Publié le 07/12/2017 à 07:22 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Soulery Respect / Photo AFP On l'imaginait solide comme un rock, tant Johnny nous avait habitués à « rester vivant ». Il avait traversé l'époque avec la fureur d'un fauve, ce permanent désir de mordre la vie et forcément s'y brûler – trop de cigarettes, trop de scotch, trop d'amours, trop d'amis, trop de nuits, trop de coups, trop d'excès –, si bien que, depuis quelques mois,...
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