Graulhet : Rétro Novembre 2018 -2-

16/1/2019

   GRAULHET : Du Bruc à Ricardens   



   Graulhet : Rétro Novembre 2018 -2-   


Publié le 16/11/2018 à 07:48  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Cinq nouvelles usines en ligne de mire


L'usine Bourdariès, située dans la rue des Peseignes, fait partie de l'appel à propjets./Photo DDM, J-C C

Même si le sujet n'était pas à l'ordre du jour, il a été longuement question du traitement de cinq friches industrielles lors de la dernière réunion en séance publique du conseil municipal.
«Aujourd'hui, la région a fait un appel à projet avec un dispositif qui permettra de nous aider à démolir certaines friches», a confié Claude Fita, maire de la commune. Cinq friches ont été présentées dans ce cadre.

«Cet appel à projet s'inspire de ce que nous avons déjà mis en action à Graulhet avec un partenariat avec l'ADEME, l'Etat, la Caisse des dépôts et des consignations, le BRGM. Que des interlocuteurs qui sont déjà intervenus sur la ville», a expliqué Claire Fita, conseillère régionale, qui souligne : «Nous avions obtenu de la part de la région un financement dans le cadre du projet de reconversion de friches industrielles à titre exceptionnel lors du mandat précédent. Désormais, l'objectif est d'arrêter de consommer de la terre agricole et de reconstruire la ville sur la ville».

Les cinq friches de l'appel à projet sont l'usine Joqueviel et Vieux à Saint-Pierre, l'usine Bourdariès située dans la rue des Peseignes, l'ancienne station-service de Crins, une ancienne usine située à l'îlot du Gouch et l'ancien garage Citroën situé sur l'avenue Charles-de-Gaulle.
Cet appel à projet concerne des biens qui ont été acquis par la collectivité mais aussi qui sont encore aujourd'hui des propriétés privées.

«On continue le PRBG, le projet de réhabilitation du bassin graulhétois, qui a déjà permis de démolir six friches industrielles», s'est félicité Claude Fita, soulignant : «Nous nous concentrons sur le centre-ville pour qu'il y ait plus de friches».
Une réunion aura lieu en décembre avec l'ensemble des partenaires. Ce nouveau projet verra, grâce au concours de la région, un nouveau partenaire, l'Etablissement public foncier qui aura pour mission d'acheter les friches et de mener les travaux d'études très stricts. Une fois la destination connue, le nouveau propriétaire aura à sa charge les travaux de construction.


Publié le 16/11/2018 à 03:53  | La Dépêche du Midi |

Très beau succès pour «Génération chansons «


Les chanteurs ont plaisir à monter sur scène. /  Photo DDM.

C'est une salle comble qui a attendu la chorale de la OLA à Briatexte où elle a donné le spectacle «la Fête aux chansons».
Au total ce sont deux heures et demie de chansons variées et d'animations scéniques livrés à un rythme soutenu, révélant sans conteste l'énergie qui émane de ce groupe d'amateurs, qui ont été données. Tout ceci a contrasté avec, en fin de spectacle, un auditoire tout d'abord assis silencieux, empreint d'émotion, lors de l'hommage à Charles Aznavour avant une «stand up ovation» à tout rompre pour un final où le groupe au grand complet rejoignit la scène pour le «salut» de Michel Sardou.

Le rideau tombe donc sur «la Fête aux chansons» mais pour musiciens et chanteurs il n'est pas question de se relâcher car se profilent immédiatement les répétitions du prochain spectacle qui sera présenté au forum de Graulhet le 9 mars prochain. Il va s'intituler «La balade en chansons». On a déjà hâte d'y être.


Publié le 17/11/2018 à 08:30  | La Dépêche du Midi |  Recueilli par G.D.

Vol à voile : Hugo Corbillé ira aux championnats du Monde


Hugo à l'aise dans son cockpit, autant que dans ses études. / Photo DDM

Hugo Corbillé, 23 ans, en dernière année d'études à l'ISAE Supaero à Toulouse, est le fils du chef pilote et président de l'Association tarnaise de vol à voile où il est licencié.

Quelle bonne nouvelle avez-vous reçu récemment ?
Fin octobre, j'ai appris avec joie ma sélection en équipe de France pour les championnats du monde juniors (-25 ans) qui se dérouleront l'été prochain en Hongrie, à Szeged. Je participerai en classe standard avec deux coéquipiers que je connais maintenant très bien. Les championnats du monde ont lieu tous les deux ans. La qualification est établie sur les résultats en championnats de France sur les deux années précédant le championnat en question. Ma troisième place en 2017 et mon titre de vice-champion de France cette année ont permis cette sélection en équipe de France.

Quel est votre parcours ?
J'ai commencé le vol à voile il y a maintenant dix ans. À 16 ans, j'ai découvert l'univers de la compétition auquel j'ai vite pris goût. C'est depuis ma rentrée à Supaéro il y trois ans désormais que j'ai pu me réinvestir dans mon sport et dans la compétition. Il y a deux ans j'ai intégré le pôle espoir national de planeur qui est une structure basée dans les Alpes qui vise à nous former à la compétition et au haut niveau.

Comment va se dérouler la compétition ?
Une compétition de planeur se déroule sur plusieurs journées, deux semaines dans le cas d'un championnat du monde. L'objectif est d'achever un circuit imposé avec la meilleure vitesse moyenne.
Pour cela, nous utilisons ce que l'on nomme des «ascendances» qui nous permettent de monter pour ensuite nous déplacer. Tout l'enjeu est de minimiser le temps passé à monter car lorsque nous spiralons pour monter, nous n'avançons pas sur le circuit.

L'élite du vol à voile a un pays, un continent ?
La France fait partie des meilleures nations mondiales en planeur. Numéro un mondial en 2016, nous sommes actuellement dans le top 3 des meilleures nations mondiales avec l'Allemagne et la Pologne.

Quels secteurs devrez-vous améliorer ?
Un des points sur lequel je vais axer ma préparation est ma créativité dans des situations nouvelles. En effet, en raison de ma formation scientifique, ma prise de décision est généralement axée sur la logique, ce qui est un point fort dans un très grand nombre de situations. Néanmoins, dans le sport de haut niveau, il faut parfois savoir dépasser cela et être capable de créer dans une situation inhabituelle afin de faire la différence.


Publié le 18/11/2018 à 11:03  | La Dépêche du Midi |  G.D.

La Ma Fado a ouvert ses portes


Belle panoplie des cadeaux pour Noël./ DDM G.D.

Grosse effervescence vendredi soir, rue Verdaussou. La Ma Fado, ouvrait ses portes pour l'ouverture de sa boutique des créateurs. 24 artisans y proposent des objets uniques, bijoux, maroquinerie, vêtements, accessoires, sacs, sérigraphies, savons, miroirs, bougeoirs, cadres, sculptures ou encore étonnantes «paperolles», objets décorés à l'ide de bandelettes de papier, Depuis une semaine, une «artiste invitée», Eboila, présente ses lampes et appliques en bois. Pour pratiquement tous, venant de Graulhet, du Tarn ou des alentours, cette boutique représente l'opportunité d'une vitrine.

«Nous proposons en premier lieu un espace de vente, explique Catherine Udino, la présidente de l'association dont le nom équivaut à «la main folle» ou «la main créatrice». Et nous en faisons un exemple d'économie sociale et solidaire. Nous reversons la quasi-totalité de la vente au créateur. Le petit prélèvement permet de pallier les dépenses de fonctionnement de la boutique».

Un essai de trois mois, à tour de rôle, les exposants assurent la permanence.
«Cette ouverture nous permet de mettre en avant les savoir-faire de chacun» reconnaît Antoine Caparros, maroquinier et concepteur, qui s'est lancé il y a un an, chez lui, sous la marque Capacuir.

«Nous avons des demandes d'autres artisans pour intégrer le point de vente. Nous avons prévu de l'ouvrir trois mois. Au terme de cet essai, nous envisageons une ouverture permanente. Nous ne voulons pas que ce soit une boutique éphémère» assure Catherine Udino, en s'appuyant sur les premiers chiffres des clients qui peuvent trouver en centre-ville un grand choix dans leur quête du cadeau de Noël.
Les samedis après-midi, plusieurs ateliers d'initiation aux techniques sont proposés. Une tombola est organisée pour l'ouverture, avec tirage au sort le 5 décembre.


Publié le 19/11/2018 à 08:10  | La Dépêche du Midi |  G.D.

1 283 surnoms recensés par Jean Chabbal


Jean Chabbal déjà auteur de livres référence sur le passé graulhétois./ DDM G.D

De l'Abaïrounès au Zouabo, 1 283 surnoms, la plupart du siècle dernier, sont répertoriés dans le livre de 130 pages que sort Jean Chabbal, tirage spécial des Cahiers d'Arc-En-Ciel, revue littéraire qu'il co-rédige avant la dernière parution. Des années de recherches sur la base de témoignages oraux ont été nécessaires à l'auteur pour arriver à proposer une liste complète et savoureuse de ces sobriquets, sous lesquels les familles étaient la plupart du temps plus connues que par leurs noms. 

«Ces surnoms ont été donnés pour définir une personne, que ce soit par son lieu d'habitation, sa particularité physique, son comportement ou encore son métier. Ils sont rarement élogieux, parfois neutres, souvent moqueurs. à une époque, chaque famille sinon chaque individu avait le sien» assure Jean Chabbal en rangeant cette longue liste au patrimoine immatériel local. «Tout a commencé dans les années 90. J'étais pigiste pour la Dépêche et j'avais trouvé cette série pour boucher un coin de page. Ces articles eurent le mérite de réveiller les mémoires et quantité d'anciens m'ont communiqué de nouveaux éléments. J'ai allongé la liste dans Arc en Ciel et je l'ai enrichie pour sortir ce livre».

Lou Tibou, lou Cap Pountsut
Parfois hostiles quand le surnom laisse libre expression, les réactions ont amené Jean Chabbal à persévérer. «C'est vrai, certains sont péjoratifs. Comme la plupart qui illustrent l'histoire de France et de ses rois. Ils étaient un mal nécessaire parfois, pour différencier les homonymes !» L'auteur s'attarde sur les surnoms illustres qui ont souvent donné une popularité sinon une personnalité à celui qui le portait. On y retrouve la Sifa, la Massillo, lou Tsardinié dé San Peyré, la Martsando dé pissarels, lou Tibou, ou lou Cap Pountsut. 

Cette minutieuse recherche a poussé l'auteur à ouvrir quelques paragraphes sur les quartiers anciens. On y retrouve leurs «vedettes» dans les cafés du coin, chez les coiffeurs, au bord du Dadou chez les buandières, autour de l'omelette pascale, ou dans l'histoire du Terminus. Une belle lecture pour l'hiver ou une idée cadeau. Le livre disponible auprès de son auteur, sera chez les dépositaires habituels d'Arc-En-Ciel au plus tard début décembre.


Publié le 19/11/2018 à 08:46  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Graulhet s'enfonce un peu plus encore

Graulhet 3 – Narbonne 26


Narbonne avait déjà éteint tout suspense à la pause./ Photo DDM Marie-Pierre Volle

Le contexte : Narbonne qui joue pour la qualification, et dans l'obligation de prendre des points dans le Tarn, pour rester dans la course. Graulhet qui joue pour la descente, et qui devra l'envisager en cas de défaite. Deux contextes différents, un objectif commun. Et un repère, les 50 points passés par Narbonne à Rodez il y a 8 jours alors que Graulhet en avait encaissé autant il y a quinze en Aveyron. Pas rassurant !

Le match : La différence de niveau d'évolution a été nette durant les 40 premières minutes. Avec le vent favorable, Icart a ouvert le score sur pénalité. Dans la foulée, une relance de Narbonne de son en-but, relayée par Escalle et Nova sprintait jusqu'à l'en-but. Et une nouvelle entame ratée pour les Tarnais. D'autant plus qu'un une deux Taele-Bitz envoyait le 2e ligne à l'essai 5 minutes plus tard. À la 22e, Narbonne tenait déjà son bonus avec l'essai en force d'Acosta. Quatre temps de jeu et déjà le 4e essai audois. Tout suspense mort. D'autant plus que la mêlée visiteuse, en supériorité numérique assurait l'essentiel.

À la mi-temps les supporters graulhétois étaient déjà à leur voiture. Main-mise visiteuse à la reprise seulement perturbée par la réaction désordonnée des locaux en fin de rencontre. S'en sont suivies, 30 minutes insipides entre une équipe déjà résignée et l'autre depuis longtemps vainqueur assurant la gestion de son succès. Mais, la petite satisfaction pour les Tarnais trop prévisibles, de ne pas avoir cédé en seconde mi-temps une seule fois contre le vent.

Le tournant : Ou plutôt la longue ligne droite narbonnaise sans un gilet jaune au carrefour graulhétois pour ralentir l'avancée durant une première mi-temps en sens unique.
L'essai : Celui de Bitz, sur un fond de touche, relayé par Taele, délivrant une chistéra intérieure pour son compère de 2e ligne. Étonnant attelage d'expérience,
Les hommes : L'expérience de N'Zi, de Taele, de Marut, la complémentarité de Minga et de François, la solidité de la première ligne côté narbonnais. La fin de match du collectif graulhétois.

Aué : «La situation est critique»
Guy Laporte (co-président) : «L'équipe a eu du mal à se remettre de sa première mi-temps. La seconde phase de championnat devrait nous être plus favorable avec en plus le retour des blessés.»
Jean-Marc Aué : «Il aurait fallu être plus entreprenants offensivement et être durs sur les duels et sérieux sur la discipline. Il y avait cette solidarité dans la difficulté que j'ai envie de retenir plutôt que le score. La situation est critique certes, mais pas plus que celle que nous connaissions avant ce match.»


Publié le 20/11/2018 à 07:43  | La Dépêche du Midi |  J-C C.

Des dizaines d'archers dimanche à Nabeillou


Le tir à l'arc se pratique aussi en pleine nature./ Photo DDM, Les Archers du Dadou

Ce dimanche 25 novembre le club des Archers du Dadou organisera un concours de tir à l'arc «nature» sur le site de Nabeillou, un évènement rare auquel le grand public est convié.

Le tir «nature» est une des disciplines du tir à l'arc qui se pratique en pelotons sur un parcours de quarante-deux cibles composées de blasons animaliers, photos ou dessins, de différentes tailles. Des zones de points donnent des scores différents en fonction des zones atteintes. À Nabeillou les Archers du Dadou bénéficient d'un site permettant l'accueil d'une épreuve de ce type durant laquelle chaque archer tire deux flèches. Les distances de tir vont de 5 à 40 mètres en fonction des catégories.

Chez les Archers du Dadou (club labellisé Argent de la fédération) la discipline se pratique dès 9 ans. Un tiers de la soixantaine de licenciés est d'ailleurs constitué d'archers de moins de 18 ans. Les cours des plus jeunes ont lieu le mercredi après-midi, suivi d'une séance ouverte à tous. Le samedi est réservé aux archers confirmés. Le club propose toutes les disciples de tir à l'arc, à l'exception, pour l'instant, du beursault et du tir à la perche.

Si le palmarès du club graulhétois est impressionnant (avec dans ses rangs le champion du monde Robin Gardeur), l'esprit est avant tout familial et axé sur le plaisir. Le club de Nabeillou accueille chaque année trois compétitions, deux tirs «natures» et un tir «campagne». Habituellement, entre cinquante et quatre-vingts tireurs y prennent part, suivant la météo.

Dimanche, les départs du concours nature auront lieu en simultané à 9 h 15 (début des tirs à 9 h 30) et à 13 h 45 (début des tirs à 14 heures). Le public pourra être à proximité et constater que le tir «nature» fait partie des disciplines plus conviviales et festives que le tir en salle.
La remise des récompenses, quant à elle, aura lieu vers 17 h 30.
Pour que la fête soit belle, il ne reste, comme pour toutes les disciplines d'extérieur, qu'à espérer que le beau temps soit aussi de la partie.


 
Publié le 21/11/2018 à 07:45  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Passage de relais en douceur aux Restos du Cœur


Jeanine Rella (à gauche) aux côtés de Danièle Bec. / DDM G.D.

Après une longue implication de quinze années aux Restos du Cœur, Danièle Bec avoue connaître la lassitude. Si elle tend à laisser son poste de présidente à Jeanine Rella, cette dernière entend bien le partager encore avec l'ancienne titulaire. Au moins un an. Ceci, avec l'appui de Djamila Soares-Pinto et de Jean Caze, pour assurer les multiples tâches administratives. «C'est ce secteur qui rend les fonctions épuisantes, assure Danièle Bec. L'administratif, la gestion du groupe des bénévoles, les normes d'hygiène, les impératifs de sécurité, le fonctionnement peut être comparé à celui d'une entreprise». Pour Jeanine Rella, il était difficile d'envisager de l'assurer seule. «C'était la condition pour que j'accepte».

Cette semaine, les Restos procèdent aux inscriptions pour la campagne d'hiver qui débutera le 27 novembre avec les premières distributions. Et contrairement aux chiffres nationaux, qui annoncent une montée en flèche des bénéficiaires, les Restos de Graulhet constatent une stabilité. Même si lors de la campagne précédente 125 familles – de 1 à 6 personnes – ont franchi la porte de la place des Tanneurs. «Il est difficile de juger de l'avancée de la précarité. Je connais des gens qui par fierté ou par pudeur refusent une quelconque aide de notre part. D'autre part, il existe une réelle solidarité familiale», conçoit Jeanine Rella. Côté bénévoles, là aussi, c'est stable. Ils sont 33 à assurer les tâches récurrentes.

«Des gens qui veulent participer à quelque chose d'essentiel. Mais pas que des retraités, des actifs aussi !». Le poste important concerne la ramasse. «Le matin de la distribution, les bénévoles vont récupérer fruits et légumes – en plus de ceux fournis par les Jardins du Cœur – dans deux grandes surfaces, doivent les trier, les peser, les préparer à la distribution.» Des tâches assurées dans la sérénité, la même qui anime la passation de responsabilités aux Restos du Cœur.


Publié le 21/11/2018 à 07:45  | La Dépêche du Midi |

Fête des 18 ans à Graulhet Solidarité Migrants 


/ Photo DDM

En proposant de venir se retrouver autour d'un repas africain, préparé par des jeunes majeurs, de la musique et de la convivialité, l'association Graulhet Solidarité Migrants «fera la fête des 18 ans» ce samedi 24 novembre sous le préau du stade Noël-Pélissou. De nombreuses animations sont prévues entre 7 h et 24 h : la préparation d'un spectacle, des contes, un apéro en fanfare, des lectures aux enfants, une prestation de la chorale La Rugissante et un concert de musiques du monde par Casa Riddim. Fin de soirée avec le DJ Ogm. Et les petits gâteaux de Nadera en prime.


Publié le 22/11/2018 à 08:27  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

La «boutique école» ouvre ses portes rue Jean-Jaurès


Les six créatrices de la boutique éphémère./ Photo DDM, J-C C

C'est une expérience unique en Occitanie qui vient de prendre vie à l'angle de la rue Jean-Jaurès et de la place Jean-Moulin. Cette boutique éphémère ouverte jusqu'au 31 décembre va permettre d'accompagner six créatrices dans leur projet professionnel.

Sacs à main, objets de décoration en similicuir, articles d'ameublement, bijoux, articles de couture autour du bien-être, poteries ou boîtes à mouchoirs recyclables… Celles qui vendent sont aussi celles qui ont fabriqué. «Avec le volet collectif de l'accompagnement, elles ont pu préparer l'ouverture, travailler sur les games de produits, les quantités, les réassorts, l'organisation des horaires d'ouverture de la boutique. Il a aussi été question des techniques de vente, de la présentation des objets en vitrine ou de la relation aux clients», explique Pascal Bonnin, conseiller en formation développement à l'ADEFPAT. Une partie de formation individualisée a aussi été assurée avec chacune en fonction de son projet. Il y a d'ailleurs autant de cas de figure que de projets, certaines étant à la recherche d'un complément de revenus, d'autres ayant pour objectif de s'établir à leur compte…

Des résultats attendus
«Le projet a commencé il y a plusieurs mois avec les bénéficiaires et se poursuivra en janvier pour examiner l'évolution des projets. Les créatrices pourront ensuite éventuellement basculer vers les dispositifs portés par l'agglomération», explique Marie-Laure Ricard-Goguery, chargée de mission «développement économique» à l'agglomération.

«C'est le seul projet de ce type en Occitanie. Nous engrangeons de l'information pour peut-être proposer ce dispositif ailleurs dans le Tarn, en Aveyron, dans le Lot, le Tarn-et-Garonne ou la Lozère», confie Pascal Bonnin. En fonction des résultats obtenus à l'issue de cette première, une nouvelle session pourrait voir le jour l'an prochain à Graulhet. Pour l'heure, la boutique école est ouverte du mardi au samedi de 10 heures à 12 h 30 et de 14 h 30 à 19 heures.


Publié le 22/11/2018 à 08:28  | La Dépêche du Midi |

De nouveaux îlots sur la rocade


/ Photo DDM

Dans le cadre de travaux réalisés en régie par la municipalité, deux nouveaux îlots sur la rocade de la ville ont été réaménagés. Ils sont situés sur la route départementale 631A entre le pont des Voûtes et le carrefour de l'Europe.

Le traitement de ces aménagements urbains consiste, comme pour les précédents îlots réaménagés, à couler du béton teinté en rose en lieu et place de la végétation. Cette opération permet de faciliter et surtout limiter l'entretien de ces espaces verts.
Situés entre de grandes voies de circulation – limitées à 70 km/h mais très fréquentée – les travaux effectués fréquemment sur ces îlots par les équipes municipales pouvaient parfois se montrer dangereux.


Publié le 23/11/2018 à 07:53  | La Dépêche du Midi |

Le club continue à s'étoffer et engrange les bons points


Bon début de saison pour les handballeurs./ Photo DDM

C'est un bon début de saison qui a été assuré au Handball Club avec la création de cinq équipes en – 9 ans mixtes, – 11 mixtes, – 13 ans masculins, 15-18 ans et loisirs mixte. Le club continue son développement d'année en année, notamment grâce à un encadrement bien renforcé en ce début de saison avec un entraîneur par équipe et des parents beaucoup plus impliqués. Les – 9 ans viennent de remporter dimanche le challenge mensuel à Albi avec cinq matchs gagnés sur cinq joués. 

Les – 11 ans ont du mal en championnat départemental contre des équipes de plus haut niveau mais progresse petit à petit chaque semaine. Les – 13 ans, en milieu de tableau de championnat départemental, ont leur chemin sous les directives de Jérôme avec entraînement soutenu et technique à chaque séance. Du côté des Loisirs, rien ne va plus avec 23 joueurs et joueuses, soit une équipe jeunes et une équipe seniors qui font preuve de dynamisme, comptant deux victoires sur deux contre Puylaurens et Castres. Le prochain match aura lieu le lundi 26 novembre contre Albi.

Les personnes intéressées par le handball peuvent rejoindre le club qui, en surfant sur sa dynamique, enrichit ses effectifs. «Pour accueillir les jeunes et moins jeunes, il propose trois séances gratuites sans obligation de licence sportive», souligne Henri Cardinale, son président. 


Publié le 23/11/2018 à 07:52  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

Un bilan très positif pour «Le cuir dans la peau»


L'opération est une occasion unique pour tout découvrir de la filière./ Photo DDM, J-C C

A l'occasion de l'opération «Le cuir dans la peau», la Maison des métiers du cuir (MMC) et des entreprises de la filière ont ouvert leurs portes au grand public durant deux jours. Cette seconde édition de l'évènement, organisé par l'Office de tourisme Bastides et Vignoble du Gaillacois, a accueilli 1 100 visiteurs, dont 95 % se sont déclarés satisfaits à l'issue de leurs visites.

Cette opération permet de faire tomber plusieurs préjugés. D'abord sur le dynamisme de toute une filière sur le territoire qui peut être constaté durant ces deux jours, tout comme les innovations de ce secteur économique. À l'heure des bilans des portes ouvertes, on constate aussi que 70 % des visiteurs étaient… des visiteuses.

Leur origine est aussi révélatrice avec 17 % de Graulhétois, 27 % de visiteurs venus d'un rayon de 20 kilomètres et 22 % du reste du Tarn. Parmi plus d'un millier de visiteurs, 13 % ont fait le déplacement depuis la Haute-Garonne, 14 % résident hors Occitanie, témoignant ainsi d'un intérêt pour le secteur allant bien au-delà des frontières du local. Quant aux raisons de leur venue, 38 % déclarent qu'elle vient de l'envie de visiter les entreprises à parts égales avec l'envie de découvrir les savoir-faire. On notera aussi qu'un peu plus de 70 personnes ont déclaré venir pour des raisons professionnelles.
Le podium de ce qui a été le plus apprécié est le suivant : la découverte des matières et métiers de la filière, la passion transmise par le personnel et le guide et enfin la qualité des visites et de l'accueil.

D'ores et déjà, une troisième édition est envisagée et l'enquête menée permet de dégager plusieurs axes pour améliorer l'expérience des futurs visiteurs de l'amélioration de la signalétique et du système de réservation en passant par l'appel à plus de personnels ou une programmation avec des étapes plus longues en raison de l'intérêt et de la soif de connaissances des visiteurs.
Avec 95 % de visiteurs satisfaits, il semble difficile de faire mieux. C'est pourtant le défi que s'apprêtent à relever les organisateurs.


Publié le 24/11/2018 à 09:01  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Unité collégiale pour refaire Rues d'Eté


Jean-Claude et Marie, deux nouveaux impliqués dans le festival Rues d'Eté./ DDM G.D

Le festival Rues d'Eté, fleuron de l'animation estivale, aura sa onzième édition. Elle se déroulera les 12 et 13 juillet 2019. C'est une nouvelle collégiale qui a repris en main les destinées de la manifestation après le départ de la plupart des engagés historiques et une période de doute. Parmi les quatre nouveaux responsables – deux sont restés – Jean-Claude Geoffroy arrive avec l'enthousiasme de celui qui a assisté en spectateur à la dernière édition et qui a été conquis.

«Nouvellement installé sur Graulhet, j'ai senti que Rues d'Eté était une manifestation phare sur la ville. À nous de la faire durer», espère humblement cet ancien journaliste champenois d'Est Eclair chargé, cela va de soi, de la communication. «Notre objectif sera de la faire partager à un public élargi, d'y impliquer un maximum de personnes de tous horizons, d'y fédérer les activités des quartiers, les communautés, les âges, les catégories sociales en gardant cette philosophie fédératrice». Marie Guerrini fait aussi partie des nouveaux, même si elle a participé sur trois éditions à Rues d'Eté, mais en tant qu'artiste. 

«Je me mets au service de l'organisation en m'appuyant sur les expériences vécues de mes participations à de nombreux festivals de rues. Nous espérons ouvrir Rues d'Eté à une population qui n'est au départ pas friande de ce type de fête. Sachez que Rues d'Eté n'est pas une manifestation de consommation. C'est la découverte de talents locaux ou régionaux, en sachant que ce festival reste le seul du département associé à la gratuité». Si les diverses commissions se sont déjà mises au travail – la première réunion commune avait lieu ce vendredi soir – le thème de l'édition 2019 a déjà été choisi.

«Il s'agit des voyages et de toutes les interprétations possibles que les artistes peuvent en faire, dans le réel comme dans l'imaginaire», conçoit Jean-Claude Geoffroy qui n'envisage pas de tête d'affiche sur le festival.
«Car notre objectif est d'y faire participer le plus grand nombre, sur scène et autour !».

 

Publié le 25/11/2018 à 10:03  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Boucherie : les deux employés passent «premiers couteaux»


Jacques Py et Patrick Verdès entourant ALi et Léa. / DDM G.D.

À partir de cette semaine, et de mardi à 6h30, Léa Colin et Ali Krouk, ne seront plus les seconds couteaux de la boucherie graulhétoise. Les deux ex-employés ont uni leurs compétences pour s'associer et ouvrir «la Belle Côte», place Mercadial, en lieu et place de la boucherie Verdès, référence locale et détentrice du diplôme du meilleur boudin de France décerné en 2016. Une fabrication que le duo se fait bien sûr, un devoir de prolonger. Durant ce mois de novembre, c'est tout le commerce et en particulier l'intérieur du magasin, qui a été entièrement refait, pour un meilleur accueil et pour la création d'un rayon vins épicerie fine et d'un rayon fromages. 

«Nous unissons nos deux compétences» assure Léa Colin, parisotaine, jeune bouchère confirmée de 28 ans, qui a commencé sa carrière à Gaillac puis dans d'autres maisons tarnaises pour acquérir l'expérience nécessaire à sa nouvelle association. Ali Krouk lui, est une référence dans le milieu avec 22 ans de désossage et de découpe au compteur. Stagiaire chez Verdès, puis apprenti chez Deymier, il est revenu chez son premier employeur dont il prend aujourd'hui la suite. «Avec une vision bien précise de ce qu'est ce commerce. C'est-à-dire, travailler de façon artisanale, en allant d'abord chez l'éleveur choisir ses bêtes. Il y a de la qualité sur notre terroir. Et être proche de la clientèle en lui proposant par exemple la livraison à domicile sur commande». 

Lagasse à Labessière-Candeil, Vieu à Missècle, Trouche à Verdalle, et Campos à Puybegon font partie de leurs fournisseurs. Et pour confirmer leur polyvalence, Léa et Ali vont proposer leur propre ligne de plats cuisinés et de spécialités en conserve. Depuis quelques jours, Patrick Verdès comme Jacques Py les deux jeunes retraités de la boucherie locale, passent régulièrement prodiguer conseils et encouragements aux deux désormais premiers couteaux de ce commerce de plein centre-ville.


Publié le 26/11/2018 à 07:36  | La Dépêche du Midi |

Le renouveau du club d'athlétisme et des lanceurs


Les jeunes du club bénéficient d'un encadrement de qualité. / DDM

Suite à la défection de quelques entraîneurs bénévoles le club d'athlétisme du Sporting Club Graulhétois, aurait pu se trouver en difficulté pour cette saison 2018-2019, pour pouvoir accueillir toutes les catégories de son école d'athlétisme. «C'est grâce à son association dans l'entente des clubs de l'albigeois que le club peut poursuivre son chemin» assure Gerard Navalès, éducateur historique du club. Les athlètes bénéficient désormais d'un entraîneur diplômé d'un DEJEPS (diplôme d'état jeunesse populaire sport) mention athlétisme, Anthony Hahn également titulaire d'un BAC économique et social, qui intervient 8 heures par semaine sur le stade Noël Pélissou. Le mardi et vendredi sur 2 groupes benjamins de 17h15 à 18h40 et juniors, cadets, minimes, de18h40 à 20 heures. Le samedi de 12 heures à 13 heures il anime les éveils athlétiques (pour les 7 à 9ans). Vanessa Thémines anime les poussins les mercredis et vendredis.

Gérard Navales reste en soutien sur ces catégories. Pierre De Rouck amène aussi son expérience pour les lancers. Des lanceurs Graulhétois qui se sont mis en valeur en intégrant l'équip'athlé de l'entente ou au cours des Inter-Départementaux. Marion Benos au lancer de disque 32m58, et 32m95 au marteau, Julie Le Morvan 32m54 au javelot, Elise Casenave 8m93 au poids et 25m11 au disque, Lucas Dosse 32m54 au marteau, 25m34 au javelot et 10m54 au poids.

Quatre Athlètes qui rentrent dans les meilleurs régionaux et qui seront désormais suivi par un nouvel entraîneur spécialiste lancers Cédric Begue. Les progrès enregistrés dès ce début de saison pourraient bien les amener aux premières places. Une situation que les responsables espèrent provisoire.


Publié le 27/11/2018 à 07:45  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

J-2 avant le début des actions du Téléthon graulhétois


Le «Téléthon merci» permet aux associations de se retrouver. / Photo DDM, J-C C

Du 7 au 9 décembre des dizaines d'associations de la ville seront mobilisées dans la cadre du Téléthon. Plusieurs évènement au profit de cette action caritative sont prévus amont et en aval du rendez-vous.
Les élèves du lycée professionnel proposeront une vente de pommes en sachets (collectées par les élèves des classes de première année de CAP et CMS, commerce multi-spécialisés) sur le marché de la place du Jourdain les jeudis 29 novembre et 6 décembre au matin.

L'association OLA (organisation loisirs animation) organisera quant à elle une randonnée avec ses adhérents le mardi 4 décembre à partir de 13 h 30. A cette occasion la OLA proposera une urne pour collecter des fonds au profit du Téléthon.
Outre le «temps fort» du week-end de mobilisation, d'autres actions seront aussi menés par les associations graulhétoises à aval de l'évènement.

Ainsi la section tennis de table du Sporting club graulhétois organiser aun tournoi le 15 décembre au gymnase de la Capelette. Licenciés et non-licenciés de tout âges pourront y prendre part de 14 heures à 20 heures.
Les écoles de la ville seront quant à elles mobilisées jusqu'au 14 décembre. Elles collecteront les piles usagées avec pour objectif d'établir un nouveau record lors de la pesée en fin d ‘opération.

Loin de se terminer en décembre, la mobilisation des bénévoles se poursuivra à Grauhet jusqu'au 16 février. Ce soir-là le cabaret des 7 mers donnera une comédie musicale avec la compagnie Evelyne Remazlhes comprenant vingt deux artistes, chanteurs et danseurs.
En multipliant les rendez-vous hors du week-end de la manifestation nationale, les bénévoles limitent les risques liées aux conditions climatiques qui ont parfois lourdement porté préjudice à l'évènement.


Publié le 28/11/2018 à 08:13  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Gilets jaunes à Graulhet : mobilisation et détermination ne faiblissent pas


Hier matin, au milieu du carrefour bloqué par les camions durant un quart d'heure./ Photo DDM G.D.

Ce mardi matin, les gilets jaunes ont carrément bloqué la circulation durant un quart d'heure au carrefour des Voûtes. Une première, car depuis le début du mouvement, aux trois entrées principales de la ville, côté Lavaur, Gaillac et Réalmont, elle n'est que ralentie. Pour Cédric Plucain, c'est le signe que la mobilisation et la détermination ne faiblissent pas. Ni élu, ni autoproclamé, cet ex-exploitant agricole se veut, par son engagement 24 heures sur 24, le porte-parole local du mouvement national.

«J'ai ma résidence principale ici depuis le premier samedi. Je suis à la rue professionnellement et je n'ai rien à perdre», assure-t-il. «Il y a sur Graulhet une mobilisation qu'il n'y a que rarement ailleurs sur des villes de cette taille», lance-t-il, en s'appuyant sur des chiffres. «Ce samedi, nous étions 350 à ce carrefour. Les automobilistes nous soutiennent. Durant la semaine dernière, 7 896 ont signé la pétition en étant pour l'action des gilets jaune, et 45 ont signé contre !» Comme sur les trois autres ronds-points, une vieille caravane et des bâches servent de refuge en cas de mauvais temps, de coin repas et de dortoir. «Nous sommes là en permanence. Nous avons un référent par barricade et deux référents par poste sur des périodes de 12 heures. Nous envisageons d'autres blocages complets, même, éventuellement, après la réponse du gouvernement. Le peuple ouvre les yeux, la rage monte ! Et à Graulhet, plus qu'ailleurs peut-être, les gens ont de petits revenus et sont les premiers touchés». 

Tous les gilets jaunes présents connaissent Cédric Pulcain. Il organise, écoute, répond, interpelle, prend les décisions. Et reste sceptique quant à la légitimité de l'action des huit représentants nationaux des gilets jaunes. «Absolument, car il n'y a eu aucune concertation. Nous espérons qu'ils pourront se prononcer avec une parole unique.» Pour lui, impossible d'imaginer la suite à court terme. «Nous allons nous installer dans la durée. Je suis optimiste pour la suite du mouvement, mais pas sur ses retombées immédiates».


Publié le 28/11/2018 à 08:13  | La Dépêche du Midi |

La kermesse des Joyeux Pinsons c'est ce dimanche


...à la Maison des associations de la place Bosquet / DDM

Comme chaque année avant les fêtes, le club des poly-handicapés des Joyeux Pinsons organise sa kermesse. Elle aura lieu ce dimanche 2 décembre de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h à la Maison des associations de la place Bosquet. L'occasion de se pourvoir en cadeaux de Noël personnalisés, en vaisselle, en compositions florales, mais aussi en oreillettes et mesturet maison, de participer à la tombola mais surtout de faire une belle action en faveur de l'animation des journées de personnes en situation de handicap léger physique ou mental. A 10 h 30, le groupe Fiesta se produira dans le hall d'entrée pour cette occasion.


Publié le 29/11/2018 à 07:46  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Les travaux de réhabilitation débutent à Crins


Les travaux en cours avenue de Provence./ Photo DDM, J-C C

Après une phase de démolition, la rénovation du quartier de Crins débute avec l'enfouissement des réseaux.
Cette première phase du chantier va s'étaler de décembre 2018 à avril 2019. Elle comprendra aussi, sur la même période, les travaux d'aménagement de la partie Est du quartier. L'objectif est de créer à terme un accès vers l'avenue de l'Europe afin de désenclaver le quartier.
D'avril à juin 2019, les deux extrémités du bâtiment Normandie seront démolies, l'aménagement du mail poursuivi et le bâtiment neuf sortira de terre.

La phase suivante des travaux devrait se dérouler de juin à septembre prochains, les abords et le parvis seront traités sur une zone autour du nouveau carrefour entre l'avenue de l'Europe et l'avenue de Provence. Cette période sera aussi celle de la poursuite de la construction du bâtiment neuf et de la réhabilitation de l'immeuble Normandie. Ce n'est qu'ensuite que devrait commencer la réhabilitation des immeubles Touraine et Bretagne.

Le dernier trimestre 2019 devrait quant à lui voir la finalisation de l'ensemble des aménagements, en particulier du mail situé le long de l'avenue de l'Europe et de la partie Sud du quartier jusqu'à la passerelle enjambant la Dadou. La dernière partie de la réhabilitation du bâtiment Normandie s'achèvera.
Les travaux de façade des bâtiments Bretagne et Touraine s'intercaleront avec les travaux intérieurs. Ils seront dédiés à la finalisation de réhabilitation sur les quatre bâtiments, Bretagne, Touraine, Picardie et Alsace-Lorraine et verront également la livraison du bâtiment neuf.


Publié le 30/11/2018 à 07:50  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Centre social : changement dans la continuité après les travaux


L'accueil du centre social est toujours situé place du Languedoc./ Photo DDM, J-C C

Depuis plusieurs semaines, centre social de la ville, espace de vie au service des habitants de tout âge, des familles, des associations, des groupes, a changé de visage. Après des travaux il est désormais situé en rez-de-jardin du Foyer Léo-Lagrange.

«Alors que nous étions sur trois niveaux, nous ne sommes plus que sur deux», souligne Claudine Oms, nouvelle directrice du centre social, qui confie : «On est sur la phase temporaire où on retrouve ici l'ensemble de nos activités, à part celle de l'atelier bricolage qui est réalisée dans un appartement à Crins et la couture du jeudi à la Maison des associations». Pour être au plus près des habitants, le centre social participe de plus en plus à des animations «hors les murs» avec des actions de proximité. En revanche, pour l'usager l'accueil n'a pas changé. 

«L'entrée se fait toujours par la place du Languedoc et on retrouve Stéphanie à l'accueil», explique Claudine Oms, qui précise : «Toutes les permanences sont aussi à l'accueil en rez-de-chaussée». Il est ainsi possible de rencontrer les assistantes sociales et les conseillers techniques de la Caisse d'allocations familiales, le Centre d'information et de documentation des femmes et des familles, une juriste, une conseillère en économie sociale et familiale, l'Union départementale des associations familiales ou encore, depuis octobre, le Centre d'information et d'orientation.

 
Publié le 30/11/2018 à 03:51   | La Dépêche du Midi |

Les échos de la cité


Il ne reste que quelques jours pour découvrir l'exposition./  Photo DDM, J-C C.

Exposition. Jusqu'au 31 décembre la salle de la République de l'hôtel de ville propose une exposition d'affiches d'emprunts nationaux pendant la guerre 14-18. Durant la Première Guerre mondiale, l'épargne française est mise à contribution par le biais d'emprunts nationaux annuels. Le lancement des emprunts est popularisé par des campagnes d'affiches destinées à stimuler la générosité des Français et auxquelles participent un nombre important d'artistes. Dessinateurs, graveurs, peintres, caricaturistes rivalisèrent d'imagination pour composer les affiches destinées à stimuler le patriotisme et la générosité. Il est possible de visiter la salle gratuitement du lundi au vendredi.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

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