque, cérémoniel du mamamouchi, jets d'eaux, feux d'artifice, et bouquet final. Rendez-vous dans cinq mois.
 
 

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