Graulhet : Rétro Avril 2017 -2-

5/1/2018

  GRAULHET : Du Bruc à Ricardens  



  Graulhet : Rétro Avril 2017 -2-  

Publié le 16/04/2017 à 10:14  | La Dépêche du Midi |  G. D.

Deuxième tapis rouge pour le défilé de mode


Vu le succès remporté lors de la première édition, il fallait bien un deuxième défilé de mode en centre-ville./ Photo DDM, archives.

Un défilé de mode en plein centre-ville, un samedi, une rue passante barrée temporairement, un défilé bon enfant, le public au rendez-vous, les applaudissements nourris, les participants unanimes sur l'opportunité d'une telle manifestation, l'initiative de Partag, l'association des commerçants et artisans, l'an dernier, ne pouvait que déboucher sur un bis. Ce samedi 22 avril, c'est encore rue Verdaussou que le tapis rouge va être déroulé.

À 11 heures et à 17 h 30, les deux passages présenteront le prêt-à-porter, les bijoux, les chaussures, les vêtements de cuir, les lunettes et les coiffures tendance de cette mode printemps-été. Lors de la première édition, les boutiques Stéphanie's, Bijoux Cailloux Bisous, Boy and Girl, Maximode, Rosemarie Cuirs, Allo les chiens, Morgane et Optic 2000, Virginie création, Paprika et By Mitou avaient participé et ont renouvelé leur engagement, rejointes par Yves Rocher et L'Ecrin. Des adhésions qui satisfont le coprésident de Partag, Daniel Sannou : «L'intérêt est de faire connaître nos commerces et leurs capacités sur une manifestation en extérieur en plein centre-ville. Le succès de la première nous a imposé de refaire le défilé de mode plébiscité par le public. Nous pouvons aussi profiter des quelques boutiques vides rue Verdaussou pour transformer ces locaux en vestiaires d'un jour.»

Au rayon des nouveautés, plusieurs interventions de la chorale Fiesta et des chanteurs de Star'diams, ainsi que des passages des acteurs et figurants de l'ACPG en tenue d'époque pour la promotion du spectacle historique, ainsi que la présence de stands associatifs.

Le défilé sera commenté et la restauration sur place assurée. «Nous avons voulu une manifestation qui fasse bouger la ville, ouverte au plus grand nombre, qui soit à même de faire connaître les adhérents de Partag comme les autres. Et nous avons même prévu une belle surprise en fin de défilé», annonce déjà Nadia, de Bijoux Cailloux, investie dans l'organisation.


Publié le 16/04/2017 à 10:14  | La Dépêche du Midi |  G. D.

La stèle de Marcel Batigne toujours fleurie


Une tradition respectée, une mémoire honorée. / Photo DDM

A l'occasion de la 15e édition du tournoi de rugby à la mémoire de Marcel Batigne, la stèle qui honore le dirigeant du Sporting-Club et de la fédération, dans l'enceinte du stade Noël-Pélissou, a été fleurie mercredi, à midi. Le président tarnais Alain Rey a rappelé l'implication du Graulhétois dans l'essor de ce sport au niveau local, national, européen et international, en présence de trois générations de sa famille, du maire Claude Fita, de l'ancien président tarnais André Laur, des présidents des départements participant au tournoi et des dirigeants du SCG.


Publié le 16/04/2017 à 08:38  | La Dépêche du Midi |  G. D.

A Pâques, François Bidault le campaniste arrête les Angelus


François Bidault sur le clocher de l'église de Cabanès à un son de cloche de son domicile. / DDM.G.D.

Les jours précédant Pâques, sont toujours des semaines particulières, pour Françis Bidault, le campaniste tarnais, appelé en haut de beaucoup de clochers pour désactiver la programmation des Angelus des carillons, comme le veut la tradition. «Les villages ont chacun leurs mélodies, leurs sons différents, avec seulement leur trois fois trois coups, qui doit donner le temps de réciter le Je vous salue Marie».

Installé à Cabanès, il a épousé le métier dans lequel il est entré voilà trente-deux ans, en prenant la suite d'un vieil Ariégeois, horloger d'édifices qui lui a tout – ou presque – appris des installations de cloches, de leur automatisation, et des cadrans d'horloge. D'abord autonome, il a ensuite été sollicité par Bodet, grande enseigne, dans laquelle il a intégré sa petite entreprise. Un métier dont l'exercice requiert un certain sang froid sur les hauteurs des clochers voire des cathédrales et pour lequel il a été nommé conseiller technique, intervenant auprès de nombreuses collectivités de la région. «Les cloches sont des objets particuliers, avec un intérêt historique évident, puisqu'elles portent toujours le nom de leur marraine, de leur parrain, du maire et du curé en plus de leur année de coulée. Elles sont en airain, le bronze de cloche, le bronze musical.»

Sainte Cécile, une référence
Parmi ses références, Françis Bidault, cite le carillon de l'église tarnaise de Saint Avit daté du milieu du XVe siècle et classé Monument Historique, le carillon castrais de la Platée, celui de Sainte Cécile d'Albi, ou les 54 cloches et quatre octaves de la cathédrale Saint Antonin de Pamiers.

Au rayon originalités, il se plaît à raconter l'histoire de la cloche des Perdus d'Aubrac, qui au milieu de XVIIIe siècle, guidait les pèlerins. «À la Révolution, elle avait été volée par les paroissiens de Saint- Chély tout proche, mais ceux d'Aubrac l'avaient récupérée une semaine plus tard. Elle pèse 2,5 tonnes !» Et de citer la maison Paccard, une des trois dernières fonderies françaises installée à Annecy le Vieux, à qui on doit le carillon de Chambery. Une référence dans le métier de campaniste que François Bidault envisage de laisser dans quelques mois.


Publié le 17/04/2017 à 03:48  | La Dépêche du Midi |  G. D.

Les basketteuses U17 en course pour 2 titres


De gauche à droite : en haut,  Eve Cadillac,  Lisa Montels,  Lea Garrigues,  Ines Kaouane,  Laure Sidoine et Salah  Mamah, l'entraîneur; en bas, Anaïs Cayzac, Coralie Holmière, Amel Methari, Clarisse Valentin. / Photo DDM

Elles sont peut-être les dignes descendantes des Maurette, Andurand ou autres qui jouaient il y a quarante ans au plus haut niveau national de basket féminin. En tout cas, les U17 du Sporting sont la grande satisfaction de cette fin de saison. «Elles sont l'avenir du basket féminin graulhétois, assure d'emblée le président Patrice Py. C'est une équipe constituée en majorité de première année, qui se connaissent très bien car elles évoluent ensemble depuis leur plus jeune âge. Leurs principales qualités, on les trouve dans la combativité et la solidarité.»

A l'énuméré des compositions, pas étonnant alors de trouver la moitié de l'effectif portant le nom d'un papa de rugbyman. Quoi qu'il en soit et en attendant un final que tout le club espère historique, les U17 vont jouer le samedi 22 avril, à la salle Primault, une demi-finale de coupe du Tarn contre Carmaux. Après avoir battu Saint-Orens dans cette même salle fétiche, dans une chaude ambiance, elles vont recevoir le 29 avril l'entente Gimont-Lisle-Jourdain, en demi-finale aller du championnat des Pyrénées niveau 1. 

«Non, nous ne connaissons pas du tout Gimont mais nous pouvons penser que c'est une équipe compétitive du fait qu'elle ait terminé première de sa poule. Concernant Carmaux, les joueuses ont eu l'habitude de se rencontrer dans les catégories précédentes, donc il va falloir faire abstraction du passé et de leur classement dans la catégorie supérieure et jouer avec nos qualités pour tenter de l'emporter, envisage l'entraîneur Salah Mamah. Nous n'avons pas pu nous entraîner comme nous le souhaitions à cause de nombreuses absences. Mais nous poursuivons notre logique qui est de ne pas se focaliser sur l'adversaire, s'appuyer sur nos forces et continuer de travailler comme nous l'avons fait jusqu'à présent.»

Dans les autres sections, les U15 masculins joueront la demi-finale de la coupe du Tarn à Graulhet, contre le vainqueur d'Albi-Lavaur (date à déterminer); les seniors filles joueront la demi-finale du championnat du Tarn contre Saint-Sulpice, les 23 et 30 avril. Le club organise un tournoi 3x3 réservé aux catégories U15/U17/U20 le 21 mai.


Publié le 18/04/2017 à 07:52  
| La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Les anciennes usines Tignol vendues


Le bâtiment jouxte la médiathèque, face au cinéma. / Photo DDM, J-C C

C'est à l'unanimité que les conseillers municipaux ont choisi de se séparer des anciennes usines Tignol. La friche industrielle située au cœur de la plaine de Millet comprenant maison de retraite, médiathèque, cinéma et passerelle, devrait être transformée en logements.

La société «Les Résilianes Pastel», qui réalise des programmes de logements sous forme de maisons individuelles envisageait d'implanter un ensemble immobilier d'habitations individuelles accolées en ville. La présence d'équipements de proximité et la situation par rapport au centre-ville et ses commerces ainsi que le parc et les berges étaient des atouts de premier plan pour l'implantation de ce programme. Après démolition de l'ensemble des constructions vétustes, le site offre de réelles perspectives d'aménagement en lien étroit avec les équipements. 

«L'opération devra d'ailleurs veiller à préserver des continuités urbaine et paysagère et intégrer des principes de cheminements piétons et de desserte automobile dans sa composition de l'espace» a assuré Claude Fita, maire de la ville, aux élus, soulignant «La réussite de ce programme est un atout pour la ville. Il offre une production recherchée de logements intermédiaires destinés à une population mixte. La population de séniors visée peut par ailleurs, béne´ficier à terme d'un parcours résidentiel qui la maintiendra dans le même environnement de qualité.»

Une vente à l'euro symbolique
Les élus ont choisi, à l'unanimité, qu'en en contrepartie d'une prise en charge intégrale des démolitions par l'opérateur, la ville consente à vendre à l'euro symbolique cette l'emprise foncière d'une superficie de près de de 3 500 m2. L'opération permettra, sans dépenser un centime, de se débarrasser d'une verrue située au cœur de la plaine de Millet. Qui plus est l'opération permettra , de façon contractuelle, la création de logements. Autant de raisons qui expliquent l'unanimité avec laquelle les élus se sont prononcés.


Publié le 19/04/2017 à 07:54  | La Dépêche du Midi |

Au tournoi Jauzion, les petits du Sporting à la peine


Les U10, même encouragés par leur entraîneur, ont raté leur tournoi. / DDM. G.D

Jauzion : Le tournoi portant le nom de l'illustre centre qui a appris le rugby à l'école du Sporting, a vu la victoire de Castres Olympique au cumul des résultats des deux catégories. Suivent Mazamet, Sor-Agout, Lavaur, Vielmur, Graulhet et l'Union. En U10 c'est Vielmur qui a remporté le tournoi, Castres en U8.

Sélection : La petite fille du président de l'Amicale des supporters, Ambre Rivière, vient d'être sélectionnée au poste de trois-quarts centre ou aile, en équipe Midi-Pyrénées U14.

Promotion : Florian Gimbergues, coentraîneur des Belascains, d'origine tarnaise et intervenant au Pôle Espoir de Béziers, vient d'être nommé analyste vidéo de l'équipe de France des moins de 16 ans.

Armée : Christian Bacanov, chasseur alpin à Chambéry, formé à l'école de rugby et chez les jeunes du Sporting, a été retenu en équipe de France Armée de Terre, qui jouera le championnat de France interarmes, du 29 mai au 2 juin à Marseille. L'ouvreur ou centre devrait jouer l'an prochain en Fédérale 2 à Montmélian.

Asie : Le talonneur des Balandrades Guillaume Ducombs et les seconde ligne Pierre Causse vont partir au Japon avec le lycée de la Borde-Basse de Castres pour participer à Coupe du Monde de rugby scolaire qui a lieu du 27 avril au 5 mai.


Publié le 19/04/2017 à 07:55  | La Dépêche du Midi |  G.D.

L'entraide agricole : un seul président depuis le début


98 % de participants à l'assemblée générale. Un record pour une association. 26 ans de présidence, un autre pour Bernard Rivière. / Photo DDM

C'est en 1980, faisant suite à un accident du travail d'un agriculteur, qu'est née cette entraide et quelques agriculteurs se sont regroupés autour du président Rivière pour venir en aide à cet agriculteur accidenté. De fil en aiguille ce sont près d'une centaine d'agriculteurs graulhétois et du canton ainsi que Cabanès qui adhèrent à cette mutuelle qui est toujours là pour un coup dur d'un agriculteur, environ 3 à 4 interventions dans l'année.

Et ils étaient 88 adhérents lors de l'assemblée générale pour réélire l'emblématique président à son poste ce vendredi 14 avril au restaurant de l'Aviation où pratiquement tous les agriculteurs étaient présents.

Créée en 1980
L'association a été créée en 1980 sur le Graulhétois ; en 1985 l'association a été élargie au canton et en 1989 la commune de Cabanès a été intégrée, aujourd'hui elle a 90 adhérents agriculteurs.
«Le but de l'association est de venir en aide aux agriculteurs rencontrant un accident ou une grave maladie et ne pouvant pas faire au quotidien leurs travaux agricoles».

Claude Bousquet, trésorier, a pu donner un rapport financier jugé excellent et indiquer que le Crédit agricole avait subventionné un projet informatique pour l'association. En conclusion, l'adjointe au maire Maryse Escribe ne put que féliciter l'association au travers de lien social et de cette humanité entre agriculteurs. L'entraide agricole est une forme simple et traditionnelle de coopération entre agriculteurs en activité.

Prévue dans le code rural, elle correspond à des échanges de services en travaux agricoles et en moyens d'exploitation et matériel entre agriculteurs. Elle peut être occasionnelle, temporaire ou régulière.
Le service peut être rendu par l'exploitant lui-même, un membre de sa famille participant habituellement aux travaux de son exploitation ou un de ses salariés.

«Elle implique gratuité, réciprocité et équivalence des services rendus. La gratuité de la prestation fournie n'exclut cependant pas la possibilité, pour le bénéficiaire, de rembourser au prestataire tout ou partie des frais engagés par ce dernier et la différence de services rendus, par l'octroi d'avantages en nature, à condition que cette compensation soit limitée».
Actuellement, deux agriculteurs bénéficient de l'aide de l'association qui se démarque par la singularité de son action.


Publié le 20/04/2017 à 07:45  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

On a tous quelque chose à apprendre et à enseigner


Les échanges de savoirs concernent aussi les tours de magie./ Photo DDM, J-C C

Apprendre le travail du cuir à la main, l'anglais, le jardinage, le tricot, la vannerie, l'espagnol, se soigner par les plantes… Autant de savoirs qui sont proposés gratuitement au centre social dans le cadre du réseau d'échange réciproques de savoirs. Il suffit juste, en échange, de proposer quelque chose à apprendre aux autres.

«Notre rôle consiste à mettre à disposition des salles, organiser les rencontres. Ce sont les habitants, tous les habitants de la ville qui en sont les acteurs» explique Chantal Peyrin, directrice du centre social qui souligne l'importance de cet outil pour réunir tous les habitants car on a tous quelque chose à apprendre et quelque chose qu'on peut enseigner aux autres.

La seule règle, c'est la réciprocité, être à la fois «offreur» et demandeur de savoirs et de savoir-faire. Rien n'est payant, tout est partagé. Les échanges se déroulent à deux, en petits groupes ou en échange collectif, suivant le cas. Ces moments sont aussi des supports efficaces d'épanouissement individuels, permettant une revalorisation de l'estime de soi et parfois une redécouverte des propres capacités de chacun.

Un réseau ouvert à tous les habitants
«Le rôle du centre social est d'accompagner les habitants dans leurs projets, il leur appartient. Ce sont eux par exemple qui ont initié le projet sur les langues maternelles. Cela ne peut venir que d'eux», souligne Chantal Peyrin. Dans cette même démarche ce sont les habitants qui vont décider des projets de week-end en famille à venir, des lieux comme des activités. Car on est ici bien loin de l'idée de la consommation de services mais au contraire dans la construction de projets.

Des projets auxquels peuvent prendre part l'ensemble des habitants de la ville, quel que soit le quartier dans lequel ils résident.


Publié le 21/04/2017 à 08:06  | La Dépêche du Midi |  Jean-Claude Clerc

Deuxième tranche de travaux à l'Auditorium


L'extérieur de la salle de spectacle en piteux état./ Photo DDM, J-C C

Les travaux de réhabilitation intérieure et extérieure de la salle de spectacle de l'Auditorium sont engagés depuis le début de la saison culturelle. Les élus viennent de voter à l'unanimité un financement complémentaire pour permettre la fin de cette vaste entreprise.

La salle est un des maillons du réseau de lieux dans lesquels se déroule habituellement la saison culturelle, réseau comprenant la salle du Forum, le cinéma Vertigo, la médiathèque Marguerite Yourcenar, la Maison des métiers du cuir. Ces travaux d'envergure du site comprennent la rénovation de la salle de spectacle de l'Auditorium mais aussi la grande salle de réunion de l'Odéon située au rez-de-chaussée. Chose impensable aujourd'hui sur le volet de l'accessibilité, la salle de spectacle est en effet située au premier étage, au-dessus de la salle de l'Odéon.

Une année de travaux
Les travaux concernent cependant aussi également l'apparence de ce bâtiment marqué par le temps et fortement dégradé. Cependant le site, situé en centre-ville, dispose de parkings réservés aux abords de la salle pour les personnes handicapées et de parkings extérieurs éclairés. Il recèle de nombreux atouts qui sont aujourd'hui à mettre en lumière.

C'est donc toute une année de travaux qui a été programmée pour redonner enfin à cet outil situé au cœur de la ville tout son lustre. Quiconque l'a fréquenté, à l'occasion de spectacles ou d'assemblées générales, d'associations, connaît l'ampleur de cette tâche. Après avoir approuvé un plan de financement prévisionnel en février dernier, les élus viennent d'approuver à l'unanimité un complément à ce financement pour la ´réhabilitation intérieure et extérieure de l'édifice. Il s'agit d'une demande d'aide spécifique pour travaux d'intérêt local (TDIL) faite de la dotation d'action parlementaire pour l'année 2017. Au total, le coût de l'opération devrait s'élever à 229 500 € hors taxes avec un autofinancement de la commune à hauteur de 82 775 €.
 

Publié le 21/04/2017 à 03:53  | La Dépêche du Midi |

S'amuser tout en faisant une «bonne action»


La chasse aux œufs a été bonne./ Photo DDM, DR.

À l'occasion de la chasse aux œufs, qui s'est déroulée dimanche dernier au centre de loisirs de La Courbe, le Secours populaire français (SPF) a présenté ses projets par le biais d'une exposition. Participer à cette journée permettait aussi de réaliser une bonne action. La recette de cette manifestation sera consacrée à diverses actions. Sur tous les continents, les partenaires de l'association sont à l'origine des projets et en assurent la mise en œuvre dans le respect des habitudes culturelles locales et avec le souci de développer l'autonomie des populations. Dans le monde comme en Europe et en France, le SPF et les enfants «Copain du monde» interviennent en soutenant des programmes prenant en compte la multiplicité des besoins : urgences, sécurité alimentaire, droits, logement, énergie, eau, santé, vacances, loisirs, culture, sport, éducation, scolarisation, insertion, emploi.

L'exposition a permis de découvrir les actions menées en France, en Grèce, en Irak, au Liban auprès des migrants et des réfugiés, ou en Haïti sept ans après le séisme meurtrier. La fédération du Tarn continue à soutenir les actions menées au Salvador, à Madagascar et en Inde avec nos partenaires locaux.

Pour développer et financer ses activités dans le monde, l'association collecte des dons financiers, notamment lors d'initiatives populaires. Parmi celles-ci, la «chasse aux œufs solidaire», au moment de Pâques, figure parmi les plus conviviales. Elles associent la participation de la jeunesse et des enfants «Copain du monde» qui fêtent cette année les 25 ans du mouvement.


Publié le 24/04/2017 à 09:01  | La Dépêche du Midi |  Gérard Durand

Un joli geste pour un sourire du petit Paul


L'association prépare sa deuxième édition de la Dour Run./ Photo DDM

L'association «Un Geste pour Un Sourire» lance un projet de financement participatif : «Un Geste pour le Sourire de Paul». Pour répondre aux besoins qui sont ceux de Paul et de sa famille, ce projet vise à compléter les bénéfices qui résultent de nos différentes manifestations passées (lotos, concert) et à venir comme la course Dadou Run du vendredi 23 juin. «Aussi nous espérons de nombreux gestes de soutiens au travers de dons, à partir de 10 € en fonction des possibilités et des envies des contributeurs. Les sommes données ouvrent droit à une déduction fiscale à hauteur de 66% de la somme donnée» explique Thierry Reinhardt, le président de l'association.

Objectif : collecter 3000€ avant le 16 juin
L'objectif est fixé à une collecte minimale de 3000€ avant le 16 juin. «Alors ouvrez votre cœur et contribuez! Puis, pour aller encore plus loin à notre soutien, sollicitez vos connaissances en leur faisant découvrir notre page projet ; Vous pourrez ainsi en le découvrant, voir les actions qui sont celles de mon association et les suivre ensuite sur notre site ou sur notre page Facebook». La famille du petit Paul a bien besoin d'un coup de pouce. Aujourd'hui Paul a besoin de pouvoir circuler en toute sécurité et liberté chez lui. Il faut donc aménager les abords de la maison afin que Paul puisse évoluer sans encombre avec son fauteuil. et son tricycle. «Connaissez vous les obstacles quotidiens d'une famille dont l'enfant est atteint d'une maladie orpheline? Outre les difficultés économiques, c'est un combat quotidien pour les familles.

Dans cette épreuve les familles se retrouvent souvent esseulées, par pudeur de ne pas exposer leurs difficultés. Paul, à qui un avenir peu prometteur était prédit, progresse de jour en jour grâce à la détermination de ses parents Delphine et Matthieu, qui n'ont de cesse de tout mettre en œuvre pour l'évolution et le bien-être de Paul.

Mais tout cela engendre une contrepartie : Delphine a dû cesser son emploi afin de pouvoir accompagner plusieurs fois par semaine Paul en centre d'éducation conductive. La famille doit donc faire face avec un seul revenu à des frais perpétuels élevés avec une prise en charge minimale. Les textes sont malheureusement ainsi faits !».

 
Publié le 26/04/2017 à 08:55  | La Dépêche du Midi |  G.D.

300 pompiers tarnais sur le parcours sportif


Ventre-glisse sur le parcours ludique. / DDM.G.D.

L'esprit de compétition n'est pas de mise, mais l'occasion de mesurer les capacités sportives entre centres de secours est bien réelle. Samedi, plus de 300 pompiers et jeunes sapeurs-pompiers ont participé aux épreuves officielles du parcours sportif qui a réuni les représentants de 27 centres sur 31 que compte le département, à la Courbe, sous un soleil éclatant et sur des installations appropriées mises à disposition par l'Amicale laïque de Graulhet. Les quatre meilleurs se sont qualifiés pour les finales régionales du 13 mai à Rodez. Mais ce que retiennent les organisateurs du Groupement Ouest dirigés par le commandant Sébastien Lamandon, ce sont les qualités dont ont fait preuve les équipes, surtout lors de la compétition annexe, le Sdis-Athlon. 

«Nous avons voulu une journée conviviale, sur des thèmes auxquels nous tenons tels que la cohésion, l'engagement et l'efficacité. Historiquement, le parcours sportif est organisé chaque année, mais depuis l'an dernier, il dispose d'une variante, d'une épreuve parallèle, plus collective, basée sur l'entraide et qui permet à tous de passer un moment sportif et ludique». Au programme dans les clairières, les chemins, les bois et les prés du centre de loisirs, des épreuves à trois, encordés, de course, d'escalade, de ventre-glisse et de passage dans les poudres colorées.

Une compétition tout amicale qui a vu la victoire d'une équipe du centre de Gaillac, qui sera invitée à la prochaine «Ruée des Fadas» toulousaine. Les pompiers de Lacaune ont été élus équipe la mieux déguisée et ceux de Vaour et Lisle-sur-Tarn le groupe les plus «haut en couleurs». Tous les vainqueurs de l'édition ont été honorés lors de la remise des récompenses en présence du colonel Christophe Dulaud et de Karine Renaud, présidente de l'Amicale laïque.


Publié le 26/04/2017 à 08:55  | La Dépêche du Midi |

Les Bélascains qualifiés


Comme pour les seniors, la saison des Balandrades est terminée. / Photo DDM

Bélascains : «Ici, ici c'est Pélissou» ont scandé les Bélascains sur le stade Bernard-Laporte de Gaillac, après leur victoire sans contestation possible, dans le derby de Tarn et Dadou, 19 à 9 et 2 à 0. Les jeunes Graulhétois sont qualifiés en terminant deuxièmes derrière Castelsarasin.

Balandrades : «Pas de match car nous ne nous sommes pas déplacés à Rodez vu le bon tirage effectué par le comité de rejouer encore une fois contre une équipe de notre poule en challenge», regrette Nicolas Fabries dont l'équipe a fini la saison. «Il nous restera juste les Pavois du Tarn».

Cadets : Défaite en barrage 3 à 27 à Lannemezan contre Piémont pyrénéen.
«Le score est lourd, il ne reflète pas l'investissement et l'envie des jeunes sur le terrain face à une équipe plus forte physiquement, du fait d'individualité de qualité, constate Rémi Poujade. Nous sommes basculés en quarts de finale du championnat Midi-Pyrénées.

Champion : George Gouveia, qui a joué au Sporting jusqu'à la saison dernière vient de remporter avec son club de Tenerife la finale du championnat des Canaries, devant Las Palmas, 23 à 22. Le centre graulhétois n'a pas marqué de points mais participé grandement au succès.

Film : Tourné en 84-85, le film «Le rugby dans le cuir» dans sa version originale, réalisé par A-Marie Granié et J. Pascal Fontorbe, sera projeté le vendredi 9 juin à 20h30 au cinéma Vertigo ; suivra un échange de points de vue sur le rugby d'il y a trente ans et maintenant. L'entrée sera gratuite. Soirée organisée par la médiathèque.


Publié le 28/04/2017 à 09:18  | La Dépêche du Midi |

Les taux diminuent mais les impôts augmentent


/ Photo DDM, archives.

Le budget primitif 2017, voté mercredi en conseil municipal, est réalisé dans le contexte particulier de la création de la communauté d'agglomération et d'un transfert de compétences. Un transfert qui engendre une hausse de la fiscalité pour l'agglomération. Mais elle a mis en place un mécanisme de compensation au profit des communes. Les municipalités ont alors la possibilité de neutraliser la hausse d'impôt de l'agglomération en baissant leur taux d'imposition locale d'un niveau équivalent. Les élus majoritaires de Graulhet ont fait ce choix mais pas suffisamment pour compenser la hausse, selon l'opposition.

«Nous avons chiffré approximativement le coût des services supports et pris en compte l'attribution de compensation. De fait, cet effort de baisse des impôts locaux s'étalera sur deux ans. Malgré la baisse des dotations de l'État et grâce à notre plan d'efforts partagés, nous avons réussi à faire face et à ne pas augmenter la pression fiscale sur les ménages graulhétois. Pour autant, nous avons investi pour les Graulhétois», s'est félicité Claude Fita, maire de la commune.

Un casse-tête
Bruno De Boisseson, chef de file de «L'avenir de Graulhet», voit les choses tout autrement.
S'il a bien reconnu, face à l'insistance du maire, que les taux d'imposition municipaux étaient à la baisse, il a expliqué qu'au total, avec la nouvelle fiscalité de l'agglomération, l'addition allait être plus «salée» pour les contribuables. Face à cette sortie, Florence Bélou, conseillère municipale et vice-présidente de la communauté d'agglomération, a souligné que l'élu n'avait rien objecté lorsqu'il devait se prononcer sur le budget à l'intercommunalité.

Bruno De Boisseson a souligné qu'il était alors question que l'augmentation des taxes intercommunales soit compensée par une baisse des taux communaux. Face à la poursuite de la baisse des dotations de l'État et avec de nombreux chantiers en cours, tels que la réhabilitation du quartier de Crins, l'aménagement de la gare routière puis la requalification de l'îlot du Gouch, un nouveau jardin à Bapel et des études pour donner un nouveau souffle à la place du Jourdain, établir un budget revient à résoudre la quadrature du cercle.


Publié le 29/04/2017 à 03:51  | La Dépêche du Midi |  G.D.

Les Amis de la Danse ont (presque) toujours vingt ans


Café, thé, tisane, rafraîchissements, les hôtesses du bar servent avec le sourire  / DDM.G.D.

Vingt et un ans était jadis l'âge de la majorité. Pour les Amis de la Danse c'est celui de la notoriété. Caraco à dentelles, robes longues ou du soir, permanente ou balayage pour les dames, pli de pantalon impeccable, chemise blanche immaculée et raie sur le côté pour les messieurs, les 400 danseurs de ce mardi après-midi étaient dans leurs plus beaux effets pour fêter les 21 ans de l'association.

Jésuites et mousseux offerts, à l'entracte, visite du maire Claude Fita et orchestre de Jean Pierre Laurens au complet et en grande forme, tout avait été organisé pour faire de ce rendez-vous, un grand millésime.

«Même si le nombre de thés dansants proposé est plus bas que celui des années précédentes. La faute aux travaux à l'auditorium qui déplacent certains spectacles au forum devenu de ce fait moins disponible. Mais enfin, c'est le résultat qui compte et la réputation des Amis de la Danse dépasse le cadre du département, voyez de vous-même. Quand on entre on a l'impression de connaître personne, mais on s'aperçoit vite que tout le monde se connaît», se félicite le président José Paz qui n'hésite pas à aller danser ailleurs les autres jours.

Les mardis après-midi, peu de thés dansants dans le Tarn, mis à part à Labruguière tous les quinze jours.

Plutôt que la concurrence, les 16 bénévoles veulent privilégier la qualité, de l'accueil comme de la musique. A ce niveau, Andrée Jannot, Jeannette Hoffman, Odette Baraza et Paulette Rouffiac – 55 ans au total dans l'association- chargés de tenir la buvette ce mardi, ont leur mot à dire.

«Quand on a un moment de répit, on peut se faire inviter à danser». Cha cha cha, tango, paso, rock, danse de salon, le répertoire est immense. «Un bon danseur doit savoir tout danser», assurent les observatrices derrière leur machine à café. L'après-midi tire à sa fin, la piste se déserte, il est l'heure de ranger et de cocher une autre date. Un autre mardi. Prochains rendez-vous les 2, 9 et 16 mai.


Publié le 29/04/2017 à 03:53  | La Dépêche du Midi |

Un premier tournoi à la mémoire d'Yves Balloco


Yves Balloco, en haut tout à gauche en 2012. / Photo DDM

Le club bouliste va honorer la mémoire d'Yves Balloco, décédé l'an dernier en organisant le 1er mai au boulodrome, un premier tournoi portant le nom de cet ancien joueur, entraîneur et président, unanimement apprécié de tous. Il rassemblera 32 doublettes venues de toute la région de Toulouse à Decazeville en passant par le Tarn ou Yves Balloco était très connu.

Les parties se joueront entre 8h30 et 20h. Les 6 et 7 mai, le club organise sur le même site, les championnats du Tarn doublettes toutes divisions. Sur la quarantaine de terrains, le club bouliste espère accueillir sir le temps le permet plus de 60 équipes dont les rencontres s'étaleront entre le samedi 14h et le dimanche 18h.

Mais déjà, ce 29 avril, une équipe composée de Boumedienne, Aussenac, Miquel, Boumesla et Larroque, va se rendre à Bagnols-sur-Cèze pour y disputer le Grand Prix de la ville répertorié en deuxième division.


Publié le 30/04/2017 à 03:51  | La Dépêche du Midi |  Recueilli par G.D.

La 11ème édition du rallye du Val Dadou est sur la route


Christian Geromin au milieu des vainqueurs et des officiels lors de l'édition précédente. / Photo DDM

La 11e édition du rallye régional du Val Dadou va se courir dans vingt jours autour de Grauklhet et sur deux spéciales spectaculaires. Entretien préalable avec le président de l'association qui l'organise, Christian Geromin d' Auto Sport Passion.

Dans trois semaines, c'est le rallye. Ou en êtes-vous des préparatifs ?
«Le 20 et 21 mai c'est le Rallye Val Dadou. Le roadbook est bouclé. Le programme est chez l'imprimeur, on y trouvera indiqué en vert, le cheminement pour se rendre sur les zones public sécurisées et les partenaires qui nous accompagnent. Tous nos bénévoles sont convoqués et ont répondu présent. Le collage des affiches va se faire sur les supports, à la salle dès la semaine prochaine, et ensuite positionnés sur les carrefours stratégiques. Les flyers ont commencé a être distribués et on poursuit cette semaine! Cette année sera quand même spéciale puisqu'on perd 4 week-ends, à cause des élections, du coup plusieurs rallyes se font le même jour et même si c'est dans les Comités alentour, nous allons sûrement avoir des répercutions à la hausse ou à la baisse du nombre d'engagés».

Les spéciales ont changé -une au moins,- pourquoi ?
«La spéciale 1 a repris son nom Saint Sernin puisqu'elle redémarre à ce hameau, mais on la quitte après la Jansounié parceque le revêtement la descente au niveau de l'élevage des chevaux à la Jalabertié est trop dégradé. Nous allons terminer le parcours sur la commune de Pyucalvel».

Verra-ton sur cette édition des voitures et des équipages inédits sur le rallye ?
«Quelques équipages que nous n'avions pas les années précédentes se sont inscrits. Comme cet équipage de Dordogne en Twingo RS et cet autre du sud du Tarn en 306 S16. Christian et Anne De Boussac nous font le plaisir de revenir avec la Skoda Fabia RS. Et tant d'autres. Et surtout des équipages graulhétois qui connaissent bien les tracés».

Sélection d'articles réalisée à partir du site : http://www.ladepeche.fr
 

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