Pâques 2011 : de l'orage sur les tisons...

26/4/2011
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Publié le 26/04/2011 07:40 | Silvana Grasso et Frédéric Abéla

Orage de grêle au centre de Toulouse

L'orage a été aussi bref que violent au centre-ville de Toulouse après 18 heures./Photo DDM, Xavier de Fenoyl

Un orage soudain, aussi bref que violent, a éclaté hier soir à 18h30 sur le centre-ville de Toulouse. Il est tombé 16 mm d'eau en moins de 25 minutes. Aucun dégât n'a été recensé.

Rien ne laissait présager en ce lundi de Pâques que la journée allait se terminer en ciel d'apocalypse, une pluie de grêlons s'abattant sur Toulouse. Vers 18 h 30, alors que le soleil déclinait, le ciel commença à virer au gris et une tempête balaya la ville : « C'est incroyable, dit un commerçant, aux prises avec chaises et tables. Tout était calme et d'un coup, tout a été trempé. La violence a été si soudaine ».

Dans certaines rues du centre ville, les égouts saturent sous les trombes d'eau et les trottoirs sont inondés. La place du Capitole s'est vidée en quelques secondes : « Les clients étaient bien tranquilles à consommer en terrasse et puis tous se sont rabattus vers l'intérieur. Ce fut vraiment la panique ». Quelques rues plus loin, c'est un store qui est emporté par le vent, tandis que des tables s'écrasent les unes sur les autres. Un passant philosophe, à l'abri dans un café, s'étonne de cet affolement général : « La météo l'avait prévu. Tempête de grêles en fin de journée. On ne peut pas être plus clair ». Les fortes pluies qui se sont abattues sur Toulouse et son agglomération hier en fin d'après-midi n'ont pas provoqué de dégâts matériels importants.

Vers 20h30, les pompiers de la Haute-Garonne n'avaient pas été sollicités pour intervenir durant cet épisode orageux, parfois accompagné de grêle.

16 mm de pluie en 25 minutes

Hier à 19 h 30 Météo France avait enregistré une activité orageuse «d'une bonne intensité» sur Toulouse avec 16 mm d'eau tombés en 25 minutes. «C'est suffisament important pour que nous le signalions, d'autant qu'il y a eu de la grêle. Nous devrions atteindre les 20 litres d'eau au mètres carré dans le courant de la soirée» notait hier soir un prévisionniste. Après l'ambiance lourde de la fin de journée, l'activité orageuse s'est dissipée dans la nuit. Le ciel redevient serein aujourd'hui et les éclaircies seront belles cet après-midi.

 

Publié le 25/04/2011 07:45 | Gladys Kichkoff

Aude : Intempéries, des trombes d'eau et des trains arrêtés

Les habitants du quartier du lycée Jean-Durand ont été évacués dans la nuit./Photo DDM, Didier Donnat

L'heure était au bilan, hier, après les violentes pluies qui se sont abattues sur les communes de Villeneuve-la-Comptal, Mas-Saintes-Puelles, Labastide-d'Anjou et ont inondé, aussi, un quartier de Castelnaudary.

Hier matin, le Lauragais pansait ses plaies après les trombes d'eau qui se sont abattues sur l'ouest audois, samedi soir. Il a plu fort et longtemps, de cinq à six heures durant, ce samedi dans le secteur du Mas-Saintes-Puelles, Labastide-d'Anjou, Villeneuve-la-Comptal. De l'eau en abondance comme habituellement dans ces épisodes pluvieux méditerranéens tant redoutés. Ils ont occasionné d'importants dégâts, sans faire fort heureusement de victime. Hier, sapeurs-pompiers, services techniques, direction des routes du conseil général et même police nationale étaient sur le pont. Patrick Maugard, conseiller général de Castelnaudary-sud a fait le tour des communes sinistrées de son canton.

Près du lycée Jean-Durand, les pelleteuses de la mairie colmatent les brèches dans les jardins occasionnées par les flots du Treboul en furie. C'est bien en amont de la cité du cassoulet que le petit ruisseau a débordé. Ici, le quartier est en général épargné quand habituellement, celui de la Poterie a les pieds dans l'eau. En fin de matinée, la rue Brotier et celles voisines retrouvent le courant après l'intervention d'un agent d'ERDF. Villeneuve, tout est rentré dans l'ordre. Il ne reste toutefois plus rien des abords de la maison David Lebreton, porteur de notre titre dont la voiture a été emportée sur plusieurs mètres sous la force de l'eau. Clôture arrachée, portail électrique plié… Il venait juste de terminer les travaux.

Les départementales 33 et 218 ne sont que boue. Les talus ont glissé, la chaussée est encombrée. Par chance, l'axe Mas-Saintes-Puelles-Castelnaudary, fermé pour cause de travaux est peu emprunté. Au Mas, c'est un spectacle de désolation. On nettoie, on lave, on pompe. Les caves du village sont noyées. Dans l'une, on a relevé jusqu'à 2 mètres d'eau. Dans les maisons, de 5 à 10 cm. En ce dimanche matin, il ne restait plus que le limon et de nombreux dégâts. Quant aux infrastructures routières, elles sont en bien piteux état. Les élus de la commune, excédés, rapportaient la réponse des services de l'État. « Débrouillez-vous », résume, avec un sourire, Pierre Monod. Se débrouiller, l'ouest audois l'a donc fait avec les sapeurs pompiers qui, à Castelnaudary ont travaillé de façon parfaitement coordonnée avec les services techniques, et la direction des routes. « Un travail admirable », saluait Patrick Maugard, sur place dès la nuit, avec ses chefs de services.

 

Publié le 23/04/2011 08:28 | Gérald Camier

Il souffle un vent d'autan à décorner les bœufs

Rafale violente place Wilson à Toulouse./ Photo DDM Michel Viala

Depuis une semaine, il balaie tout sur son passage. Le vent d'autan souffle sur le Midi Toulousain autant qu'il échauffe les esprits et rend fou les migraineux. ça devrait se calmer ce week-end

Malgré le soleil tenace cette semaine, peu de monde s'est risqué à déjeuner en terrasse. Hier au centre ville de Toulouse, les clients étaient à l'intérieur des restaurants. Pour cause, le vent d'autan qui s'est installé depuis lundi dernier chamboule les habitudes. Ce vent de sud-est turbulent touche essentiellement le Midi toulousain et le Tarn, où des records ont été enregistrés par la station de Castres-Mazamet, mais également le Tarn-et-Garonne, l'Aveyron et les limites du Gers et de l'Hérault et le Lot-et-Garonne. « Pour l'instant, c'est ce qu'on appelle l'Autan blanc : un vent sec de beau temps souvent associé à des conditions douces, il souffle en effet du sud-est », explique Jean-Michel Vayssettes, prévisionniste et climatologiste au centre départemental de Météo France d'Albi (Tarn).

Autan blanc, autan noir

Mais il s'est transformé, hier dans la soirée, en Autan noir, occasionnant des rafales de vent plus chaudes souvent annonciatrices de pluie, voire d'orages. « On attend des précipitations demain [aujourd'hui, N.D.L.R.] , environ 10 mm », précise Jean-Michel Vayssettes. Rien de bon, par ailleurs, pour les récoltes plombées par la sécheresse cette année. « On prend d'autant plus conscience du phénomène qu'avril est normalement un mois humide et pluvieux, analyse un autre expert de Météo France sur la situation du vent d'Autan à Agen (Lot-et-Garonne). Or on est en fort déficit de pluie depuis janvier : en avril, on a d'habitude entre 60 et 70 millimètres de pluie, là, on oscille entre 3 et 10 millimètres sur l'ensemble du département. Le vent accentue encore le phénomène d'assèchement ». Mais le vent d'Autan ne serait rien qu'un vent ordinaire sans le cortège d'anecdotes qui l'entourent. Il aurait même, en 1916, fait basculer le train Toulouse-Revel. Il est accusé de tous les maux : du déclenchement de la migraine jusqu'à celui de la folie. Le centre hospitalier de Castres avait d'ailleurs remarqué un pic des hospitalisations pour des problèmes cardiaques et neurologiques. « Les migraineux sont très sensibles aux pressions barométriques, c'est la même chose qui se produit pour eux en avion. Les basses pressions qui accompagnent le vent dérèglent le fonctionnement de l'oreille interne », rappelle Marc Schwob, médecin et président de l'Association France Migraine.

Des rafales record dans le Tarn

Le vent d'autan se forme sous l'action de deux phénomènes. Le premier est l'apparition d'une dépression le long de la barrière pyrénéenne car le vent du sud se bloquant contre les Pyrénées provoque une zone de basses pressions, favorisant l'arrivée d'air venant de la Méditerranée par le couloir du Lauragais entre Corbières et Montagne Noire. Le deuxième phénomène est ce que l'on appelle l'effet de fœhn qui se forme le long des Pyrénées. La station Météo France de Castres-Mazamet (Tarn) a enregistré quelques records de rafales : hier, 86,4 km/heure et le record de la semaine est de 96,6 km/heure.

 

Publié le 26/04/2011 09:16 | LaDepeche.fr

Rabastens (81) : L'arbre tombe sur la voiture

Le vent soutenu qui a soufflé plusieurs a eu raison vendredi d'un marronier qui trônait sur la promenade du Pré Vert à Rabastens. Dans sa chute l'arbre s'est abattu sur une voiture dont la malheureuse propriétaire a du attendre l'intervention mécanisée de la mairie. Aucun blessé n'est à déplorer et l'incident ne s'est soldé que par de la tôle froissée. L'état de santé du vieu marronier, visiblement attaqué de l'intérieur est la principale raison de sa chute précipitée.

 

Publié le 26/04/2011 07:50 | X.H.

Carcassonne : Hôtel de la Cité, un gros week-end pascal malgré tout

Le long week-end de Pâques aura été marqué par un « fonctionnement quasi-normal de l'établissement », selon la direction de l'Hôtel de la Cité.

Quatre jours après l'incendie ayant ravagé une partie des façades de l'hôtel, ainsi que l'ensemble des terrasses et balcons (cf. La Dépêche du Midi des 22 et 23 avril), la sérénité semblait totalement revenue, hier, au sein du célèbre établissement 5 étoiles. Comme il était prévu au niveau des réservations, les chambres (61-8 hors d'usage depuis jeudi) auront figuré un taux d'occupation de 100 %. Rouvert depuis vendredi soir, le restaurant gastronomique La Barbacane aura également pu servir aux convives les habituels banquets de Pâques. « On a de la chance. J'avais peur que les odeurs de fumée n'incommodent certains de nos clients, mais même près des parois atteintes par le feu, on ne sent absolument rien à l'intérieur », confiait hier Xavier Lablaude, à l'heure du déjeuner. Pour autant, le directeur attend encore le bilan chiffré précis du sinistre, les experts n'ayant pas encore rendu leurs rapports. Après quoi, aussi, les travaux de réfection pourront débuter, pour un achèvement souhaité fin juin/début juillet, au seuil de la pleine saison à la Cité. Quant à l'enquête sur les causes de l'incendie, elle se poursuit, pour l'instant sans résultat.

 

Publié le 26/04/2011 07:42 | Jean-Noël Daneau

Boé (47) : Le feu à l'entrepôt de famille

Le tas de ferraille a dégagé d'énormes panaches de fumée que l'on pouvait voir à des kilomètres à la ronde./Photos Morad Cherchari

Un incendie spectaculaire s'est déclaré hier sur le site d'entrepôt de ferraille en tous genres de la société Aliarec Environnement à Boé. 70 pompiers ont été mobilisés pour tenter de le maîtriser.

Le lundi de Pâques 2 011 fera sans doute partie des dates que retiendront les pompiers lot-et-garonnais lorsqu'il sera temps de faire le bilan de l'année au niveau des sorties. Soixante-dix soldats du feu ont été mobilisés hier pour faire face à un incendie spectaculaire qui s'est déclaré sur le site de la société Aliarec Environnement, sur la zone industrielle de Boé.

Il était 11 h 30 environ lorsque l'alerte a été donnée au centre d'appel du 18 du SDIS à Foulayronnes. Les premiers camions du centre de secours d'Agen ont été dépêchés sur place, mais très vite il a fallu faire appel à des renforts. La ferraille entreposée là sur plusieurs mètres de hauteur et près d'un hectare de surface est composée de carcasses de voitures avec encore leurs roues en caoutchouc, de frigos, de vieilles bennes, de bouts de fer en tous genres, bref, tout ce qui peu être recyclé sous une forme ou une autre.

Les grands moyens

Face donc à un feu dont les panaches de fumées s'élevaient à des dizaines de mètres de hauteur et que l'on voyait à des kilomètres à la ronde, les pompiers ont sorti les grands moyens. Un poste de commandement a été installé à quelques mètres de l'entrée du site, et le lieutenant-colonel Philippe Moineau a pris la direction des opérations. Un poste de logistique a également été mis en place pour, notamment, distribuer de l'eau aux pompiers obligés d'aller au charbon sous une chaleur orageuse, certains perchés dans des nacelles pour arroser de haut en bas le tas de ferraille.

Tous les gros camions à eau des casernes environnantes ont été réquisitionnés et des centaines de mètres de tuyaux amenées sur place pour pomper l'eau directement dans le canal qui borde la partie arrière du site. Tout l'après-midi, alors que des pompiers montaient au front, d'autres se reposaient sur les talus herbus, le visage et les mains noircis par les fumées.

La police sécurise le site

De son côté, la police a sécurisé les lieux en dressant des barrages à toutes les entrées de la zone. Cela n'a pas empêché de très nombreuses personnes qui se promenaient le long du canal d'aller voir au plus près ce qui se passait.

Si le feu était sous contrôle vers 16 heures, les pompiers n'avaient toujours pas stoppé sa progression. Cela malgré l'usage de la grosse grue de la société Aliarec qui a été utilisée pour déplacer la ferraille et permettre aux soldats du feu d'aller au plus près du sinistre, équipé de leurs bouteilles d'oxygène pour éviter de se retrouver piégés par les fumées.

Faisant des aller-retour entre le tas de ferraille pour se rendre compte du travail de ses hommes, et le poste de commandement où il donnait les ordres, le colonel Moineau avait conscience qu'il serait encore là en début de soirée et sûrement une partie de la nuit.

Une enquête ouverte

Cet incendie n'est pas le premier du genre à cet emplacement qui depuis des lustres sert à entreposer de la ferraille. Le dernier remontant alors que le propriétaire était la société Jach.

La vice-procureur Marie-Bernadette Duhâa s'est rendue sur les lieux. Elle a confié l'enquête à la police judiciaire mais les fonctionnaires devront attendre plusieurs jours avant d'aller chercher les éléments qui pourront déterminer l'origine du sinistre. Selon les premiers éléments recueillis, le feu serait parti du côté du canal, là où il n'y a pas de caméra de surveillance.

 

Publié le 26/04/2011 08:20 | Emmanuelle Rey

Bessières (31) : 3000 invités pour l'omelette record

Il a fallu 15 000 œufs pour confectionner l'omelette version 2011./Photo DDM Didier Pouydebat

Depuis 38 ans, l'omelette géante attire des milliers d'amateurs à Bessières le lundi de Pâques. Hier encore, la recette aux 15 000 œufs a mobilisé tous les membres de la confrérie mondiale. La gratuité de l'assiette est aussi une des raisons du succès.

Onze heures cinquante, esplanade Bellecourt à Bessières. Toque blanche, cravate jaune poussin, poêlon en cuivre autour du cou, les chevaliers de la confrérie mondiale de l'omelette géante s'activent autour de la poêle en inox de 4 mètres au manche constitué d'un poteau de téléphone. Derrière les barrières, environ 3 000 personnes, attendent leur assiette. Quinze mille œufs battus, de l'huile, de la ciboulette, des respounchous, une tranche de pain : depuis 38 ans, la recette ne varie pas. Au-delà de la tradition pascale, la gratuité attire. David et Christine, de Montauban, se sont installés devant les barrières un peu avant 11 heures. En famille et en voisins, Christian et ses enfants ont attendu une heure et demie. De part et d'autre de la place, les bras se lèvent, interpellant les serveurs. « Je trouve les gens très calmes et très disciplinés. Mais on perd un peu en convivialité ces dernières années », glisse Pierre Vernheres, à la confrérie depuis 25 ans. « Si on demandait une participation, ça marcherait moins bien, c'est évident », souligne David Paludetto, le président de l'association qui finance les milliers d'euros de l'opération en fabriquant des omelettes géantes sur commande aux quatre coins de la région. « La gratuité est impérative. Comme autrefois, lorsque les enfants de chœur ramassaient les œufs et offraient l'omelette aux indigents », lance Bernard Beille, 79 ans, fondateur de l'événement.

 

Publié le 26/04/2011 08:10 | LaDepeche.fr

Tarascon (09) : Parc de la préhistoire, la saison éclôt avec la chasse aux œufs

Découverte gourmande pour Mattéo./ Photo DDM, F.R

Le parc de la préhistoire a organisé hier une grande chasse aux œufs. Nouveauté : un espace pour les 2-5 ans a été aménagé pour leur permettre de chercher des œufs en toute sécurité.

4022 œufs ont été dissimulés hier sur les 13 hectares du site du parc de la préhistoire à Tarascon. « Suite au succès de l'an passé, nous avons décidé de doubler le nombre d'œufs cachés » explique Pascal Alard, directeur du site depuis 2004. Tarif unique et réduit pour l'occasion : 4,90 euros. Rouvert depuis le 3 avril, l'objectif de cette journée réside à « faire découvrir le parc sous l'aspect ludique aux Ariégeois » souligne Pascal Alard. L'événement plaît. « J'ai trouvé plus d'œufs que l'année dernière », confie Enola, 8 ans. Maéva, 7 ans, tempère :« Nous nous sommes promenés dans le labyrinthe et heureusement que mes parents m'ont aidé pour trouver les œufs ». Le parc de la préhistoire propose une exposition « Art des origines, origines des arts ». « Tous les six mois, de nouvelles œuvres nous sont prêtées par les musées nationaux tels que le musée du Louvre », précise Pascal Alard. Au total, 55 œuvres vont être exposées temporairement en 2 011. « Le but est de toujours proposer des nouveautés à notre public afin de le fidéliser » ajoute le directeur du site. Les temps forts de la saison seront la Nuit de la préhistoire en juin et l'évent Raisonnance en août.

 

Publié le 26/04/2011 08:12 | LaDepeche.fr

Fourcès (32) : Trente-six ans et du succès

Un étalage fleuri dans le plus merveilleux jardin de fleurs du village de fourcés./ Photo DDM, G. RdZ

Le marché de Fourcés n'a pas failli à sa réputation, un monde fou samedi et dimanche, des étals qui se dégarnissent et qu'il faut recharger tant bien que mal. Les rosiéristes ont toujours les honneurs des amoureux de la fleur reine, mais les spécimens rares ont de plus en plus la cote, formes étranges et couleurs rutilantes, parfums et grâce délicate charment le visiteur qui rêve de posséder en son jardin ou sur son balcon ces merveilles de la nature. Samedi, de nombreux visiteurs sont venus malgré un ciel incertain et des pluies éparses. Le client du samedi, en général sait ce qu'il veut, le trouve, fait un tour et repart. Le dimanche, on vient souvent en famille, on fait le grand tour, on admire, on se remplit les yeux des mille et une merveilles fleuries que les horticulteurs savent si bien mettre en valeur, on fait des achats bien pesés après avoir choisi et comparé. Et puis, Fourcés reste toujours un lieu de promenade privilégié et, dimanche, malgré les augures, le soleil a brillé. L'après-midi, les derniers arrivants, sortis de table tard, n'ont pu résister à l'attrait d'une balade à Fourcés et sont repartis les mains pleines de pots fleuris. Hier, les bénévoles de l'association Arrebiscoula ainsi que ceux des autres associations locales ont pu souffler.

 

Publié le 24/04/2011 08:57 | Roxane Nicolas

Giroussens (81) : 20 ans de céramique

Cette année les céramistes Suisses sont à l'honneur pour la 10e édition de ce marché européen.

« On a invité les Allemands, on a invité les Anglais, les Hollandais, les Belges et les Espagnols, alors pourquoi les Suisses ? Et bien pourquoi pas les Suisses… » rétorque Alain Dejardin. Depuis hier et jusqu'à demain soir de 10 heures à 19 heures les rues du village de Giroussens accueillent la 20e édition du marché européen de céramique contemporaine organisée par l'association régionale de céramistes professionnels.

Un lieu de céramique

« Giroussens est aussi un lieu de céramique car il y en avait vers le XIXe siècle », indique Alain Dejardin, président de Terre et Terres. Du modelage à la pièce unique en grès, en faïence ou en porcelaine, les visiteurs du marché vont pouvoir découvrir les différents types de terres. Ces 23, 24 et 25 avril, ce sont 80 potiers qui vont exposer leurs œuvres en tous genres. Venus d'un peu partout en Europe ces professionnels sont là pour promouvoir la diversité et la richesse d'expressions de la céramique de France et d'ailleurs. « La terre on la trouve ici en Midi-Pyrénées sous nos pieds. Après il faut la travailler, la filtrer pour l'utiliser en céramique », indique le président de l'association.

Une passion

« Ce qui m'a attiré dans la céramique c'est la création, le modelage, le fait de façonner quelque chose qui me correspond et d'apporter une décoration à la céramique », confie Alain Dejardin qui fait aussi de la faïence décorée et des lustres depuis une trentaine d'années. Une exposition attenante au marché permettra aux visiteurs d'échanger avec les artisans pour comprendre ce métier d'art. « Sur la cinquantaine de céramistes inscrits à l'association, 36 ont accepté de participer à l'exposition.

 

Publié le 26/04/2011 07:49 | K.C

Leucate (11) : Les vents insufflent l'économie durable

L'évènementiel à Leucate a contribué à une économie de la glisse. /Photo DDM,

L'évènementiel créé par le Mondial du vent, chaque année à Pâques à Leucate, a entraîné la structuration d'activités économiques pérennes et permanentes sur la commune de Leucate notamment en matière de glisse.

300 jours ventés par an et un potentiel touristique incroyable, voici deux notions qui jusqu'en 1996, ne se seraient pas valorisée l'une l'autre. Pourtant, à partir de cette date, Michel Py, tout jeune maire de Leucate, a souhaité tirer parti des éléments perçus alors comme un inconvénient, ainsi que de l'engouement croissant pour les sports de glisse en France. Cela a donné le Mondial du Vent et une aventure économique remarquable avec le bouleversement des structures d'accueil, des écoles et le décalage printanier de l'ouverture de la saison touristique.

50 personnes toute l'année

Depuis 15 ans, le visage et les pratiques de la station leucatoise ont été bouleversés par la volonté d'y développer un pôle de sports de glisse. La création du Mondial du Vent a posé la première pierre d'un édifice colossal et qui draine près de 160 000 personnes chaque année. Près de 150 emplois sont d'ailleurs directement rattachés à l'évènement tandis que 50 personnes travaillent pour lui toute l'année. Au cours de la manifestation, les hébergements, les restaurants et les magasins spécialisés tournent à plein régime tandis que des structures appropriées ont vu le jour pour satisfaire à la demande annuelle.

Les amateurs de glisse trouvent ainsi depuis 1983 des mobil homes au camping Mer, Sable et Soleil, structure complétée un peu plus tard par l'établissement Fun Hôtel - Leukos à l'entrée du village. Depuis le spot de La Franqui à Port Leucate, ce ne sont pas moins de sept écoles de voile qui enseignent aujourd'hui la pratique du windsurf et du kitesurf, du niveau débutant à celui de la compétition et sept surf shop reconnus parmi les plus dynamiques de France ! De plus, sur la zone artisanale du village, l'entreprise Doll s'est spécialisée dans la création et la fabrication de planche de kite. Une autre société fabrique des remorques pour le transport des planches à voile et trois voileries réparent les voiles et les ailes de kite. Enfin, une base de « Sky Fly », unique en Europe, propose à Port Leucate un équipement permettant de pratiquer la voltige aérienne, en toute sécurité, sur la plage, grâce à un cerf-volant de traction relié à un grand mât pivotant. Un réel canevas de compétences et d'engouement qui satisfont la renommée désormais internationale de la station leucatoise et qui nous serine que quand le vent souffle à Leucate, il ne le fait pas pour rien !

 

Publié le 26/04/2011 08:52 | LaDepeche.fr

Sévérac-le-Château (12) : Tradition de Pâques respectée

Jeudi dernier, fidèle à la tradition de Pâques qui lui tient à cœur, Georges Seguin profitait de l'organisation du marché hebdomadaire pour présenter une magnifique vache aubrac âgée de 7 ans, classée 2e prix au fameux concours des Bœufs fermiers aubrac à Laguiole. Abattue vendredi à Marvejols, et après une maturation de 6 jours nécessaires à l'expression de toute sa qualité, elle a été mise en vente à partir de ce jeudi 21 avril.

Ce sont donc 450 kg de viande de qualité supérieure provenant du GAEC de la Glacière à Grun (commune de Saint-Saturnin-de-Lenne) qui pourront être dégustés pour ces fêtes de Pâques.

 

Publié le 26/04/2011 03:50 | LaDepeche.fr

Quillan (11) : Invitation de ferme en ferme

Venez découvrir les fermes de la haute vallée de l'Aude et ses produits locaux dimanche/Photo DDM, B. B.

Visiter, comprendre, goûter, acheter… Vous serez les bienvenus dans neuf fermes de la haute vallée de l'Aude le dimanche 1er mai, de 10 heures à 19 heures. Les propriétaires seront heureux de vous faire découvrir la diversité de l'agriculture dans la haute vallée.

Vous pourrez aller à leur rencontre à ces adresses : Daphné et Sylvain Mervoyer, du GAEC de Bergnes (bio) à Campagne-sur-Aude avec la possibilité de vous constituer un panier pique-nique avec les produits de différentes fermes ; la famille Pons, du GAEC Les Aousines-Pailhères à Espéraza où, à midi, sera proposé un repas à 13 € avec charcuterie, grillades, fromage et dessert (vins compris) ; Les Jardins de la Haute Vallée à la ZA Pastabrac à Couiza avec jus de fruits, confitures, sirops, coulis… Repas à 10 € à midi avec grillades d'agneau ; Tricoire et Thoreau, à la GAEC de la Maurette qui se consacre aux vins de toutes les couleurs, à la blanquette, à la cartagène et au jus de raisin ; Frédérique et Vincent Bibbeau, à la ferme des Gascous à Bugarach où vous retrouverez l'apiculteur Jean-Rémy Sarda qui vous fera découvrir son métier. Noémie et Sébastien Archambeau, à Sault-Mouton (bio) à Prats-de-Déjoux à Espezel et leurs grillades d'agneau ; Françoise Faure et Philippe Guitard (bio), du hameau de Laprade à Cailla avec repas dans la grange, Carole Ivanès et Jérôme Grauby, du GAEC des Bordes « les Escoumeilles » à Roquefeuil (grillades) et Chloé Ménager, d'Artigues, avec son safran des Fontaines.

Ces neuf agriculteurs des cantons de Couiza, Belcaire, Axat et Quillan vous invitent à venir déguster leurs produits en une journée chaleureuse, conviviale et passionnée.

 

Publié le 25/04/2011 10:27 | Propos recueillis par Jean-Paul Couffin

Aveyron (12) : L'école se fait buissonnière

Ces fermes concernent écoles maternelles, primaires et collèges./Photo DDM, archives

Parce que le monde paysan ne doit pas rester les deux pieds dans les mêmes sabots, la diversification demeure un atout indéniable en matière de revenus complémentaires. À travers la démarche, « Un jour, une ferme… », la création d'un réseau de ferme pédagogique dans l'ouest Aveyron est dans les clous. L a chambre d'agriculture sert de relais au pays Rouergue occidental, au Gal et au Conseil régional, pour inciter des exploitants à s'engager dans cette démarche. Explications avec Philippe Barthas.

Pouvez-vous définir ce qu'est une ferme pédagogique ?

D'abord, il ne faut pas confondre, ferme pédagogique et visites à la ferme. Une ferme pédagogique a pour objectif d'accueillir, essentiellement, un public scolaire. Pour cela, avec les exploitants qui désirent s'engager dans cette démarche, nous travaillons sur une panoplie d'outils et de supports, en lien avec les programmes scolaires et en adéquation avec les objectifs du ministère de l'éducation.

Justement, cela implique la mise en ordre de marche d'un cahier de charges ?

Tout à fait. Dans le cadre du réseau « bienvenue à la ferme », nous avons créé la marque « un jour, une ferme… » imposant aux agriculteurs une qualité des infrastructures et de l'accueil, ainsi que des abords, mais aussi en matière de stationnement afin de pouvoir accueillir des bus. L'engagement est bien sûr sur l'offre pédagogique avec le développement de trois thématiques : cycle du vivant autour de l'animal ou du végétal, et en fonction des spécificités de la ferme, sur la découverte des cinq sens, ainsi que sur la biodiversité, l'environnement, la lecture du paysage et la vie du sol. Toutes les fermes doivent construire des fiches allant dans ce sens. Et les nouvelles fermes, sont accompagnées afin de définir les outils, avec elles.

Derrière tout cela, il y a bien un but économique ?

L'objectif est surtout économique, car il vise à dégager des revenus corrects par rapport au temps qu'on y passe. Dans le réseau, nous fixons l'accueil à environ une cinquantaine de journées par an et par ferme avec les écoles et les collèges. à cela, on peut ajouter un volet classes découvertes, clefs en main, en liaison avec des partenaires hébergeurs. Il est aussi possible de prolonger la démarche dans un esprit « ferme découverte », plus ludique, pour toucher un autre public de groupes avec des autocaristes et des vacanciers. Ainsi il peut être possible de générer jusqu'à 150 journées d'activités par an.

Quel est l'accompagnement financier ?

Pour le pays Rouergue Occidental, il a été mobilisé des fonds européens du FEADER et du conseil régional pour aider à l'investissement. Ces aides vont jusqu'à 40 % de l'investissement pour un plafond de 50 000 €.

Chargé de mission tourisme et du réseau « Bienvenueà la ferme » pour la chambre d'agriculture, Philippe Barthas travaille à la mise en place d'un réseau de fermes pédagogiques sur le pays Rouergue occidental.

Dix fermes de plus d'ici 2013

Pour l'heure, Philippe Barthas et l'équipe du pays Rouergue Occidental planchent sur un projet de développement de fermes découvertes et pédagogiques dans l'Ouest du département. Dossier qui a été validé par le Gal (programme Leader +). Pour l'heure le département compte six fermes pédagogiques. Avec cette initiative, l'objectif est d'en ancrer dix supplémentaires sur le territoire du Pays Rouergue Occidental d'ici 2013.

 

Publié le 25/04/2011 08:00 | Thierry Dupuy

Marcel, maître ès cloches à Finhan (82)

Marcel Ferrié s'en donne à cœur joie de sonner les cloches à Finhan./Photo Jacques Decatoire.

A 80 ans, Marcel Ferrié ne connaît pas le blues… Surtout lorsqu'il monte au clocher et qu'il lance à la volée Saint-Barthélemy et Saint-Martin, les deux cloches de l'église de Finhan.

Le lundi de Pâques et ses cloches… C'est du bonheur pour Marcel Ferrié. « Que voulez-vous, je suis fou des cloches. C'est comme ça. Cela m'a toujours plu. Je suis content quand je suis à la corde. » A 80 ans bientôt - il les fêtera le 12 juin prochain - le sonneur de cloches de Finhan n'a donc jamais le blues lorsqu'il gravit les 56 marches de l'escalier en pierre qui le conduit au clocher. Là-haut, tel Quasimodo, il est dans son monde. Avec pour compagnes Saint-Barthélemy et Saint-Martin, les deux cloches en bronze dont la plus grande pèse 850 kg. « Attention à celle-là, parce que quand vous la lancez, il faut la retenir », commente le bedot en nous montrant tout le dispositif de la solide charpente qui est là pour la maintenir en place. Fondue en 1680, elle constitue un témoignage assez rare des cloches de son époque, la plupart ayant été fondues au moment de la Révolution.

A 8 heures 30, ce matin, Marcel Ferrié sonnera une première fois les cloches pour annoncer la messe qui débute à 9 heures. Il en remettra une couche un quart d'heure plus tard. Et ensuite lorsque la messe va démarrer. Depuis quelques semaines, ce rituel a une saveur particulière pour le sonneur. En effet, l'installation électrique, indispensable pour faire fonctionner le moteur qui fait basculer la plus grande cloche, est tombée en panne. Du coup, Marcel a repris la corde et sonne donc à l'ancienne. « L'entreprise qui nous fait la maintenance des cloches vient de Verfeil. Ils ne peuvent pas se déplacer avant la mi-juin pour la réparation. Mais bon ! ça me plaît. Vous savez, ça fait 20 ans maintenant que j'ai accepté de m'occuper des cloches. Je le fais bénévolement. C'est mon plaisir. Au début, quand je l'ai pris, il a fallu que je mette un peu d'ordre dans le clocher. J'ai du tout nettoyer. On a retiré par exemple quelque 80 sacs de fientes de pigeons. On a fait aussi des travaux comme les planchers sous les cloches. Quand j'ai besoin, je demande à la mairie qui joue le jeu », explique le sonneur.

Pour pallier toutes les petites difficultés rencontrées, Marcel Ferrié est justement l'homme de la situation. Electricien à la retraite, il touche également à la charpente, à la mécanique, bref à un peu tout ce qu'il faut pour faire un maître ès cloches. Et en plus, il n'a pas le vertige. « Bientôt, il faudra quand même que je trouve quelqu'un pour me remplacer. Je ne vais pas être éternel, même si aujourd'hui encore, je plante tous les ans mes 300 pieds de tomates. Les cloches représentent un beau patrimoine et un même un lien dans le village. Quand je sonne le glas pour annoncer la mort de quelqu'un, tout le monde en parle. Certains vont jusqu'à m'appeler à la maison pour avoir ensuite le nom du défunt. »

 

Publié le 22/04/2011 07:55 - Modifié le 22/04/2011 à 08:20 | © 2011 AFP

Pâques : dinos et hiboux détrônent lapins et cocottes en chocolat

Un employé présente les dinosaures en chocolat préparés pour Pâques, le 20 avril 2011 Patrick Kovarik AFP

Marre des lapins et autres cocottes, les chocolatiers se sont remué les méninges pour varier la forme de leurs "sujets", moulant dinosaures et dauphins, hiboux et poissons volants.

Moins de cloches et de poules, cette année pour Pâques, les artisans ont joué la carte animalière et la fantaisie, tout en restant plutôt traditionnels sur les goûts: chocolat noir ou au lait, fourrage praliné, amande ou noisette, souligne-t-on chez le grand chocolatier parisien Jean-Paul Hévin.

Son confrère Jacques Génin, gros bosseur au coeur tendre, a inventé des figures enfantines d'otaries, d'éléphants ou de tortues, jouant avec un oeuf-ballon coloré posé sur le bout du museau ou au creux d'une patte.

Il a peint aussi des oeufs en chocolat, au pinceau comme une toile, avec un mélange de pigments de fleurs et de beurre de cacao. "Les oeufs c'est pour les adultes. On les casse et on les partage", au moment du café par exemple, souligne-t-il auprès de l'AFP.

Mais "Pâques c'est d'abord pour les enfants!", ajoute-t-il, affirmant que ses animaux rigolos sont le best-seller de la saison, en particulier le dinosaure "pour les plus petits".

Le "dino" de La Mère de Famille, une des plus vieilles chocolateries parisiennes, ne ressemble plus du tout à un personnage de dessin animé. Présenté sur une plaque en chocolat, noir ou lait c'est au choix, entre deux coquilles d'oeuf fendues comme s'il venait d'éclore, c'est une bestiole au long cou qui évoque plutôt le musée d'histoire naturelle.

Contrairement au reste de la ménagerie en chocolat, vendus creux et garnis de petits oeufs et de "friture", ces petits poissons fondants, le "dino" est plein. "Tout se mange", explique le vendeur, fier des créatures vaguement inquiétantes qui font la loi dans sa vitrine.

A leurs côtés, chiens et chats, dressés sur leurs pattes arrière, ont un succès fou, tout comme les hiboux et les poules "déjantées" aux allures fofolles.

Albi (81) : Le chocolat reste le roi des Pâques

Article réalisé à partir du site ladepeche.fr

Aynac (46) : Une chasse aux oeufs réussie 

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Commentaires :

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  • SR dit :
    26/4/2011 à 12h 12min

    Hier : orages généralisés sur la moitié sud Hier, l'instabilité orageuse a persisté sur de nombreuses régions. Au nord de la Loire, les éclaircies ont fait leur retour avec un flux de nord-est plus sec, mais partout ailleurs les orages ont été nettement plus généralisés que les jours précédents. Les régions les plus exposées ont été la vallée de la Garonne, le Limousin, ainsi que la vallée du Rhône et le Languedoc. Les orages de grêle ont été très fréquents, parfois accompagnées de rafales de vent (près de 80 km/h à Bordeaux). Les cumuls pluviométriques ont parfois dépassé les 20 mm par heure, avec par exemple : * 32 mm à Saint-Engrâce (64) * 30 mm à Toulouse (31) et Cornus (12) * 28 mm à Aston (09) * 26 mm à Carpentras (84) * 25 mm à Arquettes-en-Val (11) Très forte activité électrique : Plus de 36 000 impacts de foudre ont été enregistrés hier, contre 26 000 dimanche et 19 000 samedi. Ceci porte le total à plus de 81 000 sur le week-end pascal, soit bien davantage de foudre que lors d'un mois d'avril normal ! Pour rappel, la valeur record en 24h date du 6 Août 1999 avec 78 000 impacts pour cette seule journée. Après un court répit, la situation redeviendra orageuse dès la fin de semaine, plutôt sur les régions de l'est dans un premier temps. Source : Chaîne Météo

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