Graulhet : Rétro Septembre 2018 -2-

11/1/2019

   GRAULHET : Du Bruc à Ricardens   



   Graulhet : Rétro Septembre 2018 -2-   


Publié le 16/09/2018 à 03:54  | La Dépêche du Midi |  G.D.

«Famille» Weishardt : 100 ans d'international


Pascale Robert-Jolimaitre, cinquième génération à la tête du groupe, et Paul Joho./  DDM G.D.

à voir les longues accolades de la directrice générale Pascale Robert-Jolimaitre, la franche poignée de mains du Pdg Paul Joho, aux récipiendaires des médailles du travail, et les ovations pour la plupart en montant sur la scène du forum, les invités à la soirée des 100 ans de l'entreprise Weishardt ont eu la confirmation, que ce leader de l'industrie de la gélatine, implanté depuis un siècle à Graulhet, avait su garder cet esprit familial et de proximité qu'ont préservé les cinq générations qui l'ont tour à tour dirigé. Créée à Dijon à la fin du XIXe siècle, la société Weishardt s'est installée à Graulhet, d'abord au Pont d'Agros en 1918, puis sur le site actuel de la Ventenayé en 1932. 

Spécialisée dans la gélatine depuis 1955, elle n'a eu cesse de se développer pour passer en 60 ans de 1 000 tonnes annuelles de production aux 17 000 actuelles. Une politique d'investissement dans la durée saluée par Paul Joho, dans sa présentation, en même temps que cette permanence et cet attachement aux valeurs humaines et de travail qui l'ont accompagnée. Avec 85 % du chiffre d'affaires à l'international, le quatrième producteur mondial de gélatine d'origine porcine en majorité, emploie 450 personnes de par le monde et se tourne vers de nouveaux marchés, en développant la production de collagènes d'origine marine dans son unité est-européenne.

Un parcours d'excellence
Pour Pascale Robert-Jolimaitre, après un hommage appuyé à Jean Luc, son père, décédé en 2014, «ce sont ces caractères d'humanité, d'humilité et de relationnel qui sont nécessaires à l'entreprise pour réussir dans ses évolutions, ses ajustements et ses adaptations». Le maire, Claude Fita, a lui trouvé la preuve, dans le parcours de Weishardt, que «les entreprises familiales peuvent en se transmettant relever les défis». Pour Claire, sa fille et conseillère régionale, «Weishardt porte l'innovation, l'excellence et Graulhet». Le sous-préfet, François Proisy, a souligné l'ancrage de l'enseigne dans un territoire qui interpelle, «avec une constante dans la technologie, l'innovation, la recherche et l'expérimentation». Au terme de cette cérémonie, tous se sont retrouvés autour d'une belle table de centenaire.


Publié le 17/09/2018 à 08:04  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Une autre vie pour la place du Jourdain


Comme un air de fête mercredi dernier sur la place avec les bénévoles de l'As de Cœur. / Photo DDM G.D.

Habitant Graulhet depuis quinze ans, Cathy Denizart-Beyaert estime avoir eu le temps de voir les difficultés de la ville à faire vivre cette place centrale du Jourdain, qu'elle voudrait tant voir s'animer au quotidien. Le 8 mars, elle a pris la présidence de l'association As de cœur, créée pour l'occasion au terme de l'assemblée générale constitutive
«La date n'a pas été choisie par hasard. C'est la journée de la femme. Nous sommes partis d'une réflexion sur le pouvoir d'agir des habitants de cette ville et surtout, sur la place des femmes dans l'espace public et en particulier sur cette place du Jourdain dont nous aimerions participer à la redynamiser» assure la présidente de l'As de cœur.

«Hormis les jours de marché et les jours de fêtes, ce lieu n'est pas ou peu fréquenté par les femmes ou par les enfants», poursuit Cathy Denizart-Beyaert. Elle a déjà mobilisé une bonne vingtaine d'adhérents partageant les mêmes idées.
«Nous sommes à la recherche d'un local sur le pourtour de la place, qui nous permettrait d'avoir pignon sur rue, d'accueillir et d'animer régulièrement, de nous installer dans la durée. Ce serait un lieu de rencontre, multiculturel et intergénérationnel !».

Jeux, spectacles et échanges
Ce mercredi, les membres de l'association ont invité familles et enfants à un après-midi de jeux, de spectacle, d'ateliers de loisirs créatifs, mais aussi d'échanges. «Pour nous, l'urgence est de nous faire connaître. Par le bouche-à-oreille, par les réseaux sociaux. Nous débutons, c'est notre première manifestation. Nous espérons que nous pourrons en proposer d'autres, mais que surtout le plus grand nombre se rassemblera autour de l'idée que cette place du Jourdain ne vit pas assez son rôle de lieu de rencontre et de convivialité». L'As de Cœur a reçu le soutien du centre social et de la Caf, ainsi que de la mairie qui a prêté son concours matériel.


Publié le 17/09/2018 à 09:01  | La Dépêche du Midi |  Recueilli par G.D.

Graulhet sous une chape de plomb

SCG 16 - Castanet 43


Les Graulhétois ont fait illusion une mi-temps avant de sombrer./ Photo DDM, Emilie Cayre

Le contexte : Les Graulhétois, bien entrés dans le championnat avec un nul prometteur face à Aubenas à la maison, ont été logiquement battus par un impressionnant Blagnac huit jours avant de recevoir Castanet, avec l'objectif de récidiver et d'éloigner un concurrent direct. Les Haut-Garonnais, vainqueurs aisés à Fleurance pour l'entame, battus de très peu chez eux par Rodez, venus dans le Tarn pour récupérer les points égarés.

Le match : Les rouges et noirs ont ouvert le score, avant de le laisser à l'entier avantage de leurs adversaires jusqu'à la fin. Duel de buteurs durant les 20 premières minutes. Chaque incursion payante, mais deux ratés de Bille. Jusqu'à l'erreur défensive de Poujol qui donne le premier essai à Castanet. A partir de là, Graulhet a sombré, et offert le bonus offensif aux visiteurs, sur un plateau.

Les faits de jeu : La mêlée graulhétoise, ultra-puissante, qui a mis les Haut-Garonnais au supplice et permis d'assurer la course-poursuite avec le pied d'Icart, jusqu'à la reprise au moins. L'unique satisfaction locale. La défense de Castanet, facilitée par les erreurs grossières de l'adversaire en particulier sur les relances haut-garonnaises, et qui n'aura failli qu'une unique fois… sur ballon porté. Et le 100 % des buteurs castanéens.

Les tournants : Le choix de la pénaltouche, par les Graulhétois alors que les entraîneurs demandaient 3 points. Un ballon trop long perdu. Puis un bis-repetita trois minutes plus tard et l'essai de Lapassouse qui permettait aux Tarnais, 10 points en retard de recoller au score. La relance de Soulisse, grand slalom, qui donne à Brody, qui envoie sans opposition son ailier à l'essai dès la reprise. Une chape de plomb tombe sur Noël Pélissou en plus de la chaleur accablante. Et les espoirs envisagés face à Aubenas, sont effacés.

Les hommes : L'activité de la 3e ligne castanéenne, avec le solide Jamouni de tous les coups, les qualités dans tous les secteurs de Sabathier, le coup de reins de Guérin, et les relances de Soulisse côté Castanet. Les premières lignes et la défense sur l'homme de Regnier et Chateauraynaud pour Graulhet.


Publié le 18/09/2018 à 07:52  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

L'Aéroclub vous ouvre ses portes ce week-end


Le site sera ouvert au grand public les deux jours./ Photo DDM, J-C C

Samedi et dimanche, l'aéroclub de Graulhet propose une journée portes ouvertes de 9 heures à 18 heures. Elles seront l'occasion de découvrir l'aérodrome de la ville mais aussi le club dont les adhérents prennent toujours plaisir à partager leur passion avec le grand public.

«L'Aéroclub de Graulhet, avec ses quatre aéronefs, une moyenne de 1 200 heures de vol par an, est une association fonctionnant uniquement grâce aux bénévoles, dont les qualités très diversifiées s'expriment tant sur le plan opérationnel de l'instruction et du pilotage que sur le plan administratif. Tous les membres aident de près ou de loin de manière bénévole, et ça tombe bien puisque dans ce petit monde tout le monde «vole», souligne Anne-Laure Galloux, présidente de l'association. Aujourd'hui sa flotte se compose de quatre appareils : un Piper J3, un Robin DR 400-120, un Piper Archer II – PA 28 et un Robin HR-200.

Durant ces deux jours le public sera accueilli à bras ouverts pour découvrir l'école de pilotage, les brevets, les modalités d'inscription et découvrir le BIA (Brevet d'Initiation à l'aéronautique). L'évènement sera d'ailleurs l'occasion de voir la remise des diplômes du BIA des élèves du Tarn promotion 2017-2018 par un représentant des services académiques à 18 heures.

Durant tout le week-end des séances de simulateur seront proposées ainsi que des vols de découverte, anciennement intitulés «baptêmes de l'air». Pour cette occasion l'Aéroclub graulhétois accueillera aussi le dimanche une exposition d'autres véhicules à moteur, des voitures de collection. La société FlyForYou, qui réalise des baptêmes de l'air en hélicoptère, sera aussi de la partie. 

Après l'anniversaire du club en juin et ses portes ouvertes ce week-end, l'aérodrome accueillera, le samedi 13 octobre, le premier meeting de Replic'Air. Animé par des passionnés bénévoles, l'aérodrome n'a de cesse de vivre pleinement pour le plus grand bonheur d'un public attendu nombreux.


Publié le 19/09/2018 à 03:50  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Fiesta : du Pays basque à la Catalogne


Fiesta, c'est la couleur, l'ambiance, le talent. /  Photo DDM

Quand il lance son Irrinzina ou entonne Arrantzaleak, Philippe Moustrous retrouve le temps d'une chanson son Pays basque d'origine. Le gendarme gaillacois qu'il est aujourd'hui vient de reprendre la présidence de Fiesta en même temps qu'il a gardé sa place au pupitre des ténors 1 du groupe vocal. Composé exclusivement d'hommes, – ils sont actuellement 28 – Fiesta est dirigé par une femme, Ghislaine Debard. «Nous appliquons la parité. D'un côté le groupe, de l'autre la chef», conçoit sympathiquement Philippe Moustrous qui veut garder l'équilibre nécessaire, la qualité dans les prestations et la convivialité qui caractérisent la formation née en 2001. «Nous répétons un mercredi sur deux dans la salle de la place Bosquet. Nous lançons un appel pour étoffer le groupe à des chanteurs ou des musiciens de tous niveaux. Qu'ils viennent nous rencontrer sur place. Ils devront juste satisfaire à un petit test avant d'intégrer Fiesta». 

Un groupe qui réunit autant de Graulhétois que de Tarnais, qui a modernisé son logo, repense la nouvelle tenue de scène et débute chacune des quinze à vingt prestations annuelles par l'emblématique «On chante» et intègre le joli «Fiesta», un hymne créé par Louis Petesque lors d'une tournée en Bourgogne. Au fil des ans et des contrats, la réputation de Fiesta a franchi les limites du département. Invitée à Cerbère, à Céret, et sur d'autres festivals catalans, elle a noué des relations solides un peu partout, tout en gardant cette humilité qui fait la force de cette aventure musicale. «Et la convivialité qui va avec», assure Michel Vézinet, un autre ténor. Chaque anniversaire d'un chanteur ou d'un musicien est fêté durant le mois. 

Car Fiesta c'est aussi six musiciens à qui revient, en collaboration avec les chanteurs et la chef de chœur, le choix des nouvelles chansons. «Nous étudions chaque proposition pour voir si, techniquement, elle est adaptable à nos capacités», explique Philippe Moustrous qui apprécie, en prenant ses fonctions, la super-ambiance et l'assiduité lors des répétitions qui font de Fiesta un groupe vocal aussi singulier dans sa composition qu'incontournable dans le paysage choral régional.


Publié le 19/09/2018 à 08:04  | La Dépêche du Midi |

Sous les yeux des anciens



Anciens : Invités par le Sporting, les anciens des demi-finales 1957, 1966 et 1967 ont déjeuné avant Graulhet-Castanet. Guy Pauthe, André Abadie, Maurice Lamazouade, José Planès, Jacky Ferraz, Jeannot Saby, André Larrue et Françis Bellot ont été présentés à la mi-temps au public.


Publié le 20/09/2018 à 07:41  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Premier festival de BD : les organisateurs ne bullent pas


Le festival de bande dessinée aura lieu les 6 et 7 octobre./ Photo DDM.

C'est la dernière ligne droite qui s'annonce pour le premier Festival de bande dessinée. Les bénévoles à pied d'œuvre se félicitent de l'engouement suscité par l'événement qui aura lieu les 6 et 7 octobre au Forum mais aussi dans différents points en ville.

«Pour créer ce festival, on a regardé ce qui se passait dans la région. Chaque village a son identité et nous avons voulu créer un événement sur un certain créneau. On a pu faire jouer nos relations, nos connaissances. Mettre en avant le contexte local permettre d'apporter une pierre de plus à l'édifice, au niveau départemental et régional», explique Claude Perez, secrétaire de l'association, qui souligne : «Avec ce qui nous revient au niveau des oreilles, on est déjà satisfait du retour qu'on peut avoir». Ce rendez-vous est placé sous le signe de l'éclectisme, comme le permet l'univers de la bande dessinée qui s'adresse à tous, de 7 à 77 ans et plus. «Il y en aura pour tous les goûts, avec des artistes d'univers différents, des auteurs connus mais aussi des jeunes», souligne Pascal Pautrot, président de la structure. D'artistes reconnus nationalement comme Mandrika à des auteurs qui présenteront leur première création, une grande diversité attend les visiteurs.

Chasse aux trésors en ville
Si l'essentiel de la manifestation aura lieu au Forum avec les séances de dédicaces, une exposition exceptionnelle autour des 70 ans de Pif le chien ou encore des ventes de planches originales, le cœur de ville ne sera pas en reste. «On a souhaité associer tout ce qui peut toucher à la BD, comme la médiathèque, mais aussi travailler avec les commerçants et créer un point de chute dans la ville», confie Claude Perez. Situé au carrefour du Saint-Projet, il sera le départ d'une chasse au trésor en ville. Le secret est bien gardé mais des indices seront à chercher pour résoudre une énigme. Les portes du Forum, quant à elles, seront ouvertes le samedi de 10 heures à 17 heures et le dimanche de 9 heures à 18 heures.


 
 

Publié le 21/09/2018 à 07:49  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Une saison culturelle sous le signe de l'humour


Mathieu Madenian se produira à Graulhet le 2 février./ DDM, archives M. V

C'est aujourd'hui à 21 heures que s'ouvre la saison culturelle avec «La caravane des songes» du Cirque de la Cabriole. Après cette première séance gratuite (sur réservation) le spectacle sera aussi donné samedi à 21 heures et dimanche à 17 heures.
Deux heures avant chaque représentation, le Forum accueillera une fête foraine en première partie.

«L'an passé, les chiffes de la fréquentation ont été en très forte augmentation», se félicite Claude Albouy, adjointe au maire en charge de la culture qui souligne : «Cette année, on va essayer de faire au moins aussi bien, si ce n'est mieux. Notre saison est placée sur le signe de l'humour et de la fête avec des spectacles divers.»

«Beaucoup de spectacles ont trait à la musique cette année. Cela fait trois ans que le maître mot est l'éclectisme. On essaie de donner du bonheur aux gens. Le dernier spectacle de la saison l'an passé était celui des Coquettes. Cette saison sera à l'image de ce dernier spectacle qui a permis de satisfaire tous les publics», explique Vincent Portal, directeur du service culture de la ville.

Le jeune public ne sera pas en reste, tous les enfants des écoles bénéficiant d'un spectacle. Les élèves de CM pourront quant à eux assister à un spectacle à la Scène nationale d'Albi. Le partenariat avec la structure permet aussi à la ville de bénéficier de conditions avantageuses et du dispositif «ce soir on bouge» qui propose un transport en bus gratuit pour se rendre à la préfecture.

La programmation cette année est aussi «décentralisée» avec des spectacles au cinéma Vertigo mais aussi à la Ferme de Nabeillou. «Le spectacle donné dans le cadre de Naturabeillou permet de toucher un public qui ne va pas dans les salles», se félicite Claude Albouy. La Maison des métiers du cuir, quant à elle, accueillera le spectacle «En travaux». Quant aux têtes d'affiche, elles seront assurées par Anne Sylvestre le 12 janvier et Mathieu Madenian le 2 février 2019.


Publié le 22/09/2018 à 08:31  | La Dépêche du Midi |  G. D.

Rues d'Été a du plomb dans l'aile


Le sourire malgré tout, et des espoirs de continuer pour les trois bénévoles présents à la réunion préparatoire. / DDM G.D.

Ne vous fiez pas aux sourires polis. «Il faut être réaliste. Rues d'Été risque de disparaître !». C'est Lionel qui l'annonce solennellement. Ce mardi soir, avec Florine et Adeline, ils n'étaient que trois pour la réunion préparatoire de l'assemblée générale qui devrait, le 27 septembre, à 18 h 30, à la salle de l'Odéon, dire si cette grande animation de l'été étalée durant deux jours et demi sera maintenue pour 2019.

«Depuis 10 ans et autant de festivals, c'est la première fois que nous rencontrons cette situation. L'association est dirigée par une collégiale. Or, ces dernières semaines, la plupart de ses membres ont quitté Rues d'Été en invoquant leur lassitude. Il n'en reste que deux. Les statuts en imposent six. Nous espérons que des candidatures vont se déclarer pour l'assemblée générale.» Adeline, la plus ancienne du trio Rues d'Été – elle est là depuis 2015 – tire aussi la sonnette d'alarme.

Un budget de 35 000 à 40 000 €
«Pourtant, nous sommes l'un des deux seuls festivals de rue du Tarn. Nous notons chaque édition, le même intérêt des Graulhétois et des Tarnais pour cette manifestation gratuite qui fait la promotion des arts de la rue.» En dix éditions, Rues d'Été a bien grandi. «Et a besoin de renouveau, d'une nouvelle dynamique. Nous sommes prêts à changer les choses, à repenser l'organisation, au constat qu'elle s'essouffle», assure le trio.

Côté budget, c'est entre 35 000 et 40 000 € répartis entre les subventions, les buvettes et le «chapeau» dans lesquels les spectateurs laissent ce qu'ils veulent à la sortie. Côté organisation, c'est 70 bénévoles. Et là, pour l'instant, le compte n'y est pas. «Il manque des responsables. L'implication nécessite un effort de quelques semaines, ce n'est pas un investissement trop lourd», lance Lionel au titre d'argument. «Rues d'Été, c'est un festival gratuit, accessible à tous, qui peut rassembler sur une place tout un territoire et qui défend des valeurs propres aux festivals de rue. Avec un équilibre bénévoles-collectivités-artistes qui a fait son succès. Tout le monde doit y réfléchir. Nous sommes entièrement ouverts à toute idée, toute proposition», assurent-ils. Alors, ses jours sont-ils comptés ? Jeudi prochain en soirée, Lionel, Adeline, Florine et quelques autres qui sont restés à l'association auront un premier élément de réponse.


Publié le 23/09/2018 à 03:53  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Treize au pupitre du Conservatoire


Les intervenants autour d'Anne Marie Castagner (au fond à droite). /  DDM G.D.

Réunion de rentrée studieuse au conservatoire de musique et de danse. Anne-Marie Castagner, la responsable d'antenne locale, a pu, avec l'aide et l'accord des douze autres professeurs-dont trois nouveaux- établir un calendrier en équilibre entre les interventions en milieu scolaire et la mise en place de cours instrumentaux. «Sur ces derniers, nous avons accueilli l'an dernier une cinquantaine d'élèves. Ce sont 80 % d'enfants pour 20 d'adultes. Les jours et les horaires sont établis en fonction de leurs disponibilités et de celles des enseignants. Les mercredis et samedis sont forcément des jours privilégiés», reconnaît-elle. Plusieurs ateliers ont été créés pour cette rentrée. Ils concernent la percussion rythmique, celtique et l'orchestre d'harmonie. 

Côté cours, si celui de guitare affiche déjà complet, il reste quelques places en flûte traversière, en clarinette, en saxophone, en percussions et en piano. Le cours d'éveil permet aux plus jeunes de découvrir les instruments de l'antenne. Il est ouvert à partir de 5 ans. Ateliers et cours occupent trois salles de l'école publique de Crins. Le second créneau qu'occupe le conservatoire, est en lien avec les établissements scolaire du primaire et du secondaire, par l'intermédiaire des Classes à horaires aménagés, musique et danse. La aussi, les interventions sont multiples, et Anne-Marie Castagner peut d'ores et déjà annoncer les dates et les thèmes des représentations qui concluront l'année. Le 23 mai au forum, une représentation du spectacle «Nous n'irons pas à l'Opéra» sera donnée avec Alexandre Papais à la baguette. 

Plus tard, ce sera au tour des élèves du collège Pasteur, de jouer la comédie musicale de Juliette «Les Indiens sont à l'Ouest» et porté par Mylène Arbus. «Le 30 juin, indique t-elle, nous avançons le projet d'une randonnée musicale à travers le ville. Un parcours fléché qui permettra de visiter tous les ateliers de l'antenne et qui se terminera par la prestation de l'harmonie de l'antenne». Entre temps, la responsable locale espère avoir atteint un objectif personnel qui lui tient à cœur : créer un orchestre composé de tous les professeurs de musique et de danse intervenant sur Graulhet qui pourra accompagner les jeunes scolaires dans leurs projets.


Publié le 24/09/2018 à 07:41  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Erwan le tatoueur s'est fait un nom


Une clientèle qui s'étoffe de mois en mois. / DDM G.D.

Il aurait bien aimé tatouer le contour de la peau de mouton, emblème d'un Graulhet mégissier. Depuis deux ans qu'il est installé au bout de l'avenue Victor Hugo, Erwan Queinnec, a quand même dessiné indélébilement quelques croix Occitanes sur la peau de quelques clients. «Une retraitée nostalgique a hésité puis s'est rétractée !» Qu'importe, car depuis qu'il habite ici, ce Breton de Normandie s'est fait une belle clientèle. Sous l'enseigne Zone 51, choisi pour sa passion d'ufologie, il dit avoir trouvé dans le Tarn, un coin inexploité. 

«J'ai été formé à Rouen, au départ pour le piercing. Puis je suis passé au tatouage en 2000, et j'ai exercé 5ans à Roue.» Ensuite, il s'est mis à son compte et a ouvert sa première boutique à Louviers. «A Graulhet, j'ai débuté en douceur, et là, j'atteins le rythme de croisière. Ma clientèle vient de tout le département» assure-t-il. Son bâton de maréchal aura été le tatouage d'un tableau de Jericho dans le dos d'un homme, et son «book» s'illustre de quelques corps en intégralité ou de petites pièces à des endroits insolites comme à l'intérieur de la bouche d'une cliente. 

«Piercing comme tatouage, sont question de technique et de possibilité. Pour le piercing, toutes les zones du corps sont exploitables mais chaque implantation est particulière. Pour le tatouage, tout est possible. Les clients viennent souvent avec une ébauche, à laquelle, ensemble, nous pouvons apporter des modifications. L'idée première me donne déjà une idée de ce qu'ils désirent». Erwan Queinnec, qui dispose de modèles par centaines, avoue peu quitter son atelier, sinon pour quelques rassemblements Harley-Davidson, ou le prochain salon gaillacois du tatouage. Il sera aussi présent au salon de la Bd début octobre. «J'y rencontre des gens qui hésitent à entrer dans la boutique, qui ont envie mais qui n'osent pas !»


Publié le 25/09/2018 à 07:55  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

Ca plane pour l'aérodrome


Le 85e anniversaire du club a attiré beaucoup de monde à l'aérodrome de Graulhet. / Photo DDM

Chaque année au mois de septembre, l'AéroClub graulhétois ouvre ses portes au public.
Ce moment est l'occasion de participer à des séances de simulateur, faire des vols, découvrir la riche histoire du club qui vient de souffler ses 85 bougies. Cette année, l'événement a aussi accueilli les lauréats du brevet d'initiation à l'aéronautique, venus de tout le département.

De la passion, il y en a toujours à revendre chez les pilotes. Des anecdotes aussi. Mais ce qui caractérise le plus l'Aéro-Club graulhétois est une histoire commune et un véritable esprit de famille comme en a témoigné pendant ces deux jours de portes ouvertes l'ambiance bon enfant qui a régné aux abords du tarmac graulhétois.
Dans le public, aux côtés des membres, on pouvait ainsi retrouver des amis des trois autres aéro-clubs du département (Castres, Albi, Gaillac) mais aussi des voisins toulousains.

«Grâce aux jeunes»
«Si on est arrivé à 85 ans, c'est grâce aux jeunes qui entrent au club chaque année, qui donnent de la dynamique et de nouvelles idées», se félicitait Anne-Laure Galloux, présidente de l'association, dans son discours. Claude Fita, maire de la commune, a précisé : « Sur cette plate-forme se côtoient le loisir, avec l'Aéro-Club ou le vol à voile et les entreprises. Je remercie l'investissement du club pour les enfants. On est habitué à leur donner beaucoup pendant et en dehors du temps scolaire. On peut proposer du rugby, du sport, de la danse, de la culture, mais aussi de l'aéronautique. Ils pourront peut-être plus tard faire de leur passion un métier et cela, on vous le doit».

Jérôme Bourne-Branchu, directeur académique des services de l'Éducation nationale, était aussi présent pour les brevets d'initiation à l'aéronautique : «Le BIA est une affaire d'engagement, celui des aéro-clubs du Tarn et aussi celui des élèves qui se lancent dans la préparation exigeante de ce diplôme. Ce bel outil pédagogique donne l'occasion de faire des maths, de la physique ou de l'histoire. Il est aussi l'occasion de s'ouvrir sur le monde de l'aéronautique et du champ très large de ces métiers».


Publié le 26/09/2018 à 07:47  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Nouveaux outils et nouveaux ateliers à la médiathèque


Rémi, le référent «book tube» en plein enregistrement auprès des jeunes lectrices./ DDM G.D.

Depuis la rentrée, la médiathèque intercommunale a rénové son service informatique. «Nous y retrouvons un côté plus pratique. Le nouveau site internet autorise des préinscriptions en ligne. Les évolutions sont nécessaires pour nos usagers», se félicite Karine de Fenoyl, la responsable de la médiathèque, qui annonce dans la foulée la création du «book tube». À partir de 11 ans et dans le cadre du Salon du livre, nous proposons un espace dans lequel les gens peuvent parler et commenter leur coup de cœur de lecture. Leur critique est enregistrée ici ou chez eux, puis mise en réseau via Youtube. Cette technique associée aux nouvelles tendances permet de se servir du Net pour associer d'un côté la lecture qui est notre cœur d'activité et l'outil incontournable de la modernité». 

Ces vidéos tournées par le personnel des médiathèques du réseau Gaillac-Graulhet agglomération donnent leurs premiers résultats satisfaisants et nous permettent de lancer la saison des animations». Et elle promet. En ouvrant une heure de plus le samedi, journée phare de la semaine, elle étoffe donc son offre en élargissant son catalogue d'ateliers. «En reprenant les accueils de classes, de crèches, de maisons de retraite, de centres de loisirs, nous allons pouvoir commencer la réalisation d'un projet intergénérationnel, en partenariat avec le CCAS, qui, en travaillant sur des thèmes communs, va permettre des rencontres et des échanges, priorité dans notre fonctionnement», assure de son côté Thomase Venzal, responsable du secteur jeunesse. 

Dans ce cadre, vendredi 28 septembre, une rencontre parents-enfants autour du jeu en famille sera proposée. En novembre, avec l'association Mémoire sociale, deux expositions seront présentées pour le centenaire de la fin de la Guerre 14-18 avec un étonnant et riche retour sur «les Portugais dans la Grande Guerre». Le samedi 17 novembre, la salle de conférences accueillera un couple de Brousse, adhérent de la médiathèque, qui viendra raconter son tour du monde à vélo. Un début de programme qui devrait faire déjà l'unanimité chez les 3 600 adhérents de la médiathèque graulhétoise.


Publié le 27/09/2018 à 07:45  | La Dépêche du Midi |

Il n'est pas trop tard pour s'inscrire aux clubs de la MJC


Des dizaines d'activités sont proposées à la MJC /Photo DDM, J-C C

Cette année encore ce sont par dizaines que se comptent les clubs d'activités proposés à la Maison des jeunes et de la culture. Après la rentrée scolaire qui a vu les inscriptions des enfants aux activités pour l'année, c'est autour des parents (et des adultes en général) de mettre parfois en pratique leurs bonnes résolutions.

Il y a ceux qui veulent se remettre aux sports, ceux qui veulent apprendre une nouvelle langue ou redécouvrir une langue apprise pendant leurs études… Les profils sont variés et la MJC a pensé à eux.
«Il reste encore des possibilités pour venir faire des activités, il n'est pas trop tard. Les cours sont encore ouverts aux inscriptions et aux séances d'essai», explique Farid Aït Aïssa, responsable des clubs d'activité.

Côté langues étrangères, il y a encore de la place en anglais ou en espagnol. Plusieurs clubs sont proposés : un plus «scolaire» pour les débutants et un plus dédié à l'échange et à la pratique de la langue. Au chapitre des nouveautés de cette rentrée, l'atelier de Recup'art n'a pas encore «décollé» et il reste là aussi des places le mardi soir de 18 h 30 à 20 heures pour apprendre à mettre à profit ces talents artistiques en utilisant uniquement des matières premières usées ou à recycler (lampe, déco, carte…). Parmi tous les clubs d'activité «danse» proposés – de l'éveil à la danse contemporaine en passant par la kizomba ou les danses traditionnelles – la salsa n'a pas encore pris, aussi bien pour les débutants que pour les initiés. Il reste aussi quelques places au club «guitare électrique».

Pour participer aux clubs, il suffit de prendre une carte astuce (carte des adhérents des MJC de Midi-Pyrénnées). La mutualisation, dans le cadre de cours collectifs, permet à la MJC de proposer des tarifs abordables.


 
 

Publié le 28/09/2018 à 08:18  | La Dépêche du Midi |  J-C Clerc

Clément-de-Pémille labellisé «lycée numérique»


La distribution des ordinateurs aeu lieu hier après-midi./ Photo DDM, J-C C

Hier après-midi, Claire Fita, conseillère régionale représentant la présidente de la Région Occitanie, a remis «l'oRdi» aux élèves du lycée professionnel Clément-de-Pémille, établissement «labellisé numérique» par la région.

Afin de réduire la «fracture numérique» et pour stimuler l'accès pour tous à l'outil informatique au sein des lycées et des centres de formation à l'apprentissage, la Région occitane aide les lycéens et apprentis en première année de formation – ainsi que les élèves des écoles régionales de la deuxième chance d'Occitanie - à l'acquisition d'un ordinateur portable individuel. La Région déploie aussi le label «lycée numérique» sur l'ensemble du territoire régional.

«Cela signifie que l'établissement s'est engagé dans l'utilisation des outils numériques. Grâce à cette labellisation tous les élèves qui rentrent au lycée peuvent bénéficier d'un ordinateur portable gratuitement», explique Claire Fita venue livrer les 111 ordinateurs, qui précise : «la région donne déjà les manuels scolaires et le premier équipement. Il y en a beaucoup ici, au lycée Clément-de-Pémille, avec ses filières professionnelles». Si pour les lycéens le coût de l'ordinateur est établi en fonction des revenus de la famille, dans les lycées labellisés «numériques», où l'engagement de l'établissement est avéré, l'objet est donné gratuitement aux élèves. Pour les lycées non labellisés, la Région aide les élèves en fournissant le matériel gratuitement aux familles les plus modestes ou octroie une aide à hauteur de 80 € ou 200 € en fonction de leurs ressources.

«La volonté de la région est de faire de la jeunesse une priorité, de permettre à chacun de bénéficier de conditions d'études optimales. Cela passe par un effort particulier pour offrir les mêmes chances de réussite à tous», conclue l'élue.


Publié le 29/09/2018 à 03:55  | La Dépêche du Midi |

Le bridge toujours attractif


Ambiance studieuse pendant l'AG, bon enfant après. /  Photo DDM

Durant l'assemblée générale du bridge, le président Jean-Marie Espinasse a dressé le bilan moral du club. «Il compte 41 membres ou sympathisants, nombre en augmentation en partie grâce à l'arrivée des élèves de l'école de bridge».

Le président a tenu à rappeler la 3e place obtenue par 2 élèves en finale de ligue par Joël Barjon et Gérard Bergé. Les cours donnés par Jacques Désert, Jean-Marie Espinasse et Jean-Marc Thomas connaissent un franc succès et ont repris les mercredis de 9 h à 11 h 30. Le trésorier Robert Rolland a dressé le bilan financier du club. Celui-ci reste stable et a été approuvé par les membres de la commission des comptes, Rosy Brieussel et André Mangana. L'élection du CA a eu lieu ensuite et François Danet remplace Lucien Leprêtre, démissionnaire. Il a été convenu que le bureau rembourserait une partie des droits d'inscription à un tournoi à l'extérieur au prorata du nombre de joueurs engagés. Un repas, suivi d'un tournoi amical, réunira le club de Lavaur et celui de Graulhet le 19 octobre à midi.


Publié le 29/09/2018 à 08:50  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Les nobles motivations des futurs pompiers volontaires


Les stagiaires et leur encadrement dans le garage du centre de secours. / DDM G.D.

Durant toute cette semaine, huit sapeurs-pompiers volontaires en devenir de tout le Tarn étaient en stage au centre de secours de Graulhet. Une formation incendie 1 qui les autorisera à intervenir ensuite sur les seuls feux urbains pour l'instant. Ils ont été entraînés dans divers lieux de la ville, comme des usines désaffectées, l'ancien hôpital ou la passerelle. «Avec un maximum de mises en situations pratiques, avec l'aspect réalité en plus», reconnaît le sergent-chef Quentin Vicente, qui encadrait les évolutions aux côtés de l'adjudant-chef Jean Louis Klinski, du sergent Virginie Andrieu, sous l'autorité du chef de centre, le lieutenant Jean-François Alibert. 

Mais plus que cinq jours de travaux pratiques, ce stage sert de baromètre des motivations des uns et des autres qui ont pris sur leur temps de vacances pour participer à ce passage obligé. Pour Ingrid Kunter Papeix, juriste à la communauté d'agglomération, 42 ans, résidant à Labessière-Candeil et petite-fille de pompier parisien, elles sont naturelles. «J'ai envie d'être utile. J'ai été confrontée à des situations d'urgence pour mes enfants, mon mari. Il me reste quantité de choses à apprendre, mais mon objectif est de monter en compétences». À ses côtés, Natacha Viallard, 44 ans, qui plaisante sur l'image du pompier homme, jeune et hypersportif, qui en prend un coup, c'est une motivation professionnelle qui a poussé sa candidature. «J'avais besoin de renforcer mes capacités en matière de secourisme. Je salue la bonne ambiance qui règne dans le centre et qui m'aide à les acquérir». 

En sortie de véhicule d'intervention, Corentin Bousquet, 22 ans, venu de Murat-sur-Vèbre, compte bien, lui aussi, franchir le pas. «C'est une accumulation de situations vécues et un besoin de découverte qui sont à l'origine de mon engagement. Le centre de Murat-sur-Vèbre, dans lequel mon frère intervient, a besoin de pompiers volontaires. Qu'importe que nous soyons les «piou-piou», les pompiers, c'est la solidarité et comme on le dit à juste titre, c'est une grande famille !». Cette famille que le lieutenant Jean-François Alibert voudrait bien agrandir. «Nous recherchons toujours des candidats pour devenir sapeurs-pompiers volontaires sur Graulhet. Nous les accueillerons avec grand plaisir».


Publié le 30/09/2018 à 10:37  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Saint-Gauzens accueille la Rando santé mutualité


Une rando inédite pour des marcheurs attendus nombreux. / DDM

«C'est localement une première en matière d'organisation d'une randonnée de dimension départementale» assure Alain Hicter, fraîchement réélu à la présidence de Graulhet Naturévasion Rando, qui, avec l'aide de Graulhet Temps Libre, la O L A, Rando Crêtes Briatexte, et la dernière-née, Gaudentius Randonnée Saint Gauzens vont organiser le dimanche 7 octobre la Rando Santé Mutualité au départ et autour du village de St Gauzens. «L'originalité de cet évènement est de rassembler sur une journée des pratiquants de la randonnée

et de leur offrir la possibilité de prendre des conseils et des infos auprès de professionnels de santé» assure ce randonneur averti qui a pu effectuer la reconnaissance des trois circuits proposés. «J'ai apprécié leur caractère champêtre avec des points de vues et paysages intéressants.

Ce sont 3 boucles de randonnée qui offrent une variété de natures de cheminements avec quelques dénivelés qui appellent un naturel effort physique, procurant ainsi au randonneur une impression de plaisante promenade». Lors de la dernière réunion les organisateurs qui se sont assurés des services d'une soixantaine de bénévoles, se préparaient pour l'accueil de 450 participants le matin sur la boucle de Gaudentius (départ 8 heures), de 50 à 80 participants en milieu matinée pour la boucle de Montalivet – rando douce (départ 9 h 15) et 250 participants l'après-midi pour la boucle de la Marronié (départ 13 h 15). «Il n'est pas prévu d'enregistrer engagements ‘'d'avance'', les inscriptions vont être enregistrées le 7 octobre» précise Alain Hicter. Les partenaires institutionnels sont : U M T Mutualité Terre d'Oc et Comité Départemental de la randonnée Pédestre du Tarn. La journée sera clôturée par un convivial pot de l'amitié assorti du tirage d'une tombola.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

Partagez sur les réseaux sociaux

Catégories

Autres publications pouvant vous intéresser :

Commentaires :

Laisser un commentaire
Aucun commentaire n'a été laissé pour le moment... Soyez le premier !
 



Créer un site
Créer un site