Galettes 2012

Publié le 08/01/2012 03:49 | J.M.

Aveyron : « Il y a galette des rois et galette des rois »

Jean-Charles Pascual n'est pas peu fier de la qualité de sa production, tout comme Valérie, sa vendeuse./Photo DDM

« Tout ce qui fait l'art de la bonne galette, c'est le feuilletage, explique Jean-Charles Pascual, pâtissier à deux pas de la place d'Armes. Et attention, nous ne faisons qu'un feuilletage au beurre, à 84 % de matières grasses. » Et chez Pascual, on cultive le même souci de qualité pour la fameuse frangipane. « Chez nous, c'est de la poudre d'amande avec de la crème pâtissière. » Une crème pâtissière complètement naturelle, sans adjonction de rhum ni de vanille pour lui donner artificiellement du goût. Tout juste s'accorde-t-on, chez Pascual, l'adjonction d'une pointe de rhum dans la frangipane.

Toute la différence se fait dans le choix des produits utilisés. « Pour les sélectionner, je garde à l'esprit un souci de rapport qualité-prix. Le bas de gamme n'a pas droit de cité chez nous, mais il faut quand même faire attention au prix. »

Une galette pour 4 à 6 personnes, c'est un cercle d'une vingtaine de centimètres de circonférence pour environ 600 grammes. Mais tous les formats de galettes existent ; tous sont possibles. La galette « tendance », chez Pascual, c'est incontestablement celle aux fruits. La tradition reste un « must » très prisé, simplement avec de la frangipane, mais on réclame de plus en plus la poire-chocolat avec un fond de frangipane, et la galette avec de vraies pommes entières, pas une vulgaire compote de boîte de conserve. Très demandée par ailleurs, la galette en portion individuelle, a son petit succès.

Jean-Charles Pascual se souvient du bon vieux temps où l'on faisait des galettes sans frangipane - pur feuilletage - ou encore des galettes aux noix délicieuses. Elles ont été balayées par les modes.

Chez Pascual, on trouve de la galette depuis la semaine précédant l'Épiphanie (fêtée le 6 janvier), jusqu'à la fin du mois de janvier.

 

Publié le 08/01/2012 03:49 | La Dépêche du Midi

Galette des rois : Un plaisir gourmand à partager

A la boulangerie-pâtisserie Cayla-Alcouffe, comme chez ses confrères, les galettes ont obtenu un franc succès./Photo DDM

Chacun sait que l'épiphanie est une fête célébrée le dimanche qui suit le jour de l'An, cette année aujourd'hui 8 janvier. Une fête chrétienne, l'hommage des Rois Mages venus rendre visite à Jésus nouveau né. Tirer les Rois, une tradition qui veut que celui qui trouve la fève soit déclaré roi pour la journée. En fait, la galette des Rois, plaisir gourmand à partager en fête, est consommée tout au long du mois de janvier pour le bonheur de tous mais plus particulièrement pour celui des boulangers-pâtissiers.

 

Publié le 08/01/2012 03:48 | La Dépêche du Midi

Carmaux (81) : Sophie et Fernand offrent le cidre

Sophie et Fernand offrent le cidre dimanche.

Sophie et Fernand Da Costa, jeunes boulangers installés depuis 2007 au 6 rue Voltaire, vous souhaitent avec Chloé (11 ans), et Léa (14 ans), une très bonne année 2012.

Fidèles à une tradition démarrée en 2009, Sophie et Fernand vont pétrir et cuire pour ce dimanche 8 janvier de succulentes galettes remplies de frangipane, vendues avec la fève et la couronne.

Et un joli cadeau pour tous les acheteurs de galettes, une bouteille de cidre offerte.

 

Publié le 08/01/2012 03:47 | La Dépêche du Midi

Mondonville (31) : La violette dans la galette des Rois

Edwige et Bernard Costa, membres de la confrérie de la violette, présentent leur célèbre galette./Photo DDM, G. D.

La galette des Rois à la violette est le produit vedette qu'Edwige Costa confectionne dans « l'atelier de l'écu sec » au lieu-dit les Cussecs. Avec son mari Bernard, elle y accueillera les clients chaque dimanche matin de janvier, pour des dégustations et ventes de galettes des Rois. L'éventail des saveurs est large, des galettes traditionnelles à la frangipane et aux fruits confits aux parfums plus inattendus comme le caramel et le beurre salé, la crème de marrons ou le chocolat. La galette à la violette de Toulouse, aux pétales fraîchement cristallisés et incorporées à la pâte, leur a valu d'être intronisés membres de la confrérie de la violette en février 2011. Pour Edwige « c'est une belle histoire avec la fleur emblématique de la ville rose, un travail de 10 ans sur ses qualités gustatives qui nous a permis de déposer la marque en 2009 ». Elle ajoute « les galettes à la violette représentent le tiers de nos ventes et les compliments des clients nous ont incité à élargir notre gamme avec la fabrication de financiers et de sablés à la violette ». Une exposition de fèves agrémentera les dégustations gratuites du mois de janvier.

Les époux Costa consacrent tout le mois à la fabrication de galettes qu'ils livrent sur commande ou en vente à emporter chaque matin dès 5 heures 30.

 

Publié le 08/01/2012 03:46 | La Dépêche du Midi

Tarn : De si jolies galettes

Chez Bernard Nicouleau, on fait aussi des galettes individuelles pour que chacun ait sa fève./Photo DDMJ.-M L

«J'aimerais que ce soit comme pour le vin primeur, qu'on ne sorte pas les galettes avant le jour de l'épiphanie. Là, j'ai commencé juste après Noël. Mon père doit se retourner dans sa tombe » plaisante à moitié Bernard Nicouleau. Pour cet artisan boulanger-pâtissier, fils de boulanger dans l'une des plus anciennes enseignes de la ville, les traditions battent un peu la campagne. Mais c'est comme ça et l'imposant four âgé de 55 ans ne désemplit pas. Couronnes natures et galettes aux amandes, voisinent depuis plus d'une semaine avec les spécialités maison, janots et autres Gimblettes.

« Je fais aussi des galettes individuelles pour les papys et mamies. Comme ça, ils ne se disputent pas, chacun a sa fève » a tranché en sage Bernard Nicouleau.

Professionnels passionnés

Dans le grand four d'Henri Durand, maître pâtissier aux Délices de Champollion, cuit une galette prévue pour… 25 personnes. « Une commande pour les 90 ans d'une grand-mère » annonce fièrement le maître. Il faudra une bonne heure de cuisson pour qu'elle soit bien » ajoute-t-il avec le sourire, malgré un rythme un peu fou. « Je refais des galettes tous les jours. Je commence à 5 h du matin et je crois que ce soir à 20 h, j'y serai encore » avoue-t-il.

Pour l'encourager, une des vendeuses de la boutique lui assure, l'œil gourmand : « elles sont encore meilleures que l'an dernier ».

Une belle occasion d'entrer dans ces maisons du régal, pour écouter des professionnels passionnés parler recettes, secrets et même prix. D'autant que certaines enseignes réputées comme la maison Belin n'affichent pas leurs prix en vitrine. M.L

 

Publié le 07/01/2012 12:04 | Sylvie Ferré

Castres (81) : Ils font des kilomètres pour trouver la fève

Comme Michel Pennet, les boulangers-pâtissiers choisissent les sujets au coup de cœur./Photo DDM, T. Antoine.

Demain, jour d'Epiphanie, le plaisir sera double pour de nombreux Castrais : celui de déguster la traditionnelle galette des Rois ou bien la fouace, puis celui de trouver la fève. Figurine ou objet miniature, le sujet est souvent convoité par certains gourmets collectionneurs. Caliméro, petits gâteaux sucrés, sabots, camions de pompiers, animaux, personnages bibliques ou santons, les fèves sont proposées par séries, selon l'envie des boulangers-pâtissiers, sollicités par des fournisseurs de Lyon, Albi (Lacroux) ou Narbonne (Pedrero) durant le printemps ou l'été. Au Petit Four, Michel Pennet a choisi cette année de mettre… en bouche des sujets en porcelaine dédiés à la belle Marilyn Monroe ou l'autre aussi pulpeuse Betty Boop. Avenue du Sidobre, Bernard Ducat a commandé plus de 2000 fèves : « Précédemment, j'avais proposé des fèves sur le thème des monuments de Castres ou des pigeonniers, réalisés à partir de clichés ou de cartes postales. En 2012, j'ai opté pour les mangas, appréciés des plus jeunes. Il arrive que des clients achètent des coffrets complets. Une année, des Toulousains m'ont téléphoné pour obtenir des séries complètes ! »

En centre-ville, Marc Sacher glissera dans ses galettes des « matous brillants en 3D, des hiboux, des camions de pompiers rétros… En moyenne le sujet peut coûter 0,50 €, voire plus cher. Moi, je glisse un sujet en porcelaine ainsi que la graine. »

Quoi qu'il en soit, quand ils sont sollicités par les collectionneurs, les professionnels se prêtent volontiers, aussi, au jeu des échanges. « Une fois, je suis allée jusqu'à Puylaurens pour chercher la fève qui manquait à notre collection de casques de pompiers, confie Geneviève, une maman castraise, la quarantaine. Tout a commencé quand ma fille avait 4 ans, des séries de 8 ou 10 personnages de Walt Disney ont motivé la collection. Ma fille aura 17 ans cette année ! Elle a installé toutes ses fèves dans une petite armoire vitrée : y sont logées des casques de pompiers, des assiettes, des maillots de rugby, des vases, des masques vénitiens… Une année, les fèves ont eu la forme de bagues. Pour la majorité, les sujets ont été collectés chez les boulangers de l'Albinque. »

Il semble évident, alors, que pour obtenir une série complète, les collectionneurs soient… sujets à une surconsommation de galettes des Rois. Mais quand on aime…

 

Publié le 07/01/2012 10:22 | La Dépêche du Midi

Tarbes (65) : Première galette pour le nouveau préfet

On ne coupe pas à la tradition, surtout lorsqu'il s'agit de trancher la première part du gâteau des Rois. Aussi, Roger-Vincent Calatayud, improvisé maître du protocole, a rappelé le maire à cette tradition, invitant le préfet, Jean-Régis Borius, à le rejoindre sur scène. Des gâteaux, issus des boulangeries tarbaises et servis par les élèves du lycée Lautréamont, qui auront satisfait l'appétit du public.

 

Publié le 07/01/2012 08:35 | P. M.

Toulouse (31) : Et vive les rois !

Galette ou fouace : Et vive les rois !

Après avoir digéré les fêtes, on peut s'attaquer aux rois. Depuis hier, les galettes ont fait leur apparition dans les boulangeries pâtisseries. Ce sera le gâteau de ce dimanche, mais on va en manger toute la semaine, au «quatre-heures», au bureau, au dessert, et dans les cérémonies officielles de vœux…

La couronne en héritage

Bombée et dorée, incrustée de cristaux de sucre et exhalant l'eau de fleur d'oranger, c'est la coque ou la couronne. Pavée de fruits confits, on l'appelle la Limoux. Mais sous ses airs simples, elle est redoutable à réaliser, et quasi impossible à faire à la maison en raison de la fragilité de la pâte au pétrissage.

Stéphane Pirolley à Toulouse, qui nourrit chaque jour des dizaines d'employés du quartier des Minimes, a consacré deux nuits à sa pâte, un mélange de beurre, lait entier cru, sucre, œufs et farine.

« Ma pâte fermente légèrement avant le pétrissage, qui se fait en deux opérations, explique-t-il, un premier coulage [c'est le terme] de 45 minutes, avec la vanille et la fleur d'oranger, il y en aura un deuxième plus court où j'ajoute la fin du lait et des œufs. Après 24 heures, je pèse mes rois, de 400 et 250 grammes, j'en fais aussi des individuelles à 80 g », conclut l'artisan toulousain. Sa recette, on la mange aussi en Ariège, à Pamiers, chez Christophe Vidal, son « presque frère » depuis la maternelle, qui la tient du grand-père de sa femme. Car la pâtisserie est souvent une histoire d'héritage.

On peut tenter la frangipane

Plus de la moitié des gâteaux des rois sont des couronnes, mais la galette venue du nord lui grignote des parts : feuilletée et fourrée de frangipane, cette « Parisienne » fait à tous les coups briller le bout des doigts.

Outre la pâte feuilletée, pur beurre, l'intérieur est traditionnellement un mélange « tant pour tant » de sucre, amandes, beurre et œufs. En achetant la pâte feuilletée, on peut tenter la frangipane à la maison. Avec en plus le secret Pirolley : torréfier les amandes au four pour en renforcer le goût. Certains tentent un mélange à la confiture de cerises, ou poire et chocolat.

Retour à l'essentiel

Et pour la fève ? Il doit bien vous en rester de l'an dernier au fond d'un tiroir. La folie des fèves en or et autres figurines démesurées semble marquer le pas. Ce qui montre qu'on revient à l'essentiel : ce qui se mange. Ce n'est pas très régime ? Mais est-ce si grave ? On aura un mois pour se remettre avant les crêpes de la chandeleur.

 

Publié le 07/01/2012 03:49 | La Dépêche du Midi

L'Isle-Jourdain (32) : Les galettes magiques de Véronique Bagnarol

Véronique Bagnarol, la responsable du magasin « Baguettes magiques », spécialisée en boulangerie, viennoiserie, pâtisserie, chocolats, propose, en cette période de l'Epiphanie, de bonifier un moment de gourmandise en glissant chaque jour dans deux galettes des Rois une pépite en or d'une valeur de 140 euros. La réalisation du précieux bijou a été confiée à l'artisan bijoutier lislois Eddie Cecchini. L'opération « galettes magiques », sous contrôle d'huissier, prendra fin ce dimanche et aura permis à quelques gourmands ayant respecté la tradition de bien commencer l'année.

 

Publié le 07/01/2012 03:49 | La Dépêche du Midi

Blagnac (31) : Les bons pains et galettes de Sophie et Gaël

Sophie et Gaël, dans leur boutique./Photo DDM, J.-C. P.

Cela fait déjà 10 mois qu'Antonin est venu agrandir la famille de Sophie et Gaël, mais tout comme son grand frère Gabin, il ne sert pas le pain à la clientèle des deux boutiques de ses parents, tant route de Grenade, quartier des Allières, que rue Croix Blanche, à la Goutte d'or. Arrivés à Blagnac en 2004, ces derniers sont bien connus de toutes les associations de la ville, dont celle des commerçants, et aussi du conseil de quartier Grenade dont papa est membre. Bien connu aussi l'excellent pain de campagne qu'il façonne à la main, dont la longue cuisson permet une meilleure conservation, et qu'il livre à un nombre croissant d'hôtels et restaurants. « Nous avons obtenu le premier prix au marché de Noël comme chalet le mieux décoré », assure-t-il. Juste avant la production de galettes en tout genre, et l'opportunité de souhaiter une bonne année à tous leurs clients, restés fidèles lors des travaux de la route de Grenade.

 

Publié le 07/01/2012 03:48 | La Dépêche du Midi

Lacaune (81) à l'honneur avec les galettes

Lacaune représentée sous toutes ses formes avec 9 nouvelles fèves.

Chaque année, en janvier on fête les Rois Mages et la tradition veut que l'on fasse des galettes avec une couronne pour celui qui trouvera la fève. Depuis quelques années, les pâtissiers rivalisent d'idées pour rendre leurs fèves plus attractives ou originales. Certains proposent des louis d'or, d'autres des lots à gagner et parfois très importants. La pâtisserie Delmas a trouvé une idée nouvelle et a voulu mettre en avant le patrimoine local. Aussi, l'an dernier, toutes les fèves représentaient un monument historique important de la ville de Lacaune et chaque famille a eu l'occasion de découvrir soit le blason de Lacaune, la Fontaine des Pisseurs sous deux angles différents, la Tour et le château de Calmels ou encore la Place de la Vierge. Le chef Jérôme raconte que l'idée lui est venue de par le Syndicat des Boulangers - Pâtissiers du Tarn qui avaient proposé, il y a quelque temps, de représenter les maillots de rugby de tous les clubs tarnais. En 2012, nous avons voulu mettre en avant l'amour de notre cité et neuf nouvelles fèves proposent des slogans tels : Fiers d'être Lacaunais, I love Lacaune ou encore Qui arrive aux chevilles des Lacaunais ? Leurs chaussures ! En tout cas, l'opération qui a ravi les clients lacaunais l'an dernier se poursuivra durant tout le mois de janvier pour que chacun puisse compléter la collection commencée avec les six premières fèves vraiment lacaunaises.

 

Publié le 07/01/2012 03:45 | La Dépêche du Midi

Badens (11) : L'Épiphanie, fête de la galette

Les gourmands se pressent chez Jacques Cros, le « roi de la galette ».

Pour les petits comme pour les grands, l'Épiphanie est une tradition que l'on aime perpétuer : un moment chaleureux à vivre ensemble, alors que l'hiver est déjà bien installé. La galette est ce qui symbolise, aux yeux de tous, cette journée un peu particulière. L'Épiphanie est une date incontournable du calendrier : après Noël et le Jour de l'An, elle vient conclure les festivités sur une note gourmande, autour d'une galette à partager en famille ou entre amis.

Dès la fin du mois de décembre, les jours commencent à augmenter. Pour les civilisations antiques, c'était une période idéale pour célébrer le dieu Soleil. De multiples offrandes étaient faites en son honneur par une population en liesse. Aujourd'hui encore, on retrouve dans notre galette les attributs du soleil : sa forme parfaite, sa belle couleur dorée et sa douce chaleur si on la passe au four quelques minutes avant de la savourer !

Après les fêtes de fin d'année, les gourmands vont pouvoir « remettre le couvert » car janvier, c'est le mois de la galette. Pour cette Épiphanie, ils seront sans doute nombreux à déguster les galettes frangipanes et couronnes briochées que propose la boulangerie- pâtisserie Jacques Cros, avenue Degrand à Badens ou à Aigues-Vives. Durant ce mois de janvier, ce sont plus de 1 800 galettes qui sortiront du laboratoire-cuisine, préparées par toute l'équipe depuis le local qui jouxte la boulangerie. Cette année, les collectionneurs de fèves trouveront des sujets en porcelaine sur le thème du département de l'Aude (sous forme de puzzle), des biscuits et de Choupie Princesse. La collection complète est aussi disponible en boulangerie. Tous les clients participeront à la tombola gratuite avec de nombreux lots et des bons d'achat.

 

Publié le 06/01/2012 10:55 | La Dépêche du Midi

Marseillette (11) : Plaisirs de rois

Marie et Frédéric, les rois de l'Épiphanie.

Avec l'Épiphanie revient le temps de la galette des Rois. Marie et Frédéric, notre sympathique couple de boulangers, a décidé à cette occasion de faire la promo de leurs produits mais aussi des muscats de Noël. Les seuls dans l'Aude en partenariat avec le conseil interprofessionnel des vins du Roussillon à offrir en accompagnement une bonne bouteille de ce nectar pour l'achat de deux galettes à la frangipane qu'elles soient à la poire/chocolat ou à la framboise. Une belle occasion de leur rendre visite dans leur boulangerie en face de la mairie. Leurs brioches à la fleur d'orange, aux pépites de chocolat ou aux fruits confits valent aussi le détour.

 

Publié le 06/01/2012 10:20 | La Dépêche du Midi

Bagnères-de-Bigorre (65) : La galette avant de remonter en selle

La saison est ouverte. Les formalités pour l'obtention des licences se feront le samedi 14 janvier, à 16 heures, à la Maison des associations Soulé, rue Blanche-Odin. Les dirigeants des Randonneurs des Coustous invitent les sportifs pratiquant la bicyclette à assister à cette réunion. Comme d'habitude, le club fêtera les Rois et les participants dégusteront la galette traditionnelle.

 

Publié le 06/01/2012 09:55 | La Dépêche du Midi

Calmont (12) : Les galettes de la boulangerie Garric en tournée

Audrey Garric et la galette des Rois./Photo DDM

Rémy Garric, passionné par son métier artisanal, a repris la boulangerie de Ceignac le 1er octobre 2005 avec son épouse Audrey et a aujourd'hui deux enfants de 6 et 3 ans. Défenseur du pain au levain de fabrication artisanale et fort d'une expérience de vingt ans, il s'engage dans le combat pour la qualité et la recherche du goût en valorisant notamment le retour du bon croissant fait maison. Inscrit dans une démarche de recherche de produits locaux de qualité, il fait appel à un minotier local pour sa farine, à un producteur d'Agen pour farcir ses rissoles, à un producteur de miel sur Magrin… Pour Audrey et Rémy Garric, se démarquer en faisant de la qualité est essentiel. Cette démarche est reconnue aujourd'hui par le bouche à oreille ; les amateurs avertis de bon pain sont, en effet, très attentifs à cette qualité. Pour les non-puristes, la découverte de ces produits gustatifs fait mouche.

A l'occasion de l'épiphanie, la boulangerie Garric vous propose des galettes à la frangipane, à la crème d'amandes, aux pommes et poires-chocolat. Si la majorité des gourmands viennent plutôt chercher la galette traditionnelle, à la frangipane, certains se laissent tenter par la nouveauté et cèdent à la curiosité des papilles, pour faire plaisir aux enfants et pour goûter ces véritables trésors gustatifs.

Les tournées sont effectuées par Marie-élisabeth Rey, du mardi au samedi, sur la commune (Ségonzac, L'Hom, Parlan, Ceignac, Magrin, La Cassagne) et hors commune.

Pour Audrey Garric, le rôle de Marie-élisabeth est essentiel : à la confiance des personnes âgées, elle joue un rôle social important en cassant l'isolement des personnes vivant seules à la campagne. Ces tournées en milieu rural, véritable service de proximité, sont aussi une jolie carte de visite de la boulangerie Garric.

Rémy et Audrey Garric vous adressent tous leurs meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2012 !

 

Publié le 06/01/2012 09:49 | La Dépêche du Midi

Onet-le-Château (12) : J'aime la galette…

Belle et dorée à point, elle attend les gourmands sur les étals des deux boulangeries-pâtisseries des Quatre-Saisons, seulement depuis lundi. Ici, on tient à respecter la tradition et il n'est donc pas question de la voir courant décembre. Aux Capucines, dans la boutique Sarret, elle est déclinée en plusieurs parfums, tous aussi alléchants les uns que les autres. On savoure des yeux ces galettes à la frangipane, aux fruits rouges, chocolat, pomme, où Tom and Jerry et Charlie Chaplin jouent de la fève et de la couronne. Un vrai régal que l'adorable Sabine propose chaque jour, sauf le mardi, à ses clients…

 

Publié le 06/01/2012 08:48 | La Dépêche du Midi

Muret (31) : Une pièce en or cachée dans les galettes

Au fournil d'Anna

Le fournil d'Anna renouvelle son opération de l'an dernier,en doublant la valeur de son cadeau. Une pièce de la Monnaie de Paris, d'une valeur de 200€ a été cachée par Christophe et Anaïs dans une des galettes vendues à l'occasion de la fête de l'Epiphanie. Les clients les moins chanceux pourront tout de même trouver des fèves en porcelaine ou d'autres dorées à l'or fin. De quoi rajouter une heureuse surprise à une gourmandise de saison.

 

Publié le 06/01/2012 08:39 | La Dépêche du Midi

Balma (31) : Epiphanie, la tradition rassemble

Au centre Laurent et Carminda Guillot entourés de leurs employés. Dans cette boulangerie-pâtisserie, la période de l'épiphanie occasionne un surplus de travail. /Photo DDM C.B

Aujourd'hui 6 janvier, jour de l'Epiphanie appelé aussi 'Théophanie' est devenu depuis longtemps comme beaucoup d'autres fêtes chrétiennes un moment de partage important après Noël. Cette date correspond à l'origine à une fête païenne où les Romains autrefois la fêtaient durant sept jours. La tradition veut que ce jour de l'Epiphanie, en France soit l'occasion de tirer les rois : une figurine est cachée soit dans la coque ou la frangipane et la personne qui tombe dessus devient le roi. Une pratique qui trouva son origine dans les Saturnales de la Rome antique. Que ce soit en famille entre amis, à la maison, dans les cantines, au travail ou toutes autres circonstances elle est devenue une tradition depuis le XIVe siècle. Une galette des rois partagée en autant de portions que de convives, plus une, cette dernière, appelée « part du Bon Dieu » ou part de la « Vierge », était destinée au premier pauvre qui se présentait.

Une tradition qui commence quelques jours avant Noël et se prolonge jusqu'à la fin de ce mois pour de nombreux boulangers. Chez Laurent et Carminda Guillot originaires de l'Aude, boulangers-pâtissiers venus s'installer à Balma il y a près de six ans, on ne déroge pas à la règle. Pour eux c'est une fête plutôt conviviale que l'on partage, et Carminda de renchérir « c'est une période qui nous occasionne un surplus de travail comme toutes les autres fêtes, mais quand on aime notre métier on ne regarde pas le temps qu'on y passe ». Que ce soit les coques, spécialité du midi ou frangipane une spécialité du nord de la France chacun y trouve un grand moment de plaisir à les savourer.

 

Publié le 06/01/2012 08:38 | S.D. et T.N.

Auch (32) : Etes-vous plutôt galette ou tourteau ?

En terme de galette des Rois, les Gersois préfèrent rester dans le classique et le traditionnel, comme ici chez Eric Messerer. / Photo DDM Nedir Debbiche

Aujourd'hui est jour de gourmandise: l’Épiphanie est là, et avec elle sa traditionnelle galette de frangipane ou son tourteau. Les Gersois trépignent depuis le 26 décembre.

Nous sommes le 6 janvier, jour de l’Épiphanie, une fête catholique qui célèbre la manifestation de Jésus comme Messie et son adoration par les Rois mages. D'où le fait que l'on «tire les rois» avec une tradition gourmande et sucrée: la galette. Aux pommes, au chocolat mais surtout remplie d'une crème d'amandes appelée frangipane, la galette remporte chaque année un franc succès. «Nos clients ont un e préférence pour cette galette traditionnelle», souligne une vendeuse de la boulangerie-pâtisserie La Tropézienne, à Auch. Une tendance partagée par la boulangerie-pâtisserie Letoffe, rue Bazillac. «Quand il s'agit de galette des rois, nos clients sont amateurs de pâtisserie classique, ce n'est pas lors de cette fête qu'ils cherchent à expérimenter des choses nouvelles», a noté Myriam Letoffe. Une galette que la pâtisserie Messerer prépare «vraiment épaisse et remplie de frangipane jusqu'au bord» selon Madame Messerer.

Pour la moitié des clients de ces commerces auscitains, les Rois ne se tirent pourtant pas avec une pâtisserie à l'amande mais avec un tourteau, ou encore une coque. Ces noms représentent cette brioche ronde et pleine, creuse au milieu, certie de fruits confis, ou simplement perlée de sucre.

Sitôt Noël passé, les Gersois se sont rués dans les boulangeries-pâtisseries pour anticiper l’Épiphanie. «Nous avons des demandes depuis le 26 décembre, mais on a tenu bon jusqu'à dimanche dernier», sourit Myriam Letoffe. Avant de rappeler que «l'histoire de la galette des Rois s'étend généralement sur tout le mois de janvier, notamment dans les bureaux, dans le cadre d'un moment convivial.» Même constat à la Tropézienne, où «les commandes tombent depuis la fin décembre.» Pour tous les spécialistes du département, le grand week-end sera quand même celui qui commence, et durant lequel famille et amis auront le plaisir de se retrouver autour d'une galette pour laisser au hasard et à une petite main innocente le loisir de désigner les nouveaux rois.

En tout, la boulangerie-pâtisserie Letoffe produira près de 1600 produits, tourteaux et galettes confondus. Un chiffre qui reflète l'importance gardée par cette fête de partage qui se propage du repas familial à la pause entre collègues.

Côté fèves, les collectionneurs et les simples amateurs de jolies pièces auront l'occasion de découvrir plusieurs séries en porcelaine. «On a eu beaucoup de succès l'an dernier avec des pièces sur l'Egypte ancienne», se souvient Madame Messerer.

Une seule question, maintenant, subsiste : galette ou tourteau ?

 

Publié le 06/01/2012 08:34 | La Dépêche du Midi

Martres-de-Rivière (31) : Des fèves en or dans le gâteau et la galette des rois

Ambiance joyeuse mais travailleuse au Fournil de Martres, une boulangerie qui brille de 9 carats. C.T

Le Fournil de Martres s'apprête à lancer sa troisième opération « Fèves en or » dès le dimanche 8 janvier, jour de l'Épiphanie.

Victime de son succès depuis 2009, cette ruée vers l'or va attirer les clients qui, à l'achat d'une galette, façon brioche ou frangipane, seront tous de potentiels gagnants d'une petite médaille gravée à l'effigie de la maison, 9 carats !

Les petites fèves seront glissées délicatement au cœur de ce gâteau de pure tradition. Firmin Nunes, l'artisan boulanger, et son équipe vont travailler à tour de bras pour confectionner les galettes qu'ils ont commencé à fabriquer en décembre pour répondre à une forte demande de la clientèle, jamais rassasiée.

Les heureux élus de fèves en or (trois en 2010) auront droit, tous les jours de l'année, de venir chercher leur pain gratuitement. Ainsi, démarre la quête de l'or sur le canton de Barbazan, au cœur du village sur la RD 8.

 

Publié le 04/01/2012 10:25 | La Dépêche du Midi

Condom (32) : Les associations condomoises ont leur fève… et leur roi

Eric Chambrier (à gauche) présente, avec Pascal, un de ses pâtissiers, les fèves de l'édition 2012./ DDM, Ch. C.

Eric Chambrier, pâtissier condomois, rend hommage aux associations de la ville dans ses galettes. Il leur a dédié une série de huit fèves que vous pourrez découvrir jusqu'au 31.

Depuis trois ans, le pâtissier Eric Chambrier perpétue la tradition des collectionneurs de fèves. Après les institutions et les monuments, les associations trôneront cette année dans ses créations…

Les bûches ont à peine quitté l'étal de la boulangerie située rue Gatisse à Condom que les galettes des Rois, produit phare de l'Epiphanie, occupent déjà une place conséquente. « Bien avant la Saint-Sylvestre, on a fabriqué les premières couronnes », explique le pâtissier condomois. Briochée, parfumée aux agrumes ou garnie d'une crème d'amandes, la galette est un des petits bijoux de la maison Chambrier. Jusqu'au 31 janvier, les vendeuses vont en écouler des centaines pour le bonheur des palais. Et comme, depuis deux ans, la couronne Chambrier a un atout non négligeable, sa fève, il l'a mise aux couleurs de Condom. Lors du lancement de cette originalité, Eric Chambrier avait mis les institutions condomoises à l'honneur. L'année dernière, c'était les monuments.

Cette année, il a voulu innover et « rendre hommage aux associations condomoises ». La SAC, la JAC, les Coquelicots, le Tennis-Club, le hand, le judo, la gymnastique et la pena Peleon ont désormais une fève à leur effigie. Les collectionneurs vont poursuivre leur collecte et atteindre la vingtaine de pièces depuis le lancement de cette opération. Celle-ci représente toutefois un coût non négligeable. « Environ 10 000 € avec les poches, les fèves et les couronnes », avance Eric Chambrier. Un effort non négligeable, mais indispensable pour se démarquer et innover sur le marché de la galette. Fort d'un succès grandissant d'édition en édition, le pâtissier bouillonne d'idées pour les prochaines séries de fèves : mettre à l'honneur les anciens maires de la ville sous-préfecture et les personnages ayant porté haut l'oriflamme de Condom… Christophe Cibola

Page réalisée à partir du site ladepeche.fr

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