Du Bruc à Ricardens

Actualités novembre 2010 (1)

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Publié le 15/11/2010 03:51 | LaDepeche.fr

Briatexte : Une cérémonie émouvante


Les conseillers municipaux jeunes ont lu un message de l'UFAC  

Alain Glade, 1er adjoint, avait déposé la gerbe de la Municipalité. Les enfants, petits, ont ensuite déposé des fleurs sur le monument aux Morts, suivant une charmante habitude qui impliquent les jeunes générations. Ce sont ensuite quelques membres du conseil municipal jeunes qui ont lu le message de l'UFAC, l'union français des anciens combattants. Puis Bernard Bacabe a énoncé le texte du secrétaire d'état aux anciens combattants Hubert Falco dont on pourrait tirer une idée selon laquelle « on l'appelle la grande guerre non pour magnifier son souvenir mais pour souligner son ampleur ». Après la minute de silence et la Marseillaise a eu lieu une remise de diplômes : le « Diplôme d'honneur aux combattants de l'armée française ». Ce moment est toujours émouvant, et plus encore cette année car un des récompensés n'était autre que Mr Bacabe le père du Maire nouvellement domicilié à Briatexte, Mr Liotard a également été distingué. Une délégation municipale doit se rendre ce samedi pour remettre leur diplôme à Mr Davy et Mr Dellac qui étaient dans l'impossibilité de se déplacer. DM-

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Publié le 14/11/2010 03:48 | LaDepeche.fr

Le message de paix du 11 novembre


L'arrivée du cortège au monument aux morts. DDM.G.D.

Les cérémonies du 11 novembre se sont déroulées sous le soleil. Introduits par les hymnes de l'orchestre de batterie fanfare, les dépôts de gerbes par la municipalité et les associations participantes, ont fleuri le monument aux morts, le caveau des maquisards et la stèle à la mémoire des combattants tombés sur les théâtres de batailles lointaines. Robert Couzinié, pour l'Union Fédérale des anciens combattants s'est exprimé en premier. « De la grande guerre, bientôt centenaire, il ne reste que des documents, témoins à charge précieux de la brutalité de cet affrontement. Il faut agir avec persévérance pour la paix! » Le maire Claude Fita lui a succédé au micro, au milieu des porte-drapeaux en lisant le message d'Hubert Falco, secrétaire d'Etat aux Anciens Combattants.»Le 11 novembre est désormais une date qui incarne l'espérance européenne et la réconciliation franco-allemande ». Avant d'y aller d'un message plus personnel. « Le 11 novembre honore nos morts. A Graulhet tout particulièrement, nous pensons à nos soldats en guerre dans différents pays du monde, aux journalistes enlevés, aux martyrs de Bagdad. La haine, pour différentes raisons, existe. A nous d'être des messagers de paix. Enrichissons-nous de nos différences, reconnaissons-nous mutuellement! »

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Publié le 13/11/2010 12:19 | LaDepeche.fr

Excellente saison pour les vététistes


Les vététistes graulhétois à l'honneur départemantal. /Photo DDM

La saison VTT 2010 est achevée, les jeunes du club de Graulhet ont particulièrement participé aux différentes épreuves des jeunes vététistes organisées dans la région par les clubs de Lectoure, Castelsarrasin, Cahors, Millau, Lourdes, val d'Azun, Brassac, et bien évidemment Graulhet. Ils ont rivalisé avec des jeunes de Midi-pyrénées sur des épreuves de cross country, trial, descente et orientation. « Nous avons toujours eu environ une douzaine de jeunes présents sur les différentes compétitions » affirme Béatrice Béllière ,présidente du Club. « Si les jeunes sont présents , c'est grâce aux parents qui accompagnent leurs enfants dans les déplacements » ,complète-t-elle.

De très bons résultats ont été obtenus par ces jeunes vététistes . Le 16 octobre lors de la cérémonie de remise des trophées organisée par le comité de cyclisme de Midi-Pyrénées les 3 meilleurs de chaque catégorie ont été félicités et ont reçu leur trophée ,parmi eux de nombreux graulhétois :

Raysseguier Lucie 1°, Noémie Rolland 3° pour les pupilles.

Colin Guillaume 2°, Bardou Clément 3° à égalité avec Fabre Benjamin pour la catégorie benjamin. Pour les minimes : Boutié Benjamin 1° et Hudrisier Cyprien : 2° .

Fabre Ludovic 2°pour les cadets. Le 6 novembre à Albi lors de la cérémonie de remise des trophées organisée par le comité du Tarn ,ce sont les 10 premiers de chaque catégorie qui ont été appelés à recevoir leur récompense : 20 jeunes graulhétois étaient à l'honneur.

Le club de Graulhet remporte d'ailleurs à cette occasion le trophée du Tarn par équipe devant, les clubs de Brassac et d'Albi. Les résultats obtenus par ces jeunes sont le fruit de leur passion pour leur sport et viennent encourager les entraîneurs du club qui, simples bénévoles s'investissent pour que ces jeunes puissent pleinement se réaliser dans un sport qui ne cesse de se développer : le VTT .

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Publié le 12/11/2010 08:48 | J-C C.

Commissariat : le calendrier du départ


Le départ des policiers avait suscité plusieurs manifestations en ville.

Le conseil municipal, lors de sa dernière réunion, a donné à l'unanimité un avis favorable au transfert de la circonscription de sécurité publique de Graulhet de la zone de compétence de la police nationale à celle de la gendarmerie. « A défaut de validation par l'assemblée, le transfert serait opéré par décret en Conseil d'Etat. Ce qui nous posait problème, c'est le caractère humain de la décision avec 40 familles qui vont quitter la ville» a expliqué Claude Fita, maire de la ville, aux conseillers municipaux, précisant que « On était obligé. J'ai demandé des garanties à madame la Préfète. Nous avons obtenu que demain la gendarmerie assure les mêmes missions. On a été très ferme».

C'est par un courrier du 15 juin dernier que le ministre de l'intérieur a informé Mme la Préfète du Tarn du transfert. Après un entretien le 16 juillet Claude Fita lui a fait part des vives préoccupations de la municipalité et a souhaité obtenir des garanties «clairement et préalablement exprimées» quant aux modalités de ce transfert. La direction générale de la police nationale s'est déplacée à Graulhet le 22 septembre. Durant la réunion qui s'est tenue en mairie le maire a confirmé la nécessité de « mettre en œuvre des moyens étendus et réactifs en vue du maintien par l'Etat d'un service public de sécurité de qualité sur le territoire «. Dans un courrier adressé par la Préfète du Tarn le 25 octobre, les éléments constitutifs de ce service public ont été validés dans le détail. « Il y aura un commandement sur place, les forces de l'ordre seront disponibles sept jours sur sept, 24 heures sur 24. Il y aura une patrouille qui tourne la nuit, une participation active au CLSPD qui deviendra cantonal»,a déclaré Claude Fita.

Trente cinq fonctionnaires seront affectés à Graulhet et deux de la brigade de recherche de Castres. L'implantation commencera dès le printemps 2011 pour une mise en place au premier août. L'installation provisoire fera l'objet d'une étude comparative.

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Publié le 11/11/2010 11:41 | Jean-Claude Clerc

138 pages sur les plasticiens volants


Le spectacle "Pêcheur de lune" à Montréal. / Photo Stefen Fusse.

Il est loin le temps où les Plasticiens volants étaient délogés par les CRS d'une usine occupée à Paris. Il est loin le temps où, après une escapade dans le Tarn la poignée d'artistes décidait de s'y installer, attirée par une nouvelle qualité de vie. Aujourd'hui c'est une trentaine de personnes qui travaillent dans une compagnie qui se produit aux quatre coins du monde. Des jeux olympiques de Barcelone à Sydney en passant par la Chine gonflables, marionnettes, comédiens manipulateurs ont ému des spectateurs enchantés. L'ouvrage « De nos rêves, occupons le ciel » retrace l'histoire de cette fantastique aventure humaine qui se poursuit depuis une dizaine d'années à l'usine de l'émancipation de Graulhet.

En 138 pages l'ouvrage livre des témoignages de celles et ceux qui ont participé à cette aventure mais aussi de spectateurs ou de personnes qui ont choix de faire venir la compagnie parfois à l'autre bout du monde, demandant une logistique impressionnante. « Tout doit être calculé, pesé, les gonflables et les structures doivent voyager en train, en avion ou en bateau « explique Marc Miralès, un des fondateurs de cette incroyable aventure, de ce véritable succès. Les Plasticiens volants sont tout simplement aujourd'hui les premiers consommateurs d'hélium de France.

Au fil des rencontres l'équipe s'enrichit de talents divers. « Les personnes viennent de toute la région, principalement du Tarn. Certaines étaient déjà comédiennes, d'autres avaient d'autres savoir-faire « explique Marc Miralès. De la conduite de camions à la réalisation des repas en passant par la comptabilité, c'est toute une logistique complexe qui est indispensable à la compagnie. Au delà de l'événementiel et de l'artistique, c'est aussi l'humain qui est au cœur de cette aventure. Au fil des 35 ans d'existence, ce qui marque le plus, outre le fait de relever des paris un peu fous, est aussi l'incroyable richesse des rencontres réalisées tout autour de la planète.

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Publié le 11/11/2010 11:42 | LaDepeche.fr

Plasticiens : Un ouvrage 100% local

Pour relater cette aventure un livre en deux dimension ne suffisait pas. Aussi c'est de nombreuses surprises qui attendent les lecteurs de l'ouvrage. « Nous avons travaillé avec l'imprimerie Escourbiac de Graulhet, Comptoir emploi 81 et les outils de BFM. Tout a été réalisé grâce à des compétences et des talents locaux « se félicite Marc Miralès. Somptueuses photographies et témoignages poignants se succèdent au fil de pages retraçant des événements époustouflants. Pour présenter ce travail une opération est programmée dans neuf médiathèques du Pays. De décembre à février expositions et rencontres avant les artistes seront proposés au public. Avant cela une série de séances de signatures accompagnera la sortie de l'ouvrage. La première aura lieu ce vendredi 12 novembre à 18h30 à l'office de tourisme de Graulhet. Le lendemain une nouvelle se déroulera de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 17 heures à la médiathèque de Lavaur puis le mardi 23 novembre à 19 heures à l'Athanor d'Albi, le vendredi 26 novembre à 19 heures au café Plum de Lautrec et enfin le jeudi 2 décembre à 18 heures à la médiathèque José Cabanis de Toulouse.

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Publié le 10/11/2010 10:06 | G.D

Les Restos du cœur préparent leur ouverture

Une partie des bénévoles lors de la réunion de préparation.

Le groupe des bénévoles des Restos du Cœur de Graulhet se sont retrouvés pour préparer la campagne d'hiver qui va débuter. Si quelques anciens comme Simone Vénès et Nadine Mauriès que l'association remercie pour leur précieuse collaboration, ont laissé leur place, quelques nouveaux bénévoles les ont remplacé en attendant que d'autres bonnes volontés se manifestent. Mais le groupe, autour du «noyau dur» de ceux qui perpétuent l'œuvre de Coluche, est solide. L'un des sujest à l'ordre du jour abordé au cours de la réunion, était celui de l'inscription des bénéficiaires, pour lesquelles, dates et modalités ont été définies. Les inscriptions débuteront donc le jeudi 18 novembre et se poursuivront tous les après-midi de 13h 30 à 17 heures, jusqu'au vendredi 26 novembre. Hausse des bénficiaires envisagée.

«Pour éviter les temps d'attente trop longs, il est vivement conseillé aux candidats à l'inscription de prendre rendez-vous et de se faire préciser la liste des documents à présenter, soit par téléphone, au 05 63 34 77 43 ou en passant au local de la place des Tanneurs, le 16 novembre au matin ou à partir du jeudi 18 novembre» tiennent à préciser les responsables autour du Jacques Desert.

Les distributions dont la première est annoncée pour le mardi 30 novembre, seront assurées chaque mardi matin jusqu'à fin mars 2011. Lors de la précédente campagne, les Restos graulhétois ont pourvu aux besoins de près de 200 familles soit près de 480 bénéficiaires. Des chiffres pratiquement identiques à ceux de l'année d'avant, avec une arrivée en masse de familles monoparentales et de jeunes. «Une hausse globale est envisagée pour la campagne qui va débuter» déplore un brin fataliste, Edmond Sabatier, bénévole de la première heure et ancien responsable de l'antenne locale.

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Publié le 09/11/2010 09:35 | LaDepeche.fr

La Far change de président et de bureau


Robert Bourges a été le premier président-fondateur de la Fédération des Artistes Régionaux, il y a un an et 3 mois. L'artiste pientre vient de céder son poste à un photographe, Claude Ribes. Il sera secondé par Monique Fita à la vice-présidence, Josette Toupance aidée par Paco Salamander au secrétariat, et Anne Marie Jardry aidée par Mike Milleville à la trésorerie. En fait, deux candidats s'étaient présentés pour la place de président, Claude Ribes et Monique Camelin, le premier ayant été élu à bulletin secret et à l'unanimité. «Cette double candidature, c'est le signe du dynamisme de notre association». Y voit Robert Bourges. «Je suis de ceux qui pensent qu'il faut du renouvellement, qu'il faut créer et savoir passer la main. Il ne faut pas empêcher les idées nouvelles de s'épanouir. Le changement empêche la sclérose». La Far compte aujourd'hui 82 adhérents et quatre régies. La salle de cours régie par Maurice Monzat, la salle d'expo et l'atelier régis par Jacques Mariette, la communication autour de Lucie Bourges et les activités dirigées par Geneviève Ribes.

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Publié le 08/11/2010 10:59 | G.D.

La boutique Boy and Girl cambriolée


Hier matin, jour de marché,les curieux étaient nombreux à s'arrêter devant la boutique Boy and Girl. /DM.G.D. 
 

C'est la propriétaire Lysiane Bellot qui a découvert le cambriolage, hier matin en ouvrant la boutique. Dans la nuit de samedi à dimanche, le magasin Boy and Girl, situé rue Verdaussou a été totalement vidé de son contenu. Les cambrioleurs ont forcé la serrure, ouvert la grille, refermé, et sans bruit ni lumière, pris le temps d'emballer tout ce qui les intéressait, au point de ne laisser que la vitrine intacte en place. Tous les vêtements d'enfants, sièges auto, poussettes, articles de puériculture, ordinateur et même couches pour bébés, ont été emportés. Ils se sont même accordé le luxe de déshabiller les mannequins. Un travail qui n'a pas éveillé l'attention des patrouilles de police ni du voisinage. La veille, coïncidence ou pas, la boutique avait été livrée en vêtements de marque pour enfants. Le préjudice reste à déterminer. « Ils ont dû y passer toute la nuit. C'est quatre ans d'activité qui sont parties dans la malle des cambrioleurs» Constatait Lysiane Bellot qui a déposé une plainte au commissariat de Graulhet chargé de l'enquête. Hier matin, les inspecteurs de le police scientifique ont procédé aux relevés d'indices.

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Publié le 07/11/2010 03:46 | LaDepeche.fr

Graulhet temps libre étoffe ses effectifs


La majorité des adhérents ont assisté à l'assemblée. /DDM.G.D.

L'assemblée générale de Graulhet Temps Libre, valeur sûre du paysage associatif de la ville, s'est tenue à la Maison des Associations. Complétant celles de septembre, elles indiquent une augmentation très nette du nombre d'adhérents grâce à l'arrivée de nouveaux venus, jeunes retraités pour la plupart.

Lors du rapport des activités aussi bien ludiques que sportives ou culturelles de l'association, la Présidente Christiane Dumontier a rendu compte des sorties, conférences, diaporamas… organisés régulièrement le jeudi en précisant qu'il y a eu davantage de rencontres que l'année précédente. Raphaël Lopez a ensuite parlé des marches, dont l'effectif important est en augmentation notable, en particulier pour la « grande marche ». Puis il a été question des nouveaux ateliers, démarrés en cours d'année. Les trois responsables en sont Claude Durand, Philippe Bonnet et Raphaël Lopez. Un programme précis pour l'informatique qui se tient le lundi matin, mène les débutants des connaissances de base jusqu'aux applications à la photo numérique qui ont lieu le mercredi matin. Ces activités sont gratuites.

L'Assemblée Générale a procédé ensuite à l'élection de trois nouveaux administrateurs. Deux diaporamas sur le voyage à Barcelone et sur les activités et sorties du Temps Libre ont clôturé la réunion.

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Publié le 06/11/2010 03:47 | G.D.

La ruralité lauréate de la 40e Basane d'Or


Le jury parcourant l'expo qui est à voir dans l'ancien marché couvert. DDM.G.D. 
 

Pour cette 40e édition de la Basane d'or, initiée par le cercle photographique graulhétois, le jury a, une fois de plus, eu fort à faire pour élire le lauréat 2010, parmi la quarantaine de photographes amateurs ayant frouni quatre clichés minimum. Lucie Bourges, romancière, Alain Lourenço, photographe et responsable d'agence et Jean Michel Devos, cinéaste, se sont appliqués à la tâche. «Avec trois regards pas si différents que celà. Nous avons eu la même approche, la même convergence d'idées. La photographie doit véhiculer un sens. Il faut retenir ce que l'image raconte. L'émotion est plus importante que le défaut technique, s'il elle en présente un...» Chacun y est allé de sa remarque, mais les choix se sont fait à l'unanimité et en toute impartialité, les clichés ne présentant qu'un anonyme numéro.

Deux doublés. Cette année, pour l'attribution de la Basane d'or qui récompense la meilleure série de photos en blanc et noir, le jury a choisi l'interprétation de scènes de vie rurale, présentée par l'ariégeois de Mirepoix, Pierre Pedelmas. On y voit le tueur de porc et son regard, le lapin qu'on étripe devant ses congénères croquant la luzerne, le curieux du village devant la vitrine d'une antique bibliothèque, et la discussion animée de retraités dans une rue de village. Il semble que le temps se soit arrêté, quelque part dans cette France d'images d'antan. Le premier prix thème paysages a été attribué au travail exceptionnel du graulhétois Jean Rouzet, un fidèle du concours. Le premier prix «élément humain» revient à Thierry Astruc, de Layrac. Ce même tarn et garonnais qui remporte le prix Mendès, revenant aux meilleures photos en couleur. Le premier prix version paysages revient à Damien Socol de Soual, la version «élément humain» étant dominée par Pierre Pedelmas. Deux doublés qui consacrent deux photographes nouveaux venus au palmarès et qui donnnent à l'édition anniversaire le lustre nécessaire.

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Publié le 06/11/2010 09:14 | G.D.

Dernière chance pour Graulhet


Nicolas Boutié et les Graulhétois vont tirer l'une de leurs dernières cartouches./Photo DDM Emilie Cayre

De mémoire de supporter, on n'avait jamais connu le Sporting avec deux mois de championnat dans les jambes et pas une victoire en six rencontres. Une situation que vivent les Graulhétois au jour le jour, en sachant que chaque dimanche qui passe peut les conduire en Fédérale 2, mais aussi qu'il en reste encore seize pour se refaire la cerise. « Nous avons fixé un objectif au groupe. D'ici les fêtes, il reste cinq rencontres, trois à l'extérieur, deux à domicile. Il faudra en gagner trois au minimum. Un pari qui n'est pas impossible », assure Renaud Gély, que le départ de Lionel Estéban vers Albi, a surpris et irrité à la fois. « Déjà qu'on n'était pas bien fourni en première ligne, imaginez que Vidal ou Sales se blessent… » Dimanche à Grasse, c'est contre une des équipes des plus lourdes de la poule que Graulhet va devoir réagir. Avec quelle équipe ? « Le groupe n'est pas encore défini, l'équipe encore moins. Nous attendrons la mise en place de samedi soir là-bas, pour nous décider ». Il y aura des surprises, c'est certain dans la composition d'un quinze à qui il sera demandé plus d'agressivité, de constance. « Graulhet est dans la spirale de la défaite. C'est la faute à des petits détails qui passent inaperçus mais qui ne jouent pas en notre faveur. La moindre petite faute nous est fatale », regrette l'ancien 3e ligne. « Depuis 15 jours, tous les gars se sont remis en question. Nous avons beaucoup et bien travaillé durant deux semaines mais aussi discuté, surtout avec ceux qui n'ont pas été dans le coup. Maintenant, et pour le bien du club, il va falloir arrêter de se poser des questions, de se trouver des excuses, faire l'impasse sur la place des ego des uns et des autres. » Noble requête qui ne demande qu'à trouver son aboutissement demain. « Face à une équipe aussi mal barrée que la nôtre, ce match peut amener le groupe à se resserrer, à trouver les ressources nécessaires pour inverser la spirale ». Avant qu'il ne soit trop tard.

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Publié le 05/11/2010 10:10 | J-C C

Les étudiants modélisent la ville

Eleves et techniciens ont présenté la modélisation de la ville.

Second Life est une simulation sociétale virtuelle, permettant de vivre une « seconde vie « sur internet. Plusieurs millions de joueurs « résident « déjà dans cet univers et les étudiants de l'ENSAT (Ecole nationale supérieure d'architecture de Toulouse) ont utilisé cet outil pour modéliser la ville dans le cadre de leurs études. Leur mission consiste à élaborer un état des lieux et transformer l'image de la ville via ce monde virtuel. Elle se décline en deux phases : un « intensif « effectuer des relevés et modéliser l'existant avant de procéder à des études de faisabilité.

Pour l'heure le « périmètre de modélisation « est un carré de 256 mètres sur 256, le centre historique de l'ancien moulin du Seigneur à l'office de tourisme. En deux jours, les étudiants ont modélisé près de 65000 m2. Au second semestre, ce périmètre sera doublé. Déplacements, parkings, devenir de bâtiments, reconversion de friches, façades urbaines, berges du Dadou sont autant de thématiques sur lesquelles planchent les étudiants en architecture. L'outil permettra de visiter virtuellement la ville mais aussi pourrait capter des porteurs de projets, activer et concrétiser des partenariats (CCI, agents immobiliers, etc.), offrant une vitrine à la ville où le virtuel peut devenir réalité. « Dites vous bien que c'est possible ! Oui, cela paraît parfois compliqué de lancer un projet +à Graulhet : il faut parfois dépolluer et se tracasser de la loi sur l'eau quand on est sur les berges du Dadou, mais avec des conseils, de l'aide et de la volonté, on peut y arriver ! » a lancé Caire Fita aux étudiant présentant leur modélisation, avant d'ajouter « Allez-y ! Bousculez-nous ! Bougez ! Et merci de vous mobiliser pour notre ville !!! ».

Calendrier - Restitution intermédiaire le 22 novembre à l'ENSAT, restitution finale à Graulhet le 13 décembre. En septembre 2011 une exposition regroupera les travaux réalisés dans le cadre des intensifs.

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Publié le 04/11/2010 09:39 | J.-A. L.

Laure, troisième génération de la Maison Bruyère


Après Roger et Christian, Laure (34 ans) et sa sœur Léa incarnent la montée des femmes dans l'entreprise. Elles représentent 50% de l'effectif salarié. La Maison Bruyère

La transition s'est faite en douceur: en 2009, Laure Bruyère a succédé à son père Christian, qui tenait la biscuiterie familiale de son père Roger depuis 1984. Une dynastie d'artisans depuis 46 ans: Laure tient à ce mot, porteur de fraîcheur, de savoir-faire au naturel. Il est en pole position sur l'enseigne de l'atelier de fabrication et de la boutique, en bordure d'autoroute, à Lagrave. Sud Biscuits s'y est installée dans des locaux tout neufs en 2003. Laure a grandi dans le métier, connaît le produit sur le bout du doigt, et tient à montrer aux clients toute la vie du biscuit, de la pâte à la cuisson. «Le mur vitré est là pour ça. On n'a rien à cacher». Depuis la création, Sud Biscuits n'a pas connu la moindre récession du chiffre d'affaires. Les 4 familles de sucrés - croquand de Cordes (60%du CA), fondants, gâteaux à la broche et les «historiques» chalumeaux - partent comme des petits pains, via les grossistes, vers la grande distribution, les pâtisseries ou, sous marque, chez Hédiard ou Fauchon, ce qui vaut référence. En 2010, l'entrée de la jeune sœur, Léa, au poste commercial, donne un coup de fouet à l'export vers le Japon, Canada, Usa. Laure gère la production et l'administration. Un lieu stratégique car la Maison Bruyère (son nom commercial) travaille à la commande, avec zéro stock et une flexibilité maximum. «On a 3 ou 4 jours de visibilité. Mais c'est une garantie de fraîcheur. On le gère avec les 16 salariés. J'essaie de faire confiance, je ne me considère pas comme une patronne, plutôt à la tête d'une équipe». Après le coup de jeune sur le kit d'emballage, elle a d'autres projets en tête: une gamme de salés sort à Noël. Laure aimerait assortir la boutique, dont l'activité monte en flèche, d'un «coin salon» pour déguster un thé ou café. L'arôme et le goût de «revenez-y» sont fournis gracieusement par l'atelier de cuisson, de l'autre côté de la vitre.

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Publié le 04/11/2010 08:33 | J-C Clerc

Une chaufferie bois dans l'ex mégisserie ?


L'ancienne mégisserie Sudre pourrait accueillir ce projet. Photo DDM, J-C C

Le projet d'une « chaufferie bois « a été débat lors de la dernière réunion du conseil municipal. Pour mener à bien ce projet une quatrième modification du PLU (plan local d'urbanisme) était nécessaire. « Lauréate du trophée régional du développement durable, la ville de Graulhet promeut les installations de sources d'énergies renouvelables, dont le bois, qui est une ressource locale « a souligné Claude Fita, maire de la ville, en présentant le sujet.

Cependant la municipalité aura deux partenaires dans ce projet : la communauté des communes Tarn et Dadou et Trifyl. Le syndicat mixte a souhaité promouvoir ce type de démarche sur un territoire où la commune et Tarn Habitat disposent d'un patrimoine immobilier dont la configuration peut se prêter à un nouveau système de production et de distribution d'énergie. Le projet de création de chaufferie bois - avec un réseau de chaleur - est à l'étude sur un périmètre englobant le secteur d'habitat collectif de Crins et d'équipements publics. Afin d'éviter de trop grandes déperditions la chaufferie doit être implantée à proximité des logements et des équipements qui devraient être desservis : HLM et écoles de Crins, stade Noël Pélissou, EHPAD, lycée Clément de Pémille, piscine, centre social, médiathèque, foyer Léo Lagrange, perception, poste et office du tourisme. Aussi l'implantation est-elle prévue au nord de l'avenue Marcel Pagnol située en bordure du Dadou.

Il était donc indispensable de modifier le PLU pour rendre possible l'implantation d'une installation classée pour la protection de l'environnement (I.C.P.E.) - législation dont relève ce type de chaufferie - dans ce secteur. Un tel équipement n'est pas une nouveauté pour la ville de Graulhet qui a déjà un tel équipement à la maison de retraite de la Plaine de Millet. Si le projet voyait le jour, il s'agirait cependant d'une production de chaleur à une toute autre échelle avec un partenariat d'un nouveau type.

Une partie de l'opposition s'abstient

Au cours des débats Sylvain Bonleux a fait un rappel de la précédente décision approuvant la participation de la commune pour la pré-étude réalisée par Trifyl, et de « l'absence d'information qui a suivie cette décision» s'étonnant de la célérité avec laquelle le sujet est traité. , Claude Fita a souligné que l'économie d'énergie envisagée par l'utilisation d'une chaufferie bois qui serait de l'ordre de 5 à 7%, pour une consommation annuelle de 2000 tonnes de bois non traité. Claire Fita, adjointe au maire chargée des finances et de l'intercommunalité a quant à elle évoquer le transfert de compétence des réseaux de chaleur bois à la communauté de communes de Tarn et Dadou permettant à Trifyl de bénéficier de subventions européennes. Jean-Claude Amalric, membre du groupe d'opposition « Graulhet pour tous » s'est prononcé pour cette modification du PLU aux côté de l'ensemble de la majorité.

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Publié le 03/11/2010 09:36 | G.D.

La culture s'invite dans les quartiers


L'un des clichés pris par l'un des participants.

L'action «chemins invisibles» qui rassemble une vingtaine de personnes autour d'un projet initié par le Centre social, se partage entre deux alteliers, la photo et l'écriture. Ils sont animés par Jean Mazelier et par Frédérique Garlaschi de l'association Volubilo. Ce projet de médiation sociale, culturelle et artistique, s'implique dans les quotidiens des quartiers d'En Gach, de Panessac et de Crins dont la population, pour des raisons liées soit à leur origine, à leur niveau social et économique, est relativement éloignée des pratiques artistiques et de l'offre culturelle. Dans cette optique «chemins invisibles», outre les moyens d'expression que sont la photo et l'écriture, permet au sein d'ateliers au cœur même des quartiers, et en diversifiant les publics, de croiser et confronter tout au long du projet, les travaux des participants. «L'objectif est d'amener les Graulhétois à s'approprier autrement leurs quartiers en leur donnant la parole par l'image et l'écrit puis en les invitant, qu'ils en soient ou non les réalisateurs, à venir les voir, de façon différente, insolite, décalée voire ludique». Expliquent les intervenants. Les résultats seront exposés dans un espace public. «En ce qui concerne les sujets les plus photographiés ou commentés, malgré qu'une seule séance ait eu lieu, une tendance se dégage déjà. Le quartier de Panessac semble offrir plus de photogénie aux yeux des participants, que le reste du parcours, du chemin, qui va de Crins à En Gach. Mais l'aventure ne fait que commencer. Elle se poursuivra jusqu'au mois de mars, avec l'apport d'autres regards, en l'occurence celui des ados et des enfants, qui apporteront d'autres visions du parcours, espère Jean Mazelier. C'est cette déclinaison à partir des différents regards à partir d'un espace commun à explorer et à expérimenter, qui fera toute la richesse et l'intérêt du projet. D' ici là, chacun sa route, chacun ses chemins invisibles».

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Publié le 03/11/2010 09:34 | LaDepeche.fr

(RE)venons à la musique avec Francoise Cayla



La chanteuse Graulhétoise Francoise Cayla vient de terminer l'enregistrement de sa dernière chanson « T'aimer tant que je veux» écrite par Jacques Roure, auteur d'Alice Dona et de nombreux titres de Michelle Torr, et composée par Roger Loubet que l'on ne présente plus, arrangeur et directeur d'orchestre de Michel Sardou pendant plus de trente ans.

Françoise prépare un album, pour la fin de l'année et début 2011, elle sera aussi accompagnée dans cette Aventure Musicale par Jean Musy compositeur de musique de film et arrangeur de classe nternationale qui lui a composé entre autre la musique de la chanson « Vous que je ne connaissais pas » (Hommage à Frédéric Chopin) sur un texte de Virginie Cayla. Le site (RE)venonsalamusique est une association de professionnel du son (Brice Davoli, Jean Félix Lalanne, Loic Pontieu, Alain Le Kim etc..) et de la musique qui a pour but au-delà d'enregistrer l'album et d'accompagner l'artiste.

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Publié le 03/11/2010 09:35 | G.D.

450 enfants ont disputé le tournoi Yannick Jauzion


Un petit graulhétois défie la défense de Lavaur./DDM.G.D.

 

Bien-sûr, ce samedi après-midi, Yannick Jauzion n'était pas à au stade Noël Pélissou, affairé à remettre des toulonnais ambitieux à leur place. Mais l'esprit qui anime le vénéssol, formé à l'école de rugby du Sporting, à l'époque des bus de ramassage du samedi, a plané toute la journée sur la deuxième édition du tournoi qui porte son nom. Au total, 48 équipes représentant les clubs du Stade Toulousain, Carcassonne, Villemur, Rives du Tarn, Gaillac, Lavaur, l'Ajra (Albi) et Graulhet-Briatexte, ont disputé les trophées dans chacune des quatre catégories à commencer par les plus jeunes. Un excellent travail d'organisation fourni par l'équipe de Thierry Stignani, autour des aires de jeu et à la logistique, a permis de voir à l'œuvre les trois-quart centres et les secondes lignes en herbe, tous fans de leur aîné. L'école de rugby, qui renoue cette saison avec les affluences de jeunes du passé, a profité de l'occasion pour rendre hommage à deux personnes récemment disparues et qui ont laissé leur empreinte sur le grand livre du club: Alain Balayé, ancien joueur et éducateur de l'école de rugby, ainsi que Paul Brayette, bénévole attachant et qui a toujours participé à la vie du club. Les équipes graulhétoises ont eu du mal, en milieu aussi relevé d'atteindre les hauteurs du classement, mais il s'en est fallu de peu pour que les moins de 9 ans remportent le trophée Alain Balayé, battus in-extrémist par Carcassonne.

Villemur sur 3 tableaux.

En moins de 7 ans (première année), Villemur gagne le trophée de l'école de rugby devant Gaillac et Lavaur. En moins de 7 ans (deuxième année), l'Ajra gagne le trophée Paul Brayette devant Lavaur et Carcassonne. En moins de 9 ans, Carcassonne remporte le trophée Alain Balayé devant Graulhet et Villemur. En moins de 11 ans, l'Ajra gagne le trophée Yannick Jauzion devant le Stade Toulousain et Villemur.

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Publié le 02/11/2010 08:17 | LaDepeche.fr

Les lycéens ont conçu une voiture pour handicapés


La remise des clefs a eu lieu dans l'atelier du lycée.

Ce sont deux années de travail, depuis la recherche d'une voiture jusqu'aux derniers réglages qui viennent de se clôturer avec la remise des clefs d'un véhicule aménagé à l'Association des paralysés de France par le lycée professionnel Clément-de-Pémille.

Sous la houlette de Jérôme Sénégas, professeur de génie mécanique, les lycéens ont remis à neuf un véhicule dans le cadre d'un projet humanitaire. Initialement c'est la transformation d'un véhicule qui avait été envisagée. Cette opération n'ayant pu être réalisée pour des raisons d'homologation, c'est finalement une révision plus que complète qui a été effectuée par leurs soins. Sur le plan mécanique, les élèves ont aussi bien travaillé sur le contrôle et la réparation du système de refroidissement que sur le remplacement du siège passager, la remise en état complet du système de freinage ou encore la réparation du système d'attache de la rampe d'accès et la maintenance du circuit de climatisation.

« Il s'agit là de l'aboutissement d'un projet de longue haleine», a souligné Bernard Gouyen, proviseur de l'établissement. Maxence Lebas, directeur de la délégation du Tarn de l'APF a pour sa part souligné l'importance de cette action: « Le handicap peut toucher chacun de nous. Pouvoir se déplacer est une façon de redonner de la vie au gens». La délégation tarnaise compte près de 200 adhérents. L'association propose des actions individuelles et collectives favorisant l'intégration des personnes en situation de handicap moteur. Grâce au soutien financier de la Casden, de la Maif, de la Caisse d'épargne, du conseil général du Tarn et de la municipalité et au travail des élèves et de leur professeur de génie mécanique les adhérents pourront bénéficier d'un véhicule et ainsi se déplacer comme chacun, tout simplement.

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Publié le 01/11/2010 03:49 | LaDepeche.fr

Place Bosquet : les jours chrysanthèmes


Les chrysanthèmes ont envahi la place.

Six producteurs de Graulhet, Laboutarié, Lombers, Lavaur, Gaillac et Puybegon, proposent durant tout le week-end et jusqu'à lundi, des fleurs de Toussaint, sur le traditionnel marché de la place Bosquet. Des chrysanthèmes, entre 5 et 15 euros le pot, en version boules ou pomponettes, d'une ou de plusieurs couleurs, mais aussi des cyclamens ou des bruyères.

 

Publié le 05/11/2010 07:53 - Modifié le 05/11/2010 à 13:47 | Jean-Pierre François.

Montauban : Des parents d'élèves frappent le principal du collège


Guy Mériel montre les traces laissées par les coups/Photo DDM, Chantal Longo.

Contestant la sanction prise contre leur fille indisciplinée, ses parents ont insulté et frappé le principal du collège Ingres.Il a fallu l'arrivée de la police pour ramener le calme dans le bureau et le hall .Une affaire qui suscite une vive émotion dans tout le monde éducatif.

C'est un événement gravissime mais heureusement fort rare qui a eu pour cadre hier matin le bureau du principal du collège Ingres. Où le patron de l'établissement a été insulté et frappé par deux parents d'élèves qui contestaient les mesures disciplinaires prises à l'encontre de leur enfant scolarisé en classe de sixième. Devant le déchaînement physique et verbal, les policiers appelés par le personnel administratif sont intervenus pour mettre fin à cette violente agression et maîtriser les irréductibles qui menottés ont été amenés au commissariat et placé en garde à vue. Guy Mériel, 56 ans a déposé plainte. Hier en fin de journée sous le coup de l'émotion le principal revenait sur cette heure de cauchemar qui a mis en émoi toute la communauté éducative d'un des collèges les plus importants de la ville, le plus ancien : « Les parents de cette élève demi-pensionnaire m'avaient demandé rendez-vous, suite à des sanctions prises contre elle, jugée trop dissipée. On a pris le temps de s'expliquer, l'entretien était long, peu constructif. Au bout de quarante-cinq minutes j'ai dit qu'il n'y avait plus rien à ajouter. Le père a exigé à ce moment -là que je lui remette des documents se trouvant sur mon bureau. Qui étaient des rapports des professeurs eux aussi évoquant l'indiscipline de cette jeune fille. J'ai répondu par la négative. eux, ont refusé de quitter le bureau, le ton est monté. Il m'a saisi par le col et après les insultes, il y a eu les coups portés et ceux reçus. Mon portable a été « volé » (l'irascible l'a jeté dans un buisson avant d'être arrêté). On va te filmer et les menaces augmentaient devant ma secrétaire et mon adjoint qui leur demandaient de se calmer. En vain. »

«Il a déchiré les documents»

Et le principal de poursuivre : « Par provocation, il a même allumé une cigarette dans le hall en me recrachant la fumée au visage. Les forces de l'ordre sont arrivées et les documents qu'ils avaient pris sur mon bureau en me les arrachant des mains il a eu le temps de les déchirer et de les éparpiller par terre. » L'affaire est loin d'être terminée, la plainte est déposée, les témoins entendus et le couple de parents d'élèves irascible entendu. Reste à savoir comment les autorités administratives et éducatives vont à leur tour envisager de donner une suite à cette agression inqualifiable.

«Il m'a pris par le col,m'a insulté,traité de tous les noms d'oiseaux. Puis l'agression est devenu physique et impressionnante. Heureusement j'ai esquivé la plupart des coups qu'il tentait de me porter. Quand mon téléphone portable est tombé par terre ,ils me l'ont pris en disant qu'ils allaient filmer la scène. »

Le chiffre : 2 claques > Et aussi un coup de pied. C'est au final les coups qui ont atteint véritablement cet ancien sportif et pratiquant d'arts martiaux devenu depuis de nombreuses années, principal de collège. Il le fut d'abord dans le Tarn notamment à Graulhet et depuis 4 ans au collège Ingres de Montauban .

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