Du Bruc à Ricardens

Actualités juillet 2011 (2)

Publié le 16/07/2011 11:13 | La Dépêche du Midi

14 juillet : comme le veut la tradition

Elle avait été oubliée ces dernières années. La tradition du défilé a été reprise, en partie, pour les festivités du 14 juillet. Une prise d'armes, ponctuée par les interventions de la Batterie Fanfare, sur la terrasse du Château a permis au public, de constater la qualité des équipes du centre de secours. Plusieurs pompiers ont également été honorés. En présence du lieutenant de gendarmerie Bertrand Collot, du commandant de police Alain Fourés et du conseiller général Claude Bousquet, le maire Claude Fita et le chef de centre, le capitaine Mercier, ont remis les grades de caporal à Christophe Dufoix et de sergent à Christian Gozzer, avant de remettre les diplômes de première année aux onze jeunes sapeurs pompiers. Ensuite, les pompiers ont embarqué les jeunes présents dans le public, dans les divers véhicules d'intervention et de logistique, pour un défilé place du Jourdain. La soirée de mercredi s'est achevée par le traditionnel embrasement du Pont Vieux. Le lendemain, jeudi soir, une foule dense (beaucoup plus de monde que les années précédentes) a applaudi le feu d'artifice sur les rives du lac de Nabeillou.

 

Publié le 16/07/2011 11:13 | La Dépêche du Midi

Rugby : L'école déjà en ordre de marche

Paula, Anne, Jérôme, Zakia, Juliane, Annick, Françoise, Laure et Nicolas ont déjà expédié les dossiers de ré-inscriptions aux enfants licenciés la saison dernière./photo DDM.G.D.

Le projet de création d'une école de rugby à Briatexte par les éléments dissidents de l'école de rugby du Sporting Club Graulhétois, n'ayant pas fait long feu, les nouveaux responsables et l'encadrement de celle-ci ont désormais toute latitude pour tenter de mener à bien leur engagement.

« Nous avons demandé, lors de multiples réunions préparatoires, à tous les responsables et éducateurs qui étaient en place cette saison, de rester. Quelques-uns se sont sentis exclus. Ils n'ont pas compris ou pas accepté que nous arrivions pour renforcer l'école de rugby », regrette Gérard Durand, le nouveau référent qui s'est déjà entouré d'une équipe administrative très féminine et très complémentaire, pour réussir à redémarrer la saison 2011-12. Car l'exercice devrait être marqué par « l'effet Coupe du Monde de rugby », qui est réel tous les 4 ans. Il sera aussi débuté par le projet « villages » à l'adresse des communes alentours, qui devrait permettre, à terme de remettre en place le ramassage en bus des jeunes garçons et filles.

Augmenter les effectifs

Mais, c'est sur le volet sportif que le changement sera le plus visible. La responsabilité a été confiée à Nicolas Fabriès assisté de Daniel Sannou. Charge à ces derniers, d'engager les éducateurs à s'inscrire à une formation obligatoire dispensée par le Comité du Tarn et doublée d'un brevet de secouriste. Ils sont à ce jour, 26 anciens et nouveaux éducateurs répartis dans les 5 sections des jeunes entre 5 et 15 ans. Ils seront une trentaine quand sonnera l'heure de la reprise. Les inscriptions débuteront le samedi après la rentrée scolaire.

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Publié le 16/07/2011 08:21 | Sylvie Ferré.

8 mois ferme pour les voleurs filmés de la carrosserie

Les cambrioleurs n'avaient pas fait dans la dentelle pour pénétrer dans la carrosserie Pelegry dimanche soir: ils avaient lancé un gros c aillou dans une fenêtre./ Photo DDM, Jean-Claude Clerc

Incarcérés depuis mardi, les auteurs présumés du cambriolage d'une carrosserie de Graulhet étaient jugés en comparution immédiet, hier après-midi, devant le tribunal correctionnel de Castres. Le deux prévenus, âgés de 35 ans et 23 ans, devaient répondre de faits commis en réunion et par effraction. Dimanche dernier, vers 22 h 30, ils étaient entrés dans les établissements Pelegry en brisant un des deux volets roulants et une vitre, dans le dessein de dérober, entre autres, trois ordinateurs. Ils ont reconnu les faits ; il leur était difficile de faire autrement dans la mesure où le délit a été filmé par une caméra de surveillance.

« Ce n'était pas prémédité, se sont-ils défendus d'une voix. On avait bu, on est passé devant et le volet était déjà levé ! On a vu les ordinateurs par la fenêtre et voilà. On a restitué les ordinateurs, on est prêts à rembourser, en deux, trois ou quatre mois max, c'est réglé ! » Pas pour la présidente Anne Maffre, s'appuyant sur le contenu de leurs casiers judiciaires. Encore moins pour le procureur de la République Manuela Garnier : « Un passé judiciaire éloquent. Nous n'avons que leur parole, des gens alcoolisés qui pénètrent, cassent… Je crois vraiment qu'ils savaient ce qu'ils faisaient ! » Elle requiert 3 ans de prison, dont 2 avec sursis, à l'encontre du plus jeune ; 2 ans, dont un avec sursis, pour le second, le plus âgé. Le défenseur de celui-ci, Me Gaëlle Simonin, soulignera que « cette mauvaise inspiration est venue par l'alcool et n'était pas préméditée. Quand on n'est pas alcoolisé, on prend des précautions, on ne retire pas ses chaussettes pour les chausser comme des gants afin d'éviter de laisser des empreintes ». Elle demande au tribunal de faire preuve de clémence à l'égard de son client, père de deux enfants.

De son côté, Me Virginie Meyer-Soullier met en évidence le fait que son client « regrette aujourd'hui et veut réparer, il a pris conscience de ses actes et il est soutenu par ses proches, nombreux à cette audience. On doit lui donner une chance». Au terme de ses délibérations, le tribunal condamne les deux Graulhétois à 8 mois de prison ferme et leur maintien en détention.

 

Publié le 17/07/2011 03:48 | La Dépêche du Midi

La cible des 30 ans atteinte par les archers du Dadou

Les échanges entre débutants et champions, entre valides et handicapés divers très intéressants et surtout très fructueux pour tous.

Le club de tir à l'arc de Graulhet a 30 ans d'existence, et les Archers du Dadou avaient décidé de marquer l'événement par une journée particulière.

Ils ont choisi d'inviter quelques amis à un tir amical autour du lac de Nabeillou, et ce sont ainsi près de 100 personnes qui se sont retrouvées à cette journée festive, qui a commencé par une initiation au tir à l'arc à des membres de « Roule ta Vie », association basée au Centre de Rééducation d'Albi et regroupant des personnes en fauteuil pour leur permettre de se réinsérer dans la vie quotidienne par le biais du sport ; Yannick et Jean-François, eux-même entraîneurs FFTA et licenciés FFH (et de niveau paralympique pour J-F), ont pu aider et conseiller les néophytes. Les archers Sport Adapté de la Soleillade de Blaye-les-Mines étaient ravis de faire connaissance avec ce club dont ils avaient entendu parlé par Jean-Rémi et Gisèle, et

tiraient à leur tour quelques flèches d'échauffement sous l'œil attentif des « anciens » du club, Jean-Claude Lavoix, président fondateur, Patrick Blatgé, membre fondateur et ancien instructeur, et Guilaine Pradelles, qui fut la 3ème présidente.

L'apéritif regroupait les archers dispersés et Aline Vincent, présidente en exercice, en profitait pour retracer la vie du club, commencé à Nabeillou avant de partir quelques années sur Mondou, pour revenir ensuite dans des lieux proches de son terrain d'origine. .

Après le repas c'était le départ pour les cibles 3D, une découverte pour les archers extérieurs au club, mais qui n'en appréciaient que plus l'originalité sur un parcours adapté à leurs possibilités physiques et sportives.

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Publié le 19/07/2011 10:33 | La Dépêche du Midi

Bel hommage à la police graulhétoise



Les représentants du commissariat à Montauban.

C'est à Montauban que l'association sportive de la police aura disputé son dernier tournoi. On ne retiendra pas le classement du tournoi de sixte remporté par l'AS Tarbes, mais l'hommage rendu par la ligue de Midi-Pyrénées au commissariat de Graulhet qui a déroché le trophée du fair play pour avoir toujours honoré l'esprit de la fédération. On a aussi compté dans les rangs du commissariat graulhétois qui va fermer ses portes à la fin du mois de nombreux sportifs accomplis. Nicolas Cayzac à la tête de l'association depuis huit ans est un ancien international de rugby à sept et a foulée la pelouse avec des joueurs comme Pelous ou Jauzion.

Serge Nogues a été champion de France police du triathlon, Philippe Casta champion Midi-Pyrénées de golf, Marc Fenoy qui nous a quitté il y a deux ans cycliste émérite, sportif accompli aux résultats remarquables. « Etre au service du collectif, au cœur de l'action, dans une démarche permanente, c'est aussi cela l'esprit de la police nationale « souligne le commandant Alain Fourès, ravis par l'action de l'AS Graulhétoise et le coup de chapeau qui lui a été rendu par Francis Castaing, secrétaire de la ligue Midi-Pyrénées.

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Publié le 19/07/2011 10:34 | La Dépêche du Midi

Succès pour les "chantiers loisirs"

Ils sont quinze jeunes, de 13 à 17 ans, à participer cet été aux « chantier loisirs « de la MJC. L'objectif du projet est simple : leur permettre de financer une majeure partie de leur séjour en réalisant un travail d'utilité sociale.

Cette année mairie et régie de territoire accompagne cette action aidées par la CAF et dont je succès ne se dément pas au fil des années. Chaque matinée est organisée en deux parties. De 8 heures à 9h30 le travail, encadrés par des professionnels, est consacré à la voirie et de 9h30 à 13 heures aux espaces verts. Il se déroule sur les quartiers de Crins, En Gach et du Château. « Les jeunes habitent ces quartiers.

Des habitants viennent nous voir et un dialogue s'installe « explique Joris, animateur de la MJC qui encadre les chantiers. Ces derniers sont mixtes et la parité respectée est toujours respectée sans qu'elle ait à devenir une règle établie. Car au delà des séjours à la clef - qui ne coûtera que 75 euros aux jeunes participant à l'action contre 400 euros sans aide - chacun participe ici aussi à une aventure avec les autres et pour les autres habitants de la ville.

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Publié le 20/07/2011 09:51 - Modifié le 20/07/2011 à 13:43 | G.D.

La zone commerciale de Sirou se remplit

Près de 2 700 m2 de locaux commerciaux ouvriront à l'automne.

Depuis quelques mois, la zone d'activité commerciale de Sirou, à l'entrée de la ville, route de Lavaur, est en travaux de construction.

Ces derniers se concentrent surtout autour du rond-point de l'appel du 18 juin 40. Après l'ouverture il y a quelques semaines de l'enseigne Les pains du Midi qui propose pains, viennoiseries et coin restauration rapide, la rentrée verra l'ouverture de deux surfaces commerciales de bonne taille. La première, qui se construit entre le rond-point et le centre de lavage automobile, par l'entreprise Pailhé, abritera six locaux sur 950m 2 à l'intérieur d'une mini galerie marchande. La Banque Populaire Occitane qui est maître d'ouvrage occupera l'un d'eux en tant que succursalle. Deux des cinq autres ont actuellement trouvé preneur, avec le déménagement d'une boutique du centre-ville, spécialiste chaussures-vêtements et cadeaux cuirs, rue Verdaussou, ainsi que la création d'une boutique de vêtements détente, qui ouvriront en octobre. Un projet de cave est aussi à l'étude.

Locaux à louer

A 10 mètres de ce premier bâtiment, un autre, de 1 770 m2 est en cours d'équipement. Construit par l'entreprise Martorel qui est aussi maître d'ouvrage, il se situe à l'arrière de Sport 2000 et Défi-Mode, et est scindé en trois locaux commerciaux. Le plus grand d'une surface de 1042 m2 sera occupé par le discounter Flash-Affaires qui déménage donc de quelques mètres. Un deuxième de 120 m2 accueillera un commerce de nourriture animale déjà présent sur Graulhet, place du Jourdain. Les deux ouvriront en septembre. Le troisième est à louer.

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Publié le 20/07/2011 09:52 | La Dépêche du Midi

Les membres de Graulhet temps libre à Saint Bertrand de Comminges et Martres-Tolosane

L'association Graulhet Temps Libre a choisi de faire sa dernière grande sortie de la saison à Saint Bertrand de Comminges, étape sur la route de Saint Jacques de Compostelle. Les participants ont d'abord fait un tour du village épiscopal commenté par une guide diserte et bien à son affaire, qui a retracé toute l'histoire du lieu en faisant parler ses vieilles pierres et qui a ainsi fait revivre son riche passé. Les visiteurs se sont ensuite arrêtés dans le cloître pour des explications toujours complètes et évocatrices. Ensuite, dans la cathédrale Sainte-Marie, Graulhet Temps Libre a eu l'agréable surprise de pouvoir assister en même temps qu'un groupe de touristes américains venus de Lourdes, à un concert de musique sacrée - œuvres de Bach, negro spiritual… - joué sur les impressionnantes orgues qui surplombent la vaste nef.

Puis, le chœur avec son jubé abritant les stalles sculptées de l'époque de la Renaissance qui font la renommée de l'église, a accueilli les visiteurs qui ont également pu voir le tombeau de l'évêque Bertrand de l'Isle. Après s'être restauré sur place, le groupe s'est arrêté à Martres-Tolosane en remontant sur Toulouse à la faïencerie du Matet. C'est là que tout le processus de fabrication selon les méthodes traditionnelles, a été expliqué lors de la visite des ateliers. L'association Graulhet Temps Libre informe ses adhérents et les personnes intéressées qu'elle tiendra son Assemblée Générale précédée des inscriptions le jeudi 15 septembre à partir de 14h 30 à sa salle, Maison des Associations, place Bosquet.

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Publié le 20/07/2011 09:52 | La Dépêche du Midi

«Saint-Antonin noble camp» avec l'Amicale laïque

Le groupe du 1er séjour prêt à partir en activité.

« On a beaucoup aimé ce camp ! Les repas étaient délicieux et très équilibrés ; les tentes beaucoup plus grandes que ce que l'on croyait. Tous les animateurs ont été très sympas avec nous, et nous ont proposés des activités superbes. Tous les soirs on faisait des veillées, c'était génial ; on participait aussi aux tâches matérielles et ménagères. En spéléologie, la grotte glissait beaucoup et on est passé dans un tout petit trou ! ». C'est par ces mots écrits par Sophie et Manon au nom de leurs camarades du second séjour que s'est ouvert le livre d'or des premiers camps de l'Amicale Laïque de Graulhet à Saint-Antonin Noble Val. Installés sur le terrain du CCAS (centre social d'EDF) grâce à un partenariat actif impliquant les deux organismes, les deux séjours proposés ont accueilli 46 préados de Graulhet, ou de l'intercommunalité Tarn et Dadou.

Les richesses naturelles du site ont été propices à l'organisation de multiples activités de plein air variées et complémentaires. Les virtuoses de l'escalade ont interprété des symphonies de cordes en ces hauts bois du Roc d'Anglars pour mousquetons et baudriers. Près de Féneyrols, une poule et ses douze poussins ne se sont jamais lassés du passage quotidien des vététistes. Quant aux kayakistes, l'Aveyron leur a offert biefs calmes, chaussées rapides ou rouleaux animés. Mais il y eut aussi tennis et vaisselle, arc et mise de table, billard et rangement ; un vrai camp, quoi ! La directrice Patricia Saletti tient à remercier ceux qui ont favorisé la réussite de ces cessions : son équipe d'animateurs, les Amicalistes bénévoles qui ont participé à l'installation et au déménagement, ainsi que les différents responsables du CCAS sans qui rien n'aurait été possible. C'est au cours de l'été 1971 que fut organisé le premier camp à l'extérieur du Centre Aéré de La Courbe, dans la propriété voisine d'Emile Mialet ; 40 ans plus tard, les pionniers peuvent être fiers du chemin parcouru...

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Publié le 21/07/2011 08:30 | J-C C.

Escale : un projet de plus de 50 emplois

Le projet de l'association a été présenté à l'auditorium./ Photo DDM, J-C C.

«Promouvoir le développement sportif et culturel et l'aménagement du territoire en s'appuyant sur les richesses patrimoniales et environnementales» : tel est le l'objet de l'association Escale qui a vu le jour en 2008. Après avoir obtenu l'agrément d'intérêt public, elle vient de présenter son projet à l'Auditorium de la ville.

Dans la salle une quarantaine de personnes étaient présentes, membres de l'association, personnes «curieuses» de ce projet, membres de l'opposition municipale mais personne de la majorité. Durant les échanges qui ont suivi la présentation le bureau a d'ailleurs tenu à éviter toutes « polémiques» autour du projet.

Pour travailler sur ce dernier l'association s'est entourée de professionnels comme Cyrille Dal Col, architecte, Caroline Thau, urbaniste, ou Bruno Arliguy d'Alban Keypler développement. Le concept vise à lier sport, culture et environnement. La présentation a insisté sur les démarches entreprises jusqu'à l'obtention de l'agrément d'intérêt général en mars dernier. « Jusque là nous ne voulions pas communiquer, même avec les fédérations» explique Jean-Claude Amalric, président de l'association qui souligne avoir dès lors contacté la mairie et le conseil régional pour reprendre le projet.

Si le site du château de Lezignac, en partie classé, a été étudié pour la faisabilité de cette réalisation, il n'est pas encore propriété de l'association. « Les négociations pour l'acquisition n'ont pas repris depuis l'agrément» confie Jean-Claude Amalric. Cependant le concept pourrait être repris ailleurs. « Il y a des régions qui sont intéressées par ce projet» a expliqué le président de l'association à la tribune, tout en espérant qu'il voie le jour à Graulhet. Quant aux répercussions économiques, l'association estime que la création de la structure pourrait engendrer une cinquantaine d'emplois directs, se gardant d'avancer un chiffre quant aux emplois induits une fois qu'il verrait le jour.

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Publié le 21/07/2011 11:13 | La Dépêche du Midi

La FNACA sous le soleil du Maroc

Membres et sympathisants sont amateurs de sorties, d'escapades et de voyages.

Les membres et les sympathisants de la FNACA de Grauhet ont entamé l'été sous le soleil de Marrakech. Grands amateurs de sorties, d'escapades et de voyages, le Maroc a été leur destination du 19 au 26 juin dernier. Et ils n'ont pas eu froid avec une température de 45°C à Marrakech et entre 25 et 30°C à Rabat ! Cette semaine a été ponctuée par la visite de Fès, capitale spirituelle, intellectuelle et culturelle du Maroc. Le groupe a également visité Volubilis, l'un des sites marocain les mieux conservés, sans oublier Rabat, capitale politique et administrative et bien sûr Casablanca, la plus grande ville du Maroc et aussi sa capitale économique.

La semaine a été intense et très enrichissante, certes parfois fatigante - notamment du fait de la chaleur - mais ce groupe est revenu le cœur gorgé de soleil et la tête pleine de souvenirs palpitants ! Vient maintenant un temps de repos et ces aficionados des voyages et des excursions. Après cette trêve estivale ils seront prêts pour repartir explorer ou découvrir de nouveaux cieux ou profiter d'une sortie dans les environs.

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Publié le 21/07/2011 11:14 | La Dépêche du Midi

Un nouvel adjoint au centre de secours

Devenir adjoint du centre de secours de Graulhet a pour l'adjudant-chef Stéphane Rodière une saveur particulière. Issu d'une famille dans laquelle frère, oncle, cousin sont soldats du feu, il occupe les fonctions qu'a occupé avant lui son père pendant quelques années. C'est à 16 ans que Stéphane Rodière est devenu sapeur-pompier volontaire. Après son service militaire il a été recruté comme sapeur à Graulhet le premier mai 1992. Dix ans plus tard il a connu le centre de secours de Gaillac lors de la mise en place du groupement et a été chef de groupe au niveau opérationnel à Castres. Stéphane Rodière est aussi formateur et a connu Aix-en-Provence et Vitrolles avant de revenir à Graulhet. C'est en « toute confiance « qu'il a pris ses fonctions dans lesquelles il pourra exprimer son goût pour la coordination et le management d'équipes.

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Publié le 22/07/2011 10:07 | J-C Clerc

Ils innovent et grandissent à Granilia

Julien Perez et Pascal Podage. /Photo DDM, J-C C.

IOD est la dernière entreprise à s'être installée dans les locaux de Granilia, la pépinière d'entreprises de la communauté de communes Tarn et Dadou. La jeune société propose un savoir faire dans les domaines de l'intégration audiovisuelle, de la domotique et des NTIC(Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication), ainsi que dans la numérisation.

C'est au sein de l'association Service plus que Julien Perez et Pascal Podage se sont rencontrés en avril 2010. Au fil des discussions les passionnés en sont venus à créer ce projet dans des secteurs qui les passionnent. « C'est allé très vite. On a lancé les démarches en août et débuté en septembre» se souvient Julien Perez. Pascal Podage lui était dans le métier de l'audiovisuel depuis 15 ans sur Paris avant de s'installer ici. « Nous avions besoin de locaux car il est vite apparu qu'il était extrêmement difficile de travailler à domicile» explique-t-il. Intégrer la pépinière d'entreprises, après avoir convaincu le jury, leur permet de stocker le matériel et d'éviter le s « perturbation externes» pendant les heures de travail. « Cela nous permet aussi de bénéficier d'un accompagnement. Dès que nous avons une question à poser quelqu'un est là pour nous aider à réaliser nos choix» souligne Julien Perez. Pour l'instant IOD propose des solutions audiovisuelles, vente de matériels et installation de salles de visioconférences ou de scènes de spectacles ainsi que des solutions de domotique. « On peut par exemple garder un œil chez soi, ou sur son entreprise grâce à la fonction d'accès distant depuis son téléphone portable ou son ordinateur via internet» expliquent-ils.

A moyen terme IOD vise une montée en puissance lui permettant d'embaucher deux ou trois salariés et proposer de nouvelles solutions, plus tournées vers les professionnels, notamment dans le domaine de la numérisation de document.

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Publié le 22/07/2011 10:07 | La Dépêche du Midi

1000 m² dédiés aux jeunes entreprises

La communauté de communes Tarn et Dadou a souhaité implanter une pépinière d'entreprises sur son territoire afin de pouvoir proposer des infrastructures d'accueil incitatives permettant d'attirer et de retenir des projets présentant un potentiel économique intéressant en terme d'activité, de développement, de valeur ajoutée ou d'emploi. Granilia a pour vocation d'accueillir des entreprises en création et de les aider dans leur démarrage. Certains porteurs de projets sont à la recherche de locaux fonctionnels mais ne sont pas en mesure ou ne souhaitent pas réaliser un investissement immobilier dès le démarrage de leur activité. La pépinière de la communauté des communes Tarn et Dadou peut accueillir sur le site de Graulhet des activités industrielles, artisanales ou de services. Outre IOD elle héberge actuellement l'atelier Innov'bois créé par deux compagnons qui travaillent dans le domaine de la charpente en ossature de bois.

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Publié le 23/07/2011 14:19 | G.D.

Dix fois plus d'adhérents en dix ans

Antonia Marquez présente le fruits de ses recherches sous l'œil et l'oreille attentive de Jean Chabbal. /DDM. G.D.

2001 marque le 10e anniversaire de la création du club de généalogie Agenda. Et en une décennie, l'association a décuplé son nombre d'adhérents, pour dépassera aujourd'hui 130 passionnés qui viennent de toute la région compléter leurs recherches dans les locaux de la rue St Jean. «Les gens viennent pour échanger, pour completer et croiser leurs recherches et leurs expériences. Nous donnons les premiers cours, prodiguons les premiers conseils aux débutants mais pouvons aussi répondre à des demandes bien précises» avance Jean Chabbal, qui dispose d'une base généalogique personnelle de plus de 102 000 personnes, et qui préside le club qui a compilé une base généalogique de plus d'un million d'actes, soit 5 millions de personnes. Ce qui fait d'Agenda, le premier club, de loin, du Tarn. Il organisera d'ailleurs son deuxième salon tri-annuel les 29 et 30 octobre prochains au foyer Léo Lagrange.

Les bagnards graulhétois

En ce mois de juillet, ils sont nombreux à affiner leurs recherches. A commencer par Sylvette Moussière, qui tient à reconstituer tous les registres paroissiaux en remontant jusqu'ne 1600, de la région Técou-Cadalen-Gabriac. «La généalogie, c'est le plaisir de rechercher des mois entiers et de trouver enfin quelque chose!» D'autres, comme Antonia Marquez, qui compte 45 ans de pratique de la généalogie, se sont spécialisées par circonstances. « En faisant des recherches, j'ai retrouvé un ancêtre bagnard qui a séjourné à Rochefort au 18e siècle. C'est ainsi qu'en consultant les archives, j'ai retrouvé la trace de 25 bagnards d'origine graulhétoise. Nous avons tous 5% de chances d'avoir un bagnard parmi nos ascendants. Autant que de nobles, qui parfois étaient les mêmes...» assure Jean Chabbal, à la tête de la grande famille des généalogistes graulhétois. «Il est mathématiquement reconnu que nous avons tous un ancêtre en commun!». Il suffit donc de le trouver. Agenda peut vous aider.

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Publié le 23/07/2011 14:19 | La Dépêche du Midi

Expo fructidor dans les locaux de la far

La Far Graulhétoise, le Comité Culturel, Tourisme et Culture avec le concours du fond lapidaire muséal et de ses collections, propose, dans les locaux de la Far, place de la République, jusqu'au 30 juillet et du 1er au 24 septembre, une expo intitulée Fructidor. «C'est un retour sur l'histoire et le patrimoine du pays graulhétois». Précisent Jacques Mariette président de la Far et Henry Manavit, artiste et président d'honneur du Comité Culturel. L'expo propose de nombreux documents photographiques sur la ville et sur ses environs. En même temps elle présente plusieurs vitrines intinérantes et archéologiques de l'époque gallo-romaine et médiévale du site de Valéry à Busque et de Brigançon à Graulhet. Sont aussi exposées, quelques peintures des artistes loacux sur ce thème. A noter que dans le cadre de cette manifestation, une soirée poésie sera proposée le 16 septembre à 18 heures avec le concours de Poêtes dans Frontières.

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Publié le 23/07/2011 14:19 | G.D.

Spectacle historique ce soir et demain

Image de l'édition 2010.

« Souvenirs d'école », le spectacle historique son et lumière, proposé par l'association culturelle du pays graulhétois, faisant intervenir 200 participants, sera joué ce samedi 23 et dimanche 24 juillet sur le site de la Bousquétarié, route de Lavaur, à 22 heures. Son et lumière;jets d'eau, feux d'artifice, effets spéciaux intégrés aux scènes, véhicules anciens des 'armées allemandes et alliées, automobiles et motos d'époque, chars romains, attelages, des fauves, des chevaux, des animaux de la ferme, 700 costumes, et de nouveaux numéros vont faire passer un moment inoubliable au public. L'an dernier, les trois représentations avaient fait le plein. « Un instituteur, par un beau matin de juillet 1960, se rend pour la dernière fois de sa longue carrière dans sa classe de l'école des Tambours à Graulhet et évoque ses souvenirs... » Epoque gallo-romaine, Renaissance, guerre mondiale au programme. Avec une grande fête au final.

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Publié le 25/07/2011 09:20 | La Dépêche du Midi

Nabeillou : les bateaux à pédales restent à quai

Ils ont fière allure les dix bateaux à pédales du lac de Nabeillou./Photo DDM.G.D.

« Il ne manque que le beau temps ». La remarque maintes fois prononcée depuis quelques jours, prend des tons d'urgence dans les propos de Me Chauvel qui a ouvert depuis le 2 juillet, une location de bateaux à pédales sur le lac de Nabeillou. Quelques personnes sont venues essayer début juillet, les dix embarcations qui portaient l'été dernier les touristes des gorges du Verdon. Mais depuis plus de 8 jours, avec la pluie et le vent, elles restent à quai. « Pas de problèmes avec les pêcheurs, la cohabitation est bonne ». L'après-midi, comme le soir, au bord du lac, elle ouvre son camion de glaces et de sodas. Un vrai petit coin d'été à fréquenter, quand il sera là .

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Publié le 26/07/2011 09:34 | P.-J. Pyrda et J.-C. Clerc

La police passe le relais aux gendarmes

Le lieutenant Collot a mené la visite des locaux rénovés de la gendarmerie./ Photo DDM, J.-M. Lamboley

Depuis hier matin 11 h 15, le drapeau tricolore ne flotte plus dans la cour du commissariat de Graulhet. « Ramenez et transférez », ordonne le commandant Alain Fourès. Le cœur gros, le major Michel Durand et le sous-brigadier Didier Milhau, deux « anciens » de la maison police descendent les couleurs. Il revient alors au commissaire divisionnaire Paul Agostini de remettre au colonel Pierre Bouquin ce drapeau qui, à 11 h 32 précises, sera hissé en grandes pompes, en présence des autorités civiles et militaires, dans la cour d'honneur de la gendarmerie, place du Bosquet. C'est là, dans cette immense caserne édifiée en 1894 (et réaménagée pour les besoins du service) que les Graulhétois pourront, dès lundi, venir déposer plainte ou, par exemple, signaler leur départ en vacances s'ils veulent que les gendarmes patrouillent autour de leur domicile.

En charge de la sécurité des Graulhétois depuis 1964, les policiers s'en vont, avec le sentiment du devoir accompli, mais avec «des sentiments mêlés» aussi. La préfète Marcelle Pierrot a eu un mot de réconfort pour eux : « Ces fonctionnaires se sont plu à Graulhet et ils se demandent : pourquoi part-on ? Ce n'est pas l'action de la police à Graulhet qui a été mise en cause. Nous avons des territoires qui bougent, qui évoluent. Pour garantir une meilleure efficacité opérationnelle, le gouvernement a décidé de créer la police d'agglomération. De son côté, la gendarmerie aura en charge la police des territoires ».

Les gendarmes, déjà en charge du canton, vont donc prendre les clés de la 4e ville du département. 35 militaires et leurs familles chaleureusement accueillis par le maire. « Je me félicite de la façon dont s'est passée cette transition. Il n'y aura pas de changement notable pour les Graulhétois », souligne Claude Fita.

Concrètement une patrouille sera de sortie en permanence et un accueil du public assuré 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. D'ailleurs même pour joindre les forces de l'ordre, le numéro de téléphone reste inchangé. Il faut toujours composer le 17. Mais désormais, c'est un gendarme qui vous répondra.

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Publié le 26/07/2011 09:34 | La Dépêche du Midi

Alain Fourès: "Le sentiment du devoir accompli"

Alain Fourès

Il restera donc, pour l'histoire, le dernier chef de circonscription de sécurité publique en poste à Graulhet. Avant de rejoindre le cabinet de la préfète à Albi, Alain Fourès dresse un bilan.

Quel sentiment domine à quelques jours de fermer le commissariat ?

Bien sûr, il y a de l'émotion. Pendant trois ans j'ai eu plaisir à commander ce commissariat qui a été nommé premier de France pour ses résultats. L'adapter en fonction des exigences du temps a été une expérience positive.

Sur le terrain de la prévention, que retenez-vous ?

J'ai pris plaisir à travailler avec les services du conseil général, de la mairie et les structures associatives pour mener à bien des actions de prévention. Cela a contribué à resserrer les liens entre la police et la population.

Quand l'hôtel de police sera-t-il fermé au public ?

Le dimanche 31 juillet à minuit. Le commissariat ferme mais la mission des personnels se poursuit. Sur les 41 fonctionnaires qui étaient en poste à Graulhet, 37 restent dans le Tarn. C'est une façon de ventiler les énergies positives dans le département.

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Publié le 26/07/2011 09:36 | La Dépêche du Midi

Lieutenant Bertrand Collot : "Prêts pour le 1er août "

Lieutenant Bertrand Collot

Après un passage remarqué à la communauté de brigades de Lavaur, le lieutenant Bertrand Collot sera donc le premier commandant de la brigade autonome de gendarmerie de Graulhet. Il a toute la confiance de sa hiérarchie, et en particulier du colonel Pierre Bouquin.

« Il s'agit d'être opérationnel au 1er août. Il n'y aura pas de période d'observation » souligne le lieutenant Collot. L'officier aura sous ses ordres 34 sous-officiers. La quasi-totalité des gendarmes sont affectés à Graulhet depuis le 16 juillet. Trois militaires sont encore attendus en septembre. Avec les familles, ce sont près de 100 nouveaux habitants qui s'installent dans la cité du cuir ou les communes alentours.

Le lieutenant Collot, lui, est déjà à pied d'œuvre depuis plusieurs mois, avec d'autres éléments précurseurs de la brigade autonome, pour prendre les informations et les savoir-faire propres à Graulhet. Si le transfert officiel de compétence est programmé le lundi 1er août à 0 h, les gendarmes prendront la permanencejudiciaire dès ce vendredi. Pour l'anecdote, ce week-end, on pourrait voir une personne interpellée par la police… mais placée en garde à vue à la gendarmerie. Tout est prêt place du Bosquet.

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Publié le 27/07/2011 08:11 | P.-J. P.

La nouvelle organisation de la gendarmerie tarnaise

La création de deux brigades autonomes à Graulhet et Puylaurens, le rattachement de Lavaur et Saint-Sulpice à la compagnie de Gaillac et le retour d'une brigade à Saint-Amans-Soult, ce sont les principaux changements sur la carte gendarmerie.

La gendarmerie redéploie ses forces sur le territoire tarnais, à la fois par souci d'économie mais aussi pour mieux répondre à l'évolution de la délinquance.

Des brigades qui ferment, d'autres qui ouvrent ou se renforcent : la gendarmerie du Tarn a dû, elle aussi, se plier à la désormais RGPP, la révision générale des politiques publiques. La copie définitive a été présentée hier matin, à la préfecture, par Marcelle Pierrot et le colonel Pierre Bouquin. Nommé à l'été 2010, le nouveau commandant du groupement a dû réfléchir à une nouvelle organisation opérationnelle, suite à la suppression de la compagnie de Mazamet. Ses choix ont été validés le 5 juillet par le ministre de l'Intérieur « pour une mise en œuvre à compter du 1er août mais disons qu'on aura stabilisé le dispositif d'ici le 15 septembre ».

Les brigades territoriales qui ferment : Carmaux, Castres, Mazamet, Anglès et Cuq-Toulza.

La brigade qui rouvre. Saint-Amans-Soult. Le chef-lieu de canton va accueillir 7 gendarmes dans les locaux qui abritaient autrefois le PSIG (peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie). Saint-Amans sera le siège de la COB (communauté de brigades) formée avec Labastide-Rouairoux.

Deux brigades autonomes créées. Celle de Graulhet, dont nous parlions dans notre édition d'hier, sera forte de 35 militaires. Celle de Puylaurens récupère les effectifs de Cuq-Toulza et comprendra donc 14 gendarmes. « L'activité était quasiment concentrée sur Puylaurens et en direction de Soual », précise le colonel Bouquin pour justifier la fermeture de Cuq-Toulza. À moyen terme, le colonel évoque un projet de construction de caserne à Puylaurens.

Lavaur et Saint-Sulpice rattachées à Gaillac. Avec la fermeture de Mazamet, le territoire de la compagnie de Castres était devenu immense. « Il fallait rééquilibrer nos forces entre les trois compagnies et assurer aussi une cohérence opérationnelle », met en avant le colonel Bouquin. Le rattachement de la COB de Lavaur à la compagnie de Gaillac prend en compte « une continuité de la délinquance entre Gaillac et Saint-Sulpice, sur l'axe de l'ancienne RN 88 ».

Réalmont et Villefranche promues sièges de COB. La même logique a présidé au redécoupage de l'immense communauté de brigades d'Albi qui allait de Marssac à la frontière aveyronnaise. Deux COB sont créées : celle de Réalmont-Albi et celle de Villefranche-Alban.

Les heures d'ouverture. Là aussi, le colonel a souhaité apporter de la cohérence. « Les brigades chefs-lieux de COB seront ouvertes quasiment tous les jours, de 8 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 ou 19 heures. Pour les brigades de proximité, on a mis en place des permanences d'accueil. »

+ 32 gendarmes

L'effectif du groupement de gendarmerie départementale du Tarn va passer de 435 à 467 militaires. Sur les 32 nouveaux postes, 30 sont affectés à la brigade autonome de Graulhet et 2 à la brigade de recherches de Castres. Pour tenir compte de la réalité de la délinquance, certains secteurs vont être renforcés. Ainsi, la communauté de brigades de Labruguière va accueillir 5 gendarmes de plus : 4 seront affectés à Labruguière et 1 à Dourgne. A la brigade territoriale de Saint-Sulpice, l'effectif passe de 8 à 10. Le PSIG de Castres comptera 14 militaires au lieu de 12. A contrario, Vaour et Murat-sur-Vèbre perdent un gendarme.

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Publié le 27/07/2011 09:49 | La Dépêche du Midi

Les jeunes sapeurs pompiers à Saint-Juéry

Les JSP (jeunes sapeurs-pompiers) de Graulhet ont été invités à prendre part à la journée qui s'est tenue à Saint Juery l'occasion de l'assemblée générale des anciens sapeurs-pompiers de Paris.

L'association qui comprend des personnes à la retraite ou en activité compte une centaine de membre dans le Tarn. L'association a pour but d'aider les jeunes à entrer chez les pompiers de Paris et à « revenir au pays». Les JSP ont peu à cette occasion rencontrer et discuter avec des soldats du feu aguerris.

Ils ont ainsi pu découvrir quelles sont les conditions pour entrer dans ce corps d'élite et ce que l'on attendrait d'eux. « C'est aussi tout un symbole « souligne le capitaine Christian Mercier, chef du centre de secours de Graulhet qui forme une douzaine de jeunes lors d'une session qui va durer quatre années durant les lesquelles les JSP vont apprendre - entre autre - à secourir les personnes, lutter contre les incendies. En fin de cursus, sous réserve de réussir leurs examens, pourront intégrer le centre de secours de la ville en qualité de sapeurs pompiers volontaires.

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Publié le 27/07/2011 09:49 | La Dépêche du Midi

Il fait un temps à visiter la Maison des Métiers du cuir

Alain et Malika avec des touristes originaires des Yvelines. /DDM.G.D.

« Quelle est la différence entre une tannerie et une mégisserie? », « Qu'est-ce qu'une basane, une luneteuse, du picklé? » Comme autant de questions auxquelles répondent Malika et Alain. L'une est en charge des visites de juillet, et l'autre d'août à la maison des métiers du cuir de la rue St Jean. En cette fin de mois pluvieuse, les touristes son assez nombreux a pousser la visite. Jusqu'à cinquante par jour, comptabilisés. Le circuit débute par la projection d'un film historique et pédagogique.

Il se poursuit par le passage dans tous les lieux importants qui permettent de faire d'une peau brute, un cuir souple et solide à la fois. Il se termine à la maroquinerie, avec présentation d'objets en cuir « made in Graulhet ». Avec passage obligatoire devant les grandes planches-vitrines de l'expo parisienne, et de quelques spécimens de la collection Rosemblum. Au final, les questions sont souvent les mêmes: « Reste-t-il des usines à Graulhet? » et « Le savoir faire sera-t-il conservé? » Ou, quand passé et avenir interpellent le passant. La Maison des Métiers du cuir est ouverte à la visite actuellement sur rendez-vous pris à l'office du Tourisme.

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Publié le 27/07/2011 09:49 | G.D.

Ruée sur les pages de Mémoires de Graulhet

François Mazens, à Paris comme à Graulhet, recherche en permanence tous les documents ayant un rapport avec Graulhet.

François Mazens a créé le 21mai dernier, le blog baptisé « Mémoires de Graulhet » pour faire partager sa version de l'histoire locale qui s'appuie sur une fabuleuse collection familiale de 540 cartes postales ayant trait à Graulhet.

« J'avais pensé faire un livre ou un recueil. L'internet offre la possibilité de l'interactivité. C'est l'histoire accessible au plus grand nombre.» Au compteur, deux mois après, 1330 visiteurs. Un ruée que le graulhétois, employé des finances publiques à Paris explique par l'intérêt que portent de plus en plus de gens à leurs racines, à leur histoire. Dans le blog memoiregraulhet.eklablob.com, des dizaines de cartes, parfois rares et agrémentées d'articles de journaux, comme ceux qui ont fait la une de la presse parisienne, lors de grandes grèves de la mégisseries il y a un siècle.

Dans l'actualité

En ouverture, une vue de la caserne de gendarmerie après sa construction.

Un clin d'œil à l'actualité. « Je n'ai pas voulu traiter d'actualité, mais utiliser l'actualité pour parler du passé». Parmi les rubriques, les grandes dates qui ont remodelé la ville, les bâtiments et édifice anciens, les usines, mais aussi, les cartes postales fantaisie ou humoristiques, et des appels à la mémoire collective. « Je recherche tous les renseignements sur toutes les vues, et en particulier, sur le « polyiode » de l'actuelle place Elie Théophile. Pour arriver à présenter un blog encore plus complet ». Dans les semaines qui viennent, François Mazens, compte mettre en ligne une grande collection de papier en-têtes des mégisseries et commerces locaux.

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Publié le 28/07/2011 09:46 | J-C C.

Des appels à projets sur les friches

L'ancienne mégisserie de la Bourdariès bénéficie d'une série d'études de faisabilité. /Photo DDM, J-C C.

La municipalité a décidé de mettre en vente plusieurs bâtiments et terrains, immeubles d'habitation ou anciens sites industriels. Cependant, au-delà de simples ventes auprès d'acquéreurs, la mairie a choisi de faire appel aux investisseurs en cohérence avec le Projet de Ville - PRBG (projet de redynamisation du bassin Graulhétois). Concrètement, elle propose de transmettre ces acquéreurs et investisseurs privés potentiels les études menées par la ville.

Cet « Inventaire historique urbain » est porté par le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières). Il vise d'une part à identifier les sites pollués et d'autre part les types exacts de ces pollutions. L'étude de faisabilité architecturale, technique et économique - menée sur quelques sites prioritaires -, consiste en la rédaction d'un cahier des charges dont la tâche a été soumise à un architecte de Figeac, Philippe Bergès. Ces études sont préalables aux actions de mise en sécurité, de désamiantage, de déconstruction sélective et de dépollution. C'est donc tout ce travail que la municipalité met aujourd'hui à disposition des porteurs de projets pour ces sites graulhétois.

Par exemple le site de Bourdariès est mis en vente par la collectivité. Il est au cœur du dispositif du PRBG et bénéficie actuellement d'une série d'études en amont de faisabilité architecturale et d'études préalables liées à la dépollution. Ainsi la ville pourra donner aux futurs porteurs de projets et acquéreurs ces éléments de connaissance du site afin de leur permettre d'apprécier la faisabilité de leur projet. Il s'agit notamment de la faisabilité financière avec la production de différents ratios en fonction des futurs usages des sites. Les ventes ont lieu en ligne sur le site internet www.ville-graulhet.fr dans « l'espace pro - ventes de biens», où sont proposé les bâtiments que la collectivité souhaite vendre.

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Publié le 28/07/2011 09:46 | La Dépêche du Midi

Six appels à candidatures

L'appel à candidature concerne six bâtiments. Le premier est une friche industrielle située 15 rue des Peseignes (ancien bâtiment industriel d'une surface hors œuvre brute de 2851 m²). Le second est un terrain de 5237 m2 avec entrepôt - à détruire - situé chemin de la Bouscayrolle. Une maison d'habitation, située 81 chemin Maurice Degove (surface hors œuvre nette de 96 m² sur un terrain de 1428 m²) est aussi à vendre. Un appel à candidature est aussi lancé sur l'immeuble situé 14 avenue Gambetta (mitoyen, surface hors œuvre nette 590 m² édifié sur trois niveaux) qui accueillait plusieurs permanences d'associations ainsi que sur un immeuble situé 1 bis rue Mattéoti. Il s'agit d'une maison individuelle mitoyenne à aménager (surface hors œuvre nette 160 m²). Enfin un appel à candidature est lancé sur une friche industrielle située route de Réalmont (surface hors œuvre brute de 2950 m²).

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Publié le 29/07/2011 09:35 | J-C Clerc

Sur les traces des grévistes

Six plaques explicatives jonchent le parcours./ Photo DDM, J-C C

À l'occasion de la commémoration de la grande grève des ouvriers mégissiers 1909-1910, la ville a créé un « parcours des grévistes » dans des lieux symboliques de la grève. Chacun des six lieux a été choisi en raison de son importance dans le déroulement de la grève de la maison du peuple à celle des métiers du cuir en passant par la place Jourdain. Il constitue aujourd'hui une façon originale de découvrir la cité du cuir.

Le parcours débute place Henri-Mérou sur laquelle était situé l'ancienne « Maison du peuple ». Jusqu'en 1908 elle était la mairie de Graulhet dont elle a gardé la symbolique Marianne républicaine sur sa façade. Au premier étage se prennent les grandes décisions : chaque jour, le comité de grève et la commission ouvrière s'y réunissent.

C'est également là qu'était préparée la « soupe communiste » qui nourrit gratuitement plus de 3 000 personnes. Le parcours se poursuit avec une escale à la Halle aux grains. Située au centre de la place Jean Moulin, c'est là que se sont tenues les assemblées générales tout au long des cinq mois de conflit. Construite en 1864, la halle a été démolie en 1981. La troisième étape est celle de la place Elie Théophile où se trouve l'actuelle mairie.

L'ancienne gare

Avant 1908 le bâtiment était une école de frère marianistes. S'en suit la place Jourdain. Au cœur de la ville elle était le lieu de partage informel des informations, notamment lors du marché du jeudi. Depuis la terrasse dite «du château» les pierres ont souvent plu au passage des charrois escortés par les gendarmes et soldats.

L'avant dernière étape est celle de l'ancienne gare, aujourd'hui dans le complexe du stade Noël Pélissou. C'est de là que partaient les enfants des grévistes pour d'autres villes ouvrières où ils étaient accueillis dans des familles, c'est là aussi que les militaires contrôlaient les convois de ravitaillement. Le parcours s'achève à la maison des métiers du cuir qui garde en ses murs la mémoire de la mégisserie.

À chacune de ces six étapes des plaques commémoratives donnent illustrations, informations et commentaires sur les événements comme sur toute une façon de vivre qui a forgé et façonné la ville d'aujourd'hui.

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Publié le 29/07/2011 09:35 | La Dépêche du Midi

Une nouvelle organisation du fauchage

En raison de la démarche de gestion différenciée et du développement durable, le fauchage ne s'effectue plus systématiquement sur l'ensemble des bas-côtés des routes. Un second passage est réalisé aux intersections afin d'assurer la visibilité. « Cela permet aussi de réalise rune meilleure gestion au niveau des coûts », souligne Christophe Assalit du service des espaces verts. L'ensemble du fauchage, soit près de 240 kilomètres, est assuré par les employés municipaux. Désormais il y aura un premier passage d'avril à fin mai et un second de juin jusqu'à la fin de l'été. Un troisième sera aussi assuré en septembre. « Avant une entreprise privée réalisait seulement deux passages», rappelle Christophe Assalit.

Le matériel, épareuse, tracteur et rotochaucheuse, est parfois mis à mal par les pierres et ferrailles laissées sur les bas-côtés. Aussi de nouveaux achats devraient être prévus dans le prochain budget. Quant à la diversité de la flore et de la faune, notamment des insectes, Christophe Assalit assure avoir déjà vu les résultats sur les bords des routes graulhétoises.

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Publié le 30/07/2011 03:48 | La Dépêche du Midi

Le camping des Flots bleus à La Courbe

La traditionnelle fête de fin de séjour du vendredi 22 juillet a rencontré comme chaque année un franc succès. Pour cette occasion, La Courbe s'est transformé en terrain de camping : tout y était : caravane, tentes, danse des tongs, élection de miss camping, cours de step,… animé par les différents groupes d'enfants sans oublier les « Gentils Organisateurs ». Les averses n'ont pas découragé de nombreux parents et amis à partager le repas champêtre et applaudir le spectacle des enfants. Le séjour de juillet se termine et les équipes d'août sont déjà prêtes à prendre le relais auprès des enfants pour de nouvelles aventures sous le soleil de La Courbe !!!

Déjà pensez à noter la date de la fête qui se déroulera le vendredi 26 août.

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Publié le 30/07/2011 03:48 | La Dépêche du Midi

Les animations de l'été font le plein

A la ferme du goût avec la fabrication de pain.

Cet été, le centre social, sur proposition des familles, a veillé à programmer des animations et sorties pour tous les publics, tous les âges d'enfants et durant toutes les vacances d'été du 5 juillet au 31 août.

À noter que le centre ne sera fermé que du 8 août au 21 août. « D'une manière générale, les sorties sont complètes le jour du départ, à savoir une cinquantaine de personnes, adultes et enfants confondus auxquels se joignent deux professionnelles du centre social accompagnant le groupe. Il ne manquait plus que le soleil en juillet pour que les familles soient complètement satisfaites », explique Florence Boissel l'une des animatrices du centre social Caf.

Organisation d'une « soirée des mamans »

Les animations de l'été ont lieu au centre, place Henri Dunant avec des ateliers destinés à resserrer les liens parents-enfants, de la couture, de la cuisine ou une initiation aux massages, ou en sortie, comme lundi dernier à la ferme d'En Goût à Dourgne, avec des balades en calèche ou à dos d'ânes qui se sont transformées en atelier de fabrication de pains.

Une « soirée des mamans » a même été organisée début juillet, ouverte à celles ayant des enfants ou adolescents.

À condition de posséder la carte familiale en cours, d'autres sorties sont prévues pour août, en Aveyron, à Cordes sur Ciel, au zoo de Plaisance du Touch, ou à Monclar pour la dernière baignade d'avant rentré. Le mercredi 31 août, toutes les familles se retrouveront devant l'écran de projection des meilleurs moments de l'été des vacances du centre social.

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Publié le 31/07/2011 03:48 | G.D.

Parcours de chasse : Matthieu Delmas 10e mondial

Matthieu Delmas en bas à droite avec sa médaille de dixième mondial.

Par excès d'humilité, Matthieu Delmas dirait presque que son classement le surprend.

L'ancien rugbyman de Briatexte, licencié au BTC Albi, vient d'entrer dans le Top Ten des fines gâchettes mondiales.

A Orville, dans le Nord, lors des championnats du Monde de parcours chasse, il a terminé dixième toutes catégories et séries confondues et huitième sénior.

Et ce, excusez du peu, parmi plus de 1 200 participants venus des cinq continents. Les épreuves se sont déroulées sur quatre jours, et quatre postes différents avec des séries de 25 plateaux lancés sur des trajectoires différentes et difficiles.

Matthieu en a cassé 188 sur 200. Il faut dire que l'employé voirie du Conseil Général n'en est pas à son coup d'essai.

Malgré un arrêt de compétition, il a décroché l'an dernier, le titre national en parcours chasse en même temps qu'il était sacré champion de France de Compack Sporting 3e série, une autre discipline qui présente des séries de plateaux moins compliqués.

Mi août, à Nîmes, il remettra son titre en jeu, cette fois en 2e série.

Recherche partenaires

D'abord passionné de chasse, Matthieu Delmas s'est lancé dans la compétition il y a une dizaine d'années. Aujourd'hui, à 27 ans, il espère pouvoir défendre son titre, cette fois hors de France et peut-être hors d'Europe l'an prochain. Pour cela, il aimerait bien trouver quelques partenaires qui l'accompagneraient pour mener à bien son périple. En attendant, il s'entraîne, tous les week-ends. « Cette discipline est contraignante et onéreuse. J'aimerais bien me donner les moyens de faire encore mieux que le top 10 ».

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Publié le 31/07/2011 03:47 | E.T.

Albi : Les anciens vous saluent

Jean Galfione (au centre), consultant sur Canal +./Photo DDM G.C

On trouve du beau monde dans les travées du Stadium depuis jeudi. Du beau monde au propre comme au figuré avec Jean Galfione, le perchiste médaillé d'or aux Jeux Olympiques d'Atlanta en 1996, qui reste le chouchou de ces dames. Il est désormais consultant pour Canal Plus qui a l'exclusivité de ces championnats de France… Dans la tribune de presse, à quelques rangs de là, Jean-Claude Perrin officie lui aussi comme consultant pour Europe 1. Mais son actualité, c'est l'émission « L'Etoffe des champions » sur France 3, où il partage la vedette avec Raymond Domenech. L'audience n'a pas répondu aux attentes, mais l'ancien entraîneur, qui ne fait pas ses 76 ans, n'a pas à rougir de ses prestations. « C'est bien dommage que ça ne marche pas compte tenu du travail fourni et de l'investissement technique et financier. On a fait neuf émissions et j'y ai pris beaucoup de plaisir », dit-il, avant de s'intéresser au saut de Romain Mesnil qui vient de franchir 5,63 m à la perche.

Entre quelques autographes et la remise des médailles sur le podium du 400 m, Stéphane Diagana, champion du Monde sur 400 m haies en 1999 à Athènes, prend un visible plaisir à suivre les courses et concours. Egalement consultant à France Télévision, il est en vacances dans la région et en profite pour faire quelques sorties à vélo, preuve qu'il s'est bien remis d'un grave accident en janvier dernier. « Ce matin, j'ai fait une soixantaine de kilomètres, du côté des vignobles de Gaillac, à Cordes, un village qui se mérite et à Graulhet.

Ancien élu de la FFA et président de la Ligue nationale, Stéphane Diagana a pris du recul, mais il garde un œil avisé sur l'athlétisme hexagonal. « On est dans une bonne passe depuis Berlin en 2009 et cela s'est confirmé en 2010 à Barcelone et à Bercy en 2011. Maintenant, les deux prochaines échéances vont être relevées et la Marseillaise risque de moins retentir. Il va falloir retomber un peu de l'euphorie. » Un avis autorisé avant Daegu et Londres.

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Publié le 31/07/2011 06:31 - Modifié le 31/07/2011 à 06:37 | P.G.

Agressé en faisant son jogging

(Photo d'illustration non contractuelle : N50G)

Si le commissariat de police ferme officiellement ses portes ce soir à minuit, ce sont les gendarmes de la toute nouvelle brigade autonome de Graulhet qui ont hérité de l'affaire. La permanence judiciaire a basculé dès vendredi matin. À charge pour les militaires de gérer l'enquête sur cette agression d'un jeune homme jeudi soir, vers 21 heures, alors qu'il effectuait son jogging sur les petites routes graulhétoises du côté de La Ventenayé. Ce sportif de 19 ans courait tranquillement lorsqu'une voiture s'est arrêtée à quelques mètres de lui. À l'intérieur, trois hommes d'une vingtaine d'années, selon un proche de la victime. « Ils sont sortis et lui ont demandé de donner ce qu'il avait sur lui. Mais il n'avait même pas d'écouteur. Il était juste vêtu d'un tee-shirt et d'un short. » Toujours selon ce membre de la famille, les agresseurs l'auraient alors frappé à coup-de-poing avant que l'un d'eux ne sorte un objet contondant. « Il l'a blessé un peu partout sur le corps, aux mollets, dans le dos. »

« C'est un acte gratuit »

L'arrivée d'une voiture sur la route va mettre fin à l'agression. Les trois hommes préfèrent prendre la fuite. Le jeune sportif va regagner le domicile de ses grands-parents qui vont le conduire à l'hôpital de Graulhet. Les blessures ne sont fort heureusement que superficielles et ne nécessiteront pas de points de sutures mais la victime est très choquée par cette agression. Le vendredi matin, le jeune homme a porté plainte à la gendarmerie. Les enquêteurs vont tenter de retrouver la trace des trois individus. Ils ne bénéficient que de peu d'éléments dans la mesure où la victime n'a pu relever la plaque d'immatriculation du véhicule. Le parquet est saisi de ce dossier. Du côté de la famille du jeune homme, l'émotion est grande. « C'est un acte gratuit, s'exclame le père. Pourquoi agresser quelqu'un qui fait simplement son jogging ? »

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Page réalisée à partir du site ladepeche.fr

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