TARN : Guide été 2011

19/6/2011

TARN : Guide été 2011

 Publié le 17/06/2011 15:05 | LaDepeche.fr

Welcome dans le Tarn

Castres : maisons sur l'Agout

Bienvenue dans le Tarn. Bienvenue dans un département qui cet été va vous proposer mille et une activités et découvertes.

On pense évidemment à Albi, sa cité épiscopale, sa cathédrale -forteresse en brique rouge, son musée Toulouse-Lautrec qui depuis août 2010, ont décroché son accession au patrimoine mondiale de l'Unesco.

On ne peut oublier Cordes, sublime bastide médiévale aux ruelles escarpées, son animation permanente, qui va fêter cette année le quarantième anniversaire des fêtes du Grand Fauconnier.

Et que dire du magnifique vignoble du Gaillacois qui enrobe sur les coteaux en pente, les merveilleuses bastides de Puycelsi, Castelnau-de-Montmirail. Gaillac et son histoire millénaire en est le centre.

Une beauté, une lumière toscane qui rejaillit sur la cour carrée de Lisle-sur-Tarn, sur l'église de Rabastens inscrite elle aussi, au patrimoine mondial de l'Unesco. Le sud du département n'est pas en reste. Castres et son centre ville, où les maisons en colombages reflètent ses couleurs baroques sur l'eau de l'Agout.…

... À quelques dizaines de kilomètres de Castres, vous pouvez faire un saut dans le Sidobre, découvrir des paysages rocheux à couper le souffle, puis vous abandonner un peu plus, dans le Mazamétain et la Montagne noire. Voilà de quoi vous régaler.

Villes et paysages remarquables… Mais ce n'est pas tout. Le département va cet été, vous proposer des événements et des activités à foison.

Des festivals, À tue-tête à Castres, Pause Guitare à Albi, L'été de Vaour pour les plus importants.

Des festivités chaque jour, avec ne l'oublions pas, les grandes fêtes de la Saint-Privat à Carmaux.

Des événements sportifs avec Le Tour de France (Aurillac-Carmaux le 12 juillet et Blaye-les-mines -Lavaur le 13 juillet). Les championnats de France d'athlétisme du 28 au 30 juillet à Albi. Le grand prix d'Albi début septembre.

Après tout cela, partez à la découverte de la gastronomie tarnaise, riche en saveurs et en amitiés. Pour les enfants fatigués et à la recherche de sensations fortes, quoi de mieux que l'immense parc de loisirs Cap'Découverte à quelques encablures de Carmaux. Sur plusieurs hectares, vous pouvez vous baigner, profiter de la tyrolienne, faire du ski en plein été, louer des vélos, vous éclater sur le skate Parc. Dans le Sud du département, à Saint-Pierre-de-Trévisy, les enfants vont adorer Aventure Parc. Une journée, la tête et les pieds dans les arbres. Ce guide vous propose de découvrir toutes les animations durant cet été 2011, démontrant qu'ici, en Occitanie, le bien-être et l'accueil ne sont pas des promesses de Gascons.

 

Publié le 17/06/2011 15:02 | LaDepeche.fr

Grands Sites de Midi-Pyrénées : une vraie carte aux trésors

Albi, Grand Site de Midi-Pyrénées

En juillet 2008, la région Midi-Pyrénées a initié la politique des Grands Sites en partant du constat simple que Midi-Pyrénées dispose de nombreux sites ayant une forte notoriété vis-à-vis des clientèles nationales et internationales, mais pas toujours identifiés à la région.

Ces sites, naturels ou architecturaux, participent au rayonnement des territoires dans lesquels ils se situent, à la qualité de l'image et de l'identité des départements et de la région. Sur les 15,5 millions de personnes qui visitent chaque année la région, 13 millions passent par ces sites.

Le dispositif, mis en place depuis trois ans et étoffé chaque année, a quatre objectifs principaux : promouvoir ces Grands Sites sur les marchés étrangers, français et de proximité ; inciter les touristes en situation de séjour en Midi-Pyrénées à découvrir les Grands Sites ; éviter lors de l'arrivée des visiteurs dans le site, tout décalage décevant entre les attentes initiales et la réalité de la qualité de l'accueil, des produits, des services ; et donner envie aux visiteurs d'un Grand Site d'aller découvrir les autres Grands Sites de Midi-Pyrénées.

De fait, sur chacun des Grands Sites, des vidéos de présentation, des plaquettes informatives et explicatives sont en place pour informer les visiteurs des circuits qu'ils peuvent emprunter. Les Grands Sites de Midi-Pyrénées forment alors une véritable carte aux trésors de notre patrimoine.

Sur les 15,5 millions de visiteurs chaque année en Midi-Pyrénées, 13 passent par l'un ou l'autre des Grands Sites.

Focus : 13 millions de visiteurs

Les Grands Sites sont un élément fort de la promotion de la région. Ils véhiculent plus que l'image radieuse de lieux magiques. Ils en expriment de fait l'ambition économique, à la fois d'une audacieuse modernité (l'aéronautique, l'espace, la recherche) et profondément attachée à ses racines.

Le tourisme en est devenu un acteur à part entière. Il représente 4,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires (soit 6,7 % du PIB régional) et 45.000 emplois. Il irrigue l'ensemble des huit départements et participe à une démarche de développement durable ancrée dans les territoires.

Cette réalité se traduit par un chiffre : plus de 15 millions de visiteurs par an dans la région et 13 millions qui passent par les 24 Grands Sites actuellement labellisés.

 

Publié le 17/06/2011 14:58 | LaDepeche.fr

Cordes sur Ciel : Le jardin des paradis

Ouvert en 1998 le Jardin des Paradis accueille chaque année plusieurs milliers de visiteurs. Outre le mur végétal, le pavillon persan et les différents espaces que l'on peut rencontrer tout au long de la saison, des animations sont prévues pendant l'été. Les 9 et 10 juillet, des salons de lecture seront parsemés aux 4 coins du jardin, et des lectures poétiques se feront en soirée. Des jeux anciens et en bois seront installés les 20 et 21 juillet et les 17 et 18 août pour un jardin de jeu de 7 à 107 ans. Les 4 et 6 août, on fêtera la paresse dans les hamacs et transats. Le 4 septembre le goûter de couleur permettra de déguster des créations culinaires pour tous les goûts. La saison s'achève les 2 et 3 octobre avec la fête de l'automne.

 

Publié le 17/06/2011 14:53 | LaDepeche.fr

Festival de Musique sur Ciel : vive le classique

Pas de répit pour la ville de Cordes puisque juste après la fête du Grand Fauconnier, la ville accueille la 40e édition de son festival Musique sur Ciel. Organisée par l'association culturelle de Cordes (ACADOC), cette manifestation musicale au répertoire classique permet de découvrir une nouvelle génération de solistes, dont la plupart sont bien connus des scènes nationales et internationales, qui explorent chaque été l'œuvre de grands compositeurs. Le président de l'ACADOC, Christian Urbita, explique clairement ce qu'est ce festival.

Qu'est-ce que le festival Musique sur Ciel ?

Il a été créé il y a 40 ans pour restaurer l'orgue de l'église Saint-Michel. Depuis on a fidélisé un public qui est très mélomane et de qualité. L'idée c'est d'apporter des choses et des émotions nouvelles au public.

Que pourra-t-on pourra voir à l'église Saint-Michel du 17 au 29 juillet ?

Nous avons une 30e de solistes de 18 à 25 ans en résidence avec un compositeur et un luthier. Du quatuor aux violoncelles en passant par le cor et la clarinette, tous les instruments sont représentés, sauf la guitare électrique (rire).

D'après vous qu'est-ce qui attire le public ?

Peut-être le système de résidence et de musiciens que l'on retrouve tous les ans.

 

Publié le 17/06/2011 14:50 | LaDepeche.fr

Les fêtes du Grand Fauconnier ont 40 ans

Non non, vous n'avez pas fait un bon dans le temps. Si vous voyez des troubadours, des gentes dames et de nobles damoiseaux partout autour de vous, c'est que vous vous trouvez dans la cité médiévale de Cordes-sur-Ciel le 14et le 15 juillet. Le Comité du Grand Fauconnier, qui organise pour la 40e année cette fête, a reçu une fois encore le label de Qualité de la Fédération française des fêtes et spectacles historiques.

Sur deux jours et en nocturne ce ne sont pas les animations qui vont manquer. Plus de 200 artistes avec fauconniers, des chevaliers, des batteurs d'armures et autres assureront le show.

Le programme des 2 jours

Les animations seront non stop le jeudi et le vendredi de 10 heures à 2 heures. On commence à 10 heures avec le réveil des campements. L'ouverture des fêtes se fera à 10 heures en musique sous la Halle. Des concerts auront lieu à l'église à 16 heures (le 14 et à 15 heures le 15). À 20 h 30, la Halle accueillera un spectacle théâtral et musical avec les Compagnons de l'Aurore. Un grand défilé costumé et éclairé aux torches rassemblera à 21 h 30 le jeudi (et à 17 heures le vendredi) l'ensemble des compagnies et du public. Le 15 un grand banquet médiéval animé se fera à 20h sous la Halle. Le bal débutera à 23 h les 2 soirs avant de se terminer à 0 h 30 par des spectacles de feu. Le public a la possibilité de louer les costumes entre 7 et 40 € pour les 2 jours de fête. L'entrée est à 8 €/ adultes (10 € pour les 2 jours), 3 €/enfants/jour. Rien de plus mémorable que de festoyer dans le cadre cordais.

 

Publié le 17/06/2011 14:43 | LaDepeche.fr

Le festival Puycelsi-Grésigne et sa musique classique

Le village de Puycelsi

Dans le sud-ouest il y a quelques villages qui détiennent le titre de « Plus beaux villages de France ». Parmi eux on retrouve Puycelsi. Dans ce village de la vallée de la Vère un sentier balisé par le Conseil Général du Tarn composé de plusieurs boucles allant de 2 à 14 km mène à la forêt de Grésigne et revient au village. Pour atteindre le sommet de Montoulieu qui domine la forêt il faut longer le ruisseau qui arpente le sentier. Une promenade sans difficulté particulière qui permet de profiter en famille de ce petit coin de paradis. Le Verger Conservatoire régional abrite plus de 700 espèces d'arbres fruitiers, de ceps et de vignes différentes.

Côté animation, la 5e édition du festival Puycelsi-Grésigne proposera différents concerts aux quatre coins du village du 21 au 30 juillet. À 19 heures le 21 l'ensemble Via el Mundo proposera son concert de musique sud américaine au château de Terride. Le lendemain à 18 heures une soirée conte est prévue dans le village. Le 23 à 21 heures le groupe choral féminin Florens Rosa donnera un concert de chants grégoriens à l'église Saint Corneille. Le 26 les Sunshine Voices seront à 21 heures à St Corneille. Le 28 c'est l'église Saint Eugène qui accueille le 1er concert des 50 choristes du stage de Dégustations musicales. Le 29 à 18 heures les choristes migreront à St Corneille. La soirée de clôture se fera le 30 sur la place du village dans une ambiance zouk avec l'ensemble Patrick Pierre.

 

Publié le 17/06/2011 14:41 | LaDepeche.fr

Castelnau de Montmiral : une bastide animée

Cet été « Castelnou de mon Mirailh » va jongler entre son festival Architecture et Musique et ses Musicales.

À la douceur des nuits d'été les Arcades de Castelnau et leurs alentours vont retentir de mille sonorités.

Les 3, 20, 23 juillet et 22 août, le château de Mayragues accueille le festival Architecture et Musique. (de 10€ à 15€. réservations au 05 63 33 94 08. Le 10 juillet et le 7 août, une brocante nocturne se fera sur la place de 16 heures à minuit. Le 13 juillet sera une journée sportive puisque la D4 accueille la 11e étape du Tour de France de 13h20 à 15 heures. Pour le 14 juillet le comité des fêtes prévoit un cochon à la broche, et le feu d'artifice sera tiré à la tombée de la nuit à la base de loisirs de Vère-Grésigne.

Le festival Les Musicales commencera le 23 et 24 juillet avec de la musique festive place du Pradel ( Minima social club, Ni vu ni connu, les accords'Léon et the wild le 23 )et Bombes 2 bal le 24 et va se poursuivre le 2 août avec les cuivres Aeris à l'église Notre-Dame de l'Assomption par un concert classique.

Le 4 une après-midi conférence gratuite à la salle des fêtes précédera le concert hommage à Serge Gainsbourg avec Bijou SVP qui se fera sur la place des Arcades. (Les Musicales : de 10€ à 15€. Renseignements 05 63 33 15 11). Les fêtes générales se dérouleront du 12 au 15 août. Le camping du chêne-vert organise le mardi 12 juillet et tous les mardis d'août des apéros-concerts dans différents genres musicaux.

 

Publié le 17/06/2011 14:35 | LaDepeche.fr

Albi la rouge, trésor de l'Unesco

Albi la rouge, dominée par sa cathédrale de briques

La petite ville rouge d'Albi et ses 50 000 habitants n'ont rien à envier à la grande ville rose Toulousaine. Depuis le 31 juillet 2010, la cité épiscopale albigeoise a été classée au patrimoine mondial de l'Unesco.

La mission de l'Unesco est inscrite dans la Convention pour la sauvegarde du patrimoine mondial, culturel et naturel de 1972 : « Le patrimoine est l'héritage du passé, dont nous profitons aujourd'hui et que nous transmettons aux générations à venir ». Actuellement, 911 biens y sont inscrits dont 35 Français. Le secteur albigeois qui est classé est celui de la cité épiscopale et comprend le pont vieux, une partie des rives du Tarn, le Palais de la Berbie qui abrite le musée Toulouse-Lautrec, la collégiale et le cloître Saint-Salvy, et bien sûr la cathédrale Sainte-Cécile.

Cette dernière est la plus grande cathédrale de brique au monde. Construite sous l'autorité de l'évêque et seigneur d'Albi, Bernard de Castanet, en 1 282 et terminée deux siècles plus tard, la forteresse de briques rouges a été érigée pour lutter contre l'hérésie cathare. Son clocher culmine à 78 mètres de haut et son orgue date du XVIIIe siècle. Parmi les autres coins de paradis, on notera la présence des places Savène et Saint-Loup à proximité de la cathédrale. Cèdres, cyprès et pins parasols ornent les jardins suspendus du palais de la Berbie pour un mariage de couleurs parfaitement réussi avec le rouge des briques d'Albi qui lui a valu le nom d'« Albi la rouge ».

 

Publié le 17/06/2011 14:38 | LaDepeche.fr

Sidobre : le musée du protestantisme de Ferrières

Le Musée de Ferrières, musée de France fait « peau neuve » ! Après quarante ans, il s'installe dans un bâtiment moderne adapté à ses collections et son projet.

Où ? A Ferrières, dans les Monts de Lacaune (Tarn). Pays marqué par le relief, la forêt, le granite ; monts et vals reposants… mais qui ont abrité au cours des siècles bien des clandestinités : des protestants qui l'ont parcouru en tentant de gagner les pays étrangers au XVIIe siècle, aux résistants des années 1940 et les juifs traqués par le régime de Vichy.

Le musée propose de découvrir une foi, des pratiques, des institutions religieuses mais aussi, et surtout, une vision du monde, une culture : il montre les rapports particuliers d'une minorité confessionnelle avec le politique, le social, l'économique, l'art, la mémoire.

On y découvrira divers espaces et objets qui disent le rôle joué par les protestants dans ces domaines, mais aussi parlent de l'Histoire Générale de la France, et des rapports qu'y ont entretenu l'État et les Églises. Il est le premier musée à traiter de ce sujet, en France.

Le visiteur y fera un parcours historique, laïque, comparatiste… qui devrait lui permettre de mieux connaître son passé ainsi que celui de l'autre, ici et maintenant, ce qui est une des meilleures manières de vivre ensemble ! Le nouveau musée à ré ouvert le 9 août 2010.

 

Publié le 17/06/2011 14:37 | LaDepeche.fr

Sidobre : Promenades et flâneries singulières

Exploité en priorité par l'industrie pour son granit de qualité exceptionnelle (pavé des Champs-Elysée et l'arc de Triomphe), le massif du Sidobre constitue un fabuleux terrain de jeu pour les amateurs de frisson, de mythologie païenne et de flâneries singulières. Le rocher tremblant de Sept-Faux : C'est le plus gros bloc de granit du Sidobre. Il est constitué de deux blocs superposés, pèse 900 tonnes et s'élève à plus de 7m de haut ! Et dire que cette masse peut osciller sous la simple pression d'un levier. La Peyro Clabado : certainement le monument granitique le plus impressionnant du Sidobre, il en est même devenu l'un des symboles ! 780 tonnes de roche posées en équilibre sur un socle d'à peine un mètre carré. Le roc de l'Oie, appelé ainsi pour sa troublante ressemblance avec le palmipède, il est l'un des rochers les plus représentés car certainement le plus mystérieux…

Le Sidobre regorge de nombreux autres trésors tels que le rocher des Trois Fromages, le chaos de la Balme et de la Resse, le Saut de la Truite, ou le Lac du Merle.Après cela, il restera à découvrir le plus enivrant, les trésors et légendes cachés, les rocs dissimulés par la végétation.

L' autre légende raconte qu'au temps où les animaux monstrueux obéissaient à des génies, une oie avait reçu de son maître l'autorisation de sortir la nuit pour aller couver son œuf unique. L'animal mythique se devait de rentrer avant l'aube sous peine de se voir infliger le pire des châtiments. Pourtant un jour, l'astre était déjà haut lorsqu'elle s'éveilla. Son maître courroucé, apparut et pour la punir la pétrifia, elle et son œuf qui n'éclora jamais. Pensez-y lorsque vous croiserez le roc de l'Oie.

 

Publié le 17/06/2011 14:30 | LaDepeche.fr

Très riche été albigeois

Découverte d'Albi en gabarre

Cet été Albi fait le plein d'animations. De fin juin à début septembre pas de repos pour la ville.

Albi en musique : du 22 au 26 juin le festival rock Zguen Fest se fera à la MJC, et sera relayé par les rencontres internationales de musique de chambre « Tons voisins » du 26 au 2 juin.

Le festival Pause Guitare ce sera du 7 au 10 juillet et le festival Albi Place(s) aux artistes animera les soirs d'été aux quatre coins de la ville avec des spectacles en tous genres.

Des concerts d'orgues à l'église Sainte-Cécile sont prévus les 13, 17, 20, 24, 27 et 31 juillet ; les 3,7, 10, 14, 17, 21, 24, 28, 31 août et le 4 septembre.

Albi gourmande : Le terroir s'invite à l'office de tourisme placeSainte-Cécile et fera découvrir gratuitement des produits du terroir de 15 h à 19 heures les 12, 14, 19, 21, 26, 28 juillet et 2, 4, 9, 11, 16, 18 et 23 août.

Albi culturel : Midi trente au musée permettra de découvrir ou redécouvrir une œuvre de Toulouse-Lautrec à 12 h 30 les 18, 21, 25 juillet, les 1er, 8, 15, 22 août et le 7 septembre.

Richard Massoutier, le directeur du théâtre de la Croix Blanche proposera des lectures de textes au musée Toulouse Lautrec les 18, 21, 25 juillet, 1er, 8, 15, 22 août et 7 septembre.

Le 69e Grand Prix automobile se jouera sur le circuit d'Albi-Le Séquestre du 2 au 4 septembre.

Il ne faut pas oublier les promenades en gabarres sur le Tarn qui permettent de voir la ville sous un autre angle.

 

Publié le 17/06/2011 14:29 | LaDepeche.fr

Enquêtez au musée du Saut du Tarn de Saint-Juéry

Le musée du Saut du Tarn à Saint-Juéry

La ville de Saint-Juéry ne compte pas plus de 7 000 habitants, et pourtant elle abrite un véritable trésor historique. L'ancienne centrale hydroélectrique fermée en 1983, classée aujourd'hui Monument Historique, a été investie en 1995 par des anciens employés pour devenir le musée du Saut du Tarn et assurer ainsi un devoir de mémoire.

Le musée du Saut du Tarn, c'est le témoignage de près de 200 ans d'aventure industrielle, sociale, mais aussi humaine. Pour assurer sa vocation sidérurgique et métallurgique, l'usine avait besoin de bras humains pour fonctionner. Des milliers d'ouvriers ont participé à cette épopée du XIXe et XXe siècle, dans des conditions souvent extrêmes.

Le musée retrace le parcours de ces travailleurs et plonge le visiteur dans une atmosphère aussi bruyante qu'impressionnante. Les familles peuvent choisir de mener l'enquête au saut du Tarn, sur le principe d'une chasse aux trésors, pour pimenter la visite et passer un moment ludique avec les enfants. Plusieurs animations sont attendues comme le théâtre, le concert nocturne gratuit du 13 juillet à 23 h ou encore le tango sur échasses du 11 septembre. La fréquentation du musée attire toujours plus de visiteurs. En 2010, plus de 8 000 personnes se sont plongées dans cet univers si prenant et particulier.

 

Publié le 17/06/2011 14:27 | LaDepeche.fr

Un petit tour à Carmaux

Des statuts et des bâtiments comme autant de témoignages historiques du vécu de Carmaux. Reconnue pendant plusieurs siècles comme l'un des bassins miniers les plus importants, Carmaux a vu la fin de son apogée dans les années 1950 avec la découverte de puits de pétrole au Sahara, la montée en puissance de l'hydroélectricité et la naissance des premières centrales nucléaires. Pourtant, pas question d'abandonner les richesses de son passé. Le pays de Jean Jaurès tente sa reconversion depuis quelques années. Le pôle multiloisirs de Cap'Découverte propose au public de découvrir son parc des Titans et ses gigantesques machines utilisaient autrefois pour l'extraction du charbon. En plus des multiples activités aquatiques, de glisse, aériennes ou ludiques proposées par Cap'Découverte, plusieurs centaines d'hectares sont prévues pour les promenades sportives ou tranquilles, en famille ou entre amis.

Tous les vendredis matin, le marché hebdomadaire regroupe 200 forains pour un marché riche en saveurs du terroir.

Les musées du verre et de la mine de la ville permettent aux touristes de se plonger dans les vestiges du passé économique et social de Carmaux. Les fêtards ne seront pas en reste cet été non plus puisqu'après le festival « A fleur de peau » sur le thème celtique qui aura lieu du 25 juin au 2 juillet, la ville s'animera autour des cyclistes du Tour de France du 10 au 15 juillet

Bien sûr, une saison estivale ne serait pas complète sans l'incontournable fête de la Saint-Privat.

Les chars, la fête foraine, les différentes bodegas et animations seront le point de ralliement de tous ceux qui voudront terminer en beauté cet été dans le Carmausin.

 

Publié le 17/06/2011 14:25 | LaDepeche.fr

Les beautés du Ségala s'offrent à vous

Une fête par-ci, une promenade par-là… L'été promet de passer à vitesse grand V au cœur du Ségala tarnais. Outre les incontournables comme le musée de la mine de Cagnac, Cap'Découverte, et le village médiéval de Monestiés qui est un des plus beaux villages de France, festivals et fêtes votives vont s'enchaîner pour le plus grand plaisir des touristes et des visiteurs. Le 2 et 3 juillet Pampelonne fête le livre et la gourmandise. Le 22 et 23 juillet on va apprendre comment marier la musique au développement durable grâce à la festounade « Le pied dans la bassine » de Sainte-Croix qui n'est autre qu'un croisement entre festival et fête de village.

Du 2 au 6 août Monestiès organise sa semaine du classique tandis que du 6 au 10 le festival des deux rives retentira dans les églises et châteaux de la vallée du Viaur. Le 12 août le Mirandoc Festignac de Mirandol proposera 2 concerts avec entrée gratuite. Après toutes ces réjouissances, un peu de sport s'impose avec le raid nature des trois lacs. Trail, VTT et canoë sont au programme. Le 4 septembre, la traditionnelle foire exposition du Ségala se fera à Tanus. Une journée « Escapade gourmande » est prévue le 24 juillet (05 63 76 19 17). Tous les jeudis de juillet et août, Jean-Pierre Assemat propose une balade gratuite et accessible à tous à travers les monts et les vallées du Ségala.

 

Publié le 17/06/2011 14:23 | LaDepeche.fr

Gaillac, une ville à déguster sans modération

Cet été encore la ville de Gaillac fait le plein d'animations pour faire connaître son patrimoine de façon ludique et surtout conviviale. Tous les jeudis soirs en juillet et août des visites guidées des vieux quartiers se feront à partir de 3 € aux alentours de 20 heures. (Inscriptions Office de tourisme : 05 63 57 14 65). À partir du 8 juillet et tous les vendredis d'été, des apéros-concerts animeront les jardins de l'abbaye Saint-Michel de 19h à 21h. Le 11 juillet à 20h chacun pourra tenter se chance face à la caméra grâce au tournage interactif organisé à l'occasion du Ciné-guinguette. La foire à la brocante ce sera le 17 juillet et les concours de pétanque organisés par l'AGACI du 19 au 21.

Pour les oiseaux de nuit qui préfèrent se promener à la douceur des nuits d'été, les 5 et 26 juillet et le 9 août les marchés de nuit prendront ses quartiers dans les rues de la ville. Le 20 juillet une randonnée nocturne de 10 km dans le vignoble de Saurs commencera à 20 h 30 et se terminera par une dégustation faite par le château. Le 3 août, même type de randonnée mais autour du vignoble de Lisle-sur-Tarn cette fois-ci, à partir de 20 heures. Le domaine Sarabelle s'occupera des dégustations de fin de marche.

 

Publié le 17/06/2011 14:17 | LaDepeche.fr

Gaillac et ses petites histoires

Tout au long de l'été les animations vont se succéder pour faire vivre la ville de Gaillac. Ce qui fait chaque année le charme de ces rendez-vous, c'est aussi leurs lieux, souvent historiques, qui sont la beauté du patrimoine.

Dans les jardins de l'abbaye Saint-Michel d'abord, des apéros-concerts seront organisés à partir du 8 juillet tous les vendredis de 19 heures à 21 heures. L'abbaye elle-même a été entièrement reconstruite au XIIIe siècle en briques. La ressemblance stylistique entre ce monument et d'autres de la vallée du Tarn était souhaité par l'église pour marquer la présence du catholicisme face au catharisme dans la région.

Les 7 et 8 août on fêtera le vin au parc Foucaud qui accueille depuis le XVIIe siècle un château, devenu en 1934 un musée. En se promenant dans le jardin, on découvre le pavillon de lecture, près du bassin central, sur lequel on retrouve juché sur le toit des divinités marines en terre cuite.

Pendant les visites nocturnes du jeudi soir en juillet et août, peut-être découvrirez-vous les origines de Gaillac mais aussi l'histoire de ses rues. Ainsi vous saurez que la place du Griffoul est le cœur de la vieille ville, et que sa fontaine, qui date du XVe siècle est ornée entre autres de jeunes enfants, de lions cracheurs d'eau, et d'un coq, emblème de la ville. La rue de la Navigation, ancienne Côte de l'abattoir a été baptisée ainsi en 1882 alors que le déclin de la batellerie est amorcé, Gaillac étant un port régional de navigation très important jusqu'au XIXe siècle.

 

Publié le 17/06/2011 14:15 | LaDepeche.fr

Lisle-sur-Tarn, perle des bastides

Au cœur du village il y a la place aux couverts, l'une des plus vastes du sud-ouest qui accueille tous les dimanches matins le marché. Et autour de la place il y a la ville avec son architecture typique de l'organisation médiévale. Entre ses maisons à colombages, et ses façades en pisé, en torchis ou en briques, et l'église Notre-Dame de la Jonquière au style gothique méridional, Lisle-sur-Tarn abrite ses galeries couvertes et ses « pontets » (levez la tête vous les verrez qui relient une maison à l'autre). Au bord du Tarn on rencontre deux hôtels particuliers et leurs jardins étagés en terrasse. Cette proximité avec le Tarn fait de Lisle-sur-Tarn une bastide-port. Tous les mardis soirs des visites guidées de la bastide sont organisés, et les fêtes générales se feront du 22 au 25 juillet.

Musées et balades

Si après ce petit tour de ville, un petit creux venait à titiller votre estomac, vous êtes toujours à temps de visiter le Musée'art du chocolat de Michel Thomaso-Defos, un vrai régal pour tous les sens. Bien entendu, pas question de repartir avant d'être allé faire un tour chez les viticulteurs lislois et de leur poser des questions sur les cépages et les différentes méthodes de vinifications bien spécifiques au lieu.

Une fois bien repue, il ne faut pas hésiter à aller faire un tour au musée Raymond Lafage et à aller s'aérer à la forêt de Sivens. À moins que vous ne préfériez la détente et les diverses activités que propose le lac de Bellevue. Visites, promenades, découverte ou dégustation, il n'y a plus qu'à choisir où le vent Lislois va vous porter. Si possible faites une halte le soir du 25 juillet sur le lac de Bellevue pour y admirer le spectacle pyrotechnique.

 

Publié le 17/06/2011 14:13 | LaDepeche.fr

Giroussens, le pays des potiers

Dans le pays potier de tradition de Giroussens, la maison de la céramique contemporaine propose aux visiteurs de découvrir des expositions de poteries anciennes et des œuvres de créateurs régionaux. Jusqu'au 31 août les créations sont visibles de 10 heures à 12h et de 14h à 19h.

L'église Saint-Salvy du XIVe siècle est constituée de trois chapelles dont une est dédiée à sainte Rufine, patronne des potiers, et d'un clocher mur. Le château de Belbèze, construit en 1640 a été vendu comme bien national à la Révolution.

 

Publié le 17/06/2011 14:11 | LaDepeche.fr

Rabastens, cité de briques avec son église classée à l'Unesco

Rabastens c'est le pays des collines. Dans ce village d'environ 5 000 habitants les briques rouges et les architectures historiques se rencontrent au grès des promenades touristiques. L'église Notre Dame du Bourg (XIIIe-XIVe) est inscrite au Patrimoine Mondial de l'Unesco comme élément remarquable sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Le quartier du Bourg qui entoure l'église possède une architecture caractéristique de l'architecture du XIIIe siècle.

Le plus ancien quartier de la ville, c'est celui du château. Même si l'édifice a été détruit à la fin de la Croisade des Albigeois, il reste les remparts de Rabastens qui dominent le Tarn et offrent un point de vue imprenable sur la plaine de Couffouleux. Les 2 et 3 juillet, la place Auger Gaillard accueillera les 2e fêtes médiévales. Des balades contées sont prévues les 5, 12, 19, 23 juillet et les 9, 17 et 23 août à 20 h 30 devant le Cinq. Le château de Saint-Géry pourra se visiter les 10 et 31 juillet et les 7 et 28 août à 16 heures.

Du 21 au 24 juillet, c'est le festival de musique classique Chambres avec Vues. Le 1er et 2 août, ce sera la foire et brocante nationale. Les fêtes générales, cavalcades et feux d'artifices embraseront la ville du 12 au 14 août. Pour une nuit dans les étoiles Yvon Rieugnié accueille le public sur rendez-vous dans son observatoire d'astronomie de Saint-Caprais.

Le 5 août pour la nuit des étoiles ce sera soirée portes ouvertes.

 

Publié le 17/06/2011 14:09 | LaDepeche.fr

Réalmont, le village qui fait le plein d'animations

Des ruelles, des arcades, une église et une place. Rien de bien original a priori, mais en y regardant de plus près on se rend compte qu'on retrouve à Réalmont le charme des villages ensoleillés du sud, une animation culturelle sans cesse renouvelée initiée par l'engouement de ses quelque 3 000 habitants, et un musée qui abrite le passé de celle qui a été déclarée Bastide Royale en 1 272.

Pendant l'été, la commune réalmontaise propose à ses visiteurs trois animations notables qui viendront compléter les visites dans les environs. On commence avec le salon international des minéraux et fossiles qui aura lieu le week-end du 16 et 17 juillet dans la salle polyvalente, sur la place du foirail du village de 9 heures à 19 heures. Le festival Ré'al croche viendra ensuite faire résonner les murs de la ville les 21, 22, 23 et 24 juillet, ambiance cow-boys et musiques nord-américaines assurées, le tout dans une gratuité à en faire se reposer les portes monnaies. Quant à la découverte du patrimoine de la ville et de ses communes, le meilleur moyen est encore de se promener au cœur du village et dans ses communes pour comprendre pourquoi on surnomme cette ville tarnaise « Réalmont la charmante ».

 

Publié le 17/06/2011 14:03 | LaDepeche.fr

14eme édition du Ré'al croche

Les 21, 22, 23 et 24 juillet la 14e édition du festival de musique nord-américaine de Réalmont élargi son domaine musical et ses animations. Rock Texan, Country, Blues, Folk et musique Irlandaises seront cette année de la partie. Une scène ouverte permettra de découvrir de jeunes talents les 22, 23 et 24 juillet de 18h45 à 20h15, et le 21 de 20h30 à 21 h. Une initiation au line dance pour les débutants se fera le samedi de 17h à 18h30 et le dimanche de 14h30 à 16h30. Gigi le clown fera son spectacle jeune public dimanche de 17h à 18h.

Concerts : jeudi : Départementale 63 de 21h à minuit. Vendredi : Big Rock de 20 h 30 à 21 h 45, Laurette Canyon de 22 h 15 à 23 h 30 ; Las Vargas de minuit à 1 h 15. Samedi : Erik Sitbon de 20 h 30 à 21 h 45 ; Lastgust de 22 h 15 à 23 h 30 ; Natchez de 0 h à 1 h 15. Dimanche : Neal Black and the Healers de 21 h à 22 h 30 ; The Gartloney Rats de 21 h à 23 h.

 

Publié le 17/06/2011 13:49 | LaDepeche.fr

Graulhet fière de son patrimoine

Graulhet est une ville au patrimoine riche, en particulier si l'on aborde le sujet du patrimoine culturel et industriel. L'hostellerie du Lyon d'Or, édifice datant vraisemblablement du début des années 900, est un des fleurons de ce patrimoine, mais ce n'est pas la seule curiosité de la ville. L'industrie qui, de longues années durant, a rythmé la vie graulhétoise a aussi laissé des traces.

Depuis le moyen âge le travail du cuir a fait partie du quotidien des Graulhétois et avait en son temps fait de Graulhet la capitale de la basane, le cuir utilisé pour les doublures de chaussures. Si le lustre industriel du cuir est derrière la ville, cette dernière n'en conserve pas moins des traces très présentes. Une promenade le long du Dadou permettra de découvrir ces bâtiments industriels au riche passé et la balade vous conduira tout naturellement vers « La maison des métiers du cuir ». Installée dans une ancienne usine sur les rives du Dadou, elle sera pour vous le moyen de découvrir les différentes pratiques et techniques des métiers de la mégisserie et de la maroquinerie. Lors d'une visite guidée, vous vivrez les différentes étapes de la transformation de la peau brute en cet emblème de Graulhet qu'est le cuir. Pour parvenir à ce cuir, si noble, vous apprendrez les diverses manipulations, passant par la « Rivière », le « Galeta », la « Pigmentation »… La maison des métiers du cuir -33 rue Saint Jean à Graulhet..

Une ville riche de son passé

Graulhet conserve jalousement les vestiges de son riche passé, tel un livre d'histoire : Le Pont Vieux, édifié en 1244, classé Monument Historique. La rue Panessac, une pittoresque ruelle au cachet typiquement médiéval : étroite, bordée de bâtisses à pans de bois et encorbellements des XVIe et XVIIe siècles. Au cœur du quartier médiéval, l'Hostellerie du Lyon d'Or offre au visiteur près de mille ans d'histoire du savoir-faire architectural de notre région. Classée à l'inventaire des Monuments Historiques, c'est une des plus vieilles bâtisses à pans de bois de chêne du midi de la France. En cours de restauration, elle ouvre exceptionnellement ses portes à l'occasion des journées du Patrimoine. Mais Graulhet est aussi une ville à la campagne : entre douces collines et champs multicolores c'est le pays des pigeonniers de style, des chapelles romanes (N.D. des Vignes, N.D. de Besplaux, St Mémy, St Pierre de Rozède) et des maisons à colombages.

 

Publié le 17/06/2011 13:50 | LaDepeche.fr

Les arts de la rue investissent Graulhet

Les Arts de la Rue arrivent les 15 et 16 juillet à Graulhet. Sur les pas de Molière de passage jadis dans cette ville, et, dans la pure tradition de la Comedia dell'Arte et des comédiens de campagne, la 3e édition de Rues d'Etés vous emmènera dans un monde magique et surprenant pendant deux jours festifs et uniques. Familiale, populaire et conviviale, ce festival en plein air est un moment partagé et privilégié de convergence des pratiques artistiques et militantes du territoire.. Au cœur de la ville de Graulhet, les animations y seront gratuites : cirque, concerts, théâtre, jonglerie, acrobatie, arts plastiques, vidéo, marionnettes, fanfares, clowns, musiciens, chorales… Tous les spectacles vont embraser les places et les rues de la ville. En amont du festival du 12 au 14 juillet, trois stages de clown (enfants, adultes et professionnels) sont proposés qui permettront d'apprivoiser le clown qui dort en vous. Molière en rirait encore.

Ciné dans le pré

Le projet « ciné dans le pré », résulte de la volonté de 7 communes du Pays Vignoble Gaillacois, Bastides et Val Dadou de mettre en œuvre de façon collégiale un projet culturel fédérateur étendu au territoire du canton de Graulhet.

Ces communes sont : Briatexte, Busque, Graulhet, Missecle, Moulayres, Puybegon, Saint-Gauzens. Ce projet consiste à proposer aux vacanciers et aux habitants, une soirée de cinéma en plein-air dans chaque commune durant la période estivale, entre le début juillet et le début du mois d'août 2011.

Pour la troisième édition de ce projet, l'idée de travailler autour d'un thème commun a été une nouvelle fois retenue. Pour cette année, le thème sera : « enfance et le cinéma ».

Parmi les fils présentés cette année, de grands classiques comme « la Guerre des Boutons » d'Yves Robert, « Le Vieil homme et l'enfant » de Claude Berri, « Être et avoir » de Nicolas Philibert, mais aussi des films plus récents comme le « Robin des bois » de Ridley Scott.Les objectifs de ce projet sont, d'une part, de favoriser la proximité et les échanges entre les habitants du canton et les vacanciers, et d'autre part, de développer l'attraction touristique du territoire.

Les projections ont lieu en plein air à la tombée de la nuit, mais pour chaque site, le public sera accueilli à partir de 19h30.

Restauration sur place (sur certains sites) et « Table espagnole », apportez votre pique-nique à partager !

 

Publié le 17/06/2011 13:49 | LaDepeche.fr

La fête du lotus au jardin des martels de Giroussens

La fête du lotus au jardin des martels de Giroussens Le jardin des martels est un parc floral de 35000m2, situé à Giroussens, en bordure de l'Agout. Ce parc est classé parmi les plus beaux de France, on y trouve des jardins de tous types, une serre exotique et aquatique, un belvédère, une bananeraie, et une mini-ferme. Le tout abritant plus de 2500 variétés de plantes.

Même si tout le long de l'été, le jardin vit au rythme des floraisons de ses nombreuses espèces et essences, le clou de la saison estivale est sans aucun doute la fête du Lotus les 2 et 3 juillet. Ce festival accueille de nombreuses animations durant deux jours : conteurs, cuisine, rencontre avec un spécialiste de la culture du lotus, exposition de l'atelier Balinais « Syah Painting », atelier de fabrication de papier proposé par le « Moulin à papier » de Brousses. Un des temps fort sera la démonstration et cours d'ikebana.

L'ikebana est l'art de l'arrangement floral japonais. Influencée à l'origine par le Boudhisme, cette pratique a été ramenée de Chine comme de nombreux arts martiaux, puis s'est développée au Japon, au cours de siècles pour devenir un art spécifique et inhérent à la culture japonaise. Aujourd'hui, l'ikebana est une pratique d'agrément et de ressourcement, une discipline basée sur les philosophies orientales, la nature et son observation : beauté d'une fleur, courbure harmonieuse d'une branche…

Le Jardin des Martels est également le terminus du Chemin de Fer Touristique de Saint-Lieux-les-Lavaur. Un moyen idéal pour découvrir la campagne tarnaise dans un authentique train à vapeur du début du vingtième siècle. La fête du train a lieu le week-end du 15 août. Renseignements au 05 61 47 44 52 - www.cftt.org

Le Castela à Saint-Sulpice

Inscrit aux Monuments historiques, le Castela est aujourd'hui le plus ancien monument de Saint-Sulpice. Ce sont les ruines d'une chapelle qui se trouvait à l'intérieur du château fort construit par le seigneur de la Bastide Sicard d'Alaman vers 1240. L'année de sa mort en 1275, Sicard d'Alaman donna les deniers nécessaires à un chapelain afin d'ériger cette chapelle et ainsi faire bénéficier du culte les notables de la Ville, à l'intérieur du château. Suite à l'invasion protestante de 1562, le château fut brûlé et tomba en ruine. Depuis 1990, le site du Castela est un des endroits « vert » de la Ville où il fait bon flâner au calme…

Le souterrain du Castela fut creusé au milieu du moyen-âge, pour servir de refuge aux habitants du village. Plus tard au XIIIème siècle à la construction du château par Sicard d'Alaman et la création de la bastide, le souterrain deviendra un entrepôt pour les seigneurs qui se succéderont au château. Jeanne de Boulogne et d'Auvergne, réfugiée dans ce dernier vers 1418, fera parler d'elle et du souterrain en y fabriquant de la fausse monnaie. Elle sera surnommée « la faussaire de Saint-Sulpice ».

 

Publié le 17/06/2011 13:47 | LaDepeche.fr

Lavaur joue à fond la carte culture

Les jeudis au jardin

Déjà la septième édition de ce festival. On se presse pour partager des moments musicaux les jeudis soirs du mois de juillet dans les jardins de l'Eveché.

Jeudi 7 juillet : Gartloney Rats (Musique irlandaise). On vient écouter the gartloney rats comme on entre dans un pub irlandais : pour passer un bon moment de convivialité sur un air de musique traditionnelle ou au rythme d'une bonne vieille chanson des Pogues avec en prime les compositions du groupe ou leurs adaptations à la « sauce » irlandaise d'artistes tels que Jacques Brel, Noir Désir ou Bob Marley.

Jeudi 21 juillet : Awek (blues). Awek a participé à la plupart des grands festivals de Blues et de Jazz en France, en Europe mais aussi au Québec et aux USAen assurant la première partie d'artistes tel que BB King, The Blues Brothers, Sugar Ray Norcia, The Yardbirds, John Mayall et bien d'autres, ou encore en tête d'affiche.

Jeudi 28 juillet : Calle Reina (Salsa). Un concert de Calle Reina est une invitation à la danse qui fait vibrer les publics de tous horizons. Les explosions vocales et instrumentales, les tourbillons de rythmes déferlent pour créer la fête ! Leur souffle chaud et cuivré envahit l'air ambiant et grise les cœurs et les corps palpitants. Le déchaînement des sons et des sens mêlés vous réserve un voluptueux voyage, de purs éclats de joie et des rêves suaves.

Pastel en scène : les Estivales Pour satisfaire un public toujours plus nombreux et élargir l'offre de spectacles de qualité, les associations Pastel en scène et les Amis des Orgues élargissent leur programmation 2011, avec quinze spectacles répartis sur trois saisons : Primevères, Estivales, Automnales. De la cathédrale Saint-Alain à l'église Saint-François, de la place Saint-Alain à la cour de la Médiathèque, ces spectacles et concerts vont accueillir, comme chaque année à Lavaur un large public du Tarn, de Midi-Pyrénées et d'horizons plus lointains…

Du 17 juillet au 20 août - Le programme de la saison Estivale de Pastel en scène est disponible sur www.ville-lavaur..fr

Exposition L'épopée Cathare

l'épopée cathare bouleverse les croyances et bouscule les repaires d'un monde féodal finissant. Elle se clôt brutalement par le premier cas de croisade menée par la chrétienté sur le sol européen. Dans cette aventure inouïe, Lavaur, la bienveillante protectrice des bonshommes, sera la ville martyre du plus grand bûcher allumé par Simon de Montfort dans sa reconquête du comté de Toulouse. Passionné et féru de catharisme, Hervé Olivier nous livre ici le fruit de nombreuses années de travail. Les peintures sur toiles ou panneaux de cet artiste ruthénois, illustrent les principaux moments de la croisade, de l'assassinat de Pierre de Castelnau (1208) à la mort de Simon de Montfort (1222). Les textes de cette exposition sont signés Michel Roquebert, auteur de très nombreux ouvrages sur le catharisme (L'Epopée cathare, Les citadelles du vertige). Jusqu'au 31 août - Musée du Pays du Vaurais.

 

Publié le 17/06/2011 13:42 | LaDepeche.fr

Lautrec fête l'ail rose

La fête de l'ail rose de Lautrec se tient chaque année, le premier vendredi du mois d'août, (le 5 cette année) le vendredi étant traditionnellement le jour du marché à Lautrec.

À l'origine, la fête marquait le début de la période de commercialisation de l'Ail Rose qui, après quelques semaines dans les séchoirs traditionnels était prêt à être trié puis vendu.

Créée dans les années 70, la fête de l'Ail Rose de Lautrec avait alors pour principales attractions : L'élection de Miss Ail Rose de Lautrec, un concours de compositions artistiques (œuvres d'art réalisées à base d'Ail Rose de Lautrec : bulbes, grains, feuilles, peaux, racines,…), un concours de grappes (manouilles), réservé aux producteurs, la dégustation gratuite de la traditionnelle soupe à l'Ail Rose de Lautrec. la journée se terminait par une traditionnelle Fabounade (cassoulet géant) et un bal populaire.

Depuis cette époque, la fête de l'Ail Rose de Lautrec s'est développée et de nouvelles animations ont été mises en place comme le concours de la meilleure tarte à l'ail rose ou le record de la plus longue manouille.

La manouille record est une grappe d'Ail Rose de Lautrec réalisée en équipe par plusieurs producteurs d'Ail Rose de Lautrec qui se relaient régulièrement. L'équipe est composée de 7 à 8 personnes. Il s'agit de parvenir à la longueur la plus importante possible dans un délai de 3 heures. Le projet de réaliser une manouille record a été initié en 1998 par les jeunes agriculteurs du canton de Lautrec, le Syndicat de Défense du Label Ail Rose de Lautrec s'est associé au projet. Syndicat de Défense du Label Rouge et de l'I.G.P.

 

Publié le 17/06/2011 13:41 | LaDepeche.fr

A la découverte de Castres

Volontaire, authentique, active et fascinante, Castres possède de nombreux atouts pour qui prendra le temps de la découvrir. Elle est née au IXème siècle sur les bords de l'Agout et autour de l'Abbaye Saint-Benoît. Terre de rencontres et d'échanges, Castres est traversée par un des chemins de pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, la voie d'Arles.

Les maisons sur l'Agout, emblème de la ville, sont dès le moyen âge les demeures des tisserands, teinturiers et tanneurs qui travaillent la laine, le cuir et le papier. Leur construction permettait le trempage des peaux en sous-sol et leur séchage aux étages supérieurs. Elles ont longtemps fait la richesse de Castres et affirmé sa première vocation industrielle : le textile.

Au fil de ses rues, découvrez le Palais Episcopal pensé par Jules Hardouin-Mansart, premier architecte du roi Louis XIV. Il abrite aujourd'hui l'Hôtel-de-Ville et le Musée Goya, second musée d'art hispanique en France après le Louvre.

Ne manquez pas la fleur de lys du jardin de l'Evêché, véritable chef-d'œuvre dessiné par André Le Nôtre, le paysagiste de Versailles et classée « jardin remarquable » depuis 2004.

De style Art Nouveau, le théâtre municipal inauguré en 1904 offre un espace culturel privilégié à la ville. Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis

l'an 2000. Sa salle et son foyer sont classés grâce aux œuvres de Jean-Paul Laurens. Directeur des beaux-arts de Toulouse, il a réalisé la peinture de la coupole du théâtre et orné le foyer d'une autre œuvre glorifiant Beethoven.

Les deux musées incontournables

Second Musée d'art hispanique en France après le Louvre, le Musée Goya, Musée d'Art Hispanique présente un panorama unique en France composé de tableaux de grands maîtres espagnols du XIVème siècle à nos jours : Goya, Velazquez, Pacheco, Miró, Picasso… De Goya, le musée présente trois toiles majeures : l'Autoportrait aux lunettes, le Portrait de Francisco del Mazo et l'Assemblée des Philippines, un chef- d'œuvre incomparable. Expo du 24 juin au 23 octobre 2011 : Goya, Les désastres de la guerre.

Le Centre National et Musée Jean Jaurès présentent la vie et les engagements de ce grand tribun né à Castres en 1859. C'est un lieu touristique majeur de la ville de Castres. De nombreuses expositions temporaires sont organisées tout au long de l'année.

Le carillon de Notre-Dame de la Platé

À Castres, depuis 1847, une sonorité reconnaissable entre mille accompagne invariablement le quotidien à 11h45 : le carillon de Notre-Dame de la Platé fait retentir ses cloches. On en compte 33 aujourd'hui. Leur nombre n'a cessé de croître depuis 1976, date à laquelle, il a été décidé de refondre la plupart d'entre elles pour passer de 15 à 24. Ce qui n'a jamais empêché le carillon de chanter depuis 160 ans, fait unique dans l'histoire du Midi de la France. Et cela grâce à l'action des carillonneurs toujours fidèles au poste et au beffroi. En décembre, du 17 au 23, il faut suivre le Nadalet tous les soirs à 19h : la coutume des pays de Langue d'Oc veut que les cloches soient lancées à la volée pendant quinze minutes pour célébrer Noël.

 

Publié le 17/06/2011 13:39 | LaDepeche.fr

Au départ de Castres, prenez «le chemin des droits de l'homme»

44 km d'une ancienne voie ferrée reliant les villes d'Albi et Castres, sont aménagés en voie verte (piste sablée de 3m de large). C'est un chemin buissonnier qui serpente paisiblement au cœur de la campagne tarnaise. Les collines façonnées par la mosaïque des cultures, ponctuées de fermes et de pigeonniers s'y dévoilent régulièrement dans l'échancrure des haies vives.

Sur ce long ruban de sable bordé d'herbes folles, on croise toutes sortes de promeneurs, coureurs de fond, cyclistes ; le pas attardé des uns, la course effrénée des autres, citadins, villageois, passants occasionnels ou inconditionnels de la voie. La voie verte s'apparente à une « traverse paysagère » permettant la découverte des paysages ruraux des collines agro sylvestres du pays de Cocagne, entité paysagère caractéristique du Tarn.

Sur le chemin de Saint Jacques

Castres est un étape, sur la voie d'Arles, pour les pèlerins en route pour Saint Jacques de Compostelle, grâce aux reliques de Saint Vincent de Saragosse arrivées à Castres vers 864. Ce saint martyr fut victime des persécutions de Dioclésien (empereur romain (284-305) et mourut torturé à Valence en 304. Dans le temps, pour accéder à Castres, la route se divisait en deux : une route franchissait les hauteurs par Murat sur Vèbre et suivait les gorges de l'Agout et l'autre suivait la vallée du Thoré. De nos jours, on descend des Monts de Lacaune (Murat sur Vèbre, La Salvetat sur Agout, Anglès, Castres…) pour arriver dans la plaine en empruntant le GR 71 puis le GR 653. Au départ ces précieuses reliques et quelques pièces d'orfèvreries seront placées dans l'église de la mère de Dieu (Notre Dame de la Platé) car le monastère Saint Benoit ne pouvait accueillir les femmes pour qu'elles puissent y vénérer les reliques. Alors ils feront bâtir une basilique aux abords de l'actuelle place Jean Jaurès. Les reliques de Saint Vincent disparaîtront pendant les troubles religieux du XVIème siècle.

 

Publié le 17/06/2011 13:38 | LaDepeche.fr

Monts de Lacaune : une tradition familiale, le «Masel»

L'existence des bouchers charcutiers à Lacaune est attestée dès 1321 par une ordonnance du Livre Vert portant sur le règlement sanitaire et le commerce des viandes. Cette ordonnance a été en vigueur à Lacaune bien avant les premiers règlements sanitaires relatifs à l'inspection des viandes (datés de 1475 et 1710). À Lacaune, le « masel » constitue donc une tradition familiale ancienne, la viande de porc représentant dans les campagnes l'essentiel de l'alimentation carnée. Depuis le Moyen Âge, de nombreux arrêtés et ordonnances municipaux attestent aussi de l'importance de l'élevage familial du cochon dans la région autour de Lacaune. Le fait d'élever et d'engraisser un porc était devenu le lot de la plupart des familles, qui en faisait l'un des piliers de leur alimentation. On recherchait des porcs gras : l'alimentation dans une contrée au climat rigoureux comme Lacaune, devait être fortifiante et réparatrice ! Enfin, le sacrifice du cochon marquait l'entrée dans l'hiver. C'est un rituel qui obéit à des règles

précises et immuables et qui donne lieu à une grande fête, celle du « Sens Porc » (expression originale et particulière à la région qui illustre bien l'importance de cette fête traditionnelle dans la vie locale). Cette fête du cochon en inaugurant une grande période de fête hivernale, constituait une dimension essentielle de la vie communautaire… Famille, amis et voisins venant prêter main-forte à la préparation de savoureuses charcuteries.

Du 15 juin au 15 septembre, tous les jeudis et vendredis à 14h30 partez à la découverte de salaisons avec l'office de Tourisme de Lacaune-Les-Bains. Toutes les infos : www.lacaune.com

Le musée du vieux Lacaune

Entrons dans une vieille maison du XVIe siècle, face à la fontaine des Pisseurs, place du Griffoul et remontons le temps : Côte à côte des outils et des objets qui ont rythmé la vie quotidienne à la fin du siècle dernier, des coiffures et des vêtements qui habillaient et qui paraient nos aïeux. L'histoire de l'enfant sauvage, une salle de classe, les anciens thermes de Lacaune. Toutes ces merveilles surprendront les jeunes générations par leur diversité et rappelleront des souvenirs aux grands-parents et même aux arrières grands-parents !

 

Publié le 17/06/2011 13:37 | LaDepeche.fr

Dépaysement au lac du Laouzas

Seul plan d'eau situé dans les monts de Lacaune, le lac du Laouzas couvre 335 hectares avec une profondeur des eaux atteignant 40 mètres dans l'axe d'un barrage haut de 50 m. Parmi les lacs en montagne du Haut Languedoc, c'est un lac paisible, enchâssé dans la verdure ondulante de son écrin forestier et très ouvert sur le ciel, propice aux vacances familiales. Il est un lieu privilégié du tourisme vert entre Tarn et Hérault, recherché par les habitants du Tarn, de l'Hérault, d'Albi et de Castres. À 790 m d'altitude, il est dominé par les monts de Lacaune (le Montgrand règne sur le Sud du Massif Central, à 1267 m).

Tous les loisirs nautiques y sont pratiqués. Le motonautisme y est interdit. On y fait également de la rando (à pied ou a VTT), du cheval, du tennis… ensuite, on se doit de finir par la Ferme de Payrac, à quelques kilomètres de là où une vieille ferme du 19ème siècle sans électricité nous attend pour nous faire découvrir les produits du terroir pour un pique-nique fabuleux au bord de la forêt !

 

Publié le 17/06/2011 13:36 | LaDepeche.fr

Le sentier de l'enfant sauvage

Au-dessus des Monts de Lacaune, il n'y a que le ciel : à 1200 m, l'hiver joue les Hauts de Hurlevent, mais le printemps sème des jonquilles et l'été est lumineux dans ses différents tons de verts. C'est dans ce cadre de verdure que « l'Enfant Sauvage », a été trouvé en 1798 par un groupe de paysans dans les bois de la Bassine, près de Lacaune. Appelé Joseph, l'enfant de Lacaune semble avoir onze ou douze ans. Il est maigre mais vigoureux, a « la peau fine griffée de cicatrices, des yeux noirs et enfoncés ». Il mesure 1 m 35.

Le sentier : Après être passé à l'Office de Tourisme pour se munir des « valisettes » et les brochures spéciales faites, une pour les adultes et une pour les enfants. Après s'être assuré d'avoir de bonnes chaussures, de l'eau et un goûter, toute la famille est maintenant prête à se plonger dans le monde sauvage à la fois attrayant et mystérieux de l'enfant sauvage. Ludiques et pédagogiques les livrets sont réellement indispensables pour profiter au maximum du sentier balisé. Ce sentier de découverte, sur le thème de l'Enfant Sauvage, sensibilise un large public et suscite l'intérêt, la réflexion sur la survie et le développement de l'homme isolé de toute relation humaine et dépendant de la nature.

 

Publié le 17/06/2011 13:35 | LaDepeche.fr

Mazamet : musée du catharisme et maison du jouet

Le catharisme, religion dissidente s'inscrivant dans la foi chrétienne, est apparu entre le 11e et le 14e siècle. Considérée comme une hérésie compromettant la toute puissance de l'église catholique, cette croyance fut condamnée et ses pratiquants pourchassés. Ainsi, les Cathares, obligés de fuir dans des lieux reculés, trouvèrent refuge dans la Montagne Noire.

Hautpoul, berceau historique de Mazamet, ancien castrum perché sur son éperon rocheux, joua pleinement ce rôle de retraite durant la période de l'Inquisition. Connu également comme un des lieux de résidence de l'évêque cathare d'Albigeois au XIIIe siècle, ce village médiéval représente un des rares vestiges de l'épopée cathare sur le versant tarnais de la Montagne Noire. Anne Brenon, spécialiste reconnue du catharisme occitan et commissaire de l'exposition, le qualifie d'ailleurs de « Montségur de la Montagne Noire »… Le Musée du catharisme positionne donc la commune de Mazamet comme pôle de découverte de l'histoire cathare dans le Tarn. Il n'a pas d'équivalent en France et en Languedoc, région où le catharisme fit souche grâce à un contexte géopolitique favorable et à une société occitane beaucoup plus libérale et ouverte que le reste de la France…

Maison du Bois et du Jouet

Au pied du site médiéval d'Hautpoul, la Maison du Bois et du Jouet vous invite à découvrir de manière ludique et interactive la Montagne Noire, la forêt, son histoire et ses légendes, les hommes et leurs métiers, plus de 1200 jeux et jouets en bois de France et du monde, pour terminer dans une salle de jeux traditionnels. Organisation de stages adultes et enfants sur réservation.

La Moutonnerie

La Moutonnerie retrace l'épopée de l'industrie lainière mazamétaine du XIXe siècle à nos jours, il explore aussi les facettes du patrimoine local, la faune, la flore ou les minéraux. Déjà doté d'un espace détente très apprécié des visiteurs, d'un nouveau bâtiment en extension à droite utilisé pour l'instant au stockage des collections, l'endroit a fait peau neuve depuis le début de 2011. La salle d'accueil a été rénovée du sol au plafond, des espaces récupérés, le mobilier changé, les peintures refaites et les collections redistribuées.

Tout est fait pour charmer le visiteur. Une thématique claire est mise en avant par zones. Un coin nature avec des minéraux comme l'agate du Tarn, la roche de Salsigne etc. La faune avec, entre autre une collection de papillons, comme la flore sont également présentés.

 

Publié le 17/06/2011 13:34 | LaDepeche.fr

La vallée du Thoré n'oublie pas les temps bénis du textile

Situé aux confins du Tarn et de l'Hérault, dans le Parc Naturel Régional du Haut-Languedoc, le musée départemental du Textile ouvre ses portes en 1993. Installé dans une ancienne manufacture du XIXe siècle, il témoigne de la richesse d'un savoir-faire et d'un patrimoine industriel du département du Tarn. Aujourd'hui plus de la moitié des entreprises régionales du textile est installée dans le Tarn. L'activité économique de Labastide Rouairoux résulte d'un long savoir-faire dans le tissage d'étoffes de laine qui s'est développé depuis le XVIe siècle, le long de la vallée du Thoré.

La révolution industrielle au début du XIXe siècle dynamise la production textile. L'essor de Mazamet comme pôle de délainage au XIXe siècle favorise l'arrivée de matières premières textiles du monde entier. L'industrie tarnaise s'est illustrée depuis le XIXe siècle par sa créativité dans le prêt-à-porter et la haute couture (Chanel, C. Lacroix, Dior, Agnès B…) ainsi que dans l'habillement des grandes administrations. Les collections d'archives textiles présentent plus de 600 albums d'échantillons datant de 1880 à 1980, véritables sources d'inspiration pour les stylistes. La visite est aussi un moment d'immersion dans la haute couture grâce aux étoffes, fils et coloris présentés.

L'habit de lumière (ou traje de luces) est le costume des toreros. C'est un vêtement savamment travaillé, éclatant de couleur, richement brodé de paillettes, d'or ou d'argent et de pierreries… Cette exposition retrace, à travers des vêtements, des tableaux, des dessins de Goya, des sculptures, des écrits, des films, l'histoire de l'habit de lumière, du XIXe siècle à nos jours.

Les fours de Saint-Amans-Soult

Les fours verriers à Saint-Amans- Soult, un témoignage archéologique rare

Trois sites archéologiques sont actuellement recensés sur la commune. Ce sont d'anciens fours à verre situés en forêt domaniale de Nore, qui semble remonter au moins au 17e siècle. Deux d'entre eux se situent à 200 mètres l'un de l'autre, au lieu-dit « Peyremoutou » et sont en bon état. La matière première ne manquait donc pas dans ces forêts de la Montagne Noire au sol siliceux. Les exploitants de ces fours, appelés les gentilshommes verriers, étaient reconnus nobles et protégés par le roi, en raison de la science que nécessitait l'exercice de cet art. Pour se rendre aux fours verriers : de Saint Amans prendre direction Mazamet puis un peu après la sortie du village quitter la RN112 pour vous engager sur la gauche sur la D53 en direction des Raynauds. Après le village, bifurquer à gauche (les fours sont indiqués) puis suivre la piste forestière dite « des chômeurs ». Ne pas quitter la piste avant un carrefour ou les fours sont indiqués à gauche. Poursuivre alors toujours par une piste jusqu'au site des fours à verre.

 

Publié le 17/06/2011 13:33 | LaDepeche.fr

Sorèze, joyau de la Montagne Noire

Sorèze doit son origine et son développement à l'abbaye bénédictine Notre Dame de la Sagne fondée au VIIIe siècle, puis à la création de l'Ecole royale militaire en 1176 par le roi Louis XVI (douze écoles du même type voient le jour en province). Les Dominicains y dispensent au XIXe siècle leur enseignement. Dans ce foyer de culture, les courants de pensée rayonnent à l'extérieur et dans les cercles intellectuels comme les Saint-Simoniens, qui critiquent la propriété privée et préconisent une forme de collectivisme. L'école ferme ses portes en 1991. Classés Monuments historiques, l'abbaye-école et son prestigieux patrimoine sont préservés et restaurés par le biais d'un syndicat mixte où siègent département, région, et commune. Un parcours muséographique ainsi qu'un complexe hôtelier de soixante-dix chambres réparties en deux établissements. De plus, Sorèze se love sur les contreforts de la Montagne noire, à proximité du lac de Saint-Ferréol, réservoir du canal du Midi, ainsi que d'autres retenues d'eau tels les Cammazes et le Lampy, liés à l'alimentation du célèbre ouvrage imaginé par Pierre-Paul Riquet.

Le parcours muséographique de l'abbaye école de Sorèze propose la découverte de l'abbaye et du monument, de l'histoire de l'enseignement depuis la fin du XVIIe siècle jusqu'au milieu du XXe siècle.

En complément du circuit de visite en 27 panneaux pour découvrir la cité en famille, l'Office de Tourisme propose pour les enfants, de 7 à 14 ans de découvrir Sorèze grâce à deux jeux de piste avec à la clef, une surprise !

Musiques des lumières

En Juillet - Août : S'il y a un festival à ne pas manquer pour un amoureux de la Grande Musique Baroque, c'est celui de l'Abbaye-Ecole de Sorèze, le Festival des Lumières. Dirigé par Joël Suhubiette de l'Orchestre National du Capitole de Toulouse ; ce festival qui évolue dans le cadre grandiose de l'ancienne abbaye-école et de sa majestueuse Cours des Rouges, dans la salle des Illustres, dans l'ancien réfectoire des Rouges, dans l'ancienne chapelle ou dans l'église paroissiale, propose chaque année des très grands moments d'émotions et de plaisir. La programmation du festival est agrémentée de deux dispositifs sonores par le collectif Eole:

- Une déambulation sonore installée dans le parc (système de diffusion par casque audio .Les visiteurs coiffés d'un casque déambulent dans le parc).

- Un Passage, couloir sonore dynamique, installé dans la Salle des Gardes. Dispositif sonore de déviation perceptive.

 

Publié le 17/06/2011 12:33 | LaDepeche.fr

La fête des vins de Gaillac : le rendez-vous des épicuriens

La fête des vins de Gaillac : le rendez-vous des épicuriens La trente-deuxième édition de la Fête des Vins de Gaillac se déroulera les 6 et 7 août. Vignerons, producteurs et amateurs de vin de Gaillac se retrouvent dans le Parc Foucaud, endroit idéal pour accueillir tout ce petit monde.

Comme chaque année, une soixantaine de vignerons dévoileront leurs secrets aux curieux dans leur beau chalet en bois.

Une dizaine de producteurs fermiers feront également partager leur passion et leur savoir-faire. Des séances d'initiation et de nombreuses dégustations permettront aux amateurs et aux chevronnés d'apprécier des millésimes d'exception. En robe blanche, rouge et rosée, aux accords doux, sec, perlé et effervescent, les 500 cuvées du vignoble gaillacois séduiront les yeux, les nez, les palais et les cœurs.

La Fête des Vins de Gaillac invite petits et grands à partager de nombreux moments de liesse et de festivités avec de nombreuses animations, jeux, concerts et bandas….

Dès 10 heures et jusqu'à deux heures du matin, tout est mis en œuvre pour accueillir les épicuriens et éveiller tous leurs sens.

Les épicuriens et les curieux vont se régaler . Tout est fait pour que les visiteurs découvrent, savourent ...

 

Publié le 17/06/2011 12:30 | LaDepeche.fr

Les étoilés du guide Michelin

Cahuzac-sur-Vère est devenu un endroit connu de tous les gourmets de la région. Un gros village d'un millier d'habitants, entre Gaillac et Cordes-sur-Ciel, qui accueille en son sein deux restaurants étoilés au Guide Michelin.

Deux étoiles à Cahuzac-sur-Vère (La Falaise chez Guillaume Salvan, le Château de Salettes avec Pascal Augé), une à Albi (l'Esprit du Vin cher à David Enjalran), une à Castres (Le Bistrot des Saveurs du britannique Simon Scott). Avec quatre restaurants étoilés, quatre restaurateurs à l'approche et à la sensibilité différente, le Tarn est enfin devenu une destination à connotation gastronomique.

La Falaise - Route de Cordes, 81140 Cahuzac-sur-Vere -05 63 33 96 31 www.lafalaiserestaurant.com

L'Esprit du vin - 11, quai Choiseul, 81000 Albi , 05 63 54 60 44

Le Château de Salettes Lieu - dit Salettes, 81140 Cahuzac sur Vère - 05 63 33 60 60. www.chateaudesalettes.com

Le Bistrot des Saveurs- Rue Sainte Foy, 81100 Castres- 05 63 50 11 45.

Les Bib Gourmands

La petite tête de Bibendum qui se lèche les babines est devenue un repère pour les clients en quête d'adresses de qualité à l'addition raisonnable.

Quatre restaurants tarnais bénéficient de cette « distinction » en 2011.

La Table du Sommelier à Albi - 20, rue Porta -05 63 35 78 42

Les Mets d'Adelaide à Burlats - Place du 8 mai 1945 - 05 63 35 78 42

L'Hostellerie d'Oc à Noailhac - Avenue Charles Tailhades -05 63 50 50 37

Secrets Gourmands à Réalmont - 72 av Gén De Gaulle -05 63 79 07 67.

 

Publié le 17/06/2011 12:29 | LaDepeche.fr

Les cuisineries et les foires gourmandes

Les Cuisineries Gourmandes s'engagent sur la qualification professionnelle du restaurateur et de son personnel, la fabrication totale des plats dans l'établissement, la valorisation de la cuisine régionale à partir de produits frais, la présentation quotidienne d'un Menu Saveurs Régionales, la réalisation d'un Menu Enfant Découverte Gustative, la confiance par le Menu Carte Blanche au Chef, l'information pour les clients de la provenance des produits régionaux, un accueil et un service de qualité. La cuisine tarnaise est généreuse. Elle sait ce que préserver veut dire. Le poulet de ferme, le canard de basse-cour, le veau ou l'agneau sous la mère, le broutard à chair rosée : la viande est saine comme peuvent l'être de vraies bêtes de près. Retrouvez la liste de restaurateurs tarnais des Cuisineries Gourmandes sur le site : www.cuisinerie-gourmande.com

Les foires gourmandes

Trois à ne pas manquer, pour découvrir ou redécouvrir les saveurs et les senteurs du pays Tarnais

À Alban, chaque année le dernier dimanche de juillet, plus de 80 exposants au village gourmand et le traditionnel et très célèbre bœuf à la broche (renseignements au 05 63 55 81 79).

À Lautrec, le premier vendredi d'août est consacré à la fête de l'Ail Rose. Près de 10 000 personnes s'y pressent chaque année pour goûter la célèbre Soupe à l'Ail Rose de Lautrec (renseignements au 05 63 75 90 31).

À Tanus, foin d'ail ou de bœuf, mais c'est le veau de l'Aveyron et du Ségala Label Rouge qui est dégusté par les visiteurs de la foire agricole de Tanus, le premier dimanche du mois de septembre (renseignements au 05 63 76 30 48).

 

Publié le 17/06/2011 12:28 | LaDepeche.fr

Les marchés des producteurs de pays

Les marchés des producteurs de pays s'appuient sur un contact direct entre le producteur et le consommateur et sur la vente de produits en provenance de la ferme ou de l'atelier artisanal. Les producteurs s'engagent à ne vendre que leur production et donc à ne pas pratiquer d'achat revente. Symbole des marchés des producteurs de pays et de leur éthique, le logo de la marque est porté haut par ses adhérents qui se regroupent sous les mêmes valeurs. La dimension nationale permet une réelle visibilité pour le consommateur.

Les lieux de marchés du Tarn

Lo Caminaïre : Vielmur -sur- Agout, Guitalens, Lalbarède, Cuq les Vielmur et Fréjeville s'associent pour proposer le marché tournant « Lo Caminaïre ». De juin à septembre, un marché traditionnel et typique se tiendra le dimanche matin de 8h à 13h. Moment privilégié pour toucher une clientèle locale de proximité et une clientèle touristique de passage sur l'axe Toulouse -Castres. L'Assocation de Développement du Pays de Cocagne soutient activement la mise en place de ce marché.

Mazamet

L'office de tourisme de Mazamet, associé à la mairie, met en place un marché festif du soir les lundis de 17h à 22h du 13 juillet au 24 août. Situé au cœur de la ville, face à l'Office de Tourisme, ce marché touchera tout le bassin Mazamétain. Les animations proposées sont nombreuses et variées : visites guidées de la ville offertes, invités d'honneur chaque semaine (avec activités), maison du bois, ambiance musicale, préparation d'assiettes fermières à consommer sur place.

 

Publié le 17/06/2011 12:27 | LaDepeche.fr

Cherchez la fraîcheur de l'eau

Les piscines

Pas d'inquiétude S'il n'y a pas la mer, le Tarn regorge de plans d'eau. De l'Espace Atlantis à Albi (05 63 48 05 63 - www.grand-albigeois.fr) à l'Archipel à Castres (05 63 62 54 00 - www.larchipel.fr) en passant par la base de loisirs nautiques Aquaval à Lautrec (05 63 70 51 74) ou, plus original par l'espace des Sources Chaudes à Lacaune avec un bassin intérieur doté d'un espace balnéo avec sauna, hammam et bains bouillonnants (05 63 37 69 90 - www.lacaune.com). Tout près de là, le Parc Aquatique Aqua-Monts à Saint Pierre de Trivisy, avec ses 4 pistes de pentagliss et ses toboggans à virages (05 63 50 48 69 - www.saint-pierre-de-trivisy.net)

Rivière - Détente sportive le long des rivières du Département. Agout au sud, rivière Tarn au Nord, rivière Aveyron au Nord Ouest. Sur le Tarn, au départ de Trébas (www.cdck81.org), la rivière déroule tranquillement jusqu'au méandre d'Ambialet, voire jusqu'aux Avalats (www.locapial.org). Découvrez sur la rivière Aveyron le rocher de Penne vu d'en bas (ot.paysdevaour@vaour.net -05 63 56 36 68). Sur l'Agout, même si les eaux sont un peu plus tumultueuses, Burlats vaut évidemment le déplacement (www.cdck81.org).

Il y a évidemment un peu plus de tranquillité avec les promenades en gabarre. La gabarre ce bateau à fond plat qui permet de descendre tout doucement le Tarn depuis Albi jusqu'à Aiguelèze. Renseignements sur www.albi-croisières.com ou au 05 63 43 59 63. À Castres, embarquez sur le Coche d'Eau et remontez l'Agout jusqu'au Parc de Gourjade. Renseignements au 05 63 62 41 76 ou www.ville-castres.fr.

Sinon, encore plus au calme, à regarder passer les bateaux, profitez de la fraîcheur de la base de loisirs de Trébas-les-bains, sur le Tarn (05 63 55 88 92 - www.trebaslesbains.com)

Les lacs

La base de Rieumontagne à Nages (05 63 37 12 29 - www.laouzas.com), avec même un centre de détente avec SPA et sauna. Pour les plus sportifs, accro-bungy, tir à l'arc ou circuit VTT.

Au cœur de la Montagne Noire, le lac des Montagnes (05 63 61 27 07 - www.tourisme-mazamet.com) propose un espace baignade surveillé en juillet et août, le GR7 tout proche, et des circuits balisés pour les amateurs de VTT. Dans le Ségala Carmausin, profitez du lac de la Roucarié (05 63 36 14 03 - www.cc-segalacarmausin.fr) et de ses deux bases nautiques où il vous sera possible de pratiquer l'aviron, le canotage, le canoë, le pédalo ou encore la planche à voile.

À Castelnau de Montmiral, la base de loisirs de Vère Grésigne (05 63 33 16 00).

 

Publié le 17/06/2011 12:23 | LaDepeche.fr

La randonnée et ses sentiers

En randonnée comme dans tous les sports il y a des chemins faciles et d'autres qui le sont mois. Dans le département du Tarn, ce ne sont pas les sentiers de randonnées qui manquent

Pour ceux qui préfèrent les promenades faciles et rapides rendez-vous aux Rocs de Crémaussel au Sidobre pour 8,5 km de marche estimée à 2 h 50. Le sentier des clochers des Bastides et Val Dadou est un peu plus long avec 10,5 km. Le sentier des Infournats dans le Ségala et la Vallée du Viaur est de 7,4 km, à peu près équivalent aux 7 km du sentier d'Amédée le vigneron au cœur des vignobles. Autre sentier recensé « facile » : la maison de Payrac au cœur des Monts de Lacaune avec 12 km de randonnée en 3 h 30.

Pour ceux qui ont les mollets entraînés et à qui les kilomètres ne font pas peur, bienvenue dans les sentiers « difficiles » tarnais. Dans la Montagne Noire, celui des Gentilshommes Verriers de 18 km prévoit 270 m/911 m de dénivelé pour environ 5 h 30 de marche. Dans le pays de Cocagne il y a la Voie romaine et ses 28 km à parcourir en 7 heures avec ses 142 m/341 m de dénivelé. Il est conseillé de prévoir un véhicule à l'arrivée de ce sentier situé entre Puylaurens et Lavaur en terre du Pastel.

Du nord au sud et d'est en ouest, le département du Tarn recense bon nombre de sentiers où il n'y a qu'à chausser ses baskets pour pouvoir en profiter.

 

Publié le 17/06/2011 12:20 | LaDepeche.fr

En selle pour une promenade 100 % Tarnaise

Disséminés aux quatre coins du Tarn, les centres équestres proposent aux touristes et aux Tarnais de se mettre en selle et de partir en promenade. Les fermes et les centres équestres proposent différents forfaits et différents types de balades en fonction du niveau et de l'envie de chacun. Que ce soit pour une heure ou plusieurs après-midi, des professionnels sont là pour encadrer les familles et les groupes et faire découvrir les environs de façon conviviale.

Dans le sud du Tarn, on peut faire des promenades à l'heure ou à l'après-midi à Rouairoux avec Les chevaux du Soleil, à Montredon-Labessonié avec Joss et Léna, ou encore à Damiatte avec Voyage à cheval. Pour la partie nord du département on retrouve la ferme équestre de la Grésigne à Saint-Beauzile, celle du Puget à Curvalle et même à la ferme du Lac de Mont Roc.

Pour ces visites-randonnées, des circuits différents seront empruntés en fonction du niveau de chaque cavalier. À Brassac Magali Chambaud propose dans ces Écuries de la Sabatarié des stages et séjours pour les enfants à partir de 9 ans. Les petits pourront s'initier au bivouac sur le Sidobre dans ce centre de vacances.

À dos d'âne ou en roulotte à Dourgne

Florence et Jean-Luc Hervé proposent à Dourgne une aventure hors du temps et plus qu'originale. Une semaine dans une roulotte en bois emménagée comme un camping-car, et un cheval de trait comme moyen de locomotion et compagnon de route. Ils ont élaboré minutieusement leurs circuits hors des sentiers battus. Pendant l'initiation un professionnel ne s'occupera que de vous et de votre famille, avant de partir seul sur les routes de campagne tarnaise.

Pour ceux qui préféreraient le format à la journée, il y a possibilité de choisir une promenade à dos-d'âne soit sur le circuit des pigeonniers, soit sur les pas des amoureux du temps jadis, ou encore à la rencontre des moines et templiers en Montagne Noire.

 

Publié le 17/06/2011 12:15 | LaDepeche.fr

A la découverte du golf

Avec l'été c'est le moment de s'essayer à des activités plus ou moins nouvelles. Habituellement connu pour être réservé à une élite, le golf peut aussi se transformer en activité familiale ludique s'il est pratiqué avec réflexion et amusement.

Pour les débutants, on trouve le centre d'entraînement d'Aiguelèze avec 13 greens, un parcours traditionnel et un compact, et un practice avec des ateliers techniques.

Dans le même secteur géographique, il y a au lieu-dit « Le Bosc » le Florentin Hills Golf qui réserve à ses joueurs un cadre privilégié entre un aller vallonné et un retour plus facile à travers vignes et vergers. Dans le secteur Castrais, bienvenue au golf de Castres-Gourjade et au golf de Mazamet-La Barouge au Pont de l'Arn. Direction Toulouse maintenant et on fait une halte au golf des Étangs du village de Fiac qui accueille tous les joueurs de n'importe quel niveau. Sur Albi, il y a le golf du château de Lasbordes où « tout est pensé pour votre bien être ».

Que ce soit dans le nord, le sud, l'est ou l'ouest du département, il n'y a pas de secret : pour avoir le swing de Tiger Woods, golfez maintenant !

 

Publié le 17/06/2011 12:13 | LaDepeche.fr

Saint-Pierre-de-Trivisy vous fait vivre une vraie aventure

Depuis son ouverture en 1995 le parc d'attraction de St Pierre de Trivisy n'a cessé de faire le plein d'idées et compte aujourd'hui 120 jeux et 11 parcours surveillés par une équipe de professionnels. Parmi les nouveautés de l'année il y a le paint-ball sur deux hectares, le rail suspendu sur 9 m de long qui permet de pédaler dans les arbres sur un vélo et le parcours de 8 tyroliennes dont une de 200 m qui passe à 25 m de hauteur au-dessus d'un ruisseau.

Le « Sensations », unique en Midi-Pyrénées permet de défier l'équilibre sur un parcours aérien protégé par une immense nappe de filets. Si l'idée de vous retrouver la tête en bas ne vous impressionne pas alors à vous le saut à l'élastique. Les plus jeunes ne sont pas laissés en reste puisque le mini-parc Léo et son aire de jeux pour les 3 à 8 ans leur permettent pour 6 € de profiter des toboggans, balançoires à bascule, jeux à ressort et des structures gonflables sans limite de temps.

Plusieurs formules sont proposées en fonction des envies et des peurs de chacun ce qui permet d'adapter sa journée pour s'amuser un maximum.

Entre les nouveautés et les activités qui ont fait leurs preuves, les amateurs d'adrénaline et de fous rires ne vont pas s'ennuyer.

 

Publié le 17/06/2011 12:10 | LaDepeche.fr

Evadez-vous sur les 650 ha de nature de Cap'Découverte

L'an dernier, ce sont près de 90 000 visiteurs qui se sont laissés tenter par l'aventure Cap'Découverte. Entre nature et activités, l'ancien site industriel du carmausin s'est reconverti en véritable pôle multiloisirs.

Pour cette saison 2011, les enfants ne seront pas en reste puisqu'Aventure Kid est le nouvel espace ludique et acrobatique crée spécialement pour les moins d'1m35. Les amateurs de sensations fortes apprécieront la tyrolienne géante qui les enverra directement au-dessus du lac. La luge sur rail séduira les passionnés de vitesse autant que le paint-ball et le ski plaisent à ceux qui ont des fourmis dans les jambes. Plusieurs nocturnes auront lieu dans l'été, dont la première est prévue pour fin juin. Entre musique et lumière, sensations différentes assurées. Outre le parc de loisirs, des activités gratuites peuvent se faire comme les promenades en pleine nature sur le site, ou le passage dans le parc des Titans où sont exposées de gigantesques machines avec lesquelles travaillaient les mineurs. La nouvelle nouveauté de l'année est pour ceux qui choisiraient de passer 2 jours en yourte ou à l'auberge. Grâce à un partenariat avec des acteurs locaux, une entrée au musée de la Mine est offerte.

 

Publié le 15/06/2011 16:02 | LaDepeche.fr

L'été de Vaour

L'été de Vaour, du 9 au 14 août

Petite fête entre amis devenu événement majeur de l'été dans le Tarn, L'été de Vaour privilégie le rire. De nouveaux lieux à découvrir cette année et une trentaine de spectacles.

Mardi 9 août, «Les Pieds Nickelés en Vadrouille»; Les Yeux d'la tête (musique); découvertes des arts de la piste, le Pardi (Plan d'accompagnement à la reconversion des danseurs et des interprètes); compagnie Les Mains Sales; Gadjo. Exposition «L'arbre généalogique de la Biscotte».

Mercredi 10, «Le Miroir aux Fourmis», Gadjo, découvertes, le Pardi, MP1.2 (musique)

Jeudi 11, les Oreilles Rouges (rock); Cie Sivouplait (Japon); Yaya Dembélé; Cie des Femmes à Barbe; Kassla Datcha.

Vendredi 12, Les Oreilles Rouges; «Emma» de Dominique Bréda; découvertes; Concert de Bartàs; Cie des Femmes à Barbe; Charlie Allstar and The Flabab Summit Twingo Band.

Samedi 13, «Emma»; «Les Z'Amours Z'Agricoles», Cie Fabulax; découvertes; Salsa Ilegal; Les Metal Gnou .

Page réalisée à partir du site ladepeche.fr



Le viaduc du Viaur à Tanus - A Cordes, marché à ciel ouvert

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