Du Bruc à Ricardens
 
     Actualités septembre 2013     
 
 
Publié le 02/09/2013 à 03:47 |   | La Dépêche du Midi | 
 
Deux Dadous au sommet
 
Gégé et Thierry au sommet du Mont Blanc. 
 
Gravir et accéder au plus haut sommet d’ Europe occidentale : Le Mont-Blanc (4810m). Gégé Bompart et Thierry Gélis des Dadous habituellement cyclotouristes, en rêvaient. Ce fut leur objectif 2013. Durant 6 mois leurs loisirs furent consacrés à la préparation physique ,à l’acclimatation en altitude; Défis personnels, objectifs physiques pour un plaisir de contemplation du splendide Mont Blanc. Deux jours d’adaptation à l’aiguille du Midi pour ne pas être guetté par le mal des montagnes, et top pour le 1er jour avec une escalade d’ une durée de 5h pour un dénivelé de 1500m à travers de parois rocheuses.

Départ à 3h du matin, le jour J? sous un magnifique ciel étoilé. Sans tarder il faut reprendre l’ascension dure , mètre par mètre il faut se hisser en s’accrochant aux rochers, ne pas regarder le vide , efforts sur efforts le sommet est en vue. Enfin le dôme est atteint, altitude vertigineuse 4810 m. Se congratuler ,mille pensées vers les proches et amis, déployer la banderole «Graulhet Dadous». Quel paysage grandiose tout autour. 360 degrés de vue et des montagnes baignées par la lueur matinale du soleil sortant de sa léthargie : une peinture de feu. «Dieu que c’est beau , que c’est fort». Le brouillard arrive, il fait moins 10 degrés, il faut redescendre.

Huit heures et 2500 m de dénivelé négatif pour rejoindre le point de départ, vaincre l’appréhension du vide. Il paraît que l’ascension «titille» quelques Dadous vélo pour leur futur objectif 2014 après leur traversée du massif Central en 4 jours fin Juin dernier.

 
Publié le 02/09/2013 à 08:49 
 
Arts martiaux : retour sur les tatamis
 
Le judo, ça s'apprend et ça se pratique dès le plus jeune âge. 
 
Le SCG section judo reprend ses cours, ouverts aux pratiquants et débutants à partir de 5 ans. Et ce, deux fois par semaine. «Nous prêtons un kimono pour s’essayer au judo durant l’inscription» précise Philippe Barthès, le président qui est assisté d’un éducateur, Franck Durand et compte 8 ceintures noires dans sa section. Les inscriptions débuteront donc le mercredi 4 septembre, puis le samedi 7 septembre, dans la salle des arts martiaux du complexe Primault au stade Noël Pélissou. Le club a compté 120 judokas l’an dernier. Les cours adultes reprendront le mercredi 11 septembre. De son côté, le ju-jitsu fait aussi sa rentrée, le lundi 9 septembre, dans cette même salle, avec les cours dispensés par Gilbert Raymond, (05 63 34 42 28), qui précise que ce sport peut être pratiqué par tout le monde, de 18 à 70 ans.
Le judo, ça s’apprend et ça se pratique dès le plus jeune âge.
 
Publié le 03/09/2013 à 03:50   J-C C.
 
Les vacances furent studieuses
 
Le groupe d'étudiants de la seconde semaine à Londres. 
 
Durant ses vacances Stéphanie Caussanel a passé deux semaines à Londres pour parfaire son anglais dans le cadre du programme Comenius. Une expérience enrichissante pour l’enseignante de l’école de l’Albertarié qui pourra mettre en pratique une partie de ce qu’elle a appris auprès de ses élèves.
«Cela faisait un an et demi qu’on y pensait avec une collège. Le dossier de demande de bourse n’est pas simple à constituer» explique Stéphanie Caussanel qui a décroché le sésame. Du 7 au 20 juillet elle a été accueillie par une famille à Londres, a suivi trois heures de cours par jour et réalisé de nombreuses visites culturelles. «La première semaine nous étions un groupe de douze étudiants, brésiliens, japonais, russe et espagnols. La seconde semaine nous étions onze enseignants français, dont sept du Tarn. Nous avons visité des établissements scolaires, découvrant entre autres choses le système scolaire» explique l’enseignante.
 
Tout comme les cours de langues pour ses élèves de CM2 visent non seulement à apprendre les rudiments d’une langue étrangère mais aussi une autre culture, ce séjour a permis à Stéphanie Caussanel non seulement d’étudier la phonologie ou d’enrichir son vocabulaire, mais aussi de «vivre à l’anglaise». «J’avais arrêté l’anglais en première année de fac. Il y a ensuite eu un stage sur huit semaines, mais ce n’est que maintenant que je me sens vraiment à l’aise avec cette langue à l’oral» témoigne-t-elle. L’expérience a aussi séduit certains de ses collèges qui entendent à leur tour déposer un dossier de candidature pour vivre cette expérience.

 
Publié le 04/09/2013 à 08:45   G.D.
 
La Mémoire Sociale Graulhétoise va raconter le Dadou
 
 
Déjà auteur d’un très populaire historique du quartier de Panessac, l’association Mémoire Sociale Graulhétoise remet ses compétences au service des amateurs d’histoire locale et ils sont nombreux, parait-il. A partir du 10 septembre, dans le cadre des Journées du Patrimoine, le hall de la Médiathèque accueillera une exposition vivante qui lui est consacrée. Pas moins d’une douzaine de membres de l’association ou sympathisants, y travaillent depuis plusieurs mois. «L’an dernier, nous avions participé à la réflexion sur le devenir de notre rivière. Le Dadou est dans l’actualité entre la passerelle et les berges aménagées» conçoit Robert Py, co-président de la Mémoire Sociale. Le thème est porteur, il suffisait d’éclater les déclinaisons, et chacun y est allée de son choix, pour cerner le passé et le présent du «fleuve» local.
 
Cartes postales, cartes halieutiques, documents anciens, études, écrits, articles, photos, films, récits, les recherches ont été fructueuses. «Nous avons simplement profité des compétences des uns et des autres dans les différentes matières»Ici, c’est un élu qui a fourni une historique de la Bancalié, là c’est un ancien directeur de la Régie des Eaux qui a prêté une étude sur les chaussées, ou encore une photographe qui a réalisé de nombreux clichés. On retrouve encore, abordé, les crues, les facultés des eaux pour la mégisserie, les évolutions des berges, et surtout la sympathie des graulhétois pour leur rivière, longtemps témoin passive de la bonne santé de l’industrie locale.

 
Publié le 04/09/2013 à 03:51 J-C Clerc
 
Nouveaux rythmes : mention "très bien" pour Graulhet
 
Préfète, sous-préfet, Dasen, député et maire ont effectué leur rentrée ‘' sur le terrain''. / Photo DDM, J-C C 
 
C’est à Graulhet que la préfète du Tarn et le DASEN (directeur académique des services de l’éducation nationale) ont effectué hier matin leur rentrée. Comme 41 % des écoliers du département, les petits Graulhétois ont découvert hier les nouveaux rythmes scolaires.
 
À l’école de Crins cette visite, à laquelle ont aussi participé le sous-préfet et le député Jacques Valax, a été l’occasion de faire le point sur le dispositif «plus de maîtres que de classes» qui a permis l’accueil des toutes petites sections ainsi qu’une concertation avec les crèches, les assistantes maternelles et les familles, pour faciliter l’intégration en milieu scolaire et apporter des mises à niveau au niveau à certains élèves de l’élémentaire. La visite de l’école d’En Gach a permis de découvrir les nouveaux locaux et d’évoquer en détail la mise en œuvre des nouveaux rythmes scolaires dans la quatrième ville du département.
 
«Mention très bien»
«L’objectif profond de cette réforme est d’ordre pédagogique. Les études ont montré que tard dans la journée les apprentissages devenaient compliqués et qu’il valait mieux avoir plus de matinées et des après-midi plus courtes» a souligné Éric Tournier, le Dasen. Pour mettre en œuvre ces changements, élus et enseignants ont pu bénéficier de l’expérience de l’Amicale laïque, association œuvrant sur les temps périscolaires et extra-scolaires : «Le challenge était que les enfants qui perdent le mercredi matin retrouvent le plaisir qu’ils avaient à venir au centre de loisirs tous les soirs. Ce sera le cas avec des activités autour du sport, des arts plastiques, du numérique et de la citoyenneté» expliquait Philippe Piccin, son directeur.

Le député Jacques Valax était quant à lui présent pour voir la mise en œuvre de la loi, soulignant le dynamisme dont ont su faire preuve les élus locaux, les associations et tous les personnels. Pour Josiane Chevalier, préfète du Tarn, l’action menée ici est exemplaire : «Je décernerais une mention très bien, ou même un prix d’excellence. La mise en place de la réforme n’a pas été un long fleuve tranquille, mais le terrain avait été ici bien préparé» s’est-elle félicité à l’issue de cette réunion de travail et d’échanges.
 
Publié le 05/09/2013 à 08:17   J-C C 
 
Rythmes scolaires : Réforme mode d'emploi
 
Préfète, sous-préfet, Dasen, député et maire ont choisi Graulhet pour voir la mise ne oeuvre de la réforme sur le terrain. Photo DDm, J-C C 
 
Foot en salle, magie, informatique, atelier environnement, initiation au vélo, apprendre à nager ou à porter secours... A la faveur de la réforme des rythmes scolaires, les écoliers graulhétois se voient proposer une pléiade d’activités, mais vont aussi devoir changer un peu leur rythme de vie.
 
Ce qui ne change pas, c’est l’accueil de 7h45 à 8h30 dans les maisons de l’enfance avant un premier temps scolaire de 8h30 à 12 heures, puis un temps de restauration et de maison de l’enfance jusqu’à 13h45. S’en suit un second temps scolaire, jusqu’à 15h30, avec des visites au stade, à la médiathèque ou la piscine, sans dictées ou calcul mental.
 
Ce qui change radicalement, c’est de 15h30 à 16h30, où les élèves se verront proposer de nouvelles activités avant le temps de la maison de l’enfance de 16h30 à 18h15 auquel les jeunes graulhétois sont habitués. Le mercredi sera un jour un peu particulier avec un temps scolaire de 8h30 à 11h30, une restauration de 11h30 à 13h45 avant une après-midi jusqu’à 18h15 sous l’égide de la maison de l’enfance avec un projet pédagogique.
 
Quatre grands thèmes constituent les activités pédagogiques complémentaires - remédiation scolaire, apprendre à nager, à porter secours et à lire (avec la médiathèque) - ainsi que des dispositifs spécifiques : coup de pouce CP, CLAS, cours d’arabe, accompagnement éducatif. Quatre grands thèmes ont aussi été choisis pour les temps d’activités pédagogiques : sport (foot en salle, escalade, VTT, initiation au vélo, etc.), arts et culture (théâtre, arts plastiques, magie, danse, chant, cuisine, etc.), numérique (informatique, photo montage, blogs, etc.), et citoyenneté (environnement, projet intergénérationel, jeux coopératifs, etc).

«Les activités ont été présentées aux enfants par périodes afin qu’ils découvrent plusieurs activités. Un document de présentation a été remis aux familles pour lesquelles ces activités sont gratuites» explique Philippe Piccin, directeur de l’accueil de loisir de l’école d’En Gach. Si la qualité de la mise en œuvre a été félicitée par les autorités de tutelle qui ont choisi la ville pour effectuer leur rentrée, une marge de manœuvre est aussi prévue pour ajuster le dispositif.

 
Publié le 04/09/2013 à 08:46 
 
Rugby : Une équipe filles sur le pré
 
Déjà une douzaine d'inscrites, et la section espère acueillir d'autres filles./ Photo DDM.G.D. 
 
Pour un coup d’essai, c’est presque un coup de maître. Juliane Durand, depuis huit ans éducatrice à l’école de rugby et Jérémy Raynaud, joueur à Briatexte, mais formé au Sporting, avaient dans la tête de monter une équipe féminine de catégorie cadettes pour commencer.
 
Le premier rendez-vous était programmé pour mercredi dernier. Et contre toute attente, elles étaient douze à s’être inscrites et à venir s’essayer aux joies du rugby. «Ce chiffre nous satisfait pleinement. Avec la rentrée, le bouche à oreille va fonctionner et nous pourrions nous retrouver rapidement bien plus encore» espère Juliane.
 
« Pour être admissible en catégorie cadettes, il faut être née entre 96 et 98, mais l’école de rugby accepte les filles plus jeunes».
 
Pour l’instant, deux entrainements par semaine sont organisés. A l’inter-saison, contact a été pris avec un groupe de filles et leurs éducateurs de Lavaur. Une entente est en cours de finalisation.
Elle permettrait, en alternant les entrainements et rencontres, de s’inscrire dans le championnat Petit Sud à 7 ou à 12 avec pour objectif la «montée» en Grand Sud. «Déjà, l’enthousiasme est une évidence. Les filles mettent beaucoup d’application et de volonté à apprendre les bases de ce jeu. Dans les semaines qui viennent, nous accueillerons des intervenants pour aborder des phases de jeu plus spécifiques».Rendez-vous ce mercredi à la Jonquière à 18h 15 pour les filles qui désirent s’essayer au rugby.
 
 
Publié le 06/09/2013 à 03:50 
 
La Poste et Agora s'associent
 
 
La Poste s’est associée à l’A.G.O.R.A, régie de territoire et structure associative d’insertion par l’activité économique visant également à préserver le lien social, pour améliorer l’accueil des clients en situation de fragilité. Les signataires ont ainsi souhaité aider à l’insertion des populations vulnérables. La convention signée par La Poste et l’A.G.O.R.A prévoit la présence d’une personne réalisant des missions de soutien et d’accompagnement dans le bureau de poste. Celle-ci aidera les clients dans la réalisation de leurs opérations postales ou bancaires et réalisera des ateliers afin de les guider vers l’autonomie.
 
 
Publié le 06/09/2013 à 03:50 | 
 
Le lycée fait le plein de projets
 
L'équipe de direction devant la fontaine du lycée. /Photo DDM, J-C C 
 
Le temps où on «arrivait au lycée pro de Graulhet» faute de mieux est désormais révolu depuis longtemps. Désormais 97% des élèves ont choisis le lycée graulhétois comme premier vœux. Clémentd e Pémille accueille en cette rentrée ses premiers étudiants post-bac dans la filière des arts du bijou et travaille cette année sur de nouveaux projets.
 
L’année aura commencé sur la chapeaux de roues pour les élèves du lycée professionnels avec une nouveauté. «Nous avons mis au point un protocole qui vise à mettre les élèves dans le bain professionnel dès le début. Nous avons aussi réalisé des entretient personnalisés pour définir les motivations, les goûts de chacun afin de permettre une spécification de leur formation» explique Yves Gouyen, proviseur de l’établissement.
 
Parmi les tendances on note aussi une augmentation des élèves empruntant la passerelle entre le CAP ou la filière générale vers la filière du bac pro. Le projet Arc-en-ciel mis en œuvre l’an dernier en huit semaines sera intégrer cette année dans le projet des classes. «L’association Arc-en-ciel a pour objectif l’organisation d’événements dans le but de récolter de l’argent afin d’acheter du matériel ludique aux enfants malades et plus particulièrement aux «bébés bulles» de Purpan. L’an dernier les élèves de commerce avaient démarché les entreprises et un spectacle au forum avait été produit» rappelle Yves Gouyen. L’établissement participera à nouveau cette année au projet Schola Ingeniosa «l’esprit d’entreprendre dès le lycée» pour lequel il avait reçu un prix l’an dernier.
 
Mais les grands chantiers de l’équipe de direction seront cette année d’aller d’une part vers une labélisation des métiers d’arts et d’autre part vers la création d’une filière d’enseignement général. Une première réponse pour ce second objectif est attendue au début de l’année 2014.

 
Publié le 06/09/2013 à 07:39 
 
Le nouveau bureau de Poste «sans attente» inauguré
 
Richard Grasa, directeur de l'enseigne La Poste Quercy Rouergue Tarn, a expliqué le fonctionnement de ce nouvel espace./ Photo DDM, J-C C 
 
Mercredi soir l’inauguration du bureau de poste «Espace Service Clients» s’est déroulé en présence de Josiane Chevalier, préfète du Tarn, Thierry Carcenac, président du conseil général du Tarn et de la commission départementale de présence postale territoriale, Claude Fita, maire de Graulhet, Fatima Selam, directrice d’A.G.O.R.A Régie du territoire Graulhetois et de Richard Grasa, directeur de l’enseigne La Poste Quercy Rouergue Tarn.
 
Un investissement de 300000 euros et plus de huit semaines de travaux ont été nécessaires pour transformer le site selon cette configuration. Ces travaux ont permis d’agrandir l’espace d’accueil de la clientèle et d’améliorer l’accueil.
 
Organisée pour une prise en charge personnalisée, la ligne guichet traditionnelle a disparu.Clients et postiers évoluent désormais ensemble dans un même espace. Le bureau dispose d’une salle organisée en îlots où les guichetiers, facilement identifiables par les clients grâce à un gilet aux couleurs de La Poste, conseillent, orientent et accompagnent les clients.
 
L’espace automate permet d’affranchir le courrier et le colis, de déposer ses chèques grâce à l’urne de dépôt de chèques, de retirer et de déposer de l’argent. Trois îlots polyvalents sont à présent implantés pour orienter les clients en fonction de leurs besoins, accueillir et servir rapidement les clients professionnels et traiter le plus rapidement les opérations de retrait et de dépôt des colis et des lettres recommandées.
 
La transformation de La Poste de Graulhet s’inscrit dans le programme Cap Relation Client 2015, plan stratégique de l’Enseigne La Poste, lancé fin 2008 qui a pour objectif est d’améliorer le service rendu au public pour atteindre 95 % de clients satisfaits et en particulier diminuer le temps d’attente.
La Poste de Graulhet en chiffres : 12 collaborateurs ; 300 clients par jour en moyenne; Le bureau de poste est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h et le samedi de .9h à 12h.

 
Publié le 07/09/2013 à 08:17   G.D.
 
Voyage humanitaire en Côte d'Ivoire
 
Mon-Ni-Mon s'est déjà produit plusieurs fois à Graulhet. 
 
L’association Mon-Ni-Mon poursuit son but humanitaire en faveur d’un partenariat et jumelage avec une association en Côte d’Ivoire, avec pour objectif de reconstruire un foyer culturel dans un village ou la récente guerre a tout détruit. Courant mars 2014, elle envisage un voyage qui va alterner but humanitaire, tourisme, découverte des cultures et de la cuisine locale, et plongée dans l’univers de la danse africaine et de ses percussions. Mais, dès ce mi-mois de septembre, elle propose aux adhérents comme aux nouveaux adeptes, des cours de danse africaine tendance afro-moderne, et de percussions. Ils sont établis le jeudi soir, au complexe Robert Primault, et animés par Nahi Landry, danseur et chorégraphe ivorien, Léo Mongneni et Théo Bloha, percussionnistes accompagnateurs de danses traditionnelles.
 
«Mon-Ni-Mon intervient depuis deux ans, sur les spectacles, animations, déambulations, et manière ponctuelle selon la demande. Elle peut aussi participer à l’organisation de repas africains, de spectacles à thèmes avec une troupe d’artistes ivoriens» précise Odile Cottret la présidente. «Nous avons prévu un cours d’essai gratuit pour tous les nouveaux». L’occasion de tester une forme de danse plutôt physique en participant activement à la mise en place d’une action à but humanitaire. Renseignements au 06 25 67 33 75 ou 06 74 17 35 87.

 
Publié le 08/09/2013 à 03:51 
 
Un équipage d'Auto Sport Passion en finale nationale
 
Les deux équipages d'Auto Sport Passion au rallye de Durenque. 
 
Le rallye régional à Moissac qui s’est déroulé cette année sur deux jours avec trois Épreuves Spéciales le samedi 10 août et trois le dimanche 11. Avec le N°4 sur les portières, Romain Favreau et Damien Augustin devaient partir fort,dès le départ! Après les trois premières Épreuves, l’objectif est atteint! Ils clôturent la première journée à la 4ème place, en tête de groupe et de classe. Le lendemain ils confortent leur position en creusant un peu plus d’écart avec leurs poursuivants. Ils décident de gérer leur place de leader de groupe F2000 et de classe 13 et terminent à la 4ème place au Scratch et vainqueur du groupe et de la classe. Bilan très positif car Romain devient troisième pilote de la ligue Midi-Pyrénées et Damien passe deuxième copilote de la même ligue, avec de gros points engrangés pour la Finale des Rallyes à Oyonnax.

Le 24 et 25 août au Rallye de Durenque Mont Lagast, Julien Nabies/Éric Raynaud ont terminé à la 74ème place pour leur deuxième Rallye. Rémi Mounigan a pris le volant de la 106 S16 pour son 1er rallye en tant que pilote. Il a cédé le carnet, après avoir passé plus de seize ans à droite, à sa copilote Laetitia Szyszka qui débutait elle aussi. Malgré un départ sous la pluie, des soucis de moteur, de boîte durant toute la 1èreéÉpreuve, , leur weekend s’est avéré positif puisqu’ils étaient présents à l’arrivée, 79ème au Scratch.

 
Publié le 09/09/2013 à 09:31 
 
Fête de la Mob : un premier concours de Tuning
 
Les deux mobs des haut-pyrénées sont quasiment des jumelles 
 
La fête de la Mob, organisée par Forg and Rock le dimanche 15 septembre, proposera un premier concours de tuning Mob, juste avant le concours de pinup dont la gagnante sera prise en photo avec la mob tuning gagnante pour paraître dans le magasine Youngstimers moto. Les 2 conditions pour participer au concours de tuning ouvert à tous: la mob doit être à variateur et roulante. Le gagnant du concours pourra se faire personnaliser sa monture ou autre objet de son choix par Gabriel Zicola, peintre à l’aérographe. Jérôme et Alexandre, trentenaire, passionné de mob des Hautes-Pyrénées, seront du concours. A force de patience et de recherche ils ont trouvé les deux Mobs de leur rêve: un 103 Spx remontée Polini et pots Ninja g2 master pour le premier, le même modèle de base avec pot Morillon pour le second.

 
Publié le 09/09/2013 à 03:49 
 
Le centre social va rénover un logement
 
L'équipe d'encadrement du Centre Social autour de sa responsable Chantal Peyrin. 
 
Outre les animations permanentes : couture, bain de langage, cuisine , gym, blog qui ont repris cette semaine, le Centre Social va proposer de nombreux rendez à commencer le mardi 10 septembre à 17h30 pour échanger vos idées et accompagner les projets. Autre nouveauté, à compter du mardi 10 Septembre, le Centre Social de Graulhet met en place un atelier Brico/Déco.
 
«Cet atelier se déroulera une fois par semaine tous les mardis après midi de 14H à 17H, dans un logement témoin de Tarn Habitat, situé 4 Rue de Normandie, quartier de Crins à Graulhet. Une semaine nous rénoverons l’appartement, à travers des petits ateliers de bricolage de tapisserie, peinture, pose de joint, pose d’étagères, et une semaine nous ferons de la décoration. Cette année l’ensemble des participants à l’activité se sont fixés pour objectif de remettre à neuf le salon, aussi, ,nous comptons sur les talents et les envies pour nous joindre à nous en toute convivialité, est ravie d’annoncer Chantal Peyrin et toute l’équipe d’encadrement.

Soyez au rendez-vous, mardi 10 Septembre à 14h à l’accueil du Centre Social». L’équipe du centre social accueille tout au long de la semaine du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h3o. Pour toute information: 05 63 34 58 14, mais aussi le blog du centre social: csgraulhet.centres-sociaux.fr
 
 
Publié le 10/09/2013 à 08:12 
 
Devenez guide composteur
 
Il n'y a pas d'âge pour commencer à avoir de bons gestes. /Photo DDM, J-C C . 
 
Afin de sensibiliser le plus grand nombre de foyers au compostage, la communauté des communes Tarn & Dadou propose une cession de formation pour devenir «guide composteur». Celle-ci est destinée à tous ceux qui souhaitent améliorer leur pratique, mais aussi la partager avec leurs voisins, amis, famille et concitoyens.
 
La cession de formation sera organisée le mercredi 25 septembre, de 8h30 à 17 heures, dans les locaux de la régie de territoire. Les guides composteurs sont des bénévoles qui peuvent proposer différentes actions : participer à des stands d’animation, animer et entretenir un site de démonstration au compostage, accompagner un compostage collectif, informer des particuliers, sensibiliser des groupes d’enfants, écrire des articles pour le bulletin municipal...
 
La journée de formation sera découpée en deux temps. La matinée sera consacrée à des apports théoriques et l’après-midi à des apports techniques dans les jardins partagés de la ville de Graulhet. Cette formation, gratuite, sera réalisée par l’animatrice jardin de la régie de territoire l’Agora, est ouverte à tous les habitants du territoire (agents communaux, usagers, élus, associations, etc.). A l’issue de cette formation gratuite un diplôme de «Guide Composteur» sera remis aux participants. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 15 septembre.
 
Pour de plus amples informations il est possible de téléphoner au 0800.007.236 (appel gratuit depuis un poste fixe), tous les matins de 9 heures à 12 heures ou d’écrire un courriel à sensibilisation.environnement@ted.fr.

 
Publié le 10/09/2013 à 08:13 
 
L'Ibère reprend du service
 
 
Ce vendredi 13 septembre l’Ibère familier accueillera pour la première date de la saison Lucien la movaiz graine, muni de son hardcordéon et de ses guitares. Julien le trèfle à trois feuilles, multi-percussionniste et Michel mi-faon miloup, contrebassiste des sous-bois, l’accompagneront sur la scène du café associatif avec engouement et passion. Du rire, des larmes, du sang, de l’eau, de l’action, de l’amour, du vert, du spiritisme, de la danse, des acrobaties verbales et musicales seront au programme à partir de 21 heures. Comme toujours la soirée pourra débute run peu plus tôt avec un repas sur réservation.
 
 
Publié le 11/09/2013 à 08:19 | La Dépêche du Midi | 
 
Les échos du rugby
 
Les militaires de Balma ont encadré le stade de l'équipe 1 à Penne, en bordure d'Aveyron. 
 
Abonnements. Les cartes d’abonnements pour la saison de rugby qui débute sont en vente au siège du SCG, square Foch ou chez Daniel Sannou, Maison de la Presse place Mercadial.
Les tarifs sont identiques à ceux de la saison dernière: 80 € la carte, 120 € pour un couple.
 
Amical. Dernier match amical avant le début du championnat et la réception de Saverdun ce dimanche. Le Sporting a perdu à Tournefeuille, 15 à 14 au terme d’un match bien débuté mais fini en déjouant.
Blessés. Deux joueurs ne commenceront pas le championnat. Buéno blessé à l’épaule et Dumont victime d’une pubalgie feront défaut pour Saverdun.
 
Parrain. Fabien Pelous le recordman français des sélections, formé à Saverdun et qui s’est révélé à Graulhet sera présent pour l’ouverture du championnat, invité d’honneur.
Stages. Après le stage «commando» de l’équipe 1 à Penne, les juniors Bélascain ont fait leur stage de cohésion à Cap Découverte le week-end dernier.

 
Publié le 11/09/2013 à 08:20   G.D.
 
Une fête de la Mobylette populaire
 
De la passion pour des machines d'il y a un demi-siècle, entretenues et chevauchées comme de vraies bécanes. 
 
Partie il y a quatre ans, d’un simple rendez-vous de fin d’été entre amis, la Fête de la Mobylette est en passe de devenir l’un des trois événements majeurs de cette rentrée. «Déjà plus de 200 mobylettes d’inscrites venant de Paris, Nantes, La Rochelle, Bordeaux, Montpellier, et vous amis tarnais !» est fière d’annoncer Olivia Talbot, de Frog and Rock qui se démène avec Glen pour réussir cette édition ouverte au public, qui débute ce vendredi 13 au soir par un concert réunissant trois groupes sur la scène de l’association, rue Claude Bernard.
 
Durant les deux jours qui vont suivre, les points d’intérêt seront multipliés. Samedi, à 10 heures et 14 heures une balade en Mob, fera découvrir la campagne aux participants. A 18h, débutera un curieux spectacle de fakirs à mobylettes, suivra la soirée de concerts avec cinq groupes successifs dont les locaux de Rastarn et les renommés Brassen’s Not Dead. «Et durant toute lajournée, exposition de mobs de course, bourse, marché de l’artisanat, démonstration de trial, courses de brouettes, concours de lenteur en mob, circuit de minis motos électriques, espace enfant avec différentes activités artistiques et créatives, buvette et restauration.»
 
Dimanche, deux autres sorties sont au programme, en prélude à deux temps, forts, le concours de pin-ups sur Mobylettes, et le concours de machines tuning, entrecoupés de passages musicaux inattendus, rock et festifs. Un bon moment de détente.
 
Publié le 12/09/2013 à 08:18 
 
La bannière est enfin rentrée chez elle
 
La bannière restaurée sera exceptionnellement offerte aux regards à l'occasion des journées du patrimoine. 
 
Enfermée dans son sarcophage de protection, la bannière de la Société de Secours Mutuels de Graulhet, inscrite à l’inventaire supplémentaire des objets mobiliers classés Monuments Historiques, avait quitté les archives de la ville. Emportée par Nadège François, conservateur-restaurateur du Patrimoine en textile, la bannière revit aujourd’hui. Elle a retrouvé son lustre d’antan et reprend vie grâce à la volonté des élus de Graulhet, conscients de l’importance historique de cet objet.
 
Florence Belou, adjointe au maire confie : «Nous dévoilerons ce trésor aux Graulhétois à l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine. En effet, le samedi après-midi, nous ouvrons les portes de la mairie et présenterons ainsi la bannière du Secours Mutuel restaurée dans la salle de la République».
Cette bannière qui mesure près de 140 centimètres de haut sur 65,5 de large était en très mauvais état. Aujourd’hui, point après point, Nadège François a repris cette bannière et mis en lumière les moindres détails. La restauratrice en textiles a tout d’abord dépoussiéré cet objet puis procédé au démontage des deux épaisseurs de la bannière en vue de doubler entièrement la face et le revers par un tissu de soutien.
 
Enfin, elle a pu remonter le tout après consolidation, remise en forme des tissus de la bannière afin de résorber les plis et déformations, consolidation à l’aiguille sur un support approprié, complétée par un thermocollage, la soie s’avérant trop fragilisée. Aujourd’hui, cette bannière est présentée sur un support.
Une pièce rare à découvrir samedi à l’occasion des journées du patrimoine.

 
Le programme :
 
 
Samedi au départ de l’Hostellerie du Lyon d’Or à 9h30, 11 heures, 14 heures et 15h45 : «Citadelles de l’eau et du vent» : Découverte de l’architecture des mégisseries des bords du Dadou jusqu’à la passerelle, diaporamas «De la peau au cuir : une si longue histoire», «Histoire et histoire des Arts de bâtir : le patrimoine industriel de Graulhet» avec Sarah Ben Kallal. La mairie ouvrira ses portes de 14 heures à 19 heures : présentation de la bannière restaurée, exposition «De la charité à la solidarité nationale, assistance et prévoyance sociale dans le Tarn» et présentation de documents d’archives anciennes de la ville. Evocation de «morceaux d’histoire» avec des historiens locaux.

Dimanche «trésors cachés, trésors expliqués» seront au programme de l’hostellerie du Lyon d’Or et du quartier médiéval avec deux diaporamas «Caves, maisons et échoppes : la vie au Moyen Age» et «Le château de Graulhet : de la tour de gué au château Renaissance» ainsi que des visites à partir de 10h30 visites avec l’architecte des bâtiments de France le matin et avec une spécialiste des techniques du pan de bois l’après-midi.
 
 
   Journées du Patrimoine   
   & Ouverture de la passerelle   
 
   A l'Hostellerie du Lyon d'Or :   
 

 
Heures des visites demain dimanche : 9h30, 10h30, 11h15, 14h15, 15h15, 16h15, 17h15
 

 
   A la Maison des Métiers du Cuir :   
 

 
Heures des visites demain dimanche : 10h, 11h15, 14h15, 15h30, 16h45
 

 
   A la Mairie :   
 

 
Exposition de documents d'archives anciennes et de la bannière offerte par Napoléon III
(ouvert cet après-midi jusqu'à 19 h)

 

 
   A la Médiathèque :   
 

 
Exposition sur le Dadou par la Mémoire Sociale (pendant les horaires d'ouverture de la Médiathèque)
 

 
   Ouverture de la passerelle :   
 

 
Accessible aux usagers depuis hier, vendredi 13 septembre 2013
 

 
Ces différents sujets seront développés ultérieurement sur ce même site...
 
Complexe de la Plaine de Millet : cinéma, passerelle, crèche

(Photos : Simon Rodier)

 
Publié le 13/09/2013 à 09:27 
 
La maison du cuir
 
 
La Maison des métiers du cuir, située 33 rue saint Jean sera ouverte samedi et dimanche. Elle propose, dans une véritable ancienne usine, de découvrir les métiers de la mégisserie et de la maroquinerie. les visites guidées permettent de vivre les différentes étapes de la transformation de la peau brute en un cuir de la meilleure qualité que ce soit la «Rivière», le «Galetas», la «Pigmentation». Samedi et dimanche les visites guidées seront proposées à 10 heures, 11 h 15, 14 h 15, 15 h 30 et 16 h 45.

 
Publié le 12/09/2013 à 08:23 | G.D.
 
SCG rugby : recrutement haut de gamme
 
Le groupe seniors et l'encadrement version 2013-2014. /DDM, GD. 
 
Le Sporting a réussi un recrutement haut de gamme. Peut-être l’un des plus brillants, sur le papier au moins. Maréchal, Pagès, Hédreville, Vatton, des joueurs qui ont connu le haut niveau. «Qualitativement, ce recrutement, associé au fait que nous n’avons perdu que Vidal et Khattou en préservant le groupe, nous conduit à avoir espoir d’une qualification, et d’un parcours dans lequel le Sporting ne sera pas amené à faire de la figuration» envisage le président David Gau qui assure qu’il n’a ni augmenté, ni grévé le budget de son club pour renouer avec l’ambition. «Tous les postes sont doublés. Cette situation nous apporte la richesse et l’expérience qu’on n’a pas eue la saison dernière par exemple. Et autant que les recrues, nous allons compter sur les jeunes, comme Barthélémy, Delbeck ou Farré qui sont déjà candidats à leurs postes». Le gros handicap de ce début de saison reste l’importance du nombre des blessés. Ils ont déjà une douzaine à être forfaits pour l’ouverture. Mais, le staff annonce 55 seniors et 28 juniors Belascains, ce qui devrait suffire aux trois équipes.
 
Deux matchs amicaux gagnés, un perdu. Mais plus que les résultats, c’est le comportement du groupe qui satisfait l’ancien seconde ligne. «Le stage a été révélateur. Nous le voulions sorti du contexte rugby. L’encadrement avait basé les exercices sur l’entraide et le soutien. Il a été parfait dans le sens que les gars, peu ménagés, souvent dans le dur durant deux jours, ont participé sans rechigner à une expérience à même de resserrer le groupe». Dimanche, point de pont de singe ni de radeau à construire, le championnat débute avec la venue de Saverdun, l’un des promus de Fédérale 2. L’an dernier, contre un autre promu, Quillan, le Sporting avait raté son entame, et traîné son boulet toute la saison. Cette fois, avertis, les graulhétois veulent réussir autant leur début d’exercice, que toute leur saison.
 
 
Publié le 14/09/2013 à 07:26 
 
Donner un sens à sa formation
 
Les élèves du lycée à la rencontre des professionnels. 
 
Avec la mise en place du nouveau Bac Pro, les enseignants Commerce et Vente se sont posé la question des modalités pédagogiques à mettre en œuvre les plus adaptées pour permettre à leurs élèves d’appréhender la réalité du monde du travail. Donc, cette année, ils ont organisé l’accueil des nouveaux élèves en leur proposant un emploi du temps spécifique consacré à la découverte du monde de l’entreprise et aux attentes de leur nouvelle filière. Ce projet s’articule autour de trois temps forts pour leur proposer dix jours «pas comme les autres» au cours desquels ils ont, dès leur arrivée, été sensibilisés aux exigences du Lycée Professionnel en les liant à celles du monde du travail : une journée a été consacrée à la visite d’entreprises du secteur et les élèves de 2nde ont alors préparé les questions à poser lors d’un forum avec des chefs d’entreprises, des cadres commerciaux et /ou anciens élèves de l’établissement pour partager leurs vécus et leurs expériences, le lundi 9 septembre.

Elèves de seconde et de terminale - en tenue professionnelle de rigueur- ont ainsi pu entendre des professionnels l’énoncé de quelques règles «d’or» et mesurer l’importance de l’esprit d’équipe, du langage et de la tenue. Puis, en conclusion à cette rentrée personnalisée, les enseignants ont demandé à leurs élèves de faire appel à de futurs réflexes professionnels en les rendant, dès les premiers jours de classe, acteurs de leur formation à travers la réalisation par petits groupes d’exposés oraux et sur support informatique. Le vendredi 13 septembre, ce sera donc au tour des élèves, de prendre la parole avec la restitution des visites d’entreprises devant professionnels, parents d’élèves et l’ensemble des équipes pédagogiques.

 
Cette mise en situation finalisera une dizaine de jours chargés pour les élèves et les enseignants mais dont le résultat déjà plus que positif laisse penser à une reconduction l’an prochain.

 
Publié le 15/09/2013 à 03:48 
 
Ce soir, la passerelle, ouverte, s'illuminera
 
Des élus ravis d'avoir mené à terme cet ambitieux projet. 
 
La passerelle de la Plaine de Millet aura attendu un vendredi 13 pour accueillir les premiers piétons. Dès les grilles de chantier enlevées, des Graulhétois se sont empressés de profiter de cet ouvrage et de traverser le Dadou. Quelques anciens rappelaient : «Cela fait cinquante ans qu’on l’attendait !». Certains élus graulhétois se sont retrouvés ce vendredi après-midi sur le site et ont eu également le plaisir de faire leurs premières foulées sur cette passerelle. Au milieu de l’ouvrage, installé au niveau du belvédère, les Graulhétois peuvent profiter du panorama sur les berges, de la perspective de la crèche au cœur du quartier de Crins et du pôle culturel avec le cinéma et la médiathèque
 
Tout un symbole, cette ouverture de la passerelle s’est faite à la veille des journées du patrimoine.
Rappelons que le sentier urbain des patrimoines, qui emprunte cette passerelle, devient aujourd’hui réalité. Ce soir la passerelle s’illuminera et tendra les bras à tous ceux qui souhaitent l’emprunter. Gageons que de nombreux Graulhétois iront dès ce soir ou au cours du week-end profiter de ce nouvel équipement et faire leurs premiers pas sur leur passerelle de la Plaine de Millet.

 
Publié le 16/09/2013 à 08:48   Gérard Durand
 
Graulhet en 2 temps et 3 mouvements
 
Le Sporting nouvelle version s'est avéré très enthousiaste./ Photo DDM, Jean-Marie Lamboley 
 
Le public graulhétois attendait avec une certaine impatience les débuts du Sporting nouvelle version, renforcé et ambitieux mais malheureusement comptant de nombreux blessés ; le dernier en date, Regnier, obligeant le staff à refondre le pack. L’affiche était inédite entre Tarnais et Ariégeois. Fabien Pelous, formé aux deux écoles rouges et noires, retenu à Paris, avait reporté l’invitation, ce qui n’a pas empêché ses humbles successeurs de fournir un bon match de début de saison.
 
Graulhet voulait soigner son entame, il l’a réussie, Goulignac marquant d’entrée, poussé par son pack. Avec la transformation et la pénalité de Bille, les locaux prenaient le score. En s’appuyant sur une conquête relativement fiable, ils se posaient en maîtres de la situation, ne laissant que peu d’initiatives à leurs adversaires, mais multipliant les fautes de main et les mauvais choix. Saverdun s’avérait faible dans les espaces. Il fallait tout de même attendre les ultimes minutes de la première mi-temps pour voir Pauthe, encore en force, marquer le deuxième essai. En multipliant les offensives, Graulhet tenait cette fois le match. Kasdorff se faisait refuser l’essai, Bille échappait un ballon de débordement, le spectacle prenait les extérieurs. Les Ariégeois, très, et logiquement, sanctionnés, passaient du statut d’adversaire à celui de faire-valoir, et Graulhet en profitait pour faire tourner son effectif.
 
Au terme de trois temps de jeu, Poujade décrochait le bonus. Les Graulhétois jouaient toute la fin du match dans les 22 mètres visiteurs, mordant la ligne d’essai plusieurs fois. Tout n’a pas été parfait, mais l’enthousiasme du groupe est à retenir en même temps que la bonne intégration des nouveaux. Saverdun, presque inexistant en seconde mi-temps, avait bien aidé Graulhet à débuter sa saison.

 
Publié le 16/09/2013 à 03:51 
 
Une nouvelle entraîneuse principale de gymnastique
 
Christel Valery dans sa nouvelle salle aux côtés du président Luc Birabent. /Photo DDM G.D 
 
Dès ce début de rentrée sportive, les effectifs de la section gymnastique de l’Omnisports, sont passés de 180 à 200. «Il reste juste quelques places chez les 2-3 ans, précise le président Luc Birabent.
 
Depuis quinze jours, une nouvelle entraîneuse principale, salariée au club, a pris ses fonctions à la suite de Mehdi. Christel Valery, 30 ans, a pour objectif de mettre en place un projet de développement sur les quatre saisons à venir, tout en augmentant matériellement, autant que possible, les capacités d’accueil, en ambitionnant une finalité nationale pour les groupes de compétition. Un gros challenge que cette Albigeoise s’est engagée à relever. «Je découvre un club qui a beaucoup de potentiel. L’équipe qui le dirige est soudée et motivée. Il y a à faire et ça me convient».
 
Christel Valery a débuté la gym à 10 ans à Albi. Entraîneur d’un groupe à 14 ans, elle a, au fil des formations fédérales, décroché une place de monitrice éducatrice dans le secteur de la protection de l’enfance en danger, puis un premier poste d’entraîneur à Blagnac. Partie à Perpignan, elle a réussi son dimplôme d’entraîneur (DEJPS), avant son retour dans le Tarn. Cette fois à Graulhet .

 
Publié le 17/09/2013 à 03:49, Mis à jour le 17/09/2013 à 09:24 
 
L'association Eau Créative démarre sa quatrième saison
 
Chaque printemps, Eau Créative fait son gala à la piscine municipale. 
 
La natation synchronisée ne cesse de séduire les jeunes de 7 à 13 ans. «La demande étant croissante et les capacités d’accueil limitées, des tests de sélection se tiendront le dimanche 22 septembre à 11h00 à la Piscine de Graulhet» précise Catherine Udino, l’un des animatrices.
La reprise des cours est prévue le week end du 28 et 29 septembre à la Piscine municipale.
 
Pour cette nouvelle saison, deux cours hebdomadaires seront proposés. Un cours en salle de danse (Foyer Léo Lagrange - Place du Languedoc), le Mercredi de 14h00 à 15H30
«Pour ces séances, les disciplines qui seront abordées ont pour but de développer les qualités physiques des jeunes». Les intervenants sont pour la danse classique /méthode Pilates: Aline Durand, Justine Manens et Malory Camus, pour le renforcement musculaire/gainage - Justine Estève et Catherine Udino. Un cour en piscine pour le travail spécifique en natation synchronisée
 
Le Samedi entre 17H15 et 20H30 (les jeunes de 06 à 11ans) ou le dimanche de 10H00 à 13H00 (les jeunes de 12 à 17 ans). Les intervenants sont Catherine Udino -Laetitia Cazelles - Caroline Etienne - Aurélia - Malory Camus et Justine Manens.
«N’hésitez pas à venir le dimanche 22 septembre à 11h00 à la Piscine de Graulhet si votre enfant souhaite essayer la natation synchronisée! Le matériel nécessaire, un bonnet, un maillot de bain une pièce, un pince nez, une paire de palmes.
Pour tous renseignements: eaucreative@gmail.comou au 0620871057.

 
Publié le 17/09/2013 à  09:25   J-C C
 
Plus de 10 000 visiteurs attendus à la fête du cheval
 
Tout est fin prêt pour l'édition 2013 de cet événement. /Photo DDM, J-C C . 
 
Temps fort de la ville, événement incontournable pour les amoureux des chevaux... La fête du cheval et le vide-grenier, qui attirent chaque année plus de 10000 visiteurs, se déroulera cette année le dimanche 22 septembre. Tout est fin prêt pour cette manifestation d’envergure et toujours plus riche.
«Le fait qu’il y ait aussi, en plus de la foire aux chevaux et des spectacles équestre, le vide-grenier ou de l’artisanat d’art attire beaucoup de monde. Ce qui est fait à Grauhet pour nous est très intéressant «explique Jacques Saysset, président du syndicat hippique des chevaux de traits du Tarn.

Cette année un concours avec les meilleurs chevaux de traits du département aura lieu lors de la fête pour désigner ceux qui concourront au niveau régional. Cette activité n’est que l’une des nombreuses qui seront proposées sur la site de la Bousquétarié. «Avec l’expérience on arrive à mieux géré le flux de personnes et la logistique. Cette année les grandes surfaces situées à proximité nous ont permis d’utiliser leurs parkings» confie Blaise Aznar, conseiller municipal délégué aux festivités, qui précise «Nous attendons entre 10000 et 12000 visiteurs. Cela occasionne une gêne pour les riverains, nous en sommes conscients, mais cela se passe toujours bien».

 
Comme toujours la manifestation qui demande une très grande implication aux volontaires de l’association Salomon de la Broue sera gratuite. «La seule inconnue maintenant, c’est la météo. C’est d’elle que dépendra aussi le succès de la dix-neuvième édition» rappelle Jean Paul Laurents, le président de l’association qui pense déjà au vingtième anniversaire de cet événement.
 
Un programme riche et varié
La manifestation se déroulera de 9 heures à 19 heures avec une foire aux chevaux, le concours départemental de chevaux de trait, un marché des produits du terroir et d’artisanat d’art ainsi qu’un vide grenier. De 13 heures à 15 heures une restauration sera proposée dans un cadre champêtre avec la musique irlandaise et counrty de Gerry carter. De 15 heures à 17 heures on retrouvera une présentation de chevaux arabes du Haras de la Chataignière, des numéros de poney city, un nouveau spectacle de kalidor et Marie-Alice et ses poneys. De 15 heures à 19 heures de la danse country sera proposée avec Country soir.

 
Publié le 18/09/2013 à 08:53 
 
Fête de la Mob : un peu moins de bécanes que prévu
 
 
 
Les organisateurs de l’association Frog and Rock attendaient 200 équipages pour la 4e fête de la Mob, le week-end dernier. S’il est venu des passionnés de Strasbourg, Lyon, La Rochelle ou Poitiers, ils n’étaient que 120 au rendez-vous, souvent propriétaires de belles machines ou de modèles uniques. Une demi-douzaine de pinups ont participé au concours et l’élection du meilleur modèle de tuning a consacré un passionné de Mont de Marsan. Côté public l’affluence a été au rendez-vous. Olivia et Glen ont compté 2000 visiteurs dont 1000 pour la seule soirée musicale du samedi.

 
Publié le 18/09/2013 à 03:52    G.D.
 
Rencontre de trois cultures musicales
 
Yaki Desveronnières et Ikali Khtsichvili entourant Chouaïb Ezzerki en studio. 
 
C’est la rencontre inattendue, de trois musiciens graulhétois de cultures aussi différentes que peuvent l’être les musiques européennes, nord-africaines et géorgiennes. Yaki le percussionniste, Chouaïb, le joueur de luth marocain et Irakli et sa guitare électr-acoustique ont formé le trio Gideli, du nom d’un panier ou se retrouvent, plutôt que les vendanges de Tbilissi, les sons Gwana, Berbères de l’Atlas, du Sahara, de Géorgie et Afro-cubains.
 
«C’est une originalité, car outre les musiques, les morceaux originaux que nous composons, font intervenir les différentes langues, et le mélange des trois est plutôt rare même si le marocains s’adapte assez bien au géorgien et il existe pas mal de similitudes dans les rythmes» assurent les trois musiciens professionnels. C’est au studio d’enregistrement associatif Aché, situé au-dessous de la piscine, que le trio a déjà enregistré quatre des dix titres qui composeront le premier CD, qui devrait sortir en fin d’année, et les quatre premiers clips qui vont avec.
 
Violons, ouds, gumbris, luthar, tambour Bata, karkabous, otumbe, et autres instruments traditionnels sont sur les partitions, au même titres que les guitares ou les percussions classiques. «Il faut juste les mettre en harmonie». Au final, un son riche, que le public sera amené à retrouver sur scène puisque le groupe envisage, dès qu’il aura trouvé un «tourneur» de se produire dans les festivals et les fêtes.

 
Publié le 18/09/2013 à 08:53 
 
Briatexte - Rugby : en préparation d'une reprise musclée
 
Vendredi dernier, la moitié de l'effectif était là au début de l'entrainement. / Photo DDM.G.D. 
 
Sept rencontres de championnat sur les sept premiers dimanches. Le 6 octobre, le SC Briatexte se rendra pour l’ouverture à Villenouvelle puis enchainera six rencontres de rang.
Une reprise musclée qui oblige les entraineurs Jérome Passebosc et David Tadritz, à préparer leurs troupes sur des bases moins engagées, mais en privilégiant la forme physique à conditionner pour le jour J.
 
Les entrainements ont repris depuis le 9 août, pour un groupe de 35 joueurs qui les honore régulièrement et qui a, hormis Berthoumieux, parti à Lisle sur Tarn, pas perdu déléments et profite du retour de Tissandié et des arrives de Khattou et Malet (Graulhet), Caumette et Korosko (St Sulpice), Dupont- Dutilloy (Figeac) et Dubac (Puylaurens). Quant à Boukemach, l’emblématique deuxième ligne du quinze vert et noir, il devrait sans doute assurer les fonctions de soigneur assistant.
 
Les rencontres amicales ont débuté ce samedi à Fonsegrives. «L’important est de ne pas avoir de casse. Nous allons jouer dans une poule très homogène, sans équipe plus forte mais sans équipe faible» assure Jérôme Passebosc.
 
 
Publié le 19/09/2013 à 03:48 
 
Casimir Ferrer à la OLA
 
 
L’artiste albigeois Casimir Ferrer animera un atelier à l’attention d’élèves de tous niveaux le samedi 12 octobre de 9 heures à 17 heures et prodiguera avec la générosité qu’on lui connait de précieux conseils dans la salle de l’association où se déroulent habituellement les ateliers de peinture.
Ce cours exceptionnel est prévu pour un groupe d’une quinzaine de personnes au maximum à la maison des associations.
Pour s’y inscrire, il suffit de téléphoner au plus tôt au 05.63.34.86.25 ou bien d’envoyer un courriel à association.ola@orange.fr.

 
Publié le 19/09/2013 à 08:25 
 
L'école de cirque reprend
 
Il n'y a pas d'âge pour apprendre les arts du cirque. 
 
C’est cette semaine que reprennent les cours de l’école de cirque Pistil qui propose initiation et perfectionnement au jonglage, à l’acrobatie, aux équilibres sur objets de la boule au fil en passant par le monocycle, aux aériens (trapèze fixe et ballant, corde lisse et volante, tissu aérien), mais aussi de la préparation de numéro. L’école de cirque Pistil est une école de loisirs ouverte à tous. Les cours sont dispensés dans une ancienne usine spécialement aménagée pour l’entraînement aux arts du cirque. Pour de plus amples renseignements il est possible de contacter l’association en téléphonant au 05.63.41.74.51.

 
Publié le 19/09/2013 à 03:50, Mis à jour le 19/09/2013 à 08:02 | P.S.
 
Le braqueur de 4 supermarchés devant les assises
 
4 supermarchés de Graulhet avaient été attaqués
 
Aujourd’hui et demain, Grégory Villiers, 33 ans, sans domicile vraiment fixe à l’époque des faits mais installé à Marseillan (Hérault), comparaît pour une série de quatre braquages dans des supermarchés de Graulhet. Des faits commis le soir du 22 février 2012, en une demi-heure à peine. Entre 19 heures et 19h30, armé d’un pistolet automatique ( on apprendra plus tard que l’arme fonctionnait avec une cartouche de gaz), le jeune homme s’était attaqué successivement au Lidl, au Leclerc, à Intermarché et à Marché plus.
 
Menacée, la caissière du Lidl avait mis du temps pour ouvrir sa caisse. Elle avait reçu un violent coup de crosse sur le crâne avant que Grégory Villiers ne tire en l’air et ne prenne la fuite avec un pack de bières. En quittant Intermarché, après avoir dérobé un autre pack de bières, le braqueur avait manqué se faire attraper par le gérant qui a relevé le numéro de la plaque d’un fourgon appartenant à une personne dont il avait usurpé l’identité. Grégory Villiers sera interpellé trois semaines plus tard, le 11 mars à Pézénas et reconnaîtra les faits. Il ne souhaitait qu’une chose, a-t-il indiqué : que les gendarmes l’interpellent et, le voyant armé, lui tirent dessus. Il répétait qu’il voulait mourir pour mettre fin à une vie d’errance sous LSD.
 
Me Stéphane Soulas (Toulouse) assurera sa défense. La partie civile sera représentée par Me Sonia Brunet-Richou, le ministère public par l’ avocat général Philippe Mao.

 
Publié le 19/09/2013 à 03:52   J-C Clerc
 
Pour un plus long maintien à domicile
 
Les portes ouvertes ont permis au grand public de découvrir ce service de l'hôpital. /Photo DDM, J-C C. 
 
Ouvert en juillet 2012, le service d’accueil de jour atteint son rythme de croisière. Cette solution vient en complément de l’accueil temporaire ou en unité protégé, permettant d’offrir une palette complète de services pour les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer - ou de maladies apparentées - ainsi que pour leurs accompagnants.
 
«L’accueil de jour permet de favoriser le maintien à domicile. Un placement d’urgence est toujours difficile» souligne le docteur Christine Aliaga. Car ce type de maladies est aussi une épreuve pour les proches. Afin d’éviter que les accompagnants ne soient finalement «à bout», l’accueil de jour permet de recevoir, dans le cadre d’un programme thérapeutique, encadré par des professionnels, un personne atteinte une journée par semaine ou plus.
 
Le premier contact avec la structure peut avoir diverses origines. «ADMR, centre d’action sociale, infirmière à domicile, France Alheimer... Il est important pour nous d’avoir des partenaires, de travailler avec les relais déjà existants» souligne Yann Le Bras, directeur du centre hospitalier. Au début, il y a toujours un entretien pour répondre au mieux aux besoins, d’une façon très personnalisée. Ce n’est qu’ensuite que la personne est accueillie, généralement un ou deux jours par semaine. Les accompagnants bénéficient aussi du suivi d’un psychologue. Financièrement, la prise en charge peut faire partie de l’APA (aide personnalisée à l’autonomie) ou de l’aide sociale à l’hébergement.
 
Mémoire, lien, motricité, communication... Les activités proposées visent d’abord le maintient des capacités restantes.
«Il s’agit aussi de limiter les troubles du comportement sans thérapie médicamenteuse» souligne le docteur Christine Aliaga.
L’accueil de jour permet aussi un temps de répit aux accompagnants, facteurs importants pour un maintien à domicile des malades à long terme.

 
Un service «comme à la maison»
 
 
Beaucoup des intervenants font aussi partie du personnel de l’hôpital. «Mais ici les personnels ne sont pas en blouse blanche. C’est peut-être un détail, mais ça veut dire beaucoup. Ici, on n’est pas à l’hôpital, mais comme à la maison» explique Laurent Bousquet, cadre de santé. Si le repas de midi provient de la cuisine centrale, il est souvent complété ou remplacé - tout ou en partie - par un repas concocté dans la cuisine du service par les personnes elles-même. «Suivant les saisons on élabore des idées de menues puis ont fait la liste des choses à acheter. Ensuite, avant de cuisiner, on va sur le marché pour faire les courses... Cela se passe exactement comme chez elles» souligne Laurent Bousquet. Au même titre que le chant, la lecture, le jardinage ou le loto, la cuisine trouve ici toute sa place dans une véritable action thérapeutique. 

 
Publié le 19/09/2013 à 08:06 | Alain-Marc Delbouys
 
Du bois recyclé pour se chauffer
 
La chaufferie rutilante en service depuis près d'un an à Graulhet./ Photo DDM,Jean-Marie Lamboley. 
 
Bardé comme il se doit de bois, l’énorme cube se dresse en bordure de l’avenue Marcel-Pagnol. À l’intérieur, la chaudière rutilante semble flambant neuve, malgré une première saison de chauffe à son actif. Quinze bâtiments publics de Graulhet sont depuis octobre 2012 chauffés à partir de bois de récupération. Cela va du lycée à la piscine en passant par la médiathèque, ou bien encore 270 logements sociaux de Crins. Plus importante installation de chauffage urbain à biomasse exploitée en régie en Midi-Pyrénées, ce réseau de chaleur a été inauguré, ce mercredi après-midi. «D’une puissance de 2 mégawatts, c’est autant d’énergie fossile qui ne sera pas consommée. C’est bien que ce soit à Graulhet», félicite Bruno Lechevin, président national de l’Ademe, venu couper le ruban.
 
Déchet devenu matériau
C’est aussi 1 131 tonnes de rejets de CO2 dans l’atmosphère évités par an.
Cette chaudière collective consomme 2 300 tonnes de bois par an, émanant des déchetteries (50 %), d’écorces (20 %), et pour les 30 % restant des branchages provenant des coupes forestières opérées par Forestarn, coopérative réunissant les propriétaires de forêts privées, avec qui un accord a été passé. «Du bois qui auparavant pourrissait. D’un déchet, on a fait un matériau pour se chauffer», souligne le sénateur Jean-Marc Pastor, président de Trifyl, le syndicat départemental de traitement des ordures ménagères, qui exploite ce réseau de chaleur via une régie créée spécialement.
 
Du silo contenant l’équivalent de trois semi-remorques, les plaquettes de bois sont acheminées jusqu’au brûleur par un convoyeur. Un impressionnant électro-filtre en inox étincelant réduit à 50 milligrammes et même jusqu’à 20 par mètre cube la quantité de poussières relâchées, bien en deçà de la norme des 150 mg prévus par la réglementation. Il a fallu creuser 2 300 mètres de canalisation pour recevoir les tuyaux isolés qui acheminent l’eau chaude. «Le prix de revient final est de 5 à 10 % inférieur à celui du gaz. C’est la condition pour qu’on crée un réseau», précise Étienne Cayrel, qui dirige la régie bois énergie de Trifyl. L’investissement, près de 3 millions d’euros, est permis par 750 000 € de subventions de l’Ademe, 450 000 € de fonds européens du Feder et autant de la région, qui ne regrette pas sa participation. «Ce coût qui au final est un gain majeur pour la société toute entière. En plus, ce nouveau service public crée des emplois locaux», applaudit Martin Malvy, le président du conseil régional.
 
Claude Fita, le maire, est «fier» que cette réalisation combinant environnement, économie et social ait vu le jour à Graulhet. Pour Pascal Neel, président de Tarn et Dadou à qui échoit la compétence, c’est aussi le fruit «d’une intercommunalité intelligente».
 
Après Castres, Mazamet et Gaillac, Alban s'y met aussi
C’est Castres qui dispose de la plus importante chaufferie bois du département. Celle de Mazamet a une puissance équivalente à celle de Graulhet. «À Castres et Mazamet, nous fournissons des plaquettes, maisTrifyl n’exploite pas directement l’installation, à l’inverse de Graulhet. Trifyl a porté et gère aussi via sa régie bois énergie la chaufferie bois de Gaillac ouverte il y a un an», précise Jean-Marc Pastor, le président de Trifyl. Dans ces cas-là, Trifyl prend en charge l’investissement et se finance en faisant payer l’usager final. La seule obligation de la collectivité locale est alors de fournir le terrain pour implanter la chaudière.
 
En octobre, la régie bois énergie de Trifyl mettra en service un réseau de chaleur à Alban, desservant notamment le collège, plus petit, à l’échelle de ce chef-lieu de canton. Le réseau de Gaillac va être étendu, notamment à un lotissement. D’autres projets sont dans les cartons. D’après Jean-Marc Pastor, Trifyl dispose d’assez de matières premières pour alimenter une dizaine de chaufferies dans le Tarn. Trifyl fournit aussi des plaquettes à l’Ehpad de Réalmont ainsi qu’à la mairie et à l’école de Damiatte.

 
Publié le 20/09/2013 à 03:52 
 
Reprise des cours à l'OBFGT
 
 
Connu et reconnu pour son orchestre batterie fanfare, l’OBF Graulhet-Tarn propose aussi des cours de musique.
Du tuba au piano, de la formation musicale au chant en passant par l’euphonium ou la batterie, il y en a pour tous les goûts. Si certains cours de musique sont déjà complets d’autres, comme les cours de cuivres, de percussions et d’éveil musical (pour les trois à six ans), ont encore quelque places de libre. Pour de plus amples informations sur l’ensemble des cours de musique dispensés par l’OBF il suffit de téléphoner au 06.24.43.42.96. ou de consulter le site internet http://www.obfgraulhet.fr. 

 
Publié le 20/09/2013 à 09:35 
 
Graulhet : Une ville à solidarité positive
 
L'exposition a connu un franc succès le week-end dernier. 
 
A l’occasion des Journées européennes du patrimoine Martine Languillon a réalisé à partir de nombreuses archives une exposition intitulée «de la charité à la solidarité nationale, assistance et prévoyance dans le Tarn (1800-1940)» évoquant l’évolution du lien social de la charité à la solidarité nationale dans le Tarn. Elle ne devait être présentée au public que le week-end dernier mais devant l’engouement suscité, les visiteurs auront jusqu’au 24 septembre pour la découvrir dans la salle de la République de l’Hôtel de ville.
 
Cette exposition, dans laquelle ont retrouve la bannière restaurée, raconte l’évolution du lien social du Moyen Age aux années 1940 dans le Tarn, présente des documents d’archives de Graulhet où la solidarité et le bénévolat ont eu maintes fois l’occasion de se concrétiser. La ville a toujours été à l’avant-garde dans ce domaine : la première société de secours graulhétois dont il est fait mention date de 1850 (la Saint Vincent de Paul d’obédience catholique) alors que ce n’est que plus tard qu’un décret prescrit la création d’une société de secours mutuels dans toutes les communes.

Car à Graulhet les actes d’entraide généreuse et désintéressée sont bien réels, mais ils restent limités dans le temps et dans leur efficacité. Avec la révolution industrielle, il est vite apparu que cette solidarité devait se structurer, s’élargir au-delà du cercle de voisinage et s’exercer à partir de la société de secours mutuels. La richesse de la vie associative a ici toujours été intense et propose une mosaïque exceptionnelle d’activités, d’animations, d’entraide, dans un esprit fraternel et de générosité de cœur.

 
Publié le 20/09/2013 à 08:00   P.S.
 
Le braqueur de Graulhet : «Je voulais que les gendarmes me tirent dessus»
 
Grégory Villiers, accusé de vols avec arme, a parlé de son mal-être et de sa volonté de s'en sortir./Photo J-M L. 
 
Hier, Grégory Villiers, accusé de quatre braquages à Graulhet, en février 2012, a parlé de sa fuite en avant, de l’alcool, de la drogue et de son envie d’en finir avec son passé.
Quelle mouche a piqué Grégory Villiers, ce fameux 22 février 2012 lorsqu’il a braqué, successivement, les supermarchés Lidl, Leclerc, Intermarché et Marché plus ? Hier, pendant les premières heures de son procès devant la cour d’assises du Tarn, le jeune accusé de 33 ans a parlé d’une fuite en avant et sans retour.
 
«Je ne voulais pas faire de mal à ces gens, je voulais qu’on me tire dessus. Je voulais en finir avec tous ces souvenirs qui me sautaient à la tête. Je n’avais plus de raison de vivre», confie calmement Grégory. Il pensait que, le voyant armé, les gendarmes le descendraient. Il traîne, comme un lourd boulet, son enfance misérable de gosse placé de foyers en familles d’accueil, depuis l’âge de 4 ans avec sa sœur. Un père alcoolique et pervers qui aurait abusé d’eux, une mère inexistante avant le divorce, une scolarité chaotique et une brochette de «conneries» qui lui vaudront 11 condamnations.«Alors, tout ça, à Graulhet, c’était un suicide assisté», rétorque Philippe Mao, l’avocat général qui cherche toujours les vraies motivations du braqueur de supermarchés. L’argent ?
 
«C’est pas ça, je l’ai pris et je l’ai jeté sur les parkings pour ceux qui en auraient eu besoin, ajoute l’accusé qui avait pris du LSD le week-end précédant les braquages. Le LSD, c’est une drogue chimique, c’est pas bon du tout, ça dure plusieurs jours, j’étais speedé. J’ai même volé de la bière alors que j’en bois pas.» Pourtant, les caissières qui ont eu le pistolet (à gaz) sous le nez parlent de quelqu’un de calme et déterminé.
 
Grégory, l'écorché vif
Danièle, la caissière de Lidl, qui s’est portée partie civile, n’oubliera pas sa mésaventure. Elle en tremble encore à la barre en
 
montrant à la présidente où elle a reçu un coup de crosse à l’arrière du crâne. «Je ne méritais pas ça, depuis que j’ai été braquée, rien n’est plus comme avant. Ma fille de 12 ans s’inquiète, le soir, lorsque je suis en retard. Je suis toujours suivie par un psychiatre.» Carole-Anne, la caissière intérimaire du Leclerc (le magasin, partie civile qui a demandé à ce que le procès ne soit pas correctionnalisé, n’était pas représenté, hier) reconnaît que psychologiquement, c’est dur de se faire braquer. Elle a été arrêtée 12 jours et son contrat n’a pas été renouvelé. «Merci Leclerc», lance la présidente, Corinne Chassagne. Christine, d’Intermarché, n’a pas pris son agresseur au sérieux et lui a ri au nez. «J’ai cru que c’était quelqu’un de l’école du cirque de Graulhet avec un jouet en plastique», confie-t-elle.
 
Grégory, «l’écorché vif, pris dans une spirale d’autodestruction» comme le dit une ancienne éducatrice, lance des excuses.
«Je ne sais pas qui je suis, ni où je vais aller mais j’ai envie d’aller de l’avant.» Une psychothérapie sera nécessaire, lui rappelle la présidente, mais «il faudra une démarche volontaire de votre part pour vous en sortir».
Les débats se poursuivent ce matin avec l’expertise psychiatrique, les plaidoiries de la partie civile et les réquisitions. Le dernier mot ira à la défense. Verdict dans l’après-midi.
 
 
Publié le 21/09/2013 à 08:28   | La Dépêche du Midi |   Pierre-Jean Pyrda
 
7 ans de prison pour le braqueur de Graulhet
 
«C'est une peine juste. Mon client l'accepte et ne fera pas appel», a indiqué Me Catherine Pons-Fournier après l'énoncé du verdict./Photo DDM, PJP 
 
Il n’a fallu qu’une heure et quart de délibéré aux jurés et aux magistrats de la cour d’assises du Tarn pour rendre leur verdict, hier à 12 h 30, dans le procès du braqueur de Graulhet. Reconnu coupable de quatre vols avec arme commis en une demi-heure à peine, le soir du 23 février 2012 à Graulhet, Grégory Villiers est condamné à 7 ans de réclusion criminelle. «Une peine juste, un peu en deçà des réquisitions de l’avocat général» (N.D.L.R. : Philippe Mao avait réclamé 8 ans), réagit l’avocate de la défense Me Catherine Pons-Fournier. Elle confirme que «la décision est acceptée» par son client qui «ne fera pas appel».
 
Un soulagement pour les parties civiles, au premier rang desquelles Danielle Bernard, la caissière du Lidl. La première à avoir été braquée ce soir-là sur son lieu de travail, la seule aussi qui a été frappée d’un coup de crosse derrière la tête «simplement parce que, paniquée, elle n’arrivait pas à ouvrir le tiroir-caisse», rappelle son avocate Me Sonia Brunet-Richou. Carole-Anne Yahiaoui, la jeune caissière du Leclerc (qui a quitté l’enseigne depuis), n’oubliera pas elle non plus «ces quelques secondes qui semblent durer des heures quand on vous brandit une arme sous le nez».
 
Pour ce second et dernier jour de procès, on n’a pas entendu la voix de Grégory Villiers, sauf pour ces derniers mots octroyés à la défense. «Je voulais encore m’excuser envers les victimes, je leur demande pardon, c’est tout.»
 
Un vécu d'abandon
 
Pour essayer de percer la carapace de cet homme «qui a toujours été seul et que personne n’attendra à sa sortie de prison», il fallait compter sur l’expertise psychiatrique. Avec un bel esprit de synthèse, le Dr Gérard Rossinelli a décrit «une personnalité abandonnique et carencée», souffrant d’un «état dépressif chronique», avec «des troubles de l’humeur» pour conclure à «une altération des facultés mentales». Selon l’expert, Grégory, par ailleurs doté de capacités intellectuelles normales et capable d’autocritique, «s’est donné les moyens de faire n’importe quoi et de vouloir se faire reconnaître». Se faire reconnaître comme un homme malheureux, qui avait mis «un fort investissement affectif sur sa dernière compagne», celle-là même qui l’avait quitté quelques semaines avant la folle expédition de Graulhet ? Ou comme un adulte qui n’a pas pu se reconstruire parce que la justice ne l’avait pas écouté quand, placé en famille d’accueil à 14 ans, il avait accusé son père de l’avoir violé, lui et sa sœur, quand ils étaient enfants ?
 
L’autodestruction comme justification de ses actes ? «Je ne dis pas que je n’y crois pas, mais je suis sceptique», a reconnu l’avocat général, «obligé de faire un parallèle avec l’affaire du bijoutier de Nice». Villiers voulait que les gendarmes lui tirent dessus ? Pour Philippe Mao, «ce soir-là à Graulhet, l’hypothèse la plus probable était qu’un commerçant excédé lui tire dessus. Mais le rôle d’une cour d’assises tel qu’il a été défini par le législateur, c’est de refuser aux gens, même ceux agressés à plusieurs reprises, de tirer sur leur agresseur, hors cas exceptionnel de légitime défense.(S’adressant aux jurés) C’est à vous de prononcer la sanction, pas aux victimes, c’est ça l’état de droit.» A écouter les réactions, hier, à l’énoncé du verdict, la balance de la justice s’est arrêtée là où il fallait.
 
La caissière soulagée, la maman inquiète
 

 
C’est avec beaucoup de dignité que Danièle Bernard, la caissière de Lidl principale victime de cette affaire, a accueilli le verdict. «La peine prononcée par la cour me semble juste. Je voulais qu’il soit puni.» Lui pardonne-t-elle ? «Non, ce n’est pas possible. Il m’a fait du mal à moi et à ma famille.» Danièle pense surtout à sa fille. «Elle n’a que 12 ans. Le soir où ça m’est arrivé, elle est allée dormir chez sa grand-mère. Quand on s’est retrouvées, elle m’a serrée dans ses bras en me disant je t’aime maman.

Maintenant, quand je rentre plus tard que prévu le soir, ma fille s’inquiète. Je vais peut-être devoir la faire suivre», confie-t-elle dans un sanglot. Après ces deux jours de procès, soutenue par son mari, Danièle a quitté le palais de justice d’Albi «le cœur apaisé» mais inquiète en tant que maman. Pour «reprendre le dessus», elle a pu compter sur «le soutien énorme des collègues et de la direction du Lidl de Graulhet». Aujourd’hui, elle a repris son emploi à temps complet. «Mais à la caisse, je suis plus sur mes gardes qu’avant.»

 
Publié le 21/09/2013 à 03:51, Mis à jour le 21/09/2013 à 10:06 | G.D.
 
Jean-Marie Ramond : le courage en marche
 
Jean Marie Ramond à St Jacques de Compostelle le 31 août dernier. 
 
De son passage de volontaire chez les parachutistes de Montauban à la fin des années 60, Jean-Marie Ramond garde un souvenir empreint de respect et de reconnaissance. En 2011, il a dû subir un triple pontage avant de se découvrir un cancer du rectum. Quatre mois à vivre avec une poche...
 
Au terme de son traitement, il a décidé de partir seul, à pieds, à St Jacques de Compostelle. «C’était pour moi une thérapie. Ma foi a fait le reste. Quand tu es à genoux, il n’y a que deux solutions, ou tu te couches, ou tu te relèves», avoue ce retraité de l’imprimerie.
 
En un peu plus de deux mois, il a rallié Fisterra, au terme d’une souffrance qu’il a assumé. Une première expérience qu’il ne voulait pas laisser orpheline.
 
En hommage aux soldats
Cet été, à 66 ans, le Graulhétois a remis ça. Cette fois, c’est aux parachutistes qu’il a dédié un périple qui l’a conduit de Bayonne jusqu’à la pointe de la Galice.
 
«Aux victimes de Merah, à ceux tombés en Afghanistan ou au Mali, à tous ces jeunes qui, dans des conditions difficiles au quotidien, assurent la défense de nos libertés».
 
Parti de 30 juillet, il a pris le Camino de Norte jusqu’à Oviedo, puis coupé par les montagnes et rallongé de 118 km par le Camino Primitivo et enfin rejoint le Camino Francès juste avant Santiago pour finir à Fisterra.
 
«De retour en France, j’ai été reçu par le chef de corps du quartier Doumerc à Montauban puis par celui du 8e de Castres. J’ai reçu le plus grand hommage qu’on pouvait me faire».
 
 
Publié le 21/09/2013 à 03:54 
 
Un an de licence gratuite pour les nouveaux joueurs
 
La nouvelle présidente Rosy Brieussel entre la trésorière Arlette Blériot et le secrétaire Gérard Blériot./Photo DDM G.D. 
 
Depuis quelques jours, Rosy Brieussel est la nouvelle présidente du club de bridge.
Ce club réunit les amateurs les lundi, mercredi et samedi après-midi dans la salle réservée à ce jeu, à la maison des associations de la place Bosquet.
C’est son mari, Pierre Brieussel qui avait créé le club en 1976. Elle sera aidée dans sa tâche par Gérard et Arlette Blériot.
 
«Nous comptons une quarantaine d’adhérents. Le chiffre a tendance à stagner depuis quelques années, déplore le secrétaire Gérard Blériot en regardant vers les jeux en ligne qui sont pour lui une concurrence.
Option bridge au bac
«Pourtant nous nos orientons vers une option bridge au bac.
 
Ce jeu peut intéresser les jeunes en échec scolaire dans le domaine de la prise de confiance, de la réflexion ou de la stratégie». Une fois rangées les cartes, les bridgeurs graulhétois ne veulent pas rester les bras ballants. En parallèle d’une campagne d’information nationale lancée par la fédération, ils proposent à tous les gens intéressés pour s’essayer ou à ceux qui veulent retrouver les tables après avoir cessé leur adhésion, une licence gratuite durant la première année.
 
«Nous leur donnons rendez-vous le mardi 24 septembre à la salle entre 14h 30 et 18h 30. Ensuite, nous organisons deux tournois les 26 octobre et 4 novembre, pour les licenciés ou non-licenciés. Nous attendons des jeunes, car le bridge est inter-générationnel». G.D

 
Publié le 22/09/2013 à 09:18   G.D.
 
Football Graulhet : Forza ô Benfica !
 
L'équipe 1 du Benfica-Club Graulhet saison 2013-2014 va jouer pour remonter en excellence. /Photo DDM 
 
Années 60. Une forte colonie portugaise fournit de la main-d’œuvre aux mégisseries qui tournent à plein. Le dimanche, les jeunes se retrouvent pour le plaisir entre deux cages rudimentaires. En 69, sous l’impulsion du premier président Joseph Lourenço et du secrétaire Joachim André, le premier Benfica Graulhet, rassemblant exclusivement des joueurs d’origine portugaise, est déclaré en préfecture. «Il y a eu une discussion animée autour du choix du nom du club. Si tout le monde était d’accord pour Lisbonne, certains défendaient avec ardeur la candidature du Sporting» a maintes fois entendu raconter l’actuel président Antoine Da Silva en route pour un sixième mandat. Les premières rencontres se jouaient sur deux terrains aujourd’hui disparus, à Rieutord ou à Crins, avant d’en utiliser un troisième, à Millet, là où s’est construite la maison de retraite. Depuis c’est la Jonquière qui accueille les rencontres de première division district. «Nous avons la remontée en excellence comme objectif. Avec des jeunes nous espérons y arriver».
 
Les «rouge et blanc» ont, comme beaucoup d’autres clubs, connu des hauts et des bas, de la promotion honneur et d’un titre double de coupe du Tarn en première division et en excellence, aux anonymes rencontres de district, en passant par une promotion ligue où ils avaient, à leurs dires, trouvé leur vrai niveau. «A ce moment-là, nous bataillions avec des équipes qui, depuis, jouent en CFA ou en DH», se souvient Charly Lapeiro. En 45 ans d’histoire, le Benfica Graulhet a gardé intacte la passion qui anime ceux qui dirigent le club. «Notre plus gros souci, ce sont les bénévoles. Nous avons du mal à en trouver. Ce sera essentiel d’en recruter pour le maintien du club», argumente Antoine Da Silva. «Forza ô Benfica» comme une devise adoptée par des générations. Et que les Portugais de Graulhet se font un devoir de perpétuer.

 
Publié le 22/09/2013 à 09:21   K.C.
 
Graulhet fête le cheval
 
Le cheval sera roi aujourd'hui à Graulhet./ Photo DDM
 
Aujourd’hui dimanche, petits et grands sont invités à passer une journée de détente en famille ou entre amis à Graulhet lors de la 19e édition de la fête du cheval organisée par la mairie de Graulhet et l’association Salomon de la Broue, qui attire chaque année plus de 10 000 visiteurs. Petit tour d’horizon des activités se déroulant lors de cette manifestation.
 
Au programme de cette journée, de 9 heures à 19 heures, une foire aux chevaux, le concours départemental de chevaux de trait qui permettra de désigner ceux qui concourront au niveau régional, un marché de produits du terroir et d’artisanat d’art et un vide-greniers vous seront proposés.
 
Sur le site, de nombreuses animations dansantes et musicales vous divertiront de 13 heures à 19 heures. Vous aurez aussi la possibilité de vous restaurer sur place dans un cadre champêtre de 13 heures à 15 heures.
 
À la suite du repas, de nombreux spectacles vous attendront de 15 heures à 17 heures, notamment une présentation de chevaux arabes du Haras de la Châtaignières, ainsi que des numéros de Poney City, un nouveau spectacle de Kalidor et Marie-Alice et ses poneys. Ainsi que des animations diverses : trampoline élastique, tir à l’arc, balades à dos d’âne… De quoi ravir petits et grands.
 
Ces festivités se dérouleront sur le site de la Bousquétarié et sont devenues aux fils des années un événement incontournable pour les amoureux des chevaux. Comme chaque année, cet événement, qui demande une très grande implication de la mairie et de l’association Salomon de la Broue, sera gratuit. Tout ceci dans le but de vous divertir et de vous transmettre leur amour et leur passion des chevaux.
 
Blaise Aznar, conseiller municipal délégué aux festivités, confie : «Nous attendons entre 10 000 et 12 000 visiteurs. Cela occasionne une gêne pour les riverains, nous en sommes conscients, mais cela se passe toujours bien».
Les organisateurs sont donc prêts pour vous accueillir, aujourd’hui, lors de cette journée riche en découvertes et en activités.

 
Publié le 23/09/2013 à 03:47 
 
Automne actif pour Graulhet temps libre
 
Réélue par les adhérents, Joelle Antoine a gardé la présidence de GTL. 
 
L’association Graulhet Temps Libre reprend ses activités après avoir tenu son Assemblée Générale en présence de Mme Escribe représentante de la municipalité et de ses adhérents venus nombreux.
 
Après une première sortie en Ariège, un pique-nique et une découverte du Zoo des 3 Vallées récemment ouvert à Montredon-Labessonnié sont prévus le 26 septembre. C’est ensuite l’Aveyron qui recevra le Temps Libre au trou de Bozouls et à Espalion le 10 octobre. Les ateliers du carnaval d’Albi l’accueilleront ensuite le 17 octobre avec l’association des guides Interprètes du Tarn. Le 14 novembre, le centre le L.A.I.T. d’Albi conviera toute personne intéressée même non-adhérente, à une initiation à l’art contemporain, lors d’une conférence gratuite sur le musée Hamburger Bahnhof de Berlin à la Maison des Associations.

M. Marc Galabru, frère de l’acteur, prendra le relais le 21 novembre pour une causerie sur «la qualité de la vie» et le 28 l’espace «ô saveurs paysannes» d’Albi proposera un repas «du jardin à l’assiette» qui sera suivi d’une visite de la Verrerie Ouvrière. Le 12 décembre, les éoliennes d’Avignonet-Lauragais n’auront plus de secret pour personne puisqu’on pourra même monter dans l’une d’entre elles avant, l’après-midi, d’aller faire ses courses de Noël au village des marques de Nailloux. C’est enfin le cabaret le Robinson au Vernet qui clôturera cet automne bien rempli en régalant le Temps libre de chansons lors de son déjeuner-spectacle «l’Air du Temps» le 19 décembre.

 
Publié le 23/09/2013 à 09:08 | 
 
Graulhet plus bondissant que les Basques
 
Belle performance des Graulhétois face aux Basques de Nafarroa./photo DDM, Jean-Marie Lamboley. 
 
Comme envisagé, les basques de Nafarroa ont bondi dès l’entame. «Nous avons du subir au départ, mais sans être jamais débordés» reconnaît Renaud Gély. Le buteur local a ouvert le score, les tarnais ont répondu. Passé l’exercice d’adresse des buteurs, Graulhet a élargi les débats, a donné du volume au jeu, et Teyssier a marqué le premier essai sur une pénalité rapidement jouée. Plus tard, c’est Bille qui a inscrit le deuxième, en bout de ligne au terme d’un balayage en règle et de plusieurs temps de jeu. A la mi-temps, les graulhétois avaient fait le break. En seconde période, après plusieurs occasion manquées, c’est Codjia qui décrochait le bonus offensif sur une deuxième concrétisation de l’œuvre collective. Les basques étaient KO debout, le Sporting avait réussi un carton plein en deux matchs.
 
«C’est certain, nous avons gagné en maturité par rapport à la saison dernière. L’équipe a fait preuve d’une lucidité à toute épreuve. C’est un signe encourageant compte tenu qu’il manquait une bonne partie de l’effectif» constate R. Gély qui avait, avec Benoit Bellot reconduit à l’identique le groupe vainqueur de Saverdun. «Nous sommes hyper satisfaits de la volonté, le l’ambition et surtout de l’entreprise dont il a fait preuve dans des conditions difficiles. Reste que les joueurs étaient frustrés d’avoir raté trop d’occasions. Mais ne faisons pas les difficiles, cette victoire et ces deux premiers matchs sont très bons pour la confiance, surtout à huit jours du derby. Mais, là, Gaillac, c’est une autre paire de manches». Les graulhétois ont su se les retrousser en bord de Nive, à eux de confirmer sur les rives du Dadou.
 
Nafarroa 9 - Graulhet 27
Spectateurs : 500 environ
Arbitre : Mr Bruno Esclavard (comité Périgord-Agenais)
Score à la mi-temps : Graulhet :17 ; Nafarroa : 9.
Pour Graulhet : 3 essais de MONTBROUSSOUS (23ème) ; 2 de CODGIA (31ème et 76ème mn) ; 3 transformations de BILLE ; 2 pénalités de BILLE (9ème et 41ème mn)
Pour Nafarroa : 1 drop de GUECAIMBURU (3ème mn) ; 2 pénalités de GUECAIMBURU (12ème et 27ème mn)

 
Publié le 24/09/2013 à 08:22 
 
Dernière ligne droite pour le cinéma
 
Les portes du cinéma flambant neuf ouvriront le 2 octobre. 
 
Jeudi soir les conseillers municipaux devront valider, lors de leur réunion en séance publique, la convention liant la communauté des communes, la SARL Cinémas 21 et la commune en vue de l’exploitation du futur cinéma qui ouvrira ses portes le mercredi 2 octobre.
 
Le complexe cinématographique «Vertigo» comporte deux salles, il est construit tout en bordure de la rue de la Mégisserie, dans le cadre de l’aménagement du site de la Plaine de Millet.
 
Celui-ci comprend la passerelle, désormais ouverte au public, la crèche qui est entrée en service l’aménagement des berges du Dadou - avec la création du sentier urbain du patrimoine - et une nouveau complexe cinématographique situé en face de la médiathèque marguerite Yourcenar.
 
Dans le cadre d’un contrat de régie intéressée signé en avril 2012, la communauté des communes Tarn et Dadou, propriétaire du bâtiment, en a délégué la gestion et l’exploitation à la SARL Cinémas 21.
 
La politique culturelle de la ville de Graulhet avait mis en œuvre différents types d’actions en partenariat avec l’exploitant de l’ancienne salle «Les Temps Modernes».
 
Les élus auront à décider de poursuivre avec le cinéma «Vertigo» et de conclure une convention tripartite définissant et précisant les modalités du partenariat avec l’exploitant du cinéma.
 
Cette convention prévoit notamment le fonctionnement des Pass’, les modalités de partenariat, la politique tarifaire, la facturation et le règlement ou encore l’entretien des locaux.

 
Publié le 25/09/2013 à 08:19   G.D.
 
Deux dirigeants : un match dans le match
 
Pauthe-Delmas, anciens 3e ligne et talonneur, le feu et la glace, mais deux visions presque identiques de ce qu'est l'esprit de clocher. /DDM.G.D. 
 
L’un bâtit des maisons, l’autre des meubles. L’un adore la brandade de morue, l’autre l’émincé de cabillaud. L’un est pur graulhétois, l’autre ne renie jamais ses origines gaillacoises. Pierre-Jean Pauthe et Jean-Pierre Delmas, amis dans la vraie vie, sont des inconditionnels dirigeants de leurs clubs, qui font le «classico» tarnais ce dimanche. P. J. Pauthe relève la mêlée d’entrée.
 
«Je crois que Gaillac est meilleur que nous. Ils font forte impression tous les dimanches, ils sont complets partout !». Un compliment que renvoie J.P. Delmas. «Graulhet a l’air cette saison en pleine bourre. Vu leur recrutement, soit ils ont cassé la tirelire, soit ils ont gagné à l’Euromillion. Ce serait bien pour nous qu’ils gagnent partout, sauf contre Gaillac bien sûr !».
 
On ne peut plus proches, les deux pronostiquent un score serré : 7-6 en faveur de Graulhet pour le Graulhétois, 18-15 pour Gaillac pour le Gaillacois. Avouant ne jamais se mettre à côté lors des derbys, ils sont assez proches au moment de juger la valeur des deux clubs. «Graulhet, ils sont comme nous, peut-être plus ambitieux. On arrive à être aussi c... d’un côté comme de l’autre. Notre ville, finalement, c’est le club !», lance J.P. Delmas. Ce à quoi P.J. Pauthe répond : «Graulhet a une âme, Gaillac n’est pas comme nous, c’est pas la même mentalité. On a souvent tenté de se rapprocher, mais ça freine. Bon, mais cette année, on n’a pas besoin d’eux !» Et vlan !

 
Publié le 25/09/2013 à 03:49 
 
Enorme succès de la fête du cheval
 

 
«Dimanche, en milieu d’après-midi, il fallait garer son véhicule à un kilomètre. Nous avons débité toutes les boissons de la buvette et servi plus de 400 repas à midi. D’après ce que nous avons pu voir, nous avons accueilli largement plus de 10 000 personnes». Pour Michel Viguier, membre de l’association organisatrice de la fête du cheval et bénévole à toutes les tâches ce dimanche, les chiffres annoncent un succès qu’il assure sans précédent. Une trentaine de juments se sont disputé le titre départemental de chevaux de trait suités et autant de chevaux ont été présentés sur la foire.

L’après-midi, les gradins et le tour d’enceinte étaient combles pour applaudir le spectacle et en particulier les facéties de Kalidor sur cheval, vache et vélo. Une belle fête qui devrait l’être encore davantage l’an prochain pour la 20e édition. En parallèle, dans les sous-bois de la Bousquétarié, le vide-greniers a comptabilisé 250 emplacements occupés.
 
 
Publié le 26/09/2013 à  08:23   J-C C
 
De nouveaux espaces à conquérir
 
Alexis HK se produira le 23 février à l'Auditorium. / Photo DDM. 
 
Pour changer l’image de la ville l’équipe municipale de Claude Fita a, entre autres leviers, utilisé le vecteur culturel. Aussi la programmation des évènements est-elle particulièrement choyée et étudiée par les élus avec une vingtaine de rendez-vous s’adressant à tous les publics qui seront dévoilées samedi à 17h30.
 
«Graulhet a créé de nouveaux espaces, de nouveaux bâtiments. La Culture est là pour donner sens à cela et créer du lien» explique Clotilde Bergeret, adjointe au maire à la culture.
 
Aussi la programmation investira, au delà des lieux traditionnels de l’Odéon, du Forum ou de l’Ibère familier, de nouveaux lieux. La place Jean Moulin qui a été aménagée fait partie de ces nouveaux lieux de culture en plein air. Il en va de même pour le cinéma qui va ouvrir ses portes dans quelques jours ainsi que le théâtre de verdure attenant.
 
D’autres évènements auront lieux dans les quartiers de Crins et d’En Gach, à l’image de la séance de cinéma en plein air de la fin de l’été.
 
L’autre axe fort de cette riche programmation est la place faite aux compagnies Graulhétoise. «Notre rôle, outre la diffusion, est aussi de soutenir et d’accompagner la création. Nous avons la chance d’avoir à Graulhet des compagnies et des artistes de renommée nationale et même internationale dans des domaines aussi divers que les arts de la rue ou le cinéma» rappelle Clotilde Bergeret. A côté des artistes confirmés une place de choix a aussi été offerte aux jeunes talents qui trouveront ici un espace pour s’exprimer.
 
L’ouverture de la saison aura lieu le samedi 28 septembre à partir de 17h30 place du Mercadial puis à l’Odéon.

 
Publié le 26/09/2013 à 08:24 
 
La compagnie des Grooms pour ouvrir le bal
 
La compagnie des Grooms
 
La fanfare théâtrale Las Grooms proposera ce samedi 28 septembre un spectacle intitulé «Le bonheur est dans le chant» à l’occasion de la présentation de la saison culturelle. «La mairie a cette année décidé d’organiser la «Journée du bonheur» au cours de laquelle une mesure grandeur nature va avoir lieu : une évaluation du niveau de bonheur de la commune avec à la clé une possible attribution du label «ville heureuse» explique Clotilde Bergeret, adjointe au maire en charge de la culture.

Un cortège s’organisera afin de sonder la population, d’effectuer des prélèvements et de relever l’Indice de Bonheur Urbain (IBU)... Le tout en musique et en chansons dans un spectacle plein de légèreté, de surprises et de joies partagées. Rendez-vous samedi 28 septembre dès 17h30 place du Mercadial pour ce spectacle à voir en famille.

 
Publié le 26/09/2013 à 03:52 
 
Repas «bios» servis par le GIP
 
Les écoliers sont ravis par ce repas et des animations qui vont avec. 
 
Jeudi dernier le GIP (groupement d’intérêt public) a proposé son repas mensuel «bio». Les écoliers et résidents des maisons de retraite graulhétoises ainsi que les personnes livrées à domicile se sont vu proposées au menu des concombres vinaigrette, des lasagnes avec des protéines de soja, un fromage, compote et biscuit 100% bio. «Comme le veut la tradition, lors de chaque service de menu bio, une animation est proposée sur l’un des établissements desservi par le GIP. Aujourd’hui, c’est l’école de l’Albertarié qui a bénéficié de ce dispositif» explique Francis Rodière, directeur du GIP.

Et d’ajouter : «L’intervenante, Laetitia, a expliqué aux enfants ce qu’était le bio. Ils ont fait preuve de beaucoup d’intérêt. Elle a d’ailleurs pu constater que certains mangeaient bio chez eux, mais que d’autres confondaient bio et diététique». Le terme «bio» est ici le diminutif d’’agriculture biologique, une méthode de production agricole caractérisée par l’absence d’usage de la chimie de synthèse. Cmois-ci neuf cent cinquante repas bio que le GIP a servi pour le plus grand régal de tous.


 
Publié le 27/09/2013 à 09:20 
 
Amateurs et pros ont travaillé de concert
 
Tous les choristes sur la scène de l'auditorium. 
 
La classe CHAM (Classe à horaires aménagés musique) de cinquième du collège Louis-Pasteur et des chanteurs du groupe d’hommes de l’Amicale laïque graulhétoise, le groupe Fiesta, ont travaillé, jeudi dernier, à l’Auditorium avec la compagnie «Les Grooms» qui assurera l’ouverture du spectaclesamedi 28 septembre à 17h30.
 
Serge Serafini, saxophoniste de la compagnie Les Grooms, était venu partager son expérience avec ces aficionados de musique. Ensemble, ils ont poussé la chansonnette sous la baguette de Serge.
 
Cette rencontre était aussi un beau moment intergénérationnel entre d’une part les collégiens de la classe CHAM et d’autre part les membres du groupe Fiesta.
 
Mylène Arbus, responsable de la CHAM, se réjouissait de cette expérience très enrichissante au contact d’un professionnel et les collégiens mettaient tout leur cœur à chanter juste. Quant à Michel Pouzadoux, en charge des arrangements et de la direction du groupe Fiesta, il confirmait lui aussi que cette rencontre était très instructive pour tous.
 
Rendez-vous est donc pris ce samedi 28 septembre, dès 17h30, sur place du Mercadial, pour découvrir le fruit de cette rencontre artistique.

 
Publié le 27/09/2013 à 09:20 | J-C. C.
 
La commune adopte la charte des valeurs
 
Michèle Rieux et Pascal Néel aux côtés de Claude Fita. Photo DDM, J-C C. 
 
Hier soir Pascal Néel, président de la communauté des communes et Michèle Rieux, maire de Gaillac, étaient invités au conseil municipal de Graulhet. L’ordre du jour a été chamboulé afin de leur donner la parole en début de séance pour intervenir sur la charte des valeurs de Tarn & Dadou que les conseillers municipaux étaient amenés à approuver.
«Avant de travailler ensemble, il faut s’assurer qu’on partage les mêmes valeurs. C’est pourquoi la charte est soumise à l’ensemble des conseils municipaux. Je me félicite qu’elle a été votée à l’unanimité à l’intérieur du conseil communautaire» s’est félicité Pascal Néel, le président de la plus grande communauté de communes de Midi-Pyrénées.
«Cette charte est le fruit d’une longue réflexion. Cette charte est le ciment d’un projet. Il a pu y avoir dans le passé une rivalité entre les villes et ce n’était pas évident de travailler sur un projet commun» a expliqué Michèle Rieux. «Ne restons pas chacun chez nous, essayons de travailler ensemble. On a eu un exemple sur la qualité de la collecte des ordures ménagères. C’est un succès incontestable de la mutualisation et du transfert de compétence» a souligné Claude Fita.
 
Lors des débats Anne-Marie Cabaussel a demandé comment cette charte sera expliquée aux citoyens.
 
«Faire de la pédagogie»
«J’ai conscience qu’il est compliqué d’arriver à identifier ce que fait la communauté des communes. L’approbation par les 29 conseils municipaux est un premier relai. Nous serons à l’écoute des propositions pour faire de la pédagogie» a répondu Pascal Néel.
Dans l’opposition, Sylvain Bonleux s’est quant à lui plaint directement auprès du président: «La charte définit de grands principes mais je voudrais insister sur un point. Vous parlez d’un fonctionnement transparent dans le cadre d’une démocratie participative. Je constate sur depuis le début de votre mandat les oppositions ont été systématiquement écartées» et Pascal Néel de répondre «Le législateur vous a entendus. Les oppositions seront présentes aux conseils de communauté qui sont publics. J’ai répondu aux demandes de rencontre des citoyens et elles ont aussi permis de prendre certaines décisions» a-t-il rappelé. La charte a été adoptée à la majorité, Sylvain Bonleux s’abstenant.

 
Publié le 27/09/2013 à 09:24 | G.D.
 
Fabrice Hédreville, le globe-trotter tarnais
 
Fabrice Hedreville avec le sixième maillot de sa longue carrière. /Photo DDM 
 
Depuis son arrivée dans le Tarn en provenance de la Guadeloupe puis de Strasbourg, Fabrice Hédreville a fait le tour des clubs locaux pour atterrir à Graulhet.
 
De son passage à Gaillac entre 2003 et 2006, Fabrice Hédreville garde le souvenir de deux premières saisons formidables tant au niveau sportif que relationnel. «Les mauvais souvenirs, je n’en ai pas, pour moi le rugby est un jeu et je ne m’encombre pas l’esprit avec des choses négatives», relativise le troisième ligne, éclos au rugby chez les Good-Luck de Guadeloupe, avant de jouer six ans à Strasbourg et d’arriver dans le Tarn. «Je suis parti de Gaillac car le club ne comptait plus sur moi. L’année précédant l’accession en Pro D2, je me suis blessé, et quand j’ai repris le chemin des terrains, j’ai joué avec la réserve et très peu en première. Pour l’anecdote, à l’issue de cette saison les deux équipes ont remporté le championnat».
 
Après Lavaur et Saint-Sulpice, Fabrice est arrivé en début de saison à Graulhet, à 37 ans. «J’ai rencontré le staff qui m’a proposé un projet séduisant, ambitieux et réalisable. La remise en question n’est pas une histoire d’âge, j’ai besoin de me remettre en question quotidiennement sinon je piétine. Je fonctionne à l’envie. Si cette envie est toujours là, que mes jambes sont partantes et que j’apporte quelque chose à mon équipe, la question ne se posera pas».
 
Ce dimanche, comme face à Saverdun et à Nafarroa, il jouera plein pot, c’est dans sa nature. «Si on met de la retenue dans ce sport qui est un sport de combat, on risque de se faire mal et de manquer de respect aux adversaires et aux personnes qui nous soutiennent. Donc ce dimanche, la seconde, sans retenue sera mienne».
 
Inutile de dire que le résidant de Cadalen, entre Graulhet et Gaillac, attend ce derby avec gourmandise et espère bien gagner malgré les amitiés qui le lie à ses anciens partenaires. «Oui bien sûr, j’ai gardé des amis à Gaillac, on pourra citer ceux de mon époque comme Mickaël Delmas, les frères Squassina, John Denat, Nicolas Clergue, Mickaël Clergue, Yann Gramaglia». Dimanche ils seront en face, mais lui, ne veut pas envisager la première défaite de la saison.

 
Publié le 28/09/2013 à 03:51 
 
L'objectif est atteint pour le tennis de table
 
 
 
Le Tennis de table de Graulhet a organisé une journée «portes ouvertes» à la salle de la Capelette. À cette occasion, certains ont pu découvrir les joies de la petite balle, d’autres retrouver de bonnes sensations et ont eu plaisir à affronter des joueurs expérimentés. Convivialité et bonne humeur ont participé à la réussite de cette journée où se sont retrouvées toutes les générations. Un goûter préparé par les bénévoles a suivi. Dans cette action, les membres du club ont pu compter sur le soutien de la mairie et du comité départemental. Que vous soyez débutant ou confirmé, il est encore possible de se joindre aux entraînements les lundis et mercredis, de 18 heures à 20 heures, et le vendredi, de 21 heures à 23 heures, à la salle de la Capelette. Pour tous renseignements, téléphoner à Eric Moreau, au 06 63 78 06 73.

 
Publié le 28/09/2013 à 03:53 
 
Marie-Louise fêtée par les Travailleurs retraités
 
Jeudi, Marie-Louise Cathalau a partagé le gâteau d'anniversaire avec ses deux enfants et les membres de l'association des Travailleurs retraités. /Photo DDM, G. D. 
 
Elle est loin de paraître son âge, Marie-Louise Cathalau. Ce mercredi, elle a eu 100 ans. «En gardant l’aplomb et la mémoire intacte», constate avec respect Jean Louis Vaissière, le président de l’association des Travailleurs retraités. Le lendemain de son anniversaire, les représentants de la structure ont fêté leur doyenne en activité. «J’ai travaillé toute ma vie en mégisserie, chez Moulières et Faury, confie la centenaire. D’abord à la rivière, puis à la décharneuse, au retaillage, au galetas, au piment, à la metteuse au vent, à la lisse puis au classement pour enfin finir au magasin!»

Un inventaire à la Prévert qui a valeur d’élévation sociale, mais surtout de témoignage d’une résistance hors normes pour une femme. Celle qui a toujours habité impasse des Lilas a eu deux enfants, Gisèle et Jean Luc, et compte aujourd’hui 9 petits-enfants, 9 arrière-petits-enfants et 3 arrière-arrière-petits-enfants. Soit cinq générations !

 
Publié le 29/09/2013 à 03:48   D.M.
 
De nouveaux agencements à la quincaillerie
 
L'ensemble des rayons va être réorganisé./Photo DDM
 
C’était au siècle dernier et peut-être même avant. La famille Cros créait un commerce dans le centre de Graulhet. On y trouvait de tout, de l’électroménager, des clous et des vis, des produits d’entretien. Bref, une vraie caverne d’Ali Baba. Depuis, le commerce a changé plusieurs fois de mains. Une première étape a vu l’association de deux noms, Cros et Teulet. Puis ce fut au tour des Crayol de «tenir la baraque». Le dernier droguiste-quincaillier s’appelle Pascal.
 
Pascal Marieu mène son commerce dans la droite lignée de ses prédécesseurs. «On y trouve de tout !», précise une cliente de passage. Son goût pour le contact n’est pas étranger au succès de son commerce : «Il a toujours un bon conseil !», s’exclame une autre habituée des lieux. Pour mieux servir sa clientèle, Pascal Marieu avait, voilà cinq ans déjà, entrepris l’agrandissement et la rénovation de l’espace de vente. Après avoir constaté le succès de cette modification, il se lance dans une nouvelle transformation de son magasin : «Pour le rendre toujours plus attrayant.» Ces quelques changements vont lui permettre de mieux mettre en avant une partie de son magasin. Au préalable, il fait de la place en organisant un déstockage massif jusqu’au 12 octobre.

 
Publié le 29/09/2013 à 03:50   G.D.
 
Les filles de L'Entente Graulhet Lavaur en opération séduction
 
Le sourire des filles avant le sérieux des garçons ce dimanche. /Photo DDM 
 
Ce dimanche, entre le match de l’équipe réserve et celui de l’équipe une, les spectateurs pourront voir à l’œuvre pour la première fois, les cadettes de l’entente Graulhet-Lavaur, dont la section a été créée cet été. L’occasion de voir vingt-cinq débutantes de 15 à 18 ans, sur le pré et peut-être de voir les prémices d’un rapprochement au niveau des jeunes, les deux clubs ayant apparemment du mal à trouver les effectifs cette saison.
 
Le groupe est composé de deux tiers de Graulhétoises et un tiers de Vauréennes, qui s’entraînent depuis le début du mois en alternance sur les terrains des deux villes. Les éducateurs de Graulhet sont Juliane Durand, Jérémy Raynaud, Romain Vicente. À Lavaur, Céline Soltane, Patrice Ségala. Des intervenants sont venus donner de précieux conseils : Adrien Gasc, Léo Durand et Romain Bille qui est passé ce samedi à la Jonquière, initier ces jeunes filles au jeu au pied. «Nous espérons encore licencier d’autres filles, celles qui sont là manifestent tellement d’enthousiasme, qu’elles arrivent à convaincre leurs copines de les rejoindre, de venir s’essayer au rugby. Mais déjà, le chiffre de licenciées est bien au-dessus de celui que nous envisagions et les filles apprennent vite», assure Juliane Durand.
 
Ce dimanche, après leur petit match, elles seront autour du terrain du derby pour assurer le rôle sympathique de ramasseurs de balles. Début du championnat cadettes Petit Sud à 7, mi octobre.

 
Publié le 29/09/2013 à 10:18   F.B.
 
Fédérale 2 : «On connaît très bien Gaillac»
 
Benoît Bellot et et Renaud Gély n'ont pas eu besoin de passer trop de temps à la vidéo, ils connaissent les forces et les faiblesses de Gaillac./ 
 
Le plein en deux matchs (deux victoires, 10 points), le contenu vous satisfait-il?
Dans l’état d’esprit oui, dans la finition non. On tente beaucoup, on se crée des occasions, sans les finir, on est brouillon. Mais en seconde mi-temps, on sait mettre la main sur le ballon, multiplier les temps de jeu et faire plier définitivement l’adversaire. À Naffaroa, on a franchi un cap en terme de maîtrise sur la seconde mi-temps. Si rien n’est parfait, reste que nous avons marqué six essais en deux rencontres sans en encaisser un seul. Et on s’aperçoit que les remplaçants ne lâchent rien eux non-plus.
 
Saverdun et Nafarroa, les deux promus, sont les deux équipes les plus faibles ?
Sûrement, avec peut-être Arramits. Mais l’an dernier, face aux promus, nous nous étions plantés. Ce n’est pas sûr que les autres équipes aillent faire pareil chez les Basques. Mis à part Marmande, Fleurance et surtout Gaillac, nous ne connaissons pas trop les autres équipes.
 
Une demi-douzaine de blessés. Une saine concurrence à leur retour ?
Il faudra diriger une émulation. Ce qui n’était pas forcément le cas les saisons précédentes. Mais gérer une demi-douzaine d’absences, et non des moindres, n’est pas l’idéal en début de saison.
 
Gaillac, enfin un vrai test ?
On va aborder le derby sans se mettre trop de pression supplémentaire et avec des certitudes dans le secteur de la défense et de la conquête. Nous avons emmagasiné de la confiance lors des deux premiers matchs comme au fil des trois matchs amicaux intéressants en terme de jeu. À nous de nous en servir.
 
Un match retour passionné la saison dernière. Encore dans les têtes ?
Un match passionnant et passionné, les deux équipes jouaient pour la qualification. En fait, deux rencontres serrées l’an dernier avec zéro essai et peu d’occasions. Cette fois, tout dépendra de la discipline, de la maîtrise, mais aussi et surtout de la météo.
 
Le match idéal, c’est quel scénario ?
Prendre le score et le garder. Les joueurs nous ont demandé de changer nos habitudes, de se focaliser en priorité sur notre jeu et non pas étudier celui de l’adversaire, comme nous avions tendance à le faire auparavant. Le groupe gaillacois a peu changé à l’intersaison, aussi, on connaît par cœur ses points forts et ses points faibles.
 
Le chiffre : 21
Pour Romain Bille > Au pied. L’an passé, Graulhet avait dominé Gaillac 21-13 à Noël-Pélissou. Tous les points avaient été inscrits par l’arrière Romain Bille au pied. C’est dire que les Gaillacois sont prévenus. L’indiscipline sera facturée au prix fort par l’artilleur graulhétois...

 
Publié le 30/09/2013 à 08:06 
 
Le traditionnel tournoi de volley va reprendre
 
Les inscriptions pour le tournoi débutent./Photo DDM. 
 
La commission des sports de l’Amicale laïque de Graulhet organise cette année encore son tournoi de volley-ball. Ce tournoi s’adresse à tous les adultes travaillant dans les entreprises du canton de Graulhet. Les matchs se dérouleront dans les salles de sport, les lundis, mercredis et jeudis, en soirée, de novembre à mai 2014, dans un esprit sportif, mais avant tout de convivialité.
 
Toutes les équipes d’entreprises intéressées sont priées de s’inscrire auprès du secrétariat de l’Amicale laïque, 28, rue Anatole-France à Graulhet, tél. 05 63 42 09 60, au plus tard le 4 octobre. Les équipes incomplètes (ou joueurs isolés) peuvent s’inscrire pour constituer une nouvelle équipe multi-entreprises ou en renforcer une. Les personnes intéressées sont invitées à la réunion d’information qui se tiendra le lundi 7 octobre, à 18 h 30, dans les locaux de l’Amicale, 28, rue Anatole-France.

 
Publié le 30/09/2013 à 09:09 
 
Graulhet touche encore sa Bille
 
Avec Sébastien Pagès à la manœuvre, Graulhet s'est imposé logiquement dans ce derby tarnais./Photo DDM Emilie Cayre 
 
Romain Bille, l’arrière du Sporting Graulhétois est décidément un cauchemar pour les Gaillacois. L’an passé, dans son antre de Noël Pélissou, il avait passé au pied les vingt-et-un points qui avaient permis à Graulhet de remporter la première manche du derby tarnais. Cette fois, il a fait encore plus fort puisqu’il a enquillé les vingt-neuf points qui ont fait gonfler le score dans des proportions telles que les hommes de Garrigues et Arru n’ont jamais pu s’en remettre. Six pénalités, deux drops et un essai juste avant la sirène, l’homme providentiel a fait carton plein. Mais si la victoire du Sporting n’a rien d’illogique, le score ne reflète pas forcément la physionomie de la rencontre, les Gaillacois ayant offert une opposition plus consistante que celle de l’an passé.
 
Pourtant, alors que les entraîneurs de l’UAGR craignaient un nouveau non-match, c’est bien ce qui s’est passé dans les vingt premières minutes. Battus dans les duels et indisciplinés au possible, ils écopaient d’une pénalité toutes les trois minutes au point de se retrouver avec un 12-0 dans la vue. Ils n’avaient qu’un minimum de ballons, malgré l’indigence graulhétoise en touche, symbolisée par les cinq ballons perdus sur les lancers des locaux.
 
La bonne entame de Graulhet
Et puis les Gaillacois sont progressivement entrés dans le match en mettant un peu plus d’agressivité et en insistant sur des mauls qui ont mis les Graulhétois sur le reculoir. Le rapport de forces s’est inversé, à ceci près que Calmont, le buteur visiteur, n’a décidément pas la réussite de son adversaire. C’est ainsi qu’il a laissé passer les neuf points qui auraient permis aux siens de revenir à hauteur de Graulhet à la pause (12-3).
Le sursaut gaillacois
 
Faute de réussir à concrétiser au pied, Gaillac y est parvenu grâce à son alignement alors que le Sporting était en infériorité numérique (13 contre 14). Une pénaltouche dans les 22 mètres, les pognes de Julien Régnier à la réception et le maul s’enclenche pour porter St-Cyr derrière l’en-but (44e). De la belle ouvrage. L’inquiétude se faisait jour dans les travées bien garnies de Noël Pélissou. Mais Romain Bille est entré en action, tel le sauveur. Deux drops imparables (61e et 70e) et deux pénalités (48e et 58e) ont renvoyé les Gaillacois à leurs chères études. Une réussite insolente dont les partenaires de Julien Régnier ne se relèveront pas. Et après une belle action enclenchée par Mandagaran et De Chasteignier, avortée à cinq mètres de la ligne, la défense gaillacoise a fini par craquer juste avant la sirène sur un ballon méchamment cafouillé. Et Romain Bille, qui passait par là, n’a eu qu’à aplatir. Au final, Graulhet a réglé momentanément la question de la suprématie tarnaise, mais il est encore trop tôt pour savoir si elle peut s’étendre au-delà des frontières départementales. Quant aux Gaillacois, ils ont quinze jours pour se remettre et récupérer peut-être quelques blessés. Et puis, ils ne retrouveront pas le dénommé Bille tous les week-ends en travers de leur route.
 

(Photo Christophe Fabriès)
Graulhet 29 - Gaillac 11
MT : 12-3; Arbitre : M. Vals (Pays Catalan), 2000 spectateurs
Vainqueurs : 1 E Bille (77), 2 D (61, 70), 6 P Bille (8, 11, 14, 18, 48, 58)
Vaincus : 1 E St Cyr (44), 2 P Calmont (21, 55)
GRAULHET : Bille; Codjia, J. Montbroussous (Mandagaran, 12), A. Montbroussous, De Chasteignier (Poujade, 79); (0) Sarcia, (m) Pages (Poujade, 65, Pages 79); Montels, Hedreville, Teyssier (Anglade, 63); Moulin (0. Regnier, 45), Pauthe; Kasdorf, Goulignac (Delbecq, 65), Gouveia
Cartons jaunes : Kasdorf (38, antijeu), De Chasteignier (40, bagarre)
Carton blanc : Pages (53, antijeu)
GAILLAC : Calmont (Orsi, 55); Wagner, Lalliard, Denat, Rouffiac (Leullier, 48); (0) Marin, (m) C. Vaissière (Garric, 48); Cransac (Squassina, 64), N. Clergue, Regnier (cap) (M. Vaissière, 74); Abrial, Genere; F. Gisquet (N. Clergue, 43), St Cyr (Vello, 49, St Cur, 56)), O. Gisquet.
Carton blanc : St Cyr (28e, antijeu)
Carton jaune : Wagner (40, bagarre)
 

(Photo Christophe Fabriès)

 
 
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