C'est Noël ! (2010 - 2)
Vous pensez tout savoir sur Noël ?
Illuminations et sapins, symboles de Noël
Pourquoi s'offre-t-on des cadeaux à Noël ? Pourquoi met-on des boules sur le sapin ? Et d'où vient cette histoire de bûche ? Vous avez toujours rêvé de savoir d'où venaient ses traditions de Noël sans jamais oser poser la question ? Voici 10 petites vérités sur de Noël... à placer au moment du repas, entre la dinde et la bûche.
Qui est le Père Noël ?
Personnage légendaire et mythique, le Père Noël est lié à la fête de Noël. Son histoire commence au 4e siècle avec un personnage qui a vraiment existé, Saint Nicolas. Saint Nicolas avait la réputation d’être généreux et bon et il se murmurait qu’il accomplissait des miracles.
Aujourd'hui, sa fonction principale est de distribuer des cadeaux aux enfants la nuit de Noël. Même si le mythe varie d'un pays à l'autre, on l'imagine généralement comme un gros bonhomme avec une longue barbe blanche, habillé de vêtements chauds de couleur rouge. Des lutins l'aident à préparer les cadeaux et il effectue la distribution des cadeaux à bord d'un traineau tiré par des rennes.
Pourquoi le renne Rodolphe a-t-il un nez rouge ?
Le Père Noël a 8 rennes pour tirer son traineau : Tornade, Danseur, Furie, Fringuant, Comète, Cupidon, Éclair et Tonnerre. Le petit dernier Rodolphe, célèbre pour son nez rouge, naquit le dernier. On doit sa création au poète Robert L. May, en 1939. Le Père Noël devait en effet affronter des conditions météorologiques si mauvaises qu'il risquait d'être en retard dans ses livraisons nocturnes. Grâce au nez lumineux de ce renne, le Père Noël peut désormais s'orienter dans la turbulence hivernale et mener à bien sa distribution de cadeaux.
Pourquoi le Père Noël est-il habillé de rouge ?
C'est Saint Nicolas qui a inspiré le Père Noël. À l’origine, on le représentait avec une longue robe marron et avec une couronne. L’image du père Noël bon vivant, habillé de rouge et de blanc que nous connaissons aujourd’hui a été adoptée par Coca Cola pour une campagne publicitaire dans les années 30.
Pourquoi accroche-t-on des chaussettes à la cheminée ?
Selon la tradition, Saint Nicolas aurait laissé des pièces d’or dans les chaussettes de trois pauvres sœurs. Une nuit, les sœurs allèrent se coucher en laissant leurs chaussettes sécher près du feu. Connaissant la misère de cette famille, Saint Nicolas renversa trois sacs de pièces dans la cheminée et les chaussettes se remplirent d’or. Depuis, les enfants perpétuent la tradition en accrochant leurs chaussettes à la cheminée le soir du réveillon de Noël.
Pourquoi installe-t-on un sapin de Noël dans la maison ?
On raconte qu'un soir d'hiver Martin Luther vit des étoiles scintiller dans le ciel à travers les branches d’un arbre alors qu'il rentrait chez lui. Enchanté par ce spectacle, il coupa un sapin et le ramena dans sa maison pour sa famille. Tous le décorèrent avec des bougies. La tradition s’est alors répandue dans le monde entier.
Pourquoi met-on des boules ?
La boule de Noël qui décore les sapins est née à Meisenthal en Moselle. Traditionnellement, on accrochait des pommes dans le sapin, mais en 1858, l'hiver fut si rigoureux que les pommes manquèrent. Un artisan verrier Strasbourgeois eut alors l'idée de créer des boules représentant une pomme et d'autres fruits, pour donner de la joie à la fête.
Pourquoi mange-t-on de la bûche à Noël ?
La tradition provient de la célébration, au Royaume-Uni, du solstice d’hiver. Une bûche était alors brûlée dans la maison pour chasser les ténèbres et éloigner le mauvais sort de l’année écoulée.
Pourquoi s'offre-t-on des cadeaux à Noël ?
S'offrir des cadeaux à Noël est une tradition chrétienne et depuis maintenant plus de 2 000 ans, les Chrétiens fêtent la naissance de Jésus-Christ, durant la nuit du 24 au 25 décembre. Pour fêter la naissance de Jésus-Christ, trois Rois Mages, Melchior, Balthazar et Gaspar, suivirent l'étoile du berger pour offrir des cadeaux à l'enfant de Dieu, Jésus-Christ.
On offre des cadeaux à Noël, surtout aux enfants, en Europe, depuis le Moyen Age, comme l'avaient fait les Rois Mages. À la même époque, en Europe du Nord, en Finlande, en Norvège,
En Suède, c'est Saint Nicolas qui passait dans les écoles le 6 décembre pour offrir des cadeaux aux enfants sages, qui avaient bien travaillé à l'école. Le Père Fouettard, lui, punissait les enfants qui n'avaient pas été sages durant l'année.
Comment fête-t-on Noël en Espagne ?
En Espagne, le jour de Noël se passe en famille. Quelques jours avant Noël, les Espagnoles construisent une crèche et décorent un sapin de Noël. Dans la journée du 24 décembre, les enfants vont de maison en maison chanter des chants de Noël.
Contrairement aux français, les petis espagnols doivent patienter jusqu’au 6 janvier pour recevoir leurs cadeaux puisque ce n’est pas le Père Noël mais les rois mages qui leur rapportent d’Orient.
Et en Scandinavie ?
Le Noël scandinave commence à la fête de Jul, la fête du solstice d’hiver où l’on célèbre le retour de la lumière. Chaque village élit alors une Saint Lucie pour conjurer l'obscurité de l'hiver et célébrer la lumière des jours qui commencent à rallonger.
Les petits Scandinaves ont également un Père Noël vivant près du cercle polaire et confectionnant les cadeaux de Noël pour les enfants sages. Pour la décoration de Noël, le sapin est orné de sujets en paille et de gâteaux à la cannelle.
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Publié le 22/12/2010 10:08 - Modifié le 22/12/2010 à 11:34 | RelaxNews
Noël : comment "survivre" aux repas de fêtes
Repas de Noël : quelques conseils pour se faire plaisir sans malmener son organisme
Pas de régime inutile avant le réveillon
Il ne sert à rien d'entamer un régime avant les fêtes de fin d'année. Cela reviendrait à perdre quelques kilogrammes superflus pour les reprendre une semaine plus tard. Selon le Dr. Guérineau, il n'est pas nécessaire de se jeter dans un régime ou de jeûner avant cette période festive puisque les repas de Noël sont symboliques et qu'il y a avant toute chose une recherche de plaisir.
Ne pas remplir son assiette
Il y a généralement de nombreux mets pour le dîner du réveiller et le déjeuner de Noël. Pour ne pas affoler les organismes, le Dr. Guérineau recommande de goûter chaque plat mais de réduire le volume des assiettes. Selon le médecin généraliste spécialisé en nutrition et micronutrition, l'alimentation doit rester variée et diversifiée, même s'il s'agit d'un repas festif. Cela signifie que les particuliers ne doivent pas uniquement consommer de la viande, du poisson ou des légumes, mais manger un peu de tout en petite quantité.
Pendant le repas : il faut faire des choix
Il n'est pas question de se priver puisqu'il s'agit d'un symbole. Selon le Dr. Guérineau, il ne s'agit que d'un repas, deux tout au plus. Chacun doit donc prendre du plaisir. Néanmoins, il convient de choisir ses graisses, c'est-à-dire qu'il est conseillé de faire un choix entre le saumon fumé, le foie gras ou la poularde par exemple.
Les astuces à prendre en compte
Le Dr. Guérineau recommande vivement de manger du pain avec son foie gras pour éliminer les teneurs en graisse. Par ailleurs, les particuliers peuvent également renoncer au beurre qui accompagne généralement le saumon fumé. Petite astuce, la dinde et les marrons ne sont pas du tout riches en graisses. Néanmoins, il faut faire attention à la farce qui les accompagne. Même constat pour les produits de la mer : ils peuvent être intéressants pour l'organisme à condition qu'ils ne soient pas servis avec des sauces riches en graisses.
La détoxification de l'organisme
Trois organes jouent un rôle majeur dans l'élimination des déchets et des graisses accumulés durant les repas : le foie, le poumon et le rein. Selon le Dr. Guérineau, il n'y a aucun moyen de déstocker les graisses par la voie rénale. Néanmoins, les particuliers peuvent compter sur leurs poumons pour éliminer tous les déchets de l'organisme. Le Dr. Guérineau recommande ainsi d'augmenter son activité physique à l'issue d'un repas, notamment par une longue marche. Cela permettra non seulement d'éliminer graisses et déchets, mais également d'éviter les ballonnements.
L'importance des boissons non alcoolisées
Lors de repas aussi copieux, il est important d'augmenter la quantité de boissons non alcoolisées. Chacun est ainsi invité à consommer du jus de citron tiède, ainsi que du thé vert, avant, pendant et après ce type de repas. A l'issue du réveillon de Noël, chacun peut également consommer des eaux bicarbonatées comme la Badoit ou la Vichy.
Se servir de la phytothérapie
La médecine par les plantes, ou phytothérapie, peut également permettre d'affronter les repas copieux tels que le réveillon de Noël. Le Dr. Guérineau conseille notamment de consommer des extraits de radis noir et d'artichaut, avant et après cette période festive, pour aider le foie à éliminer les déchets.
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Publié le 20/12/2010 18:08 | RelaxNews
Noël 2010 : 5 conseils pour déguster les huîtres pendant les fêtes
Les fêtes de fin d'année sont un moment propice pour s'adonner à la dégustation d'huîtres. Selon le Conseil National de La Conchyliculture (CNC), les Français sont les plus grands mangeurs, avec une moyenne de deux kilos d'huîtres avalés chaque année par habitant. Certains consommateurs feront peut-être cette expérience gustative pour la première fois. Voici les 5 conseils du CNC à connaître avant de passer à table.
1. Conserver les huîtres entre 5°C et 15°C
Les huîtres doivent se conserver à une température comprise entre 5°C et 15°C. Après achat, le mieux est de caler la bourriche dans le bac à légumes. Il est également possible de la placer à l'extérieur. Selon le CNC, il faut impérativement éviter les écarts de température. A noter que les quantités d'huîtres à servir diffèrent du moment du repas. A l'apéritif ou en entrée, il est conseillé de servir entre 9 et 12 huîtres par personne, de petite taille (n°5 par exemple) de préférence. Pour les recettes chaudes, six huîtres sont à servir à chaque convive. Pour cette option, les grosses huîtres, n°1 ou 2, font davantage l'affaire.
2. Ouverture des huîtres une demi-heure avant la dégustation
L'ouverture des huîtres doit s'effectuer une demi-heure avant le service. Il est nécessaire de vider l'eau de mer pour laisser le mollusque renouveler une seconde eau, "nettement plus goûteuse". A noter qu'il est vivement conseillé d'ôter les coquilles de la glace avant la dégustation. Le froid annihile en effet toute la saveur. A la place, un tapis d'algues ou de gros sel décorés de quelques tranches de citron permet de soutenir les huîtres.
3. Du vin blanc et sec en guise d'accompagnement
Si le choix du vin doit s'effectuer en fonction de la variété de l'huître et des caractéristiques de celle-ci, d'une manière générale le vin blanc et sec accompagne le mieux le coquillage. "Avec une huître charnue, on présentera plutôt un vin blanc épais et structuré alors qu'une huître fine se dégustera avec un vin blanc plus simple" explique le CNC. Les huîtres gratinées ou en sauce doivent être servies avec du champagne.
4. Le test de fraîcheur à effectuer avec la pointe du couteau ou un filet de citron
Pour vérifier si une huître est bien fraîche, il suffit de poser délicatement sur le bord la pointe d'un couteau ou de verser une goutte de citron et elle se rétractera immédiatement.
5. Il faut croquer plutôt que gober l'huître
Pour les gourmands qui s'apprêtent à déguster des huîtres pour la première fois, le CNC tient à préciser qu'il est préférable de croquer une huître plutôt que de la gober. Au préalable, il sera convenu de déposer un filet de citron.
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Publié le 23/12/2010 09:47 | Claire Villard
Pamiers (09) : Ils donnent de la saveur à nos fêtes
Premières fêtes de Noël en tant que chef cuisiner chez Pujol pour Adrien Murillo, qui marie avec élégance formes et couleurs dans les assiettes./ Photo DDM, C.V.
Dernière ligne droite pour les professionnels: demain soir, il ne devra rien manquer sur les tables. Entre un chapon et une langouste, visite des cuisines d'un traiteur appaméen.
9h30. Un énième client passe la porte de la boutique. Il vient choisir un chapon, commander ses entrées de fêtes ou acheter une corbeille de produits du terroir et malgré l'heure matinale… devra faire la queue. On est en plein boum. Pour faire tourner la petite boutique, dans laquelle les clients emmitouflés s'agglutinent, une équipe de douze professionnels s'active. Mais tout se passe à l'abri des regards.
Le foie gras indétrônable au hit-parade des mets de fête
Si c'est l'effervescence dans le magasin, derrière, pas de panique. « On est habitués ! » sourit Michel Pujol, le patron. Installé à Pamiers depuis 17 ans, les périodes de fêtes, il connaît. En outre, pour l'ensemble de son équipe, elles ne se préparent certainement pas en quelques jours. « Nous commençons à recevoir nos canards en septembre. Jusqu'en février, nous en passons 45 à 50 par semaine », explique le patron.
Le canard, star des réveillons. « Le foie gras est sans doute ce qui marche le mieux. » Le traiteur reçoit ses canards gras chaque mercredi. Ils sont ensuite entièrement transformés sur place et déclinés en de nombreux mets. Autres valeurs sûres des fêtes, la lotte, la langouste, le boudin blanc… « Tout ce qui est sec marche bien également. » Autrement dit, jambons et saucisses. Michel Pujol en conserve des centaines, répartis dans trois séchoirs situés un peu plus loin que les cuisines.
Malgré le succès indémodable de ces plats traditionnels, le tout jeune chef cuisinier, Adrien Murillo, chez Pujol depuis trois mois, tient à exprimer tout de même sa créativité. « J'ai la chance de pouvoir expérimenter de nouvelles choses », assure-t-il, en montrant l'un des plateaux d'amuse-bouche fraîchement confectionnés. Verrines de crème aux fines herbes, toasts saumonés, tomate confite aux graines de sésame… « Pour réaliser un plateau de 300 toasts, il a débuté à 13h et a terminé à 21h », précise son patron, fier de sa nouvelle recrue.
Non loin de lui, deux autres employés, sourire aux lèvres, plaisantent en mettant en conserve la terrine de foie. Dans une autre pièce, à côté, ce sont les cailles qui, bien alignées, se font tour à tour barder. Malgré les clients qui affluent de l'autre côté des cuisines, pas de stress. L'ambiance est franchement détendue. Chacun sait ce qu'il a à faire et, visiblement, le fait bien. Les fêtes seront, à n'en pas douter, savoureuses.
« Il n'y a pas de stress particulier à la veille des fêtes. Notamment car nous anticipons ce boum plusieurs mois à l'avance. »
Le chiffre : 50 canards> Par semaine. Depuis le mois de septembre et jusqu'en février, le traiteur Pujol reçoit entre 45 et 50 canards par semaine.
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Publié le 22/12/2010 14:58 | LaDepeche.fr
Pour Noël préparez un menu de chef
Réveillonnez avec les lauréats du prix Vanel
Fabien Mast propose pour les fêtes un menu goûteux à petit prix aux saveurs latines.
Les Lauréats du prix Vanel ont planché pour offrir aux lecteurs de La Dépêche du Midi un repas de fêtes ou de lendemain de fête à moins de 20 € par personne. Dès aujourd'hui et pendant une semaine, vous allez entrer dans leurs secrets et vous pourrez mettre en œuvre leurs recettes de fêtes, faciles à réaliser. Vous régalerez vos invités tout en n'éreintant pas votre budget.
Fabien Mast, Argentina por sabor
Fabien Mast propose pour les fêtes un menu goûteux à petit prix aux saveurs latines. Son restaurant, « L'Argentine » est réputé pour sa cuisine voyageuse et sa spécialité de viande bovine d'Argentine cuite à la braise.
Empanadas au foie gras, Araignées de mer « ou centolla farcie façon argentine » crème caramel à la confiture de lait. Araignées de mer farcies, crème caramel à la confiture de lait.
Entrée : Empanadas au foie gras
Ingrédients : 60 gr de foie gras frais, 30 gr d'oignons confits, 1 c à soupe de poivron rouge haché. Un œuf battu avec 2 c. à soupe d'eau. Pâte à empanadas : 260 gr de farine de blé. 1c. à café de bicarbonate de soude, 30 cl d'eau.
Préparation : Mélanger les ingrédients. La pâte doit être lisse et un peu élastique. La laisser reposer au moins 10mn. Pendant ce temps, préparer la farce : Dans une jatte, mélanger le foie gras, le confit d'oignons et le poivron. Déposer une ou 2 c. à café de préparation au foie gras au centre de chaque rond de pâte. Ne sortir que 4 ou 5 ronds du réfrigérateur à la fois. Replier la pâte sur la garniture et pincer les bords. Réfrigérer au moins 15mn. Préchauffer le four à 240°. Thermostat 9. Déposer les empanadas espacées, sur une plaque à pâtisserie légèrement graissée. Badigeonner avec du jaune d'œuf, dorer au four5'et servez aussitôt.
Plat principal : Araignées de mer ou Centola farcie façon argentine
Ingrédients : 4 araignées de mer, 1 oignon, 1 carotte, 1 poireau, 3 brins de thym, 3 feuilles de laurier, 1 l de vin blanc. Poivre noir en grains moulu. Sel fin de cuisine.
Pour la farce : 1 belle carotte, 1 poireau, 1 oignon, 2 tomates, 1 verre de 3 cl de cognac, 1 verre de vin blanc, 4 brins de persil, piment d'argentine et huile d'olives, 1 verre de bouillon, de la mie de pain, du poivre noir moulu, sel de cuisine.
Préparation : Dans un faitout, verser le litre de vin blanc. Ajoutez l'oignon piqué de clou de girofle, les légumes, le laurier, le poivre en grain et une c de gros sel. Porter à ébullition puis plonger les araignées et laisser cuire 20'Les retirer du court bouillon et les laisser tiédir avant de les décortiquer. Placer la chair et le corail dans un saladier et émiettez le tout. Nettoyez les carapaces, couper les légumes en morceaux. Verser dans une casserole un peu d'huile d'olives et faire dorer à feu doux une gousse d'ail. Ajoutez les légumes en morceaux et bien remuer le tout. Laisser cuire 20'à feu doux, puis arroser la préparation avec le cognac, le vin blanc et le bouillon. Saler et poivrer, rajouter un peu de piment et lassez mijoter 15mn. Bien mélanger le tout et remplir les carapaces. Saupoudrer de persil haché et de chapelure, remettre au four très chaud 10mn. Servir avec un vin blanc Chardonnay argentin.
Dessert : Crème caramel à la confiture de lait
Ingrédients :½ litre e lait ½ écrémé. 5 œufs entiers, 120 gr de sucre semoule, + 100 gr de sucre semoule pour le caramel + quelques gouttes de jus de citron, 25 gr d'eau.
Préparation : Le caramel : mélanger sucre, citron, eau. Mettre à cuire sur feu vif jusqu'à l'obtention d'un caramel clair. Stopper la cuisson en plongeant quelques secondes la casserole dans une bassine d'eau froide. Verser dans des verrines.
La crème : Mélanger les œufs et le sucre en fouettant énergiquement. Faire bouillir le lait. Eteindre le lait et en verser 1/3 sur le mélange œufs sucre sans cesser de remuer. Reverser le tout sur le reste du lait, mélanger et écumer soigneusement. Disposer vos moules sur une plaque profonde tapissée d'un papier cuisson. Remplissez les moules à ras bord. Verser de l'eau sur la plaque jusqu'à mi hauteur des moules. Cuire au four à 150°, 40'Laisser refroidir et démouler.
Confiture de lait : ½ litre de lait, 250 gr de sucre. Mélanger, portez à ébullition sur feu doux pendant 1 h 30 à 2 heures en mélangeant régulièrement. Quand le mélange prend une couleur de caramel blond et s'épaissit, la confiture est prête.
Réveillonnez avec les lauréats du prix Vanel : Le prix 15 € par personne Soit 60 euros pour quatre personnes. C'est le prix de revient du menu concocté par Fabien Mast.
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Publié le 23/12/2010 08:06 | LaDepeche.fr
Noël : tout le monde n'aura pas ses colis
La Poste ouvre ses bureaux jusqu'à 20 heures jeudi./Photo DDM, archives
42 bureaux de poste de Haute-Garonne ont allongé leurs horaires aujourd'hui. Une mesure exceptionnelle pour permettre aux usagers de retirer et poster leurs colis jusqu'à la dernière minute. 80000 colis restent encore bloqués partout en France.
La Poste pourra-t-elle livrer, en temps et en heure, les colis de tous les Haut-Garonnais ? Pas si sûr. Dans le département, comme partout en France, c'est la mobilisation : 42 bureaux seront ouverts jusqu'à 20 heures ce soir. Pourtant, 80000 colis restent encore dans les brumes du réseau et doivent être acheminés. « Mais, chez nous, tout va très bien », martèle-t-on au service communication de la Poste toulousaine. « Nous ne connaissons pas de cas de communes isolées, comme dans les régions touchées par les intempéries. Nous serons par contre impactés par les retards de ces zones », insiste un responsable de la Poste. La trieuse de 372 m de long faisant vivre la plate-forme de Toulouse-Capitoul à Fondeyre à Toulouse ne désemplit pas. 7 000 colis à l'heure sont triés dans les 334 séparateurs et envoyés dans les bureaux de Poste de Midi-Pyrénées, de l'Aude, des Pyrénées-Orientales et d'Espagne. Et en matière de colis, c'est le grand rush. Un surplus d'activité qui était prévenu depuis de très longs mois. « Tous les employés sont mobilisés à 500 % durant cette période. Ils mettent toute leur énergie à la satisfaction de la clientèle », prévient un responsable de la Poste. 170 000 paquets par jour devraient être traités au plus fort de la période. Mais, leur expédition pourrait être freinée si, en sortant du département, ils tombent sur des barrières de neige. La Poste prévient : « En sens inverse, c'est la même chose ».
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Publié le 21/12/2010 03:48 | Enquête réalisée par Louise Ricaud.
Agen : Dernières idées pour le Père Noël
Moins d'une semaine avant le réveillon, dernières emplettes au centre ville. / Photo DDM Archives.Morad Cherchari.
Le temps presse, pour vous aider, nous vous proposons une sélection non exhaustive de cadeaux qui feront un excellent effet au pied du sapin. Certains sont «made in Lot-et-Garonne».
Livres de cuisine : «Les meilleures recettes du terroir de France» (Carnets d'ici Glenat): 19,95 euros; «Foie gras et terrines» de Stéphane Reynaud (Cook'in box- Marabout): 15,90 euros. Photos: «Le Lot-et-Garonne, les 319 communes» (photos anciennes) Éditions Delattre: 39 euros; «Canal du Midi» (aquarelles) chez Drivat 32 euros; «Dictionnaire de l'Agenais et du Lot-et-Garonne»: 45 euros.
Savons gourmands : Fabriqués en Lot-et-Garonne, ces savons bio, sans conservateurs ni CLS (ils ne piquent pas les yeux) sentent bon le chocolat, la framboise, le thé vert, la fraise, le citron, et sont présentés en forme de cupcakes, de cannelés ou même de petits bonhommes de pain d'épice…
Douceurs : Pain d'épice artisanal au miel: 8 euros, nougat: 6 euros, chocolat artisanal en cœur de mandarine 14 euros, caramels salidou: 7 euros. Les petites chocolatières de père en filles rue Molinier.
Escargotine (pâte à tartiner aux escargots fabriquée chez nous), «Les promesses du Pape» pruneaux à la pâte d'amande ou à la fève de Tonka enrobés de chocolat blanc de la chocolaterie artisanale «l'Attrape-rêves»à Sauveterre Saint-Denis, tubes en verre de grands crus de vins (Saint-Joseph, Château Margaux…) contenance 6 cl, berlingots de sucres multicolores, sucettes en chocolat à faire fondre dans sa tasse de lait, pétales de fleurs pour décorer les gâteaux ou les coupes de champagne, jus de grenade PomWonderful.
Du piquant… Poivres Penja (avec du foie gras), poivre Sichuan (baie citronnée à marier avec les poissons), poivre de Kampot (Cambodgien, parfait pour les viandes et les sauces), poivre long d'Indonésie suave dans un gâteau au chocolat, sel rose opale, sel bleu saphir de Perse (Pakistanais). Sélection du magasin «Ma petite épicerie» (17 place Jean-Baptiste Durand).
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Publié le 22/12/2010 12:01 | LaDepeche.fr
Albi : Mille feux dans la rue
À gauche, Hubert Feral et son épouse Lucette, à Lameilhé (Castres) éclairent leur maison de mille feux tous les soirs.
Depuis qu'ils habitent au chemin de la lune, à Lameilhé, les Castrais Lucette et Hubert Feral illuminent avec soin leur pavillon : « Nous sommes arrières grands parents et c'est une joie de voir nos petits s'émerveiller en regardant les lumières de Noël. C'est surtout pour eux que nous le faisons mais aussi car c'est un bon passe-temps que l'on partage avec mon épouse. » explique Hubert Feral, ancien agent à la Sécurité Sociale à Castres. Pour démarrer leur aventure, ils se sont inspirés de l'ancienne et très célèbre « maison du Père Noël » de Daniel Salles, côte de Palique. « Cela fait très plaisir de voir que des gens s'arrêtent pour regarder et photographier notre maison éclairée ».
À Albi, dans la rue Serieyssols, Claude Fabre décore sa maison à Noël depuis 10 ans. Depuis 3 ans, Paul et Justin, ses petits-fils profitent des illuminations féeriques de papi. « Je le fais pour leur faire plaisir, c'est une manière de marquer les fêtes. Cette année ils sont encore petits, mais peut-être que l'an prochain ils voudront la décorer avec moi » s'enthousiasme Claude.
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Publié le 22/12/2010 09:55 | LaDepeche.fr
Condom (32) : Pas de magie de Noël dans les boutiques
Les douceurs gourmandes, telles celles proposée par Séverine et ses collègues aux Fleurons de Lomagne, obtiennent toujours un joli succès lors des ultimes achats pour Noël./Photo DDM, M.Fritz.
La température varie sensiblement d'une boutique à l'autre. Toutefois, à deux jours du réveillon de Noël, rares sont les commerces du centre-ville pris d'assaut par les clients. Si certains semblent avoir pris de bonnes résolutions et anticipé leurs achats, les commerçants espèrent qu'ils seront nombreux d'ici vendredi soir à venir remplir leur hotte dans leurs magasins. En cette année où la crise semble avoir d'avantage modifié les habitudes de consommation que l'an passé, nombreux sont les professionnels à noter que les achats réalisés varient beaucoup. Tour d'horizon auprès des commerçants.
Fleurons de Lomagne (produits régionaux). « Nous proposons des coffrets cadeaux, mais aussi des assortiments de chocolats, du vin, et divers produits régionaux, du salé comme du sucré. Pour Noël, les clients dépensent en moyenne 35 €, contre 20 à 25 € le reste de l'année » explique Séverine.
Librairie gourmande. Pour Véronique, « ce n'est vraiment pas la frénésie, c'est même encore très calme. Mais c'était le cas l'an passé. On ne peut pas dire que les gens recherchent plutôt les livres à moindre coût mais le panier moyen s'établit à environ 20 €; il est en fait moins élevé que le reste de l'année ».
Tissus Bordes (linge de maison et chapellerie). Pour Jocelyne, « cette année semble plus morose que l'année dernière. Il est difficile d'établir un premier bilan seulement sur les achats de Noël car, le froid aidant, les gens ont acheté pour eux pas mal de chapeaux et des couettes chaudes.
Palumbo (décoration et prêt à porter). « Les clients étrangers ou destinant leurs cadeaux à l'étranger sont venus dès début décembre et, après un creux, çà repart. Je propose une gamme de prix très large et les paniers varient beaucoup.
Maison du cadeau. « La fréquentation du magasin augmente vraiment ces derniers jours. Il y a ceux qui s'y prennent toujours au dernier moment. Mais je n'ai pas l'impression que les gens se freinent dans leurs dépenses.
Sac à malice (maroquinerie). Comme chaque année, ici, les achats se font la dernière semaine, même si les gens sont aussi venus les deux dimanches où nous avons ouvert. Il y a en fait deux clientèles, ceux qui regardent les prix, les autres qui ne s'y arrêtent pas. Le panier moyen est de 100 € mais les achats commencent à 5 ou 10 €» note Marie-Jo.
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Publié le 21/12/2010 03:50 | LaDepeche.fr
Blagnac (31) : La plus belle des vitrines de Noël
En cette période de l'année, nombreuses sont les vitrines commerçantes qui se distinguent par leurs décorations. Afin de séduire tout particulièrement la clientèle et pour participer à l'ambiance de circonstance,les commerçants s'ingénient à soigner la présentation de leur boutique. Pour récompenser l'effort et l'imagination déployés, depuis 5 ans, l'association des commerçants propose aux volontaires de participer au concours des vitrines décorées. Mathieu Heuze, coprésident de cette association, Anne Larroque, ancienne commerçante, et Maryse Benoist, en tant que représentante de la Chambre de commerce de Toulouse, ont désignés la devanture la plus originale. Et ce jury de préciser : «Pour départager nos dix-sept concurrents actuels, ce sont les critères suivants qui ont prévalu: l'illumination, la créativité, la mise en valeur par rapport à l'activité et l'harmonie des couleurs».
Le trophée a été remporté par «Vert Tilleul», un magasin de fleur situé au 18, rue Pasteur.
«J'ai réalisé une vitrine ludique, un clin d'œil et une représentation de la nature avec des insectes, des oiseaux, des fées, des bougies, des lanternes» se plaît à décrire Fabienne Pugens, au milieu de ses nombreuses créations florales.
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Publié le 20/12/2010 07:54 | Gladys Kichkoff
Les Brunels (11) : Des forêts de sapins de Noël
Les derniers sapins sont prêts à être livrés./ Photo DDM, Gladys
Bernard Bessière a planté quelque 120 ha de sapins de Noël. Pour lui, la saison des fêtes se prépare dès le mois de septembre.
Le beau sapin, roi des forêts, c'est l'horizon quotidien de Séverine et Bernard Bessière. Sur les hauteurs du Lauragais, à fleur de Montagne Noire, entre Aude et Tarn, ils vivent là, à La Vernière aux Brunels. C'est là aussi que ce jeune agriculteur a créé une société, en 1993, avec Bernard, son père. La culture des sapins de Noël, c'était son idée à lui. Il venait de racheter des pépinières à Murat-sur-Vèbre, dans le Tarn, des terres d'élevage, il y avait des sapins qui avaient grandi. Il s'est dit : « Pourquoi ne pas les vendre à Noël » ? C'est ainsi que tout a commencé. C'était il y a quarante ans. Un précurseur qui a su faire le bon pari au bon moment et le gagner puisqu'aujourd'hui encore, les Bessière sont les seuls de tout le grand sud de la France à s'être lancés dans cette production. Aujourd'hui, son fils commercialise de 70 000 à 80 000 sapins de Noël. De deux variétés : des nordmanns et des épicéas. Il faut au premier de six à sept ans pour atteindre 1,50-2, un peu moins au second puisque quatre à cinq ans suffisent. Mais c'est le nordmann, bien que trois fois plus cher, qui a la préférence de la clientèle car il ne perd pas ses aiguilles. L'épicéa, lui, séduit plutôt les collectivités et comités d'entreprises.
Les clients de la société Bessière ? Casino, Carrefour, Leclerc d'Anglet, Saint-Jean-de-Luz, Bordeaux, jusqu'à Bollène, Nîmes… jusqu'en Isère. À l'approche des fêtes, la société Bessière ne chôme pas. Le coup de feu, « c'est jusqu'au 24 », nous indique le couple d'une même voix. Le sapin, c'est du boulot toute l'année. il faut nettoyer, tailler, surveiller… La saison, en revanche, a démarré dès septembre sur les deux exploitations. Jusqu'en décembre, ça n'arrête pas. « Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige, on est au travail », explique Séverine. « Chaque année, on plante 150 000 arbres », rapporte le jeune exploitant qui a quelque 120 ha en production. Des plants qu'il fait venir du Danemark, de Hollande ou du Morvan. Les premières livraisons aux grandes mairies -Narbonne, Castres, Albi- débute début novembre. Depuis, tous les jours, les semi-remorques se succèdent.
Pas écolo, les sapins naturels ? « C'est une culture comme une autre. C'est comme si je faisais du blé, de l'orge ou autre chose sauf qu'au lieu de moissonner tous les ans, je coupe tous les six ans sans compter que je ne traite quasiment pas. À part quelques pucerons, le sapin ne redoute pas de maladie. Il est seulement sensible aux gelées du printemps, à la grêle… ». Les pertes, il les estime, en moyenne, à 10 %. En 2003, l'année de la grande sécheresse, elles avaient atteint les 30 %.
Des sapins et un élevage : La société dirigée par Bernard Bessière est, aujourd'hui, la seule dans le sud de la France à produire ainsi des sapins de Noël.
Ce n'est toutefois pas la seule activité du jeune chef d'entreprise qui a par ailleurs, un cheptel de vaches, des bovins de race à viande.
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Publié le 22/12/2010 12:02 | LaDepeche.fr
Cagnac-les-mines (81) : féerie de couleurs
Cagnac-les-mines : féerie de couleurs
Quand on arrive devant la maison d'Étienne Brencz on ne sait où regarder tellement le spectacle est magnifique. C'est une féerie de lumières. « Cela fait maintenant 12 ans que je décore ma maison et chaque année j'achète quelque chose » explique ce fidèle lecteur et abonné de la Dépêche depuis 50 ans. « Mes 5 petits-enfants, Ludovic 18 ans, Malaurie 14 ans, Mélissa 12 ans, Maxime 11 ans et Clément 6 ans, m'aident car avec le temps c'est difficile d'accrocher les guirlandes électriques sous le toit » indique Étienne, retraité mineur et ancien militant, syndicaliste FO depuis 1957. Étienne est heureux que cette tradition continue dans sa famille. « cela se perpétue à travers mes 2 enfants », précise cet homme très actif, disponible dans les associations et au syndicat et qui reste toujours branché !
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Publié le 20/12/2010 09:23 | X.H.
Carcassonne : Un bien joli concert de Noël
Le chœur Saint-Louis a illuminé de ses chants traditionnels l'église Saint-Vincent. /Photo DDM, Roger Garcia
Noël approche et la ville résonne parfois encore de petits instants de pur bonheur. À l'image du concert donné samedi après-midi dans l'antre de l'église Saint-Vincent, où les Noëls traditionnels enchantèrent l'assistance durant plus d'une heure, le tout sous les voix souvent majestueuses du Chœur Saint-Louis, placé sous la direction du toujours excellent Henri Ormières. À l'orgue, Naïra Yaver Oganessian avait pris place, pour un accompagnement largement à la hauteur des œuvres proposées. Un répertoire chanté issu aussi bien de Schütz, Bach, Dvorak… dont les airs connus auront permis à tous de mieux apprécier un concert de très bonne facture… qui plus est gratuit !
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Publié le 20/12/2010 03:50 | LaDepeche.fr
Castres : Marché de Noël, encore une semaine
Le renne et son traineau ont obtenu un énorme succés auprès des enfants./ Photo DDM.
35 chalets sur la place
Contigu, se trouve le village de chalets ; il est dévolu aux achats de Noël, avec une priorité donnée aux créateurs ou producteurs locaux. 35 chalets ont été installés. On peut également s'y restaurer ou s'y régaler d'un vin chaud, un chocolat chaud ou encore un lait de poule. Un véritable petit village gourmand avec sa place centrale et sa terrasse aménagée et chauffée sur près de 300 m2.
À proximité immédiate du marché de Noël, une patinoire est installée. Elle a en effet repris ses quartiers sur le quai des Jacobins. Les patins sont fournis et l'accès est gratuit ! Aux 160 m² de glace naturelle ouverts à tous, s'ajoute cette année un espace glisse de 40 m² réservé aux plus petits de moins de 6 ans. D'accès également gratuit.
Ah, au fait, rappelons que cette édition 2010 s'inscrit dans une démarche éco-citoyenne : une collecte sélective des déchets, produits sur le Marché, est installée sur la place elle-même dans le but de permettre le recyclage des gobelets en plastique, assiettes en carton, canettes, bouteilles…
Régalez-vous bien !
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Publié le 21/12/2010 03:53 | Recueilli par Agnès Bouteilloux
Eaunes (31) : Visiteurs par milliers à la maison du Père Noël
Jean-Marie accueille les visiteurs dans son jardin illuminé.
Rares sont les amateurs de maisons illuminées qui ne connaissent pas encore celle de Jean-Marie Delafont. « La maison du père Noël », comme il se plaît à l'appeler, attire un millier de visiteurs entre 18 heures et minuit les soirs d'affluence. Durant toute la semaine, le public se presse devant la rivière de guirlandes, les pistes enneigées où glissent les Pères Noël, les traîneaux, les cerfs, le fameux Père Noël qui descend en montgolfière, sans oublier la possibilité de déposer des dons en faveur de l'association Rêves, réalisatrice de rêves d'enfants malades.
Quelles sont les retombées de votre passage sur TF1 ?
Beaucoup de gens se déplacent suite à ce passage télévisé, persuadées de trouver un lieu intéressant, puisqu'il est passé à la télé ! Certains avouent qu'ils ne connaissaient pas Eaunes. Ils viennent de Castelmaurou, Montauban, Fontenilles, etc. Beaucoup appellent la mairie ou à mon domicile pour être sûrs que les portes seront ouvertes. Samedi soir, il y avait encore du monde à minuit dans mon jardin.
Quelles animations proposez-vous ?
En plus du plaisir des illuminations, des personnages automatisés, il y a un écran sur lequel passent des dessins animés. Une amie a maquillé les enfants durant trois soirs. Deux boulangeries du village me donnent des viennoiseries à offrir aux visiteurs. Et bien sûr, je me déguise en Père Noël à la tombée de la nuit jusqu'au 24 décembre. Je distribue bonbons et photos dédicacées aux petits. Les gens font la queue pour prendre leurs enfants en photo sur mes genoux ! Heureusement, je suis habillé chaudement : combinaison de ski sous mon costume, perruque sous le chapeau et les boots aux pieds.
Où en sont les dons au profit de l'association ?
Deux seront assurément réalisés : Lukas rencontrera Mimie Mathy (1 000 €) et Benjamin fera son baptême de l'air en avion de chasse (1 200 €). Je me suis inscrit pour réaliser un troisième vœu : celui de Kévin, qui souhaite rencontrer Jamel Debbouze.
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Publié le 20/12/2010 10:03 | LaDepeche.fr
La magie de Noël en cirque à Valence-d'Agen
Emotion garantie à Noël en cirque à Valence-d'Agen./ Photo DDM
Le festival « Noël en cirque », à Valence-d'Agen (Tarn-et-Garonne), permet de découvrir des artistes de renommée mondiale. Séquences émotion garanties…
Le festival « Noël en cirque », à Valence d'Agen, réserve encore deux jours de spectacles et d'émotion, sous la halle de cette commune Tarn-et-Garonnaise aménagée pour cet événement comme les plus belles pistes internationales. Jusqu'à ce mardi, il est encore possible de découvrir un programme exceptionnel composé avec les plus grands artistes de la « planète cirque » grâce à l'œil expert du maire Jacques Bousquet. « J'ai en effet souhaité que toutes les disciplines qui font le cirque puissent trouver une illustration dans un numéro de très haut niveau ». Ainsi, d'Ukraine, du Danemark, de Russie en passant par l'Espagne, les quatorze artistes présentés à Valence-d'Agen s'inscrivent dans le gotha de leur spécialité.
Des légendes vivantes
Le spectacle dure près de 2 h 15, avec 20 minutes d'entracte. Et la magie du cirque séduit toutes les générations avec des numéros à couper le souffle par de véritables légendes vivantes… Ainsi, le trapéziste Tito Medina a été primé cette année au Festival international du cirque de Massy ; le duo d'acrobates Mirage a participé au Festival de Monte Carlo et a été finaliste de l'émission « Incroyable Talent » ; Sergueï, l'un des deux seuls hommes drapeaux au monde, a été nommé Révélation du cirque 2 010. Sans oublier deux numéros de clowns au style très moderne, Michael Ferreri (14 ans) jongleur à sept balles et les acrobates Dzouzi Salah, ni l'homme qui murmure à l'oreille des lions (Didier Prein), les chameaux et l'éléphante « Rambo »… et leurs dresseurs.
Hommage à Buffalo Bill
En plus des spectacles, accompagnés par un ensemble musical de douze musiciens placés sous la direction de Jean-Luc Mézin (musicien et directeur de l'École de musique des 2 Rives), des avant-scènes seront organisées. Avec notamment la fabuleuse exposition sur la légende de Buffalo Bill. « Il faut savoir qu'à la fin de sa vie, Buffalo Bill s'est produit avec des cirques en Europe » précise Jacques Bousquet. On doit ce cadeau à Alain Frère, qui est avec Albert de Monaco le cofondateur du festival international du cirque de Monte Carlo. À cela s'ajoutent l'exposition des vingt plus beaux numéros de cirque de ses vingt dernières années et l'histoire du cirque à l'aide de maquette.
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Publié le 20/12/2010 09:33 | LaDepeche.fr
Gaillac (81) : Crèche illuminée, la dernière de Bernard Bonelli
Bernard Bonelli fait des crèches depuis 10 ans. Jamais la même d'une année sur l'autre. Sa dernière version compte plus de 200 ampoules et 150 santons. Et une cascade qui dégringole sur un escalier de bassins verts. Un jardin d'Eden. Il construit les maisons en siporex) et ses nouveautés sont le moulin, le four à pain, le lavoir, un poulailler, et des feux de camp. Un pur joyau de 1,7 m x1,6m qu'il espère montrer à Jean-Pierre Pernaut.
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Publié le 23/12/2010 03:52 | LaDepeche.fr
Maubourguet (65) : Spectacle de Noël à l'église
Autour de la crèche, la liesse de la création nous fera découvrir les richesses de la terre./Photo J.N.
La messe de Noël et la veillée se dérouleront vendredi 24 décembre, dès 21 heures, avec, comme habituellement, la crèche mais aussi un spectacle nouveau mis en scène par Rosemonde Cathala. La messe de Noël sera célébrée le 25 décembre, à 10h30.
Les acteurs que sont les enfants et les membres de la paroisse nous conduiront vers les étoiles, la mer, les montagnes, les arbres qui danseront pour accueillir la venue du nouveau-né. Les décors seront simples et réalisés par les membres de la paroisse. Le fil conducteur de la scénographie, « Il ne suffit pas de cultiver la terre, il faut la garder ». J.N.
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Publié le 20/12/2010 09:54 | LaDepeche.fr
Mirande (32) : Le réveillon est la manifestation phare
La salle André-Beaudran, version réveillon… c'est beau !./Photo DDM.
Cette année encore, le comité des fêtes de Mirande clôturera l'année avec le réveillon de la Saint-Sylvestre salle André-Beaudran. Ce sera le point d'orgue pour le comité après avoir organisé de nombreuses manifestations tout au long de l'année : les Floralies, le 14 mars, qui ont pris leur rythme de croisière avec bon nombre d'exposants ; les Fêtes de Pâques avec l'élection du roi du tourteau ; l'omelette pascale et les courses de lévriers ; les Fêtes patronales du 15 août, avec un programme qui satisfait tous les goûts et tous les âges et offre en vedette le spectacle pyrotechnique de la base de loisirs. Il y eu aussi les 14 « thés dansants » de l'année qui attirent 400 à 500 danseurs chaque fois avec les plus grands orchestres régionaux.
Dernière animation de 2010
Il faut savoir que le comité de fêtes ne travaille pas seul. Il a su fédérer une dizaine d'associations locales qui l'aident lors des grandes manifestations avec un intéressement aux résultats financiers des animations. Tout le monde y retrouve son compte. Et le comité tient à remercier la municipalité et les services techniques de la ville pour l'aide importante apportée.
Le comité des fêtes et ses bénévoles sont donc concentrés ces deux semaines sur la préparation de leur organisation phare, le Réveillon de la Saint-Sylvestre où un demi-millier de danseurs sont attendus.
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Publié le 22/12/2010 13:00 | LaDepeche.fr
Montgailhard (09) : Les Forges fêtent Noël
La visite du Père Noël n'est pas passée inaperçue aux Forges de Pyrène./Photo DDM.
C'est sous un beau soleil d'hiver et avec un sol encore couvert d'une fine couche de neige que les bénévoles des associations de la confrérie de la Houlette gourmande, de Foix Terre d'Ariège, de la troupe de Martin Guerre, du groupe folklorique de Luzenac et des Amis des Forges ont présenté leur parade de Noël aux nombreux visiteurs venus profiter de cet avant-goût de Noël, ce 19 décembre, aux Forges de Pyrène devenues depuis quelques années l'un des sites les plus visités d'Ariège.
Venus de tous horizons, les promeneurs ont pu admirer les magnifiques costumes des figurants de la crèche vivante accompagnés par les indispensables animaux de Georges Respaud et les ânes de Gaston. Sans oublier que Noël n'aurait pas été Noël sans la présence du Père Noël et ses promenades en calèche.
La touche musicale a été apportée par l'Harmonie de Foix, dirigée par Michel Lacombe, en prélude aux contes de Pierre Ricard et chants occitans de Bufadis relatant la Nativité.
Cet après-midi a ouvert une toute petite parenthèse sur un passé proche qui rappelle l'importance de ces fêtes qui, malheureusement, perdent de leur charme à cause d'une société de grande consommation, mais qui gardent leur magie dans les yeux des enfants. Joyeux Noël à tous.
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Publié le 21/12/2010 10:50 | André Suc
Barre (81) : Roger Roques fidèle à Nadalet
Au service de la paroisse depuis 51 ans, le campanièr ne demande qu'à poursuivre son activité.
Scénario immuable depuis la nuit des temps : sur le coup de 8 heures du soir, les Barrols - ainsi que, selon la direction des vents, les habitants des environs - peuvent écouter la sonnerie joyeuse de Nadalet. Du 18 au 23 décembre, elle s'égrène dans le ciel pendant 10 minutes.
Ou plutôt, depuis 1959 - l'année où Roger, de Lacombe (Moulin-Mage) s'est installé ici par son mariage avec Lucette - le temps d'une cigarette.
Scénario immuable avant la Nativité : Roger puise du paquet de tabac gris quelques pincées qu'il étale avec dextérité sur une feuille, avant de se lancer, dans un dédale d'échelles en bois, à l'assaut du clocher. Avant que barreaux et montants ne deviennent trop vétustes, le campanier le signale lorsqu'il rencontre Claude, le maire de la commune. Puis peu après, les rafistole lui-même.
Arrivé sur la plate-forme dominant la campagne alentour, Roger sacrifie à la modernité : il pose un appareil antibruit sur casquette et oreilles. Puis se saisit de deux cordelettes reliées aux axes des deux cloches, et bien vite de joyeux tintements retombent sur le bourg.
Bien huilé par ses soins, le mécanisme demande un effort à la mise en branle et un mouvement régulier par la suite.
La cigarette consumée (les deux bras occupés, il ne lui est du reste pas possible de consulter la montre), Roger arrête tout. Et n'oublie pas, avant de redescendre, de harponner le battant de la grosse cloche pour l'angélus du lendemain. Dernière séance : le 23 décembre. Ensuite, il faudra attendre 360 jours.
Le campanier a 76 ans. Et pense à sa retraite. « Parfois, je demande au maire d'électrifier le clocher. »
Avec sûrement une faible conviction. Car l'on devine que, plus proche voisin de l'église, Roger reste content de pouvoir servir. Tant qu'il le pourra. Ensuite, il espère de tout cœur que sa fille Bernadette, postière dans le pays, reprendra le flambeau : à Barre, on ne badine pas avec les traditions.
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Publié le 21/12/2010 09:37 | LaDepeche.fr
Rodez : Le coup de bourre des animations de Noël
Spectacle de rue, la brigade des jouets a animé Rodez, hier, avec son défilé costumier et musical. /Photo DDM
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Publié le 23/12/2010 03:52 | LaDepeche.fr
Saint-Gaudens (31) : «Chez Daniel», le chapon est en vedette
Ambiance de fêtes au cœur du magasin Chez Daniel où œuvrent Myryam et Nathalie./ Photo DDM Jal
L'aventure de « Chez Daniel » a commencé en 1964 à Mane, dans une maison de location, où Daniel Russe et sa femme tuent quelques volailles la nuit pour les vendre dans la journée en faisant du porte à porte.
En 1970, le couple achète une maison avec un terrain sur lequel ils bâtissent un abattoir. En 1979, ils ouvrent un magasin de vente de volailles, au 5 rue du Moulat à Saint-Gaudens.
C'est là que Nathalie commence à travailler à l'âge de 16 ans. Le magasin s'appelle « Chez Daniel », et depuis fin 2004 s'est déplacé au 14, rue du Moulat.
En cette période de fêtes, le magasin ne chôme pas. Les tables commingeoises seront bien garnies avec, selon Patrick Russe un faible pour le chapon.
Ce déménagement a-t-il modifié votre façon de travailler ?
Oui, déjà au niveau de la superficie du magasin, nous sommes passés de 16 m² à environ 60 m. Dans l'ancien magasin, nous avions à peu près 80 produits, et maintenant nous devons être aux environs de 500 produits.
Ce changement d'adresse était-il risqué ?
Malgré beaucoup d'appréhension au début, nous avions confiance dans l'enseigne, et nous avons eu raison. Aujourd'hui, on touche une clientèle plus vaste et plus importante.
Vos produits sont issus de productions locales ?
Oui, ils sont tous français et de la région. Le foie gras et le magret proviennent des landes et du Gers, la canne vient du Tarn et les poulets du Comminges.
Quel est le produit phare en ces périodes de fêtes ?
Le chapon représente à lui seul environ 50 % de nos ventes. Le restant varie entre le chapon de pintade, l'oie de Guinée, la dinde et la poularde. Et naturellement , le foie gras.
Comment se répartit votre travail ?
Nous sommes trois et nous formons une très bonne équipe. Nathalie, ma sœur, et Myriam sont au magasin, tandis que j'assure les livraisons et recherche de nouveaux produits.
Propos recueillis par R.M.
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Publié le 20/12/2010 08:43 | Silvana Grasso
Portet (31) : "En Père Noël, j'oublie mon enfance"
Philippe fait le Père Noêl pour la dernière année : trop fatigant. /Michel. Labonne
Avec sa houppelande rouge, sa longue barbe blanche et ses binocles accrochés sur le nez, le Père Noël du centre commercial Carrefour Portet est tel qu'on l'imagine : prêt à raconter de jolies histoires et à offrir les plus beaux jouets. Même quand le carnet de notes n'a pas été excellent. Assis dans son grand fauteuil de velours, il va accueillir ce samedi environ 350 enfants pour l'éternelle photo.
Philippe G, 50 ans, est le « bonhomme en rouge » comme l'appellent les petits depuis une dizaine d'années : « J'aime les gamins, j'avais du temps libre et besoin d'un complément de salaire. Endosser l'habit du Père Noël m'a semblé idéal ». Cet ancien photographe, en reconversion, a depuis le temps, appris la stratégie « Père Noël » : « Il faut organiser la photo, c'est délicat. Les enfants pleurent souvent, surtout les deux, trois ans. Ce gros bonhomme grimé leur fait peur».
Philippe amorce alors une approche en douceur : « Je demande aux parents de venir s'asseoir près de nous pour rassurer l'enfant. Je le prends sur les genoux, puis petit à petit les parents s'éloignent. Quand l'enfant a pris confiance, on fait la photo ».
Les enfants sont tous différents : « Certains sont audacieux et parlent beaucoup. Ils me racontent leur liste de cadeaux. D'autres m'offrent des dessins, des gâteaux, des bonbons, je suis très gâté. Mais vous savez, tout va très vite. En trente secondes, c'est fini».
Philippe l'avoue : « Si j'ai choisi de faire cette parenthèse dans ma vie c'est un peu pour oublier mes Noëls d'enfant. Devenir ce personnage chaleureux a un peu effacé cette période ».
Quelles qualités faut-il pour être un bon Père Noël ? « De la patience surtout et de la tendresse. Depuis que j'exerce cette activité, j'ai appris à lire dans les yeux des enfants. Et parfois, ce n'est pas très gai ». Quant à la fameuse photo, Philippe sait aussi que certains viennent pour faire plaisir à leurs parents : « Aujourd'hui à 7-8 ans, les enfants ne croient plus au Père Noël. Certains me demandent même si je suis vrai ».
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Publié le 19/12/2010 09:13 | S. G et A. F
À Toulouse, c'est aussi la fête dans les vitrines
À quelques jours de Noël, la magie des fêtes s'installe un peu partout. Petit tour d'horizon non exhaustif des plus belles vitrines en ville et dans les centres commerciaux . En ville, certaines vitrines ont revêtu leurs plus beaux atours pour les fêtes de fin d'année. En déambulant au fil des rues, on peut découvrir plusieurs mises en scène festives parfois très originales. Tableau d'honneur pour les Galeries Lafayette Lapeyrouse, dont les vitrines en folie présentent deux histoires : d'un côté des mannequins version music-hall entre chapeau claque et robes lamés s'apprêtent à plonger avec délice dans les bulles de champagne, de l'autre le glamour d'un boudoir immerge le passant dans les préparatifs de beauté entre fourrure, accessoires et maquillage. « Ces vitrines invitent vraiment le chaland au cœur d'une histoire ». A quelques mètres, la boutique Hesmé joue la carte de l'inattendu. En vitrine, un défilé de poupées Barbie s'éparpille parmi les vêtements. « L'idée est inspirée d'après Vogue », relève la responsable. Si quelques clients voient là un côté tantinet sexiste, la plupart apprécient.
Rue de Metz, comme chaque année, le chausseur Handy a choisi le thème festif des automates. Un énorme ours polaire et un renne animés attirent le regard. « Cette animation revient très chère. La location se faisant à la journée ». On ne saura pas le prix. D'autres commerçants ont privilégié la simplicité et l'écologie. Comme la boutique Isabel Marant avec une décoration végétale entre bois flotté et neige. Ou comme Kadir, responsable de la boutique Levantin place Saint-Georges : « J'ai décoré la vitrine avec du papier japonais recyclable, issu d'écorce de mûrier ». Entre étoiles dentelées et flocons de neige, l'esprit de Noël est là. « Vous savez les vitrines sont très importantes en période de fête. Pas seulement pour l'esthétisme mais aussi pour l'incitation à l'achat. Globalement, les commerçants n'investissent pas assez ».
À l'inverse des centres commerciaux où les décorations festives éclaboussent les yeux. Tel celui de Saint-Georges où d'immenses sapins argentés arpentent les allées. Cette décoration à une durée de vie de trois années. Histoire d'amortir le prix. En périphérie, Leclerc Roque fait du Playmobil, la vedette des fêtes : entre Préhistoire, pirates et Pyramides, l'histoire de ce jeu intemporel remonte le temps : au grand bonheur des enfants.
Castanet-Tolosan : Une sortie en calèche qui a comblé les enfants./Photo DDM,D.D.
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