Graulhet : Rétro Juillet 2017 -2-

17/1/2018

  GRAULHET : Du Bruc à Ricardens  



  Graulhet : Rétro Juillet 2017 -2-  



Publié le 16/07/2017 à 03:50  | La Dépêche du Midi |  G.D

L'amicale des supporters double son aide au Sporting


Les supporters lors de leur sortie annuelle, cette fois à Marseille pour les demi-finales de Top 14. / Photo DDM

Ils œuvrent dans l'ombre et deux ou trois fois durant l'année, leur travail est mis en lumière. C'est le cas lors de l'assemblée générale. Elle s'est tenue vendredi dernier au préau du stade, et a réélu sans l'ombre d'une abstention, Bernard Rivière à la présidence de l'amicale des supporters du Sporting. Un poste qu'il occupe depuis plus de dix ans et des fonctions qu'il assure sans retenue, malgré la difficulté à renouveler le groupe des adhérents et bénévoles. Et la minute de silence initialement respectée à la mémoire de Christian Calvel, Maurice Peyre, Pierre Pech, A. Boutemi, Roger Lamote et Bernard Ladet, membres ou sympathisants, disparus depuis un an, montre que l'amicale sait resserrer les rangs et se régénérer.

Et surtout assumer son rôle d'assistance toutes organisations confondues au rugby local. Et l'aide financière doublée par rapport à celle de la saison précédente montre aussi tout le cœur à l'ouvrage et l'attachement que manifestent la quarantaine d'inconditionnels. Et ce, malgré un équilibre quasi parfait dans les comptes annuels présentés par Jean Louis Vaïsse qui a précisé une belle recette lors du réveillon organisé par l'association. «La bourriche et le jeu des pronostics sont déficitaires. La saison prochaine avec les derbys et les affiches retrouvées, nous espérons renouer avec l'affluence» a lancé le trésorier, repris par le président. 

Eddy Lefebvre, en secrétaire, avait ouvert le ban des bilans, en regrettant les résultats sportifs qui se suivent et se ressemblent depuis trois saisons. Restait à Jean Luc Cathalau, président de l'Omnisports à dire toute sa gratitude aux supporters. «Vous faites partie des quatre plus gros partenaires du Sporting». Et à Blaise Aznar, adjoint aux sports à féliciter ces femmes et hommes persévérants dans leur idéal désintéressé. «Vous qui êtes les soutiens sans faille des équipes du club et les animateurs de ce site». Restait à conclure, et c'est André Larrue, le doyen de l'amicale, un temps président par intérim, qui a réussi en faisant référence au passé, à remotiver ses congénères à l'aube d'une saison comme toujours «pleine de nouvelles promesses».


Publié le 17/07/2017 à 08:20   | La Dépêche du Midi |  G.D.

Naturévasion randonnée laisse souffler ses adhérents


Un groupe lors d'une sortie dominicale. / Photo DDM

Une saison de plus qui s'achève pour les randonneurs Graulhétois du club Naturévasion Rando, grands arpenteurs des petits et grands chemins et qui peuvent souffler en mode pause estivale, les godillots bien rangés sur l'étagère à la place des espadrilles. Toujours en forme pour arpenter des sentiers du département et de la région. «Avec la pratique associative de la randonnée pédestre, les adhérents participent aussi à la maintenance d'un patrimoine naturel qui est parcouru également par tout un chacun. Cette valorisation est réalisée, soulignée, par de la vérification, du balisage, et du signalement d'anomalies rencontrées en chemin. 

Actions qui témoignent des valeurs portées par la Fédération Française de Randonnée Pédestre, qui faut-il le noter, est reconnue d'utilité publique depuis 1971» assure le président Alain Hicter déjà penché sur les cartes et les itinéraires connus ou à découvrir dès la rentrée et cet automne. Lui, grand marcheur en a déjà reconnu des dizaines. Localement actif depuis plus de 20 ans et affilié à cette fédération, le club Graulhet Naturévasion Rando GNR avec ses accompagnateurs, organise régulièrement des sorties dominicales pleine nature avec des niveaux différents :facile, famille, sportive ou participations à des Randochallenges. Son programme est accessible à L'Office de Tourisme et à la Médiathèque de Graulhet. 

«Les amateurs de tous âges, non encore licenciés seront les bienvenus pour la découverte de cette pratique, ce 2 à 3 fois et à partir de la rentrée le 3 septembre avec des déplacements jusqu'aux départs qui peuvent se faire en covoiturage. En attendant, bonnes et agréables balades ou randonnées sur les milliers de kilomètres de sentiers balisés du Tarn et au-delà selon vos envies, nous invitons les anciens ou futurs adhérents à trouver les infos nécessaires sur les randonnées dans le Tarn, sur les sites : http ://www.tourisme-tarn.com/et https ://www.randonnee-tarn.com/». Pour plus d'informations, sur le club contacter le 05 63 42 07 14 ou hicter.alain@wanadoo.fr


Publié le 19/07/2017 à 09:08  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Le spectacle historique, c'est aussi une affaire de technique


Une partie de l'équipe technique sur une des tours-régie. / Photo DDM.G.D.

Tout est prêt pour la 32e édition du spectcale historique, qui sera présenté sur le site de la Bousquétarié, les 21, 22 et 23 juillet à 22 heures. Une organisation qui nécessite onze mois de travail. «Nous recommençons par la réflexion sur le spectacle de l'année suivante, dès septembre. Nous présentons un bilan, puis des perspectives qui s'appuient sur les l'analyse des réponses des enquêtes qualité que nous lançons après chaque édition. Pour 2017, nous avons donc revu et renforcé la signalisation du site.

Puis, dans la foulée, nous envisageons ce que sera le spectacle suivant, les nouvelles scènes, le fil conducteur, et l'investissement nécessaire en matériel» explique Françis Auriol, impliqué de longue date aux côtés du président Alain Huc, dans la réalisation du spectcale historique qui cette année abordera le thème «Occitanie Terre d'Histoire». «Puis vient le moment de l'approche technique de l'édition à venir». Et là, pendant que les couturières de l'association Culturelle du Pays Graulhétois cousent les nouveaux costumes ils sont une bonne dizaine de bénévoles à s'affairer aux améliorations et aux réparations. L'hiver dernier, une équipe dirigée par Bernard Livoye a repeint les 400 coques des gradins désormais propriété de l'Acpg, aux couleurs rouges et jaunes de la région. 


«Il y aura des combats de chevaliers. Les participants au grand spectacle du soir proposeront dans l'après-midi des mini-spectacles», explique Alain Huc / Photo DDM,  J-C C .

Plus tard, tout le monde a «donné la main» pour monter les tribunes des 1000 places assises. «En une grosse matinée, c'est un petit exploit» se félicite l'ancien mécano. Puis, ce sont les deux tour de régie et la demi-douzaine de chapiteaux abritant vestiaires et restauration des bénévoles qui ont aussi été montés. Enfin, et grosse dépense d'énergie, les décors, crées ou revus au printemps, ont été acheminés du local de la Ventenayé, sur site. Et pour finir, Eric Maroule, électricien de profession, a installé les réseaus éléctriques pour assurer les 150 000 watts de puissance nécessaires à l'éclairage sur les trois soirées. «Quinze jours avant les dates, la Bousquétarié devient un chantier permanent» assurent les gros bras de l'association. «Heureusement, il faut une petite semaine pour tout démonter. Puis, un mois de repos avant de reprendre le cycle infernal».


Publié le 20/07/2017 à 07:48  | La Dépêche du Midi |

Réaménagement de Crins II : le projet se peaufine


La physionomie du quartier va changer./Photo DDM, arch.

Lors de leur dernière réunion en séance publique les conseillers municipaux ont eu à examiner l'avant-projet du volet «espaces publics» de la réhabilitation du quartier de Crins II. Alors que le bailleur, Tarn Habitat, travaillera sur le volet logements avec la réhabilitation de 157 logements, la construction de 10 logements et relocalisation de la chaufferie, la ville a la charge de l'aménagement des espaces publics.

Après plusieurs réunions entre les maîtres d'ouvrage et l'équipe de maîtrise d'œuvre, les études ont abouti à la production d'un avant-projet présenté aux élus. La gestion des interfaces avec les immeubles, les équipements et les espaces paysagers avec les réseaux techniques a amené le projet à évoluer sensiblement. Il comprend désormais un plateau traversant au croisement des avenues de l'Europe et de Provence, le traitement d'une partie de la rue de Normandie, des stationnements optimisés, une palette végétale avec des espèces locales, un système de noues. 

La préparation de l'enfouissement des réseaux aériens est intégrée. Le volet sécurité est présent de même que le souci d'avoir une gestion adaptée des eaux pluviales, notamment par infiltration. Afin de consolider ces études d'avant-projet, des prestations géotechniques sont menées. L'ensemble des élus a approuvé ce projet à l'exception du groupe «Bleu Marine» qui s'est abstenu.


Publié le 20/07/2017 à 09:09  | La Dépêche du Midi |  G.D.

L'Occitanie Terre d'Histoire à la Bousquetarié


Deux heures de grand spectacle et neuf grandes fresques. / Photo DDM

En s'intéressant à la récente création et appellation de la nouvelle région, Alain Huc, qui depuis quinze ans écrit les scénarios du spectacle historique présentée par l'association culturelle du pays graulhétois -qu'il préside depuis autant de temps-, a donné la matière à la 32 e édition sous «Occitanie Terre d'Histoire» qui sera jouée ces 21, 22 et 23 juillet à 22 h sur le site graulhétois de la Bouquétarié. Le spectacle son et lumière, rythmé par une horloge à remonter le temps qui se «détraque», débutera par une scène jouée jadis et remise au goût du jour. 

Elle situe l'action dans les grottes du Mas d'Azil et raconte les peinures rupestres des hommes de Cro-Magnon. Il se poursuivra par la pose de la première pierre du Pont du Gard par les romains. Puis, une nouveauté : Montségur. «Nous avons du monter le décor du chateau et la scène ou les Cathares se jettent dans la brasier, mais aussi créer les personnages tel Esclarmongue de Foix et les autres protagonistes» assure Alain Huc. Suivront, la scène sur les Etats Généraux du Languedoc à Montpellier au XVII e siècle, puis, pour rapprocher l'histoire, la grève des mégissiers de Graulhet et la venue de Vincent Auriol et Jean Jaurès. 

A l'assasinat de ce dernier, la grande guerre sera relatée. Viendront ensuite la bataille d' Albi et la mort des 7 maquisards graulhétois, la résistance populaire sur le plateau du Larzac et pour finir, une page sportive avec les premiers joueurs internationaux du rugby local. Plein les yeux. «Nous avons voulu mettre en scène les heures et les sites importants de l'Occitanie». Quelques-uns d'entre-eux plus précisément. Pour l'édition 2017, ce sont 80 figurants bénévoles et 52 intervenants qui participent à plusieurs scènes, qui répètent depuis trois semaines. Pour que les Historiales de Graulhet connaissent un nouveau succès populaire. Le spectacle est présenté en audio-description.


Publié le 21/07/2017 à 07:48  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Le centre social «en transition» cet été


Chantal Peyrin est aux manettes du centre social./ Photo DDM

Si pendant les vacances il n'y a plus les activités permanentes au centre social, la structure assure de nombreuses sorties familiales tout au long de l'été en préparant son déménagement.

«En période estivale, le temps de travail est organisé différemment», confie Chantal Peyrin, directrice du centre qui compte six emplois à synchroniser, précisant : «Il y a parfois des horaires décalés, notamment au jardin partagé, lorsqu'il fait trop chaud. C'est toute une organisation chaque été avec en plus cette année le déménagement à organiser».

Cette année la rencontre des centres sociaux du département n'aura pas lieu à Graulhet mais à Albi. Le centre de Graulhet proposera des bourses en cuir fabriquées par les habitants et ils apprendront à leurs homologues le «tricot urbain», exposé dans la cité du cuir à l'occasion de Rues d'été.

En même temps, l'heure est aussi au déménagement pour toute l'équipe du centre qui sera fermé du 4 au 28 août. Elle reprendra son activité au foyer Léo-Lagrange. Le bâtiment actuel, propriété de la Caisse d'allocations familiales, a été vendu à l'agglomération dans le cadre de la réorganisation de l'accueil de la petite enfance. Des travaux seront engagés avant qu'il ne commence une nouvelle vie.

«On a commencé à trier, on fait les cartons. L'idée, c'est que les activités puissent reprendre à partir du 7 septembre et que nous puissions à cette date accueillir les familles», confie Chantal Peyrin. Les nouveaux bureaux seront situés à l'étage mais les activités proposées au grand public se dérouleront au rez-de-chaussée, pour l'essentiel dans la grande salle. «On est dans une période transitoire», conclut Chantal Peyrin qui se prépare aussi avec son équipe pour la quatrième année un accueil des familles dans les écoles maternelles du 4 au 6 septembre chaque matin.


Publié le 21/07/2017 à 07:54  | La Dépêche du Midi |

Laurent Ramière, ancien de La Dépêche


Laurent Ramière en 1989 avec le comité des fêtes du Muguet. / Photo DDM

La maladie a eu raison du courage de Laurent Ramière qui s'est éteint en début de semaine à l'âge de 86 ans. L'ancien technicien coloriste aura été durant plus de 20 ans, dans les années 70-80, la référence du journal sur Graulhet, quand les correspondants se disaient pigistes chroniqueurs locaux, que les textes se passaient par téléphone, les négatifs et clichés se portaient aux bus de 13h ou 18h pour la rédaction d'Albi. Laurent était aussi impliqué de longue date dans plusieurs associations. Ayant contribué à la création des Amis de la Danse, il s'était révélé un parfait organisateur dans les rangs des bénévoles des fêtes du Muguet quand le comité invitait les grands de la télévision à se produire sous le chapiteau de Crins ou dans la salle de basket. 

«Il était notre Monsieur relations publiques», se souvient Bernard Bellotti, grand planifieur de tâches de cette époque. «C'était un homme discret, toujours d'humeur égale et très disponible». Jusqu'à ces dernières semaines, il assurait dans ces colonnes la rubrique tarot pour laquelle il prenait hebdomadairement sa plus belle plume. «C'était notre secrétaire. Il était l'âme du club depuis sa création», assure le président du tarot Michel Boivin. 
 

Publié le 22/07/2017 à 03:51  | La Dépêche du Midi |  G.D

Une nouvelle présidente pour le club de basket


Nassera Boudjadja au centre d'un bureau directeur très féminisé. /  Photo DDM

Après deux mandats d'un an consécutifs, Patrice Py vient de céder sa place à Nassera Boudjadja à la présidence du basket graulhétois, un club qui a connu ses heures de gloire dans les années 70 et qui dure. Une passation dans la sérénité. «J'ai préféré arrêter après deux ans de présidence. Trop de frustrations et peu de moments de plaisir. Le club est maintenant mieux structuré avec l'installation dans le nouveau bureau de deux services civiques, le retour d'anciens Graulhétois comme Bruno Gonzalez et Salah Mamah pour encadrer les jeunes, l'arrivée de Christine Cadillac au secrétariat et au sponsoring», assure Patrice Py qui reste au club pour encadrer une équipe. 

Place donc à un nouveau comité directeur dans lequel prend place Julie Papaïx aux côtés de Nadia Gil et Bruno Gonzalès, Valérie Sannou assurant la trésorerie. Nassera Boudjadja n'est pas une inconnue au club. Impliquée dans ce sport par la présence de ses deux garçons dans les équipes, depuis plusieurs saisons elle encadre les sections jeunes, joue en sport loisirs et coachait les U11 l'an dernier, diplôme d'initiateur en poche. «Patrice a fait énormément de travail et laisse le club comme la présidence dans de bonnes conditions», reconnaît cette employée de collectivité locale de 46 ans qui envisage ses nouvelles fonctions avec une certaine forme de continuité. «Nous aimerions faire monter les seniors filles au niveau régional et faire encore progresser la section masculine qui a été championne du Tarn dans sa catégorie». 

La saison dernière, la section basket, rattachée à l'Omnisports, comptait 125 licenciés pour 14 équipes toutes générations confondues. «Un chiffre que nous aimerions augmenter, mais en s'assurant de nouveaux créneaux d'occupation de salle et de moyens éducatifs supplémentaires pour étoffer l'encadrement», envisage Carole Marty, responsable de l'école de basket. «Pour cela, nous recherchons des emplois civiques. La saison dernière nous en avions deux au club, il en faudrait quatre !».


Publié le 23/07/2017 à 03:50   | La Dépêche du Midi |  G.D.

Marché : les Condat de Bras, trois générations dans le melon


Carmen et Christophe sur le marché de Graulhet le dimanche et le jeudi proposent aussi leurs tomates, oignons ou ail./  Photo DDM.G.D.

Sur le marché de Graulhet, le nom de Condat est automatiquement et depuis des décennies, lié à l'étalage de melons qui embaume les allées. Et ce depuis 85 ans. C'est Hubert, 92 ans aujourd'hui, qui a, avec ses parents il y a 85 ans, «descendu» les premiers melons de Bras à la limte du canton et de Labessière-Candeil, de la ferme familiale vers le «jardinage» d'alors. Aujourd'hui, c'est la troisième génération, Christophe, avec sa mère Carmen, qui tiennent l'étal, à Graulhet, comme à Castres, à Mazamet, ou à Réalmont, tant que dure la saison. Et elle a débuté plus tôt que d'habitude cette année. 

«Dès le 7 juin, alors que régulièrement elle commence à la moitié du mois. Il a fait plus chaud ce printemps, la fécondation et la maturation ont été précoces. Nous ne proposons d'ailleurs à la vente que des melons mûrs» tient à préciser Christophe. Devant les fruits classés selon la grosseur, le flux des clients est constant, le patronyme du producteur ayant depuis longtemps les faveurs de la ménagère. «Le melon, je le mange en entrée, en brochettes avec du jambon» lance l'une d'entre-elles. «Moi, répond le producteur, je m'en régale à la cueillette dans la melonnière ou alors à table avec un peu de vin de noix». Les cageots se vident rapidement. 

«Nous en produisons 50 tonnes par an en moyenne sur 2,5 hectares des 60 de la propriété. Nous avons sélectionné la variété Arapaho, version greffée, qui convient presque idéalement aux côteaux argilo-calcaires sur lesquels nous les cultivons». Au coup d'œil, Carmen, sait le melon qui peut se manger à midi et celui qui peut attendre. «Je coupe ou je laisse la queue pour que les clients puissent les repérer». Pas besoin d'un coup de nez ou d'un coup de chance, mais d'un coup d'œil. «Il faut qu'il pèse, et qu'il ait les côtes d'un vert tendre...» conçoit le producteur. «Moi, j'en achète toute la saison et ils sont toujours bons» coupe une cliente, qui en fait rouler trois dans son cabas. Les cageots vides s'empilent et la fourgonette s'allège au fil des heures. Hubert ce dimanche, sera encore heureux quand elle rentrera à Bras.


Publié le 24/07/2017 à 08:20  | La Dépêche du Midi |  G.D.

L'association «Aujourd'hui 2 mains», fait sa scène ouverte


Anne Marie Lahille dans son cabinet de la rue Galliéni. / Photo DDM G.D.

Trois semaines après avoir fait ses «portes ouvertes, «Aujourd'hui 2 mains», va organiser une auberge espagnole avec une scène ouverte sur laquelle les talents locaux seront invités à sa produire, le lundi 31 juillet prochain, sous les grands arbres de la Bousquétarié et ce, dans le but de créer du lien social. Elle vous y attend nombreux !

Ces animations vont donner à l'association implantée à Graulhet depuis 2 ans, un éclairage à même de faire connaître ses activités autour du bien-être dont les 3 piliers sont le physique, le mental et le social. Au travers d'actions concrètes individuelles ou collectives, nous tendons à développer le sens de soi, le sens de l'autre, de don de soi pour apporter plus d'humanité à l'humanité. Les accompagnements différents et complémentaires proposés au sein de cette association singulière visent tous l'épanouissement de la personne humaine.

Vaste programme pour lequel la présidente Monique Gloriès a réuni une dizaine de membres actifs intervenant professionnellement avec différentes approches telles que le conseil en image, la méditation, le shiatsu, la libération émotionnelle, un travail sur les mémoires trans-générationnelles, la naturopathie, le conseil en alimentation ou le magnétisme…..

Des spécialités qui attirent de plus en plus de public.'Le but de ce regroupement est de fédérer un certain nombre d'intervenants dans le secteur du bien-être et de créer une caisse de solidarité pour permettre aussi de répondre aux demandes de personnes parfois en situation précaire, sans pour cela favoriser l'assistanat» assure Anne Marie Lahille intervenante à l'assciation.»

Nous aspirons toutes et tous à l'épanouissement de la personne humaine, en la faisant fonctionner sur la loi du donner et du recevoir. Au travers d'actions concrètes individuelles et ou collectives, nous tendons à développer le sens de soi, le sens de l'autre, de don de soi pour apporter plus d'humanité à l'humanité». Tout est dit et disponible sur la page Facebook d'Aujourd'hui 2 mains.


Publié le 26/07/2017 à  08:51   | La Dépêche du Midi |

Les vacances ont bien commencé à La Courbe


Météo mitigée mais enthousiasme unanime depuis trois semaines. / Photo DDM 

La météo incertaine n'a pas empêché les enfants de venir passer les vacances à La Courbe, centre intercommunal géré par l'Amicale Laïque de Graulhet… Ces deux premières semaines ont été rythmées entre sorties, activités sportives, créatives, grands jeux, veillées, journées à thème, chacun à son rythme et en fonction de ses envies.
Les élus du territoire (CAF, Communauté d'Agglomération, déléguée de la préfecture, maires…) ont pu visiter le centre et partager le repas avec les enfants le jeudi 13 juillet. 
Fête du premier séjour

Comme chaque année, les enfants, animateurs, amicalistes, préparent la traditionnelle fête de fin de séjour «American Show» qui aura lieu ce vendredi 28 juillet à partir de 19 heures.
Au programme : Repas spectacle. Parents et amis pourront assister aux numéros des petits et grands pendant le repas. 

Pour les aoûtiens, le centre de vacances intercommunal de La Courbe est ouvert du lundi au vendredi jusqu'au 1er septembre inclus où activités variées sur le centre et sorties attendent les enfants. À la journée ou à la demi-journée. Des rotations de bus sont organisées pour le ramassage des enfants.
Le centre de vacances est ouvert à tous les enfants de tout le département.


Publié le 26/07/2017 à 07:43  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Le succès de la galerie marchande de l'hypermarché


Une offre complète qui va encore être renforcée./ Photo DDM G.D

Pari réussi pour le dynamique Bruno Lefebvre, président de Graulhet Distribution, qui avait envisagé à six mois depuis l'ouverture de l'hyper-Leclerc le délai nécessaire pour faire le plein de commerces dans la nouvelle galerie marchande. Avec les deux dernières ouvertures de la parfumerie et de l'opticien, c'est chose faite depuis quelques semaines. De ce fait, le centre affiche complet et tourne à plein régime. «Ces boutiques complètent l'offre de l'hyper», assure Bruno Lefebvre. «Même si convaincre les enseignes et les commerçants d'investir ici est souvent compliqué. À ce titre, l'installation de la parfumerie comble un vide sur Graulhet !». 

«Ces sept boutiques ont permis la création de 21 emplois», assure-t-il. Mais le PDG ne veut pas en rester là. Il s'attelle depuis l'ouverture à la création d'une zone attenante à droite du Leclerc qui permettrait, à ses dires, d'élargir le rayon d'action, de créer un point d'attrait supplémentaire et d'agrandir la zone de chalandise. Sur le terrain mitoyen de 6 000 m2, il envisage à l'horizon du printemps 2018 l'implantation de magasins de bricolage, de textile, de surgelés, de produits discount, de jouets et d'un point de restauration rapide et traditionnel. «Notre progression initiale depuis l'ouverture de l'hyper est de 30 % en plus par rapport à l'ancien supermarché. C'est encourageant !». 

En interne, il projette aussi le développement du rayon bio de son commerce. «La demande est très forte, nous nous devons d'y répondre ! À la sortie de tous ces investissements, nous voulons que les Graulhétois dépensent sur Graulhet, ce qui sera une belle avancée !». Et pour bien étayer le défi lancé en termes de délais, il cite la construction de l'hyper et la démolition du super qui ont été réalisées dans les temps, et par un fort pourcentage d'entreprises locales comme Pjp, qui a signé pour l'occasion un des plus, sinon le plus gros chantier de sa carrière d'artisan en maçonnerie.


Publié le 27/07/2017 à 08:29  | La Dépêche du Midi |  J-C C

Ilot du Gouch : financement et aménagements adoptés


L'emblématique porte du Gouch au cœur de l'îlot. / Photo DDM, J-C  C.

Lors de leur dernière réunion en séance publique les conseillers municipaux ont eu à se prononcer sur l'avant-projet de l'aménagement des espaces publics de l'îlot du Gouch. La municipalité est partenaire du projet communautaire d'amélioration de l'habitat qui vise à améliorer «l'état de dégradation très avancé du bâti» dans cette partie du centre-ville.

La convention d'OPAH RU prévoit le traitement de certains îlots dégradés par la mobilisation de procédures spécifiques des participations financières de la commune de la Communauté de communes au déficit de l'opération.

Pour permettre la réalisation de cette opération, la Communauté de communes s'est rendue propriétaire de la quasi-totalité des biens de l'îlot et a conçu avec la ville et Tarn Habitat un programme de réhabilitation global de cet îlot. En juin 2016 la ville a validé sa participation au déficit d'opération de l'îlot du Gouch pour un montant de 354 040 euros.
Alors que Tarn Habitat mène l'opération logement, la ville développe de son côté le projet d'aménagement des espaces publics.

Une équipe pour un projet complexe
Un contrat de maîtrise d'œuvre a été passé avec une équipe constituée de Hetre Paysage (mandataire), 3 Points Architectes, OTCE Infra, bureau d'études VRD. Cette équipe travaille en étroite relation avec l'équipe de maîtrise d'œuvre de Tarn Habitat. La complexité du site, l'imbrication des constructions, l'étroitesse des voiries, la nature des plateformes sont autant de données prises en compte et traitées dans le cadre des études.

Le montant global des travaux, tel qu'il résulte des études d'avant-projet, se monte à 656 744,97 euros hors taxes, soit 788 093,96 euros TTC ainsi répartit : travaux de base 642 544,97 euros HT (soit 771 053,97 euros TTC), option relative au dévoiement d'une canalisation d'eaux pluviales 14 200 euros HT (soit 17 040 euros TTC). Cet avant-projet a été voté à l'unanimité par le conseil municipal.


Publié le 28/07/2017 à 10:21  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Nyango a pris ses marques à l'hôpital


Nyango dans les murs des Quatre Saisons. / Photo DDM, J- C  C .

Il s'appelle Nyango et a un mois et demi. Le jeune berger australien fait désormais partie de l'équipe de l'unité des Quatre Saisons au sein du centre hospitalier de Graulhet. Il intervient dans le cadre d'une médiation animale auprès de résidents atteints de la maladie d'Alzheimer et autres troubles associés. Justine est animatrice dans l'unité depuis 2012, année de son ouverture. En accord avec l'équipe soignante, avec le soutien du personnel et de l'administration, elle a suivi une formation pour assurer une médiation animale avec les résidents. Jusque-là cette activité était assurée par un prestataire extérieur.

Aujourd'hui les séances se déroulent le vendredi par groupe de quatre personnes au maximum. Au fil des séances hebdomadaires c'est le même groupe de résidents qui y prend part pour un meilleur suivi. «La séance d'une demi-heure maximum commence par une présentation. On brosse les chiens, il y a aussi Jeff, un petit spitz, on nourrit les cochons d'Inde, il y a un travail de praxie et on termine avec le travail cognitif avec les animaux», explique Justine. Il est aujourd'hui indéniable que ce contact avec l'animal apporte beaucoup aux résidents. «Des personnes qui parfois ne parlaient plus à leur proche peuvent appeler l'animal, le caresser ou avoir un contact avec lui», témoigne un membre du personnel soignant.

Si la formation a été financée par la structure qui faisait déjà appel à des séances de médiation animale en plus des clowns, de la musicothérapie ou de l'art-thérapie, l'achat de l'animal a été financé par le Rotary Club de Gaillac-Graulhet. «Nous avons récolté grâce au rallye automobile touristique une somme de 700 euros. Elle a été intégralement reversée pour l'achat du chien Nyango», confie Francis Fontorbe, ancien président du Rotary Club de Gaillac-Graulhet, qui est désormais animateur au sein de l'association. Cette dernière est déjà intervenue auprès des Quatre Saisons pour le financement de la cuisine, l'achat de fauteuils adaptés, la venue des clowns ou encore des ateliers de musicothérapie à la résidence du Pré de Millet.


Publié le 28/07/2017 à 10:05  | La Dépêche du Midi |

Une belle première édition qui en appelle une autre


Un nouveau visage de la Maison des métiers du cuir s'est dévoilé.  / Photo DDM 

Plus de quatre mille personnes ont visité les différents sites qui ont participé à la première édition de «Arts Graulhet». Durant le temps de l'évènement lieux publics et privés ont accueillis six cent œuvres (peintures, sculptures, sérigraphies, photographies, etc.) réalisées par une centaines d'artistes comme autant d'occasion de jeter un œil nouveau sur la ville.

«Cette première édition a été un franc succès tant par la fréquentation que par le retour des artistes à l'occasion du debriefing qui a eu lieu lundi» confie Anne-Marie Jardry, présidente de l'Eveil artistique qui coordonnait l'évènement. Ce dernier a vu le jour alors que Arts Quercy devient bi-annuel.

Une seconde édition déjà prévue
Devant l'enthousiasme suscité, s'il est évident qu'une seconde édition aura lieu, il n'est pas encore été arrêté si Arts Graulhet aura lieu chaque année ou une année sur deux, en alternance avec la manifestation lotoise. La décision devraitt êre prise en septembre.

En revanche plusieurs pistes ont déjà été évoquées pour la prochaine édition. «Certains artistes ont travaillé en direct, ce qui a ravi les visiteurs mais aussi les artistes. Cet échange sera sans doute plus important lors de la prochaine édition» souligne Anne-Marie Jardry qui confie que certains artistes ont déjà fait des propositions en ce sens. Les artistes devraient d'ailleurs aussi être plus présents à l'occasion du prochain «Arts Graulhet». Un nouvel évènement estival graulhétois d'ores et déjà attendu avec impatience par les artistes comme par le public.


Publié le 29/07/2017 à 08:55  | La Dépêche du Midi |  Recueilli par G.D.

Un premier festival BD Rock l'an prochain


Paco Salamnader et son collaborateur Claude Perez. / Photo DDM

Rencontre avec Paco Salamander, dessinateur graulhétois, créateur des Wipers et porteur de projet d'une grosse manifestation dédiée à la BD sur Graulhet.

Vous développez un grand projet pour 2018. Quel est-il ?
Dans le cadre des rendez-vous littéraires régionaux et pour impulser une action complémentaire au Salon du livre de Gaillac et au festival Lisle Noir de Lisle-sur-Tarn, l'association graulhétoise Bulles en cases a décidé d'organiser son premier festival BD Rock à Graulhet. Les premières rencontres avec les différents partenaires institutionnels, tels que la ville de Graulhet et la Communauté d'agglomération, ont déjà eu lieu. Afin d'insuffler une dynamique pour la cité, nous envisageons sur un week-end, début octobre 2018, d'apporter une action sur divers points de la ville et ce sur quatre sites différents. Le Forum accueillera pour sa part une quinzaine d'auteurs de bandes dessinées en dédicaces, des associations adhérentes au projet, un pôle jeu, des activités enfants, du Cosplay, un pôle animation 2D/3D et un point restauration. 

La journée du samedi sera clôturée par un concert rock avec le groupe perpignanais de Rémi Orts, Neva. En liaison avec les acteurs commerçants du centre-ville, nous mettrons en place une chasse au trésor. L'idée étant que les participants, au travers de ce jeu de piste, partent à la recherche d'indices dans les commerces pour solutionner des énigmes et arriver finalement à la récompense. Des décorations de vitrines viendront agrémenter le circuit proposé. Nous envisageons une projection au cinéma le Vertigo, suivie d'un débat avec des comédiens issus de l'univers du doublage de films et de publicité. Cet événement devrait s'inscrire dans la durée.

BD, aquarelle, illustration, jeu vidéo, art virtuel, photographie, sculpture… Paco Salamander le touche à tout de l'art ? L'art est une remise en question permanente ?
J'ai effectivement exploré toutes les facettes de l'art. Il ne manquait qu'une corde à mon arc, la bande dessinée. C'est désormais mon domaine de prédilection avec les Wipers mais j'ai d'autres écrits pour la littérature jeunesse qu'il me faut maintenant illustrer.

Dans la multitude des BD qui paraissent, comment se faire un nom ?
Quand on a la chance de pouvoir être édité, il faut pouvoir ensuite participer à un grand nombre de festivals toute l'année pour se faire connaître. Il faut travailler sans cesse pour s'améliorer et surtout persévérer. La réalisation d'un album peut demander plus d'une année de travail selon le genre. Enfin, communiquer sans relâche sur son travail auprès des éditeurs, sur les réseaux sociaux et auprès du public en allant à sa rencontre.


Publié le 30/07/2017 à 08:18   | La Dépêche du Midi |  G.D.

La mercerie rue Jean Jaurès change de (petites) mains


Brigitte Carisey (à g.) et Françoise Boulade la nouvelle mercière-lingère. / Photo DDM G.D.

À 67 ans, Brigitte Carisey vient de se résigner à céder son commerce de mercerie lingerie qu'elle a ouvert il y a 31 ans rue Jean Jaurès. La mercerie, une affaire de famille, puisque Lucette Alquier, la maman, tenait déjà commerce avenue Ch De Gaulle, là ou est née Brigitte, avant de s'établir à l'angle de l'avenue Gambetta et de l'avenue de la Résistance (aujourd'hui banque).

«J'ai toujours été bercé par ce métier, consent Brigitte Carisey, un brin nostalgique des années d'or de sa boutique et du commerce local. C'était pendant et après la guerre avec la laine et plus tard quand le cuir marchait!». Elle ne voulait pas que l'enseigne disparaisse, alors elle a longtemps cherché un repreneur. Un jour, Françoise Boulade, mise sur la piste par une autre commerçcante graulhétoise, est entrée dans la mercerie et a trouvé son bonheur, dans le choix de sa reconversion, obligée par un accident de travail dans sa précédente carrière d'auxiliaire de vie.

Licenciée il y a un an, elle a eu le coup de cœur en entrant dans cette véritable caverne d'Ali-Baba, ou s'empile les boîtes des lingeries de toutes tailles, les pelotes de laine, les cartons de boutons de toutes sortes, les sacs de fermetures Eclair, et les bobines de fils de toutes catégories. Début août, la Réalmontaise sera la nouvelle propriétaire, aux côtés de sa fille Céline, couturière de formation. «Un savoir-faire se perd, petit à petit et nous avons déjà décidé de proposer des cours de couture, de tricot, de broderie ou de crochet dans la boutique ou à l'étage» envisage Françoise qui, dont l'ascendance fait figurer une arrière-grand-mère déjà couturière à Lautrec.

«D'ailleurs, en même temps que nous allons reprendre avec ma fille la mercerie de Graulhet, nous en reprenons une autre avec ma sœur sur Lacaune! Avec, dans les deux cas, une disponibilité pour le conseil aux débutantes en couture». Début août, après une semaine de réagencement, «chez Céline et Françoise» permettra de laisser en place une belle et authentique enseigne du commerce local en plein centre-ville.


Publié le 31/07/2017 à 08:29  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Italiens et Espagnols se frottent aux Archers du Dadou


Les trois délégations «nationales» confondues. / Photo DDM

Comme tous les ans, les Archers du Dadou avaient inscrit au calendrier des compétitions officielles un tir sur cibles volumétriques : un «3D», selon la dénomination officielle. Ce concours était l'un des derniers de la saison, le championnat de France de la discipline ayant lieu dans un mois tout juste, et les dirigeants graulhétois avaient voulu en faire à la fois un entraînement et un test pour ceux qui se savaient déjà qualifiés, en même temps qu'un point d'orgue à la saison pour tous les autres, ceux qui espéraient encore et ceux qui ne venaient que pour une ultime participation, à moins d'aller tirer dans d'autres régions.

Pour l'occasion, attirés par nos Régionaux sélectionnés en équipe de France, Robin Gardeur et Christophe Grivotet des Archers du Dadou, Xavier Brulin de Cugnaux et Marjorie Puech de Verdun-sur-Garonne, on relevait la présence d'une délégation italienne, comprenant des archers ayant fait partie de l'équipe nationale lors des derniers Mondiaux, et de l'Espagnol Guillermo Robles-Sanchez. Une ambiance formidable, des dialogues en italo-anglo-franco-espagnol pour se comprendre, dans un lieu idyllique, de l'avis de tous ceux qui ne connaissaient pas cette propriété privée située sur la commune de Peyrole, beaucoup de félicitations aux créateurs et aux installateurs du parcours, si bien que l'organisation imparfaite des tirs duels du samedi, d'ailleurs largement corrigée le dimanche, a été pardonnée et que chacun gardera un excellent souvenir de ce week-end et de la présence discrète, «professionnelle» des arbitres, en particulier de Johnny Arnaud, arbitre responsable de la partie officielle, et de Gilles Simonin, qui fut le «maître de cérémonie» des tirs duels.

Les internationaux se retrouveront au Championnat du monde qui aura lieu du 19 au 24 septembre, avec phases finales devant le Palais des Papes d'Avignon.

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

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