Du Bruc à Ricardens

Actualités octobre 2010 (2) 

Publié le 30/10/2010 03:49 | G.D.

En 3 ans, le vol à voile a doublé son nombre de pilotes 



Aux commandes, Hugo Corbillé, 15 ans et déjà 20 heures de vol, le président Françis Hache, et le chef-pilote Patrice Corbillé. /Photo DDM.G.D.

On aurait pu penser que le départ du seul salarié du club il y a 3 ans, aurait pu déstabiliser l'association tarnaise de vol à voile, la seul du Tarn, donc à la fois club et comité départemental. Il n'en a rien été, au contraire. L'implication des bénévoles dans l'optimisation des structures a permis de passer de 45 cotisants en 2007 à plus de 80 aujourd'hui. Un phénomène qui ravit le président Françis Hache venu il y a 10 ans de Haute-Marne. « Nous profitons de plusieurs effets.

D'abord, notre partenariat avec l'Ensica, l'école d'ingénieurs toulousains, et surtout notre communication à l'adresse des jeunes de 14-18 ans, qui peuvent aborder un brevet d'initiation aéronautique au sein des collèges et lycées du département.

Un contrat d'objectif qui nous lie au Conseil Général, autorise pour eux des tarifs préférentiels. Ainsi, de 1500 euros que coûte cette formation, la somme laissée à la charge de la famille n'est que de la moitié ». Cet été, le club a organisé un stage regroupant 5 jeunes avec pour objectif, le vol en solo. Deux ont été brevetés.

Moins de bruit.

Une première qui sera reconduite durant les vacances de Pâques et de l'été prochain. « C'est une mise en place de 3 ans qui aboutit. Ceci, par la volonté de nombreux passionnés » Explique Patrice Corbillé, chef pilote, l'un des 6 instructeurs. « Il ne faut pas oublier que le planeur, c'est la liberté, mais aussi les contraintes de vol, de météo, d'environnement. C'est rigueur et maîtrise de soi ». Une bonne école en somme. La réussite poussant les projets, l'association a déjà débuté les travaux d'équipement d'une salle de cours, dans les locaux prêtés par la mairie près de l'aérodrome. Elle envisage à bref délai, l'acquisition d'un simulateur de vol qui permettra l 'initiation toute l'année, et non plus 200 jours rien qu'en extérieur. Enfin, le moteur de l'avion chargé du remorquage a été équipé d'un silencieux performant.

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Publié le 29/10/2010 09:55 | J-C C.

Un avenir pour les friches industrielles 



Elus et techniciens sur le site de Bapel.

Un peu plus d'un an après la signature de son partenariat avec la municipalité, l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) a réalisé un bilan des actions engagées sur la ville en se rendant sur les friches industrielles en cours de traitement. Chaque cas, unique et complexe, demande une étude minutieuse avant d'arrêter ses devenirs potentiels.

Bien entendu la plaine de Millet et son site du futur cinéma ont été visités. Si son aménagement est désormais décidé, ceux d'autres sont actuellement en cours d'étude, tel que le site de Bapel.

Ce n'est qu'après la phase de démolition engagée qu'une étude de la dépollution du site pourra démarrer, vraisemblablement en mars prochain. « Cette opération s'inscrit dans le double objectif de changement d'image de la ville, en effaçant ses cicatrices, et d'aménagement des berges du Dadou» explique Claire Fita, adjointe au maire chargée des finances qui souligne: « Il s'agit d'un chantier de longue haleine. Modeler le visage d'une ville prend du temps». Lors de sa visité sur le site Michel Peyron, directeur régional de l'ADEME, expliquait quant à lui « On doit encore étudier le plan de financement d'ici à la fin de l'année. Cependant le contexte actuel, suite au Grenelle de l'environnement, est favorable».

Pour l'instant les premières estimations font état d'un coût entre 700.000 et 800.000 euros. Les deux partenaires de la ville, la région Midi-Pyrénées et l'ADEME ont renouvelé leur soutien.

Outre celui de Bapel, les sites des usines Gasc, Tignol, Bourdarié, Rouzière et Sudre ont été été visités.

Pour l'heure des pistes quant à leurs devenirs se dessinent. « Nous voulons montrer que le traitement des friches est possible. Le coût du mètre carré d'une friche industrielle, aménagement compris, n'est pas plus cher qu'ailleurs» déclare Claire Fita.

Cette démonstration s'adresse aux acteurs économiques pour les inciter à investir dans une ville qui compte transformer ses faiblesses véritable potentiel.

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Publié le 29/10/2010 09:55 | LaDepeche.fr

Damien Lutz voudrait imposer «la pizza tarnaise» 



Après plusieurs années passées à travailler dans la restauration rapide Damien Lutz a choisi de quitter son poste à responsabilité pour venir s'installer à Graulhet et relever un véritable défi. Le toulousain s'est installé à Graulhet, à coté du carrefour de l'Appel du 18 juin. S'il sert tous les jours des sandwiches dont on compose son menu, c'est du côté de la pizza qu'il excelle. Il a d'ailleurs participé au championnat de France, présentant une pizza spécialement créée pour l'occasion avec des légumes de saison. « Cette démarche a été appréciée par le jury. Il y avait aussi des produits du terroir, bougnette et ail rose » explique Damien Lutz. S'il n'a pas décroché une place sur le podium avec une quarantième place pour sa première prestation, il est mieux classé que nombre de candidats plus rompus à l'exercice. Le pizzaiolo graulhétois participera à l'épreuve l'an prochain, espérant convaincre cette fois un jury exigeant au milieu des dizaines d'autres prétendants au titre. Mais pour l'heure il parfait son art et sa créativité pour les amateurs graulhétois.

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Publié le 28/10/2010 08:25 | J-C C.

Six millions d'euros de travaux à l'hôpital



Danielle Guiral, directrice de l'établissement devant le chantier. /Photo DDM, J-C C.

Les travaux vont bon train dans l'ancienne maison de retraite du parc. Le déménagement de ses résidents à la Plaine de Millet a permis d'engager une réhabilitation du site qui date d'une quarantaine d'années et qui était devenu aujourd'hui obsolète. Le chantier qui a débuté en septembre dernier devrait être achevé fin 2011 pour un aménageant dans les locaux début 2012.

Cette réhabilitation concerne la partie administrative, la pharmacie, les locaux logistiques, le service d'accueil de l'hôpital graulhétois qui déménageront dans ce nouveau bâtiment. Le site comprendra en outre une unité d'hébergement renforcé de 14 lits avec 2 lits d'hébergement temporaire destiné aux personnes désorientées. « Actuellement nous disposons de tels services à l'unité des bleuets, mais si la sécurité est là, nous pourrons améliorer la qualité» confie Danielle Guiral, directrice de l'établissement. D'ores et déjà c'est le fonctionnement après l'ouverture du «nouvel» hôpital qui est étudié. Il permettra de libérer des places à Saint François et d'améliorer cet autre bâtiment dont la capacité passera de 61 à 50 lits. « La maison de retraite comporte beaucoup de chambres avec deux lits. L'objectif est d'opérer une nouvelle répartition des lits et de réaliser des aménagements à Saint François» explique Danielle Guiral.

Le coût de l'opération de réhabilitation de l'ancienne résidence du parc, futur hôpital de la ville, s'élève à six millions d'euros. Une partie di financement provient d'aides de l'Etat via des dotations exceptionnelles. Quant au reste de l'investissement, il est supporté par de l'autofinancement et de l'emprunt.

Outre la modernisation du site ces travaux permettront de voir l'arrivée d'un accueil de jour et de nouvelles compétences. Quant au devenir du site de l'ancien hôpital, rien n'a encore été arrêté.

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Publié le 27/10/2010 09:59 | G.D.

La culture dans son nouveau « château »



Brouettes de gravats, truelles, pelles et marteaux, la panoplie automnale du parfait figurant acteur de l'Acpg. /DDM.G.D.

A partir du 11 novembre, l'Association culturelle du pays graulhétois va entamer son déménagement. Elle va quitter l'ancienne usine Bapel de la rue Saint-Jean, appelée à être démolie dans la foulée, pour une autre mégisserie, ou plutôt lainerie à la Ventenayé.

Un local rendu tristement célèbre pour avoir abrité durant quelques mois un dépôt illicite de pneus usagés, et que la mairie vient de mettre au service de l'association. Une enveloppe de subvention de 8 000 euros a été allouée pour permettre l'achat de matériel, les travaux revenant à charge de l'Acpg. «Nous avons la chance de disposer de bâtiments dont la structure est saine et hors d'eau. Ils sont actuellement aux quatre vents et les bénévoles s'emploient à réaliser le plus urgent pour aménager et permettre d'agencer puis de stocker rapidement », assure le président Alain Huc. Bureaux, salles de réunions, de stockage, de costumes, de couture, mais aussi de répétition sont en cours. « Nous allons passer d'à peine 700 m2 à Saint-Jean, à plus de 1 400 m2 ici. Une salle à l'étage de plus de 200 m2 va nous permettre de répéter les danses et les scènes fixes de notre prochain spectacle, dès cet hiver. Ce qui n'était as le cas auparavant ».

Souvenirs d'écoles

Depuis septembre, des bénévoles de l'association ont entrepris les démolitions et les travaux de maçonnerie. « C'est aussi un acte de valorisation du patrimoine local », tient à préciser le vice-président Françis Auriol.

Déjà, les carrosses, les caisses de stockage, les décors ont pu être déménagés, la plupart étaient stockés chez des particuliers.

Courant novembre, les portants de centaines de costumes dont certains sont des pièces uniques cousues par les petites mains de l'Acpg, seront transférés dans ce nouveau « château » qui donnera un atout supplémentaire à un spectacle qui a rassemblé près de 3000 personnes dans les gradins de la Bousquétarié en 2010, et dont la nouvelle affiche « souvenirs d'école » sera jouée en 3 représentations, en juillet 2011.

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Publié le 27/10/2010 09:59 | G.D

Un Choc des Titans à la hauteur



Les deux boxeurs du combat phare avec les organisateurs.
 

Réussite pour la première édition du Choc des Titans. Il s'agissait de 12 combats de K-1 (discipline de sport de combat pieds-poings située entre la boxe française et la boxe thaï), pour lesquels les filles n'étaient pas en reste puisqu'il y avait 2 combats féminins.

Cette manifestation coordonnée par le Boxing Savate Graulhet et son président El Hiamine Mansouri a remporté un franc succès auprès des quelques 800 spectateurs présents au Complexe Robert Primault. La présence d'un public très hétéroclite a été très remarquée : on est venu au Choc des Titans en famille, en couple ou entre amis… de Bordeaux, de Marseille, de Lyon, de Toulouse et de tout le grand sud. Une majorité de graulhétois avait aussi fait le pari d'un grand évènement sportif dans une ville dont la spécialité est le rugby. Pas facile donc d'imposer les sports de combat ici mais de mémoire de graulhétois, on n'avait pas vu de spectacle aussi époustouflant depuis le Tournoi de la Méditerranée en 2006. La salle Robert Primault s'enflammait (au propre comme au figuré) à l'apparition de nos boxeurs locaux. Seuls Fouad Mejdoub et Maeva Hamadouch ont remporté leur combat respectif mais les autres licenciés du club n'ont pas démérité : Bilel Mansouri, Mourad El Bahri, Nicolas Thénégal ont quitté le ring la tête haute. L'affrontement phare du gala impliquait les deux boxeurs les plus titrés de la soirée et a vu la victoire aux points du célèbre bordelais Aziz Hlalisur le non moins connu Modibo Diarra au terme d'un combat difficile et acharné. Le spectacle fut total lorsque le vainqueur a pris dans ses bras son adversaire et l'a soulevé après le rendu de la décision des juges. Ce sont ces valeurs de respect et de fraternité que le Boxing Savate Graulhet souhaitait mettre en lumière lors de cette soirée. D'ores et déjà, le club donne rendez-vous à tous pour la deuxième édition du Choc des Titans qui aura lieu en 2011.

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Publié le 26/10/2010 08:21 | LaDepeche.fr

"Chèques carburant" pour les travailleurs



Philippe Gonzalez se réjouit de voir le projet se mettre en oeuvre.

S'il est rare qu'une décision fasse l'unanimité, le projet de « chèque carburant « a séduit majorité et opposition autour de la table de travail du CCAS. Le centre communal d'action sociale vient d'adopter une mesure qui va permettre aux graulhetois travaillant hors de leur commune de résidence de moins souffrir du coût des transports.

« L'aide aux transports souhaitée par le CCAS de Graulhet via les « chèques carburant » sera en vigueur fin octobre. C'est la concrétisation d'une promesse de campagne » souligne Philippe Gonzalez, adjoint au maire chargé des affaires sociales. L'octroi de ces chèques de 40 euros à valoir dans les stations services adhérant à l'association « chèque déjeuner » repose sur deux critères d'attribution : Des conditions liées à l'activité (toute personne qui travaille au-delà de 12 km du domicile sur la base du calcul parcours le plus court dans un secteur qui n'est pas desservi par Tarn Bus) et des conditions de ressources (1185 euros pour une personne seule, 1450 euros pour une personne seule avec un enfant, 1600 euros pour une personne seule avec deux enfants et 50 euros par enfant au-delà , 1806 euros pour un couple sans enfant, 2006 euros pour un couple avec un enfant et 2108 euros pour un couple avec deux enfants (50 euros par enfant au-delà. Seul le salaire est pris en compte dans le calcul des ressources pour l'octroi de cette aide.

« Il s'agit d'un chèque d'accompagnement personnalisé, d'un montant de 40 euros. La fréquence étant de un chèque par mois pour des parcours de plus de 35 km et un chèque tous les deux mois pour des parcours compris entre 12 et 35 km. Cette aide sera attribuée pour une période de 6 mois », précise Philippe Gonzalez. L'adjoint se réjouit de la mise ne place de cet outil : « La vocation des chèques transport est vraiment d'encourager les gens à travailler tout en continuant à habiter sur Graulhet ».

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Publié le 25/10/2010 10:00 | G.D.

Fédérale 1 : Graulhet s'enfonce encore un peu plus



Les Graulhétois sont en fâcheuse posture après cette deuxième défaite à domicile./Photo DDM Emilie Cayre  

Graulhet- Aubenas 24-25

Remporter enfin une première victoire. Le devoir des Graulhétois était des plus élémentaires et urgents. Sous la pluie continue, le début de match s'est situé dans un duel de buteurs, Gratton répondant à Gardener. Les Ardéchois, solides devant, ont choisi de jouer dans l'axe, assurant les trajectoires que les Graulhétois, mal inspirés dans le jeu au pied, ont préféré tenter derrière. Une première demi-heure sans grand relief, chacun ses ballons, chacun ses petits temps fort, avec peu d'occasions de le porter derrière le ligne.

Au fil des minutes, ballon et terrain glissant ont semblé réduire les prises de risques. L'arrière visiteur donnait avant la pause l'avantage aux siens, sur pénalité, juste après que celle bottée par Gratton ait heurté le poteau pour revenir en jeu. Avec trois points de retard à la mi-temps, les locaux pouvaient constater tout l'effort restant à accomplir pour battre cette coriace équipe.

Le doute s'installe.

A la reprise, sous l'averse, Gratton passait un drop de loin, Gardener répondait sans trembler sur pénalité. L'ouvreur graulhétois revenait dans les points aussitôt redistancé par son rival. La trame à suivre se tissait par les seuls buteurs.

Aubenas marque un essai à quatorze

Après l'égalisation de Gratton, Aubenas, jouant pourtant à quatorze, marquait le premier essai du match sur un ballon échappé par l'attaque locale et joué au pied par Abbad puis repris par le centre Verot.

A dix minutes de la fin, Graulhet tentait la réaction dans le sillage de Rioux passé capitaine. Les hommes de Plataret se multipliaient en défense, jouant de petites ficelles pour faire durer le plaisir.

Sans vraiment l'avoir incontestablement mérité, la victoire leur revenait, récompensant un intense travail en défense au final. Les Graulhétois vont maintenant jouer pour éviter la descente, mais surtout avoir à gérer quinze jours de doute avant le déplacement à Grasse.

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Publié le 23/10/2010 03:51 | G.D.

Le bridge club renouvelle ses idées



Le nouveau bureau autour du nouveau président J.M. Thomas.

Ouvrir les tables de bridge aux jeunes et les portes de la salle de la place Bosquet à de nouveaux adhérents, telles sont les priorités du nouveau bureau du bridge-club présidé par J. Marc Thomas. Pour celà, les dirigeants sont prêts à donner bénévolement des cours d'initiation aux débutants. A ce jour, le club compte une quarantaine de licenciés et une quinzaine de sympathisants. «Il reste de la place». Assure J.M. Thomas, heureux de compter 6 nouveaux membres siégeant au conseil d'administration. «Il faut ici saluer le travail effectué par Josette Vaissière, M. Thérèse Cabrit et Lily Brez, les trois démissionnaires, et remercier l'ancien président Robert Rolland qui a accepté de reprendre le poste de trésorier et apporter son savoir à toute l'équipe. Un conseil d'administration qui a inscrit chacun de ses membres à la tête d'une des diverses commissions». Le bureau peut ainsi compter, avec Rosy Brieussel, Christiane et Gérard Sogno, Bernard Bouyssière ou Gérard Blériot, sur des dirigeants d'expérience.

Tournois de convivialité.

Un club qui sera comme chaque année, bien représenté aux compétitions du Comité des Pyrénées, cette fois à Labège. En plus des tournois de régularité ou des rencontres comptant pour les attributions de points au tournoi principal du Roy René, le bridge-club a décidé, afin de renforcer encore les liens, de mettre en place un tournoi de la convivialité, mi-ludique mi-festif, tous les deniers lundis de chaque mois. Une initiative doublée d'un appel du pied aux clubs voisins. «Nous comptons sur leur venue le samedi après-midi à Graulhet, histoire de parfaire les échanges entre sociétés et idées». Pour rendre la politesse, le bridge club a mis en place un système de covoiturage les derniers jeudis et vendredis du mois, pour aller jouer à Lavaur ou Gaillac.

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Publié le 23/10/2010 13:39 | LaDepeche.fr

Halloween sur la ville


Mercredi après midi, 200 enfants des maisons de l'enfance de l'amicale laïque ont animé le centre-ville sur le thème d' Halloween. Déguisés et grimés, ils ont du rechercher chez les commerçants, les pièces d'un puzzle formant une formule magique rédigée par Patricia Saletti et son équipe. Une fois complet, sa lecture a permis de transformer le fantome du Jourdain en blanc pigeon. Après qui, les sorcières et les diables ont partagé le goûter. A la Courbe, les 60 petits des centers de loisirs maternels municipaux, ont eu droit à une balade en contes, conduits par l'équipe de Katia Nespoulous.

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Publié le 22/10/2010 09:38 | LaDepeche.fr

La ville future capitale du foot tarnais



Claude Fita et Raphaël Carrus viennent de présenter ce projet d'envergure.

Raphaël Carrus, président du District du Tarn de football vient de confirmer que l'organisme va déménager à Graulhet. « Graulhet est un emplacement stratégique pour nous : de par sa situation géographique, centrale sur le Tarn, de par ses équipements tels que le Forum, l'auditorium, ou le Foyer Léo Lagrange et de par ses terrains sur le site de la Jonquière. Venir sur Graulhet c'est se repositionner sur le département », confie Raphaël Carrus, président du District du Tarn de Football.

Et d'ajouter : « Lorsque nous avons lancé un appel auprès des communes en vue de la construction des nouveaux locaux du district, la ville de Graulhet a répondu favorablement et a proposé de nous octroyer un terrain à proximité de la plaine des sports de la Jonquière. Cette proposition était fort intéressante pour notre comité ».

Un projet de 950000 euros

Le plan de financement est aujourd'hui quasiment bouclé. Les 110 clubs tarnais adhèrent à ce projet. Quant à Claude Fita, maire de la ville, il se réjouit de ce projet : « La venue du District du Tarn de football à Graulhet est pour nous une belle opportunité. C'est la preuve que notre ville change, que Graulhet rayonne de nouveau à l'échelle départementale ». Raphaël Carrus venu sur site assurait : « Je mettrai tout en œuvre pour que ce projet de construction des nouveaux locaux du District aboutisse et surtout qu'il voit le jour à Graulhet ».

Concrètement l'arrivée du District du Tarn de Foot c'est la construction d'un bâtiment de 570m² qui se déclinera entre un hall d'accueil, deux grandes salles de formation, un secrétariat, des bureaux pour les différentes commissions, les bureaux de la direction, ceux des techniciens et enfin diverses pièces de stockage et les sanitaires. Le chantier pourrait débuter d'ici la fin du premier semestre 2011.

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Publié le 21/10/2010 10:20 | J-C C.

Délinquance: des chiffres sans appel
 

Les derniers résultats publiés par la Documentation Française feront-ils évoluer la perception de la ville sur la sécurité ? Graulhet y est classée quatrième ville la plus sûre de Midi-Pyrénées dans son rapport annuel sur les faits de délinquance en 2009 avec 52,7 faits constatés pour 1000 habitants.

En 2010, les chiffres fournis par les services de Police confirment et accentuent cette tendance. Sur un an, alors qu'à Albi (+35.8%), Castres (+31.65%) et Mazamet (+4.65%), le nombre de cambriolages augmente fortement, à Graulhet - avec 37 cambriolages - la baisse est de l'ordre de 25%.

Le dispositif mis en œuvre par le Commandant Fourès n'est sans doute pas étranger à ce résultat. « La cellule cambriolage et stupéfiant a permis de dissuader les délinquants et de protéger les habitations et les propriétaires. D'ailleurs, le taux d'élucidation de 44% alors que la moyenne nationale est de 19,5% est bien le signe de la pertinence de ce dispositif» souligne-t-il. Hors fait lié à l'activité des services de Police (IRAS), la baisse constatée grimpe à 12%. Dans le détail, hormis les cambriolages, les violences constatées ont baissé de 22%, les vols à la roulotte de 29,2%, les vols de cyclos de 50% et ceux de véhicules automobiles de 31,25%.

Le point noir des dégradations

Le seul bémol est le nombre de faits constatés concernant les dégradations volontaires qui ont progressé de 28%. Cette catégorie, qui regroupe notamment les incendies de voitures du début d'année, a progressé du fait d'individus mal intentionnés qui ont été interpellés. Aussi, jusqu'à il y a quelques jours, les voitures graulhétoises n'avaient plus été victimes de dégradations. Ces résultats en nette amélioration devront être confirmés par la nouvelle gendarmerie. Faire au moins aussi bien sera sans doute leur principal objectif. Quant au « sentiment « s'insécurité, qui n'est pas en adéquation avec les faits constatés, il sera sans doute plus long à combattre.

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Publié le 21/10/2010 10:20 | LaDepeche.fr

Commandant Alain Fourès : «la mobilisation de tous les partenaires, fait baisser la délinquance»


Le commandant Alain Fourès est aujourd'hui le chef de circonscription. Depuis sont arrivée il a notamment mis en place l'unité « cambriolages et stupéfiants» et modifié l'organisation du commissariat.

Selon vous quelles sont les raisons de ce recul de la délinquance ?

Il n'y a pas de recette miracle. Cette baisse, outre l'activité propre de la Police, repose sur plusieurs piliers à commencer par la mobilisation de tous les partenaires autour du maire, dans le cadre du Comité Local de Prévention de la Délinquance, le CLSPD, qui permet de faire circuler l'information et de produire une stratégie cohérente entre les acteurs, l'Education Nationale, les services sociaux ou le tissu associatif. Il faut savoir que la cellule de veille de prévention se réunit au moins tous les mois. Cette réactivité est le gage de l'efficacité.

Quel travail a-t-il été réalisé dans les espaces publics ?

Avec la ville, nous avons travaillé à reconquérir l'espace public : une fourrière de véhicules pour évacuer les épaves, une fourrière animale pour les chiens errants et une concertation pour prendre en compte la dimension sécurité dans l'aménagement des espaces publics. Un travail de fond a été réalisé sur la réhabilitation d'En Gach ainsi qu'un aménagement de la voirie pour éviter les cloisonnements. Il n'y a pas de quartiers mais une ville.

Vous évoquez souvent le lien « police - population «. Comment définiriez-vous cette notion ?

Par une meilleure prise en compte des victimes, nous avons travaillé sur le lien de confiance avec la population : mise en relation avec les associations d'aide aux victimes, présence ciblée sur le terrain et action continue de Police-Secours. Au final, la dimension globale de la sécurité des concitoyens doit être appréhendée. Le partenariat et la mobilisation de tous sont les raisons de ces bons résultats.

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Publié le 20/10/2010 09:37 | Recueilli par G.D.

SCG : «de nombreux projets sur le feu»


Le président Pierre cathalau tire un premier bilan du club en ce début de saison et au lendemain des fêtes du centenaire.

 

Quel bilan tirez-vous des fêtes du centenaire?

«Il est globalement très positif. L'occasion aura été unique de réunir de nombreux anciens joueurs. Nous avons eu des échos très favorables quant à l'organisation de l'événement et des compliments à l'adresse des bénévoles qui s'y sont investis. Une orgainsation qui a aussi permis de mobiliser beaucoup de jeunes. C'est un engagement à poursuivre le travail à tous les niveaux»

Si c'était à refaire?

«Dans 100 ans? Peut-être faudra-t-il alors aborder les différentes actions à mener dans le cadre de l'événement, en sollicitant les services d'un «conducteur de travaux». La démarche sera ainsi orchestrée dans une intention fédératrice au plus large sens du terme»

Quel avenir, demain?

«Nous y sommes déjà. De nombreux projets sont sur le feu. Notamment, la rencontre internationale du 18 mars dans nos futures nouvelles installations du stade N. Pélissou. Comme nous l'avons déjà dit, le SCG fait partie d'un tout au sein d e notre commune. Si chacunn des différents acteurs concernés par le devenir du club, tient ferme ses engagements. Gageons que l'avenir ne sera pas comme la queue du lézard... qui vous reste dans les doigts.»

Et le classement de l'équipe 1 en fin de poule?

«A Blagnac nous avons retrouvé le vrai Graulhet avec l'envie des saisons précédentes. Des joueurs de premier plan retrovent leur niveau, les nouveaux y sont déjà. Ce match aura été le déclic, malgré la défaite. Cette poule de 12, heureusement, laisse un délai plus long pour réagir.»

Ou en est-on de la création de la Sasp?

«Ce jeudi, les dirigeants du club reçoivent une avocate fiscaliste parisienne. Elle répondra à toutes les questions sur la pertinence de la création d'une société anonyme sportive et professionnelle au sein du club. La décisions sera prise dans les jours qui suivront».

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Publié le 20/10/2010 09:37 | LaDepeche.fr

La Courbe ouvre ses portes pour les vacances


Durant les vacances de Toussaint, les enfants de 6 à 12 ans peuvent être accueillis par l'amicale laïque à la Courbe. Au programme, validé par Corinne Giani la directrice du déjour et son adjoint Hackym Khattou, des inédits et des classiques. Au rayon des nouveautés, les petits chevaux à pédale, ou la course de push cars. Côté classiques, la sortie au zoo, l'animation cirque, le tournoi de ping pong et pour finir la méga boum du mercredi avant la rentrée. Les enfants peuvent venir à la Courbe à la demie ou à la journée. Une rotation de bus permet le ramassage dans divers endroits de la ville.

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Publié le 19/10/2010 09:16 | J-C C

Régie de territoire : l'Agora prend vie


Les partenaires, Etat, Conseil général et municipalité, ont visité la régie au cours son inauguration. /Photo DDM, J-C C 

C'est plusieurs mois après le début de son activité que la régie de territoire du graulhétois vient d'être inaugurée. Avec sept permanents et quarante-deux personnes salariées, la structure a d'ores et déjà rempli une partie de ses objectifs. Mais outre le rôle de passerelle vers le monde du travail, l'autre axe de travail de la structure est le lien social qu'elle permet de créer au sein du territoire.

« La solidarité nationale s'exerce là pour tourner la page du déclin qui a marqué les mentalités. La création de la régie de territoire souligne la vive détermination avec la ville s'est engagée. C'est le début d'une reconstruction » a souligné Colin Miège, nouveau sous-préfet de Castres qui effectuait là une de ses premières sorties. Thierry Carcenac, président du conseil général du Tarn, Eric Routier, déléguée de la Préfète, Claude Fita, maire de la ville et Pascal Pautrot, président de l'Agora (Association graulhétoise pour l'organisation d'un réseau actif) ont tour à tour expliqué l'importance et le fonctionnement de la régie portée par des habitants fortement impliqué par le projet. En effet, si les élus et les bailleurs sociaux constituent les trois premiers collèges, les habitants constituent le troisième pilier de la structure.

Aujourd'hui quarante-deux personnes ont un emploi grâce à la régie de territoire. Elles sont surtout accompagnées de façon individuelle dans leur parcours. Après cinq mois d'activité, la régie de territoire entre dans une phase de labellisation qui lui permettra de rejoindre les 140 régies françaises au sein du CNLQR (comité national de liaison des régies de quartiers). En effet les termes de « Régies de quartier » et de « Régies de territoire » sont propriétés du CNLRQ et relèvent d'une procédure de labellisation. Un expert désigné par cet organisme devra mesurer les écarts entre mise en œuvre concrète du projet et les dispositions de la Charte des Régies de quartier pour lui octroyer le label.

Page réalisée à partir du site :

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