Graulhet : Rétro Février 2019 -1-
GRAULHET : Du Bruc à Ricardens
Graulhet : Rétro Février 2019 -1-
Publié le 01/02/2019 à 08:17 | La Dépêche du Midi | Jean-Claude Clerc
Des «coups de pouce» aux commerces du centre-ville
Le centre-ville bénéficie de deux dispositifs./Photo DDM, J-C C
À Graulhet comme ailleurs, la santé des commerces du centre-ville, ou plus exactement du «cœur de ville», est l'objet de nombreuses attentions. Plusieurs dispositifs viennent en aide à l'installation des commerces dans ce secteur.
Il est impossible en marchant dans le centre-ville d'échapper aux vitrines fermées. En 2007 ce «taux de vacances» était de 44 %. Il était l'an dernier estimé à 39 %. Si on regarde le verre à moitié vide, c'est un chiffre bien au-dessus de la moyenne. Si on regarde le verre à moitié plein, ce chiffre diminue. Il est cependant à pondérer avec des locaux professionnels parfois aménagés en garages ou en habitations.
Pour inciter les propriétaires à louer, ces derniers se voient exonérés de la taxe foncière et leurs locaux commerciaux sont loués. Côté commerçants, des exonérations de la CFE sont prévues pour certains secteurs géographiques.
Cependant, malgré cette mesure incitative, la majorité des locaux aujourd'hui disponibles sont vétustes, plus destinés à une vente éventuelle (avec des travaux à prévoir) qu'à la mise en location.
L'an dernier, dix commerces ont bénéficié du pack d'installation porté par la communauté d'agglomération pour les créations ou les reprises de commerces, comprenant une dotation et un accompagnement. S'il s'agit d'un bon indicateur, il ne concerne cependant pas l'ensemble de la ville ni tous les secteurs d'activité.
Outre cette action de l'agglomération, certains quartiers classés QPV (quartiers prioritaires de la politique de la ville) bénéficient d'aides spécifiques alors que l'ensemble de la ville est classé en ZRR (zone de revitalisation rurale). Grâce à ce dispositif les entreprises qui souhaitent s'implanter bénéficient d'exonérations fiscales sous certaines conditions liées notamment à l'effectif et à la nature de l'activité.
Aujourd'hui les «managers de centre-ville» permettent aux créateurs et repreneurs d'entreprises d'avoir une vue d'ensemble sur les différents dispositifs qui s'offrent à eux.
Mis à jour le 05/02/2019 à 08:12 | La Dépêche du Midi | J-C C.
Dernière ligne droite pour la rénovation de l'Auditorium
Les travaux vont commencer le mois prochain. / Photo DDM, J-C C
La rénovation du bâtiment abritant l'auditorium, la salle de l'Odéon et la halle des Arts fait partie des grands chantiers de l'année. L'auditorium est une salle de spectacles située dans un ancien cinéma. Elle a la particularité d'être située à un premier étage, rendant difficile l'accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Il a fallu de nombreuses études pour trouver une solution lui permettant d'être à nouveau aux normes d'accessibilité aux personnes à mobilité réduite. La rénovation du bâtiment confiée à l'équipe de maîtrise d'œuvre de Philippe Albinet, architecte, affecte dans une moindre mesure la salle de l'Odéon, située au rez-de-chaussée.
La halle des Arts située à l'étage au-dessous conservera son accès par la rue du Général-Sudre. Le mois de mars verra la dépose de la façade fortement dégradée. Cette première étape permettra le désamiantage de la structure. Si l'opération n'est pas particulièrement complexe, elle impactera directement le parking attenant qui verra sa surface réduite durant les travaux. Ce n'est qu'ensuite que les travaux d'aménagements intérieurs pourront commencer, parallèlement à la poursuite des travaux de façade extérieurs.
À l'issue des travaux, le bâtiment sera doté d'un ascenseur après qu'une solution a été trouvée pour qu'il ne comporte plus que deux niveaux grâce à une rehausse du hall de l'auditorium.
Une autre modification concernera la scène et son équipement ainsi que les fauteuils orange disposés sur les gradins. Datant des années 70, ces derniers seront démontés et remplacés à la faveur des travaux.
La salle accueille spectacles, assemblées générales ainsi que d'autres manifestations. Elle gardera cette polyvalence avec de meilleures conditions d'accueil des spectateurs comme de ceux qui s'y produiront.
Si pour l'heure le calendrier précis de l'exécution des travaux de rénovation reste à établir, on peut dire que deux phases vont être menées : les travaux de façade d'une part et les travaux d'aménagement intérieur d'autre part avec la mise en accessibilité de l'équipement.
Elles devraient être achevées à la fin de l'année.
Mis à jour le 06/02/2019 à 08:17 | La Dépêche du Midi | G.D.
Auto Sport Passion a élu son nouveau président
Le responsable 4x4, Jean-Pierre Picard, au micro, a déploré les nombreuses intempéries qui ont entraîné une saison mitigée. / DDM
L'assemblée générale d'Auto Sport Passion s'est déroulée samedi, à 18 h, en présence de Maryse Escribe, représentant la mairie, de Max Guipaud, conseiller départemental, de Jean-Bernard Vayssière, représentant l'ASA du Vignoble tarnais, de nombreux adhérents et des bénévoles. L'élu a rendu un hommage appuyé à Christian Géromin, président de l'association pendant 14 ans et décédé prématurément l'an passé. Le vice-président Luc Bascugnana a remercié les partenaires indispensables à l'activité de l'association puis a donné le bilan moral, fait un tour d'horizon des différents projets réalisés et à venir ; le 13e Rallye Val Dadou le 19 mai, la 5e Course de Côte de La Courbe le 8 septembre et le vide-greniers de Brousse le 29 septembre.
Cotisation annuelle stable
La secrétaire a fait le bilan des activités : la participation des pilotes, copilotes des plus jeunes féminines, Lise Valette, 23 ans, et Charlotte Oléa, 19 ans, respectivement sur 7 et 9 rallyes ou courses de côte, en insistant sur le rôle des commissaires de route, chronométreurs et officiels sur les rallyes de la Ligue et hors Ligue jusqu'à 20 week-ends pour certains. Quant à la trésorière, elle a pu rendre compte du bilan financier et fait approuver le budget. La cotisation annuelle reste fixée à 30 €.
Suite à la démission du bureau, Luc Bascugnana, qui avait assuré l'intérim et une fois élu, a composé son équipe. Il est à noter que J-B Vayssière a distribué des fiches de participation aux bénévoles pour l'organisation, cette année dans le Tarn, de la finale des rallyes «Albi 2019» du 17 au 20 octobre.
Publié le 07/02/2019 à 08:07 | La Dépêche du Midi |
Pom'pille : des lycéens s'investissent pour le Téléthon
Les lycéens de Clément-de-Pémille à Graulhet. /Photo DDM
Même si l'objectif du projet reste le même (participer au Téléthon et aider la recherche, les malades et leur famille), le projet Pom'pille de cette année a été revisité et repensé.
Chaque année, les lycéens mettent en vente des jus de pommes au profit du téléthon sur le marché. Cette année, cette action voit ses objectifs pédagogiques élargis.
Les élèves n'utilisent plus de bouteilles pour ces jus de pomme. Cette année, les pommes ont été vendues «au naturel», en sachets, toujours en partenariat avec le verger de Foncoussières de Rabastens et de son représentant Rick Verhoef, partenaire de l'opération caritative et pédagogique.
Outre l'objet, la méthode aussi a changé.
«Nous avons décidé de multiplier les méthodes de vente pour coller à l'air du temps «. S'ils ont maintenu la vente sur le marché de Graulhet et en interne lors de l'après-midi consacrée à la rencontre entre parents et professeurs, ils ont lancé leur site internet de «e-commerce dédié à cette opération», expliquent les lycéens.
Marketing et enquête
L'organisation en amont a aussi été revue, de manière à intégrer une phase de marketing.
Les élèves ont préparé un questionnaire web envoyé par courriel sur les possibilités de choisir entre deux variétés de pommes, des conditionnements différents et les réservations sur un site de vente à distance.
Grâce aux résultats d'une enquête réalisée sur le terrain, les élèves ont pu déterminer les quantités de ramassage de chaque variété, les types de conditionnement à appliquer et la pertinence de la création d'un site internet.
Pour une première, le résultat est relativement encourageant. Les ventes se sont partagées à parts égales entre les trois modes de distribution pour un bénéfice total de 700 euros. La somme a été remise par chèque à l'occasion d'une petite cérémonie à Jean-Luc Flotard, coordinateur de l'AFM Téléthon pour le nord du département.
Mis à jour le 08/02/2019 à 08:02 | La Dépêche du Midi | Propos recueillis par J-C Clerc
L'Addah déménage à la Maison des associations
Maryse Escribe, présidente du groupement départemental de l'Addah et de la section locale de Graulhet./Photo DDM, J-C C
Maryse Escibre est présidente du groupement départemental de l'Addah (Association de défense des droits des accidentés et des handicapés) et de la section locale de Graulhet.
Lors de l'assemblée générale de la section, un regroupement avec celle de Réalmont a été décidé, qu'est-ce que cela change ?
Chaque section va rester section, mais au lieu de faire dix assemblées générales, nous n'en ferons que quatre dans le département, c'est ce qui a conduit à ce rapprochement. Graulhet compte 283 adhérents et une centaine pour Réalmont.
Qui sont les adhérents aujourd'hui ?
Ils ont des profils très variés, nous gérons beaucoup de choses, des problèmes administratifs et des litiges juridiques quels qu'ils soient. Par exemple, les problèmes entre voisins ou l'aide au montage des dossiers pour l'APA (aide personnalisée à l'autonomie) ou avec les Maisons départementales des personnes handicapées pour l'obtention des cartes d'invalidité ou de stationnement…
Quel est rôle des bénévoles ?
L'accueil de nos adhérents lors des permanences.
Un déménagement est bientôt prévu…
Il aura lieu le 1er avril. Le jour et les heures des permanences vont changer. La permanence hebdomadaire aura lieu le mercredi de 14 h 30 à16 h 30 à la Maison des associations de la place Bosquet. Le troisième mercredi du mois, Thierry Joly, notre conseiller juridique, assurera toujours une permanence de 14 h 30 à 16 heures, sans inscription.
Quels sont les projets ?
Le dimanche 7 avril, nous organiserons une représentation de Catinou et Jacouti avec leur nouveau spectacle «Et la cosina de Marshela» au Forum à 14 h 30. Comme pour les permanences du conseiller juridique il n'y a pas besoin de réserver. Les bénéfices serviront à l'action de l'association, notamment une en direction de l'école d'En Gach.
Mis à jour le 09/02/2019 à 09:07 | La Dépêche du Midi | G.D.
Célia Perron, fleuron national de l'athlétisme graulhétois
Célia Perron, le regard déjà fixé sur des objectifs européens. / Photo DDM
C'est un peu l'athlétisme graulhétois qui est monté sur la plus haute marche du podium et qui a décroché le titre national du pentathlon en salle Espoirs, dimanche dernier, à Rennes. Depuis 2016 et son dernier podium national dans les épreuves combinées, Célia Perron, sous le maillot de l'Ecla Albi, était abonnée aux 4e et 5e places dans cette spécialité. En Bretagne, la Graulhétoise, pour son ultime saison dans cette catégorie, a été au bout des épreuves, au coude à coude avec Agathe Guillemot, qui courait à domicile avec un dernier 800 m référence.
«Dans les derniers 50 mètres, les jambes ne me portaient plus. J'ai d'ailleurs chuté sur la ligne d'arrivée, mais j'ai fait la petite différence qui m'a donné la victoire. J'ai aussi réussi mon saut en longueur avec les 6 mètres que je n'avais jamais atteint». Beaucoup d'humilité dans les propos de l'étudiante toulousaine, même en abordant les raisons d'une réussite. «C'est une agréable surprise. Avec mes coachs Remi Magro et Romain Vernède, nous nous étions donné trois ans pour atteindre l'élite en compétition. C'était il y a deux ans et demi. Nous envisagions de réussir l'été prochain. C'est plus tôt que prévu, mais ce titre va me donner encore un peu plus de confiance sinon d'envergure».
Prochaine étape, la qualification pour les championnats d'Europe qui va passer par une perf au meeting de Montpellier en mai ou un podium aux championnats de France en juin. Un parcours qui n'échappe pas à Yves Gouyen, son premier éducateur aujourd'hui à Muret. «Je l'ai appelé juste après la remise de médaille. Il m'a coachée à Graulhet pendant six ans. Je dois beaucoup à Yves et à mon club formateur». Un hommage qui ravit aussi Gérard Navalès, actuel entraîneur de la section athlétisme du Sporting. «Moi qui me retrouve avec un club en difficulté, je suis fier de l'athlète et j'espère et je pense que d'autres émergeront». Et avec cette capacité à travailler qui caractérise Célia Perron, d'autres surprises pourraient suivre.
Mis à jour le 11/02/2019 à 09:52 | La Dépêche du Midi | G.D.
Les pêcheurs rassurés sur le barrage de Miquélou
Claude Fita et Claude Bousquet aux côtés du président Maurice Tissandié. / DDM G.D.
Le premier Claude a sa carte depuis longtemps, connaît le bief de pêche comme le fond de sa filoche et est trésorier de l'Aappma locale. Le second envisagerait d'adhérer à la fin de son deuxième mandat et a assisté à l'assemblée générale des pêcheurs graulhétois vendredi soir. Claude Bousquet l'ancien maire et Claude Fita l'actuel, ont partagé la vedette avec Maurice Tissandié qui en a profité pour annoncer que sa 20e année de présidence – en trois fois- serait la dernière. Et puisque l'élu avait annoncé d'emblée, être porteur d'une bonne nouvelle, la vingtaine de pêcheurs présents ont attendu patiemment la fin des comptes rendus, pour en écouter la teneur.
Elle concernait le barrage de Miquélou dont le niveau a été considérablement baissé par sécurité il y a tout juste dix ans, au grand désappointement des gaules graulhétoises. «Nous avons la certitude que le plan d'eau ne sera pas vidé en 2019 pour examens. Le bureau d'études chargé du dossier tout en gardant l'option du choix de l'écrêteur de crues, propose de garder le niveau à 182 mètres en comblant la fosse du barrage. Ces travaux qui sont prévus pour 2020-2021, avec vidange obligatoire, permettraient de réduire la pression de l'eau et de préserver la surface de la retenue».
«Il restera en eau»
Satisfaction de l'assemblée pour le devenir de ce barrage historique qui «restera en eau». Avec plus de 500 cartes - dont 73 pour des enfants de moins de 12 ans - l'Aappma de Graulhet pourrait couler des jours tranquilles, mais certaines situations interpellent le président Tissandié. À commencer par la difficulté, comme pour les autres sociétés du département, pour se fournir en poissons blancs et en carnassier pour (re) peupler plans d'eau et rivières. «Et le coût exorbitant d'un kilo de goujons qui dépasse allègrement les 40 euros !».
Le second coup de gueule du désormais retraité, sera pour les concours de pêche qu'organise son association et qui constate une érosion régulière du nombre de ses participants. «Les pêcheurs ne jouent pas le jeu. Ces organisations font vivre l'Aappma. Et cette situation n'est pas encourageante pour son avenir». Mais déjà, il donne rendez-vous ce samedi 16 février avec le concours du conseil départemental à Nabeillou. Et pour l'ouverture 2019, pour laquelle 240 kg de truites seront lâchés sur les lacs de Miquélou, Nabeillou, le Dadou et si le temps le permet, sur le ruisseau de Cabanès. En 2018, la société a procédé au lâcher de 825 kg de truites au total.
Mis à jour le 10/02/2019 à 10:42 | La Dépêche du Midi | G.D.
Au bonheur des dames du rugby en cuisine
Les dames aux fourneaux, c'est une autre version du bénévolat au Sporting./ DDM G.D.
Les impressions sont trompeuses. Mercredi dernier, c'est le président de l'amicale des supporters, Bernard Rivière en personnes, qui retournait précautionneusement les crêpes pour le dessert du repas des joueurs et des dirigeants du rugby graulhétois. Le tout sous l'œil goguenard de la chef de brigade Agnès, appliquée à faire habilement sauter les siennes sur le feu d'à-côté. «C'est la Chandeleur, et comme nous avons fait des galettes à l'Epiphanie, nous nous appliquons à régaler ces messieurs» assure Agnès, entrée au club il y a quarante ans aux côtés de son regretté supporter de mari.
Toutes les trois semaines, c'est la brigade des dames qui officie en cuisine et nul ne s'en plaint. Même pas Claire, la dernière arrivée. «Bernard est venu me chercher. Depuis trois ans je suis bénévole au club et depuis le début de saison à la cuisine. Je suis là pour donner quelques heures mensuelles au Sporting». Françoise, l'épouse de Bernard, est en cuisine elle aussi. «Elle touche à toutes les recettes avec un égal bonheur» assurent ses collègues. «D'autant plus que les menus sont établis à l'avance. C'est à nous à nous adapter». Et c'est choucroute ce mercredi. Raymonde et Maryse étant absentes, c'est Isabelle qui pèle les pommes de terre.
«On parle de bien manger»
«Je me rends disponible là où il y a du travail. Je préfère faire des desserts, mais c'est une habitude de cuisiner. Nous le faisons toutes à la maison, alors pourquoi pas le faire bénévolement au rugby, pour aider». Le coup de feu approche. Babeth arrive et prend possession de sa plonge, comme toutes les semaines. ça discute en remuant la salade. «Si c'est meilleur quand ce sont les dames qui cuisinent que quand ce sont les messieurs ? C'est aux joueurs et aux dirigeants qu'il faut poser la question»
Elle ne se pose même pas. Les plats de crêpes se vident en deux tours de table. «Si on ne gagne pas souvent, on mange bien !» entend-on par là. Comme une reconnaissance de cette implication des bénévoles dont tout club amateur a tant besoin. «Que ça dure ! On parle ici de bien manger bien sûr. Pas de résultats». Minuit, les tables dont débarrassées, la vaisselle terminée, le coup de balai donné. Rendez-vous dans trois semaines mesdames.
Mis à jour le 12/02/2019 à 08:12 | La Dépêche du Midi | J.-C Clerc
Des chantiers pour les personnes à mobilité réduite
La mise en accessibilité de l'espace public continue./ Photo DDM
Jeudi dernier, le rapport annuel de la commission communale pour l'accessibilité des personnes handicapées a été dévoilé lors de la séance publique du conseil municipal. Un bilan des actions menées l'an dernier dans le domaine ainsi que celles à venir dans les prochains mois a été dressé.
L'année 2018 était la troisième année du programme de travaux de mise en accessibilité des ERP (établissement recevant du public) et IOP (installations ouvertes au public).
Dans ce domaine, un plan incliné a été installé à l'école de l'Albertarié. Des places de parking réservées aux personnes à mobilité réduite ont été réalisées à la ferme de Nabeillou (avec une mise en accessibilité pour les personnes à mobilité réduite aux locaux associatifs). Il en a été de même au local des Restos du Cœur (avec la pose d'un plan incliné) ainsi qu'à proximité de tous les cimetières de la ville.
En revanche, plusieurs travaux étaient prévus à la salle Robert-Primault, au préau du stade, à la MJC et à la salle de la Capelette. Ils ont tous été reportés.
Au total, 1236 euros ont été consacrés aux travaux dans les bâtiments et 9924,73 euros aux travaux de voirie.
Cinq chantiers en cours
Cette année, cinq chantiers sont programmés dans le cadre de ce plan pluriannuel : la mise en accessibilité de la salle Robert-Primault et de la banque d'accueil de la maison des jeunes et de la culture, la réalisation du cheminement extérieur et de places réservées au pavillon omnisports, l'installation d'un plan incliné à l'ancienne école de la Ventenayé et enfin la création de places de parking réservées et d'un cheminement extérieur au boulodrome.
Outre ces chantiers, les travaux en cours à l'auditorium permettront à tous de bénéficier de ce lieu situé au premier étage d'un bâtiment.
Il faudra donc attendre encore un peu avant la mise en accessibilité de tous les ERP et les IOP de la commune.
En revanche, toutes les rénovations et les créations d'agencements de voirie prennent désormais en compte cette contrainte.
Publié le 14/02/2019 à 08:22 | La Dépêche du Midi | J-C Clerc
Travaux : un mois de retard pour le chantier de Crins ?
Les travaux de réhabilitation sont en cours./Photo DDM, J-C C
À l'occasion du dernier conseil municipal, Claude Fita a souhaité rajouter à l'ordre du jour la signature d'une convention de partenariat avec Tarn Habitat dans le cadre du projet de réhabilitation du quartier de Crins.
Pour rappel, la loi de finances 2018 avait eu pour conséquence le gel de deux chantiers portés par Tarn Habitat sur la ville, dont celui de la réhabilitation du quartier de Crins. La création d'un logement «R + 2» étant finalement à nouveau d'actualité, Claude Fita a demandé à ce que soit ajoutée cette question à l'ordre du jour de la séance.
Une convention signée avec Tarn Habitat
Une convention avec Tarn Habitat pour permettre l'intégration de ce bâtiment dans le cadre du projet, notamment en ce qui concerne les réseaux, était a été proposée aux élus.
Cependant, pour que la question puisse être inscrite à l'ordre du jour, il aurait fallu que les conseillers municipaux répondent favorablement à cette requête à l'unanimité.
Bruno de Boisseson, l'un des deux membres de la liste «L'avenir de Graulhet», a choisi, seul, de refuser de voir cette question ajoutée à l'ordre du jour, au grand dam de Guy Peyre.
L'élu de la majorité a souligné que cette décision risquait de retarder le chantier d'un mois, expliquant que l'information était arrivée trop tardivement pour que le sujet puisse figurer à l'ordre du jour. Elle avait pourtant été évoquée la veille lors de la commission des finances à laquelle Bruno de Boisseson était absent.
«J'ai adressé un courriel le mercredi matin pour signifier mon absence. Le document aurait très bien pu être transmis par courriel à tous les membres du conseil municipal», souligne Bruno de Boisseson.
Le maire a choisi de respecter la position de l'élu d'opposition et la collectivité et Tarn Habitat s'efforcent de travailler afin que cette décision n'ait pas d'impact sur le calendrier du chantier.
Cette proposition de convention sera évidemment inscrite à l'ordre du jour de la prochaine réunion du conseil municipal. Il aura lieu dans un mois à l'occasion d'une séance publique qui devrait se dérouler le jeudi 14 mars.
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