Du Bruc à Ricardens
Actualités octobre 2013
Publié le 01/10/2013 à 09:36 | La Dépêche du Midi |
Les étudiants planchent sur le lac de Nabeillou
Les étudiants viennent de visiter le site.
Les étudiants préparant leur deuxième année de Master Aménagement et développement de l’environnement spécialité ingénierie du développement des villes petites et moyennes à l’université Champollion d’Albi se sont rendus à Graulhet et sur les bords du lac de Nabeillou dans le cadre de leurs études.
Le site du lac a en effet été choisi en guise d’atelier. «Les étudiants vont venir jusqu’en décembre tous les jeudis sur le site de Nabeillou afin d’étudier cet espace et de proposer un projet pour l’ensemble. Graulhet sera pour eux un atelier, une mise en situation de travail. En janvier, ils viendront tous les jours» explique Thibault Courcelle, maître de conférence en géographie et responsable pédagogique de ce master, aux côtés de François Taulelle et Ysal Fijalkow, fondateurs et responsables formation de ce master.
A l’occasion de cette première visite sur le terrain les étudiants ont aussi été reçus à l’hôtel de ville par le directeur général des services et la directrice des services techniques. Ils ont bénéficié d’une présentation de la ville dans plusieurs de ses dimensions : géographique, historique, mais aussi culturelle et urbanistique. Un état des lieux du site et de ses possibilités a été transmis aux étudiants.
Ces derniers se sont déclarés enchantés par les lieux et ont hâte de plancher sur le projet. Claude Fita, maire de la ville, les a aussi rencontrés pour leur exprimer qu’il comptait sur eux pour donner de nouvelles idées sur le devenir de cet espace de loisirs.
Publié le 01/10/2013 à 09:36 |
Une aire de jeux fleurit place Jean Moulin
Après celles de la place Bosquet, destinée aux enfants de deux à six ans, du stade Noël Pélissou située à proximité du city stade, et de Crins destinée aux 6-15 ans, la quatrième aire de jeu est implantée sur la place Jean-Moulin. Cette implantation fait suite aux travaux de rénovation de la place. Le coût de ce nouvel équipement s’élève à 15 000 euros. Il s’agit en effet d’un jeux sur le thème des «pirates» entouré. Pour plus de sécurité, d’une clôture rigide verte munie d’un portillon. Ces équipements s’inscrivent dans l’animation des quartiers de la ville pour contribuer au «vivre ensemble» dans un espace où se retrouvent enfants mais aussi les parents et grands parents. Comme les trottoirs lorsqu’ils sont praticables par les poussettes, ils constituent aussi un des petits «plus» pour décider les jeunes couples qui souhaiteraient venir s’installer à Graulhet.
Publié le 02/10/2013 à 09:26 |
Serres-sur-Arget (09) : Ils ont reçu leur maison par camion
Une fois le «morceau» de maison soulevé par 4 vérins, un curieux plateau sur chenilles prend la place du semi-remorque pour amener son chargement sur son emplacement définitif à plusieurs dizaines de mètres de la route./Photo DDM, R. F.
Recevoir, par transporteur privé, un colis de La Redoute ou de chez Amazon n’a rien de très original. En revanche, il est plus inhabituel de recevoir… une maison. Eric Coste, propriétaire d’une grande parcelle déjà bâtie à La Mouline, souhaitait implanter à côté une seconde maison à usage locatif. «Sur le plan autorisation, rien de plus facile, commente Francis Joffres, adjoint chargé de l’urbanisme ; nous devons justement densifier ce secteur.»
Deux mois et demi après l’octroi du permis de construire, la «maison transportable» arrive : 100 m2 en trois éléments, chacun sur un semi-remorque. Fabriquée à Graulhet, dans le Tarn, par la société Malié, elle a été amenée sur place par l’entreprise Aimé Yannick. Avec 5,50 m de hauteur à partir du plateau, impossible de passer sous aucun pont routier : il a donc fallu trouver un itinéraire qui n’en comporte aucun ; la vallée de la Lèze a fait l’affaire. Mais la traversée de Saint-Pierre-de-Rivière, où on a dû, la veille, relever tous les fils électriques et téléphoniques, n’a pas été une mince affaire.
Une fois les trois semi-remorques stationnés sur la ligne droite à l’entrée de La Mouline, il restait à mettre la maison sur son emplacement définitif à quelques dizaines de mètres de la route. En présence d’un groupe de curieux qui n’en croyaient pas leurs yeux, chaque bloc, qui pesait la bagatelle d’une quarantaine de tonnes, a été soulevé par quatre vérins, le temps d’enlever le semi-remorque dessous et de mettre à sa place un plateau monté sur chenilles et manœuvré avec une télécommande. C’est lui qui a amené chaque élément de la maison à sa place précise. Le premier s’est aligné juste à côté du garage, arrivé la veille. Un vrai travail d’orfèvre où les tonnes côtoient les centimètres. «Je ne croyais pas qu’ils y arriveraient», commente un spectateur. Ils y sont arrivés sans problème. Le lendemain, la maison entière était sur ses fondations.
Publié le 02/10/2013 à 03:50 G.D.
La Ronde des Primevères annulée
Eric Loison, à gauche lors de l'édition 2013 de la ronde des Primevères n'aura pas l'occasion de remettre les bouquets en février prochain. /Archives G.D.
La décision a été prise lors de la réunion de rentrée du club SCG athlétisme. L’édition 2014 de la traditionnelle Ronde des Primevères qu’il organisait a été purement et simplement annulée.
Le président Eric Loison avance plusieurs raisons à ce qui pourrait bien être un blanc sur les calendrier à venir.
«Le chiffre de participants sur les dernières éditions était trop juste. Mais c’est surtout de trop peu de bénévoles à l’organisation que nous souffrons. Nous mettons beaucoup d’énergie à l’organisation, pour peu de résultats financiers pour aider le club. Il y a aussi le fait que cette épreuve ne ramène pas de nouveaux coureurs adhérents».
Et justement, au niveau des licenciés adultes, le club est aussi en perte de terrain. «Ca a été l’effet boule de neige. Une dizaine de coureurs sont partis dans d’autres clubs plus spécialisé dans leurs activités d’athlètes. Si je regrette ces départs, je ne peux pas orienter l’association vers un club de seuls coureurs sur route».
Sur les 85 licenciés, 65 le sont dans les sections jeunes, celles-là même que tiennent à accompagner Eric Loison et son équipe d’éducateurs. «Les jeunes au travers du partenariat avec l’Ecla, peuvent s’épanouir. Ils peuvent pratiquer l’athlétisme sous toutes ses formes, des lancers aux sauts en passant par la piste.
Les résultats sont là, avec des représentants cette saison aux championnats de France en minimes et en cadets. Le ratio moyens sportifs et financier-résultats est excellent. A ce jour, l’école d’athlétisme de Gerard Navalès a redémarré avec autant de jeunes, et le club s’interroge sur sa participation au prochain Telethon.
Publié le 02/10/2013 à 08:37 | J-C Clerc
Le cinéma Vertigo ouvre ses portes
Président de la communauté des communes, maire et exploitante sont impatients de faire découvrir ce nouveau lieu de culture. / Photo DDM, J-C C
C’est aujourd’hui à 15 heures qu’aura lieu la première séance au Vertigo. Le nouveau complexe cinématographique construit entre la passerelle et la médiathèque dans le cadre du grand chantier d’aménagement de la plaine de Millet comprend deux salles de 200 et 80 places et offrira la possibilité de projeter des films en extérieur en bordure du Dadou.
«Il est rare que l’on construise aujourd’hui des cinémas en centre ville. Ce complexe permettra aux Graulhétois de s’y rendre à pied et aux autres habitants du territoire en voiture. Vu la qualité de la réalisation je ne doute pas qu’il attire des habitants de tout le bassin de vie» se félicite pascal Néel, président de la communauté des communes Tarn et Dadou, porteuse du projet. Si le parking attenant ne compte 56 places, les spectateurs pourront bénéficier des places de la crèche ou de la médiathèque.
Le cinéma est bien entendu doté d’un système de diffusion numérique dernier cri mais aussi de fauteuils confortables. «Dix places sont réservées pour les personnes à mobilité réduite. Nous sommes obligés de proposer un système pour les malentendants mais avons choisi de proposer aussi un système d’audiodescription pour les mal voyants» souligne Frédéric Soulié, vice-président de la communauté des communes en charge de la culture.
Des séances à 4 euros
Du côté de la programmation, huit films sont à l’affiche. «Nous avons conservé le système de pass’ pour les enfant, junior et sénior. Il y a aussi des tarifs préférentiels pour les groupes, les scolaires ou les moins de 25 ans. Pendant deux semaines toutes les séances sont à quatre euros» rappelle Jacky Néri, exploitante de la salle comblée par ce nouvel outil de diffusion.
Après l’ouverture de la crèche et du cinéma de part et d’autre de la passerelle le chantier d’aménagement de la plaine de Millet touche à sa fin. Il ne manque plus que l’aménagement des berges et l’ouverture du sentier du patrimoine pour parfaire ce vaste ensemble dédié à la jeunesse et à la culture.
Des subventions
Le montant des travaux s’élève à près de 1880000 euros hors taxes.
Le projet a reçu le soutien du conseil régional à hauteur de 174 762 euros, du CNC pour 200000 euros et du conseil général pour 247 000 euros.
Publié le 02/10/2013 à 09:01
Les échos du rugby
Cadets:
Ils ont gagné à Seilh/Fenouillet 10 à 5 pour leur premier match de championnat, avec une équipe qui présente une majorité de 1ere années. Un essai d’entrée, un aitre au final.
Philipponneau:
Eux aussi ont gagné à Seilh/Fenouillet, 25 à 5, avec un bon match.
Equipe 2:
Elle a été sévèrement battue par Gaillac en lever de rideau, 13 à 34. Dur pour une équipe rajeunie qui n’avait que l’enthousiasme.
Image:
Sage comme une image, Pierre Jean Pauthe, qui d’habitude se fait entendre au pied des petites tribunes avait cette fois pris place en tribune d’honneur.
Engagement:
Yannick Jauzion excusé, c’est Guy Laporte l’ancien ouvreur, international et sélectionneur qui a donné le coup d’envoi du derby entre des deux présidents.
Banderole:
C’est une tradition, les dimanches matin de match, le bar du Vieux Pont déploie sa grande banderole SCG sur la terrasse à deux pas du stade.
Popularité:
Romain Bille est devenu en quelques dimanches la coqueluche du public graulhétois, qui lui témoigne sa reconnaissance après chaque points marqués, souvent de plus de 50 mètres et parfois dans des positions pas faciles de drop.
Publié le 02/10/2013 à 03:51
A Broadway : Pascal Escriout, à l'affiche
Restaurateur depuis 15 ans à NY, Pascal Escriout va tenter en parallèle une expérience d'homme de scène.
Sur l’affiche, Pascal Escriout, valise dans une main, ballon de rugby sous le bras, regarde vers le soleil. «C’est un one-man show que j’ai écrit. Il raconte mon arrivée a New-York, mon mariage avec une américaine, les péripéties d’un français qui n’as pas la même façon de voir les choses que les américains et plein de trucs qui me sont arrives en 15 ans dans ce pays». Pour le plus graulhétois des newyorkais, restaurateur à l’enseigne courue du Tournesol, c’est une autre facette de son talent qu’il a travaillé sur les conseils avisés de son ami Vincent Moscato, qui lui rend visite annuellement. Le spectacle dure une heure et va être donnée fin octobre -début décembre, dans un théâtre sur Broadway et 71 street. «Il est mis en scène par un copain a moi qui est aussi acteur, Richaud Valls qui a aussi fait pas mal de films en France. Je fais ce spectacle a cette période car il y a 4000 français qui viennent a New-York pour le marathon».
Publié le 02/10/2013 à 03:53
«Apprendre à se défendre» en pratiquant le jujitsu
Gilbert Raymond et le président Philippe Barthès, avec quelques pratiquants.
Deux fois par semaine au complexe R. Primault dans la salle du judo. Les lundis et vendredis de 19.30h à 21.15h , Gilbert Raymond vous donnera des cours de jujitsu. (Tél : 05 63 34 42 28) «Ce sport de défense est praticable par tout le monde, plutôt entre 18 et 70 ans. Pratiqué en douceur, il est sans danger pour les élèves. Pour une première approche, venez participer aux premiers cours d’initiation, vêtu d’un survêtement, le lundi 07 ou le vendredi 11 octobre à 19.30h à votre convenance». Le jujitsu, traduisez «art de la souplesse», est le plus ancien des arts martiaux japonais. A l’origine technique secrète du guerrier, le jujitsu s’est enrichi dans sa forme et dans son contenu, jusqu’à devenir un art de détente et d’autodéfense accessible à tous. Le jujitsu se caractérise par une recherche souple et intelligente de l’efficacité.
Publié le 03/10/2013 à 08:31
La ville accueille la mode africaine
Danielle Olgiati et Grégoire Atse préparent activement cet événement d'envergure.
La douzième édition du festival «Traversées Africaines» fera escale à Graulhet les 14, 15, 16 et 17 novembre. Au programme de ce festival : musique, danse, rencontres avec des écrivains, débats, expositions, films... La particularité de cette édition réside dans une nouveauté : un grand défilé de mode le samedi 16 novembre à 21 heures avec des créations hautes coutures.
C’est un événement inédit en Midi-Pyrénées. De grands créateurs d’origine africaine vont présenter leurs créations/ L’événement est de taille car il se tient en principe à Abidjan et à New York. Cette année, il n’y aura pas de défilé à New York, les organisateurs ayant choisi Graulhet pour cet événement.
Appel à mannequins bénévoles
Six créateurs de mode présenteront leurs modèles. Le défilé sera accompagné par des musiciens sur scène. Ils seront présents à Graulhet dès le jeudi pour rencontrer le public autour d’une exposition- vente. Cet événement est organisé par Grégoire Atse, promoteur du SIMOA, Salon international de la mode africaine à Abidjan et de Elegance Africa à New-York.
Bien d’autres événements sont prévus pour satisfaire le public avec une restauration africaine tout au long du week-end avec le Mayombé, une exposition artistique de Nofir au Foyer Léo Lagrange, dès le 8 novembre, et pendant tout le week-end, un film documentaire au nouveau cinéma Le Vertigo le jeudi soir, conte de l’éléphanteau à la MJC le samedi après-midi, journée festive le dimanche, brunch associatif autour d’un film de Pierre Rabhi (au Vertigo), repas partagé inter-associatif avec partage de spécialités, stands, animations, concert de clôture. Grégoire Atse recrute des mannequins bénévoles pour ce défilé du 16 novembre 2013 au Forum. Il propose de recevoir les candidatures de jeunes gens et jeunes filles, ou dames et messieurs pour le casting. Le formulaire est téléchargeable sur le site de Traversées africaines : www.traverseesafricaines.com.
Publié le 04/10/2013 à 08:04 | S.B.
Saisie record à Graulhet : 45 kg de drogue et 15 000 € en liquide
Manuela Garnier (procureur du tribunal de Castres) et le colonel Pierre Bouquin, présentent le butin saisi à Graulhet. /Photo DDM, S.B.
45 kg de cannabis et résine et une somme en liquide 15 000 € ont été saisis sur la commune de Graulhet au cours d’une opération de gendarmerie et à l’issue d’une enquête entamée fin 2012. 4 individus sur les 7 interpellés ont été écroués.
42 kg de pains de cannabis et 3 de résine (d’une valeur marchande de plus de 200 000 €), 15 000 € d’argent liquide provenant d’évidence du trafic de stupéfiants : c’est l’une des plus grosses saisies du département du Tarn ! La plus importante depuis plus de 10 ans.
Enquête dès décembre 2012
Elle a été réalisée sous la houlette de la compagnie de gendarmerie de Castres commandée par Ludovic Vestieu. L’affaire était d’ailleurs tellement d’importance qu’elle a fait l’objet d’une présentation, concise mais précise, dans les locaux de la compagnie de la part des autorités concernées : Manuela Garnier (procureur), Fabien Terrier (juge d’instruction), le colonel Pierre Bouquin (commandant le groupement de gendarmerie du Tarn), le colonel Thuriés (Brigade de recherches à Toulouse) ...
«Fin décembre 2012, les gendarmes de la brigade autonome de Graulhet ont eu des renseignements sur l’existence d’un trafic de produits stupéfiants sur la commune, a expliqué le procureur. Les gendarmes ont créé une cellule d’enquête qui a associé les militaires de la Brigade des recherches, ceux de la section de recherches et le Groupement d’intervention régional, Gir. Ce travail d’enquête a permis d’étayer la réalité de l’existence de ce réseau et le parquet a ouvert une information.»
Un réseau international
Sous l’autorité donc d’un juge d’instruction, les investigations ont finalement conclu à un réseau aux ramifications internationales dont la tête était installée à Graulhet. C’est sur cette commune que sept personnes ont été interpellées au cours d’une opération coup de poing qui a mobilisé plus de 70 gendarmes de tous horizons ! Quatre ont été mises en examen et écrouées. Les personnes interpellées sont des hommes âgés de 30 à 40 ans, sans emplois, certains domiciliés à Graulhet et d’autres à l’étranger.
45 kg de cannabis en provenance d’Espagne, 15 000 € d’argent liquide, divers téléphones portables et du matériel high-tech hi-fi et vidéo ont été saisis. Rappelons que les personnes incriminées encourent jusqu’à 10 ans de prison (20 ans en situation de récidive).
«Je voudrais souligner le travail réalisé par tous les militaires de la gendarmerie», a conclu la procureur.
«Pour nous, il s’agit d’une réussite très nette, a commenté le commandant Vestieu. Elle devrait nous aider à combattre la délinquance globale sur le secteur.»
Publié le 04/10/2013 à 03:49
Formation des «guides composteurs»
Les guides composteurs aux jardins partagés.
Pour apprendre les techniques du compostage et aider à la diffusion de la pratique, Tarn & Dadou a proposé sa première session de formation de guides composteurs. Après appel à candidatures, une quinzaine de personnes se sont portées volontaire et sept d’entre elles ont pu participer à la session organisée le mercredi dernier dans les locaux de la régie de territoire l’Agora. Les échanges ont été nombreux avec Pierre Toubeau, maître composteur et professionnel des techniques du compostage domestique. La journée s’est terminée dans les jardins partagés autour des composteurs collectifs. Un diplôme a été remis à chaque participant, ainsi qu’un tablier de jardinage. Afin de marquer leur engagement, les guides composteurs bénévoles ont signé une charte précisant leurs missions et leurs rôles.
Cette première session laisse entrevoir de belles perspectives pour mener des actions de sensibilisation auprès du grand public mais également auprès des écoles, collectivités et associations. La communauté de communes propose depuis 2010 la vente de composteurs de 320 litres au prix de 15 euros (accompagné d’un bio-seau et d’un guide sur le compostage). Près d’un tiers de sa poubelle étant compostable, cet outil permet de réduire considérablement le volume des déchets résiduels. Une seconde session de formation est prévue en novembre prochain.
Les inscriptions sont à faire au 05 63 83 09 10 ou par courriel à sensibilisation.environnement@ted.fr.
Publié le 04/10/2013 à 09:19
Tous au cirque avec Pistil
A l’occasion des vacances de la Toussaint l’école de cirque Pistil organisera des stages à destinations de larges publics. Celui pour les 4 à 6 ans et les 7 à10 ans (initiation et perfectionnement) se déroulera le 31 octobre et le premier et 2 novembre avec Muriel et Bruno du «Cirque Pistil». Celui pour les adolescents (9 à 15 ans) de voltige équestre du 28 au 30 octobre avec Akima et le cheval Tempo. Le stage pour adultes et adolescents (trapèze fixe et ballant, corde lisse, tissu et cerceau aérien) se déroulera les 10 et 11 novembre avec Muriel et Bruno du «cirque Pistil».
Publié le 05/10/2013 à 07:33 G.D.
La Maison des métiers du cuir a fait son inventaire
John Doods, président et Anne Laure Fize, médiatrice culturelle de Science en Tarn, Marion Pelegry, en charge de la rédaction du projet et Malika, guide à la MMC, qui a participé au répertoriage.
Le registre de caisse du syndicat des ouvriers moutonniers de 1911, celui des soupes communistes distribuées à la population, durant les grèves de 1909-10, des centaines de livres de comptes, d’agendas et d’annotations. Pour Marion Pelegry, en Master Histoire de l’art et Archéologie du Moyen Âge, en stage durant sept mois à la Maison des Métiers du cuir, l’inventaire des 1 500 pièces, a donné lieu à la découverte de «trésors».
«En somme, chaque objet raconte une histoire, et ces lieux font le lien entre un passé industriel qui a bien vécu et un actuel encore vivant». Une fois l’inventaire et la rédaction du projet scientifique et culturel terminés, il sera, par le biais de l’association Science en Tarn dont le président n’est autre que John Doods, engagé une grande réflexion qui devrait, à terme, rendre la MMC plus attractive.
Depuis 2011 la mairie a approuvé le dossier de Développement scientifique et culturel de la MMC. Au vu de son potentiel et de sa cohérence avec les projets du département et de la région en matière de patrimoine industriel, il a été mis en place un projet scientifique et culturel. À terme, il permettrait d’intégrer le réseau des sites liés au patrimoine industriel tarnais et régional. Le projet est soutenu par le Conseil Général par le biais d’une convention technique du service de conservation départementale. Les autres acteurs du projet sont la Communauté de communes de Tarn et Dadou, le pays Vignoble Gaillacois Bastides et Val Dadou. En 2012, la mairie a passé une convention avec Science en Tarn, chargée de la réalisation du projet.
Publié le 05/10/2013 à 03:54
Le petit secret d'un grand succès
Jean Pierre « Bibi », Cédric et Brigitte l'autre « Bibi »./ DDM.G.D.
C’est le petit secret d’un gâteau localement très apprécié, que vient de révéler, Bibi, pâtissier chez Lasserre durant une quinzaine d’années et qui l’avait gardé comme une relique. Aujourd’hui à la retraite, il a mis Cédric Putto dans la confidence et ce dernier a mis ses talents au service d’un grand classique. Ainsi, le succès revisité par ce boulanger-pâtissier peut désormais revenir sur les tables dominicales des nostalgiques gastronomes et des autres. Un artisan qui envisage de sortir un livre, hommage à sa profession, d’ici la fin de l’année.
Publié le 06/10/2013 à 03:50
Les tout-petits récompensés au Salon du livre de Gaillac
Les enfants ont adoré./Photo DDM
Dans le cadre du Salon du Livre de Gaillac et du prix du livre petite-enfance, la Communauté de Communes Tarn & Dadou a proposé aux élèves de maternelle de Graulhet et Briatexte le spectacle «Si j’avais un dragon», par la Compagnie Petite Bohème, d’après l’album «Si j’avais deux dragons» de Fabienne Roulié et Raphaël Baud (Editions Chocolat). Ce spectacle récompense la participation des enfants à ce prix qui, chaque année, valorise le livre au près des plus jeunes. Organisé par la médiathèque Marguerite Yourcenar, les deux représentations ont fait salle comble et régalé l’auditoire.
Publié le 08/10/2013 à 08:11 J-C Clerc
La diversification clef du succès
Frédéric Roumegoux est toujours dans la recherche de nouvelles solutions. / Photo DDM, J-C C .
De quatre personnes à sa création en 1990, l’entreprise Roumegoux compte aujourd’hui 30 employés en contrats en CDI. Au fil des années l’entreprise de travaux publics a complété sa gamme d’activités, de l’enfouissement des lignes téléphoniques au début des années 90 aux autres type d’enfouissement puis à l’aménagement urbain, décrochant d’importants contrats dans ce domaine.
«Au début et jusqu’en 1998, nous ne travaillions qu’avec France Télécom, puis avec le développement du téléphone mobile nous avons travaillé avec SFR et Bouygues pour la création de relais» se souvient Frédéric Roumegoux qui souligne avec humour «j’ai une formation de génie civil et d’ouvrages d’arts et je n’en avais jamais fait».
Au tournant des années 2000 il s’est donc lancé dans génie civil et commencé à développer un béton décoratif qui fait aujourd’hui son succès dans l’aménagement urbain, de la place de Soual à Lapanouse à Albi jusqu’aux Cordeliers à Toulouse où il réalise 25000 m2 de dallage avec un procédé spécial.
«Il s’agit d’un béton qui, avec l’aide d’une sorte de pochoir, donne l’illusion d’un pavement» résume l’entrepreneur. Loin de se reposer sur ses lauriers, il est en constante recherche d’innovations avec par exemple une résine dure comme de l’enrobé mais transparente permettant un éclairage, comme à Burlats. Il travaille aussi à l’incorporation de chutes de granit du Sidobre pour un nouveau produit. «Ce qui fait notre force, c’est la diversification» confie-t-il. De l’enfouissement des réseaux au béton imprimé, l’entreprise n’a pas mis ses œufs dans le même panier. Une véritable vertu en temps de crise.
Publié le 08/10/2013 à 08:11 D.M.
Briatexte : Les parents inquiets pour la sécurité de leurs enfants
Les voitures doublent le bus alors que des enfants peuvent être cachés par ce dernier.
Depuis le 26 septembre 2013, le ramassage scolaire situé au centre de Briatexte, gare routière, a connu des modifications… En effet, les bus de la ligne Lavaur Graulhet, n° 705, n’empruntent plus le trajet passant par la halte routière puisqu’ils s’arrêtent sur la route le long du trottoir, au niveau du Crédit Agricole. Ils y prennent alors en charge les enfants qui se rendent au Collège Louis Pasteur de. De fait, le matin les enfants doivent traverser la route à l’arrivée du bus, ce qui met en péril leur sécurité. Ceci entraine par ailleurs des gênes auprès des autres usagers de la route, voitures ou camions. On en a vu certains doubler au mépris de la ligne blanche. Qui plus est, tous les enfants ne peuvent pas monter dans le premier bus et une bonne vingtaine doit attendre le second sur le trottoir non prévu à cet effet. La mairie de Briatexte a investi en 2012 dans la construction d’une nouvelle halte routière.
Hélas cet investissement ne sert guère aujourd’hui puisque les bus ne font plus le tour de la place… Aujourd’hui, les enfants qui s’y abritent sont dans l’impossibilité de voir le bus arriver. Aussi, ils sont amenés à traverser à la dernière minute, risquant ainsi un accident.
Les parents se posent la question : «pourquoi cette modification?». Le flux de véhicule traversant le village est plutôt important, plus de 6000 véhicules par jour. «Si les bus ne font pas le tour de la place, pourquoi avoir laissé construire cette halte routière ?». Une pétition circule, elle a pour but d’alerter le Conseil Général qui dorénavant a en charge le service des transports. Solidaires du courrier adressé au Conseil Général du Tarn par r le maire de Briatexte, les parents d’usagers et administrés demandent que les services compétents prennent des mesures : «nous renvoyons donc chacun à ses responsabilités afin qu’une solution soit apportée à ce dysfonctionnement avant que se produise l’irréparable».
Publié le 08/10/2013 à 08:11
Tigre du platane
La place Jean Moulin accueillera ce vendredi 11 octobre un concert du « Tigre du platanes». A l’occasion de la sortie de son nouvel album «Disappearing», le groupe de jazz donnera un concert à Graulhet. Le Tigre est un quartet acoustique et vénéneux qui mine et recycle à sa façon, plutôt impertinente, des musiques increvables. Il arrive très souvent que les concerts du Tigre entraînent le public dans des danses endiablées et enflamment les parquets les plus ignifuges. Ce concert gratuit bénéficie d’une aide à la diffusion du conseil régional. En cas de pluie le concert aura lieu non loin de là à l’auditorium.
Publié le 09/10/2013 à 03:50
L'Agecos fait sa bourse d'automne aux vêtements
Des centaines de vêtements d'occasion en bon état pour des sommes modiques.
La bourse aux vêtements d’automne, organisée comme chaque année par l’Agecos, se poursuit jusqu’au vendredi 11 octobre dans la grande salle du foyer Léo-Lagrange.
Après la réception des vêtements lundi et mardi, l’action se poursuit mercredi et jeudi avec la vente de 10h à 18h.
Puis vendredi verra la restitution des invendus de 14h à 16h30.
La carte de soutien de 5 euros à l’association est obligatoire et valable pour les bourses de l’année 2013.
Un maximum de 20 vêtements et 5 accessoires par vendeur a été fixé. Il est conseillé de se munir de sacs ou poches lors des achats. Chaque bourse de printemps, d’été, d’automne ou de Noël accueille chaque fois plus de vendeurs et d’acheteurs de vêtements à tout petit prix.
Publié le 09/10/2013 à 08:33
L'incroyable doublé de Jean-Pierre Richard
Le pari paraissait insensé. Trois semaines après avoir couru les 1 184 km et les 19 jours de course de Roscof à Gruissan et terminé 15e de la TransGaule, l’ultra-Graulhétois est parti en Grèce pour y courir la 30e édition du mythique Spartathlon. Une épreuve extrême dans des conditions torrides, soit 246 km entre Athènes et Sparte, en deux jours, avec obligation de terminer sous les 36 heures sous peine d’élimination. Jean-Pierre Richard a terminé 109 sur les 148 fondus qui sont arrivés au bout. Un authentique exploit pour celui qui rêve toujours de traverser l’Amérique… en courant bien sûr.
Publié le 09/10/2013 à 03:50
La randonnée renouvelle ses cadres
Joanna Albero en pleine rando, 3e à partir de la gauche.
La section randonnée de Graulhet Nature Evasion, qui compte une cinquantaine d’adhérents, vient de se doter d’un conseil d’administration et d’un bureau tout neuf. Maurice Monzat, qui en assurait la présidence depuis un mandat, a passé le témoin à Joanna Albéro.
Cette saison a été une année de transition. Le conseil d’administration a fait de son mieux pour maintenir l’activité. Il est évident que l’assemblée générale de septembre 2012 m’a élu par défaut à la présidence. Vous comprendrez aisément que, entrant dans ma 80e année, je ne sollicitais pas un nouveau mandat. Je ne veux pas être un gérontocrate. La succession d’Alain Hicter n’a pas été facile et je suis loin d’avoir eu l’activité de mon prédécesseur mais grâce à son aide nous avons assuré et conduit le club dans la continuité. La rando est toujours debout et c’est là notre but», assure l’ancien président.
Joanna Albero est dans l’association depuis la saison 2010-2011. «Je suis partie du 21 au 28 septembre à Sérénac pour passer le Spécifique Animateur niveau 2, Brevet Fédéral d’animations de randonnées pédestres, que j’ai réussi. Pour les mois à venir, les orientations de l’association sont de continuer à randonner avec les adhérents dans la convivialité et dans le respect de la nature et de son environnement, notre participation à l’élaboration de nouveaux sentiers locaux, à Naturabeillou pour les sports de pleine nature, notre engagement dans l’encadrement de randonnées avec le Comité Départemental de Sport Adapté qui sont la continuité de notre savoir-faire associatif ainsi que le partenariat avec les acteurs locaux».
Publié le 10/10/2013 à 08:29 | La Dépêche du Midi |
Les lycéens ont de l'or dans les doigts
Les élèves avec David Bruno dans la rivière du Salat.
C’est sous un soleil radieux que les élèves des classes de première année de CAP et de première année de brevet des métiers d’arts de la section bijouterie du lycée Clément-de-Pémille ont enfilé leurs paires de bottes pour un stage d’orpaillage d’une journée dans la rivière du Salat, près de Prat-Bonrepau, en Ariège. Entre un championnat en Afrique du Sud et un autre en Australie, David Bruno, féru d’orpaillage, a pris le temps d’initier les élèves au maniement de la batée, du tamis et du canal de lavage. Sous ses conseils avisés, tous les élèves ont ainsi eu la chance de récolter à la fin de la journée des paillettes du précieux métal.
Cette initiation, subventionnée par le conseil régional de Midi-Pyrénées, s’est déroulée dans le cadre d’un projet d’avenir sur le thème de «L’or, éclats et artifices». L’objectif de cette action est de mettre en valeur les différents aspects du travail de l’or dans le cadre d’un projet pluridisciplinaire associant le professeur de lettres-histoire, le professeur d’arts appliqués, celui de bijouterie et de sciences.
Les élèves commenceront par découvrir les propriétés de l’or ainsi que les différentes étapes de son travail, de l’extraction jusqu’à la fabrication du lingot. Dans un second temps ils seront sensibilisés à l’impact de l’extraction de l’or sur l’environnement et la santé des populations à partir d’un documentaire sur l’orpaillage illégal en Guyane. Une approche plus culturelle, à partir de livres et de films, permettra ensuite aux élèves de connaître l’engouement provoqué par la découverte de ce métal précieux en Californie et en Alaska au XIXe siècle. Pour finir, les élèves créeront et réaliseront individuellement un pendentif en s’inspirant du thème de l’eau sous la conduite de leur professeur d’arts appliqués et de bijouterie. L’ensemble de tout ce travail sera exposé au CDI du lycée à la fin du mois de juin, témoignant de l’excellence de cette filière.
Publié le 11/10/2013 à 08:47 | J-C Clerc
Tout est fin prêt pour la semaine du goût
L'événement rassemble des acteurs venus d'horizons très divers. /Photo DDM, J-C C
Depuis quatre ans l’atelier «Santé-ville» travaille sur la nutrition à l’occasion de la semaine du goût. Cette année l’événement est réalisé en partenariat avec le centre social de Graulhet avec pour objectif de toucher un large public. Pour ce faire la semaine du goût fédérera des acteurs aussi divers que le foyer Léo Lagrange, l’association Ola, les écoles, l’Amicale laïque ou les maisons de retraite de la ville.
La semaine débutera par une action dans les écoles d’En Gach et de Crins lundi et mardi. «Déjeuner avant l’école est essentiel, c’est important et cela peut être simple» rappelle Chantal Peyrin, responsable du centre social de la ville. Mais le point d’orgue de la semaine sera le mercredi sur la place Henri-Dunant - ou le foyer Léo-Lagrange en cas de mauvais temps - où l’ensemble des partenaires de l’opération se retrouvera pour un après-midi ouvert au grand public.
À travers des jeux, des expositions et des ateliers le public pourra être sensibilisé au gaspillage alimentaire. Le pain étant un des thèmes de la manifestation, une collecte du pain non consommé dans les écoles sera réalisée avec à la clef des recettes pour en faire de nouveaux plats comme du pain perdu. «Sésame, blé, maïs, nous allons montrer aux enfants tout ce avec quoi on peut faire du pain» souligne Claude Busolin, vice-président de la Ola, qui brûle de leur faire découvrir le millas qui remplaçait le pain dans les campagnes lorsqu’il n’y en avait plus. Les ateliers proposeront de «mettre la main à la pâte» avant une surprise en fin d’après-midi.
Au collège c’est un repas 100% Tarn qui sera proposé aux élèves le lundi 14 octobre avec rôti de porc à la crème d’ail rose, aubergine braisée à la tomate et demicabécou. Une productrice de ce fromage lait cru de chèvre sera présente pour assurer une animation auprès des élèves.
Publié le 12/10/2013 à 08:11 | La Dépêche du Midi | G.D.
Formé chez les plus grands, il revient s'installer chez lui
Les deux cuisiniers de Sébastien Arruffat sont à bonne école. /Photo DDM.
Des références, Sébastien Arruffat en a des dizaines. Sa carrière, commencée à l’école hôtelière de Mazamet, a trouvé son aboutissement au début des années 90 quand le Graulhétois est entré dans la brigade du Crillon, chez Christian Constant. Comme commis d’abord puis comme chef de partie.
Il a ensuite travaillé au Majestic, au Laurent, aux Jardins de l’Opéra, avec des pointures de la profession, Eric Frechon, Yves Camdeborde ou Dominique Toulousy, puis fait les saisons dans des grandes maisons de Corse ou de Suisse. «C’est le désir de progresser, d’acquérir le savoir de travailler tous les produits, qui était le moteur de toutes ces expériences». À 44 ans, les circonstances familiales ont fait qu’il a laissé les emplois pour devenir son propre chef, en retournant aux racines.
Le nouveau restaurant Côté Place à Graulhet
Il assure le service
«J’ai eu l’opportunité d’acquérir ce fonds de commerce, ex-Bar Jo, qui se situe à deux rues de là où j’ai grandi, où j’ai ma famille». «Côté Place», le nom circule déjà de bouche-à-oreille, et Sébastien Arruffat a recruté deux cuisiniers et assure le service, histoire d’avoir l’œil sur tout. Pas de cuisine haut de gamme, mais des produits frais, de saison, des plats élaborés, avec une carte qui sera renouvelée toutes les sept semaines.
«Ce sera dans l’esprit bouchon lyonnais, en semi-gastro. Pas de ticket trop élevé, la clientèle graulhétoise ne s’y prête pas !». À l’étage, un salon pour des repas privés. Histoire de transposer les recettes des grands chefs sur les grandes occasions.
Côté Place, 8-10 Place Bosquet à Graulhet (contact@cote-place.com)
D'autres photos et renseignements ici :
Publié le 12/10/2013 à 03:55 |
Roger et Pierrette, soixante ans de complicité
Pierrette et Roger Bousquet, une mercière et un capitaine d'industrie. /Photo DDM.
Pour ceux qui en doutaient encore, Roger Bousquet a confirmé, pour l’occasion, ses talents de poète.
La métaphore facile l’a fait aborder les soixante ans de vie commune avec Pierrette, comme un marin affronte les éléments. Et des tempêtes, Roger en a connu. Natif de Graulhet en 1929, il a d’abord été employé de la mégisserie après la guerre et avant de partir «faire» ses deux ans d’armée à Marrakech où déjà il a pris goût aux beaux voyages.
En octobre 1953, à Cadalen, il a épousé Pierrette, fille du village, couturière avant d’entrer en mégisserie. Roger est lui aussi revenu dans l’industrie locale, en particulier à la Socotarn, de 59 à 64, où il a terminé directeur commercial. Enfin, en juin 1964, il ouvrait la Socop et devenait le PDG d’une des plus importantes mégisseries de la ville. Dans la foulée, il aura été président du rugby graulhétois de 83 à 88, et conduit l’équipe dans sa dernière demi-finale, avant de prendre une retraite bien méritée en 92. Ce samedi, ils fêtaient leurs 60 ans de mariage en présence de leur fils Alain, de leurs petites-filles Karine et Audrey et de leurs arrière-petits-enfants.
Publié le 12/10/2013 à 10:39
Un explosif Fleurance-Graulhet
Ce match Fleurance-Graulhet sera le «big» match de la poule 7 puisqu’il va opposer les deux premiers, invaincus, tout simplement. Alors de la passion, de la pression, de l’engouement, de l’engagement, de l’indécision... toutes ces choses vont tenir en haleine le public car la foule est attendue aussi à Marius-Lacoste. Et ce public sera sûrement le seizième homme, celui qui peut permettre aux Fleurantins de faire chuter le leader Graulhet.
Les positions : Fleurance deuxième avec 10 points (2 victoires et 1 nul) face à Graulhet premier avec 14 points (3 victoires).
Le groupe fleurantin : Encore du monde à l’infirmerie puisque Casotto, Chiari, Camacho, Favarq, Bonne et Delmas sont «out» ce qui donne : Abadie, Mathieu, Capdeville (?), Bortolucci (cap.), Martegoutte, Houy, Berzi, Moulié, Morou, Cantau, Anania, Lesage, Fossaert, Vogel, Pitoux, Couzier, Barada, Bargozza, Lafforgue, Morisson, Declerck, Rouch, Dupouy et Mirande.
Les impressions du coach de Fleurance Eric Escribano : «C’est un match face à un prestigieux adversaire qui se présente alors qu’on enregistre encore une cascade de blessés. Mais Fleurance a progressé avec un groupe de 30 joueurs capables de jouer et on voit avec plaisir que les Fleurantins prennent confiance. On se prépare à ce grand défi qui nous attend car on n’oublie pas notre objectif de rester maîtres à domicile. Pour cela on devra produire notre jeu et trouver l’équilibre entre avants et arrières. Ce match pourrait se jouer sur la discipline. Il faudra donc éviter de faire des fautes afin de ne pas s’exposer à leur excellent buteur. On doit mettre en avant nos valeurs de combattant tout en canalisant notre énergie pour ne pas s’exposer à la faute. On compte aussi sur notre fidèle public».
L’adversaire : Graulhet a fourni par le passé beaucoup d’internationaux et on citera les Pelous, Jauzion, Laporte, Revailler pour n’en citer que quelques-uns… et aujourd’hui l’équipe entraînée par Bellot et Gely peut compter sur des joueurs expérimentés comme Pages et Maréchal et son buteur très performant Bille.
Place maintenant au spectacle !
Publié le 13/10/2013 à 10:42 G.L.
Le cuir tarnais bien en vue au 25e Salon à Paris
Le ministre Arnaud Montebourg a inauguré la 25e édition du Salon du cuir à Paris avec les Tarnais Paul Batigne, président du Conseil national du cuir, et Jérôme Verdier , mégissier mazamétain. /Photo DDM.
Le Conseil national du cuir, que préside le Graulhétois Paul Batigne, a tenu son 25e salon «Cuir à Paris» au Parc des expositions de Paris nord-Villepinte. Cette organisation interprofessionnelle (de producteurs et utilisateurs de cuir et de tous ceux qui contribuent à la production, à l’utilisation ou à la distribution du cuir) est une confédération qui regroupe 19 fédérations ou syndicats professionnels de la filière française du cuir, depuis l’élevage jusqu’à la distribution des produits finis. Elle a reçu la visite d’Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, pour son inauguration. «Il y avait bien longtemps qu’un ministre n’était venu», ont remarqué les exposants, des Tarnais en nombre (1) et heureux d’entendre un membre du gouvernement déclarer: «La filière française des industries du cuir aura le soutien des pouvoirs publics pour valoriser sa chaîne de production.» Le président Paul Batigne était accompagné de Jean-Pierre Gualino, président du CTC (Comité professionnel de développement économique cuir, chaussure, maroquinerie et ganterie); des présidents des différentes fédérations françaises de la filière cuir (dont le Syndicat des cuirs et peaux et la Fédération des enseignes de la chaussure) pour la signature d’un contrat de performance jusqu’en 2015.
Une reconnaissance
Le ministre est allé´ à la rencontre des tanneurs et mégissiers français sur leur stand, saluant la qualité´ de la production et la diversité´ de la fabrication française, le «Made in France». Puis une réunion permettait d’aborder diverses problématiques de la filière : vaccination régionalisée du cheptel français contre la teigne bovine pour augmenter la production de peaux françaises de qualité´, la formation des jeunes, la taxe affectée, les importations de cuir hors Europe. Ce fut aussi l’occasion de découvrir les jeunes créateurs lauréats de l’association Au-Delà` du cuir et la galerie des tendances.
S’adressant au ministre Montebourg, Paul Batigne a déclaré: «Nous vous remercions d’être venu saluer les efforts et le travail remarquable de nos entreprises qui ont su marier tradition, innovation et mode et ainsi contribuer au Made in France et à l’attractivité´ de notre pays.»
Quant au Mazamétain Jérôme Verdier (SAS Alran mégisserie), il soulignait le «soutien renouvelé et une visite pleine de reconnaissance pour la profession». Le Salon du cuir 2013 a connu une très bonne fréquentation avec plus d’exposants et de visiteurs. Une hausse sensible sur plus de 23% de surface de stand puisque «Cuir à Paris» a été logé dans un hall plus grand.
(1) Hiriar, Alran, Averpeaux, SCP, Rives, Rives 1862 (Mazamet), Lieutard, Rial 1957, Sofa Cuir, Mégisserie de la Molière, G Project, Joqueviel et Cathala, Cuirs du Futur (Graulhet).
Publié le 14/10/2013 à 08:48
Le joli coup de Graulhet
A chaque match, Graulhet devient de plus en plus fort./ Photo DDM, Nédir Debbiche.
La première période ressemblera à long round d’observation avec des fautes de part et d’autre qui auraient pu mettre en valeur les buteurs. Mais ce n’était pas le jour des buteurs que ce soit Dupouy coté Fleurantin ou Bille coté Graulhétois. On notera quelques éclairs avec un deux contre un mal négocié pour Fleurance (20e) après une belle relance de Couzier ou encore sur un renvoi mal réceptionné par les locaux J. Montbroussous en embuscade file à l’essai mais la défense Fleurantine bien revenue l’empêche d’aplatir (29e) ! L’arbitre siffle donc la mi-temps sur un petit 3 à 3.
À la reprise les partenaires de Bortolucci sonnent la charge avec une pénalité de Dupouy(47e) puis après un travail remarquable des avants sur une touche captée par Fossaert(52e) Dupouy a l’occasion d’enfoncer le clou en bonne position : sans réussite hélas. Graulhet commence ensuite à monter au créneau mais pas de réussite non plus pour son buteur Bille qui échoue sur plusieurs tentatives. On aborde les dix dernières minutes avec ce score étriqué de 6 à 3 pour les locaux. Alors que les Fleurantins jouent à 14, Graulhet lance l’attaque plein champ par le véloce J. Montbroussous qui décale son ailier Codjia dont la puissance fait mouche : essai et avec la transformation de Bille Graulhet reprend l’avantage. Fleurance tente donc de réagir mais confondant vitesse et précipitation laisse un ballon en route qui n’est pas perdu pour ce diable de J. Montbroussous qui scelle la victoire des siens et prive même Fleurance du bonus défensif.
Publié le 14/10/2013 à 03:51
Séance d'aquagym avec Ola
L'aquagym dans la piscine graulhétoise./Photo DDM.
De septembre à mi-juin, l’association Ola (Organisation loisirs animation) propose des cours d’aquagym à la piscine municipale. Sans limite d’âge, les adeptes de ce sport évoluent dans l’eau tous les mercredis, de 15 heures à 16 heures, et tous les jeudis, de 15 heures à 15 h 50, sous la vigilance de Fabien et Tiffany. Les adeptes de ce sport énergique font travailler, en douceur, tout leur corps dans une ambiance décontractée et sympathique. Déstressant, l’aquagym est un moyen de garder la forme, le moral et la ligne ! Pour de plus amples renseignements, il suffit de contacter l’association en envoyant un courriel à «association.ola@orange.fr» ou en téléphonant au 05 63 34 86 25.
Publié le 15/10/2013 à 08:04
Concert à l'auditorium
Le groupe Gaj se produira sur la scène graulhétoise
La radio associative RCF Pays tarnais a vingt ans. A cette occasion, quatre concerts exceptionnels sont organisés en pays tarnais pour fêter dignement cet anniversaire. L’un d’entre eux se tiendra à Graulhet le dimanche 20 octobre à 15h à l’auditorium. On y évoquera plus de cinquante ans de chansons françaises dans le domaine de la chanson dite «chrétienne».
En compagnie de Jean et Pierre Pradelles, le groupe GAJ’, Jack Soukas et Marion Combes ne feront qu’un seul groupe pour nous entraîner sur ces chemins qui évoqueront le passé, mais aussi proposeront leurs dernières réalisations. Même les enfants seront invités à faire la fête, car c’est le seul concert sur les quatre proposés qui se tiendra l’après- midi. L’entrée est libre et chacun pourra, à sa manière, soutenir cette radio bien vivante dans le paysage audiovisuel tarnais.
Publié le 15/10/2013 à 03:51
Les archers du Dadou
Les Archers du Dadou organiseront ce dimanche 20 octobre un concours de tir à l’Arc au lac de Nabeillou. Les résultats de cette épreuve, dont l’entrée est libre et gratuite, compteront pour les sélections aux championnats de France 2014.
S’il brille en compétition, le club s’est aussi donné pour mission de faire découvrir ce sport au plus grand nombre. Les entraînements ont lieu le samedi de 13 h 30 à 17 heures avec l’accueil des débutants à la salle de Nabeillou dès 13h30 et jusqu’à 15 heures. Pour de plus amples renseignements il suffit de consulter le site internet du club http://lesarchersdudadou.e-monsite.com ou de téléphoner au 06 80 00 13 28.
Publié le 15/10/2013 à 08:04
Rencontres de l'emploi ce jeudi
Les entretiens individuels sont des points fort de ces rencontres./ Photo DDM, J-C C .
La dixième édition des Rencontres de l’emploi de l’Ouest du Tarn auront lieu ce jeudi 17 octobre de 9 heures à 13 heures au Forum. Cet événement est organisé par la Maison commune emploi-formation de l’ouest du Tarn (MCEF), initiée par la Région Midi-Pyrénées, Pôle Emploi et leurs partenaires. Ce rendez-vous se veut incontournable pour les personnes à la recherche d’un emploi dans le bassin de l’ouest tarnais.
Les missions de ce moment de rencontre sont nombreuses : Faciliter la rencontre entre les entreprises en quête de profils et les candidats ou mettre en relation directe les entreprises ayant des besoins en recrutement avec des candidats potentiels en recherche d’emploi.
De nombreux espaces thématiques seront aussi à la disposition des visiteurs : un pôle spécifique à la création et à la reprise d’entreprises où les candidats pourront rencontrer l’ensemble des intervenants spécialisé dans le conseil à la création d’entreprise, un espace consacré à l’orientation et la formation.
Les corps d’armées seront aussi présents pour informer sur leurs métiers et leurs carrières ainsi que le centre de gestion qui pourra informer les candidats sur les concours.
Chaque visiteur pourra aussi passer par un point d’accueil où chacun se verra remettre un guide du forum avec la liste des entreprises et partenaires présents.
Bien entendu l’accès au forum est libre et gratuite pour tous.
Publié le 16/10/2013 à 03:49
Graulhet Temps Libre en deuil
Alice Durand
Graulhet Temps Libre a appris avec une grande peine la disparition d’Alice Durand, une de ses figures marquantes originaire de La Ventenayé, qui avait exercé ses fonctions d’institutrice à Saint-Antonin de Lacalm, puis à Puybegon, Lasgraïsse, avant de s’établir à Graulhet. Tout naturellement quand elle avait pris sa retraite, Alice s’était ensuite impliquée dans la bonne marche de l’association, et était devenue membre de son Conseil d’Administration. Elle avait accepté de prendre en main la marche et la gestion de la piscine dont elle a assumé les responsabilités aussi longtemps qu’elle l’a pu.
Mais en fait, Alice était toujours présente et de toutes les activités, qu’il s’agisse d’assister aux conférences, de participer aux jeux, de prêter la main à l’organisation des pique-niques et goûters ou des sorties… On ne peut compter tous les services qu’elle a rendus avec discrétion et efficacité. Alice laissera le souvenir d’une personne attachante, à l’écoute d’autrui, souriante et sur qui l’on peut compter. Tous la regrettent, adhérents comme membres du Conseil d’Administration, et prennent part au chagrin de sa famille qu’ils assurent de leur sympathie attristée.
Publié le 16/10/2013 à 03:50
La Courbe ouvre pour la Toussaint
Lors des précedentes vacances les enfants ont découvert les animaux de la ferme.
L’accueil de loisirs de la Courbe, ouvre ses portes pour les vacances de Toussaint, animé par l’amicale laïque. De lundi 21 au jeudi 31 octobre, les enfants de maternelle et primaire seront accueillis par l’équipe dirigée par Corinne Gianni. Au programme, des activités ludiques, sportives et culturelles, des sorties au marché de Réalmont, au zoo, à Lautrec, au verger de Laboutarié, ou à la patinoire de l’Archipel. Une rotation de bus est prévue devant les maisons de l’enfance et la plupart des écoles.
Renseignements au 05 63 42 09 60 ou sur www.lamicale.fr
Publié le 16/10/2013 à 08:15 G.D.
Le départ canon des rouge et noir
Une entame de championnat qui satisfait pleinement David Gau (à gauche) et son staff.
Invaincus après quatre rencontres de championnat dont deux victoires à l’extérieur.
De mémoire de Graulhétois, il faut remonter loin pour trouver trace d’un tel départ canon.
«Si ce n’est pas une surprise, de là à envisager d’avoir 18 points après 4 rencontres, nous aurions signé en début de saison» reconnaît le président David Gau.
«Nous pourrions dire que les recrues (Maréchal, Pagès, Hédreville, De Chasteigner) nous ont apporté un plus, mais ce dimanche aucun des quatre n’était titulaire. De même qu’à l’ouverture, avec trois absents (Sarcia, Dumont et Boutié), nous n’avons trouvé avec Falipou aucune différence dans le rendement. L’an dernier avec autant d’absences, nous aurions connu la catastrophe. Cette saison, le groupe a gagné en maturité». Dimanche, il va falloir confirmer en recevant Morlaas. «C’est dimanche qu’on pourra voir si l’équipe a réellement grandi. Si c’est OK, nous ne serons pas loin de ce que nous recherchons; finir dans les quatre premiers».
Publié le 16/10/2013 à 08:15 | Recueilli par G.D.
Le Sporting sacrifie une section jeunes
Alors que l’équipe 1 caracole en tête de sa poule , le club a dû, la semaine dernière, déclarer forfait pour son équipe Belascains (19-22 ans), au deuxième match de championnat.
Un forfait- même s’il était définitif, ce serait une première au Sporting- qui ne pénalise pas le club contrairement aux répercussions que pourrait entraîner un forfait de l’équipe réserve.
La saison débute à peine et les juniors Belascain sont forfaits au 2e match. Que se passe-t-il?
David Gau. «Nous avons des problèmes d’effectif. Ce week-end, les Belascains n’étaient que 14 à pouvoir jouer. Nous avons demandé aux juniors -une réunion a eu lieu vendredi avec eux pour leur présenter la situation-, de jouer avec l’équipe 2 pour qu’elle puisse honorer son contrat. C’est une situation que nous voudrions provisoire, mais nous l’envisageons sur du long terme. Nous ne croyons pas trop au provisoire».
N’est-ce pas la répercussion d’un recrutement «tout pour l’équipe 1»?
«Non. Nous avions aussi à l’inter-saison, contacté beaucoup de jeunes. Ils ne veulent pas venir jouer à Graulhet. Ce n’est pas faute de leur explique que la politique du club fait que des jeunes comme Montels, Barthélémy, Delbecq ou Vignaux ont intégré le groupe ces derniers mois. Je crois aussi que nous payons au prix fort, le trou dans l’effectif qu’il y avait à l’école de rugby il y a 7-8 ans».
N’est-ce pas le moment de provoquer un rapprochement au niveau des jeunes avec un club voisin?
«Ce n’est pas la faute d’y avoir travaillé! Nous avons tenté avec un club voisin qui recrute à l’extérieur et qui essaie même de nous prendre nos jeunes. Nous avons proposé un regroupement qui aurait permis d’avoir une seule et compétitive équipe Belascain. Ca ne l’a pas intéressé. Mais nous sommes persuadés que pour relever le niveau et éviter la fuite des joueurs, le regroupement doit se faire. Le rapprochement instantané des filles de Graulhet et de Lavaur peut déjà s’envisager comme un premier pas».
Publié le 17/10/2013 à 03:51 |
La plaine de Millet inaugurée
C’est ce samedi 19 octobre que sera inauguré le programme d’aménagement urbain de la plaine de Millet au cœur de la coulée verte. En liaison avec le centre-ville et le quartier de Crins, il comprend la réalisation d’une passerelle enjambant le Dadou, l’aménagement du parc de Millet et des berges de la rivière, ainsi que la construction d’une crèche et d’un cinéma. Dès 15 heures, l’Amicale laïque proposera des jeux pour les enfants. Les allocutions débuteront à 16h30 avant un ciné-concert à 17 heures, un vin d’honneur à 18 heures et un ciné guinguette à 20 heures.
Durant toute la journée les séances de cinéma seront gratuites. Les tickets sont à retirer impérativement à l’accueil du cinéma ou de la médiathèque Marguerite-Yourcenar aux heures ouvrables.
A 14 heures, deux films seront projetés : «Moi, moche et méchant 2» et «L’Extravagant Voyage du jeune et prodigieux T. S. Spivet» ; à 17h30 «Blue Jasmine» et à 20h30 «L’Extravagant Voyage du jeune et prodigieux T. S. Spivet».
Publié le 17/10/2013 à 03:52 J-C Clerc
Les résidants du pré de Millet primés
Cette lettre primée est le fruit d'un beau travail collectif.
A l’initiative de Frédéric Barcelona, psychologue, et de Mme Aliaga, médecin coordonnateur, la maison de retraite du Pré de Millet a participé à l’opération «Lettre à» organisée par la Fondation nationale de gérontologie.
Dans le cadre des ateliers d’écriture mis en place par la médiathèque intercommunale Tarn-Dadou, les résidants ont rédigé une lettre collective. Sous la houlette de Chantal Bonafé, animatrice, et d’Isabelle Mas, bibliothécaire, chacun a pu s’exprimer librement, sans tabou, sur ce qui lui tenait à cœur, l’entente avec les enfants, les joies apportées par la famille, la mort également…
La lettre «A nos enfants» ne peut laisser le lecteur indifférent : «Chers enfants, j’ai beau savoir que vous avez accepté que j’aille en maison de retraite parce que vous pensiez que c’était le mieux pour moi, je vis parfois mon début de séjour ici comme une punition. Vous souhaitiez être dégagés d’une grande responsabilité et je me suis rendue à vos arguments car je ne voulais surtout pas vous peser […] ». La force de leurs témoignages, profondément humains, c’est qu’ils s’adressent à tous et donc à chacun de nous.
«Chers enfants, il faut que vous sachiez que nous vous avons toujours aimé même lorsque nous vous grondions avec une grande sévérité. Nous devinons que vous vous êtes parfois sentis malheureux ou lésés. Avant d’être vous-mêmes parents, vous ne saviez pas que l’amour d’une mère est le même pour chacun de ses enfants, même s’il s’exprime différemment. L’amour maternel est multiple en lui-même[…] », témoigne une autre résidante. Cette belle et grande lettre réalisée par les résidants du Pré de Millet intitulée «A nos enfants» a été reconnue comme digne d’intérêt puisqu’elle a été primée parmi les 257 lettres reçues à la Fondation nationale de gérontologie dans le cadre de cette opération.
Publié le 18/10/2013 à 08:10
Le projet ESCALE se dévoile
Les principaux acteurs portant ce projet d'envergure./Photo DDM.
Une soixantaine de personnes a participé à la réunion publique du projet ESCALE durant laquelle une présentation générale du projet a été effectuée par Margaretha Fardeau, secrétaire générale de l’association. Les nouvelles esquisses ont été présentées par Cyrille Dal-Col. Tour à tour, les intervenants invités pour la réunion ont pris la parole pour apporter un chaleureux et conséquent soutient à ce projet.
Se sont ainsi succédé Sandra Joffroy, vice-doyen de la faculté des sciences et du sport et du mouvement humain Paul Sabatier, Sophie Garnier, responsable de formation des «Métiers de la Forme», Jean-Loup Lenoir, docteur en psychologie et psychopathologie, enseignant de psychologie à l’université du Mirail et Sandra Rigault, psychologue en formation, en cours de validation du titre de psychologue clinicienne et psychothérapeute à Rennes.
L’association Guillaume moto passion était quant à elle représentée par Sylvain et Guillaume Antiga, coureur moto évoluant dans le championnat espagnol en prémoto 3.
L’auditoire a aussi pu noter le parrainage de Stéphanie Barneix, multiple championne du monde de sauvetage au plus de celui de Guillaume Antiga.
Jean-Claude Amalric, président de l’association a pris la parole pour expliquer la démarche plus globale et juridique du projet et a répondu de façon précise aux questions de l’assistance avant de céder la parole à Claude Fita, maire de la commune, qui a témoigné un vif intérêt et un soutien non moins précieux au projet, le président précisant bien que «si le projet ne pouvait être réalisé à Graulhet, ce serait extrêmement regrettable, celui-ci se réaliserait ailleurs».
La réunion s’est clôturée par la signature du protocole d’accord entre l’association ESCALE et l’association Guillaume moto passion, suivie d’un pot de l’amitié où les discussions ont largement continué jusqu’à une heure avancée de la soirée.
Publié le 18/10/2013 à 08:10
Neuf cents visiteurs au Forum pour l'emploi
Hier matin, le Forum accueillait la dixième édition du Forum pour l’emploi de la Maison commune. Avec près de neuf cents visiteurs, le nombre de candidats a presque doublé par rapport à l’année dernière. Le contexte économique n’explique pas seul cette recrudescence. «Cette année j’ai reçu un mail pour m’informer de ces rencontres directement dans ma boîte mail», explique Pierre, ancien ingénieur commercial aujourd’hui en recherche d’emploi. Le regroupement Gaillac-Graulhet explique aussi en partie cette forte augmentation. Le nombre d’emplois lui, en revanche, n’a pas augmenté.
«Nous, nous ne sommes pas ici pour engranger des CV, mais cherchons des personnes sur des emplois précis qui sont à pourvoir tout de suite», souligne la responsable d’une entreprise de commerce. C’est d’ailleurs en partie cet aspect de rencontre directe avec un futur employeur potentiel en tête à tête qui est plébiscité par certains candidats. «Ici, c’est déjà un entretien. La plupart du temps on envoie des CV, mais cela ne donne lieu à rien. Je pense que j’ai peut-être trouvé quelque chose de très intéressant dans un domaine que j’aime et qui me semblait inaccessible», conclut Benjamin qui espère ne pas revenir l’an prochain aux Rencontres de l’emploi.
Publié le 18/10/2013 à 08:10 | J-C Clerc
Ça plane pour Flight plan
Eric Lopez fabrique des ailes en alliage d'aluminium ultra léger. /Photo DDM, J-C C.
Si vous montez dans un Boeing ou un Airbus, vous serez peut-être à proximité d’un accessoire réalisé à quelques mètres de l’aérodrome graulhétois. Tout comme si vous vous rendez dans un fast-food ou montez à bord d’un ULM. Eric Lopez façonne les alliages d’aluminium et compte parmi ses clients des bureaux d’études ou des équipementiers qui rejoignent Graulhet par la voie des airs.
C’est d’abord à Gaillac qu’il a créé, après une trentaine d’années de métiers, son entreprise en partenariat avec un usineur en 2006. «Nous sommes restés en très bons termes lorsque nous nous sommes séparés. Nous sommes complémentaires. J’ai trouvé il y a deux ou trois ans des locaux adaptés, très bien situés que j’ai pu acheter», explique Eric Lopez. Si sa société travaille beaucoup dans l’aéronautique, pour la réalisation de pièces complexes, ultra légères et résistantes, il œuvre aussi dans l’agroalimentaire ou les travaux publics avec une découpe de l’aluminium au plasma.
«Il y a aussi par exemple des compagnies aériennes qui veulent modifier les appareils de série pour des besoins spécifiques. À partir de la matière première, on est capable ici de fabriquer tout un avion», souligne Éric Lopez avec humour. Si aujourd’hui l’entreprise ne compte que trois personnes, elle fait travailler de très nombreux sous-traitants et autoentrepreneurs. La semaine prochaine Flight plan sera présent au Parc des expositions de Toulouse au Salon des Partenaires de l’Industrie du Grand-Sud. Avec 6 000 visiteurs attendus le SIANE se place juste derrière Paris en matière de vitrine de la sous-traitance.
Publié le 19/10/2013 à 03:55 | G.D.
Nouvelle vie d'un moulin de 400 ans
J.-Marc Femenias à la fenêtre qui donne sur le canal de fuite et l'arche du pont de la Bressolle./ DDM.G.D.
Depuis quelques semaines, les travaux font du pont de la Bressolle surplombant le chantier l’un des sites de promenade favori des Graulhétois.
La renaissance du moulin de la Bressolle vaut le coup d’œil ne serait-ce que pour les 8 000 m3 de terre pelletée et les tonnes d’enrochement qui renforcent le canal de fuite. Jean-Marc Femenias réalise un rêve de jeunesse quand il était apprenti électricien.
«En 2005, je me suis mis en recherche d’un moulin. J’ai découvert la Bressolle sur internet en 2007 et je l’ai acheté à la famille Abrial qui en était propriétaire depuis plusieurs générations», explique le sexagénaire provençal qui a, dans ses recherches, retrouvé la trace d’un premier moulin en 1599, emporté par les eaux en 1727 et reconstruit.
L’ancien artisan s’est dans un premier temps consacré à récupérer «le fondé en titre» qui lui permet d’utiliser comme à l’époque l’énergie hydraulique et l’autorisation préfectorale indispensable de rattachement à la rivière.
Les grands travaux ont débuté par la remise en état des canaux, la réhabilitation du bâtiment en gardant le maximum des matériaux et l’aspect d’origine, à l’image du pigeonnier tout proche déjà rénové et la construction des chambres d’eau qui recevront les deux turbines.
Au préalable, Jean-Marc Femenias avait engagé une étude de faisabilité sur une production de quinze années qui devraient lui permettre l’amortissement des travaux, en vendant l’électricité produite à EDF, une énergie renouvelable, propre, qui ne rejette pas de carbone dans l’atmosphère.
«Nous avons tablé sur une production moyenne de 250 kW/heure sur un débit moyen de 13 m3/seconde. Le Dadou est une rivière capricieuse au débit irrégulier, mais l’étude a porté sur plusieurs dernières années».
En janvier 2014, si la rivière le lui permet, il ouvrira les vannes et réalisera son rêve d’enfant.
Publié le 19/10/2013 à 03:56
Un élevage à champions
Yalta des Aubues, star du haras et champion de France des étalons.
En quelques semaines, le Haras de La Châtaignière vient de s’attribuer les plus hautes distinctions pour ses pur-sang arabes. Yalta des Aubues, étalon né et élevé au haras, a été sacré champion de France de sa catégorie. Ainhoa le Basque, à l’entraînement au haras et demi-frère de Yalta des Aubues, a décroché la médaille de bronze.
Aux championnats d’Europe des éleveurs, deux chevaux, Samoa des Aubues (3e) et Occitania des Aubues (5e), se sont classés dans le saint des saints du Top 5. Début octobre, sept chevaux ont été déplacés sur un concours de catégorie A (plus haute catégorie mondiale) au Maroc. «Notre objectif était de classer les chevaux dans les 3 premiers de leurs catégories. Objectif réussi puisque tous les chevaux sont au rappel», se félicite Katell Lucas.
Esta Esplanan gagne sa classe des étalons de plus de 13 ans, Magic X-Cell est deuxième. Samoa des Aubues finit 2e à 1 point derrière une merveilleuse jument appartenant au prince d ‘Arabie Saoudite. Le week-end dernier, Yalta des Aubues était invité en tant que champion national à Uzes à la finale des jeunes chevaux d’endurance (700 chevaux en compétition). «Yalta a été magnifique, présenté en nocturne sous les projecteurs, il a plu aux nombreux spectateurs initiés».
Publié le 20/10/2013 à 09:38 | J-C Clerc
La plaine de Millet a été inaugurée
Claude Fita maire de Graulhet a accueilli le président du Sénat, Jean-Pierre Bel, Le président de la Région Martin Malvy, la préfète, Josiane Chevalier, Thierry Carcenac, président du département, le député Jacques Valax et le sénateur Jean-Marc Pastor ./ Photo DDM, J-C C
C’est par centaines que les Graulhétois se sont rendus hier après-midi à l’inauguration de la plaine de Millet en présence de Jean-Pierre Bel, président du Sénat, Martin Malvy, président du conseil régional, du sénateur Jean-Marc Pastor, du député Jacques Valax, de Thierry Carcenac, président du conseil général et Pascal Néel, président de Tarn et Dadou.
Passerelle, cinéma, crèche et aménagement des berges ont été inaugurés en même temps. Labellisé «Grand Projet de Pays de la Région Midi-Pyrénées», il a bénéficié d’une inscription à la convention territoriale de pays dans le cadre du contrat de plan État/Région. De plus le partenariat avec l’ADEME au titre des sites et sols pollués a permis l’intervention du Plan de Relance. «La passerelle n’est pas un but, mais un moyen. Ces équipements sont des lieux de rencontre et manifestent notre volonté de faire communiquer les deux rives» a expliqué Claude Fita, maire hier comblé, précisant : «Pour un euros que nous avons investi nos partenaires en investissent six».
D’argent il était aussi question pour Thierry Carcenac «Il est bon de savoir à quoi servent nos impôts. La réalisation est ici exemplaire» a-t-il déclaré soulignant que 21 entreprises graulhétoises avaient travaillé sur le chantier. Pascal Néel a pour sa part souligné l’importance des hommes et des femmes qui ont pris part à cette aventure tout comme JacquesValax qui a invité l’ensemble des élus à prendre place à ses côtés, rendant hommage à une «équipe jeune, novatrice, pleine d’idées et efficace qui a su redonner de la fierté aux Graulhétois».
Pour sa part Martin Malvy assuré qu’il continuerait à soutenir les projets de cette équipe. Pour conclure Jean-Pierre Bel a parlé d’un «jour de chance et d’espoir pour une ville qui peut relever la tête et sortir de l’eau. Il ne faut jamais croire les oiseaux de mauvais augure».
Pour voir le reportage "Natifs de 50" sur l'inauguration de la Plaine de Millet :
Publié le 21/10/2013 à 09:33 | André Lhopitault
Graulhet fait la différence à l'heure
Le sporting graulhétois a frappé fort dès l'entame du match./Photo DDM Jean-Marie Lamboley
Il aura fallu une heure pour que Graulhet rassure ses supporters et justifie clairement son statut de leader. Jusque-là, Morlaas aura donné du fil à retordre aux hommes de Renaud Gély et Benoît Bellot, les perturbant en touche comme en mêlée et répondant du tac au tac aux essais comme aux pénalités.
Le Sporting avait pourtant frappé d’entrée, et de quelle manière. Groupé-pénétrant dévastateur, la balle gicle jusqu’à Montbroussous qui place un cadrage-débordement et offre un caviar à Codjia, lequel se blessera deux minutes après. Mais Morlaas sort la tête de l’eau et sur une grande largeur, le flanker Constant conclut sous les poteaux. Puis Billes se fait contrer en coin : c’est la double peine car le ballon file entre les poteaux et l’ailier béarnais Arroyo est le plus prompt. Comme Miremont facture les fautes au même titre que Romain Billes, à la mi-temps, le chassé-croisé ne désigne pas de vainqueur (20-20).
Une fin à sens unique
Morlaas reprend même la main à l’entame. C’est à la 63e minute que le Sporting fait le break. Morlaas, en infériorité numérique, ne peut rien face au bulldozer qui dépose Bueno derrière la ligne. Les avants graulhétois prennent l’ascendant et l’entrée de Franck Maréchal, très attendue, remet de l’ordre en touche. La fin est à sens unique, avec les jambes de Montbroussous, ses accélérations fulgurantes et imprévisibles. Julien Pauthe, au cœur de la fournaise, est à créditer d’un grand match, Hédreville a placé des démarrages qui ont fait avancer son pack, Pagès reste le meneur qu’on connaît et Billes l’arme fatale. Encore un 100 % pour le sniper.
Graulhet manque le bonus de peu, mais à la mi-temps, nombreux auraient signé pour ce score final. Les spectateurs, eux, se sont régalés : 6 essais et 63 points, on est preneur !
Publié le 21/10/2013 à 03:50 G.D.
La Cabriole va fêter ses 11 ans
Marie Guerrini et Loïc Arnaud attendent les Graulhétois, rue de l'Artisanat. C'est Mika Lopez qui coordonnera ces ateliers ».
Depuis 11 ans, l’association la Cabriole, s’est spécialisée dans la création et la diffusion de spectacles de cirque. La semaine dernière, elle a pu mettre son nouveau spectacle en place en résidence sous chapiteau à Mauvaisin (31), avec interventions dans les maisons de retraites et écoles de villages avoisinants, et la création sur place d’un cabaret cirque pour le festival «en attendant l»hiver»
«Le travail de cette année, en plus de la diffusion des différents spectacles de la compagnie, a beaucoup porté sur la préparation du nouveau spectacle, qui sera présenté en mai prochain à Graulhet. Ce spectacle de cirque de rue portera sur le quotidien d’une petite famille de cirque et utilisera les techniques d’acrobaties aériennes corde volante, trapèze, et de jonglage» explique Marie Guerrini, memebre fondatrice avec Loïc Arnaud. Le 26 octobre à partir de 17 heures, la compagnie fête ses 11 ans avec une expo, un apéro en musique et une scène ouverte sous chapiteau à Graulhet, 33 rue de l’artisanat. Du 28 au 31 octobre elle ouvre les ateliers de l’échappée. «Venez participer à l’habillage de notre roulotte-portique, vos œuvres voyageront au fil du vent de nos tournées.»
Ateliers peinture et motifs avec Mika de 14 à 17h les 28 et 29novembre à l’Agora, et les 30 et 31 octobre au Centre social. Atelier Batik avec 123 les timides les 30 et 31 octobre de 10heures à 12 heures. Ateliers tout publics et gratuits. Les ateliers de peinture proposés à tous fin octobre dans le cadre de cette création sont une nouvelle activité, qui amène par un moyen différent le public à découvrir les arts du cirque et de la rue.
Pour plus d’infos, pour participer : 06 08 24 01 31 , la.cabriole@free.fr
Publié le 21/10/2013 à 03:50
Le président national Francis Luyce sera présent lors de l'assemblée régionale
Jean Nespoulous préparent une journée inédite pour la natation graulhétoise.
Les responsables du SCG natation préparent depuis plusieurs semaines, un rendez-vous important. L’assemblée générale régionale du comité Midi-Pyrénées de natation qui se tient à Graulhet le 26 octobre à 14 heures à l’auditorium en présence de Francis Luyce, président national de la FFN (Fédération Française de natation). L’occasion de faire le point sur les dossiers nationaux mais aussi de présenter les projets du club du président Jean Nespoulous. Le président national d’une fédération ayant réussi à se hisser au troisième niveau mondial en termes de résultats, répondra à toutes les questions.
Publié le 22/10/2013 à 03:50
La MJC ouvre ses portes pour les vacances
Durant les vacances d’automne Chantal, Mustapha, Joris, Issam, Jean-Sébastien et Florian seront à la MJC et dans les locaux d’accompagnement scolaire de Crins 1 pour proposer des activités au 11 à 17 ans de 9 heures à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30. Afin de faciliter l’accès au site un ramassage sera proposé à Crins 1 à 9 heures et à 14 heures avant de passer devant la mairie, la place Bosquet et En Gach. Le retour s’effectuera à 12 heures et 17 h 30 avec des arrêt à En Gach, place Bosquet, devant la mairie et à Crins 1.
L’adhésion à la MJC, d’un montant de 10 euros, est obligatoire.
Pour participer aux activités deux modalités de paiement sont proposées, à la journée (1,60 euros) ou à la demi-journée (0,80 euro).
Dans les deux cas, une participation financière supplémentaire peut être demandée pour les sorties à l’extérieur de Graulhet ou les stages thématiques. Pour de plus amples informations il ets possible de contacter la MJC en téléphonant au 05.63.42.16.25.
Publié le 22/10/2013 à 08:13 |
Jumelage : «Une grande amitié s'est tissée»
La découverte par la délégation priennoise de la plaine de Millet.
Depuis 42 ans Graulhet est jumelée avec la ville de Prien Am Chiemsse en Allemagne.
Anne-Marie Jardry est la référente du comité de jumelage Graulhet-Prien où elle est impliquée depuis une trentaine d’années.
Comment se traduit concrètement ce jumelage ?
- Divers échanges qui ponctuent ce jumelage. Les collégiens de Louis Pasteur partent en Allemagne, et à leur tour, ils reçoivent leurs correspondants bavarois. Tous les deux ans, les clubs de natation procèdent également à des échanges. Enfin, toutes les associations graulhétoises peuvent profiter de ce jumelage : ainsi, les Vieux Travailleurs, le Vélo Club, le groupe Fiesta, l’Eveil Artistique, etc. ont profité de ce jumelage pour rencontrer leurs homologues bavarois et découvrir la Bavière dans les meilleures conditions d’accueil et d’échange.
Les élus de Priem Am Chiemsse ont aussi pris part au dernier conseil municipal...
- Nous organisons également des échanges entre élus, membres du comité de jumelage et habitants. Environ tous les deux ans, une délégation de Graulhétois se rend à Prien et des Priennois viennent nous rendre visite.
Vous venez justement d’accueillir les Priennois, quel a été le programme de ce séjour?
- Il a été chargé : visite d’une mégisserie, d’une maroquinerie, de l’usine Weishardt, de la brasserie des Vignes, de la Plaine de Millet, du musée et de la cathédrale d’Albi, on a assisté à une messe à Notre-Dame de Besplaux, on s’est recueilli sur la tombe de Jean-Claude Renoux, ancien professeur d’Allemand ainsi que de Roger Najac, ancien président du Foyer Léo Lagrange qui est à l’origine de ce jumelage avec le baron Von Rothkirch.
Comment sont logés vos convives ?
- En principe on se débrouille pour loger nos hôtes chez nous. Au fil du temps, une grande amitié s’est créée entre nous. Pour les repas, chacun paie sa part et on tourne sur les divers établissements de la ville. Les billets d’avion et autres frais qui sont évidemment à la charge de chacun. La subvention versée au comité contribue au financement des échanges scolaires et déplacements des diverses associations Graulhétoises ou encore permet de financer quelques cadeaux ou frais d’accueil de nos amis bavarois.
Publié le 23/10/2013 à 03:50 G.D.
La généalogie n'est plus ce qu'elle était
Le mercredi après-midi le local de la rue St Jean bourdonne de conseils et foisonne de bonnes pistes.
Le club de généalogie Agenda, la référence dans le département, accueillait chaque année de plus en plus d’adhérents, au point de dépasser les 150 largement en 2012. Or, depuis quelques mois, il est en perte de vitesse, malgré la qualité des cours prodigués et l’enthousiasme sans faille de ses animateurs.
Pour le président Jean Chabbal, la régression s’explique facilement. «La première génération Internet arrive à la retraite en se persuadant qu’on peut tout trouver sur la toile. On presse sur un bouton et on déballe sa généalogie. Seulement, la loi informatique et liberté interdit de mettre en ligne, les archives relatives aux personnes encore en vie. Plus près de nous, les archives du Tarn, consultables par Internet, ne proposent que des actes antérieurs à 1903-05. Les gens veulent du tout prêt, et n’ont pas la patience de faire des recherches. Internet peut être une aide, pas un recours complet». Ainsi, à grands coups de patience et de savoir-faire, le club va proposer à la fin de l’année, 1 300 000 actes accessibles soit 5 000 000 de personnes répertoriées. «Nous avons tout Graulhet et un secteur de 30 km autour. Il nous reste quelques données à entrer, sur le quartier de St Pierre, Notre Dame de Vignes et Labessière Candeil.
«Prendre le temps»
Un secteur en plein essor, la paléographie, ou le déchiffrage des écriture anciennes. Un outil que se proposent de faire acquérir Christiane Denaux et le généalogiste professionnel Stéphane Cosson. «C’est un plus, au siècle de la vitesse et de la consommation, je crois qu’il reste intéressant de prendre le temps de rechercher, pas de recopier un arbre, aussi fiable soit-il».
Elles découvrent une église oubliée à Labessière-Candeil
La généalogie pure laisse parfois la place à la découverte. Ainsi, un groupe de dames du club Agenda, en poussant ses investigations, a retrouvé les vestiges d’une très ancienne chapelle de Notre Dame de Mauribal, aujourd’hui disparue, sur la commue de Labessière-Candeil (ne pas confondre avec Ste Cécile de Mauribal entre Busque et Puybegon).
Elles ont pu la situer grâce à des renseignements qui furent précisément notés sur les registres paroissiaux d’il y a maintenant trois siècles.
Les vestiges se trouvent au milieu d’un bosquet au milieu de terres cultivées, que les agriculteurs ont toujours su préservé par respect pour les sépultures du cimetière qui jouxtait l’édifice.
Publié le 23/10/2013 à 03:52
Suzanne est doyenne des Graulhétois
La doyenne de la maison de retraite a mis le poster dédicacé du CO en bonne place dans la chambre (en haut à gauche).
Elle est née le 24 septembre 1910, au 8 de la rue Capitaine-Mauriès, là où elle aura passé plus d’un siècle de sa vie. A 103 ans, Suzanne Azémar est donc, d’après les recherches de sa famille, la doyenne des Graulhétois. Elle aura, dans sa jeunesse, aidé sa mère Jeanne Larrue dans son magasin du Petit Louvre, spécialiste en lingerie. En 1931, elle a épousé Raoul Azémar, le «Clès» fabricant de chaussons pour bottes et sabots et entrera dans l’atelier. Elle y restera après le décès de son mari en 1970.
Après quarante années à son domicile, elle est entrée à la maison de retraite du Pré Millet en 2011. «Vivre en famille c’est le secret de la longévité», assure la centenaire qui reçoit régulièrement les visites de ses deux enfants Rose-Marie et Henri, de ses cinq petits-enfants, de ses huit arrière-petits-enfants et de ses quatre arrière-arrière-petits-enfants.
Quand elle est seule, Suzanne se remémore les moments de sa vie et regarde la télévision, les rencontres de rugby qu’elle affectionne. Après avoir été supportrice du Sporting, elle avoue avoir un faible pour Clermont-Ferrand et son capitaine Aurélien Rougerie.
Publié le 24/10/2013 à 03:52 |
Un nouvel outil pour la politique de la ville
Les nombreux signataires de la convention. /Photo DDM, J-C C
La politique de la ville vient de s’enrichir d’un nouveau dispositif. La convention GUSP (Gestion urbaine et sociale de proximité) a été signée par l’Etat via l’ACSE (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances), la ville de Graulhet, la Communauté des communes, le conseil général, la CAF, Tarn Habitat et la Régie de territoire. «La signature de la GUSP est une étape très importante dans la vie de notre ville. C’est l’approche urbaine et sociale de cette convention qui me tient tout particulièrement à cœur», souligne Claude Fita, maire de la ville. «Le quartier d’En Gach, dont le renouvellement a été amorcé il y a plus d’une dizaine d’années, a été le terrain d’expérimentation de ce programme qui a pour objectif d’améliorer la qualité de vie et l’environnement.
Aussi, les acteurs de terrain sont-ils incités à renforcer leur participation et à coordonner leurs actions, chacun dans son domaine de compétences, en réponse aux besoins identifiés et en concertation avec les habitants», explique Danièle Désert, première adjointe en charge de la politique de la ville. Pour le député Jacques Valax : «Cette GUSP est la concrétisation d’une volonté politique basée sur l’interaction entre l’urbain et le social. La beauté des lieux éveille le sens de la responsabilité et le respect des lieux engendre le respect des personnes». Jean-Yves Chiaro, sous-préfet de Castres, a aussi participé à cette signature : «Le vivre ensemble, c’est le propre de ce dispositif. Faire ensemble en jouant la carte du terrain est la clé de la réussite. On ne peut pas faire le bonheur des gens malgré eux, mais avec eux, on peut !».
Publié le 25/10/2013 à 08:10 J-C Clerc
Les élèves de la «prépa» ont repris du service
Le travail en petit groupe a porté ses fruits l'an dernier. /Photo DDM, J-C C.
L’aide à la préparation aux concours se poursuit cette année dans les locaux du Greta au lycée Clément-de-Pémille. Trois soirs par semaine, une quinzaine de personnes en recherche d’emploi ou en activité, ayant quitté leurs études il y a peu ou bien depuis de longues années, suit ces cours du soir en vue de préparer un concours. Gendarme, infirmiers, éducateur spécialisé…
Les concours préparés - principalement de catégorie B et C -sont très divers. Ils ont cependant des bases communes que cette action, menée avec l’aide de la municipalité et du Greta et le concours de la Mission locale et de Pôle Emploi, propose de revoir. «Le lundi est consacré en alternance à la préparation aux tests psychotechniques et à la culture générale. Le mercredi soir ce sont les notes de synthèses et la préparation aux oraux que les élèves travaillent», explique Christian Branthomme, professeur agrégé et responsable pédagogique. L’équipe est aussi composée de Caroline de Vries (juriste), Loïc Steffan (enseignant à l’université Champollion), Pascal Hennequin (psychologue, consultant d’entreprise), Patricia Vallet et Claudine Carayon, formatrices Greta.
Au fil des ans, cette préparation évolue, s’ajuste. Cette année est marquée par une petite nouveauté.
La remédiation en français ne se fait plus en même temps en alternance avec la préparation à la rédaction et la culture générale. Le mardi soir est désormais dédié à une remise à niveau au français et aux mathématiques en alternance. L’an dernier, près de la moitié des candidats ayant suivi le cursus de préparation a été admissible aux concours préparés.
L'avis des candidats
Jean-Baptiste Pelizzon, 20 ans, surveillant, Briatexte. C’est grâce à La Dépêche du Midi que j’ai découvert cette formation. Je viens d’arrêter mes études et mon objectif est d’entrer dans la Gendarmerie. J’ai toujours voulu être dans l’armée, mon objectif est d’intégrer le peloton de Gendarmerie de haute montagne. J’ai suivi une filière scientifique et je dois travailler le français et la rédaction. Les cours sont encore mieux que ce que j’avais imaginé. Les intervenants sont de véritables encyclopédies et donne le goût d’apprendre et des méthodes. Avec des enseignants comme eux, j’aurai beaucoup plus de plaisir à apprendre.
Sabrina Gistan, 23 ans, chercheuse d’emploi, Graulhet. J’ai eu un parcours scolaire et professionnel assez atypique. J’ai passé un CAP dans la restauration, un BEP de vente, j’ai travaillé comme hôtesse de caisse… Mais depuis toujours je voulais être puéricultrice. Pôle Emploi m’a proposé cette formation en fonction de mon projet professionnel pour préparer le concours d’auxiliaire de puériculture. Jusque-là je ne savais pas qu’il y avait une préparation pour se préparer au concours. On nous apprend à rédiger, à faire des phrases correctes et beaucoup de vocabulaire. La méthode ici est différente. Il me reste encore quelques mois pour me préparer au concours qui aura lieu en février.
Déborah Cavard, 20 ans, chercheuse d’emploi, Graulhet. J’ai arrêté mes études il y a un an et demi, et c’est difficile de s’y remettre. C’est la Mission locale qui m’a présenté cette formation car je cherchais à préparer un concours. L’an dernier j’ai fait une formation pour valider mon projet professionnel et je prépare désormais le concours de moniteur éducateur. Ce que je souhaiterais, c’est devenir éducatrice spécialisée, mais je n’ai pas le bac. Mais je n’ai pas abandonné cet objectif. Le cursus sera plus long, mais j’aurais une expérience professionnelle. La formation m’aide pour la préparation des tests psychotechniques ainsi que pour l’oral avec des simulations d’oraux de concours.
Publié le 26/10/2013 à 03:51
Athlétisme : Des résultats exceptionnels des jeunes
La plupart des jeunes athlètes ont reçu leur récompense.
L’assemblée générale de la section athlétisme le bureau a été renouvelé presque à l’identique, avec Eric Loison président, Marilyne Sanchez trésorière, et Lydie Perron secrétaire. Le président s’est félicité de l’accroissement du nombre de licenciés, soit 85, surtout en majorité des jeunes de 6 à 19 ans. La trésorerie a été maîtrisé avec cette année un léger excédent. Les résultats sont exceptionnel puisque 15 athlètes obtiennent des résultats de niveau Régional. Trois ont participé aux championnats de France par équipes.
Yves Gouyen et Gérard Navalès ont remis les récompenses à Célia Perron, 7ème au Niveau National sur 400m haies, Victoria Mattutzu, et Emma Foulard au sprint, Lise Lacourt au lancer, mais aussi Inès, Cathalau, Marie Buffet, Maelle Perron, Mathieu Azemar, Noémie Mauriès, Méline Rodier, AnaÏs Loison, avec les benjamins Tom Madhi, Camille Bouchard, Julie Benos, Naomi Bouillie. Les poussins ont obtenus plusieurs premières places au niveau départemental, Eve Cadillac au javelot, Romane Martinez au poids, Mandy Durand au triple saut mais aussi, Ornella Tournier, Claire Bosc, Medhi Rouquette, Théo et léa Jouet et Enzo Barbey. Pour l’éveil Athlétique ce sont Julie Le Morvan, Elise Casenave, Adam Gaillac e t Lucas Dosse qui ont été récompensés.
Publié le 26/10/2013 à 03:51
Far : les talents locaux exposent leurs créations
Faisant suite à l’exposition artistique de septembre pour «le Reprise» de la Far, la deuxième séquence, du 14 au 30 octobre, réunit 7 artistes peintres ou photographes dans ces mêmes locaux de la Halle des Arts rue du Général Sudre. Soixante-sept œuvres -38 tableaux et 29 photographies- sont présentées par Floriane Azam, Jeannine Bressole, Michelle Couteau, Henry Manavit, Jacques Mariette, Mike Milleville et Suzanne Roudouleusse. Un groupe qui attend le visite pour faire partager le fruit de ses recherches et de son travail.
La salle est ouverte tous les après-midi de 15 à 18 heures, du mardi au samedi. La troisième séquence de cette série d’expos, est prévue sous ce même toit, du 5 au 21 décembre prochain, sous la forme d’un Marché de Noël des arts avec démonstrations des talents sur place. Entre-temps, du 8 au 30 novembre, la Far présentera l’édition annuelle de la Basane d’Or, concours photographique organisé par l’Éveil Artistique.
Publié le 26/10/2013 à 03:53
Les Restos du cœur sont prêts pour l'hiver
Estimation pour le 15 novembre, servir environ 5000 repas et sans doute plus de 200 dépannages.
Depuis mai dernier, les Restos du Cœur ont poursuivi leurs distributions hebdomadaires - à l’exception de quelques semaines en août- en direction de la trentaine de familles les plus démunies sur son secteur d’intervention. Le mardi 22 octobre, les bénévoles des Restos du Cœur de Graulhet se sont retrouvés pour préparer la campagne d’hiver. Si quelques anciens ont laissé leur place, de nouvelles recrues ont rejoint et complété l’équipe. «Le 21 octobre, nous étions une quinzaine réunie au local pour prendre connaissance des règlements et les appliquer lors des inscriptions des bénéficiaires» précise Edmond Sabatier, bénévole de la première heure des Restos.
Ces dernières débuteront donc le lundi 18 novembre et se poursuivront tous les après-midi de 13h30 17h jusqu’au vendredi 22 novembre inclus. «Pour éviter les temps d’attente trop longs, nous conseillons aux candidats à l’inscription de prendre rendez-vous et de se faire préciser la liste des documents présenter, soit par téléphone au 05 63 34 77 43, soit au local, le vendredi 15 novembre au matin ou tous les après-midi partir du 19 novembre». La première distribution de la campagne d’hiver aura lieu le mardi 26 novembre de 9h 11h30. Lors de la dernière campagne d’hiver -déc 2012 à mars 2013- 170 familles inscrites, soit environ 430 personnes, et une augmentation d’environ 10% par rapport à l’année précédente. Plus de 30 000 repas adultes servis, près de 200 dépannages et près de 20 bébés inscrits qui ont reçu environ 1500 repas. Lors de la campagne d’été, une trentaine de familles se sont inscrites. G.D.
Publié le 26/10/2013 à 03:54
Reprise gagnante pour le SCG Natation
Le groupe des sections benjamins.
Les activités ont repris depuis seulement 1 mois et déjà 2 compétitions à l’actif des nageurs des groupes de compétition.
Les 11 et 12 octobre 36 d’entre eux étaient au meeting de Castres pour évaluer les niveaux de forme et se situer au niveau des chronos après la longue trêve d’été. Les résultats et les temps ont renforcé l’impression donnée lors des premiers entraînements. Le groupe est compétitif, sérieux, uni. Les catégories benjamins et minimes nombreux et motivés, et les plus grands restent des moteurs essentiels.
Le 20 octobre, les choses sérieuses commencent avec les inter-clubs benjamins 1er plot. Et déjà un gros point positif : 4 équipes sur les rangs. Un 100 m 4nages pour chaque nageur et 4 relais par équipe au programme. Chez les garçons l’équipe 1 en l’absence d’Ismaël Tabouche et composée de Thomas Reygasse, Emile Bernard, Jordan Goncalves et Samy Chikhaoui se classent 4ème après avoir réalisé de très belles courses ; l’équipe 2 : Nathan Mauries, Tom Peltier, Titouan Bourgon et Julien Vidal terminent juste derrière leurs copains.
Les filles en présence de Justine Vaudé, Sofia Schmidt, Olivia Sicard et Charline Carayon s’octroient un podium avec une deuxième place derrière Castres et devant L’Entente Nautique d’Albi.
Ces petites ont de jolies choses à prouver cette saison encore. L’arrière-garde et l’avenir sont également au rendez-vous avec des premières années Juliette Imbert, Camille Uruty, Gaelle Bardou et Laura Tressens qui formaient l’équipe 2.
Publié le 27/10/2013 à 08:26
Montdragon : Ils ont gagné leur poids en pommes
Venez gagner votre poids en pommes à la tombola 2013.
La journée porte ouverte des vergers du Pont Vieux, en septembre, a attiré un public qui a été séduit par la visite pédagogique du verger, la cueillette des pommes, la dégustation des produits du terroir, les jeux pour les enfants et l’animation musicale du midi.
A l’issue de cette journée , eut lieu le tirage de la tombola.
Les gagnants sont : récolte 2012 Josiane Thibaut de Graulhet, journée porte ouverte David Bancillon de Saint Lieux Lafenasse. Hélène Biscond du verger, remercie sincèrement tous les intervenants, les participants, les exposants et Dominique pour son animation très dynamique.
Publié le 27/10/2013 à 08:26 |
Le père et le fils au marathon de New-York
Le père et le fils sont prêts pour la grande course.
En 1993, Eric Gontier et son épouse Annick s’étaient lancés ensemble sur les 42 km du marathon de New York. Vingt ans après, leur fils Thibault lance a nouveau ce défi a son père à l’occasion de ses 50 ans. Si Eric a toujours pratiqué l’entrainement à raison de 4 fois par semaine et avec au palmarès 6 marathons à son actif dont ceux de New-York, Boston, Albi, Lyon et Figeac -ou il réussi son meilleurs temps 2h48- il n’en va pas de même pour son fils. Chanteur dans un cabaret il s’est mis à la course à pied spécialement pour ce défi durant deux mois d’entrainement. «Je relève ce défi sans aucune prétention de chrono mais pour objectif de le terminer main dans la main avec mon père.
Il va sûrement devoir m’attendre car je ne suis pas a son niveau, même si nous avons fait le semi marathon de Toulouse pour m’entrainer un minimum sur une longue distance». Le duo ne pouvait pas se rendre à new york sans passer par «le Tournesol «restaurant du graulhetois pascal Escriou. «Encore mieux cette année il fait un one man show pour les français dans Broadway». Thibault féru de music-hall, va profiter de ce voyage pour aller voir artistiquement ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique.
Publié le 28/10/2013 à 09:00 | G.D
Première défaite de la saison pour Graulhet
Le Sporting n'a pas réitéré sa performance du week-end dernier face à Morlaas/ Photo DDM, Archives Jean-Marie Lamboley
Quand en début de seconde mi-temps, Bille a donné l’avantage aux siens, les plus fidèles supporters qui avaient fait le déplacement pensaient bien voir le Sporting faire le même coup qu’à Naffaroa et Fleurance. Mais voilà, les Graulhétois reviennent avec la première défaite de la saison, qui plus est, sans avoir pu décrocher le bonus offensif qui, aux dires de Benoit Bellot, devait logiquement leur revenir. «Nous méritions le match nul, au vu de l’équilibre de la rencontre, et le bonus qui nous échappe nous laisse des regrets sur la conduite de fin de match. Nous sommes tombés sur un ouvreur adverse qui a sans état d’âme, renvoyé le jeu dans notre camp. Retenons tout de même que les gars ont tout donné. Ils ont simplement manqué d’un brin de réalisme à la conclusion des moments forts et importants».
Graulhet, leader oblige avait marqué le premier essai, par Buéno, au chaud d’un effort collectif qui emportait le pack local sur quinze mètres.
Marmande avait répondu par une réalisation en plusieurs temps, avec du jeu sur les largeurs autorisé par une conquête ne touche. Un secteur qui a encore été déficitaire pour les Tarnais.
16 à 16 à la pause
A la pause, un 16-16 sanctionnait une certaine équité dans les phases de jeu.
Graulhet portait le danger dans le camp adverse sans arriver à marquer.
Le tournant du match aurait pu faire basculer la rencontre à un quart d’heure de la fin. Les rouges et noirs enfonçaient plusieurs fois leurs adversaires, les envoyaient dans l’en-but. L’essai était refusé et sur la mêlée qui suivait, l’arbitre accordait la pénalité aux locaux, comme un ballon d’oxygène. C’est Marmande qui marquait l’essai de la victoire, sur un départ dans le côté fermé. Graulhet tentait de marquer 3 points d’un bonus défensif, sans succès. «Ce que nous retenons du match, s’interroge l’ancien ouvreur, c’est que nous n’avons jamais été en danger. Nous retiendrons donc l’engagement des gars et leur état d’esprit. Et puis, il fallait bien que ça arrive un jour!»
Marmande 27 - Graulhet 19
Publié le 29/10/2013 à 08:30
Le GIP en rythme de croisière
Les GIP assure aussi la livraison de repas. /Photo DDM, J-C C .
Un peu plus d’un an après sa création, il était l’heure pour le GIP de restauration du Graulhétois d’effectuer un premier bilan. Né de la fusion des cuisines centrales, le groupement d’intérêt public a atteint son rythme de croisière produisant à l’année 235.239 repas pour 240.000 prévus. L’opération de fusion de la cuisine centrale municipale et de la cuisine de l’hôpital a permis d’éviter l’importante remise aux normes de l’ancienne cuisine centrale qui accueillera une salle des fêtes à proximité immédiate du forum. C’est désormais sur un site unique que sont produits les repas pour le centre hospitalier, les écoles et les particuliers en portage à domicile.
«Bien entendu, il a fallu un temps d’adaptation. La confection de repas pour les écoles ou l’hôpital demande des compétences différentes. Aujourd’hui, l’équipe est compétente dans tous les domaines», se félicite Francis Rodière, directeur du GIP, qui explique : «Une des difficultés est que nous devons confectionner des repas très différents pour les écoles, les résidents qui suivent un régime sans sel ou sans sucre. Certains repas doivent être mixés ou hachés, certaines personnes suivent un régime sans résidus. Il nous arrive de confectionner des repas spécifiques pour une personne».
Outre la confection de plus de deux cent mille repas, le transport des repas est une des tâches du GIP qui fournit dix points de livraisons sur la ville en plus du portage à domicile. Un autre aspect de la gestion est d’arriver à fournir des repas soir et week-end, 365 jours par an.
La gestion ne peut être que rigoureuse, d’autant que l’organisation comprend aussi des repas bios, pour le repas des anciens de la ville de Graulhet, de fin d’année pour les écoles ou les réveillons. «On tourne désormais à plein régime et la mécanique est bien huilée», conclut Francis Rodière.
Publié le 29/10/2013 à 08:31 | J-C Clerc
Vague de travaux à la Régie des eaux
Charles Landry présentant l'état de certaines canalisations actuelles et leur devenir à l'issue de travaux. /Photo DDM, J-C C .
C’est hier qu’a débuté une campagne de travaux de réhabilitation d’une grande partie du réseau d’adduction d’eau potable. Elle se déroule sur une partie ciblée du réseau avec de nouveaux moyens qui devraient éviter la dégradation de la qualité de l’eau connue jusque-là.
«Des problèmes de qualité de l’eau, non pas sur la plan bactériologique mais sur sa qualité visuelle, nous ont été rapportés dans plusieurs quartiers», explique Charles Landry, directeur de la RMEA (régie municipale de l’eau et de l’assainissement, qui précise «L’eau y est parfois d’une couleur rouge peu engageante. Il s’agit d’un dépôt ferrique. 6 km vont être traités dans les quartiers qui ont ce problème». Concrètement l’intérieur des tuyaux dans lesquels passe l’eau vont être enduits d’un revêtement en résine alimentaire. Jusque-là les canalisations n’en étaient pas revêtues et la corrosion a fait son œuvre. «Nous avons opté pour cette technique pour plusieurs raisons.
La première est économique, ce procédé est deux fois moins cher que le remplacement des tuyaux», souligne Charles Landry. La facture devrait s’élever à 400000 € pour les 6 km de canalisation traités qui alimentent 700 abonnés. La seconde raison est une moindre gêne occasionnée par le creusement de tranchées. «Cela diminuera les nuisances sonores comme pour la circulation, mais nous devrons cependant opérer quelques ouvertures», confie le directeur de la RMEA. Cette première campagne concerne les sites de Beauséjour, Beausoleil, Saint-Jean et Crins 1. Un diagnostic est actuellement en cours sur l’ensemble du réseau. Les réclamations, qu’elles soient effectuées en se déplaçant à la régie, en téléphonant ou par courriel, sont mises sur une base de données informatique en vue d’un la création d’un programme pluriannuel de travaux.
Moins de tranchées et des économies
A l’exception de quelques points complexes, c’est avec un robot que l’injection de résine sera pratiquée. Les nuisances seront ainsi moindres non seulement pour la circulation et pour les riverains mais aussi pour les usagers. La polymérisation de la résine permet de réaliser les travaux avec une coupure d’alimentation de quatre heures seulement. Enfin un dernier avantage de ce procédé est, avec l’injection de cette matière, la diminution des pertes et donc une augmentation du rendement entre l’eau produite et celle consommée et donc facturée. Une façon de diminuer les pertes d’eau sur le réseau et donc de réaliser des économies.
Publié le 30/10/2013 à 03:52
Les quatre Petits As
Les quatre jeunes du club bouliste aux Petits As de Caussade.
Dimanche 13 octobre, notre Centre de formation bouliste se déplaçait à Caussade pour sa première compétition dans la catégorie des moins de 13 ans, dans laquelle Morgane Kosednar a réalisé un bon parcours pour une 3e place. Dans celle des moins de 11 ans, Lucien Durand, qui se classe en 5e position, Solène Raynaud pour la 6e et Cécile Gau pour la 13e place. Ces quatre jeunes sont en très nette progression depuis l’an passé.
Cette première confrontation aura permis aux jeunes de se situer en début de saison dans la zone Nord et de voir le travail qu’il reste à faire pour se hisser en haut du tableau.
La 2e compétition se déroulera à Graulhet le dimanche 17 novembre au boulodrome qui permettra à chacun d’améliorer ses performances et de pouvoir se confronter à la zone Sud dans quelques mois pour une finale à Montauban, mais surtout de voir les progrès accomplis avec 2 entraînements hebdomadaires (mercredi et vendredi de 17h à 19h).
Publié le 30/10/2013 à 08:07 G.D.
Tradition et avant-garde chez Weishardt
Jean-Luc Jolimaître a remis les médailles d'argent, de vermeil, d'or et de grand or à 122 de ses employés.
Samedi, le Forum était comble des invités, des personnalités et surtout des employés de Weishardt et leurs conjoints, pour la grande fête de l’entreprise créée il y a 174 ans. Jean-Luc Jolimaître, l’actuel PDG, a remis personnellement, avec un petit mot à chacun et chacune, les médaille du travail à 122 de ses collaborateurs. «Ils sont ceux qui ont vu grandir Weishardt et qui ont participé à son développement». L’enseigne spécialisée d’abord dans la colle issue des «chiquettes» de mégisserie, puis dans la gélatine alimentaire, pharmaceutique et produits dérivés, qui a pris son grand essor sous la direction du regretté Georges Jolimaître, emploie aujourd’hui 250 personnes sur ses sites graulhétois, près de 500 sur tout le groupe et à l’étranger.
Une importance dans le tissu industriel local et régional incontournable, et un caractère familial préservé, comme l’ont salué tour à tour les intervenants. «Il n’y a pas d’industrie sans les hommes», comme l’a souligné le maire Claude Fita. «Vous êtes l’exemple d’une entreprise proche des gens et en même temps de renommée internationale», a renchéri Thierry Carcenac, président du conseil général. Ce à quoi Jean-Luc Jolimaître répond dans la préface du livre consacré à l’entreprise (voir ci-dessous) : «La première motivation essentielle est la confiance en l’avenir». Un futur qu’aborde Weishardt en multipliant et diversifiant ses activités et en développant actuellement la fabrication de gélatine à base de peaux de poisson pour pouvoir aborder le marché des produits Kasher par exemple.
Publié le 30/10/2013 à 08:07 | G.D.
Un livre qui retrace la saga Weishardt
«Weishardt et la gélatine, des hommes, une passion», 140 pages largement illustrées qui racontent la saga d’une famille de 1839 à nos jours. Le livre, imprimé chez Escourbiac, a été écrit par Bernard Bouyssière qui a travaillé en tant qu’ingénieur puis directeur qualité dans l’entreprise de 1972 à 2010. De Dijon à Graulhet, de la Slovaquie au Canada, le parcours à la fois humain et industriel y est consigné dans le détail. Bernard Bouyssière avait déjà rédigé un essai sur l’eau et les forages. «Nous sommes ici en présence d’une vraie entreprise familiale. Mon long parcours dans l’entreprise m’a permis de réaliser et de rendre public ce témoignage sur le passé et le présent de l’entreprise». Au fil des pages, le lecteur retrouvera les grands moments, les dates clefs et les portraits de ces capitaines d’industrie qui ont fait le renom d’une enseigne internationale en bonne place. Tout y est. De la fondation par Jean Conrad Weishardt, à son histoire qui a, comme l’a souligné Jean-Luc Jolimaître, traversé une révolution et trois guerres mondiales, jusqu’à l’avenir, en passant par les techniques de production, l’internationalisation et même la longue liste de tous ceux qui ont travaillé dans l’entreprise.
Publié le 31/10/2013 à 08:50 J-C C
Graines de champions au Centre éducatif multisports
La promotion 2013-2014 du CEM.
Cette année, le centre éducatif multisports compte trente-six stagiaires qui bénéficient d’une formation sportive de haut niveau grâce à un partenariat avec les établissements scolaires dans des classes aménagées. Pour l’instant, les adolescents évoluant dans cinq disciplines (gymnastique, rugby, natation, basket, athlétisme), peuvent bénéficier de cet accompagnement de qualité.
Christian Delfaut, directeur de la structure, résume ainsi l’objectif : «Accompagner les capacités de chacun de ces jeunes, en assurer le suivi tant scolaire que sportif et médical sont nos objectifs ainsi qu’un volet sur la citoyenneté».
La discipline et le respect font partie intégrante de sessions de travail d’une heure et demie , qui se déroulent le lundi et le jeudi soir pour la troisième année.
Le bilan des deux premières saisons est positif avec deux jeunes rugbymen qui sont partis pour rejoindre un club pro, une basketteuse qui a intégré le Pôle France et des performances encore améliorées chez les nageuses.
Jeunes espoirs de l'ouest du Tarn
«C’est une véritable satisfaction de voir évoluer ces jeunes, de les voir devenir autonomes, comprendre que leurs corps ne sont pas des machines et comprendre ce qu’est l’effort», se félicite Christian Delfaut.
Adossé à l’omnisports, avec pour partenaires financiers le conseil général du Tarn, le conseil régional de Midi-Pyrénées, la communauté de communes Tarn & Dadou, la ville mettant à disposition le directeur de la structure et les bâtiments, le CEM attire aujourd’hui de jeunes espoirs de tout l’ouest du département.